dimanche 26 janvier 2014

Les Tunnels Secrets du plateau de Gizeh 2

Les Tunnels Secrets du plateau de Gizeh 2

Gizeh1

Voici la suite de cette première page sur les données concernant le sous-sol de Gizeh, objet de ce rappel (et aussi par rapport à la réalité de la déstabilisation politique de l’Égypte depuis ces découvertes) : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/les-tunnels-secrets-du-plateau-de-gizeh.html

Voici des extraits d'un excellent article parut assez récemment, et résumant une grande partie des données sur le sujet. Comme je ne suis pas partisan de refaire sans arrêt (comme certains) un travail déjà très bien fait par quelqu'un, je préfère citer l'auteur en question plutôt que de réécrire (à l'aide logiciels parfois) comme certains la même chose dite différemment... :

" Les fouilles de Gizeh ont révélé des passages souterrains, des temples, des sarcophages et une cité souterraine qui leur est reliée, et la preuve que les passages souterrains reliaient le Sphinx aux Pyramides est une autre étape vers la confirmation que le complexe a été soigneusement et spécifiquement conçu dans sa totalité.

Démentis officiels…

Grâce aux fouilles du Dr Selim Hassan et aux techniques modernes de surveillance spatiale, les récits et traditions des anciennes écoles de Mystères d’Egypte qui prétendaient conserver la connaissance secrète du Plateau de Gizeh atteignirent tous le plus haut degré de vraisemblance.

Toutefois, l’aspect le plus énigmatique de la découverte des installations souterraines de Gizeh est le démenti répété de leur existence par les autorités égyptiennes et les institutions universitaires. Celui-ci fut si obstiné que les affirmations des Écoles de Mystères furent mises en doute par le public et suspectées d’avoir été créées de toutes pièces aux fins de mystifier les touristes.

Le comportement formaliste est caractérisé dans une déclaration publique de l’Université de Harvard en 1972 :

‘’ Personne ne doit prêter la moindre attention aux revendications saugrenues concernant l’intérieur de la Grande Pyramide ou les corridors supposés ainsi que les temples, les salles sous le sable entourant la Pyramide, faites par ceux qui s’associent aux soi-disant cultes secrets ou sociétés occultes d’Egypte et d’Orient.

Ces choses existent seulement dans l’esprit de ceux qui cherchent à attirer les amateurs d’énigmes, et plus nous démentons l’existence de ces éléments, plus le public est conduit à supposer que nous cherchons à cacher volontairement ce qui constitue un des grands secrets de l’Égypte.

Mieux vaut ignorer toutes ces prétentions plutôt que de simplement les démentir. Toutes nos fouilles dans le secteur de la Pyramide ont échoué quant à la révélation de quelques passages ou salles souterraines, temples, grottes, ou autres choses du genre que ce soit, à l’exception du seul temple jouxtant le Sphinx.’’

Cette ligne stratégique aurait pu suffire à contenir l’opinion intellectuelle mais des déclarations officielles démentant formellement l’existence de temples jouxtant le Sphinx avait déjà été émises les années passées.

L’affirmation que chaque pouce de terrain autour du Sphinx et des pyramides avait été exploré en profondeur fut contredite quand le temple proche du Sphinx fut découvert dans le sable et finalement ouvert au public.

Sur des sujets échappant à la politique officielle, il devint évident qu’un haut niveau élevé de censure était appliqué de façon à protéger les religions et conceptions historiques tant occidentales qu’orientales.


En dépit de découvertes sensationnelles, l’absolue vérité de l’histoire primitive Égyptienne demeure méconnue dans une large mesure, d’où un territoire non cartographié.

Il est dès lors impossible de préciser le nombre de kilomètres de passages souterrains et de salles sous le Plateau de Gizeh qui furent éclairés, mais une chose est sûre : à moins que les anciens aient eu la faculté de voir dans l’obscurité, ces vastes espaces le furent forcément. La même question s’applique à l’intérieur de la Grande Pyramide, et les égyptologues s’accordent sur le fait que l’on n’utilisa pas de torches ardentes car les plafonds ne sont pas noircis.

