samedi 7 décembre 2013

OVNIs : Emission OANI TV du 06-12-13

OVNIs : Emission OANI TV du 06-12-13

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L'Emission OANI TV du 06-12-2013 vous est présentée par Gilles Thomas.


Le programme de cette nouvelle édition :
- Actualité des objets aquatiques non identifiés dans le monde
- Interview de Gilles Durand, Luc Chastan et Michel Langard sur les OANI.
- OANI de Marseille à Toulon

http://odhtv-replay.kazeo.com/

Yves Herbo Relai-SFH-12-2013

De l’ADN vieux de 400.000 ans complique l’histoire de l’Homme

De l’ADN vieux de 400.000 ans complique l’histoire de l’Homme

Le plus vieux génome d'hominidé séquencé a 400.000 ans. Il a été extrait de mitochondries trouvées dans ce fémur d'Homo heidelbergensis. © Javier Trueba, Madrid Scientific Films

Près de 400.000 ans : voici l’âge de l’ADN mitochondrial qui vient d’être intégralement séquencé. Il a été extrait du fémur d’un hominidé découvert en Espagne dans les années 1990. Surprise : bien que morphologiquement proche de l’Homme de Néandertal, cet inconnu aurait plus d’affinités génétiques avec l’Homme de Denisova. Lequel, pourtant, a vécu en Sibérie plusieurs milliers d’années plus tard.

Au cours du temps, l’ADN d’un être mort se dégrade progressivement, à une vitesse qui dépend des conditions dans lesquelles la dépouille est conservée. En d’autres termes, il se fragmente en une multitude de séquences nucléotidiques de plus en plus petites, au grand dam des paléogénéticiens. En effet, ce processus limite l’âge maximal des séquençages pouvant être réalisés sur des restes humains ou animaux. Cependant, les spécialistes ne s’avouent pas vaincus pour autant.

Ainsi, plusieurs laboratoires cherchent à améliorer les techniques d’extraction de l’ADN fossile, notamment pour mieux saisir les séquences nucléotidiques qui ne font que quelques dizaines de paires de bases. Et le succès est au rendez-vous. Pour preuve, en septembre dernier, l’ADN mitochondrial d’un ours des cavernes mort voici 300.000 ans a intégralement été présenté à la communauté scientifique. Cet animal avait été exhumé de la Sima de los huesos, une grotte tempérée et humide qui se situe dans la sierra d’Atapuerca (Espagne).

Ce site est bien connu des anthropologues, puisque des restes de 28 Homo heidelbergensis y ont également été trouvés depuis le début des fouilles en 1978. Parmi eux figure un fémur exhumé dans les années 1990. Ce jour, nous venons d’apprendre que des chercheurs ont non seulement réussi à en extraire de l’ADN mitochondrial, mais qu’ils sont aussi parvenus à le séquencer dans son intégralité. Or, cet os est vieux d’environ 400.000 ans ! Présenté dans la revue Nature, cet exploit est une fois encore l’œuvre de l’équipe dirigée par Svante Pääbo du Max Planck Institute for Evolutionary Anthropology (Allemagne).

Les 28 Homo heidelbergensis découverts dans la Sima de los huesos (Espagne) ont vécu voilà 300.000 à 400.000 ans, au Pléistocène moyen. De nos jours, la grotte se caractérise par une température constante de 10 °C et par un taux d'humidité proche de la saturation. © Javier Trueba, Madrid Scientific Films

La morphologie et la génétique divergent une fois de plus

Ce génome mitochondrial a été comparé à celui d’autres représentants du genre Homo. Les résultats ont laissé certains spécialistes sans voix. Morphologiquement, Homo heidelbergensis ressemble à l’Homme de Néandertal qui a vécu dans la même région, mais quelques milliers d’années plus tard. D’ailleurs, pour quelques experts, le second descendrait du premier.

Génétiquement… c’est une toute autre histoire. En effet, les hominidés de la Sima de los huesos seraient plus proches des Hommes de Denisova, le groupe frère des néandertaliens qui s’est épanoui dans le sud-est de la Sibérie, donc à des milliers de kilomètres de l’Espagne. Cette découverte a tout simplement apporté plus de questions que de réponses, car il est difficile de l’expliquer.

De l’ADN nucléaire extrait d’ici un an ?

À partir de là, chacun y va de sa petite théorie. Pour sa part, Svante Pääbo a rappelé que la comparaison des génomes des Hommes de Denisova et de Néandertal a montré qu’ils ont un ancêtre commun qui a vécu voici 700.000 ans. L’Homme de la Sima de los huesos pourrait avoir appartenu à cette population fondatrice, qui avait alors une distribution eurasienne.

Ainsi, les Néandertaliens et les Dénisoviens auraient théoriquement reçu un patrimoine génétique mitochondrial similaire, mais les premiers l’auraient ensuite perdu. Rappelons-le, l’ADN mitochondrial se transmet uniquement par la mère. Ainsi, il est possible qu’une néandertalienne ait donné naissance à un fils qui se serait hybridé avec une femelle d’une autre espèce, ce qui aurait fait disparaître les gènes retrouvés en Espagne (Homo heidelbergensis) et dans la molaire de la fille morte dans la grotte de Denisova voici 30.000 à 50.000 ans.

Pour y voir plus clair, l’équipe allemande s’est déjà remise au travail, avec pour objectif d’extraire de l’ADN nucléaire du fémur d’ici un an. Puisqu’il est transmis par les deux parents, celui-ci fournit de meilleures informations sur l’histoire évolutive d’une population. Il faut avouer que les défis à relever sont nombreux. Souhaitons leur bonne chance.

Par Quentin Mauguit, Futura-Sciences

De leurs côtés, les professeurs russes Anatole A. Klyosov et Igor L. Rozhanskii développent depuis quelques années des travaux très intéressants sur l'ADN du Caucasien (et les découvertes d'ADN de Denisoviens de 400.000 ans en Espagne pourraient intéresser leurs théories), et ces derniers semblent amener le renouvellement de la question : L'Homme Moderne est-il bien né en Afrique ? - attention, c'est très technique et je ne traduit que l'essentiel... voir le document pdf pour des schémas très intéressants et d'autres explications techniques.


Ré-examen de la théorie «Out of Africa» et de l'origine des Europeoids (Caucasoïdes) à la lumière de la Généalogie de l'ADN

" Cette étude porte sur l'origine des Humains anatomiquement modernes (Homo Sapiens Sapiens), qui appartiennent vraisemblablement aux haplogroupes chromosomiques Y de A à T selon la classification établie dans la génétique humaine et de la phylogénie de l'ADN de l'homme. Ce document 1 ) présente un calendrier pour l'origine de Europeoids ( Caucasoïdes) ; 2 ) d'identifier avec certitude leur position parmi toutes les haplogroupes (tribus) connus aujourd'hui sur l'arbre des haplogroupes et 3) apporter la preuve qu'il faut réexaminer la validité du concept de "La sortie d'Afrique".

" La principale différence de notre approche par rapport à celles connues dans la génétique humaine, c'est que notre méthodologie est basée sur l' identification des branches d'haplotypes dans chaque haplogroupe et sa sous-clade (chaque branche provient de son unique ancêtre commun), et, dans chaque cas, est calculé un laps de temps à partir d'un ancêtre commun de la branche en vérifiant que la branche est effectivement dérivée d'un ancêtre commun et en utilisant les critères décrits dans (Klyosov , 2009a ; Rozhanskii & Klyosov , 2011; Rozhanskii , 2011). Par conséquent, nous avons obtenu une chronologie de toutes les branches disponibles dans chaque haplotype et entièrement dans leur ensemble - de A à T (dans la classification actuelle). En d'autres termes, pour chaque haplotype nous avons identifié avec succès sa place dans l'ensemble du système de multi-haplogroupes de l'humanité. Il est raisonnable de supposer que les haplotypes de l'ensemble de l'humanité forment un système continu, quoique interrompu localement par la population des " goulots d'étranglement " qui perturbent essentiellement les haplotypes fabriqués au départ en continu. Ce tissu peut être reconstruit à partir de ses fragments, de la même manière que la cinétique des réactions chimiques peuvent être reconstruites sur la base de relativement peu de points expérimentaux. Cette analogie est assez proche puisque les mutations dans les haplotypes obéissent aux mêmes lois de la cinétique chimique, cela a été discuté dans le premier article de cette série ( Rozhanskii & Klyosov , 2011).

Merci en grande partie aux généticiens, le concept de l' « Out of Africa» (la sortie d'Afrique de l'Homme Moderne) a été popularisé au cours des deux dernières décennies, mais il n'a jamais été directement prouvé, mais, pour de nombreux spécialistes sa logique était indéniablement convaincante. Le concept repose principalement sur l'hypothèse que l'Afrique possède la plus forte variabilité ou la variance de l'ADN humain et de ses segments. Ceci à part, ce n'est pas un argument de poids en raison qu'un mélange de différentes lignées d'ADN se traduit également par une forte variabilité et, comme nous le montrons ci-dessous, c'est en grande partie ce qui se passe en Afrique. En outre, un écart existe entre la génomique des Africains et des non-Africains, qui a également été interprété comme un argument que ces derniers sont descendus des Africains. Une interprétation plus plausible aurait été que les deux Africains actuels et les non-Africains descendent séparément à partir d'un plus ancien ancêtre commun, formant ainsi une fourchette proverbiale. Une région où cet ancêtre commun serait né en aval ne serait pas nécessairement en Afrique. En fait, il n'a jamais été prouvé qu'il a vécu en Afrique.

