samedi 26 octobre 2013

Japon : séisme, tsunami, typhon, la série continue - Alerte Tempête en France

Japon : séisme, tsunami, typhon, la série continue - Alerte Tempête en France

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La Centrale nucléaire de Fukushima en panique avec une évacuation totale suite à l'alerte au tsunami provoquée par un puissant séisme de 7,3 de magnitude qui s'est produit au large des côtes japonaises, juste en face de la Centrale mais à environ 300 kilomètres en soirée. L'alerte a ensuite été confirmée et a concerné la préfecture de Fukushima et la préfecture de Miyagi, une ville détruite par le grand tsunami du 11 mars 2011.

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Un mini-tsunami a en effet été enregistré avec une grosse vague plus haute de 55 cm qui a atteint le port d'Onagawa où se trouve la centrale nucléaire. L'Agence de météorologie Japonaise a levé l'alerte mais a appelé les habitants des côtes concernées à être très prudents car le niveau de la mer serait encore instable au moins une demi-journée (YH : et les glissements de terrains sous-marins ne sont pas rares avec de puissants séismes et ses répétitions probables).

Selon la télévision NHK, la compagnie TEPCO qui gère la centrale, aurait déclaré qu'aucune nouvelle anomalie n'a été constatée et qu'aucune hausse de la radioactivité n'a été constatée dans la zone suite à ces incidents. Sinon que cela a considérablement retardé les préparatifs pour l'arrivé du typhon Francisco qui devrait passer samedi 26-10-2013 au sud puis à l'est de Tokyo et au nord-est de la grande île Honshu...

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En effet, le ballet des typhons assez exceptionnel cette année ne s'arrête pas et un nouveau cyclone assez puissant est attendu dans les heures qui viennent, accompagné surtout de pluies diluviennes qui risquent d'endommager les grands réservoirs saturés d'eaux radioactives qui entourent une partie de la centrale toujours en fort difficulté, quoiqu'en dise son gestionnaire... assez rare, le typhon Francisco, redevenu une tempête tropicale, devrait rejoindre et renforcer (?) le typhon encore très puissant Lekima sur la même trajectoire vers le Nord.

Et question tempête, c'est à priori à la France et à la Grande-Bretagne que la première alerte de l'automne 2013 est donnée : il y a en effet un fort risque de tempête sur tout le nord de la France (inclus Paris) provoquée dimanche par l'arrivée rapide d'un front chaud très actif accompagné de vents violents et de pluies diluviennes, surtout le matin. Ce front chaud, suivi d'une masse d'air beaucoup plus froide risque de provoquer une tempête ou un fort coup de vent sur le Nord-Ouest de la France entre dimanche 27-10-2013 fin de soirée et lundi 28-10-2013 matin. Attention, les vents pourraient dépasser les 120 km/h près de la Manche et atteindre 80 à 100 km/ dans les terres, jusqu‘à Paris.

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Prévisions 28-10-2013

Cette exceptionnelle longue période de temps chaud pour la saison (+ 8° en moyenne par rapport aux normes !) sera terminée avec l'arrivée de l'air provenant de l'Islande derrière la tempête... le temps sera très agité jusqu'au milieu de la semaine prochaine minimum... l'automne va arriver seulement en Europe...

Yves Herbo-SFH-10-2013

Un crane de 1,8 millions d'années en Géorgie modifie les théories classiques

Un crane de 1,8 millions d'années en Géorgie modifie les théories classiques - MAJ

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"Skull 5" / CBS News

L'arbre généalogique de l'humanité pourrait avoir besoin d'élagage. La découverte d'un ancien crâne a révélé des indices qui pourraient secouer les théories acceptées de l'évolution humaine.

Dès l'instant où ils ont découvert le crâne enterré sous un village dans l'ancienne république soviétique de Géorgie, les scientifiques savaient qu'ils avaient quelque chose qui amenèrent quelques dignes applaudissements.

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This 1.8-million-year-old skull was discovered in the former Soviet republic of Georgia. CBS News

Avec 1,8 millions d'années, le crâne ne peut rien faire de moins que réécrire l'histoire de l'humanité.

Le " Crâne 5 ", comme on l'appelle, a appartenu à un homme adulte avec une grande mâchoire saillante et une boîte crânienne de moins de la moitié de celle de la taille d'un homme d'aujourd'hui.

" C'est un crâne presque parfaitement complet ", a déclaré Jamie Shreeve, rédacteur scientifique exécutif de National Geographic ", et à cause de cela , il a beaucoup d'informations . "

Quatre autres crânes partiels ont été trouvés avec lui, datant de la même époque, mais avec de grandes variations de l'un à l'autre - le même genre de variations observées chez les humains modernes.

" Nous n'appelons pas les pygmées humains modernes et les Eskimos des espèces différentes de toute évidence », a déclaré Shreeve », et ainsi, nous pensons que nous ne devrions pas appeler cela une espèce différente, également. "

Ce qui signifie que la place de nombreuses branches de notre arbre généalogique évolutionniste que nous pensons conduire à nous, comme Homo Habilis et Homo Ergaster, ne pourraient en fait juste n'être qu'un : l'Homo Erectus, (avec ses différences morphologiques, comme les hommes modernes peuvent être très différents suivant les endroits).

" Nous devons être très prudent avec cela ", dit Shreeve, " parce que dans la paléoanthropologie vous mesurez (analysez) les individus afin de tirer des conclusions sur des populations entières ou des espèces entières. Comme l'évolution elle-même, la compréhension de ceci est un travail en cours ".

Source : http://www.cbsnews.com/8301-18563_162-57608080/newly-found-ancient-skull-could-rewrite-human-history/

Shreeve penserait donc que les hominidés intermédiaires n'existeraient pas vraiment et que, à part Homo Sapiens et Néandertal, il n'y a eu que des Homo Erectus différenciés, comme il y a aujourd'hui des Sapiens sapiens différenciés...

Yves Herbo Traductions-SFH-18-10-2013

MAJ 24-10-2013 : " Le crâne d'un lointain ancêtre de l'Homme laisse penser que toutes les espèces d'Homo n'en formaient qu'une seule. "

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Et si les membres les plus anciens du genre Homo, ceux classés comme étant l'Homo habilis, l'Homo rudolfensis, l'Homo erectus, et ainsi de suite, appartenaient en fait à une seule espèce et ne différaient que par leur apparence ? C'est précisément ce que déduit une nouvelle étude après analyse d'un crâne complet vieux d'environ 1,8 million d'années mis au jour à Dmanisi en Géorgie.

