samedi 9 mars 2013

Cités englouties et théorie extra-terrestre, des histoires de contacts

Cités englouties et théorie extra-terrestre, des histoires de contacts

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Des ruines de cités antiques sont immergées depuis des milliers d'années au fond des océans du globe. Ces vestiges de civilisations, jusque là inconnues, renfermeraient-ils le secret du contact extra-terrestre ?


Bizarre ou quoi ? - Extraterrestres parmi nous :

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William Shatner présente trois histoires qui laissent croire que les extraterrestres vivent parmi nous.
D'abord, un éleveur mexicain tue une créature terrifiante et mystérieuse qui ne ressemble à aucune autre sur la Terre. 

Une femme de l'Arizona affirme avoir été la victime d'une expérience gouvernementale destinée à créer une nouvelle espèce. Enfin, un jeune soldat se lie d'amitié avec des extraterrestres vivant secrètement près d'une base militaire. :


http://videodok.blogspot.fr/2013/02/bizarre-ou-quoi-extraterrestres-parmi.html

SFH 03-2013

Entretien avec Pierre Jovanovic : apocalypse

Entretien avec Pierre Jovanovic : apocalypse

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Pierre Jovanovic nous montre en quoi la crise financière actuelle peut être mise en relation avec les textes de l'Apocalypse, et comment cette mise en lumière permet de comprendre la chute à venir du Vatican et du système financier.


Il dresse un portrait de la crise économique en Europe, montre en quoi les médias traditionnels ont complètement abandonné leur rôle, et comment seul un véritable réveil des peuples pourra enrayer cette descente aux enfers.

Site officiel : http://www.avantgardeeconomique.fr
Page Facebook : http://www.facebook.com/Avantgardeeco...

Si vous avez aimé cet entretien vidéo, vous pouvez nous soutenir pour d'autres entretiens à venir : http://avantgardeeconomique.blogspot.fr/

Yves Herbo : Je ne partage pas obligatoirement les conclusions ni les liens "apocalyptiques" mentionnés, mais mes propres recherches historiques et constatations de visu concluent aux mêmes issues (qui se réduisent de plus en plus). Nous vivons dans un système économique qui donne l'illusion à la minorité qui maîtrise ses rouages qu'il fonctionne bien : ils en vivent et s'arrangent (par héritage, nominations hiérarchiques, politique...) pour en conserver le pouvoir. Ils ont pu "acheter" la souveraineté de la totalité des Etats mondiaux en les menaçant de faillite totale, de "couper" les robinets que ces Etats leur ont vendu ou de les endetter tellement que les personnalités au pouvoirs locaux sauteront... dans le même temps, ils se sont faits nommer (rarement élus mais aussi) aux postes-clés cadenassant les flux économiques dans le monde entier et ont corrompu les autres. Ils possèdent déjà une influence énorme sur les agences de notation ou de contrôles "indépendantes" (qui ne le sont pas du tout), et peuvent n'importe comment influencer tant les bourses, les cours, les monnaies, les agences de notation de par leurs propres décisions financières : accorder ou non des prêts et jouer avec leurs taux... la constatation est pourtant simple : ce système cours de crise en crise depuis qu'il existe et n'a jamais vraiment fonctionné que pour une minorité de citoyens du monde : il est tant d'en changer complètement. Pour le faire fonctionner, cette minorité triche depuis des décennies impunément, au détriment de la majorité, et se sert d'une oligarchie locale principalement pour se maintenir et agir. Oligarchie car quand une partie de la population suit des règles et lois, textes différents du reste de la majorité des citoyens, cette partie de population ne peut plus être considérée comme faisant partie du peuple : c'est une oligarchie assimilable à la noblesse d'antan. Tout comme la majorité des dirigeants politiques mondiaux viennent de cette oligarchie de fonctionnaires ne suivant pas les mêmes règles que le citoyen "normal", eux-mêmes convaincus que le système "fonctionne" puisqu'ils obéissent aux dirigeants financiers et en tirent bénéfices... c'est comme ça qu'on retrouve des ministres incapables de savoir combien gagne réellement les plus pauvres français et les smicards, ni même la moyenne des salaires... En fait, le système utilise principalement l'escroquerie, le mensonge et le chantage pour fonctionner et c'est tellement flagrant que cela devient hypocrite de la part des grands médias de l'ignorer encore et toujours. Et les Etats (quel que soit le parti au pouvoir depuis des décennies, et le FN est une illusion aussi, c'est évident, tout comme la majorité de la gauche et extrême-gauche...) sont malheureusement complices et/ou sous chantages. A ce sujet, une sortie de l'UE ne changera strictement rien quand aux économies des pays concernés : cela n'empêche pas les Goldman Sachs, FMI et autres banquiers de réclamer les dettes qu'ils ont créées eux-mêmes artificiellement... et même si la Banque de France peut affirmer pouvoir assumer par exemple les dettes de la France, ce n'est pas le cas des autres pays, et même pour la France, il serait illusoire de compter sur l'aide des endetteurs pour ne pas mettre des bâtons dans les roues là où il faut, aux moments idéaux...

Les preuves de ces escroqueries multiples pour convaincre les gens de rembourser des dettes qu'ils n'ont pas eux-mêmes, avec l'aval des gouvernants : fausse crise du pétrole de 1974 (chantage de l'OPEP), fausses promesses et mensonges de retraites garanties à 60 ans si cotisations (contrat rompu sans référendum et on triche en augmentant les durées de cotisations, les taux de cotisations avec l'accord de chambres syndicales complices en majorité), fausses réductions du temps de travail et donc sur la création d'emploi liée, revente à 49% de la chaîne de production énergétique française (EDF-GDF, nucléaire...) au privé (malgré les promesses d'après guerre et grâce au nucléaire de baisses du coût de l'énergie pour les propriétaires citoyens français - et même le versement de dividendes à l'époque à chaque français ! (hum)...)... par exemples...

Yves Herbo SFH 03-2013

vendredi 8 mars 2013

Comment observer Panstarrs, la comète visible à l’œil nu

Comment observer Panstarrs, la comète visible à l’œil nu

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Réalisée le premier jour du mois de mars en Nouvelle-Zélande, cette image de la comète Panstarrs au crépuscule donne une bonne idée de ce qui attend les observateurs de l'hémisphère nord dans quelques jours. © Michael White

Les astronomes de l'hémisphère sud admirent depuis quelques jours sans instrument la comète C/2011 L4 Panstarrs. Après son passage au périhélie le 10 mars, elle va devenir visible en début de soirée pour les observateurs de l'hémisphère nord. Suivez nos conseils pour ne rien manquer de ce spectacle.

Rarement une année a autant été placée sous le signe des comètes. En attendant Ison qui s'annonce majestueuse à l'automne prochain, les observateurs ont déjà commencé à admirer la comète Lemmon depuis l'hémisphère sud, alors que l'astronome amateur française Claudine Rinner découvrait son troisième astre chevelu et que la perspective d'une possible collision entre C/2013 A1 et la planète Mars en octobre 2014 fait déjà le buzz sur la Toile. Voici donc l'entrée en scène de C/2011 L4 Panstarrs, qui devrait mobiliser photographes et astronomes dans les jours qui viennent.

La comète C/2011 L4 a été découverte le 6 juin 2011 alors qu'elle était de magnitude 19,4 et qu'elle circulait entre les orbites de Saturne et de Jupiter. Sa détection est à mettre au crédit de l'astronome Richard Wainscoat dans le cadre du programme de recherche Panstarrs (Panoramic Survey Telescope and Rapid Response System), qui utilisait un télescope de 1,8 mètre de diamètre installé à Hawaï. Le 10 mars 2013, la comète Panstarrs passera au périhélie à 45 millions de km du Soleil, ce qui devrait provoquer un dégazage massif, promesse d'une montée d'éclat et d'une augmentation sensible de la longueur de sa queue de gaz et de poussières.

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Ce montage permet de visualiser la position de la comète C/2011 L4 Panstarrs pendant le mois de mars sur l'horizon ouest. En France, il faudra tenter de la repérer à partir du 12 mars en s'aidant du fin croissant lunaire. © Sky and Telescope

L'hémisphère nord attend sa comète

Depuis le début de l'année, les observateurs de l’Hexagone n'ont guère pu profiter des deux belles comètes du moment. C/2012 F6 Lemmon est en effet beaucoup trop australe pour nos latitudes, tout comme Panstarrs. Mais si la première continue son show dans le ciel de l'hémisphère sud, C/2011 L4 Panstarrs viendra nous rendre visite. Comme on peut le voir ci-dessus sur le montage proposé par la revue Sky and Telescope, la comète Panstarrs se trouvera au nord du Soleil après son passage au périhélie le 10 mars et deviendra visible sous nos latitudes dans les lueurs du couchant les soirs suivants. Le 12 mars, la présence d'un fin croissant lunaire permettra de localiser facilement la comète, qui deviendra circumpolaire à la fin du mois (elle sera visible toute la nuit et ne se couchera pas). Actuellement, les observateurs des latitudes australes peuvent repérer à l'œil nu le noyau de la comète Panstarrs une fois le Soleil couché, la queue de la comète se révélant avec une paire de jumelles. Les observateurs de l'hémisphère nord ont donc toutes les raisons d'être optimistes, le passage de la comète au périhélie ne pouvant que lui faire gagner de l'éclat (on peut raisonnablement penser qu'elle aura une magnitude de 1).

