samedi 1 décembre 2012

Réchauffement : la montée des océans largement sous-estimée ?

Réchauffement : la montée des océans largement sous-estimée ?

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Le réchauffement climatique suivrait actuellement les tendances prévues par le Giec, mais pas la hausse du niveau des mers. Des populations pourraient se retrouver les pieds dans l’eau avant l’heure !

Depuis 1988, un groupe intergouvernemental d'experts, le Giec, se charge de récolter des informations scientifiques sur l’évolution passée et future de notre climat. Régulièrement, leurs données sont compilées puis présentées par le biais de rapports. Quatre éditions ont déjà été publiées (1990, 1995, 2001 et 2007), et une cinquième devrait voir le jour en 2014.

Ces documents se veulent prospectifs puisqu’ils fournissent des résultats de projections. Ainsi, selon les 3e et 4e éditions (respectivement nommées TAR et AR4), la Terre serait amenée à se réchauffer d’environ 0,2 °C par décennie d’ici 2027, sur la base de plusieurs scénarios d’émissions de gaz à effet de serre. Simultanément, la montée du niveau des mers devrait se poursuivre à la vitesse de 2 mm par an, d’après des projections dites « centrales ». Mais qu’en est-il réellement ?

Avec le recul, il est maintenant possible de confronter ces résultats avec des données concrètes. C’est en substance ce qu’ont fait des chercheurs duPotsdam Institute for Climate Impact Research (Allemagne), du Tempo Analytics (États-Unis) et du Laboratoire d'études en géophysique et océanographie spatiales (France). Globalement, le réchauffement climatique suivrait relativement bien la tendance définie dans le passé. En revanche, le niveau des océans s’élèverait 60 % plus vite que prévu !
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La courbe rouge caractérise l’augmentation mesurée par satellite du niveau des mers en cm en fonction du temps. Elle est comparée aux données récoltées par des marégraphes (en orange). Les traits bleus et verts correspondent aux projections établies par le Giec, respectivement dans ses 3e et 4e rapports, sur la base de différents scénarios d’émissions de gaz à effet de serre. Les océans montent bien plus vite que prévu. © Adapté de Rahmstorf et al. 2012, ERL

Une fonte des calottes glaciaires sous-estimée

Cinq jeux de données de températures terrestres et océaniques mesurées entre 1990 et 2011 ont été utilisés pour suivre l’évolution passée du réchauffement climatique. Lors des calculs, les valeurs moyennes ont été transformées en vue de supprimer l’influence des éruptions volcaniques (événements associés à la libération d’aérosols), des variations du rayonnement solaire et de la survenue d’épisodes El Niño. Ces trois facteurs peuvent en effet modifier le climat à court terme. Ainsi, la Terre se réchaufferait actuellement de 0,16 °C par décennie, une valeur en accord avec plusieurs projections du Giec.

Les marégraphes ne permettant pas d’étudier la hausse du niveau des mers avec précision, les chercheurs se sont appuyés sur des données satellite pour parvenir à leurs fins. Les océans se seraient ainsi élevés de 3,2 mm par an ces 5 dernières années, soit bien plus que les 2 mm par an initialement prévus. Les projections sur le long terme publiées par le Giec pourraient donc se révéler biaisées vers le bas. Ce groupe d’experts a néanmoins précisé dans son dernier rapport que les valeurs fournies ne tenaient pas compte d’une « évolution dynamique rapide de l’écoulement glaciaire », c'est-à-dire d’une importante fonte des calottes glaciaires et des glaciers.

L’étude a été publiée dans la revue Environmental Research Letters (ERL). Selon Stefan Rahmstorf, ces résultats « montrent une fois encore que le Giec est loin d’être alarmiste et que, en réalité, il a sous-estimé les risques possibles du réchauffement climatique dans certains cas ». Quoi qu'il en soit, les chiffres sont préoccupants pour de nombreuses populations côtières. De grandes surfaces habitées pourraient en effet se retrouver sous l’eau plus tôt que prévu, les océans risquant de monter d’ici 2100 au-delà des 17 à 60 cm initialement avancés.

Sources : http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/climatologie-1/d/en-zone-cotiere-les-eaux-souterraines-doublent-le-risque-dinondation_42648/ + http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/climatologie-1/d/rechauffement-la-montee-des-oceans-largement-sous-estimee_43064/

Yves Herbo : Bon, encore une alerte de plus mais étant donné le peu d'écoute de la part des principaux pollueurs et le manque d'unité planétaire pour réussir à sauvegarder sa propre civilisation, c'est un peu comme jouer du triangle au milieu d'un groupe de heavy métal...