Contrairement aux autres fossiles connus d'Homo, ce crâne connu sous le nom de Skull 5 combine une petite boîte crânienne avec une longue face et de grandes dents. Il a été découvert avec les vestiges de quatre autres premiers ancêtres humains, les fossiles de divers animaux et quelques outils de pierre, tous situés au même endroit et de la même période, ce qui rend cette trouvaille vraiment unique. Le site n'a été que partiellement dégagé jusqu'à présent, mais il donne déjà une première opportunité aux chercheurs de comparer les traits physiques de multiples ancêtres humains qui ont apparemment coexisté au même moment et au même endroit géologique.

(YH : on note déjà la présence d'outils de pierre dès les "premiers ancêtres humains"... )

David Lordkipanidze du Musée national géorgien à Tbilissi, en Géorgie, ainsi que des collègues de Suisse, d'Israël et des États-Unis annoncent que les différences entre les fossiles de Dmanisi ne sont pas plus prononcées que celles entre cinq être humains modernes ou cinq chimpanzés.

D'habitude, les chercheurs se servaient des différences observées entre les fossiles d'Homo pour définir des espèces distinctes. Avec ces nouveaux résultats, Lordkipanidze et ses collègues avancent que des fossiles variés d'Homo pouvant aussi provenir d'Afrique représentent en fait des variations existant parmi une seule lignée évolutive que l'on peut nommer Homo erectus.

(YH : notez bien les données contradictoires officielles que vous apprenez : " Les recherches en paléoanthropologie, ainsi que des études en génétique consistant en des comparaisons de l'ADN mitochondrial et du chromosome Y entre différentes populations humaines actuelles aboutissent à l'idée que la population humaine originelle se situait en Afrique, il y a approximativement 200 000 ans. Les premiers représentants du genre Homo seraient apparus il y a environ 2,4 Ma. L'un des éléments caractérisant le processus évolutif ayant accompagné l'émergence d’Homo sapiens serait la néoténie, c'est-à-dire une modification héréditaire du phénotype consistant en une persistance de caractères juvéniles à l'âge adulte. Certaines caractéristiques de la physiologie et de l'éthologie humaine actuelles seraient directement liées à la néoténie. " Bon, si on suit la logique invoquée ci-dessus précédemment, les premiers "Homo" (notre ligné donc) serait apparue il y a environ 2.4 millions d'années en Afrique... on en a retrouvé donc des exemplaires en Georgie datés de 1.8 millions d'années (toujours de notre lignée donc)... et on nous dit aussi que le "moderne" n'est apparu qu'il y a 200.000 ans... mais c'est quoi, "moderne" au juste ? Si il n'y a qu'une lignée, la "modernité" n'est qu'une apparence physique (comme celle entre un pygmée actuel et un Norvégien actuel par exemple) et l'Homme existe donc directement depuis au moins 2.4 millions d'années... même s'il y a une différence cervicale ou mutagène (la néoténie introduite il y a 200.000 ans ?), cela prouve-t-il un genre différent, l'existence réelle d'un "Homo Sapiens Sapiens" ?

D'autant plus qu'on ne peut absolument pas parler d'intelligence supplémentaire ou plus élevée avec un cerveau plus gros : on sait que la taille du cerveau humain s'est réduite par rapport aux "Sapiens" de 200.000 ans ! Autre question : pourquoi et comment l'homme "moderne" serait à nouveau issu de l'Afrique, alors que sa lignée s'était déjà répandue dans une énorme partie du monde, jusqu'en Asie très vite (et en Georgie on le voit) ? Une explication comme une autre est bien une manipulation génétique de Homo Erectus en Afrique il y a 200.000 ans environ...car il n'y a aucune raison valable pour que cette mutation subite intervienne subitement, alors que l'on sait que c'est un caractère de certains végétaux (!) et surtout, que ce phénomène à l'air de se produire sur les animaux domestiqués uniquement ! L'homme aurait donc été domestiqué lui-même il y a 200.000 ans (par qui ?), avant de pouvoir domestiquer à son tour certains animaux...

"Par ailleurs, on distingue chez les animaux une tendance à la conservation de caractères juvéniles lors de la domestication. Par exemple, les chiens remuent la queue et aboient comme le font les louveteaux, mais conservent ce comportement toute leur vie alors que les loups l'abandonnent à l'âge adulte. De même, les chats sauvages adultes ne ronronnent plus et ne jouent plus, alors que les chats domestiques le font souvent jusqu'à la vieillesse. Le même phénomène a été observé pour les renards domestiqués lors de l’expérience de Dmitri Beliaïev. La néoténie existe également dans la lignée Verte, et particulièrement chez les plantes présentes en milieu très sec. Ainsi, à la moindre averse, les graines germent et fleurissent très rapidement, devenant susceptibles de reproduction sexuée avant même que l'appareil végétatif soit pleinement développé. Cette stratégie a été sélectionnée car elle garantit une reproduction même dans le cas où les plantes meurent avant la fin de leur développement. On retrouve également la néoténie chez Welwitschia mirabilis, une Gnétale du désert de Namib. Enfin, sur un plan plus général, le terme néoténie peut signifier « une transformation, un remaniement d'un patrimoine structural existant en opposition à la création d'une structure en tous points nouvelle"). (Ref. Wikipedia-Néoténie).

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Cet article est publié dans le numéro du 18 octobre 2013 de la revue Science.

" Si la boîte crânienne et la face de Skull 5 avaient été trouvées séparément sous forme de fossile à différents endroits en Afrique, elles auraient pu être attribuées à des espèces différentes" précise Christoph Zollikofer du Musée et Institut d'Anthropologie de Zürich en Suisse, et co-auteur de l'article dans Science. Et ceci parce que Skull 5 est le seul à ce jour parmi les fossiles d'Homo connus à réunir des caractéristiques clés comme une minuscule boîte crânienne et une grande face.

Avec leurs traits physiques variés, les fossiles associés à Skull 5 à Dmanisi peuvent être comparés à divers fossiles d'Homo, dont certains trouvés en Afrique qui remontent à environ 2,4 millions d'années et d'autres mis au jour en Asie ou en Europe vieux de 1,8 à 1,2 million d'années.

" Les fossiles trouvés à Dmanisi semblent très différents les uns des autres, et il serait tentant de publier leur découverte sous la forme d'espèces distinctes " explique Zollikofer. " Nous savons cependant que ces individus venaient du même endroit et de la même période géologique, aussi ils pourraient en principe représenter une seule population d'une seule espèce."