Pour profiter du passage de cet astre chevelu, il vous faudra rechercher un lieu d'observation parfaitement dégagé en direction de l'ouest à partir du 12 mars, date à laquelle la comète devrait devenir observable en début de soirée. Il sera même possible de réaliser de belles photographies de paysages célestes avec la comète au-dessus de l'horizon. Les astronomes amateurs ne manqueront pas de vous faire vivre l'événement en image sur notre forum d'astronomie, où vous pourrez également venir poster vos photographies.

Source = http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/comment-observer-panstarrs-la-comete-visible-a-lil-nu_45010/

SFH 03-2013

Espace : nouvel astéroïde en transit, encore de la gelée ?

Espace : nouvel astéroïde en transit, encore de la gelée ?

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Un astéroïde récemment découvert de la taille d’un gratte-ciel traversera le voisinage de la Terre ce week-end, quelques jours après qu’un autre se soit approché encore plus prés de notre planète.

Large de 100 mètres, l’astéroïde 2013 ET "frôlera" la Terre à une distance de 960 000 km samedi 9 Mars 2013. Le survol de cette roche de l’espace surviendra quelques jours après que l’astéroïde 2013 EC se soit approché de nous à une distance de 370 000 km le matin du lundi 4 Mars 2013.

Au moment de son passage, « 2013 ET  » sera à une distance équivalente à 2,5 fois celle entre la Terre et la lune, ce qui est trop loin pour que la plupart des astronomes puissent le repérer dans le ciel nocturne. Mais le « Virtual télescope Project  » en Italie, dirigé par l’astrophysicien Gianluca Masi, diffusera en direct une vue de son survol, le vendredi 8 Mars, à partir de 14 heures HNE (19h00 GMT). Vous pourrez accéder à la diffusion gratuite ici : http://www.astrowebtv.org

Il n’y a aucun danger que  » 2013 ET  » puisse frapper la Terre, affirment les chercheurs, de même que  » 2013 EC  » ne représentait aucune menace. Mais leurs passages sont tout de même quelques peu déroutants, puisque les deux astéroïdes ont été découverts en l’espace d’à peine quelques jours.

De nombreux astéroïdes sont en train de foncer à travers le système solaire tout en restant indétectés. Les astronomes estiment que le nombre de ceux qui sont proches de la Terre avoisine 1 million, mais que seulement 9.700 d’entre eux ont été découverts à ce jour.

http://www.huffingtonpost.com/2013/03/06/asteroid-earth-march-9-flyby_n_2818282.html
Traduction : Rorschach

Une gelée extra-terrestre découverte dans une réserve naturelle du Somerset après la chute de la météorite russe

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Des experts examinent une mystérieuse gelée trouvée dans une réserve naturelle du Somerset (Angleterre) à la suite de la chute de la météorite en Russie à des milliers de kilomètres de là. Une matière visqueuse translucide qui ressemble à " quelque chose de vivant " a été découverte dans la belle réserve de Ham Wall par des amoureux de la nature.

Les théories abondent sur ce qu’est cette gelée – depuis un »champignon cristallisé » jusqu’aux restes décomposés d’une grenouille. Le responsable du site, Steve Hughes, perplexe, a dit : " Quoique ce soit, c’est très étrange. " Ces "flaques" informes inexpliquées ont surgi dans toute la réserve. " Nous avons trouvé ces derniers jours des tas de cette gelée transparente éparpillés dans la réserve, " a-t-il dit. " Toujours sur les rives en herbe et toujours loin du bord de l’eau. Ils font dans la plupart des cas environ 10 cm de diamètre. Nous avons demandé à des experts ce que ça pourrait être mais personne n’a vraiment d’idée. Quoique ce soit, c’est très bizarre. "

Selon le folklore local, la substance apparaît à la suite d’une pluie de météorites. D’anciennes manifestations de ce type remontent au 14ème siècle, selon les archives. À cette époque-là on surnommait la gelée de noms en rapport avec le ciel, comme "gelée d’étoile", "gelée astral"...

Le porte-paroles de la Société Royale pour la protection des oiseaux, Tony Whitehead, a dit : " On dit dans le folklore qu’elle se dépose à la suite des pluies de météorites. C’est génial à notre époque qu’il y ait toujours des mystères autour de nous.

Notre équipe de la réserve va s’occuper de cette gelée ces prochains jours mais si quelqu’un peut offrir une quelconque explication, nous en serons heureux. "

Traduit par Hélios pour le BBB. - Dominic Gover

Etonnant le nombre d'observations de météorites entre le début d'année et l'arrivée de ce bolide sur la Russie le 15 février 2013 :

13 février - Énorme boule de feu vue en Belgique, Pays-bas et Allemagne

9 février - Une boule de feu bleue spectaculaire dans l'Ontario et le Michigan

9 février - Une boule de feu verte émeraude éclaire les montagnes du Colorado et du Wyoming

8 février - Une boule de feu brillante traverse le ciel de Nouvelle-Écosse

7 février - Une boule de feu aperçue à Fort Saint John, Colombie Britannique, Canada

30 janvier - Une boule de feu verte traverse le ciel du Lincolnshire, en Angleterre

30 janvier - Une boule de feu observée dans le ciel du Pays de Galles

27 janvier - 100 personnes observent une « boule de feu » traverser le ciel de Virginie dimanche soir

25 janvier - Une grande boule de feu au-dessus de Montréal

25 janvier - « Une boule de feu brillante », un météore en Pennsylvanie du nord

23 janvier - Explosion de météorite ? Confusion à Corbin dans le Kentucky après que les habitants aient entendu un puissant et bref coup de « tonnerre » un jour ensoleillé

21 janvier - « Le flash dans le ciel » au-dessus du Nouveau Mexique était un météore

20 janvier - Vision captivante d'une lumineuse boule de feu au-dessus de la région du Kanto, au Japon

27 janvier - Une boule de feu illumine le ciel du début de matinée, du Nevada jusqu'en Californie

15 janvier - Une boule de feu verte traverse le ciel de Winnipeg

11 janvier - Une boule de feu multicolore flamboie au-dessus du Nord-Ouest des États-Unis

8 janvier - Une observation de météore dans le ciel au-dessus de Moose Jaw, au Canada

5 janvier - Une boule de feu multicolore flamboie au-dessus du Nord-Est des États-Unis

4 janvier - Boule de feu et explosion dans le ciel à Santiago del Estero, en Argentine

3 janvier - Une boule de feu verte spectaculaire transforme la nuit en jour, au nord-ouest de Washington et sud-est de la Colombie Britannique, probablement pas une Quadrantide

Article source : fr.sott.net/ via http://area51blog.wordpress.com/

Yves Herbo SFH 03-2013

jeudi 7 mars 2013

Découverte d'une troisième ceinture de radiations inconnue

Découverte d'une troisième ceinture de radiations inconnue

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Le moment de la formation de l’anneau suggère qu’une grosse éruption solaire le 31 août 2012 (immortalisée par la sonde SDO de la NASA, l’image ci-dessus) a peut-être contribué à déclencher sa formation.

La NASA a récemment lancé sa mission Van Allen Probes, une paire de sondes spatiales automatiques, lancées en aout dernier pour enquêter une paire éponyme de ceintures de radiation (Ceinture de Van Allen) et elles ont déjà dévoilé quelques résultats très inattendus. Le plus important : une troisième ceinture éphémère de radiations, jusque-là inconnue de la science, qui entoure notre planète.

La NASA dit que la découverte était un coup de chance. Seulement trois jours après le lancement des sondes, une équipe de chercheurs dirigée par le planétologue Daniel Baker ont fait une inhabituelle demande de dernière minute : que leur Relativistic Electron Proton Telescope (REPT – embarqué sur les sondes) soit allumé plus tôt que prévu, dans l’espoir que leurs observations ne se chevauchent avec celle d’une autre mission appelée SAMPEX. Ce qui s’est passé ensuite était tout à fait inattendu.

Presque immédiatement, l’instrument REPT a détecté un certain nombre d’autres particules de haute énergie piégées dans les deux ceintures de Van Allen précédemment établies, mais au cours des jours suivants, les particules ont commencé à s’installer dans une configuration encore jamais vu : une troisième grande bande d’énergie s’est intégrée dans la partie extérieure des ceintures de Van Allen, environ 19 000 à 22 000 km au-dessus de la surface terrestre.


Ci-dessous : la nouvelle ceinture de radiations est présentée ici, en utilisant les données actuelles, comme l’arc du milieu de l’orange et du rouge des trois arcs vus sur chaque côté de la Terre. La nouvelle ceinture a été observée pour la première fois par le REPT à bord des Sondes jumelles Van Allen de la NASA.

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Après avoir vérifié qu’ils n’avaient pas un problème de détection avec leurs instruments, ce qui n’était pas le cas, les chercheurs ont constaté que la troisième ceinture persistait dans sa position et ceux-ci pendant quatre semaines. Mais le 1er octobre, la troisième ceinture a disparu, apparemment dissoute et « virtuellement anéantie » (pour reprendre les chercheurs) par une onde de choc interplanétaire d’un puissant vent solaire.

