samedi 6 juillet 2013

Un canadien affirme être le père d'un hybride mi-humain, mi-alien

Un canadien affirme être le père d'un hybride mi-humain, mi-alien

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Simon Parkes est moniteur d’auto-école à Whitby Town, une ville canadienne située sur les rives du lac Ontario, non loin d’Ottawa. Il affirme qu’il entretient une relation extra-conjugale avec une extra-terrestre, ce qui ne plait guère à son humaine et légale épouse.

Père de trois enfants, membre actif du conseil municipal de Whitby Town, Simon Parkes est un homme embarrasé. Son épouse a en effet découvert sa liaison amoureuse avec une alien, et elle ne se montre guère disposée à l’accepter.

Il faut dire que Madame Parks a de quoi être mécontente. Selon The Northern Echo, outre les relations sexuelles qu’il entretient avec la petite femme verte, au rythme de quatre fois par an, le mari volage serait en outre le père d’une petite créature, mi homme – mi extra-terrestre – baptisée Zarka.

Trop c’est trop, estime l’épouse délaissée qui entend forcer son mari à mettre un terme à cet adultère du troisième type. Simon Parkes ne comprend pas la révolte de sa moitié : "Cette histoire ne se place pas à l’échelle humaine, c’est pourquoi je ne vois pas ce que cela a de mal", se justifie t-il.

A ceux qui estiment qu’il serait fou ou mythomane, Simon Parkes répond que de très nombreux humains sont approchés par des aliens avec qui ils entretiennent des relations de natures différentes. Mais très peu nombreux sont ceux qui osent les raconter, de peur de ruiner leurs carrières ou leurs vies de famille.

Vidéo : le témoignage complet de Simon Parkes (en anglais) en 4 parties :


Via Aera51

Yves Herbo-SFH-07-2013

vendredi 5 juillet 2013

Un monde sans humains ?

Un monde sans humains ?

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Réalisateur : Philippe Borrel

Producteur : ARTE France, CinétévéXXIe siècle. Les machines sont devenues omniprésentes. Des applications robotiques aux nanotechnologies, elles envahissent notre espace. Mais ont-elles pour seul but d’améliorer notre existence ?Depuis une quinzaine d’années, l’accélération du progrès technique a permis de réaliser des prouesses impensables. Refaire marcher des personnes amputées grâce à une prothèse bionique ou passer un entretien professionnel face à un robot ne relève plus de la science fiction. La technologie est partout. Elle régit nos rapports sociaux et va s’immiscer jusque dans nos corps. Mais jusqu’où laisserons-nous encore aller nos machines ? C’est cette question récurrente, à l’origine de nombreuses œuvres utopiques, que pose ici Philippe Borrel. 

NOS CONSCIENCES SUR DISQUE DUR

Fondé sur une idée originale de Noël Mamère, ce documentaire met en scène les débats controversés qui opposent des philosophes et certains scientifiques aux partisans du courant "transhumaniste". Les adeptes de ce mouvement de pensée, né aux États-Unis, voient dans les techno-sciences un moyen de créer un homme plus que parfait, bardé d’implants, dont les maladies et autres imperfections physiques seraient gommées grâce aux innovations technologiques. Les plus fervents vont même jusqu’à évoquer la possibilité de se jouer de la mort en sauvegardant nos consciences sur disque dur. Devant l’objectif de Philippe Borrel, des savants et des experts prônent l’avènement d’une société dans laquelle des hommes hybrides seraient connectés en réseau et se verraient remplacés par des cyborgs pour les tâches pénibles. Sortis des universités les plus prestigieuses, les plus exaltés affirment que cette nouvelle ère surviendra dans seulement quelques décennies, tandis qu'une partie de la communauté scientifique tire la sonnette d’alarme et met en lumière les enjeux politiques et économiques que cache ce scientisme acharné. Exosquelettes décuplant la force des soldats ou logiciels capables de déceler nos émotions et nos goûts, sont autant d’inventions contre lesquelles ils nous mettent en garde. Ce documentaire lève le voile sur un univers futuriste, plus réel et imminent qu'il n'y paraît.



Certains croient fermement qu’une civilisation disparue il y a 1000 ans avait déjà prédit la fin des temps alors que la météorologie actuelle ne permet de prédire la pluie que quand elle nous tombe déjà dessus. Mais bon il faut avouer que les Mayas étaient malins donc on sait jamais.