La recherche sur cette question a servi de base pour le sujet de notre travail. Nous avons constaté qu'une grande diversité de haplotypes chromosomiques Y en Afrique est le résultat du mélange de plusieurs lignées très éloignées, certaines d'entre elles pas nécessairement d'Afrique, et que les Europeiods (au moins) ne contiennent pas de SNP «africains» (ceux des haplogroupes A ou B). Ces résultats importants ont mis une "dent proverbiale" dans la théorie de l' «Out of Africa».

Sept mille cinq cent cinquante six (7556) haplotypes de 46 sous-clades dans 17 grands haplogroupes ont été considérés en fonction de leur base de haplotypes et des intervalles ( ancestraux) de leurs ancêtres communs, pour construire une définition du temps équilibrée de l'arbre des haplogroupes. Il a été constaté que l'haplogroupe A africain (origine 132.000 ± 12000 années avant le présent-BP) est le début temporel exact de tous les autres haplogroupes, qui avaient un ancêtre commun séparé, appelés β - haplogroupe très éloigné, et d'origine de 64.000 ± 6000 ans BP. Il comprend une famille de Europeoid (caucasoïdes) des haplogroupes de F à T qui proviennent de 58.000 ± 5000 ans BP. Un ancêtre commun en aval de l'haplogroupe A et β - l'haplogroupe inventé α - a émergé il y a 160.000 ± 12.000 ans BP. L'origine territoriale des haplogroupes α - β - demeure inconnu, mais l'origine la plus probable pour chacun d'eux est un vaste triangle qui s'étend de l'Europe centrale jusqu'à l'ouest par la plaine de la Russie à l'est et au Levant au sud. L'Haplogroupe B est descendu de l'haplogroupe β ( et non de l'haplogroupe A, duquel il est très lointain, et séparé par autant que 123.000 années de "latences-erreurs " de l'évolution mutationnelle), a probablement migré vers l'Afrique après 46.000 ans BP. La constatation que les haplogroupes Europeoid ne descendent pas des haplogroupes "africains" A ou B est étayée par le fait que les porteurs de l'haplogroupe Europeoid, ainsi que tous les haplogroupes non-africains ne portent pas non plus de SNP M91 , P97 , M31 , P82 , M23 , M114 , P262 , M32 , M59 , P289 , P291 , P102 , M13 , M171 , M118 ( haplogroupe A et ses sous-clades SNP ) ou M60 , M181 , P90 ( haplogroupe B ), comme il a été montré récemment dans le " “Walk through Y” FTDNA Project ( la référence qui y est incorporé ) sur plusieurs centaines de personnes de divers haplogroupes. "

Source : Klyosov, A. & Rozhanskii, I. (2012). Re-Examining the "Out of Africa" Theory and the Origin of Europeoids (Caucasoids) in Light of DNA Genealogy. Advances in Anthropology, 2, 80-86. doi: 10.4236/aa.2012.22009.  - etudesadnrusse05-2012.pdf etudesadnrusse05-2012.pdf

Références :

[1] Cruciani, F., Trombetta, B., Sellitto, D., Massaia, A., Destro-Bisol, G., Watson, E., et al. (2010). Human Y chromosome haplogroup R-V88: A paternal genetic record of early mid Holocene trans-Saharan con- nections and the spread of Chadic languages. European Journal of Human Genetics, 18, 800-807.
[2] Cruciani, F., Trombetta, B., Massaia, A., Destro-Bisol, G., Sellitto, D., & Scozzari, R. (2011). A revised root for the human Y chromosomal phylogenetic tree: The origin of patrilineal diversity in Africa. The American Journal of Human Genetics, 88, 1-5. doi:10.1016/j.ajhg.2011.05.002
[3] Klyosov, A. A. (2009a). DNA Genealogy, mutation rates, and some historical evidences written in Y-chromosome. I. Basic principles and the method. Journal of Genetic Genealogy, 5, 186-216.
[4] Klyosov, A. A. (2009b). DNA Genealogy, mutation rates, and some historical evidences written in Y-chromosome. II. Walking the map. Journal of Genetic Genealogy, 5, 217-256.
[5] Klyosov, A. A. (2011a). The slowest 22 marker haplotype panel (out of the 67 marker panel) and their mutation rate constants employed for calculations timespans to the most ancient common ancestors. Pro- ceedings of the Russian Academy of DNA Genealogy, 4, 1240-1257.
[6] Klyosov, A. A. (2011b). DNA genealogy of major haplogroups of Y chromosome (Part 1). Proceedings of the Russian Academy of DNA Genealogy, 4, 1258-1283.
[7] Klyosov, A. A. (2012). Ancient history of the Arbins, bearers of hap- logroup R1b, from Central Asia to Europe, 16,000 to 1,500 years before present. Advances in Anthropology, in press.
[8] Rozhanskii, I. (2010). Evaluation оf the сonvergence оf sets in STR phylogeny and analysis оf the haplogroup R1a1 tree. Proceedings of the Russian Academy of DNA Genealogy, 3, 1316-1324.
[9] Rozhanskii, I. L., & Klyosov, A. A. (2011). Mutation rate constants in DNA genealogy (Y chromosome). Advances in Anthropology, 1, 26- 34. doi:10.4236/aa.2011.12005
[10] Simms, T. M., Martinez, E., Herrera, K. J., Wright, M. R., Perez, O. A., Hernandez, M. et al. (2011). Paternal lineages signal distinct genetic contributions from British Loyalists and continental Africans among different Bahamian islands. American Journal of Physical Anthro- pology, 146, 594-608. doi:10.1002/ajpa.21616 ".

YH : Cette étude démontre donc (sans avis contraire démontré), compte-tenu à la fois des découvertes archéologiques récentes, mais aussi la génétique de l'ADN, que l'apparition de l'Homme Moderne en Afrique est maintenant moins probable qu'une naissance de cet ancêtre primaire commun dans le grand triangle évoqué, mettant en jonction ses différentes branches. Certains ne manqueront pas de noter que, cette région étant inconnue de toute façon pour l'instant, elle pourrait, vu les 200.000 ans évoqués pour l'apparition de l'Homme Moderne de nos jours, être sous l'eau maintenant, sous les glaces ou ensevelie sous des dizaines de mètres de sédiments...

Yves Herbo Traductions-SFH-12-2013

vendredi 6 décembre 2013

Les mines de cuivre de la Vallée de Timna en Palestine

Les mines de cuivre de la Vallée de Timna en Palestine


Située dans la vallée de Timna en Israël actuelle mais ancienne région palestinienne, une mine de cuivre connue depuis de nombreuses années et anciennement attribuée aux Egyptiens, serait en fait celle d'une tribu israélienne datant de l'époque du roi Salomon. Suite à de nouvelles excavations en Israël, des archéologues ont revu l'origine et l'appartenance d'une ancienne mine de cuivre : elle n'appartenait pas aux Égyptiens comme on le pensait jusqu'ici, mais aux Édomites, un peuple contemporain du légendaire roi Salomon.

Le site, installé dans la vallée de Timna en Israël, est étudié depuis de nombreuses années par les archéologues. Il avait ainsi auparavant été attribué aux Égyptiens du XIIIe siècle avant J.C. Mais grâce à des datations au carbone 14, des archéologues de l'université de Tel Aviv ont découvert que ces mines étaient près de trois siècles plus récentes que prévu, les plaçant durant le règne du roi Salomon, fils de David, soit au Xe siècle avant J.C. D'après les archéologues, la mine appartenait en réalité aux Édomites, une tribu semi-nomade qui était souvent en guerre contre le royaume d'Israël, explique la Bible. Les archéologues espèrent ainsi en découvrir davantage au sujet de cette tribu qui reste assez méconnue. "Ces mines nous aideront à comprendre leur société, qui sans cela nous était invisible" déclare le Dr. Ben-Yosef, chef des fouilles.

(crédits photo : TAU Timna Expedition)

La Colline des esclaves

La vallée de Timna est très riche en cuivre et autres métaux, et de nombreuses mines la constellent. C'est en février 2013 que le docteur Ben-Yosef et son équipe ont commencé leurs travaux dans un site encore préservé de la vallée, connu sous le nom de "Colline des esclaves". La zone contient les restes de centaines de fonderies et ateliers de métallurgie accumulés au cours des siècles. Les archéologues ont également découvert des restes de vêtements, de céramiques et de divers outils. Onze échantillons provenant de ces objets ont été rapportés et analysés à l'Oxford Radiocarbon Accelerator Unit de l'Université d'Oxford. La datation au carbone 14 a alors abouti à des dates plus récentes qu'estimées, remettant en cause les précédentes estimations.

Une société complexe

La Colline des esclaves révèle que ce peuple était beaucoup plus complexe qu'on pouvait le penser. Les techniques de fonderie étaient relativement avancées et le camp révèle une société très organisée. En effet, opérer de si vastes mines en plein désert devait requérir une pleine coopération entre des milliers de personnes. "Dans la vallée de Timna, nous avons mis au jour une société sans aucun doute très puissante et très organisée" explique l'archéologue. "Et pourtant, ce peuple vivait dans des tentes, s'ils n'avaient pas eu d'industrie métallurgique, jamais les archéologues n'auraient pu les découvrir".

Histoire et Bible

Cette découverte met en évidence la pensée traditionnelle archéologique qu'un peuple avancé laisse forcément des ruines de bâtiments et d'architecture. Historiquement, on a pu prouver l'existence du roi David et de son peuple, mais dans des proportions moins grandes et forcément moins épiques que celles décrites dans la Bible. Actuellement, le règne de son fils Salomon est toujours discuté par les historiens. Mais selon Ben-Yosef, il est tout à fait possible que ces rois aient bel et bien existé et qu'ils aient pu contrôler les mines de la vallée de Timna.