Le moment de la formation de l’anneau suggère qu’une grosse éruption solaire le 31 août 2012 (immortalisée par la sonde SDO de la NASA, l’image tout en haut) a peut-être contribué à déclencher sa formation.

La ceinture de Van Allen était, à bien des égards, la première découverte de l’ère spatiale et cinquante ans après il est exaltant de constater qu’on continu à dévoiler ses secrets.


Sources : gurumed + http://www.foxnews.com/science/2013/03/04/nasa-discovers-new-radiation-belt-around-earth/

SFH 03-2013

mercredi 6 mars 2013

Londres : Un homme déguisé en Batman livre un escroc à la police

Londres : Un homme déguisé en Batman livre un escroc à la police

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LONDRES Un homme déguisé en Batman a causé la stupéfaction dans un commissariat britannique en débarquant en pleine nuit pour livrer un individu recherché pour des délits, avant de repartir incognito dans le même accoutrement.

Portant l'uniforme du célèbre super-héros, l'homme a fait irruption dans un poste de police de la ville de Bradford, dans le nord de l'Angleterre, très tôt le 25 février 2013, selon la police du West Yorkshire.

Les forces de l'ordre ont publié une image tirée de la vidéo-surveillance montrant le justicier arriver avec un homme de 27 ans, recherché par la police et qui a été depuis inculpé pour recel et fraudes.

"La personne qui a amené l'homme recherché au poste était habillé d'un déguisement complet de Batman", a déclaré un porte-parole de la police. "Son identité reste toutefois inconnue".

La photo publiée sur Facebook a déclenché une avalanche de commentaires sur les réseaux sociaux, certains suggérant que "Batman" devait connaître son "prisonnier" étant donné l'absence de résistance apparente de la part de ce dernier.


http://www.dhnet.be/infos/monde/article/427022/un-homme-deguise-en-batman-livre-un-escroc-a-la-police.html

A noter que nous avons bien à faire à plusieurs clones du héros américain car celui-ci agit en même temps dans plusieurs villes américaines, même si toutes les autorités n'ont pas accepté son aide en-dehors de Gotham City et qu'il se fait parfois arrêter... Les Britanniques de leur côté ont affirmé qu'ils avaient déjà Doctor Who qui leur faisait souvent des blagues adipeuses et que c'était suffisant. :



Sur une idée de http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2013/03/londres-un-homme-deguise-en-batman.html

Un peu d'humour noir supplémentaire... :

Pig Destroyer - The Diplomat by BlastroNetworks

SFH 03-2013

OVNI : des rapports de gendarmerie en nombre

OVNI : des rapports de gendarmerie en nombre

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20 MAI 1955: PREMIERS TÉMOIGNAGES DE GENDARMES 

23 mai 1955, Rocroi. Rapport du capitaine G ... , commandant la section, sur l'apparition d'un engin aérien non identifié. 

Le 20 mai 1955 en visite de nuit et se trouvant sur la Nationale 51 entre Givet et le hameau des Trois-Fontaines, les gendarmes N ... et L... ont aperçu dans le ciel, à 2 h 30, un engin aérien inconnu qui volait à basse altitude à 200 ou 300 mètres environ, au-dessus de la région comprise entre Ham-sur-Meuse et le hameau des Trois Fontaines, et suivant la direction sud-est-nord-ouest, Cet engin leur a semblé avoir la forme d'un gros obus ou d'un cigare, de la dimension de la carlingue d'un avion de chasse. L'intérieur était lumineux. De l'arrière jaillissait des projecteurs lumineux, étincelants et multicolores. Sur le moment ils eurent l'impression de se trouver devant un avion en flammes, mais l'engin disparut en vol horizontal en direction du nord-ouest après quelques secondes. Sa vitesse leur a semblé très élevée, supérieure à celle des avions actuels. Au moment où ils l'aperçurent, un autorail qui se dirigeait vers Givet, passait sur la voie parallèle à la Nationale 51. Le bruit fait par cet autorail ne leur a pas permis d'entendre l'éventuel bruit fait par cet engin. La nuit était étoilée et sans lune. La direction du vent était nord.est-sud~ouest, c'està-dire contraire à la direction suivie par l'engin. Ayant fait remarquer à ces gendarmes que cela pouvait être un avion commercial de la ligne Genève-Bruxelles ou Bruxelles-Nice, ces derniers ont été d'accord pour dire qu'il ne pouvait y avoir de confusion, et qu'il ne pouvait s'agir d'un avion. C'est la première fois que le passage d'un tel engin est observé au-dessus de la circonscription de la brigade.
Rapport de gendarmerie datant du 26/09/1977 Brigade de SEGONZAC
Extrait du rapport de gendarmerie :

Le témoin déclare avoir vu le 18/09/1977, vers 15h45, un nuage de poussière assez opaque. Aussitôt après, alors qu’il travaillait dans son champ, il a aperçu pendant 15 à 20s un objet qui évoluait dans le ciel à 60 –70m du sol, en direction du sud. Il avait une forme cylindrique, genre ballon, ayant à la base un socle en forme d’assiette creuse. Cet objet avait un diamètre de 3-4m. Sur le cote, il a remarqué 2 ou 3 hublots. Ensuite, avec 2 amis, également témoins, il à découvert sur le Chemin vicinal n)18, un cercle tracé sur le sol de 2m de diamètre, qu’il présume être l’aire d’atterrissage et de décollage de l’objet. …..
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….Constatations : sur la chaussée du chemin vicinal 18 on remarque un cercle de 2m de diamètre environ. A l’intérieur, à 10cm, un autre cercle est également dessiné. Entre les 2, le sol paraît avoir été compressé……

…..l’analyse du sol (prélèvement du 20/09/77) effectuée le 08/10/77 , révèle un taux de radioactivité supérieur de 50% au taux normal.
Ces photos sont extraites d’un rapport de gendarmerie datant du 26/09/1977 Brigade de SEGONZAC – Charente

Source: http://www.forum-ovni-ufologie.com/t2726-en-1977-le-26-09-brigade-de-segonzac-16-taux-de-radioactivite-anormal#ixzz2MbGx0b1w
1" MAI 1975 : ATTERRISSAGE PRES D'UNE PATROUILLE DE GENDARMES

Procès-verbal, enquête préliminaire, le 11 mai 1975, compagnie de Melle, brigade de Lezay.

Le jeudi 1" mai 1975 à 23 h 10, nous effectuons une patrouille de surveillance dans les communes de Lezay, Saint-Coutant et Sainte-Soline, circulant à bord de notre véhicule sur le chemin départemental 15, dans ie sens Sainte-Soline-Lezay, nous nous trouvons au lieu-dit Bois-de-la-Trouille. Nous apercevons alors dans le ciel une boule lumineuse de couleur jaune vif d'un diamètre apparent de 20 centimètres environ, se déplaçant d'est en ouest. Elle se rapproche du sol à une vitesse régulière. Cet objet lumineux semble vouloir se poser à une faible distance de nous.

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Constatations


A 23 h 15, nous nous transportons immédiatement en direction du lieu supposé de l'atterrissage. Arrivés à l'intersection du chemin départemental 15 et du chemin départemental 45 nous observons à travers des haies, direction ouest, à environ 3 ou 4 mètres du sol, un scintillement lumineux. Nous estimons que ce phénomène se situe dans un pré, au lieu-dit Vaugru, en bordure du chemin départemental 105, à 400 mètres de la sortie ouest de Lezay.

A 23 h 17, nous étant approchés des lieux et ne remarquant rien de particulier au premier abord, nous descendons de notre véhicule pour examiner plus particulièrement cette zone. Presque aussitôt nous entendons un léger bruit, genre froissement d'ailes et nous constatons qu'un engin, dont nous ne pouvons déterminer la forme exacte et la couleur, s'élève rapidement suivant une trajectoire est-ouest, laissant apparaître deux lumières rouges de faible intensité, genre dispositif réfléchissant, distantes horizontalement l'une de l'autre d'environ 50 à 60 centimètres.

Bien que le temps soit clair, et le ciel étoile, l'absence de clair de lune ne nous permet pas d'évaluer d'une façon précise la distance approximative nous séparant de l'objet. Toutefois cette dernière ne doit pas excéder une trentaine de mètres. A 23 h 20, quelques instants après le présumé décollage, l'appareil reprend sa couleur initiale jaune vif et se stabilise à une altitude et à une distance que nous ne pouvons apprécier. Il nous apparaît alors semblable à un disque d'un diamètre de 20 centimètres. Devant l'immobilité prolongée de l'OVNI nous l'observons à la jumelle. Nous découvrons que l'appareil est muni de deux ailerons verticaux de 10 centimètres de longueur, placés l'un au-dessus du disque, l'autre en dessous. De plus, l'intérieur de la boule lumineuse semble parsemé de points noirs fixes. A 23 h 25, devant la persistance de ce phénomène, nous nous rendons immédiatement sur la place des Halles de Lezay, où, en compagnie de témoins, nous poursuivons durant trente minutes l'observation. Ce n'est que vers 23 h 45 que l'objet disparaît rapidement vers l'ouest.