Quoi qu’il en soit, si l’humain venait à disparaitre il pourrait être intéressant de se demander comment la vie continuerait sur Terre sans nous. C’est exactement ce que les gars de la chaine TV Syfy vous proposent de découvrir dans ce documentaire. “Population Zero – Un monde sans homme” vous montre ce qu’il se passerait si l’homme venait à disparaitre. La nature reprend le dessus et efface petit à petit toute trace de notre présence au cours des 30.000 années suivant notre disparition.


 
Population Zero, Un Monde Sans Homme 1/2 by 007ovni
 

Population Zero, Un Monde Sans Homme 2/2 by 007ovni

Après l'humain ? La Revue du Cube #4 18.04.2013 Jeudi 18 avril 2013, le plateau de la Revue du Cube invitait ses contributeurs à débattre de la question du post-humain.

Laurent Alexandre, chirurgien-urologue et neurobiologiste, co-fondateur de Doctissimo. Jean-Michel Besnier, docteur en sciences politiques, professeur de philosophie à l’université Paris-Sorbonne. Éric Sadin alterne ouvrages littéraires et théoriques, ainsi que la conception de dispositifs multimédias.

La Revue du Cube, création et société numérique www.cuberevue.com

Une émission préparée et présentée par Nils Aziosmanoff, président du Cube, Pierre de la Coste, écrivain spécialiste des TIC et Eloi Choplin, directeur de l’agence de communication innovante Triple-C.
Émission réalisée par JD2 - http://www.jdcarre.fr


Après l'humain ? La Revue du Cube #4 18.04.2013 by le cube

Yves Herbo SFH-07-2013

mercredi 3 juillet 2013

Des artéfacts étranges dans des musées britanniques

Des artéfacts étranges dans des musées britanniques

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This carved stone ball is one of several fancy carved stone objects found at Skara Brae on Orkney. It was a prestige object, and dates from between 3400 and 2000 BC. The stone ball is covered with 50 pyramid-shaped knobs. 000-100-040-497-C. Credits: National Museums Scotland

Des artéfacts préhistoriques ou antiques d'origine inconnue ont été trouvés depuis plusieurs années, principalement en Ecosse et quelques autres en Angleterre et en Irlande. Ils sont tous très symétriques dans leur conception et composés de formes ou dessins différents.

Ils présentent une apparence assez moderne mais ne le sont pas : les archéologues pensent que ces boules de pierre ont été sculptés il y a environ 6.000 ans, et les analyses ont établi qu'ils étaient composés de pierres différentes, allant du grès au granit.

Certains disent aussi qu'il s'agit de canulars (sans trace d'intérêts financiers ou autre établi) mais on en trouve aussi dans des musées, conservés comme étant des objets de valeur et antiques.

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Credits: Ashmolean Museum

Tous ces sphères ont une taille assez similaire et sont décorés de motifs régulièrement espacés et sculptés autour des objets, ou comme des boutons autour de la surface de la sphère. Les dessins varient mais la majorité sont basés sur une série de six bosses, mais le nombre de bosses varie de 3 à 160.

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Five carved stone balls from Scotland (AN1927.2727-2731). Credits: Ashmolean Museum

Sur l'un des plus célèbres sites antiques de l'Orkney, Skara Brae, daté de la fin du Néolithique, et habité pendant au moins 600 ans entre 3.200 et 2.200 Avant JC, plusieurs de ces sphères ont été trouvées, notamment une couverte de petites pyramides !

De nos jours, plus de 425 de ces sphères sont maintenant répertoriées et cinq d'entre elles sont stockées au Ashmolean Museum.

Trois cent soixante-quinze de ces boules sont de la même taille, avec un diamètre autour de 70mm, mais il y a aussi 12 grandes billes d'un diamètre de 90-114mm.

Elles sont différentes l'une de l'autre. Certaines sont sculptées avec quatre ou six boutons pleins et décorés, sept boutons, huit ou même 33 boutons, leurs décorations sont également variées. Mais malgré leur nombre, elles sont très peu connues et personne n'a pu découvrir leur but, leur signification. La plupart ne sont pas endommagées et intactes, ne semblent pas avoir été usés ou utilisés après sculptures, n'ont pas été trouvés dans des contextes ou environnements qui auraient suggéré une fonction spécifique pour nous.

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Beaucoup sont sculptés avec des motifs en spirale complexes ou des hachures sur les faces. Cela pourrait-il être des symboles religieux ou expliquant une science disparue d'un peuple disparu et inconnu ? Ces objets seraient-ils mal datés et seraient-ils bien plus anciens que supposés ?

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Credits: Aberdeen University Museum

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Credits: Aberdeen University Museum

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Credits: Aberdeen University Museum

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Credits: Aberdeen University Museum

Sources : Ashmolean Museum, Aberdeen University Museum.

Yves Herbo-SFH-06-2013