Les fossiles d'hominidés de Dmanisi correspondent aux lointains ancêtres de l'être humain du début du Pléistocène, peu après que les premiers Homo ont divergé de l'Australopithecus et ont pu partir d'Afrique (YH : pourquoi on reparle de divergence ? Homo a obligatoirement divergé ? Une ligne directe n'est pas acceptable ? Pourquoi attendre cette "divergence" pour quitter l'Afrique ?...). La mâchoire associée au Skull 5 a été trouvée cinq ans avant son crâne mais lorsque les deux pièces ont été réunies elles ont formé le crâne le plus massif jamais trouvé sur le site de Dmanisi. C'est pour cette raison que les chercheurs suggèrent que l'individu auquel a appartenu ce crâne était un mâle.

La boîte crânienne de Skull 5 n'a un volume que de 546 centimètres cubes, ce qui laisse penser que ce premier type d'Homo avait un petit cerveau en dépit de la modernité des proportions de ses membres et de sa taille. (oui, une taille et grandeur "moderne"...).

"Grâce à l'ensemble relativement fourni de fossiles de Dmanisi, nous voyons une grande variation" poursuit Zollikofer. "Mais ce degré de variation n'excède pas celui retrouvé dans les populations modernes de notre propre espèce ou parmi les chimpanzés et les bonobos."

"De plus, comme nous voyons un type et une gamme de variation semblables dans le registre fossile africain... il est raisonnable de penser qu'il n'y avait qu'une seule espèce d'Homo à l'époque en Afrique" conclut-il. "Et comme les hominidés de Dmanisi ressemblent tellement à ceux d'Afrique, nous pouvons en outre supposer qu'ils représentent bien la même espèce."

Le Skull 5 semble donc indiquer que plutôt que d'avoir plusieurs espèces d'Homo spécialisées du point de vue écologique, aptes à s'adapter à des écosystèmes variés, une seule espèce d'Homo a émergé du continent africain. Et notre classification des premiers ancêtres humains pourrait par conséquent s'en trouver définitivement changée.

(YH : oui mais Neandertal alors ? Des erectus comme nous finalement aussi mais qui n'auraient pas bénéficié de cette mutation liée à la néoténie, demeurant "en arrière" par rapport à tous les autres ? Cette possibilité ouvre finalement peut-être encore plus de questions sur l'origine de l'Homme qu'auparavant...)

Sources : Science, AAAS & EurekAlert + http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=12145

Yves Herbo-SFH-24-10-2013

Des mystères toujours non résolus

Des mystères toujours non résolus

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L'une des sphères étranges trouvées en Afrique du Sud

Les Lignes de mosaïque chinoises

Ces lignes étranges se trouvent aux coordonnées 40 ° 27'28 .56 "N, 93 ° 23'34 .42" E. Il n'y a pas beaucoup d'informations disponibles sur ces lignes de mosaïque étranges, encore belles et sculptées dans le désert de la province du Gansu Sheng en Chine.

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Certains documents indiquent qu'elles auraient été créées en 2004, mais rien ne semble officiel. Fait à noter, ces lignes sont à proximité des grottes de Mogao, qui est un site du patrimoine mondial. Les lignes s'étendent sur une distance énorme et pourtant conservent leurs proportions linéaires malgré la courbure du terrain accidenté.

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Reste d'occupation troglodytique en Chine à Guyaju, district de Yanqing, Pékin. Les structures de bois adossées à la falaise ont disparu, subsistent les parties excavées.

On peut noter aussi la situation géographique, sur le 40° parallèle Nord cité par certains chercheurs comme faisant partie d'une bande de terre faisant le tour de la planète et ayant des propriétés (magnétiques ?) particulière. Si vous allez voir ce site sur Google Earth par exemple, vous verrez qu'il y a une autre vieille structure un peu plus loin sur sa droite (à moitié recouverte par des coulées de boues assez visibles, ainsi que quelques structures modernes reliées assez désertiques et isolées... ancienne base ou exploitation ?

La Poupée de pierre inexpliquée

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En Juillet 1889 a été découvert à Nampa, Idaho, USA, une petite figurine humaine lors d'une opération de forage d'un puits. Cela a causé un intense intérêt scientifique à l'époque. Incontestablement faite par des mains humaines, elle a été trouvée à une profondeur de 320 pieds (97,5 mètres), ce qui placerait son âge bien avant l'arrivée de l'homme dans cette partie du monde... La découverte n'a jamais été contestée, sauf pour dire que c'était impossible...

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" Une petite figurine d'argile humaine recouvert d'oxyde de fer a été trouvée dans un puits de forage en 1889. Les enregistrements du forage montrent ainsi que pour atteindre la couche à partir de laquelle la figurine a été découverte, ils avaient pénétré la première cinquantaine de pieds (15 m) du sol, puis 15 pieds de basalte (4.6 m), puis des lits alternés d'argile et de sables mouvants jusqu'à une profondeur de 300 pieds (91,4 m), lorsque la pompe à sable a commencé à ramener des boules d'argile densément recouvertes d'oxyde de fer (certaines avaient plus de 2 pouces de diamètre - 5 cm). Dans la partie inférieure encore à cette couche, il y avait des preuves d'une surface de terrain enterrée là où de la terre végétale a été trouvée. A ce point, la figurine a été trouvée. A quelques pieds plus loin le lit de roches a été atteint. " -  Son âge a été estimé (à l'époque) à 2 millions d'années - impossible.

Ref. : Origine et antiquité de l'homme - GF Wright (1912, pp 266-267)

Le plus ancien calendrier de pierre

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Dans le désert du Sahara en Égypte se trouvent les plus anciennes pierres astronomiquement alignées connues dans le monde : Nabta. Plus de mille ans avant la création de Stonehenge, des gens ont construit un cercle de pierres et d'autres structures sur la rive d'un lac qui s'est depuis longtemps tari. Il y a plus de 6000 ans, des dalles de pierre de trois mètres de haut ont été traînézs plus d'un kilomètre pour créer ce site. Ci-dessus ce trouvent quelques pierres qui restent. Même si à l'heure actuelle le désert égyptien occidental est totalement sec, ce n'était pas le cas dans le passé. Il y a des preuves qu'il y a eu plusieurs périodes humides dans le passé (quand jusqu'à 500 mm de pluie tombait par an), l'une des plus récentes au cours de la dernière période interglaciaire et au début de la dernière période glaciaire qui s'étendaient il y a entre 130.000 et 70000 ans.