Le 2 mai 1975 à 8 heures, nous retournons sur les lieux présumés de station de l'appareil. A 4 mètres de la haie bordant le chemin départemental 105, l'herbe est couchée, en forme de cercle de 3 mètres de diamètre. Aucune autre trace n'est décelable à l'œil nu.
Mesures prises

Nous avons rendu compte des faits à notre commandant de compagnie à Melle par message radio 85 TRS en date du 2 mai 1975. Le 3 mai 1975, à 17 heures, s'est présenté à la brigade M. Chasseigne Jean, délégué régional du groupement international de recherches « Lumières dans la nuit », qui, suite à ses observations sur place, nous a remis les renseignements joints en annexe.

Enquête

Le 3 mai 1975 à 8 h 45, effectuant l'enquête, nous entendons V... Jean-Pierre, trente-six ans, garde-champêtre de la commune de Lezay, Deux-Sèvres.

Dans la nuit du 1" au 2 mai 1975 vers 23 h 15, alors que je me trouvais encore au bourg de Lezay, place de la Halle-aux-Veaux, j'ai vu dans le ciel vers l'ouest une boule jaune semblant se stabiliser. Je ne suis pas le seul à avoir vu cet engin à l'intérieur duquel on pouvait distinguer des points noirs. J'ignore ce que ça peut être, mais une chose est certaine, il ne s'agissait pas d'une étoile. En raison de la distance, il était impossible de distinguer la forme exacte.

3 mai 1975, lecture faite par moi, persiste et signe.

Poursuivant l'enquête, entendons D... Robert, cinquante-trois ans, quincailler.

Au cours de la nuit du 1" au 2 mai 1975 vers 23 h 15, alors que je me trouvais à proximité de la Halle aux Veaux, à Lezay, j'ai aperçu dans le ciel en direction de l'ouest, une boule de couleur jaune vif qui paraissait se stabiliser. En raison de la distance, je ne puis évaluer l'endroit où cet engin se trouvait. J'ai pu constater qu'à l'intérieur de cette boule il existait des points noirs. Après un certain temps d'observation, trente minutes environ, cet engin a disparu en direction de l'ouest.

3 mai 1975, 11 h 15, lecture faite par moi de la déclaration ci-dessus, persiste et signe.

Entendons M... Jacques, cinquante et un ans, adjoint au maire de la commune de Lezay.

Dans la nuit du 1er au 2 mai 1975, alors que j'assistais à la finale du concours de pétanque, place de la Halle-aux-Veaux, vers 23 h 15 en compagnie de mes camarades j'ai vu dans le ciel une boule de couleur jaune vif qui semblait se stabiliser aux environs de La Mothe-Saint-Héray. Cet engin, d'environ 20 centimètres de diamètre présentant des points noirs à l'intérieur ne semblait pas très haut, dans le ciel, mais je ne puis être plus précis car la nuit il est très difficile d'apprécier les distances.
5 mai 1975 à 8 h 45.

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2 SEPTEMBRE 1975 : L'OVNI ET L'ADJUDANT 
Procès-verbal d'audition, gendarmerie de l'Yonne, brigade de Saint-Sauveur. Audition d'un adjudant-chef de l'armée de l'air. M. I ... 

Le 12 septembre 1975 à 22 h 05 j'étais couché, je commençais à somnoler et j'ai été tiré de mon sommeil par un bruit puissant et sourd, que l'on peut décomposer en deux bruits: l'un pouvant être apparenté à un moteur diesel mono-cylindrique et l'autre à un échappement ou suintement continu. Je me suis levé et de ma fenêtre j'ai aperçu une lueur intense blanche et parsemée de jaune qui semblait se situer dans les champs, distants de 100 mètres de mon habitation. Le bruit a cessé et la lueur s'est éloignée assez rapidement en s'élevant suivant un angle assez faible. La lueur ressemblait à une sphère d'environ 1 à 1,50 mètre de diamètre. Sur le pourtour de celle-ci, j'ai pu constater plusieurs genres de petits bâtonnets émettant des grésillements et des étincelles, comme des baguettes que l'on met dans les sapins de Noël. Je précise que l'éloignement s'est fait sans bruit. Ma femme, qui regardait la pièce à la télévision, a vu l'écran perturbé pendant une durée de cinq à six secondes. Je precise que la boule de feu est partie en direction de l'est et a masqué pendant trois ou quatre minutes l'étoile Polaire.

Lecture faite, persiste et signe .

Etat des lieux

Le hameau de Cagnats, sis sur la commune de Moutiers dans l'Yonne, est situé à un kilomètre à vol d'oiseau au sud-ouest de Saint-Sauveur dans l'Yonne. L'habitation de M.I... est implantée en bordure du ... La façade est orientée au sud-est.

Constatations

M. I... présent, nous a indiqué le lieu où il a aperçu l'objet volant. Ce lieu se trouvait à 100 mètres au nordest. li s'agissait d'Un petit bois attenant à une plantation de peupliers. D'après ses dires, l'objet volant s'est stabilisé à hauteur des cîmes des peupliers avant de s'éloigner rapidement vers le nord-est. Lors des recherches nous n'avons découvert aucune trace d'atterrissage.

Enquête

Nous avons interrogé verbalement toutes les personnes du hameau sans obtenir de renseignements complémentaires. Néanmoins, plusieurs d'entre elles avaient entendu le fort bruit décrit ci-dessus, mais n'étaient pas sorties pour voir d'où il provenait.

Le 14 septembre 1975, poursuivant l'enquête et les recherches dans la direction donnée, nord-est, Mme T ... , domiciliée à Saint-Sauveur, nous déclare avoir effectivement vu l'objet volant. D'après ses dires, elle se trouvait dans sa chambre, lorsqu'elle a entendu un fort bruit. Elle s'est avancée vers sa fenêtre d'où elle a aperçu une boule lumineuse assez grosse, sans pouvoir en définir la grandeur, cette boule étant en partie masquée par un arbre proche. D'après la direction donnée, l'objet volant semblait se rabattre vers le nord. Après de nouvelles recherches, aucun autre renseignement n'a pu être recueilli. Nous avons rendu compte des faits à notre commandant de compagnie. En outre, la perturbation instantanée de l'image de télévision constatée par Mme I... n'a pas été constatée par d'autres personnes ou n'a pas attiré leur attention.

Source: http://www.forum-ovni-ufologie.com/
L'OVNI de Trans-en-Provence aide de la gendarmerie : extrait de l'émission Temps X 01-04-1984 (12mn) :


OVNI RAPPORTE LE 15 MARS 1974, FRANCE:

Ce document a été reproduit dans la littérature ufologique grand public depuis longtemps disponible.

M.d.L. Chef, Officier de Police Judiciaire et Gendarme, Agent de Police Judiciaire 16 à 20 et 75 du Code de Procédure Pénale.

Le 15 mars 1974 à 5 heures 15, de permanence au poste de Police à la Brigade de Gendarmerie de VI nous, gendarme [G2], sommes avisés téléphoniquement par les sapeurs-Pompiers de [V1] de ce qu'un engin volant non identifié venait d'être aperçu dans le ciel de la localité, se déplaçant lentement en direction du Nord-Est, vers [V2].

Nous sortons alors dans la cour de la caserne et ne constatons rien d'anormal, ni la présence dans le ciel d'un quelconque engin insolite.

A 5 heures 35, le Commissariat Central de Police de METZ, nous confirme également par la voie téléphonique, que madame [T1] divorcée, domiciliée à [V1] a nettement aperçu un engin volant, de couleur orange se déplaçant à allure très lente et parfaitement visible à l'oeil nu. Ils nous précisent qu'étant sortis à cette même heure, ils ont vu eux aussi un engin circulant sans bruit vers le Sud-Est.

De l'enquête effectuée, par le M.d.L./Chef [G1] et le Gendarme [G2], il ressort qu'aucun autre indice n'a pu être recueilli permettant d'émettre une opinion sur la présence d'un tel engin.

Mentionnons que la dame [T1] nous a remis à l'appui de ses dires, un croquis de l'engin volant, relevé sommairement par elle-même au moment de l'apparition. Il est joint à la présente procédure.

Le sous-Brigadier [G3] signale qu'il a entendu une sirène dans la direction de [V3], sonner sans interruption vers 4 heures 30 minutes le 15 mars 1974. Il ne s'agit que d'une sirène du lotissement de [V4] qui s'est déclenchée toute seule. Les sapeurs-Pompiers de [V1] avisés en temps opportun, n'ont pas eu à intervenir. De toute façon, cet appel ininterrompu n'avait aucun rapport avec l'engin volant signalé.

Des vérifications ont également été effectuées auprès des services météorologistes civils et militaires à la base aérienne de [V1], aucun ballon-sonde ou tout autre objet n'a été repéré ou lâché ce jour-là par la station.

A noter que tout élément nouveau fera l'objet d'une procédure ultérieure.

Le 16 Mars 1974 à 8 heures 40, avons entendu: Madame T1, née le [-] 1939, divorcée, cinq enfants, demeurant à V1, de nationalité française, qui nous déclare à 8 heures 50:

Le 15 Mars 1974 à 4 heures 30, je me suis levée pour donner à boire à mon fils, âgé de sept mois.

Le fait d'avoir les double-rideaux ouverts dans la chambre de mon fils, j'ai remarqué par la fenêtre, un objet au-dessus de l'ancienne pharmacie, située en face de mon appartement.

J'ai tout d'abord regardé à l'oeil nu. Cet objet avait la forme d'une fusée, très estompée à cause de la clarté, de couleur orange très vive. Je peux dire qu'il se trouvait environ à 1500 mètres de hauteur, sa longueur était de 200 à 300 mètres environ. Je ne peux définir sa largeur.