D’après ce que l’on sait aujourd’hui, il est possible d’estimer à au moins cinq kilomètres de passages sur 10 à 12 étages. Le Livre des Morts et les Textes des Pyramides font tous deux des allusions frappantes aux “Constructeurs de Lumière”, et cette extraordinaire description peut s’appliquer à un corps de métier responsable de l’éclairage des zones souterraines de leurs complexes.

Jamblique rend compte d’un fascinant récit tiré d’un très ancien papyrus égyptien issu d’une mosquée du Caire. Il s’agit d’un extrait, par un auteur inconnu du 1er siècle de notre ère, comptant l’exploration d’un groupe de personnes qui parvint à l’entrée d’une des salles souterraines autour de Gizeh.

Ils décrivirent leur expérience :

‘’ Nous arrivâmes à une salle. Quand nous entrâmes, elle s’éclaira de manière automatique grâce à la lumière d’un tube de la hauteur d’une main d’homme étendue (environ 15 cm), situé à la verticale dans un angle. Comme nous approchions du tube, il brillait davantage…

Les esclaves furent effrayés et s’enfuirent en courant dans la direction d’où nous étions venus ! Quand nous le touchâmes, il s’éteignit. Nous fîmes notre possible pour que le tube brilla de nouveau, mais il ne donnait plus de lumière. Dans quelques salles les tubes lumineux fonctionnaient, dans d’autres, non.

Nous brisâmes l’un d’entre eux qui laissa s’écouler des perles d’un liquide argenté qui roulaient rapidement sur le sol jusqu’à disparaître dans les fentes (du mercure ?).

Au fil du temps, les tubes lumineux commencèrent progressivement à s’éteindre et les prêtres les enlevèrent pour les entreposer dans un caveau souterrain spécialement conçu à cet effet au sud-est du plateau.

Ils attribuaient la création de ces tubes lumineux à leur Imhotep bien-aimé, pensant qu’il reviendrait un jour les rallumer.’’

Une pratique courante des Egyptiens de l’antiquité consistait à sceller des lampes allumées dans les sépultures de leurs défunts comme offrandes à leur divinité ou pour accompagner les décédés sur la voie les menant à “l’autre rive”.

Parmi les tombes proches de Memphis (ainsi que dans les temples de l’Inde brahmanique) , on découvrit des lampes en fonctionnement dans des salles ou des récipients hermétiquement scellés, que la soudaine exposition à l’air libre éteignit ou provoqua l’évaporation du combustible.

Plus tard les Grecs et les Romains maintinrent cette tradition et même la consacrèrent; non seulement avec de réelles lampes, mais aussi par des reproductions miniaturisées de terre cuite, ensevelies avec les morts. Quelques lampes furent protégées dans des récipients cylindriques, et il existe des exemples pour lesquels l’huile d’origine fut retrouvée parfaitement conservée après plus de 2.000 ans…

Il existe des preuves évidentes, confirmées par témoins oculaires, que les lampes éclairaient tant que les sépultures étaient scellées, d’autres rapportant qu’elles brûlaient encore quand les caveaux furent ouverts des centaines d’années plus tard.

La capacité à composer un combustible qui se renouvelait de lui-même aussi rapidement qu’il était consumé fut source d’un différend considérable parmi les auteurs médiévaux, et de nombreux documents existent, avec des ébauches d’arguments.

Après avoir dûment constaté l’évidence même, il semble bien que les anciens prêtres-chimistes égyptiens possédaient, dans l’éventail de leurs compétences, celle de manufacturer de leurs mains des lampes qui brûlaient indéfiniment ou du moins pendant des périodes considérables.