SFH 11-2012

Le Yéti existerait bien et serait en partie humain

Le Yéti existerait bien et serait en partie humain

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Yves Herbo : Nouvelle étonnante annoncée dans les médias scientifiques ! Cette vétérinaire et ce laboratoire d'analyses semblent tenter de confirmer mon impression générale sur l'ancienneté des Yétis (que j'assimile à "l'armée des singes" et des "divinités" simiesques cités dans les mythes de plusieurs contrées d'Asie notamment, mais aussi du Caucase) et leur possible survivance grâce à leur intelligence et adaptibilité héritée. Voir ici.

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Reconstitution

Selon les travaux d'une vétérinaire texanne, Melba S. Ketchum, le Bigfoot ou Sasquatch serait un cousin de l'espèce humaine qui serait apparu il y a de cela 15.000 ans. Une hypothèse soutenue par l'étude de son ADN qui suggère également qu'il se serait même reproduit avec des femmes humaines donnant ainsi naissance à des individus hybrides.

Big Foot, Sasquatch ou encore "abominable homme des neiges" en version moins flatteuse, le Yéti possède bien des noms à travers le monde. Pourtant, au sein de la communauté scientifique, il reste aujourd'hui un être légendaire dont on n'a jamais vraiment réussi à prouver l'existence. Et ce, malgré de nombreuses recherches dont certaines sont encore en cours. Entre témoignages visuels et supposés indices matériels, les hypothèses se multiplient ainsi depuis des décennies. Toutefois, pour une vétérinaire texane, cela ne fait aucun doute : Bigfoot (la version américaine du Yéti himalayen) existerait bel et bien.

C'est du moins ce qu'affirme une société du nom de DNA Diagnostics qui rapporte dans un communiqué les travaux de Melba S. Ketchum. " Une équipe de scientifiques peut attester que leur étude d'ADN de cinq ans, actuellement en relecture, confirme l'existence d'une nouvelle espèce d'homininé hybride, couramment appelé 'Bigfoot' ou 'Sasquatch' vivant en Amérique du Nord", explique le fameux communiqué cité par LiveScience. Mais celui-ci va même plus loin en indiquant que Sasquatch serait en fait "un cousin de l'espèce humaine qui est apparu il y a environ 15.000 ans".

Un croisement entre un homininé inconnu et un Homo sapiens

Pour arriver à cette conclusion, la vétérinaire et ses collègues auraient travaillé à partir de trois génomes nucléaires complets issus de prétendus échantillons de Yéti. Ils auraient également obtenu du génome mitochondrial, contenu dans les structures productrices d'énergie des cellules, les mitochondries. En étudiant les deux génomes, les chercheurs auraient alors constaté que l'ADN mitochondrial était identique à celui de l'Homo sapiens moderne. En revanche, l'ADN nucléaire lui, a montré des différences s'apparentant à celles d'un nouvel homininé cousin de l'Homo sapiens et d'autres espèces de primates.

" Nos données indiquent que le Sasquatch d'Amérique du Nord est une espèce hybride, le résultat d'un croisement entre un mâle d'une espèce inconnue d'homininé et d'une femelle Homo sapiens ", précise le communiqué. Autrement dit, les chercheurs suggèrent qu'un ancien homininé se serait un jour accouplé avec un Homo sapiens et aurait ainsi donné naissance à un hybride donc en partie humain. Reste que cette hypothèse est sans surprise largement sujette à débat, notamment parce que l'étude de Ketchum n'a pas encore été publiée et que la vétérinaire a refusé d'en dévoiler davantage à son sujet.

Le mystère plane sur l'origine des échantillons

Pour l'heure, il est donc impossible de valider ces conclusions, mais si les résultats s'avèrent corrects au sujet de l'ADN mitochondrial, deux hypothèses peuvent être envisagées : la première, celle envisagée par Ketchum, qu'une hybridation a bien eu lieu. La seconde, plus simple, celle que les échantillons ont été contaminés. Autrement dit que la personne qui a collecté ou manipulé ces derniers y a accidentellement introduit son ADN, ce qui peut se faire aussi facilement qu'en toussant ou en éternuant. Une hypothèse renforcée par le fait qu'en dehors de Ketchum et de son équipe, personne ne sait d'où sont issus les fameux échantillons, ni qui les ont prélevés.