Ensuite, j'ai regardé avec les jumelles pour détailler cet engin. A l'avant se détachait une bande, en forme de boomerang.

Vers 5 heures, j'ai aperçu un disque qui pénétrait dans cet objet et se dirigeait vers l'avant.

A 5 heures 15, l'objet a disparu brusquement, comme si on coupait la lumière. Je peux affirmer que celui-ci est resté stable, vu à l'oeil nu.

J'ai pensé à une projection d'image, comme si on prenait les nuages comme écran.

J'ai téléphoné aux Sapeurs Pompiers de [V1], une première fois, à 4 heures 30 pour les aviser de l'apparition de cet engin et une deuxième fois à 5 heures 30 pour leur signaler sa disparition.

Je ne peux dire si le ciel était couvert ou non, mon regard étant porté sur l'objet.

le 16 Mars 1974 à 9 heures 50.

Lecture faite par moi de la déclaration ci-dessus, j'y persiste et n'ai rien à y changer, à y ajouter ou à y retrancher.

(A signé au carnet de déclarations)

Poursuivant notre enquête, le 18/3/74, nous avons entendu: Monsieur [G3], né le [-] 1928, Sous-Brigadier de Police, demeurant à [V3], marié, un enfant, de nationalité française, qui déclare à 20 heures 05:

Le 15 mars 1974, quelques minutes avant 5 heures, nous sommes avisés téléphoniquement par les Sapeurs Pompiers de [V1], nous signalant qu'une habitante, demeurant à [V1], avait vu un objet insolite dans le ciel.

Vers 5 heures 02, alors que nous nous apprêtions à partir en patrouille et à nous rendre chez madame [T1], nous avons aperçu dans le ciel, un objet volant venant de la direction Nord-Ouest et se dirigeant vers le Sud-Est. Il avait une trajectoire rectiligne et avançait très lentement.

On voyait deux ronds lumineux blancs de huit centimètres de diamètre environ et espacés l'un de l'autre de trente centimètres environ.

Les lumières blanches étaient très nettes, ce qui laisse supposer que cet engin volait à basse altitude; le plafond de nuages étant assez bas.

Il ne produisait aucun bruit.

Aucune comparaison avec la signalisation employée par les avions. Cet engin ne laissait aucune traînée après son passage.

Les feux ne faisaient aucun faisceau lumineux, comme le font les projecteurs.

D'autre part j'ajoute que vers 4 heures 30, les sirènes de V3 ont sonné pendant dix minutes, d'une manière continue.

Le 18 Mars 1974 à 20 heures 20.

Lecture faite par moi de la déclaration ci-dessus, j'y persiste et n'ai rien à y changer, à y ajouter où à y retrancher.

(A signé au carnet de déclarations.)

Le même jour à 20 heures 40, nous avons entendu:

Monsieur [G4], né le [-] 1922, [-] enfants, Sous-Brigadier de Police, demeurant [V1], de nationalité française, qui nous déclare à 20 heures 43:

Le 15 Mars 1974 à 6 heures, sommes avisés téléphoniquement par les Sapeurs Pompiers de [V1] nous signalant que Madame [T1], qui habite [V1], a vu dans le ciel, un engin insolite.

En quittant le Poste, mon regard s'est porté machinalement vers le ciel. J'ai vu deux lumières blanches, venant du Nord-Ouest et se dirigeant vers le Sud-Est. Ce phénomène se déroulait au niveau des nuages. Cet objet ne faisait aucun bruit.

18 Mars 1974 à 20 heures 50

Lecture faite par moi de la déclaration ci-dessus, j'y persiste et n'ai rien à y changer, à y ajouter ou à y retrancher.

(A signé au carnet de déclarations.)

http://ufologie.net/foiafr/g23f.htm
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Gendarmerie nationale, groupement de l'Aveyron, compagnie de Millau, brigade de la Cavalerie.

Procès-verbal de renseignements administratifs, le 6 mars 1974 à 10 heures.

Résumé de l'affaire

Dans la nuit du 5 au 6 mars 1974, trois militaires de l'unité du capitaine C... commandant l'escadron 82 de la gendarmerie mobile d'Hyères dans le Var, ont aperçu, vers la ferme de l'Hôpital, une forme lumineuse non identifiée. Cette lumière a suivi la patrouille dans ses déplacements jusqu'à la Cavalerie où elle a été observée par plusieurs officiers et sous-officiers de l'escadron. Nous rendons compte des faits ci-dessus à notre commandant de compagnie qui nous ordonne d'effectuer une enquête afin de déterminer la nature de la forme lumineuse aperçue par les gendarmes mobiles.

La forme lumineuse aperçue par les gendarmes mobiles était de faibles dimensions. Ces dernières varient d'ailleurs en fonction de l'heure et des points d'observation. Ainsi, d'abord aperçue par les témoins sous la forme d'une sphère très imparfaite, sensiblement de la grosseur d'une balle de caoutchouc d'enfant, la forme lumineuse a été observée un peu plus tard par ces mêmes personnes sous la forme d'un rectangle aux angles arrondis, mesurant environ 25 à 30 centimètres de longueur et 15 centimètres de hauteur. Puis la forme lumineuse a été vue à nouveau sous l'apparence d'une balle de très faibles dimensions, quelques centimètres de diamètre. Cette forme lumineuse émettait une très forte luminosité de couleur blanche. Aucun bruit n'a été perçu par les six témoins qui l'ont observée à des heures identiques et pendant une durée de deux heures environ.

Ces témoins pensent qu'il ne s'agissait pas d'une étoile ni d'un aéronef ou d'un ballon sonde. La forme lumineuse observée le 6 mars 1974 était mobile; elle a parcouru un itinéraire de 10 km environ, puis a accompli une descente vertigineuse vers le sol avant de réaliser une ascension et de se stabiliser dans le ciel. Il est à noter que deux autres formes lumineuses non identifiées ont été aperçues à la Cavalerie dans la nuit du 25 février 1974 par une habitante de cette localité. Toutefois, ces deux lumières n'avaient ni la taille, ni la forme de celles observées dans la nuit du 5 au 6 mars 1974 par les gendarmes mobiles. D'après les dires du témoin, cette forme lumineuse ressemblait à deux cigares qui se maintenaient immobiles dans le ciel, dans une position verticale, au milieu d'un embrasement intense à l'horizon. Aucun autre habitant de la Cavalerie et des environs n'a été témoin de faits semblables.

Source: http://www.forum-ovni-ufologie.com/t2101-en-1974-le-6-03-des-gendarmes-de-la-compagnie-de-millau-et-ovnis#ixzz2McUvob9d

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Le 23 Mars 1974, au cours d'une vague d'apparitions d'Objets Volants Non-Identifiés en France, un médecin, qui a souhaité garder l'anonymat, a photographié un objet d'une extrême luminosité à Tavernes, dans le Sud de la France.

Sources : http://www.forum-ovni-ufologie.com/ - archives SFH

SFH 03-2013 - Archives SFH 03-2013

mardi 5 mars 2013

L'énigme du Thresher et du Scorpion

L'énigme du Thresher et du Scorpion

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USS Thresher

Au milieu du XXe siècle, dans les années 60, deux des plus puissants sous-marins nucléaires américains, l'USS Thresher et l'USS Scorpion, ont disparu dans les profondeurs noires et glaciales de l'Océan Atlantique; tous les deux dans des conditions mystérieuses, bien plus mystérieuses que la Marine américaine a bien voulu le dire...

Si leurs épaves ont bien été retrouvées par la suite, nulle trace des hommes d'équipage n'a pu être repérée. Les 129 hommes du Thresher et les 99 hommes du Scorpion se sont littéralement volatilisés...!

Où sont-ils passés? Que sont-ils devenus? Là est l'énigme...

Rapports des commission d'enquêtes

Avant d'aller plus loin, voyons ce que nous disent les commissions d'enquête de la Marine américaine et quelles sont leurs conclusions "officielles" sur la disparition des ces deux submersibles. Dernier-né des sous-marins nucléaires américains, premier d'une nouvelle classe d'engins super silencieux capables de plonger plus profondément que les autres, le Thresher, inauguré et lancé à Portsmouth, était le nec plus ultra des sousmarins de l'époque. C'était un véritable "Requin-tueur" qui allait donner aux Etats-Unis un énorme avantage militaire face à leurs ennemis soviétiques. On était alors en pleine "Guerre froide" et ce sous-marin était une pièce majeure sur l'échiquier politique mondial sur lequel s'opposaient les USA et  l'URSS. Il était équipé du premier système de contrôle de feu informatisé à bord d'un sous-marin et d'un sonar d'une incroyable portée. Il était doté de missiles inter sous-marins, ce qui était une nouveauté à l'époque.

Le Thresher prit la mer le 9 avril 1963 avec un équipage de 129 hommes. Le matin du 10 avril, à l'aube, le commandant donna l'ordre de plonger. Les ballasts furent remplis et le submersible s'enfonça dans les eaux profondes de l'Atlantique Nord près de Corsair Canyon au large de Boston. Il s'agissait alors de tester la résistance du bâtiment, et le commandant fit plonger son sous-marin le plus profond possible Le Thresher n'était pas seul, il était en communication radio avec l'USS Skylark, un navire équipé pour le sauvetage en mer, mais pas pour celui d'un sous-marin nucléaire en plongé. Ce bâtiment se trouvait sur la zone de manoeuvre du Thresher et pouvait lui porter secours, mais seulement si celui-ci faisait surface.