A cette époque, la région était une savane et soutenait de nombreux animaux tels que des buffles éteints et de grandes girafes, des variétés d'antilopes et de gazelles. Autour du 10ème millénaire avant JC, cette région du désert de Nubie a commencé à recevoir plus de pluie, qui a permi le remplissage d'un lac. Les premières personnes pourraient avoir été attirées par la région en raison de cette source d'eau. Les découvertes archéologiques peuvent indiquer qu'une occupation humaine dans la région remonte à au moins quelque part autour du 10e et 8e millénaire av. JC.

Une vis en fer vieille de 300 millions d'année

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À l'été de 1998, les scientifiques russes qui enquêtaient sur une superficie 300 km au sud de Moscou, pour chercher des restes d'une météorite, ont découvert un morceau de roche qui renfermait une vis de fer. Les géologues estiment que l'âge de la roche est de 300 à 320 millions années.

La datation aurait été validée par la présence de silicium en grande quantité dans le bloc de roche dans laquelle la vis a été retrouvée, ce qui prouverait sa grande ancienneté.

Plusieurs scientifiques auraient étudié cette vis et auraient démontré que la vis avait été contenue dans des sédiments qui se seraient transformés en roche au cours des millions d’années qui se seraient écoulées. De plus, les analyses auraient montré que la vis a bien été fabriquée et n’est pas une formation naturelle...

Il semble à cette date que tous les scientifiques en question ont renoncé à aller plus loin dans leur découverte, très rapidement...

A suivre

Yves Herbo-SFH-10-2013

vendredi 25 octobre 2013

Le Satellite GOCE de l'ESA devrait s'écraser sur Terre début novembre 2013

Le Satellite GOCE de l'ESA devrait s'écraser sur Terre début novembre 2013

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Le satellite lancé en 2009 est au bord de la panne sèche, mais le risque pour les Terriens est très faible.

Lancé en 2009 pour mesurer la gravité de notre planète, le satellite GOCE, au bord de la panne sèche, va achever son périple en s'y écrasant, un retour fracassant dont on ignore encore le jour et le lieu, mais que les experts jugent très peu risqué pour les Terriens.

Selon les dernières estimations de l'Agence spatiale européenne (ESA), vendredi, son réservoir de 41 kg ne contenait plus que 350 g de xénon, un gaz rare.

Une pression minimum de 2,5 bars dans le réservoir est normalement nécessaire au système de propulsion, et elle est descendue juste en dessous, a précisé à l'AFP Christoph Steiger, chef des opérations de GOCE. «Le moteur fonctionne toujours, mais cela signifie que nous sommes très près de la fin», a-t-il ajouté.

260 km d'altitude

En théorie, la pression dans le réservoir devrait tomber à 0 au plus tard le 26 octobre 2013, mais le moteur peut désormais s'arrêter à tout moment d'ici là.

Long de 5,3 m et pesant plus d'une tonne, GOCE tournait à l'origine sur une orbite extrêmement basse, seulement 260 km d'altitude, pour cartographier le champ de gravité terrestre et fournir aux scientifiques des données cruciales afin d'étudier l'évolution du climat ou les séismes.

Ces données ont notamment été exploitées pour créer la première carte mondiale à haute résolution de la frontière entre la croûte et le manteau de la Terre, le Moho. GOCE a aussi pu détecter des ondes du violent séisme qui a frappé le Japon le 11 mars 2011.

La mission était initialement prévue pour durer 20 mois, mais l'ESA avait décidé de la prolonger jusqu'à fin 2012.

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Impossible de localiser

Équipé d'un moteur ionique «qui pousse en permanence», GOCE «est sur une orbite stable tant qu'il a du carburant», a expliqué Fernand Alby, responsable des activités débris spatiaux et surveillance de l'espace de l'agence spatiale française (Cnes).

Dès lors que le moteur aura cesser de pousser, le satellite va commencer à perdre de l'altitude et amorcer son retour sur Terre. «A partir du moment où le réservoir sera vide, cela peut prendre en gros 2 ou 3 semaines», a dit Christoph Steiger. Impossible aujourd'hui de prévoir sur quel point de la Terre GOCE, ou plutôt ce qu'il en restera, va atterrir.

Quelques heures avant la chute, on pourra déterminer la «trace au sol» de l'objet, c'est à dire une ligne sur laquelle il va forcément retomber... mais qui fait rien moins que le tour de la Terre, a raconté Fernand Alby.

Un risque pas tout à fait nul

Les experts jugent cependant le risque pour les Terriens «très faible», sans être tout à fait nul. «Le risque d'être touché par un débri d'engin spatial est 65 000 fois plus faible que celui d'être touché par la foudre», affirme Christoph Steiger.

Le satellite doit se disloquer autour de 80 km d'altitude. Selon Christoph Steiger, un quart de sa masse, soit 250 kg devrait survivre à la rentrée dans l'atmosphère, se désintégrant en une cinquantaine de fragments.

Pour autant l'événement n'aura rien d'exceptionnel. «Des objets de la masse de GOCE, il en retombe un par semaine en moyenne», précise Fernand Alby, vieux satellites ou étages de lanceurs.

Phénomène lumineux

Le spécialiste souligne que, depuis les débuts de l'ère spatiale, «il n'y a jamais eu ni dégâts ni victimes».

Les chanceux -ou pas- qui pourraient se trouver à proximité pourront peut-être observer «un phénomène lumineux assez important» dans le ciel, un peu comme pour une météorite.

Les principales agences spatiales (ESA, Cnes, Nasa, les agences russe et chinoise) suivront de près la rentrée de GOCE, un exercice qui leur permettra de comparer leurs mesures.

Avec AFP - Sources : 20 minutes, TF1...

Thales Alenia Space salue la fin de mission du satellite GOCE

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" GOCE termine sa mission en beauté ! souligne le constructeur cannois. Lancé en 2009, "Gravity Field and Steady State Ocean Circulation Explorer" est parvenu à collecter des données du champ gravitationnel terrestre avec une précision sans équivalent. Construit par Thales Alenia Space pour le compte de l’Agence Spatiale Européenne (ESA), le satellite s’autodétruira en rentrant dans l'atmosphère. "

" Le satellite scientifique GOCE (Gravity Field and Steady State Ocean Circulation Explorer) vient d’achever sa mission après plus de 4 ans et demi de vie en orbite. Il s’agit du satellite le plus sophistiqué qui soit parvenu à collecter des données du champ gravitationnel terrestre avec une précision sans équivalent souligne Thales Alenia Space qui l'a construit pour le compte de l’Agence Spatiale Européenne (ESA). GOCE a également dressé une carte de la surface de référence de notre planète (le géoide), permettant aux scientifiques de mieux comprendre les océans et le climat. Un satellite qui s’autodétruira au cours de sa phase de rentrée atmosphérique, depuis sa dernière position orbitale opérationnelle située à 229 kilomètres d’altitude après avoir dépassé son espérance de de vie initiale de 35 mois.