(crédits photo : TAU Timna Expedition)

En savoir plus: http://www.maxisciences.com/mine/des-mines-de-cuivre-datant-de-l-039-epoque-du-roi-salomon_art30678.html

Copyright © Gentside Découverte

Une rare vidéo trouvable sur la vallée de Timna...

Timna : la vallée des anciennes mines de cuivre


"Un pays où les cailloux sont en fer et de ses montagnes tu extrairas du cuivre". Deutéronome 8:9

La vallée de Timna est située au sud-ouest de la Arava, a une trentaine de kilomètre au nord du golfe d'Eilat. Il s'agit d'une formation semi-circulaire d'environ 70 kilomètres carrés, produite par l'érosion, s'ouvrant à l'est vers la Arava ; au nord, à l'ouest et au sud, elle est entourée de falaises de près de 300 mètres de hauteur. Dans les parties basses de ces falaises et sur les versants au-devant, des nodules riches en cuivre (dont la teneur peut atteindre 55%) principalement de malachite et de chalcocite, étaient exploités dans l'antiquité. Depuis le Vle millénaire avant l'ère chrétienne, lorsque l'homme découvrit comment transformer un "morceau de rocher" en métal malléable, le cuivre a été extrait et fondu dans la vallée de Timna et ce, jusqu'à l'époque moderne, avec les activités de la Société minière Timna d'Israël qui a aujourd'hui cessé la production.

D'importants vestiges d'activités humaines datant d'époques reculées sont encore visibles dans les collines rocailleuses. On trouve des témoignages d'une exploitation minière dans les cheminées et les galeries, ainsi que de fonte du cuivre dans des fourneaux de divers types. On trouve également des vestiges de campements et de plusieurs sites cultuels, notamment un sanctuaire de mineurs égyptiens.


La présence de vestiges de la production de cuivre à Timna était connue grâce à des études effectuées à la fin du siècle dernier, mais l'attention des savants et l'intérêt du public furent stimulés à la fin des années 1930 lorsque Nelson Glueck attribua l'extraction minière à Timna au roi Salomon (Xe siècle avant l'ère chrétienne) et nomma le site "Mines du roi Salomon" ; cette théorie n'a pas été confirmée par la suite par des recherches sur le terrain.

Les études et les fouilles dans la vallée de Timna ont été menées entre 1959 et 1990. A partir de découvertes surprenantes, il est aujourd'hui possible de reconstituer la longue et complexe histoire de la production du cuivre sur ce site, depuis la fin de la période néolithique jusqu'au moyen âge. L'apogée des activités minières dans la vallée de Timna se situe durant le règne des Pharaons, des XIVe au XIIe siècles av., lorsque les expéditions minières égyptiennes, en collaboration avec les Midianites et les Amalécites, firent de la région une grande industrie du cuivre.


L'exploitation du cuivre

Après une phase initiale de ramassage en surface des nodules de minerai à l'époque préhistorique, les premiers mineurs suivirent les veines de minerai souterraines qui affleuraient. Ces premiers puits, creusés dans le roc avec de grands outils de pierre peu pratiques, consistaient en de grands trous avec des galeries qui partaient dans toutes les directions en suivant les veines du mineral.

Les mineurs égyptiens qui arrivèrent par la suite utilisèrent des ciseaux de métal et des binettes pour creuser des puits tubulaires très réguliers, avec des encoches dans les murs pour y descendre et en remonter. Certains de ces puits pénétraient jusqu'à une profondeur de 30 mètres et davantage avant d'atteindre la couche de grès riche en cuivre. A partir des puits, d'étroites galeries suivaient le minerai, s'élargissant en cavités souterraines où d'importants nodules de minerais devaient être extraits. Au fur et à mesure que le réseau des galeries s'étendait, il fallait retirer de lourdes charges de minerai le long des étroites galeries et les ramener à la surface. Ces puits de mines et ces galeries à plusieurs niveaux, avec une ventilation souterraine appropriée, sont les plus anciens faisant l'objet d'une exploitation systématique découverts à ce jour.

L'exploitation minière fut abandonnée lorsque la concentration des nodules de mineral déclina. Les puits abandonnés et les galeries furent soit intentionnellement comblés avec les rebuts de la mine, soit progressivement comblés par le sable apporté par l'eau et par le vent. Des restes de leur existence sont aujourd'hui visibles dans les milliers de plaques en forme d'assiette retrouvées sur les versants en contrebas des falaises de Timna.


La production de cuivre

Le premier four de fonte du cuivre bien conservé date du Ve millénaire avant l'ère chrétienne. Il consistait en un petit trou creusé dans le sol, avec un soubassement de pierres, et ventilé par des soufflets en peaux de chèvre. La fusion dans ces trous était primitive et inefficace.

Pendant les trois millénaires suivants, le cuivre fut produit par des fourneaux qui s'amélioraient constamment grâce à la maîtrise des procédés métallurgiques. Dès la période chalcolithique (IVe millénaire avant l'ère chrétienne), le minerai de fer (disponible à Timna) fut ajouté en guise de fondant au minerai de cuivre en fusion et au charbon de bois, ce qui améliora considérablement la fonte. Un autre grand progrès introduit au début du IIIe millénaire, consistait à drainer les scories fluides hors du fourneau, ce qui permettait de poursuivre la fonte tout en économisant le précieux combustible. Le cuivre métallique produit par ce procédé demeurait au bas du fourneau sous la forme d'un lingot irrégulier - probablement le premier lingot de cuivre de l'histoire.

Il ne subsiste aucune trace de l'extraction minière ou de fusion à Timna pour la période allant du milieu du IIIe millénaire à la fin du IIe millénaire av., lorsque les expéditions minières égyptiennes arrivèrent. On trouve des vestiges de nombreux camps de travail, principalement des ateliers pour la fonte du cuivre. L'un des camps les plus étendus (400 ml) a fait l'objet de fouilles ; dans sa cour centrale, un trou bordé de pierres et servant d'entrepôt contenait des nodules de minerai de fer destinés à être écrasés sur une plate-forme de pierre voisine. Toutes sortes d'outils de concassage comme les marteaux de granit, les mortiers et les pilons, les enclumes et les moulins en grès "ensellés" ont été retrouvés sur cette plate-forme. Près des fours, à quelque distance des ateliers, on a découvert des tas de scories, des trous de charbons de bois, des tuyères, des outils en pierre et des fragments de poterie.

Au XIVe siècle avant l'ère chrétienne, à l'époque de la production de cuivre égypto-midianite à Timna, un fourneau très évolué, consistant en un foyer de fusion en forme de coupe creusé dans le sol et tapissé de mortier d'argile, était en usage. Il mesurait environ 40 cm de diamètre et 50 cm de hauteur. Le haut de certains fourneaux avait la forme d'un dôme. Devant le foyer de fusion, un trou peu profond, flanqué de deux grandes pierres, servait à drainer les scories. Un tube d'argile pénétrait dans le mur du fourneau en face du trou de drainage et servait de tuyère par lequel l'air était soufflé par des poteries. Pour chaque fourneau, il fallait trois souffleries et la zone de fusion était jonchée de centaines de fragments de tuyères.


Le temple de Hathor

Au pied de l'immense formation de grès au centre de la vallée de Timna, connue sous le nom de "piliers du roi Salomon", un petit temple égyptien a été découvert. Dédié à Hathor, déesse égyptienne de la mine, il fut créé sous le règne du pharaon Seti Ier (1318-1304 av.) et était utilisé par les membres des expéditions minières égyptiennes ainsi que par leurs compagnons de travail. Le sanctuaire consistait en une cour ouverte de 9 x 6 m, avec un naos (pièce cultuelle) où une niche avait été creusée dans le roc, apparemment pour abriter une statue de Hathor.

Le temple fut gravement endommagé par un tremblement de terre et reconstruit sous le règne du pharaon Ramsès Il (1304-1237 av.) avec une cour plus spacieuse (10 x 9 m) et un nouveau soi blanc plus solide. Les murs étaient en grès local et en granit mais la façade était en grès blanc provenant de la zone des mines. Le temple, avec ses deux colonnes carrées soutenant des têtes de Hathor, devait être un spectacle intéressant à la lumière des rayons du soleil levant. Dans la cour du temple se trouvait un atelier où étaient coulées des figurines de cuivre servant d'offrandes votives. Entre autres découvertes effectuées dans le temple, citons des inscriptions hiéroglyphiques présentant le dessin des sceaux de la plupart des pharaons qui régnèrent entre le XlVe et le XIle siècle avant l'ère chrétienne. On a également découvert de nombreuses offrandes votives de facture égyptienne, notamment des objets en cuivre, des récipients en albâtre, des figurines de faïence représentant des chats ou des léopards, des sceaux, des perles et des scarabées, ainsi que des sculptures, des figurines et des plaques représentant Hathor. Dans l'ensemble, ce sont plusieurs milliers d'objets qui ont été découverts dans le temple égyptien.