Tout se passait bien jusqu'à ce que, tout à coup, le commandant du Thresher envoie au Skylark, à 9 h 13 exactement, le message suivant: «Thresher annonce: faisons face à difficultés mineures. Angle ascendant positif. Tentons de chasser. Vous tiendrons informés.».

De toute évidence, le sous-marin avait quelques problèmes, des avaries de peu d'importance qui ne le mettaient pas en danger.

Prudent, le commandant jugea préférable de remonter et de rentrer à la base pour réparer. Il avait ordonné de chasser l'eau des ballasts pour alléger le bâtiment et le faire ainsi remonter en surface. Il n'y avait pas de quoi s'affoler, mais 3 minutes plus tard, un nouveau message arriva, brouillé, inintelligible, suivi d'un bourdonnement à basse fréquence puis... le silence...

A la surface on ne voyait absolument rien. L'équipage du Skylark avait beau scruter les flots à l'oeil nu comme aux jumelles, rien n'apparaissait, pas même une tache d'huile...

Les minutes passaient et l'angoisse finit par s'installer. Ce 10 avril 1963, le commandant du Skylark prit alors la décision d'informer le QG de la Marine que le Thresher ne répondait plus.

C'était la première fois au monde qu'un sous-marin nucléaire était porté disparu. Le coup était rude, c'était une véritable tragédie...!

On pensa tout de suite qu'il avait heurté un haut-fond et qu'il avait ainsi coulé, mais rien n'était sûr. Il fallait absolument trouver la cause du drame. Il fallait comprendre ce qui s'était passé. Les spécialistes de la Navy firent un véritable travail de détective qui dura des mois pendant lesquels les recherches en mer continuèrent inlassablement.

La Marine alla jusqu'à couler une voiture automobile pour voir comment elle descendrait dans les eaux profondes de l'Atlantique; cela, dans l'espoir de trouver un indice quelconque permettant de retrouver le Thresher.

Des caméras télécommandées et des sonars ratissèrent sans relâche les fonds sous-marins, et l'unique vaisseau de plongée profonde dont disposait alors la Marine américaine, le bathyscaphe Trieste, explora les profondeurs océaniques jusqu'à épuisement de son équipage.

Enfin, au bout de 6 longs mois, le Trieste découvrit ce qui subsistait du Thresher... Il avait implosé sous la pression hydraulique avec une telle force qu'il ne restait plus de lui que des bouts de ferrailles éparpillés sur le fond de l'océan.

Pendant ce temps, au cours de ces longs mois de recherche, une commission d'enquête de la Marine avait découvert des choses incroyables...

Le dossier de maintenance du bâtiment a révélé que 14 % des joints de la tuyauterie qui transportait de l'eau de mer sous haute pression sur toute sa longueur n'avaient été soumis à aucun test par ultra-sons. De même, des centaines d'autres joints avaient échappé à toute vérification, alors que sur d'autres sous-marins, des joints de ce type avaient connu des défaillances et causé de graves inondations. A la profondeur à laquelle se trouvait le Thresher, la rupture d'une grosse canalisation aurait fait entrer des dizaines de tonnes d'eau à la minute (!).

La dernière transmission radio du submersible a apporté des indices déterminants qui ont permis à la commission de reconstituer le scénario probable du drame que voici: la rupture d'une canalisation dans la salle des machines a inondé  le compartiment et neutralisé suffisamment de fusibles pour forcer l'arrêt du réacteur nucléaire. Ne fonctionnant plus que sur ses accumulateurs, le submersible n'aurait pas eu assez de puissance pour atteindre la surface.

En dernier recours, l'équipage a dû envoyer de l'air comprimé dans les ballasts pour chasser l'eau et retrouver de la flottabilité, mais le système de ballasts était d'un modèle ancien conçu pour des sous-marins ne descendant pas à une telle profondeur; leur puissance était trop faible pour cela.

Le bâtiment n'aurait donc pas pu s'alléger suffisamment. Il prenait l'eau et devenait de plus en plus lourd. Il n'aurait donc fait que se redresser tandis qu'il descendait vers le fond inexorablement...

A 450 m de profondeur, la coque du Thresher ne pouvant plus résister à l'écrasante pression qu'elle subissait, explosa comme une bombe !

Des fragments de métal tordu, c'est tout ce qui restait du Thresher, le plus extraordinaire sous-marin de l'époque...!

L'épave éclatée en mille morceaux du submersible a été explorée et filmée dans les années 80 par Bob Ballard, un océanographe, au cours d'une expédition secrète; officiellement, il cherchait le Titanic !

La commission d'enquête de la Marine conclut finalement que, trop pressée d'envoyer en mer cette merveille de haute technologie, la Navy a commis plusieurs fautes de conception et de construction.

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Tout le monde jura que cela n'arriverait plus jamais, mais 5 ans plus tard, au printemps de 1968, la tragédie frappa de nouveau...

L'USS Scorpion

Après la disparition tragique du Thresher, la Marine américaine surveillait désormais de très près tous ses sous-marins nucléaires. Aussi, lorsque l'USS Scorpion ne lança plus aucun message le 21 mai 1968, un vent de panique monta au sein du Quartier Général de la Navy...

Le Scorpion était parti pour une mission de routine en Méditerranée (pour espionner les navires soviétiques, selon le rapport officiel qui fut publié par la suite) et repartait ce jour-là vers sa base de Norfolk en Virginie. C'est alors qu'il traversait l'Atlantique Nord qu'il cessa tout à coup d'émettre.

Il était attendu ce jour à 13 h 00 à Norfolk au terme de sa mission en mer, et aucun message de détresse n'avait été lancé par son équipage. Tout allait bien, mais il fallait pourtant se résoudre à l'évidence: il s'était passé quelque chose de grave...

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Les autorités militaires de la Navy lancèrent immédiatement des recherches en haute mer. Des dizaines de bateaux, de sous-marins et d'avions sillonnèrent la zone d'où il avait envoyé son dernier appel radio, mais ces fouilles méthodiques ne donnèrent aucun résultat. On décida alors d'élargir la zone de recherche, mais là encore les investigations restèrent infructueuses.

A 1300 km à l'est des Açores, un avion aperçut une tache d'huile (comme il y en a beaucoup sur l'Atlantique) à laquelle personne ne prêta d'importance, mais découvrit aussi un "mystérieux objet orange" qui resta malheureusement introuvable pour les navires qui se lancèrent à sa recherche.

Le Scorpion, avec un équipage de 99 hommes et un armement ultra-moderne et super-puissant, s'était littéralement volatilisé dans l'immensité de l'océan Atlantique...!

Au bout de 10 jours, la Marine annonça que le Scorpion était porté disparu et que tous les hommes à bord étaient vraisemblablement morts.

Ce n'est que des mois après la cérémonie à la mémoire des disparus que l'on découvrit enfin ce qu'il restait du submersible. La Marine annonça alors que rien n'établissait que le sous-marin fut victime d'un quelconque acte d'hostilité (sous-entendu de la part des Soviétiques, car nous étions toujours en pleine "Guerre froide"), mais refusa d'en dire davantage. Quelles que fussent ses conclusions quant aux causes de l'accident, elles étaient classées "Secret Défense".

C'est grâce à un immense réseau de microphones sous-marins installés, dès les années 60, dans tous les océans du monde, afin de détecter les mouvements de la flotte soviétique et les essais nucléaires, que les restes du Scorpion ont pu être localisés.

Grâce à ces hydrophones, une explosion sous-marine inexpliquée a été découverte par une équipe de spécialistes installée aux îles Canaries, au large de la Mauritanie, en Afrique, sous la direction de John Craven, un scientifique de la Marine.

Cet enregistrement montrait un pic qui était peut-être lié au Scorpion, puis un silence de 91 secondes suivi d'une série d'environ 17 pics pouvant correspondre à l'implosion des différents compartiments du sous-marin, mais ces informations étaient insuffisantes pour conclure quoi que ce soit. C'est lorsqu'on découvrit le même type de tracé sur les enregistrements de deux hydrophones installés au large de Terre-Neuve, à 300 milles de là, qu'il devint possible, par triangulation, de localiser le lieu de l'explosion. L'épicentre se situait près des Açores.

Mais s'il s'agissait bien du Scorpion, cela faisait un mystère de plus à élucider...!

En effet, on pensait que le sous-marin se dirigeait de la Méditerranée vers Norfolk; or, à la grande surprise de tout le monde, les explosions enregistrées par les hydrophones s'éloignaient de Norfolk... comme si le sous-marin avait fait demi-tour et repartait vers la Méditerranée!

Le Scorpion avait-il rebroussé chemin, et si oui, pourquoi ?

Pour tenter d'en savoir plus, on envoya le bathyscaphe Trieste sur les lieux supposés du naufrage, et celui-ci, après de longues recherches, finit effectivement par retrouver l'épave du Scorpion échouée dans les eaux profondes de l'Atlantique par 3000 m de fond...