Lancé le 17 mars 2009, depuis le Cosmodrome de Plesetsk en Russie du Nord, GOCE a fourni la toute première cartographie mondiale haute résolution du champ gravitationnel terrestre, qui a été fortement utilisée pour des applications en océanographie, géophysique, géodésie, glaciologie et climatologie. "

http://www.webtimemedias.com/article/thales-alenia-space-salue-la-fin-de-mission-du-satellite-goce-20131022-53355

Yves Herbo-SFH-10-2013

Série inédite The Booth at the End Saison 2 -

Série inédite The Booth at the End Saison 2 - MAJ Ep. 9 - 10 Fin


Dailymotion a accepté ce site comme partenaire pour diffusion de certaines vidéos protégées par droits d'auteurs ou distributeurs qui eux-mêmes sont partenaires et donc en toute légalité. Il n'y a aucune rémunération pour le site en dehors du choix des visiteurs de cliquer ou non sur d'éventuelles publicités selon leur libre arbitre, leur simple affichage ne rapportant évidemment rien (comme tout ce qui se trouve sur mes blogs).

J'ai donc accès à toute une bibliothèque de divers documentaires, films, musiques et news en tout genre, mise à jour tous les jours avec de nouvelles vidéos sur tous les sujets... l'immense majorité est évidemment en VO mais il y a une bonne production française et cette catégorie Séries Télévisées va pouvoir s'étoffer de programmes pour tous (et élargir j'espère le public de ce site). Beaucoup de programmes éducatifs et pour jeunes aussi, et comme je sais pertinemment qu'il reste une part d'enfant au fond de tout le monde jusqu'à la fin de sa vie, voici :

The Booth at the End Saison 2 (10 épisodes VO sous-titrés FR)

Dans ce drame psychologique, un homme mystérieux est assis sur la banquette du fond dans un café restaurant. Les gens qui viennent le voir ont tous des souhaits : un père dont le fils est malade, une femme qui désire être plus jolie, une nonne qui veut à nouveau entendre Dieu. 

L’homme peut faire en sorte que ces choses se produisent. A un certain prix. En échange de ce qu’ils veulent, ces individus doivent sacrifier leur moralité et faire des choses qui leur sont inconcevables en temps normal : faire exploser une bombe, cambrioler une banque, tuer un enfant. Ils doivent revenir voir l’homme et tout lui raconter en détails. Quand les missions des personnages s’imbriquent, les problèmes commencent. Mais l’homme ne force jamais personne à agir. C’est toujours à eux de décider s’ils persistent ou non dans leur mission, avec en tête cette seule question : jusqu’où irez-vous pour obtenir ce que vous voulez ? Le titre de la série, littéralement le box au fond en anglais, décrit l'endroit où le héros est toujours assis : sur la banquette du box du fond.

Créée par Christopher Kubasik, réalisée par Jessica Landaw et diffusée depuis le 27 août 2010 sur Citytv au Canada et sur le service Hulu aux États-Unis.  « The Booth At The End, série produite par des noms ayant travaillés sur des séries telles que Friends ou Joey, ne fait pas dans le commercial, c'est une série qui détonne dans le paysage audiovisuel. Avec son format court et ses discussions apathiques ancrées dans un unique décor, on se retrouve face à un exercice de style aussi étonnant que remarquable ».

Acteurs principaux : Xander Berkeley, Matt Nolan, Matt Boren, Sarah Clarke. 2 saisons de 10 épisodes chacune.


Sciences, Fictions, Histoires diffusera 2 épisodes tous les 2-3 jours

Saison 2 Episode 1 :

 
Saison 2 Episode 2 :

 
Saison 2 Episode 3 :
 
 
Saison 2 Episode 4 :
 

Saison 2 Episode 5 :



Saison 2 Episode 6 :


Saison 2 Episode 7 :


Saison 2 Episode 8 :


Saison 2 Episode 9 :


Saison 2 Episode 10 :


Yves Herbo-SFH-octobre 2013

jeudi 24 octobre 2013

Un conspirationniste célèbre s'attaque au nouveau billet de 100 $ US

Un conspirationniste célèbre s'attaque au nouveau billet de 100 $ US

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Vous ne le savez peut-être pas, mais l'un des systèmes de vérification de l’authenticité d'un billet de banque américain est un (ou plusieurs) systèmes de pliages du billet en question. C'est donc en toute connaissance de cause que les nouveaux billets de banque sont systématiquement analysés et que des tentatives de décryptages des différentes données et systèmes de protection et de contrôle sont faites. Les derniers billets de 5, 10 et 20 dollars américains avaient donc, pour plusieurs spécialistes, révélé des "choses étranges" ou des messages cachés, voir des "prémonitions" ou plutôt l'annonce d'évènements organisés volontairement pour certains.

bon, déjà, le billet de 1 $ est le plus connu à cause de ses multiples références occultes (la pyramide avec l’œil qui voit tout (les Illuminatis) la chouette cachée (Skulls And Bones la fraternité auquel appartient la dynastie Bush), le chiffre 666 etc..).

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Que se passe-t-il avec le billet de 20 $ ?

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Voilà la visualisation du pliage d'un billet de 20 dollars, notez bien que la série de ce billet a commencé en 1996, soit 5 ans avant ce qui y apparaît (pour certains, bien sûr, les autres préférant pour la plupart espérer que cela soit faux, et continuer leurs petites vies...)