Avec le déclin de la domination égyptienne sur la région au milieu du XIle siècle av., les mines de Timna et le temple de Hathor tombèrent à l'abandon. Cependant, les activités cultuelles du temple furent restaurées par les Midianites qui demeurèrent à Timna pour une courte période après le départ des Egyptiens. Ils supprimèrent la plupart des traces du culte égyptien et effacèrent les images de Hathor et les inscriptions égyptiennes en hiéroglyphes sur les stelae. D'autres changements furent effectués : une rangée de mazeboth (stelae) fut érigée et un "banc des offrandes" construit de chaque côté de l'entrée. Des lambeaux de vêtements de laine ont été retrouvés le long des murs de la cour, prouvant que les Midianites avaient transformé le temple égyptien en un sanctuaire du désert. Parmi les trouvailles effectuées dans ce lieu saint midianite, citons un grand nombre de dons votifs apportés spécialement de Midian, par exemple une poterie merveilleusement décorée et des bijoux de métal. La découverte d'un serpent de cuivre à tête dorée revêt une signification particulière. Il rappelle le serpent d'airain décrit dans le Livre des Nombres (21 : 6-9). Le témoignage d'une culture midianite élaborée, comme on en trouve à Timna, est d'une importance exceptionnelle à la lumière du récit biblique sur la rencontre de Moïse et de Jéthro, le grand-prêtre de Midian, et la participation de ce dernier à l'organisation et au culte des Enfants d'Israël dans le désert (Exode 18).


L'étude et les fouilles à Timna furent menées par B. Rotenberg, pour le compte de "I'Expédition Arava", organisée sous les auspices du musée Haaretz de Tel Aviv, l'Institut d'archéologie, l'Université de Tel Aviv et (depuis 1974) l'Institut des études archéo-métallurgiques de l'University College de Londres.

Photos : Copyright - www.terredisrael.com

Sources : Site du Ministère des Affaires Etrangères du Gouvernement israélien + http://www.terredisrael.com/infos/timna-la-vallee-des-anciennes-mines-de-cuivre/

YH : les dernières découvertes semblent prouver qu'une bonne partie de ce territoire n'était ni habité ni géré par les israéliens de l'époque, ni par les égyptiens (oui mais plus tard que prévu) mais bien par une ou plusieurs tribus probablement d'origine Edomite (nom qui possède les racines "rouge" ou "roux" en hébreux...), très ennemie au contraire du royaume d’Israël, mais utilisant une des langues d'origine sémitique.

Yves Herbo-SFH-12-2013

jeudi 5 décembre 2013

OVNIs : résumé des témoins de manipulations sur le Secret aux USA

OVNIs : résumé des témoins de manipulations sur le Secret aux USA

 John Maynard - ex DIA

De nombreux témoignages sur le sujet OVNI et l'implication logique des Etats sur la surveillance du phénomène et des personnes liées (même de loin parfois) sont apparus au fil des années. Seuls les témoignages émanant de militaires ou agents des forces du Renseignement Intelligent, de politiques parfois peuvent être pris en compte raisonnablement pour ce sujet précis : les recherches des collecteurs de données des agences de renseignements secrètes ou non, les pressions et menaces au sein même des armées et de ces agences, les traces et témoignages de quelques personnes ayant "vu et entendu" des choses à taire mais qui ne peuvent s'empêcher de dire que le taire est justement dangereux pour leur patrie est devenu très volumineux (la libération obligatoire de certains documents y aidant récemment) et il m'est apparu que cette compilation, ce résumé des premiers témoins et témoignages connus était important pour retrouver rapidement (pour comparaisons avec les nouveaux et voir d'éventuels recoupements par exemple). Comme toujours, je suis absolument contre refaire sans arrêt (en réécrivant la même chose avec d'autres tournures et mots comme certains) un travail qui a déjà été bien fait et mes recherches sur ce sujet commencent donc logiquement par cette première page où un bon travail de traductions a déjà été accompli par cette équipe canadienne.

Témoignages Expliquant le Secret

Brigadier General Stephen Lovekin
Army National Guard Reserves

Ce qui s'est produit, c'est qu'Eisenhower a été mis à l'écart. Il ne contrôlait plus la situation à propos des OVNI. Dans sa dernière allocution à la Nation, je pense qu'il voulait dire que le Complexe Militaro-Industriel nous poignarderait dans le dos si nous n'étions pas totalement sur nos gardes. Je pense qu'il sentait qu'il n'avait pas été assez vigilant, qu'il avait été trop crédule. Et effectivement, Eisenhower était crédule. C'était un homme foncièrement bon. Je pense qu'il a réalisé soudainement que tout était passé sous le contrôle de corporations qui pouvaient très bien agir au détriment de son pays.

Cette frustration, d'après ce dont je me souviens, est apparue sur plusieurs mois. Il réalisait peu à peu qu'il avait perdu le contrôle du sujet OVNI. Il réalisait que le phénomène, ou quoi que ce fût en face de nous, ne passait pas entre les meilleures mains. Aussi loin que je m'en souvienne, c'était l'expression qu'il utilisait : "Ca ne passe pas entre les meilleures mains". C'était une réelle inquiétude. Aussi cela est-il devenu un réel problème...

On m'a souvent demandé ce qu'il m'arriverait, du point de vue professionnel, si je parlais de cela. Je voudrais dire que le gouvernement a travaillé à renforcer le secret par l'installation d'une peur abjecte, comme ils l'ont fait avec tout ce que contient la mémoire de l'homme moderne. Je crois réellement qu'ils s'y sont appliqués comme à un travail.

Un ancien officier et moi discutions de ce qu'il pourrait advenir en cas de révélation. Il disait que nous serions alors "effacés". Je lui demandais de préciser ce terme : "Oui, nous serons effacés, disparu". "Comment le savez-vous?" lui demandai-je. "Je le sais", fût sa seule réponse.

Ces menaces ont été mises à exécution. Elles ont débuté en 1947. L'Army Air Force obtint le contrôle absolu sur la manière de gérer cela. Ce fût la plus importante campagne de sécurité que ce pays ait subie et il y eut quelques "effaçages"...

Je n'ai pas peur de qui vous êtes. Je n'ai peur ni de votre force, ni de votre courage. Ce serait une situation très effrayante à cause de ce que disait Matt (l'ancien officier) : "Il ne seront pas seulement après toi. Ils seront après ta famille". Ce furent ses mots. Et je peux seulement dire que la méthode qu'ils ont élaboré pour garder cela sous couvert si longtemps passe par la peur. Ils sont très attentifs à qui sera "effacé" pour l'exemple. Et je sais que cela a été fait.

Merle Shane McDow
US Navy Atlantic Command

Ces deux messieurs commencèrent à me questionner à propos de cet événement. Ils étaient très évasifs, pour être honnête avec vous. Je me souviens d'avoir levé les mains et d'avoir dit : "Une minute les gars. Je suis de votre côté. Juste une minute", parce qu'ils n'étaient pas vraiment agréables... Ils étaient très intimidants et agissaient de telle sorte qu'il était tout à fait évident que rien de ce qui avait été vu, entendu, témoigné, ne devait sortir de ce bâtiment. "Vous ne devez pas toucher un mot de cela à vos collègues. Vous devez seulement oublier tout ce que vous avez pu voir ou entendre concernant cela. Il ne s'est rien passé".

Lt. Col. Charles Brown
US Air Force (en retraite)

Cela peut sembler étrange mais nous avons envoyé des gens en prison, nous en avons envoyé à la mort à cause de témoignages visuels qui rendaient compte de crimes. Notre système légal est pourtant basé pour une large part sur ces témoignages. Et pourtant, dans ma poursuite des phénomènes aériens inhabituels durant ces 50 dernières années, il me semble qu'il y ait eu de bonnes raisons de discréditer certains témoins tout à fait viables et de bonne réputation quand ils parlaient de quelque chose de non-identifié...

Je sais qu'il y a des agences de notre gouvernement qui peuvent manipuler les données. Qui peuvent en créer ou en recréer comme bon leur semble.
Des appareils, des appareils dirigés intelligemment, ont tranquillement violé nos lois physiques sur cette planète. Et ils font cela depuis longtemps. Le fait que le gouvernement, depuis tout ce temps, je sais que l'investigation a débuté en 1947, n'ait toujours pas apporté une réponse, indique, pour moi, qu'il y a quelque chose de foncièrement mauvais.

Sommes-nous si incompétents en science ? Je ne le pense pas.
Sommes-nous si peu pourvu d'intelligence ? Je sais que ce n'est pas le cas.
Maintenant, après la clôture du Projet Livre Bleu par le groupe du Docteur Condon, j'ai toutes les raisons de croire que ce n'était qu'un lavage de cerveau délibéré.
Les OVNI ont été étudié durant une période très étendue et le grand public n'a pas été informé, totalement informé. On lui a seulement livré quelques bribes, parcelles... des miettes.

Dr B.

Je sais que plusieurs personnes avec qui j'ai travaillé ont disparu de certains programmes et n'ont plus été vues nulle part par la suite. Elles ont juste disparu. J'ai eu l'évidence de cela tout au long de ma carrière. Vous savez que ces personnes quittent un projet [et disparaissent].

Aussi [pour me protéger de cela], je ne veux plus appartenir à un projet quelconque parce que je pourrais voir quelque chose d'étrange arriver. Beaucoup de gens ont disparu, vous savez.

Lance Corporal Jonathan Weygandt
US Marine Corps

"Vous n'étiez pas supposés être là", "Vous n'êtes pas supposé voir ceci", "Vous allez devenir dangereux si nous vous laissons faire". Je pensais qu'ils allaient me tuer, réellement...

Ils avaient un Lieutenant Colonel de l'Air Force qui n'a pas donné son identité. Il m'a dit "Si nous vous déposons au milieu de la jungle, ils ne vous retrouveront jamais." Je n'ai pas voulu le tester pour savoir s'il irait jusque-là, aussi ai-je seulement répondu "Ouais". Il dit alors "Vous allez signer ces papiers. Vous n'avez jamais vu cela". Je "n'existe pas" et "cette situation n'a jamais eu lieu". Et si vous en parlez à quiconque, vous serez porté disparu...