Le sous-marin nucléaire USS Scorpion

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L'USS Scorpion retrouvé

Dans les années 80, Bob Ballard, cet océanographe qui avait exploré et filmé l'épave éclatée du Thresher, explora et filma à son tour l'épave du Scorpion au moyen d'un minisubmersible.

A la différence du Thresher, le Scorpion était relativement intact. Il s'est certainement rempli d'eau avant de sombrer à la profondeur d'écrasement. Sa tourelle a été totalement arrachée de la coque, probablement en heurtant le fond. L'extrême pression a sectionné la partie arrière et l'a littéralement enfoncée dans la partie avant comme une antenne télescopique qu'on referme.

Aucune des images prises alors par Bob Ballard n'a été montrée avant 1993, date à laquelle la Marine a enfin commencé à déclassifier les informations relatives au Scorpion.

C'est à cette époque (en 1993, 25 ans après le drame) que la Marine communique ses conclusions et donne sa version officielle—son "scénario le plus probable"—sur le naufrage du Scorpion.

Selon la Navy, tout aurait commencé alors qu'un courant électrique parasite aurait amorcé l'une des torpilles à bord du submersible. Le commandant aurait ordonné aussitôt un virage à 180° dont il espérait qu'il allait déclencher un mécanisme de sécurité et désarmer la torpille. Puis il aurait ordonné l'éjection de celle-ci, mais la torpille n'aurait pas été désarmée et elle aurait commencé à se chercher une cible. Comme il n'y avait rien alentour, c'est le sous-marin lui-même qui aurait été pris pour cible par la torpille qui était dotée d'une tête chercheuse.

Comme le sous-marin était un peu plus rapide que la torpille, il avait une chance de lui échapper. Il aurait essayé de la distancer, mais la torpille aurait été finalement plus rapide que prévu et l'aurait ainsi frappé en faisant un énorme trou dans la coque, coulant ainsi le Scorpion. Toutefois, ce scénario ne satisfait pas tout le monde...!

A l'époque où il était un jeune lieutenant de la Marine, Ross Saxon a examiné l'épave du Scorpion depuis le bathyscaphe Trieste et voici ce qu'il nous dit :

« J'ai plongé sur le Scorpion et je n'ai absolument rien vu indiquant qu'il ait été coulé par une torpille. Aucun élément de la structure ne suggérait cette hypothèse. Les portes de tous les tubes avant étaient fermées. Le sous-marin s'était cassé sous l'effet de la pression et rien n'établissait qu'il avait été coulé par une torpille

Une enquête fut menée par Stephen Johnson, un journaliste d'investigation du Houston Chronicle. Celui-ci récupéra des lettres de divers membres de l'équipage du Scorpion qui s'inquiétaient de l'état mécanique du bâtiment. L'un d'eux a même démissionné pour cette raison. Après des années d'effort, Stephen Johnson déterra un élément déterminant du passé du Scorpion. A la suite de multiples demandes auprès de la Flotte sous-marine de l'Atlantique, ce journaliste a fini par obtenir ce qu'il cherchait.

Il a alors découvert, parmi les pages relatives à l'historique de maintenance du Scorpion, des documents montrant comment ce dernier avait été choisi pour un programme secret réduisant considérablement la maintenance qu'il aurait dû avoir. Pour économiser du temps et de l'argent, la Marine américaine avait supprimé une bonne partie de la révision du submersible.

Seulement 3 millions de dollars avaient été dépensés pour la maintenance alors qu'il aurait fallu normalement dépenser environ 20 millions de dollars !

Un autre secret de la Marine a été révélé par deux autres journalistes américains—Christopher Drew et Sherry Sontag—auteurs du livre "Blind Man's bluff" dans lequel ils racontent leur enquête. Ces journalistes apprennent, en effet, à la suite d'investigations à partir d'une lettre qui leur à mis la puce à l'oreille, que lors d'essais, la batterie actionnant la torpille MARK 37 avait parfois surchauffé et pris feu. Des ingénieurs, ayant travaillé dans l'usine de torpille de Kyport dans l'état de Washington, disent avoir mis en garde la Marine à propos d'une possible explosion à bord suffisamment importante pour couler un sous-marin.

Ce laboratoire a fait divers essais indiquant que ce type de torpille était dangereux, mais la Marine n'a tenu aucun compte de leur avertissement. Est-ce la défaillance d'un équipement insuffisamment vérifié ou l'explosion d'une torpille défectueuse qui a coulé le Scorpion? Impossible de trancher avec certitude...

En tout cas, à la suite de ce désastre, la Marine américaine renonça à son expérience de maintenance réduite et modifia la torpille MARK 37. Depuis, elle n'a plus jamais perdu un seul sous-marin nucléaire!

Voilà donc les conclusions "officielles" de la Marine américaine sur la disparition des sous-marins nucléaires Thresher et Scorpion et les résultats des contre-enquêtes menées par des journalistes à propos du Scorpion.
Pour nous, à notre avis, la Marine américaine a bien fait de prendre ces mesures après la disparition du Scorpion, car ces défaillances techniques auraient pu, effectivement, être à l'origine de graves accidents chez d'autres sous-marins nucléaires, mais... nous ne pensons pas que s'il n'est plus jamais rien arrivé après cela, c'est qu'il s'agit bien là de la cause de ces deux drames. Non, c'est une pure coïncidence !

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Avarie ou défaillance technique ?

Rien, absolument rien ne prouve que le Thresher comme le Scorpion ont coulé à la suite d'une avarie due à une défaillance technique quelconque.

Certes, ils avaient de sérieux problèmes de maintenance, des tuyauteries fragiles, des torpilles défectueuses.., mais cela ne prouve rien. Si un conducteur perd le contrôle de sa vieille voiture à cause d'un malaise cardiaque et tombe dans un ravin où il trouve la mort dans l'explosion de son automobile, tout le monde dira que la voiture était trop vieille, que ses freins ont lâché ou qu'elle a eu une quelconque défaillance mécanique. Le conducteur n'étant plus là pour témoigner, on sera tous d'accord pour dire que c'est l'état désastreux de la voiture qui est responsable de cet accident mortel. Et pourtant, c'est faux ! C'est le coeur malade du conducteur qui a fibrillé et provoqué ainsi cet accident.

Eh bien ! C'est exactement la même chose pour le Thresher et le Scorpion : ce n'est pas une défaillance mécanique qui est responsable de leur naufrage. Mais alors qu'est-ce qui a provoqué la destruction de ces deux superpuissants sous-marins nucléaires? Les Services secrets des Etats-Unis comme ceux de la Russie et de la Grande-Bretagne savent très bien que de "mystérieux vaisseaux noirs" rôdent silencieusement dans les eaux de toutes les mers et les océans du globe. Les ministères de ces pays possèdent d'énormes dossiers secrets contenant des rapports d'enquêtes et d'observations ainsi que des statistiques sur ces "mystérieux submersibles".

Les Etats-Unis ont perdu deux sous-marins nucléaires, mais la Russie en a perdu au moins sept. La Grande-Bretagne en a perdu plusieurs également et la France a perdu le Minerve au large de Toulon le 25 janvier 1968 et l'Eurydice au large de Saint-Tropez le 4 mai 1970, alors qu'ils étaient tous deux révisés et en parfait état de marche.

Tous ces sous-marins auraient-ils subi le même sort que le Thresher et le Scorpion? C'est possible...

Les mystérieux vaisseaux noirs

Ces "mystérieux vaisseaux noirs" qui rôdent sous les mers seraient-ils la cause de la disparition de ces sous-marins ?

Rien ne le prouve de manière absolue, mais nous pensons, nous, que ce sont bien les responsables ! Qui sont ces "étranges vaisseaux sous-marins" ?

D'après les témoignages, ces "mystérieux vaisseaux noirs" sont d'une taille beaucoup moins imposante que celle des "roues lumineuses". Ces dernières ont un diamètre d'environ 500 à 600 m alors que les "mystérieux vaisseaux noirs" ont une taille 5 à 6 fois plus petite (100 m en moyenne). S'agirait-il, dans ce cas, de petits sous-marins lâchés par ces gros submersibles lumineux pour effectuer diverses missions de surveillance et... d'attaque? En l'absence d'autres informations, nous ne pouvons rien affirmer, mais l'hypothèse est séduisante. C'est bien possible.

Au début du XXe siècle, le 28 octobre 1902, au cours d'une nuit calme et étoilée sur l'Atlantique Sud, des marins du navire Fort Salisbury aperçurent, à quelques dizaines de mètres du bateau, un "long objet sombre"... Le commandant fut rapidement alerté et lui comme les hommes présents cette nuit-là, constatèrent que cet "objet sombre" était long d'environ 150 à 180 m, que sa surface n'était pas unie, mais "écailleuse" (un peu comme celle d'un poisson), qu'il y avait un feu à chaque extrémité et qu'un mécanisme agitait l'eau (comme les nageoires d'un poisson, là encore)...!

De nombreuses vérifications ont été faites par la suite, mais rien ne permit d'identifier ce mystérieux "objet sombre". Lorsque le Minerve disparut en Méditerranée en janvier 1968, les recherches intenses menées par la Marine française révélèrent plusieurs fois un mystérieux écho sonar correspondant à une "énorme masse métallique" d'environ 60 m de long faisant penser à un submersible. L'exploration des fonds ne montra pourtant rien qui ressemble à un sous-marin.