LE PLIAGE

1 : pliage20-1.jpg
2 : pliage20-2.jpg 
3 : pliage20-3.jpg

Si on compare avec les images réelles :

20dollars-wtc.jpg

Une fois le billet retourné on peut voir un bâtiment qui se rapproche du design du Pentagone, mais en feu lui  aussi ! :

20dollars-pentagone.jpg 

Mais il y a encore plus étonnant avec cette accumulation de coïncidences (difficiles à expliquer mathématiquement) : il y a même un ordre chronologique du même événement selon les billets ! :

Phase 1 avec le billet de 5 dollars, tours intactes avec antennes :   5dollar.jpg 

Phase 2 avec le billet de 10 dollars avec 1 seule tour en feu : 10dollar.gif 
Phase 3 avec le billet de 50 dollars et début d'effondrement des tours : 50dollar.gif 
Phase 4 avec l'ancien billet de 100 dollars où les tours ont disparu et il n'y a plus que de la fumée qui s'élève :

100dollar.jpg

Très étonnant selon le spécialiste Jonathan Kleck, mais certains argumentent qu'on peut arriver à tout et n'importe quoi en pliant les choses... sans réellement le prouver eux-mêmes d'ailleurs, certainement à cause finalement de leur manque d'imagination, ceci entraînant cela... on peut effectivement aussi arriver à ça avec le billet de 20 dollars, mais ça n'arrange pas obligatoirement les choses :
osama.jpg

Bon, mais alors, quoi de neuf sur ce nouveau billet de 100 dollars américains ? suivons donc le même Jonathan Kleck, fan d'origamis et considéré (mais plus que la NSA ??, étonnant !) comme un conspirationniste évidemment. D'abord, il ressemble à quoi, et par rapport à l'ancien :

100usnew.jpg

" Aux Etats-Unis, le billet de 100 $ est le plus contrefait. Pour tenter de résoudre le problème, les autorités ont mis sur le marché le 8 octobre dernier une nouvelle coupure, truffée de technologie. Le lifting du père fondateur Benjamin Franklin, dont le portrait orne le billet, est visible au premier coup d’œil. L'ovale qui entourait son visage a disparu, laissant place, sur la droite, à un encrier serti de la cloche de la liberté qui passe du cuivré au vert selon la façon dont on incline le billet. Autre mesure de sécurité : la coupure est désormais sertie d'un ruban bleu 3D tissé, qui présente un logo se transformant en cloche lorsque la coupure est pliée. 

Ces mesures s'ajoutent aux protections déjà existantes, tel que le filet de sécurité incrusté qui devient rose grâce à une lumière ultra-violette.

Le revers du billet n'a pas été oublié par cette remise en beauté. S'il présentait jusqu'ici le fronton de l'Independence Hall, où furent signées la déclaration d'indépendance et la Constitution, c'est désormais sa façade arrière qui est représentée.

Le billet vert est la coupure la plus populaire sur le continent américain. Selon la Fed, entre la moitié et les deux tiers des billets de 100 $ seraient détenus hors des Etats-Unis. Un succès mondial, qui lui vaut aussi d'avoir la cote du côté des faussaires. Si le nombre exacte de faux billets en circulation est difficile à évaluer, les services secrets américains estiment que 0,01 % des dollars en circulation sont contrefaits. Tout le monde comprend donc la manœuvre avec ce nouveau billet de 100 très difficilement imitable et le retrait des anciens au fur et à mesure : les gens vont devoir échanger tôt ou tard leurs billets... y compris les nombreux faux qui seront interceptés et tracés...

comparaison100us.jpg

Mais revenons aux découvertes de Jonathan Kleck : d'après lui, ce nouveau billet serait annonciateur d'une attaque nucléaire sur la ville de New-York, d'un gigantesque raz de marée façon "Le jour d'après". Des éléments qui seraient corroborés par certains des passages de l'Apocalypse.

En observant bien la démonstration dans la vidéo, tout le monde peut comprendre qu’il pourrait s'agir ici de la bande-annonce du futur false flag sur le sol américain, qui pourrait déboucher à la loi martiale, un déclencheur de la troisième guerre mondiale ! Affaire à suivre...


Sources : http://thestrangeworld.wordpress.com/2009/10/20/les-images-caches-dans-les-billets-de-5-20-50-et-100-dollars/ + MeltyBuzz / AFP / BigBrowser  + http://metatv.org/le-nouveau-billet-de-100-annonce-t-il-une-attaque-nucleaire-sur-new-york

Bon, nous sommes prévenus cette fois si de gros événements se produisent aux USA... tout en sachant que même les billets sortis 5 ans avant le 11-09-01 et le WTC et "annonçant" les choses n'ont rien empêché...

Yves Herbo-SFH-10-2013

mercredi 23 octobre 2013

Présence des Extra-Terrestes : témoignage d'un ancien de la NASA

Présence des Extra-Terrestes : témoignage d'un ancien de la NASA

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Au cours de sa carrière de 34 ans comme employé sous contrat de la NASA, Clark C. McClellan a été chargé d'assurer la sécurité de nombreuses missions de la NASA, y compris pour les astronautes de Mercury, les missions Apollo, la Station Spatiale Internationale et la navette spatiale. Dans un communiqué publié sur son site Internet le 29 juillet 2008, McClelland a révélé qu'il a été témoin de la vision d'un être extraterrestre de huit à neuf pieds (près de 2,70 mètres) de hauteur en liaison avec une mission de la navette spatiale qu'il surveillait depuis le Centre Spatial Kennedy.

Il écrivit: " je, Clark C. McClelland, ancien ScO [opérateur satellite], Flotte de la Navette Spatiale, ait personnellement observé un Extra-Terrestre de 8 à 9 pieds de haut sur mes moniteurs vidéos de 27 pouces en faisant mon devoir dans le Kennedy Space Center, au centre de contrôle de lancement (LCC). L'Extra-Terrestre se tenait debout dans la soute de la navette spatiale en train d'avoir une discussion avec deux de nos astronautes attachés à la NASA ! J'ai également observé sur mes moniteurs, le vaisseau spatial de l'Extra-Terrestre qui était sur une orbite stabilisée et sécuritaire à l'arrière de la coque du moteur principal de la navette spatiale. J'ai observé cet incident pendant environ une minute et sept secondes. Suffisamment de temps pour mémoriser tout ce que j'observais. C'était un Extra-Terrestre et un vaisseau spatial extraterrestre ! ".

Témoignage impressionnant de la part d'une personne qualifiée et habituée à l'observation assez difficile à mettre en doute sans porter atteinte à sa simple honnêteté. Les vérifications d'usage concordent toutes, McClelland existe bien et il a bien travaillé pour la NASA très longtemps, mais sa fin de carrière semble avoir été assez tragique, ce qui est d'ailleurs plutôt en sa faveur si on considère qu'il a vu ce qu'il n'aurait pas du voir...