Ils ont crié, hurlé et m'ont insulté. "Vous n'avez rien vu. Gare à vous et à toute votre bon dieu de famille."
Ce fût comme cela pendant huit à neuf heures. "On va vous prendre en hélicoptère et avec un bon coup de pied au cul vous balancer dans la jungle et vous y laisser..."
Ces différentes agences sont totalement indépendantes. Elles n'obéissent pas à la loi. Ce sont des crapules.

Si je pense que c'est un projet qui passe par le gouvernement et que chacun y a sa part ? Non. Je pense que ces gars agissent d'eux-mêmes et que personne ne sait ce qu'ils font. C'est si facile à faire de nos jours. Et il n'y a ni erreur ni contrôle. Ils font juste ce qu'ils veulent...

Une force mortelle a été utilisée. Pour ceux d'entre vous qui ne le savent pas, je connais des tireurs d'élite des Marines (j'ai entendu parler de cela par d'autres personnes) qui descendent dans la rue traquer quelqu'un pour l'abattre. Je sais que les tireurs de l'Army Airborne font la même chose. Ils utilisent la Delta Force pour saisir quelqu'un et les réduisent au silence en les tuant.

Maj. George A. Filer, III
US Air Force (en retraite)

Parfois il m'arrivait de transporter des armes nucléaires. En d'autres mots, j'étais mentalement préparé à transporter des armes nucléaires, mais je n'étais mentalement pas près à voir des OVNI. Ce jugement ridicule a fait bien plus pour garder le secret que n'importe quoi.

Nick Pope
Membre du Ministère anglais de la Défense

Je crois que les gouvernements et les militaires, ainsi que les chercheurs, les politiciens, qui que ce soit, devraient rendre publiques toutes les informations relatives à ce problème. Le gouvernement ne peut pas, je pense, prendre deux chemins à la fois. Vous ne pouvez pas dire, d'un côté, comme cela est souvent fait, que les OVNI n'ont pas de sens, et de l'autre refuser l'accès aux informations.

Vous ne pouvez simplement pas faire une chose pareille. Vous avez à choisir un chemin ou un autre. Et si, comme le gouvernement répond lorsque des politiciens font des recherches sur ce problème ou que les médias enquêtent, il n'y a rien d'inquiétant, alors okay, laissez nous voir toutes les informations.

Larry Warren
US Air Force, Officier de Sécurité

Nous traversions avec un compteur Geiger quand il y eut le retour d'un des autres gars ; il avait quelque chose qui sortait de sa poche. Il a été emmené très rapidement et, je peux le jurer sur ma tête, je ne l'ai jamais revu. Il a été enlevé. C'est arrivé à un tas de personnes. Cela a conduit à un suicide dont l'Air Force est responsable. Une véritable personne, avec un vrai nom...

Ensuite nous avons été conduits au bureau disciplinaire : sur la table il y avait des feuilles. Nous étions dix. Il y avait un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept tas de documents pré-imprimés. L'un d'eux était un descriptif de ce que nous avions vu, qui n'était pas ce que nous avions vu. Il disait que nous étions libres et n'avions vu que des lumières en mouvement parmi les arbres. Je m'en souviens clairement. Je demandai : "Que se passera-t-il si nous ne signons pas ceci, Major Zigler ?". Il répondit : "Vous n'avez pas le choix... comme moi de vous demander une signature là-dessus..."

Deux personnes vinrent derrière chacun de nous, et je me souviens de quelqu'un portant quelque chose devant lui puis ce qui pouvait être le bruit d'un aérosol. Je me suis à moitié évanoui. Mon nez coulait abondamment et ma poitrine était oppressée. Ensuite j'ai été balancé sans ménagement ; j'ai été battu, littéralement frappé dans les côtes et poussé... Je suis revenu à moi une vingtaine de minutes puis j'ai sombré pendant un jour entier. D'autres personnes ont raconté la même chose. Pendant ce temps les gens disaient que j'étais en maladie, en permission ou simplement absent de la base. En fait j'étais juste en dessous de la base. On était plusieurs...

J'avais des marques quand je suis sorti de là. J'avais des contusions et un bandage. Il faut l'admettre. C'était réel. Je les avais. J'ai peur de savoir, de penser à ce qui a pu se passer.
La seule explication que j'ai, c'est que j'avais été remarqué, par un Colonel de l'Air Force, assistant à la sortie furtive de quelques-uns d'entre eux. Ils disaient qu'ils allaient m'isoler. Ils me voyaient presque comme une sorte de Frank Serpico, et incapable de travailler en équipe parce que trop bavard...

Malheureusement après, mon ami Alabama a fait le mur, tentant de renter chez lui. A l'aéroport O'Hare (Chicago), il a été capturé par le FBI et ramener à la base immédiatement. Tout ce qu'il voulait c'était retourner chez lui. Mais il a été remis au service des vols.

Pendant ce temps, j'étais totalement déprimé. On m'avait mis de patrouille dans un véhicule avec un Sergent Chef. Soudain Alabama appelle sur la radio ; il disait qu'il se tuerait s'il ne pouvait pas rentrer chez lui. Aussitôt le Sergent Chef a fait demi-tour et a filé vers le poste. Il disait "Restez brancher sur cette Bon Dieu de radio!". Je voyais toutes les unités traverser la piste pour se ruer vers le poste. Ça n'a rien fait. Alabama avait un petit M16 : il l'a mis dans sa bouche et s'est fait sauter la cervelle. C'était la première fois que je voyais la mort, la mort violente, à 19 ans. Nous étions aussi différents que le jour et la nuit, ce garçon et moi. Vous voyez, il était du Sud, moi du Nord. Il était très religieux. Je respecte cela, mais nous n'avions rien de commun. C'était un bon gars. Et, ils n'ont rien fait pour nous aider...

Sergent Clifford Stone
US Army

Pendant notre discussion sur les OVNI, la question de fond fût celle-ci : est-ce que chaque gouvernement peut garder le secret indépendamment du gouvernement des Etats-Unis ? La réponse fût sans équivoque : oui. Mais, l'une des grandes armes que la communauté du renseignement a à sa disposition, est une prédisposition du peuple et des politiques américains, ainsi que des démystificateurs, des personnes qui essayent de dévoiler des informations sur les OVNI, à déclarer à tout bout de champs : "Oh! Nous ne pouvons garder des secrets, nous ne pouvons garder des secrets."
Pourtant la vérité est que, oui, nous le pouvons.

Le NRO (National Reconnaissance Office) resta secret pendant bon nombre d'années. Même l'existence de la NSA resta secrète. Le développement des armes atomiques resta secret jusqu'à ce que la première explosion forçât l'explication de ce que c'était.

Et nous sommes conditionnés par nos propres paradigmes à ne pas accepter la possibilité ou la probabilité d'une civilisation hautement avancée qui viendrait nous rendre visite. Vous avez une somme d'évidences en la forme de témoignages hautement crédibles d'objets observés et d'entités à l'intérieur de ces objets, observées elles aussi. Cependant, nous recherchons une explication prosaïque et nous rejetons les pièces, même majeures, qui ne collent à pas notre paradigme.

Aussi est-ce un secret auto-gardé. Vous pouvez le cacher en pleine lumière. C'est un suicide politique de partir bannière au vent et heurter les agences de renseignement pour qu'elles dévoilent les informations. Aussi, une grande partie des membres du Congrès, et j'en connais certains avec qui j'ai travaillé dans ce sens, reculeront et essaieront de ne pas le faire. Je peux vous nommer trois membres du Congrès qui ont demandé franchement à avoir une enquête du Congrès sur les événements de Roswell...

Nous avons cherché à consulter la documentation existante dans les archives du Gouvernement. Nous avons cherché à les consulter avant qu'ils ne soient en définitive détruits. Deux bons exemples sont ceux des fichiers Blue Fly et Moon Dust. J'ai eu des documents secrets connus de l'Air Force. Quand je suis devenu membre du Congrès pour avoir accès à plus de documents, ils les ont immédiatement détruits et je peux le prouver.

Quelque part, quelques personnes peuvent consulter et traiter ces informations considérées comme très sensibles pour la sécurité nationale des Etats-Unis. Ils ont besoin de davantage de protection pour être sûr que l'accès à certaines informations est limité à un petit nombre de personnes. Si petit que vous pouvez les mettre sur une feuille de papier, un bout de papier même en écrivant leur nom complet. Ainsi, vous avez un programme d'accès spécial. Les contrôles classiques qui sont censés être mis en oeuvre n'existent pas. Quand le Congrès fit son enquête sur la manière dont nous protégions les documents, et la manière de réaliser les programmes de protection, ils découvrirent qu'il y avait des programmes d'accès spéciaux à l'intérieur de programme d'accès spéciaux, ce qui les rend presque impossible à contrôler par le Congrès... et par qui que ce soit d'ailleurs...

Quand on en vient aux OVNI, les mêmes critères sont appliqués. Par conséquent, un petit noyau de personnes clefs, moins d'une centaine, non, moins d'une cinquantaine, contrôle ces informations, hors des atteintes, ni même d'un regard du Congrès. Aussi, aurait-il besoin d'aller de l'avant, de poser les bonnes questions et d'organiser un audit sur le sujet.