Ces échos étaient pourtant bien réels et semblaient se déplacer... intelligemment.

En avril 1970, au large de la Nouvelle-Guinée, des centaines de personnes furent témoins de l'apparition d'un "engin inconnu" qui semblait glisser à la surface de l'eau... D'après les indigènes, des "objets mystérieux" de ce type visitent les lieux depuis des siècles...!

En novembre 1972, dans les eaux d'un fjord norvégien, au nord de Bergen, un "mystérieux objet" fut repéré. Il resta immobilisé sous ces eaux pendant une quinzaine de jours (!). Les autorités norvégiennes déclarèrent que "le mystérieux objet immergé et détecté par une frégate de la Marine n'était pas un sous-marin." Puis, sans que l'on puisse comprendre comment, le "mystérieux objet" se volatilisa...! Ce n'était pas la première fois qu'un tel "objet non identifié" était repéré dans cette région. Depuis des années déjà, de tels "objets" avaient été signalés dans ces eaux.

Les sous-marins nucléaires Thresher et Scorpion ont très certainement, selon nous, subi l'attaque de ces "mystérieux submersibles" qui n'en voulaient, en fait, qu'à leurs équipages (qui ont totalement disparu)... Dans le cas du Thresher, un de ces "mystérieux vaisseaux noirs" aurait foncé sur lui et aurait brouillé ses émissions radio; d'où la très mauvaise qualité du dernier message envoyé au Skylark. Les hommes de l'équipage auraient alors été enlevés non pas dans un abordage sanglant, mais en douceur par téléportation (!), c'est-à-dire par  dématérialisation et rematérialisation au sein du "submersible"...

Le transfert des hommes d'un submersible à l'autre par onde porteuse (c'est le principe de la téléportation) se serait passé au moment de la remontée du sous-marin vers la surface.

Laissé sans équipage, le bâtiment serait retombé vers les profondeurs, ses ballasts n'ayant pas été chassés à fond, et aurait explosé sous la pression.

Dans le cas du Scorpion, un "mystérieux vaisseau noir" aurait été détecté par les sonars, et se rendant compte du danger, le commandant aurait ordonné de faire demi-tour afin de tenter de lui échapper. Mais, malheureusement, ce fut inutile... L'équipage tout entier aurait été enlevé par téléportation, lui aussi, peu de temps après la manoeuvre. Laissé sans équipage, le sous-marin aurait plongé peu à peu pour une raison technique inconnue et se serait brisé sous la pression, permettant à l'eau d'entrer, empêchant ainsi son explosion sous l'énorme pression.

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Mais qui a fait coulé ces navires ?

Nous sommes convaincus que la Marine américaine sait ce qui s'est réellement passé, qu'elle connaît tous les faits et qu'elle a caché tout cela aux médias et au grand public.

Mais, dans tout cela, le plus important est de savoir pourquoi ces hommes auraient été enlevés et par qui exactement? Sur ces questions, la Navy ne possède peut-être pas toutes les réponses, mais il est bien possible qu'elle en possède au moins quelques-unes...

En ce qui nous concerne, nous pensons qu'il s'agit d'êtres extra-terrestres installés dans les eaux profondes de divers océans et mers du globe, dans d'immenses citées sous-marines...! Depuis quand sont-ils là et pourquoi? Il est bien difficile de le dire! Les indigènes de Nouvelle-Guinée affirment qu'ils sont visités par ces "mystérieux vaisseaux noirs" venus du fond des mers depuis des siècles...!

Etranges rencontres sous les eaux

Dans les eaux du Golfe Persique, en mai 1880, au cours d'une nuit extrêmement noire, le Patna, un steamer de la fameuse Compagnie des Indes britanniques, fit une incroyable rencontre...

Le capitaine Avern, le 3e officier M. Manning et J.W. Robertson virent, en effet, cette nuit-là, apparaître brusquement sur la mer sombre, de part et d'autre du navire, deux énormes "roues" lumineuses...!
Ces monstrueuses "roues" de lumière venues d'on ne sait où, tournaient sur elles-mêmes, d'après les calculs, à environ 160 km/h (!). Leurs immenses rayons (environ 200 à 300 m de long!) paraissaient frôler le navire... Les témoins purent compter les rayons de ces gigantesques "roues" lumineuses qui se distinguaient nettement les uns des autres: 16 rayons à chaque roue!

La lueur de ces énormes "roues" de 500 à 600 m de diamètre (!) paraissait glisser à plat sur la surface de la mer, sans aucune lumière visible dans l'air, un peu comme lorsque l'on fait tourner une lanterne horizontalement au-dessus de l'eau et que sa lumière se reflète en cercles concentriques sur cette eau. Ces deux "roues" lumineuses accompagnèrent le navire pendant 5 minutes puis disparurent comme elles étaient venues...

Ces "roues" n'étaient certainement pas faites de lumière pure... il s'agissait probablement d'objets matériels issus d'une très haute technologie qui se déplaçaient sous les eaux, et dans le cas présent, sous leur surface. Oui, mais en cette fin de XIXe siècle (nous sommes en 1880, ne l'oublions pas) la Science était incapable de concevoir et encore moins de fabriquer de telles machines! D'ailleurs, au XXe siècle, malgré tous les progrès accomplis, la Science en était toujours incapable! Aujourd'hui, en ce début de XXIe siècle, les scientifiques en sont encore incapables !

Alors ! De quoi s'agissait-il ? Mystère...

Un mois plus tard, en Juin 1880, dans cette même région du Golfe Persique, au large de la côte de Malabar, le même phénomène se reproduisit...

En fin de soirée, par mer calme et ciel dégagé, le commandant Harris, du vapeur Shahjehan, eut tout à coup le souffle coupé... Il donna l'ordre de stopper les machines et d'arrêter le navire. Il venait en effet d'apercevoir sur les eaux une chose absolument fantastique !

Une matière inconnue flottait sur l'eau, paraissant éclairée par de gigantesques rayons lumineux sans projeter de lumière ! 

Comme le commandant Harris le déclara lui-même: « Ondes sur ondes se succédaient en l'un des spectacles les plus grandioses et les plus solennels qui se puisse imaginer...! ».

Des dizaines d'apparitions de ce type purent être observées dans le Golfe Persique au cours du XXe siècle. Rien que durant les années 60, une cinquantaine d'observations de "roues" lumineuses furent enregistrées dans cette région !

Ce phénomène mystérieux n'est cependant pas cantonné à ce lieu; bien d'autres régions du monde sont également touchées par ces apparitions remarquables.

En 1907, dans le détroit de Malacca, à bord du vapeur Delta, M.S.C. Patterson observa sous la surface de l'eau, durant environ trente minutes, "des rayons qui semblaient pivoter sur un centre, comme les rayons d'une roue"! Ces rayons paraissaient mesurer environ 300 m de long...!

La même année (semble-t-il) on aperçut dans le Sud de la Mer de Chine, sur la surface de l'eau, des sortes d'éclairs lumineux en rotation...

Un témoin déclara: «On eût dit une roue horizontale tournant rapidement au-dessus de l'eau et produisant sur l'équipage un profond sentiment de malaise.».

En juin 1909, tandis qu'il se promenait sur le pont du paquebot Bintang de la Compagnie East Danish, le capitaine Gabe aperçut dans le détroit de Malacca une "sphère de lumières mouvantes", selon sa propre expression, située juste sous le niveau de la mer.

Le capitaine déclara par la suite qu'il vit ce qui lui paraissait être de longs bras décrivant des cercles à partir d'un centre commun. Cet "objet" était absolument gigantesque. Selon le capitaine Gabe, «celui-ci était si grand qu'on n'en voyait qu'une partie, l'autre étant dissimulée par l'horizon...!». Cette immense "sphère de lumière" s'approcha lentement du navire en s'atténuant, en diminuant son intensité lumineuse, jusqu'à finalement s'évanouir totalement dans les eaux... comme un sous-marin qui plonge sous un bateau dans les eaux profondes.

En mars 1931, dans la Mer d'Oman, plusieurs marins de la fameuse Canonnière du Yang-Tse Kiang furent également  les témoins d'un étrange phénomène. Tandis que ces marins faisaient route vers Colombo à bord du Doudart de Lagrée et qu'ils se trouvaient alors entre Gardaful et les Maldives, ils virent tout à coup surgir des profondeurs d'étranges lumières qui les fascinèrent... La nuit était tombée et ils purent voir distinctement d'immenses rayons lumineux jaunâtres qui tournaient autour d'un axe invisible situé, semble-t-il, à une très grande distance du bateau. On pourrait allonger ainsi la liste des témoignages. Ces immenses "roues lumineuses" venues des profondeurs ont été vues sur presque toutes les mers et océans par de très nombreux témoins dignes de foi.

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De quoi s'agit-il exactement? L'hypothèse la plus logique d'après toutes les descriptions qui en ont été faites, est celle d'énormes submersibles construits et dirigés par des formes de vie intelligentes...! Des êtres intelligents Humains ou Humanoïdes vivraient-ils sous les eaux, au sein d'immenses citées englouties, dans un Monde sous-marin parallèle au nôtre? Rien ne permet de l'affirmer, mais c'est bien possible... "

Extraits de " Ces Mondes Parallèles que l'on nous cache " de Delsaut Patrick

SFH 03-2013