De même, on ignore comment les chercheurs ont pu s'assurer que ceux-ci venaient bien du Yéti américain relève LiveScience. Comment peuvent-ils être sûrs que cela ne vient pas d'un autre animal errant ou même d'un humain ? Dans la mesure où aucun prélèvement n'a jamais pu être formellement identifié comme appartenant à Bigfoot, ils ne disposent d'aucun support de comparaison. Par le passé, l'analyse ADN de certains échantillons a permis de qualifier ces derniers d' "inconnu" ou de "non identifié". mais là encore, la preuve n'est pas faite que "non identifié" veuille dire "appartenant à Bigfoot".

Le mystère reste donc entier aujourd'hui et ne pourra se dévoiler que lorsque l'étude de Ketchum sera enfin publiée. Si la vétérinaire détient réellement la preuve qu'elle affirme, alors la preuve sera faite que Bigfoot existe bel et bien. De quoi captiver l'attention du monde entier et d'inciter les scientifiques à partir à la recherche de la créature. Mais si ce n'est pas le cas, aucun doute que les spécialistes n'en resteront pas là et tenteront encore et toujours de prouver son existence.


Yves Herbo SFH 11-2012

vendredi 30 novembre 2012

OVNIs-OANIs France - les clips d'ODHTV de novembre 2012

Alerte OVNI France  - Alerte OANI France - Alerte P.A.N. France - News Ufologie - Programme ODH TV 12-2012

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Alerte OVNI France du 08-11-2012 :

Alerte OANI France du 09-11-2012 :

Alerte PAN France du 21-11-2012 :

Alerte PAN France du 27-11-2012 :

News Ufologie 27-11-2012 :

ODH TV Programme de décembre 2012 :

Relayé par SFH 11-2012

mardi 27 novembre 2012

Afghanistan : une mine de cuivre enterre une ville du IVe siècle...

Afghanistan : une mine de cuivre enterre une ville du IVe siècle...

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MES AINAK (Afghanistan) (AFP) - Trésors archéologiques témoignant d'un riche passé ou énorme potentiel économique pour un futur incertain : à Mes Ainak, le gouvernement afghan a tranché, privilégiant les dollars de la mine de cuivre à une ville bouddhiste du IVe siècle vouée à disparaître.

Le choix était évident dans un pays ravagé par plus de trente années de guerre, en quête désespérée de devises. En 2007, l'entreprise chinoise MCC obtient la concession pour 30 ans de ce gisement de 11,5 millions de tonnes de minerai, situé à 50 kilomètres au sud de Kaboul, dans la province instable du Logar.

En échange, la société doit financer des fouilles préalables, sur un site connu pour abriter des merveilles archéologiques. Il y a un peu plus de 17 siècles, une communauté religieuse bouddhiste s'était installée à proximité de la mine, déjà pour profiter de son cuivre.

MCC prévoit de dépenser au total près de 30 millions de dollars pour ces fouilles d'ici la mi-2013, selon Philippe Marquis, directeur de la Dafa (Délégation archéologique française en Afghanistan), qui les supervise. Une cinquantaine d'archéologues et 550 ouvriers s'activent.

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Et les résultats sont saisissants.

Mes Ainak, d'une superficie de quatre kilomètres carrés, regorge de petits villages, progressivement arrachés à la terre qui les recouvrait. Partout, des habitations, statues de Bouddha, temples ou autre caserne ont été dégagés, leurs larges murs encore en bon état. A l'horizon, somptueuses, mille collines se dessinent.

" C'est encore plus important que Pompéi. Plus vaste ", s'enthousiasme Roberta Marziani, une archéologue italienne. "Plus d'un millier de statues ont été retrouvées", opine Philippe Marquis, qui remarque toutefois que ce total " n'est pas exceptionnel à l'échelle de l'Afghanistan ", dont le patrimoine est particulièrement riche, mais négligé.

Le chantier archéologique sera achevé fin 2013. La ville du IVe siècle reconstituée par informatique. Et la plupart de ses vestiges progressivement détruits par l'exploitation minière...

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" On fait de notre mieux pour sauvegarder le passé et profiter des mines de cuivre. On a besoin de développer l'économie du pays. On n'a pas d'autre choix ", s'excuse Mossadeq Khalili, vice-ministre de la Culture.