Sergent Major Dan Morris
US Air Force, NRO (National Reconnaissance Office) en activité

Je devenais membre d'un groupe qui enquêtait et rassemblait des informations ; au début c'était encore sous les programmes de couverture Blue Book, Snowbird et autres. Je devais aller interroger les gens qui disaient avoir vu quelque chose et essayer de les convaincre qu'ils n'avaient rien vu ou que c'était des hallucinations. Et si cela ne marchait pas, une autre équipe venait pour effectuer des menaces. Des menaces à leur encontre, celle de leur famille... Ils étaient aussi chargés de les discréditer, de les faire passer pour fous... Maintenant, si cela ne marchait toujours pas, il y avait une autre équipe qui mettait fin au problème d'une manière ou d'une autre...

A.H.
Employé chez Boeing Aerospace

Un journaliste de CNN à Washington, lors du second voyage de Gorbachev aux USA, a été autorisé à les interviewer, lui et sa femme. Quand ils furent dans la rue, la surveillance ne s'occupa plus d'eux. Le journaliste demanda à Gorbachev "Pensez-vous que nous devrions nous débarrasser de toutes nos armes nucléaires ?" Ce fût sa femme qui répondit : "Non. Je ne pense pas qu'il faille nous débarrasser des armes nucléaires à cause des vaisseaux extraterrestres".

CNN programma cette interview dans son flash de la mi_journée. J'ai entendu cela et me suis précipité pour préparer une cassette vidéo pour enregistrer le prochain passage du sujet au flash suivant. Mais ils ne le repassèrent pas. Et vous savez d'où cela venait ? De la CIA, parce que je sais qu'ils surveillent CNN et toutes les autres grandes chaînes internationales. Ils ont fait supprimer cette info, mais je l'ai entendu. Je l'ai entendu...

Ce qui me certifie que mes informations venant de la NSA sur Ronald Reagan sont correctes. Le secret n'est qu'une surextermination d'information. Et le Congrès a besoin de connaître ces informations.

Mon contact disait qu'ils essaient de mettre un couvercle pour minimiser les observations ainsi que pour réprimer les médias et les témoins qui font part de ces observations aux médias. L'Air Force veut faire disparaître cette chose aux yeux du public tout en continuant ses recherches. Il confirmait que l'Air Force veut diriger les médias vers des idées folles de farces de collégiens, ballons, activités météorologiques...

Ce qu'il me disait à propos des ramifications sécuritaires était que si leur personnel militaire parlait de cela, il était passible de cour martiale ou susceptible d'être traité comme tel pour obtenir sa rétractation. D'autres intimidations se font aussi comme la retenue de solde ou transfert dans une autre base ou personne ne veut aller comme l'Alaska...

Au départ, ces projets étaient contrôlés par le Majestic 12, rapidement appelé MJ12. J'essaie de connaître le nouveau nom de ce groupe. Mon contact, qui travaille en zone 51, refuse de le dévoiler. C'est sans doute un groupe issu du mélange du National Security Council et du National Security Planning Group de Washington. Il y en a un, là-bas, de groupe appelé le National Security Planning Group qui surveille tout. Et le Majectic 12 en est sans doute issu...

Ils ont tous les contrôles. Ils alertent le Président de ce qu'il se passe et lui n'a qu'à dire :"Hey, toi mon gars, va là-bas..." Ils contrôlent tout... Ils ne sont pas surveillés par le Congrès. Ils ne rendent de compte à personne excepté au Président des USA, bien qu'ils essaient de s'en écarter, d'après ce que j'ai compris.

Le Président n'en a plus pour longtemps à contrôler ce groupe. C'est comme une entité séparée.

Officier Alan Godfrey
Police Britanique

Je fus absolument stupéfié de ce qui arriva après. Ma vie fût renversée en un instant. D'un bon gars, heureux et sans problème, je devins, après six mois d'enfer, l'une des pires personnes qui puisse exister. Juste par harcèlement, stress, persécution...

Sergent Karl Wolfe
US Air Force

Je ne voulais pas regarder cela aussi longtemps parce que je sentais que ma vie était en jeu. Vous comprenez ce que je dis. J'aurais adoré observer cela plus longtemps, en avoir des copies. J'aurais aimé en parler plus, en discuter, mais je savais que je ne le pourrais pas. Je savais que le jeune gars qui me faisait voir ça dépassait vraiment, vraiment les limites. Je sentais qu'il avait besoin de parler à quelqu'un. Il ne l'avait jamais fait, ne pouvait le faire. Il n'en parlait pas, maintenant, pour un autre motif que, je pense, celui de se libérer un peu du poids considérable qui pesait sur lui, de se destresser...

Je savais qu'après avoir quitter l'armée je ne pourrais aller nulle part pendant cinq ans sans en référer au Département d'Etat. A chaque fois que je voulais voyager, même sur le territoire des Etats-Unis, je devais le signaler et en demander la permission. Ils devaient savoir où je me trouvais à tous moments. Par exemple, quand nous allions au Vietnam, il y avait toujours quelqu'un avec nous, avec un fusil, toujours prêt à nous descendre si nous tombions entre les mains de l'ennemi. Ils ne voulaient pas que l'ennemi nous capturât ; ils préféraient nous tuer.

Nous savions dans quelles conditions nous opérions. Notre vie était en jeu à tout instant si nous tombions entre de mauvaises mains. Nous étions conscients de cela.

Quand j'ai quitté l'armée, j'ai été informé qu'ils enquêteraient régulièrement sur moi pour être sûr que je ne serais pas impliqué dans des activités contre les intérêts du gouvernement...

Donna Hare
Employée à la NASA

Il y a eu une époque où certaines personnes venaient me voir pour me dire que je ne pouvais pas en parler. Ils ne m'ont pas menacé de mort, mais j'ai parfaitement compris le message. Seulement j'en avais déjà tellement parlé que ce n'était pas très important de toute façon. Et, comme je l'ai dit à la réunion du Congrès (1997), j'avais l'impression que ce sujet était comme le sexe. Vous savez, tout le monde sait ce que c'est mais personne n'en parle en public. J'attends de pouvoir en dire plus à une audition du Congrès où je pourrai être protégée.

Je crois le Dr. Greer. Je sens qu'il ferait tout ce qu'il dit, et qu'il saurait garder le secret que je lui confierais.

Je veux que cela paraisse quand ce sera nécessaire, quand ce sera le bon moment, quand cela aura les meilleurs effets. Je ne veux pas que ceux qui veulent contrôler cela se débarrassent des gens impliqués, les blessent, les mettent en porte-à-faux, ou leur fassent tellement peur qu'ils se rétractent, comme une certaine personne de ma connaissance qui a tout bonnement disparu de la surface de la Terre. Je ne veux pas de cela.

Mr. John Maynard
Membre officiel du DIA

Des sociétés impliquées dans cette affaire, Atlantic Research Corporation est l'une des plus importantes. On n'en entend pas souvent parler. Elle n'est pas très recommandable ; la plupart de ses activités est effectuée avec les services secrets. TRW, Johnson Controls, Honeywell : toutes, plus ou moins, sont en relations étroites avec les services secrets. Elles sous-traitent aussi certaines activités qui sont ensuite sous-traitées par d'autres sociétés ; comme Atlantic Research. Ce sont des entités qui ont été créées par le Pentagone, à l'écart de tous : elles reçoivent des projets, les octroient, en monnayent certains autres ; tous sont si fortement compartimentés que vous ne pourriez trouver que quatre personnes susceptibles d'être au courant. Le contrôle est très serré.


Dr. Robert Wood
Ingénieur chez McDonnell Douglas Aerospace

Comme vous devez le savoir, quand vous intégriez l'un de ces projets classés, vous portiez un badge spécial et vous pouviez parler en toute simplicité à quiconque se trouvait dans la pièce: l'on ressent la même chose dans un groupe lors d'une psychothérapie, il y a un très fort sentiment de camaraderie. De plus vous aviez accès à des bibliothèques spéciales.

L'une des choses que nous pouvions faire était de filer à la bibliothèque montée par l'Air Force et farfouiller dans les documents top-secret. Depuis que je m'intéresse aux OVNI, quand j'ai n'importe quel boulot à effectuer, je regarde aussi dans leur bibliothèque pour voir ce qu'ils ont sur le sujet. Et pendant un an j'ai glané quelques détails intéressants dans divers rapports. Mais d'un coup, la majeure partie des documents disparut. Le secteur entier consacré aux OVNI s'est vidé. L'archiviste de notre groupe avec qui je travaillais, en poste ici depuis vingt ans connaissait exactement la procédure: mais ceci était remarquable. Il disait qu'il n'avait jamais vu ça avant, que jamais aucun thème n'avait disparu comme ça d'un coup. Il disait que j'avais dû tomber sur quelque chose...

Parallèlement, il se passa autre chose qui résultait de mon association avec Jim McDonald.

J'aimais le bonhomme ; c'était vraiment un physicien énergique qui prenait toujours le taureau par les cornes. Quand il s'occupait de quelque chose, il y plantait ses dents jusqu'à avoir la matière d'en convaincre, de manière accablante, les professionnels en la matière. Il devait parler à l'American Institute of Aeronautics and Astronautics et à l'American Physical Society, aussi devins-je membre des deux... Quand il était en ville, je le prenais, l'escortais, veillais à ce qu'il fut bien accueilli.

Un jour, comme je passais dans sa ville, Tucson, je m'arrêtais (j'avais deux heures de libre avant de prendre un avion) et il me rejoignit pour prendre une bière avec moi.

Je lui demandais "Quoi de neuf Jim ?".
Il répondit "Je crois que je la tiens".
"Tu tiens quoi ?"
"Je crois que je tiens la réponse"
"Quelle réponse ?"
"Je ne peux encore rien dire. Il faut que je sois sûr".

Six semaines après, il essayait de se tuer, pour finalement mourir deux mois après.
Connaissant l'habileté du contre-espionnage, je pense qu'ils ont eu la capacité de le pousser au suicide. Je pense que c'est ce qu'ils ont fait.