" Il a travaillé pour la NASA sur une période de 34 ans à partir de 1958 jusqu'en 1992 quand il a été brusquement congédié de son poste, et privé de ses prestations de retraite. Il a créé un site web, Stargate Chronicles, avec des informations sur ses origines et expériences. Ce qui suit est destiné à fournir des documents supplémentaires et des informations vérifiables à l'appui de ses affirmations d'avoir assisté à une vie extraterrestre et / ou de la technologie au cours d'un certain nombre de missions de la NASA. Cette page Web a été créée à la suite de sa déclaration publique, publiée à la fin Juillet-début Août 2008, où M. McClelland affirme avoir repéré ce qui semble être un extraterrestre assistant deux astronautes sur une mission spatiale. "


Voici quelques précisions trouvées sur son site : l'observation présumée pertinente était la mission STS-44. STS-44 était une mission de la navette Atlantis lancée le 24 Novembre 1991. C'était une mission spatiale de l'US Department of Defense. Astronautes : Frederick D. Gregory, Terence T. Henricks, F. Story Musgrave, Mario Runco, Jr., James S. Voss, et Thomas J. Hennen.

Et en cherchant un peu sur certains forums américains où on a parlé de son histoire, on trouve d'autres précisions ou réflexions intéressantes dont voici des extraits (le fait d'affirmer aussi que dès qu'une personne tente de faire connaître son histoire tout en tentant (souvent en vain d'ailleurs) de récupérer des frais ou de la vendre, est obligatoirement un charlatan ou pire dénote une malhonnêteté intellectuelle systématique (et en contradiction avec les principes de fonctionnement de tout le monde dans la réalité) de ces accusateurs par (faux) principe à l'esprit tordu). Certes, comme une grande partie des témoignages humains (comme dans les cours de justice d'ailleurs), il est impossible d'avoir une certitude à 100% - tout comme la plus grande partie de l'Histoire humaine d'ailleurs... ce n'est pas une raison pour détourner les yeux et se mettre la tête dans le sable comme une autruche... certains m'ont même dit : " je préfère croire que ce n'est pas possible et refuser cette idée tout simplement plutôt que de me torturer l'esprit toute la vie au cas où ça serait vrai " : d'autres vont un peu plus loin dans ce principe et préfèrent tenter de dénigrer ou d'anéantir même l'idée que cela pourrait exister... pour le propre tranquillité d'esprit...

" Il convient de noter que l' Alien de " huit à neuf pieds mentionné ci-dessus est exactement en ligne avec les rapports du visionneur à distance (remote viewer) Joe McMoneagle, quand il a été chargé d'avoir à distance une vue de Mars. Il a été intrigué par des grands et minces êtres de cette taille, qui «vivent» dans des installations souterraines. McMoneagle était un remote viewer de l'armée américaine à l'époque. Les détails sont dans un livre de F. Holmes Atwater "Captain of My Ship, Master of My Soul", l'ancien chef de l'unité de Remote Viewer de l'armée, qui est passé chef du Monroe Institute, la maison de la Hemi-Sync. ".

Notons aussi que McClelland est cité dans cet article au sujet de photographies très suspectes (et déjà montrées ailleurs sur ce blog) de ce qui a été annoncé comme des petits débris par la NASA mais qui ressemble fortement à un vaisseau spatial : http://www.examiner.com/article/nasa-caught-deleting-ufo-photos-from-its-website

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http://www.examiner.com/slideshow/ufo-photos-deleted-from-nasa-johnson-space-center-website#slide=11 (la NASA aurait en fait juste déplacé ces photos par soucis de discrétion...)

Yves Herbo Traductions-SFH-10-2013

OVNIs : Emission UFO Vision du 18 octobre 2013

OVNIs : Emission UFO Vision du 18 octobre 2013

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L'émission UFO Vision édition du 18 octobre 2013 vous est présentée par Gilles Thomas.

Dans cette nouvelle édition, nous vous partageons l'actualité ovni en Europe récente et interview de Christian Morgenthaler sur l'Ufologie Allemande.

Liens vers l'ufologie Allemande :


http://www.jufof.de/

http://www.cenap.de/

http://www.ufo-forschung.de/


 http://odhtv-replay.kazeo.com/

Yves Herbo Relai-SFH-10-2013

mardi 22 octobre 2013

Un nouvel Apophis repéré dans l'espace

Un nouvel Apophis repéré dans l'espace

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Astéroïde Apophis Crédits : CNES/Ill. P. Carril.

Si Apophis est déjà entré dans la mémoire humaine comme l'un des astéroïdes potentiellement dangereux pour la Terre, depuis sa découverte en 2004, on sait que le nombre de gros rochers croisant l'orbite de notre planète régulièrement était de 10.331 astéroïdes jusqu'à ce jour. Mais un nouvel objet vient de s'ajouter à la liste de ces géocroiseurs potentiellement dangereux, et il a même immédiatement pris la place d'Apophis au rang des plus dangereux repérés actuellement, puisque Apophis, pour l'instant, a été jugé inoffensif pour les prochaines décennies à venir, avec néanmoins une incertitude gênante. J'y reviendrais avec le développement sur ce nouvel astéroïde, nommé (pour l'instant ?) 2013 TV135. Cette découverte provient de l'Observatoire d'astrophysique de Crimée en Ukraine, et a été confirmée par cinq groupes d'astronomie supplémentaires, y compris en Italie, Espagne, le Royaume-Uni et de la République Sibérienne de Bouriatie en Russie et date du 08 octobre 2013. Il a fallut attendre plusieurs confirmations, et enfin un communiqué de la NASA (remis vite en fonction après leur chômage forcé) pour que les premières données soient connues.

Cet astéroïde semble plus gros qu'Apophis avec 400 mètres de diamètre (Apophis en fait 330 m. et une masse estimée à + de 40 millions de tonnes) et sur une orbite assez instable, ce qui expliquerait sa découverte tardive à seulement 6.7 millions de kilomètres de la Terre le 08-10-2013, alors qu'il a été au plus proche de la planète, d'après la NASA, le 16 septembre 2013 !. Dès son officialisation, il a été noté en 1 sur 10 sur l'échelle de Turin (le 1 étant réservé aux objets s'approchant à moins de 7.5 millions de kilomètres de l'orbite de la Terre. D'après les astronomes ukrainiens, l'orbite de cet astéroïde l'amènerait tous les quatre ans aux abords de l'orbite terrestre mais, avec seulement quelques jours d'observation, son orbite exacte est pour l'instant assez incertaine. Un communiqué de la NASA a confirmé néanmoins qu'il sera probablement au plus près de la Terre le 26-08-2032, avec une possibilité d'impact de 1 sur 63000, ce qui en fait l'objet spatial le plus dangereux connu à ce jour, puisque Apophis a été relégué après les calculs qui ont suivi son dernier passage en mai 2013 (il avait été classé lui en 1 puis 2).