Car Mes Ainak, c'est 320 à 350 millions de dollars annuellement pour l'Etat afghan et plus d'un milliard en revenus indirects, notamment via les 2 à 3.000 employés du site et les 20 à 25.000 bénéficiaires indirects, escompte le Dr Abdul Aziz Ariab, directeur du projet au ministère des Mines.

Une manne providentielle dans un pays exsangue, qui mise sur son sous-sol riche en minéraux - un sondage américain a évalué les potentialités minières afghanes à mille milliards de dollars - pour faciliter sa transition économique et politique. (YH : d'où les tentatives de main-mise russes, US et Chine à suivre ?...)

Mais la sécurité doit être assurée pour attirer les investisseurs. Et ce n'est pas le cas à deux ans du départ de l'essentiel des troupes de l'Otan qui portent à bout de bras le fragile gouvernement de Kaboul.

Des dizaines de démineurs sont mobilisés chaque jour pour sécuriser la dizaine de kilomètres du chemin terreux qui mènent à Mes Ainak.

Malgré une base de 2.000 policiers sur le site, qu'entoure un fin grillage vert - et troué -, des roquettes ont plu sur le camp chinois cet été, précipitant le départ des expatriés de MCC. Sur 300 salariés chinois, 10% à peine sont restés sur place, estime un observateur.

Au point que certains craignent un départ de MCC, ce que rejette Jawad Omar, porte-parole du ministère des Mines, pour qui " 70% des effectifs chinois sont revenus en Afghanistan ". L'entreprise n'a pu être jointe par l'AFP.

Sur le terrain, le chantier minier n'avance plus. Plusieurs foreuses se dressent, immobiles, au même endroit depuis des mois. La construction d'une ligne de chemin de fer et d'une centrale électrique, deux éléments promis par MCC et essentiels pour l'exploitation, est au point mort.

" On assiste à un grand jeu de poker menteur dans le cadre d'un partage des richesses naturelles mondiales. Ici, il consiste à prendre une option sur une mine qu'on exploite ou qu'on se garde pour plus tard ", une fois la sécurité assurée, analyse un expert occidental.

En ce sens, " les Chinois sont en train de négocier avec tout le monde pour s'assurer que tout marchera bien " à terme, affirme-t-il, sous-entendant que les talibans, forcément intéressés par les ressources minières s'ils retournent au pouvoir, ont été consultés.

Guerre, insurrection, développement, partage international de matières premières : autant de thèmes faisant passer les jolis bouddhas de Mes Ainak pour quantité négligeable. Philippe Marquis n'est pas dupe: " Nous sommes au milieu de quelque chose qui nous dépasse complètement "....

Source : http://www.lexpress.fr/actualites/1/culture/afghanistan-une-mine-de-cuivre-enterre-des-bouddhas_1188332.html

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Une peinture sur roche découverte et des bijoux, un temple : http://flic.kr/p/aF4e5r +  http://flic.kr/p/aF849E + http://flic.kr/p/aF751h

Relayé par Yves Herbo SFH 11-2012

dimanche 25 novembre 2012

Un physicien a prouvé que certains Crop-Circles sont faits par des OVNIs

Un physicien a prouvé que certains Crop-Circles sont faits par des OVNIs

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Dans la vidéo vers le bas, les producteurs du documentaire vidéo ont interviewé le physicien Dr. Haselhoff Eltjo des Pays-Bas. Le Dr. Haselhoff offre la preuve scientifique que au moins certains crop circles sont en effet formés par des billes de lumière / OVNI ". Ses recherches et des preuves ont même été acceptées après examen par des pairs pour la Internationalement reconnue revue scientifique, Physiologia Plantarum.

Il a prouvé que les crop circles qu'il a examinés avaient été faits par des sources ponctuelles électromagnétiques. Un exemple simple d'un dispositif électromagnétique à source ponctuelle est une ampoule. Le Dr. Haselhoff a fait sa découverte en examinant les anomalies qu'il a trouvées dans les nœuds des plantes des crop circles. Quand il a mesuré les nœuds de tous les échantillons qu'il avait prises, il a constaté que les nœuds dans le centre des cercles ont été allongés considérablement. Les nœuds des plantes qui ont poussé à la périphérie des cercles, ont un allongement spectaculaire, mais pas tout à fait autant que ceux qu'il avait trouvés dans les centres. Le Dr Haselhoff développé un logiciel pour que son ordinateur puisse mesurer les nœuds une fois de plus (ce qui exclut la possibilité d'erreurs humaines) et son ordinateur a pu mener à bien plusieurs centaines de mesures.