De nombreuses autorités ont écrit sur le thème des lampes perpétuelles, et W. Wynn Wescott estime le nombre d’auteurs ayant pris ce sujet en considération à plus de 150 et H. P. Blavatsky à 173.

Bien que les différents auteurs parviennent à des conclusions variées, une majorité admet l’existence des lampes prodigieuses. Seuls quelques uns soutenaient que les lampes brûlaient éternellement, mais beaucoup voulaient bien admettre qu’elles pouvaient rester allumées plusieurs siècles, sans renouvellement du combustible.

On pensait généralement que les mèches de ces lampes perpétuelles étaient faites d’asbeste tressée ou enroulée, que les premiers alchimistes appelaient ” laine de salamandre”. Il sembla que le combustible fût un produit de la recherche alchimique, peut-être fabriqué dans le temple du Mont Sinaï.

Plusieurs formules de préparation de ce combustible pour les lampes furent sauvegardées. Dans l’œuvre profonde d’H.P. Blavatsky, Isis Dévoilée, l’auteur recopie deux formules compliquées, empruntées aux auteurs primitifs, d’un combustible qui “une fois fabriqué et allumé, brûlera d’une flamme perpétuelle en tout lieu de votre choix”.

Certains croient que les prétendues lampes perpétuelles des temples étaient des dispositifs mécaniques truqués, et l’on colporta des explications bien peu sérieuses.

Il existe en Égypte d’importants gisements souterrains d’asphalte et de pétrole et certains en concluent que les prêtres reliaient les mèches d’asbeste à un gisement pétrolifère par un conduit secret qui reliait une ou plusieurs lampes.

D’autres pensent que la croyance selon laquelle les lampes brûlaient indéfiniment dans les tombes s’explique par certains cas de vapeurs ressemblant à de la fumée qui se déversaient à l’entrée des caveaux nouvellement dégagés.

Des groupes qui y sont entrés par la suite, ayant découvert des lampes répandues au sol, assurèrent qu’elles étaient la source des vapeurs. Il y eut quelques histoires bien documentées au sujet de la découverte des lampes perpétuelles non seulement en Égypte mais aussi en d’autres parties du monde.

Montfaucon de Villars fit ce récit fascinant de l’ouverture du caveau de Christian Rosenkreuz. Quand les Frères entrèrent dans le tombeau de leur illustre fondateur 120 ans après son décès, ils trouvèrent une lampe perpétuelle éclairant brillamment dans une suspension au plafond. “Une statue en armure (un robot ?) détruisit la source de lumière quand on ouvrait la salle.”

Cela se rapproche étrangement des récits des historiens arabes qui affirmaient que des automates gardaient les galeries sous la Grande Pyramide.

Un récit du 17ème siècle donne une autre version de ce robot. Dans le centre de l’Angleterre, on découvrit un tombeau étrange contenant un automate qui bougeait quand un intrus marchait sur certaines dalles du sol du caveau. A cette époque, le différend Rosicrucien était à son apogée, aussi décida-t-on que le tombeau était celui d’un initié Rose-Croix.

Un campagnard découvrit le tombeau et trouva l’intérieur brillamment éclairé par une lampe suspendue au plafond. Comme il marchait vers la lumière, son poids fit glisser les pierres du sol et, instantanément, une silhouette assise dans une lourde armure commença à bouger. Elle se dressa de façon mécanique et frappa la lampe avec une baguette de fer, la détruisant et empêchant ainsi la découverte de la substance secrète entretenant la flamme.

On ignore combien de temps la lampe avait brûlé, mais le compte-rendu fait état d’un nombre d’années considérable…

Mais encore:

Un archéologue égyptien admet que les pyramides contiennent de la technologie extraterrestre… Le 28 novembre 2010, dans une déclaration choc, le chef du Département Archéologique de l’Université du Caire, le Dr Ala Shaheen a dit à un auditoire : qu’il pourrait y avoir une théorie comme quoi les extraterrestre ont aidé les anciens Égyptiens à construire la plus ancienne des pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh (ou bien ces anciens Égyptiens étaient des aliens ?).