« Pour le dire autrement, ceci met la probabilité actuelle de ne pas subir d'impact en 2032 à environ 99,998 % », souligne Don Yeomans, directeur de cet organisme installé au Jet Propulsion Laboratory de Pasadena (Californie).

2005-yu55-asteroide.jpg

De nouvelles observations à venir

2013 TV135 devrait être facilement observable dans les prochains mois et les observations supplémentaires, transmises au Minor Planet Center de Cambridge (Massachusetts), permettront à ses chercheurs d'en préciser l'orbite.

« Avec ces autres observations, je m'attends à ce que nous soyons en mesure de réduire considérablement ou [même] d'éliminer entièrement toute probabilité d'impact pour l'avenir prévisible », explique Don Yeomans.

" Les astronomes seront en mesure de mieux évaluer le risque d'impact de l'astéroïde - et même de déterminer son lieu de l'impact possible sur la Terre - en 2028 ", a déclaré Timur Kryachko de l'Observatoire astrophysique de Crimée.

En ce qui concerne Apophis, ce dernier traverse deux fois l'orbite de la Terre à chaque passage, tous les sept ans. La première alerte, lors de sa découverte, était pour avril 2029, avec un passage estimé très proche sans être très précis. Des calculs de fin 2005 repoussaient la vraie échéance risquée à avril 2036, avec un risque évalué à 1 sur 5560 seulement. En mais 2008, de nouveaux calculs écartaient un peu plus le risque avec 1 sur 45000 pour le 13 avril 2036, et le 7 octobre 2009, la NASA calculait que le risque de collision d'Apophis avec la Terre n'était plus que de 1 sur 233 000 pour le dimanche 13 avril 2036. Si l'on considère l'ensemble des dates où Apophis devrait croiser l'orbite de la Terre, la probabilité d'un impact est de 1 sur 135 000 ; autrement dit, il y a 99,99926 % de chance que l'astéroïde ne touche pas la Terre...

Le passage du géocroiseur le 9 janvier 2013 à environ 14,46 millions de km, a permis à la NASA de réaliser de nouvelles estimations qui écartent encore significativement le risque d'impact à 1 sur 10 989 000 pour 2036. Apophis restera observable à l'aide de télescopes terrestres jusqu'en février-mars 2013 puis sera de nouveau hors de portée jusqu'en 2021.

Ces dernières observations ont permis d'écarter tout risque de collision dans les prochaines décennies. En effet, selon des calculs effectués en mai 2013, Apophis pourrait s'approcher au plus près de la Terre le 12 avril 2068, avec un risque estimé à 1 sur 256 000 de heurter notre planète. Les dates de 2029 et 2036 ne sont même plus listées par le Near-Earth Object Program (NASA).

" Ces estimations ne manqueront pas d'être affinées dans les années à venir car la trajectoire de l'astéroïde est soumis à des incertitudes[4] qui pourraient bien confirmer ou infirmer la probabilité de l'impact.

En effet, "la détermination précise de l'orbite d'Apophis est particulièrement difficile en raison de la méconnaissance de « l'effet Yarkovsky », du nom de l'ingénieur russe qui découvrit au début du XXe siècle le phénomène suivant : lorsqu'un corps céleste en rotation s'approche du Soleil, il s'échauffe d'un côté avant de se refroidir lorsqu'il a tourné sur lui-même. Ce refroidissement se produit par émission d'un rayonnement infrarouge qui crée une poussée infinitésimale mais permanente sur l'astéroïde et ainsi en modifie la trajectoire" précise le CNES.

Les scientifiques indiquent néanmoins que "dans l'hypothèse improbable où il entrerait bien en collision", le bolide qui serait chauffé à plus de 1 600°C en pénétrant dans l'atmosphère, engendrerait des conséquences cataclysmiques : un tsunami mondial (raz-de-marée) si il plonge dans l'océan, ou des dégâts massifs sur les terres et les zones habitées.

Un impact avec la Terre dégagerait une énergie de plus de 506 mégatonnes. C'est près de 34 000 fois la puissance de la bombe larguée sur Hiroshima le 6 août 1945 qui avait alors dégagé une puissance d'environ 15 kilotonnes et plus de 1000 fois la puissance de la météorite tombée dans la région de Tcheliabinsk en février 2013.

Si le risque de collision avec la Terre a fortement diminué d'après les nouvelles précisions concernant la trajectoire de 99942 Apophis, il subsiste un doute sur sa trajectoire précise lors de son passage près de la Terre. Ainsi, Patrick Michel, astrophysicien à l'observatoire de la Côte d'Azur indiquait[6] qu'à seulement 600 mètres près, Apophis pourrait s'écraser sur Terre ou continuer sa course dans l'espace lors de son passage à 32 000 km de la Terre en 2036 (anciennes données). Cet écart avec la Terre sera fonction des perturbations gravitationnelles qu'il n'est, pour le moment, pas possible de déterminer.

C'est pourquoi, les scientifiques ont insisté pour que des discussions soient engagées sur les moyens d'éviter une catastrophe régionale voire planétaire. Ainsi, un groupe de travail réunissant des experts de plusieurs pays a préparé un projet de traité international qui devait être soumis à l'ONU en 2009.

D'ores et déjà, le CNES étudie une mission spatiale destinée à déterminer la structure interne de cet astéroïde et ainsi permettre de modifier la trajectoire de ce géocroiseur, si il devait devenir vraiment menaçant.

Plusieurs moyens plus ou moins risqués pour dévier Apophis sont déjà envisagés : explosion, déviation, tracteur gravitationnel, satellite parasol...

Certains astéroïdes, comme Apophis, passent régulièrement à proximité de la Terre. Et si les chances de voir l'un d'entre eux percuter notre planète sont quasiment nulles, les scientifiques réfléchissent activement aux moyens de neutraliser ces bolides de l'espace et d'éviter tout cataclysme.
Avec l'aimable autorisation du CNES

La découverte de cet autre astéroïde, 2013 TV135, plus gros et potentiellement tout aussi dangereux qu'Apophis va peut-être accélérer certains programmes de recherches pour dévier ces menaces...

Sources : http://www.maxisciences.com/ast%E9ro%EFde/2013-tv135-un-nouvel-asteroide-a-039-frole-039-la-terre_art31115.html + http://www.le-veilleur.com/articles.php?idcat=1&idrub=21&id=1509 + CNES

Yves Herbo-SFH-10-2013