Si vous voulez réellement contrôler ce sujet, vous devez le contrôler à tous les niveaux en commençant bien évidemment par celui des médias. Vous devez surveiller tous les types de médias, les films, les magazines, et, bien entendu, la presse, aussi bien écrite que télévisée ou radiophonique. Maintenant, nous avons en plus Internet et toutes sortes d'autres supports. Mais pendant que la technologie se développait sur de nouveaux axes, les gens s'inquiétaient du contrôle qui s'était aussi développé sur ces mêmes axes. Ainsi, à chaque fois qu'un nouvel axe se crée, son contrepoids se crée aussi.

Glen Dennis
Témoin du crash d'un OVNI au Nouveau-Mexique

Un des MP [Police Militaire] me prit à part et me dit: "Hé! Monsieur... Restez ici, ne partez pas. Rien ne s'est passé ici. Si vous partez vous allez avoir de sérieux problèmes." Avec le caractère que j'avais à l'époque, je lui ai répondu : "Je suis un civil... Allez au diable!". Il m'a répondu que c'est moi qui irais en enfer. Qu'un jour, quelqu'un retrouverait mes os dans le sable si je parlais.

Sergent Leonard Pretko
US Air Force

Dans l'armée ils vous ridiculisent, et je l'ai été quelque fois, quand vous faites allusion aux OVNI. On m'a dit que je ne serais jamais sergent-chef si je continuais à véhiculer ces conneries. Mon supérieur disait : "Si vous persistez, vous ne passerez jamais sergent-chef. Vous commanderez les techniciens, mais jamais vous ne serez sergent-chef. Ils vous forcerons à quitter l'armée.

Dr Roberto Pinotti
Spécialiste des OVNI italien

Il y a probablement, dans chaque partie du monde, des liens invisibles avec un collège restreint, confidentiel et bien défini, qui préserve le secret. Ils font des recherches en commun, mais ont pour but secret le bénéfice d'avancées technologiques applicables dans divers secteurs. Le problème OVNI n'est pas seulement scientifique, c'est aussi un problème de renseignements militaires.

C'est l'autre côté important de la réalité OVNI. Quand nous commençons à comprendre ceci, nous pouvons comprendre un tas de choses ayant lien avec le pouvoir. Le pouvoir partout, dans chaque pays, avec chaque gouvernement, dans toutes les situations.

Dr Paul Czysz
Ingénieur de carrière chez McDonnell Douglas

Cet univers est un peu comme "Casper, le gentil fantôme". Vous pouvez voir un dessin animé avec lui mais vous ne pouvez pas connaître ses dimensions réelles, ni savoir d'où viennent ses fonds, ni encore, à cause du cloisonnement de connaître le nombre de personnes impliquées, ni même l'engagement qu'ils appliquent. Je connais des gens qui ont travaillé sur une de ces choses sur lesquelles j'ai travaillé, mais si vous leur posez des questions à ce sujet, même par le biais d'Internet, elles disent, non, je ne vois pas de quoi vous voulez parler. Ils ont dans les soixante-dix ans, maintenant, mais ils n'admettront absolument jamais n'avoir jamais connu ce dont vous parlez. Vous n'avez pas idée de cela : cela doit être bien plus important que nous le pensons.

Edgar Mitchell
Astronaut

C'était de la désinformation afin de détourner l'attention et créer une confusion d'où la vérité ne pouvait pas sortir. La désinformation est simplement une autre méthode pour emmurer la vérité. Et c'est ce qui est utilisé abondamment depuis peut-être plus de 50 ans: Le ballon météo au-dessus de Roswell est opposé au crash d'un vaisseau ou quoi que ce soit. C'est de la désinformation. Nous voyons cela depuis 50 ans. Et c'est la meilleure manière de cacher quelque chose.

Quelle que soit son activité, c'est un groupe clandestin, en partie privé, en partie gouvernemental, sans type défini, autant que je puisse dire, et loin du contrôle de la tête de l'état. C'est ça le grand problème.

John Callahan
Responsable au sein de l'Office of Accident Investigation, un département de la Federal Aviation Administration

Quand cela fut fait, ils ont fait jurer tous les autres gars présents que ceci n'avait pas eu lieu. Que nous n'avions pas assisté à cette réunion. Que rien n'avait été enregistré...

C'était par un de ceux de la CIA. Ils n'avaient jamais été présents et ceci ne s'était pas produit. Alors je leur dis : "Je ne comprends pas pourquoi vous demandez cela. Je veux dire, il y a quelque chose là, et si ce n'est pas un bombardier furtif alors c'est un OVNI. Et si c'est un OVNI, pourquoi ne voudriez-vous pas qu'on le sache ?"

Oh, ils étaient tous énervés. On ne pourrait même pas répéter ce qu'ils ont dit. Le gars de la CIA dit que c'était la première fois qu'ils avaient 30 minutes de données radar sur un OVNI. Et ils avaient tous hâte d'éplucher ces données pour découvrir ce que c'était et où ça nous emmenait. Il ajouta que s'ils allaient raconter au public américain qu'ils avaient poursuivi un OVNI cela causerait un vent de panique à travers tout le pays. C'est pour cela que l'on ne pouvait en parler. Et qu'ils allaient traiter ces données...

Quand ils lurent le rapport effectué, la FAA décida de se protéger, "vous ne pouvez pas dire que vous avez vu un spot non identifié sur le radar", bien que ce soit sur le rapport. Aussi le lui ont-ils fait changer et utiliser le terme de "position symbolique", qui sonne comme si ce n'était pas vraiment un écho radar. Mais si ce n'était pas un écho radar, des tas d'autres "positions symboliques" n'en sont pas. Quand je lus ceci, je pensais qu'il y avait anguille sous roche, que quelqu'un avait quelque chose à cacher.

Quand la CIA nous dit qu'il ne s'était jamais rien passé et que nous n'avions jamais eu cet entretien, c'était pour le cacher totalement, alors que d'habitude quelques informations sans importances sont rendues publiques.

J'ai été impliqué dans quantité d'entreprises de dissimulation avec la FAA. Quand nous avons fait la présentation de l'événement à l'équipe Reagan, j'étais derrière le groupe présent. Quand ils firent leur allocution publique ils jurèrent tous qu'il ne s'était rien passé. Mais à moi, ils ne m'ont jamais rien juré... et ça m'a toujours tracassé toutes ces choses non expliquées ainsi que ce dénigrement systématique, comme de vulgaires fictions, de tous les événements relatés aux informations, à la radio et à la télévision. Mon silence m'a pesé...

Michael Smith
Contrôleur Radar US Air Force

Le NORAD (Commandement Nord Américain de la Défense Aérienne) est au courant. Ils ont appelé le NORAD. Un officier me mit de côté et dit que le NORAD était au courant, ce sont les seuls à avoir été informés. Sinon, nous n'en avons parlé à personne d'autre. A personne. Ceux qui savent le savent. Nous avons juste assisté à ce qui s'est passé, c'est tout. C'est notre boulot. J'ai insisté pour qu'il y ait un rapport. Il me répondit que le seul rapport qui existera sera composé de deux pages à propos de mon observation tout le reste étant mon profile psychologique, celui de ma famille, mes ascendants, tous.

Quand l'Air Force commence comme ça, elle peut vous discréditer totalement en disant que vous étiez sous l'influence de drogues, que votre mère est communiste, tout ce que vous voulez. Vous n'aurez plus d'avancement, on vous enverra 3 ans et demi au Pôle Nord, vivant sous la tente, à lâcher des ballons météo. Vous voyez le genre. Le message était fort et clair : je la ferme, je ne dis rien à personne...

Je vais vous citer une autre expérience. J'étais au radar, et le NORAD m'appelle pour m'informer qu'un OVNI arrivait vers la côte californienne et qu'il serait dans mon secteur sous peu.

Je leur demandais ce qu'ils voulaient que je fasse. Ils me répondirent : "Rien du tout. Vous observez mais vous ne consignez rien." Nous avons un journal dans lequel nous devons consigner tout événement sortant de l'ordinaire. Mais ils insistèrent bien pour que rien n'y soit consigner. Je pouvais seulement assister au phénomène, rien d'autre. Le NORAD était tout à fait informé, bien entendu que des OVNI circulaient et leur réaction était comme à leur habitude.

Le gouvernement les couvre. Ils ne veulent pas que cela se répande. Pourtant c'est une technologie tellement remarquable... Ces êtres viennent d'on ne sait d'où. J'aimerais que tout le monde soit au courant...

Après le premier événement en Oregon, je rentrai chez moi et en parlai à mon père. Il était "bleu, blanc, rouge" de la tête aux pieds, un vétéran de la deuxième guerre mondiale patriotique au dernier degré... Je lui parlais de ces OVNI que l'on voyait régulièrement et il me répondit : "Non, le gouvernement dit que ce ne sont pas des OVNI". Je lui répliquai que je les avais vus de mes propres yeux sur l'écran radar, et lui : "Allez! Le gouvernement ne me mentirait pas..." Vous voyez... Il y avait en face de lui son fils... Jamais je ne lui mentirais.

Il ne savait plus quel parti prendre... Jusqu'à des années plus tard, après le Watergate: "Hola! Viens t'asseoir et raconte-moi ton histoire. Ils m'ont menti pour une bricole comme le Watergate, alors pour une grosse affaire comme celle-là..."

C'est un camouflage du gouvernement qui ferait mieux de ne pas exister. Il n'y a plus de guerre froide...