Dans la première ligne que vous voyez la longueur de noeud anormale dans le crop circle. Dans la deuxième rangée, vous voyez où le Dr Haselhoff prend ses échantillons.

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Les barres rouges dans les diagrammes montrent les différences de croissance normales, naturelles qui peuvent survenir. Il est bien évident que les différences des crop circles sont si extrêmes (barres jaunes), que cela ne peut être attribué à la différence de croissance normale ...

Le Dr. Haselhoff a ensuite comparé la distribution des noeuds allongés (le plus fort dans le centre du crop circle, de moins en moins sur le périmètre) avec toutes les configurations possibles de distribution d'énergie connues en physique. Il a découvert un bonus de 100% avec la distribution de l'énergie électromagnétique d'une source ponctuelle. C'est par exemple une ampoule. Lorsque vous raccrochez une ampoule au-dessus du sol, vous verrez également une distribution (de lumière) qui est plus forte juste en dessous de l'ampoule (à comparer avec le centre du crop circle) et qui devient de plus en plus faible lorsque vous mesurez vers le bord de la lumière.

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Un bonus de 100% est très rare dans la science. Par conséquent, la conclusion suivante peut être tirée en toute sécurité : les crop circles examinés avaient été faites par des sources ponctuelles électromagnétiques (des boules de lumière) suspendues au-dessus du sol à une hauteur de 4,1 mètres au moment où la récolte s'est couchée.

Le Dr. Haselhoff a envoyé ses conclusions au Physiologia Plantarum. Son travail était «peer-reviewed» (contrôlé par d'autres scientifiques), accepté et publié en Octobre 2000. Avec cette publication et donc l'acceptation par le monde scientifique, on peut dire dans l'état actuel des choses, ce qui suit : tous les crop circles ne sont pas faits par l'homme, mais par des sources ponctuelles électromagnétiques d'origine inconnue.

Cet état de fait est jusqu'à preuve du contraire, prouvé scientifiquement !

Remarque : Il ya beaucoup de désinformation diffusée par différents gouvernements - qui va immédiatement discréditer les crop circles et des vidéos comme celle-ci.

Le fait est que le cameraman (qui s'est manifesté et n'est pas anonyme) n'a jamais dit que sa vidéo était un faux (et qu'aucune version fausse n'a été montrée sur le net par la suite).

C'est vraiment incroyable de voir comment il est facile et rapide de discréditer des images comme celles-ci. Tout ce qu'il faut est qu'une personne dise « cela a été prouvé être un canular » pour discréditer complètement le film !



Source : http://www.etupdates.com/tag/dr-haselhoff/ + http://www.etupdates.com/2012/11/15/physicist-offers-scientific-proof-that-crop-circles-are-formed-by-ufos-video/

Cette étude scientifique concluante sur certains crop circles n'est pas sans rappeler le même type d'étude effectuée par Michel Bounias, Directeur de Recherche à l'époque à l'INRA d'Avignon (Institut de recherche en Agronomie) sur un atterrissage célèbre d'OVNI à Trans-en-Provence, Var en 1981, et où il avait été conclu à un rayonnement électro-magnétique de type micro-ondes si je me souviens bien, inexistant dans la nature. La notion de rayonnement et de distance d'effet du phénomène sont similaires :

" En 1981 un objet discoïdal se pose en plein jour sur une "restanque", à Trans-en-Provence, petite localité du Var. L'appareil saute une haie d'arbres et vient percuter le sol, en reposant sur trois pieds semblables "à des seaux à ciment" selon l'unique témoin d'origine italienne, Renato Nicolaï, qui observe l'objet à une vingtaine de mètres de distance, à l'abri derrière un petit mur.

Puis l'engin redécolle et disparaît. Nicolaï ne s'adresse ni à la gendarmerie, ni au GEPAN. Mais sa femme bavarde et c'est finalement un gendarme qui recueille son témoignage, malgré ses réticence (il a peur de passer pour un fou). Celui-ci, fort à propos, recueille de simples luzernes à l'intérieur d'une trace d'un mètre et demi de diamètre et à l'extérieur. Il a la bonne idée de recueillir les support terreux. Tout ceci est expédié au GEPAN à Toulouse, qui est alors dirigé par le polytechnicien Alain Esterle succédant à l'ingénieur Claude Poher. Ces prélèvements ont été faits à l'initiative du gendarme et ne correspondent pas au " directives édictées par le GEPAN " qui avait décidé de ne s'intéresser à des traces au sol que :

- S'il y avait plusieurs témoins
- S'il n'avait pas plu....

Or il y a un unique témoin et le site d'atterrissage a subi une large rincée entre l'événement lui-même et la prise d'échantillons. Ceux-ci arrivent à Toulouse et il s'écoulera trois semaines avant qu'ils n'atterrissent sur la paillasse de Michel Bounias, Directeur de Recherche à l'INRA d'Avignon (Institut de recherche en Agronomie). Il se trouve que ses compétences le mettent dans une position particulièrement favorable pour analyser les traumatismes subis par des végétaux étant donné qu'il a fait sa thèse au CEA, en se concentrant sur les altérations subies par les végétaux sous l'effet de radiations ionisantes.

Très vite Bounias, capable de mener ses analyses sur les fragments les plus infimes décèle des anomalies très importantes concernant les "équipements pigmentaires des plantes" (chlorophylles A et B, carotène, phéophytine, violaxantine, etc. ). Il demande une analyse systématique avec des prises d'échantillons tous les mètres, précise que l'information contenue dans les échantillons peut être gelée (au sens propre et au sens figuré) en les conservant dans du gaz carbonique liquide. L'analyse met en évidence une extraordinaire corrélation phénomène-distance (je compléterai ce dossier plus tard. C'est un premier jet, rapide). Comme le soulignaient Aimé Michel et Pierre Guérin à l'époque : " L'ufologie scientifique est née ce jour là ".

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analyses Trans-en-Provence (extrait)

Ce qui est extraordinaire c'est que ces traces biologiques sont non seulement très nettes, mais aussi durables. Bounias effectuera de loin en loin un suivi du site en montrant que le retour à la normale s'effectuera en 18 mois ! Il a ainsi créé un fantastique "piège à OVNI" qui ne demande qu'à fonctionner. Un obscur ufologue, Michel Figuet, Gardien de nuit, émet une hypothèse personnelle. Ces altérations seraient dues à des projections de ciment et les traces circulaires, évoquant un ripage, auraient été liées au mouvement de la bétonnière de Nicolaï. Brillante contribution "ufologique".

Agacé, Bounias fera néanmoins des vérifications, négatives. Le ciment est sans effet sur les équipements pigmentaires des plantes. A ce jour rien de connu, à part un rayonnement d'un mégarad ne saurait provoquer des telles altérations. Un an plus tard survient le cas dit "de l'Amarante". Un ovni stationne sous les yeux d'un ... chercheur du CNRS, dans son petit jardinet. Les plantes qui s'y trouvent, des "Amarantes" s'en trouvent affectées au point que le traumatisme est visible à l'oeil nu.

- Bounias n'est pas sollicité pour faire lui-même le recueil et l'analyse des échantillons
- Des gendarmes s'en chargent qui "ne conservent pas les plantes dans leur support terreux, mais sectionnent les tiges et mettent les échantillons recueillis dans des sachets de plastique" où ... ils pourrissent.
- C'est dans un état de décomposition avancée qu'ils parviendront dans un labo universitaire de biologie de Toulouse, qui ne pourra rien en tirer.

Que s'est-il passé ? Les gens du GEPAN, pourtant nantis de consignes très explicites de la part de Bounias tenu totalement hors du coup, seraient-ils tous devenus idiots ? Bien sûr que non. Mais, immédiatement avec cette percée de Trans l'ETCA (Etablissement Technique Centrale de l'Armement), laboratoire d'analyses, militaire, a créé sans difficulté une copie du modeste labo de Bounias et c'est là qu'ont atterri les échantillons correctement prélevés, tandis que ces plantes, sectionnées, cuites, consitueront une analyse bidon "dont, hélas, on n'aura rien pu tirer".

Il y a eu d'autres Trans-en-Provence mais cette fois le système, bien verrouillé, a fonctionné sans que quiconque ne voie passer les échantillons. Rappelez-vous : les gendarmes, ces "braves pandores", sont avant tout des militaires, astreints au secret... " 



http://www.ufocom.eu/pages/v_fr/m_invest/Col_de_Vence/col_de_vence.htm