Je suis de l'avis du docteur Greer, que la technologie qu'ils ont pourrait nous permettre de stopper l'utilisation des carburants fossiles, arrêter les dommages à la couche d'ozone, etc... Ils ont la technologie nécessaire. Et le gouvernement est au courant. Ils ont ces extraterrestres, ces vaisseaux spatiaux, la technologie, tout... Qui sont-ils pour camoufler cela alors les autres gouvernements soulèvent le voile, admettent, montrent leurs fichiers... Pourquoi pas notre gouvernement ?

Franklin Carter
Technicien Radar US Navy

Ils ne voulurent absolument pas que quiconque apprenne quoi que ce fut de ce que nous avions vu. C'était le début du camouflage... Camouflage devenu incontrôlable.

Mais je sais que le seul peuple qui a gardé le secret jusqu'à aujourd'hui est le peuple américain. Tous les autres peuples savent et acceptent. Et tous les gouvernements aussi (excepté l'Angleterre) acceptent cela.

Neil Daniels
Pilote chez United Airlines

Dans le passé, les pilotes qui avaient vu "quelque chose" et en avaient parlé étaient mis sur la touche. Certains furent interdits de vol et traités comme des "rien du tout"... C'est pour ça que je n'en ai plus parlé pendant de si longues années.

Lieutenant Frederick Fox
Pilote de l'US Navy

On trouve dans la publication JANAP 146 E une section interdisant la révélation de toute information concernant des phénomènes OVNI sous peine d'une amende de 10.000$ et de dix ans de prison. Il est donc évident que, quelle que soit votre expérience, vous ne tentiez pas de transgresser le secret sans leur permission.

La question ne s'est jamais posée avec le contrôle aérien. Mais dans aucun cas je n'aurais ouvert la bouche. Il y avait un capitaine, Pete Killian, qui avait écrit quelque chose là-dessus dans un livre traitant du sujet OVNI. Il avait été pilote sur les lignes américaines dans les années 50 et avait témoigné devant une commission sénatoriale avoir été témoin à plusieurs reprises de phénomènes OVNI. Un autre capitaine avait, lui, pris une photo d'un OVNI au-dessus de l'aile de son avion. Tous deux, bien sûr, ont été littéralement ridiculisés. Je n'ai jamais eu envie de suivre ce chemin. Aussi, n'ai-je jamais rien déclaré au FAA (Federal Aviation Administration - Bureau Fédéral de l'Aviation) ni aux militaires. Beaucoup de pilotes ne voulaient pas être impliqués là-dedans à cause des pressions et du ridicule qu'ils auraient à subir. Aussi le secret a-t-il été bien gardé...

J'ai un ami très proche qui était pilote de B24 durant la deuxième guerre mondiale et membre de l'OSS (Office of Stategic Services - Bureau de Service Stratégique). Il fût l'une des premières personnes au Japon après les bombes atomiques d'Hiroshima et Nagasaki. Il a fini sur le Projet Bluebook, 13ème section, qui, je crois est la portion top-secret de cette enquête, comme capitaine de l'US Air force. Il est presque octogénaire maintenant, mais il est toujours en activité au grade de Capitaine. Je ne sais pas s'il touche une solde mais je sais qu'avec tout ce temps de service il devrait être au moins Général 3 étoiles, être dans le rang et payé en conséquence. La seule raison pour laquelle ils l'ont gardé en service actif est de maintenir son devoir de réserve et donc de l'empêcher de parler. Il y a certaines choses dont il ne me parlera jamais à cause de ce devoir de réserve, et ce, malgré certaines de mes autorisations d'accès à des informations top-secrètes dans la Navy, ainsi que des centres d'intérêt communs.

Pour quelle raison le gouvernement, ou certaines de ses agences, juge-t-il nécessaire de maintenir ce silence, ces secrets d'un autre age. Je pense qu'il est temps pour nous d'agir, d'arrêter cette mascarade. De faire ce pas de géant qui ferait évoluer le genre humain et lui ferait goûter tous les fruits de la vie.

Captaine Robert Salas
Contrôleur du Commandement Statégique Aérien de l'US Air Force

J'ai rédigé un rapport sur cet incident : c'était dans le journal que j'ai dû rendre. Quand nous nous sommes rendus à la base nous avons été appelé au rapport, immédiatement. Dans la pièce, avec le Commandant, il y avait un de mes amis de l'AFOSI (Air Force Office of Special Investigation - Bureau des enquêtes spéciales de l'Aviation). Il était là, dans le bureau, avec le Commandant. Il m'a demandé le journal, ainsi qu'un bref rapport oral, bien qu'il semblât évident qu'il en sut plus long que nous sur la question. Nous lui fîmes tout de même une rapide relation de l'événement. A la fin il nous demanda à tous les deux de signer un accord de non-révélation disant que c'était une information classée, que nous ne devions la révéler à personne : ni nos collègues, ni nos épouses ou notre famille, ni même en parler entre nous...

Bob Kominski chapeautait la commission chargée d'étudier l'échec (accompagné de tous ces phénomènes) des essais du missile Atlas en 1964. Kominski m'a raconté dans une lettre qu'à un certain moment, son patron lui a rapporté que l'Air Force avait dit: "Arrêtez les enquêtes; n'allez pas plus loin et ne rédigez pas de rapport final". C'est très étrange, spécialement lorsque l'on pense que l'état-major du CINC-SAC avait déclaré qu'il était de la plus grande importance de découvrir ce qui s'était passé ici. Et pourtant les responsables de l'équipe d'investigation ont dû tout arrêter sans même rédiger de rapport final.

Professeur Robert Jacobs
US Air Force

Après un article paru sur l'incident, les gens sont devenus fous. Je commençais à être harcelé au travail. Je recevais d'étranges coups de téléphones durant la journée. La nuit, chez moi, il n'arrêtait pas de sonner, toute la nuit parfois. Trois heures du matin, quatre heures, minuit, dix heures du soir. Ils m'appelaient et commençaient à m'insulter. "On va pas te laisser faire, sale enculé! On va pas te laisser faire!" .C'est tout ce qu'ils disaient. Ils gueulaient ça jusqu'à ce que je raccroche.

Une nuit quelqu'un a fait sauter ma boîte aux lettres en y fourrant un paquet de feux d'artifices. La boîte s'est volatilisée en flammes. Puis vers une heure le téléphone a sonné. Je décroche et quelqu'un me dit: "Tu as vu le feu d'artifice dans ta boîte? Quel beau spectacle, sale enculé!"

Et ça continue encore de temps en temps, depuis 1982...

Je crois que tous ces illuminés que l'on trouve autour de la question extra-terrestre font partie d'un effort concerté pour écarter toute étude sérieuse. A chaque fois que quelqu'un essaye d'étudier le sujet sérieusement, il est complètement ridiculisé. Je suis un professeur à part entière dans une université importante. Mais je suis certain que mes collègues se moquent de moi, disent les pires choses quand ils savent que j'étudie les phénomènes extraterrestres, et ce n'est qu'un aspect de cette réalité qui nous entoure.

Savoir ce qui est arrivé au film est une histoire intéressante en elle-même comme le major Mansmann le raconta, à moi et à d'autres. Quelques temps après que je sois parti, des gars en civil, je pensais à la CIA mais il m'affirma que non, prirent le film, débobinèrent la partie qui montrait l'OVNI, la coupèrent aux ciseaux pour la mettre sur une autre bobine qu'ils rangèrent dans leur attaché-case. Ils ont rendu le reste au Major Mansmann et lui dirent: " Nous n'avons pas besoin de vous rappeler, Major, la gravité d'une brèche dans la sécurité; nous considérons cet incident clos". Puis ils sortirent avec le film: le Major Mansmann ne l'a jamais revu.

Harry Allen Jordan
US Navy

Un lieutenant-colonel que je ne connaissais pas très bien vint et me dit: "Qu'est-ce qui se passe Jordan? Qu'est-ce que vous avez mis dans votre livre de bord?" Il ajouta: "Vous n'avez pas besoin de mettre ça là-dedans".

Maintenant il est très difficile, très difficile pour moi d'écrire ça, particulièrement sur le livre de bord d'un navire. J'avais eu des contacts visuels et j'avais commencé à écrire le mot "OVNI".

James Kopf
US Navy, service cryptographie

Quelques jours après le Commandant et son second firent une brève allocution sur le réseau de télévision interne du bord. C'était la seule manière de s'adresser à l'ensemble des 5000 hommes d'équipage. Le Commandant regarda la caméra et dit, je n'oublierai jamais cela, "J'aimerais rappeler à l'équipage que certains événements qui se produisent à bord d'un vaisseau de guerre sont considérés comme confidentiels et ne devraient pas être abordés avec quiconque sans raison valable". Il ne dit que cela.


Voici la video complète en VO sous-titré en français de la conférence "Disclosure Project" sur une partie de ce même sujet précis :


Robert O. Dean
Cdt Analyste Renseignements OTAN

Bob Dean fut analyste du Renseignement militaire au Haut Commandement de l'OTAN. Actuellement agé de 83 ans, il avait été affecté au QG du Shape près de Paris de 1963 à 1967 avec la plus haute habilitation "Cosmic Top Secret". Il raconte et appuie ses théses sur des informations vérifiables et de 1ère main obtenus auprés de ses nombreux amis et collaborateurs militaires... Voir aussi sa conférence de 2009 au lien ; YouTube

Autre lien pour le texte traduit : http://projectavalon.net/lang/fr/bob_...


A compléter avec d'autres sources à venir, mais il y a déjà aussi ces pages à lire sur votre site :


Yves Herbo-SFH-12-2013