Interrogé par M. Marek Novak, un délégué de la Pologne lui a posé la question est ce que la pyramide pourrait contenir de la technologie extraterrestre, ou même un OVNI ?

Le Dr Shaheen, restant vague a répondu :

« Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui n’est pas de ce monde ».

Les délégués à la conférence sur l’architecture égyptienne antique ont été choqués, mais le Dr Shaheen a refusé de commenter ou d’apporter des précisions sur l’ovni ou les extraterrestre.

Or, fait étrange, il y a plusieurs années, en 1961, les russes avaient lancés un projet, le projet Isis, afin de récupérer les connaissances cachées dans la grande pyramide. Ces connaissances auraient été stockées dans une bibliothèque appelé la chambre des connaissances.

Finalement les équipes russes auraient récupéré des documents ainsi que le corps d’un extraterrestre.
Beaucoup d’entre vous ont sans doute déjà visionné ce reportage, je ne me prononcerai pas sur la réalité ou pas de cette histoire, mais cela vient corroborer les dires du Dr Ala Shaheen, et aussi ce que beaucoup soupçonnent de longue date.

On sait aussi, mais beaucoup moins, qu’il existe également sous les pyramides un vaste complexe, et des vestiges gênants d’une science très avancée, comme le prouve le Nexus n° 33.

Extrait :
Le Sphinx et les Pyramides ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg…

Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Égypte, de Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif de l’École d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande Pyramide par le corps du Sphinx :

Cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération publique, et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée.

Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ.

Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis était “un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la face, à celle d’un lion”.

Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments, ajoutait que “Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer”, mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers “la demeure secrète des Anunnakis” n’était plus bloqué.

Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme était parfaitement opportun.

Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs.

Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive Est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour.

Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau.

Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.

L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le “Chemin d’Horus” à travers le nord Sinaï.

Ceci n’est qu’un tout petit extrait de ce sujet, à voir ici, il est passionnant :


Il n’est nul doute, que dans les pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des secrets cachés par les autorités, nous vivons dans un monde de mensonges constant, la vérité de notre monde sur Terre, sous terre, et dans l’espace, est falsifié…Mais jusqu’à quand ?

Un mur autour des pyramides …

En 2002, de manière presque inaperçue par le public mondial, un vaste mur de béton, surmonté d’une grille, a été érigé autour du terrain de Gizeh. Dès le début, Armin Risi a observé la construction. Voici son premier rapport de la situation.

En mars 2002, j’ai entendu pour la première fois parler qu’un mur serait construit autour du plateau des pyramides et le terrain environnant. Des amis de retour d’Egypte, avaient vu les fondations ainsi que les premières parties du mur. Quand le petit groupe privé de touristes voulait suivre la ligne des fondations qui conduit jusqu’au désert, il en a été empêché par des gardiens armés.

On leur a interdit de faire d’autres photos, ce qui nous a tous rendus encore plus curieux. Qu’est-ce qui se passait ici ?

Un mur mystérieux, une cadence élevée de travail…

Apparemment, tout d’abord ce sont les fondations qui ont été érigées environ ½ mètre dans le sol, entremêlées d’une suite d’une double rangée de tiges en acier (avec tous les 10 cm deux des tiges en face). Pourquoi ce mur en béton doit-il être tellement renforcé ? Et pourquoi sur une longueur de plusieurs kilomètres ?

Et pourquoi les premières parties du mur, ont-elles été érigées à des angles très éloignés du plateau ou ni des touristes ni même les gens du pays se rendent ? Est-ce que l’on voulait cacher le plus longtemps possible ce que l’on recherche par ici ?

La visite suivante en juillet 2002 montrait que le mur grandissait à une cadence alarmante. Ici, on travaillait 24 heures par jour ! Et au sommet du mur d’une hauteur d’environ 4 mètres, se dressaient des tiges en fer de 3 mètres.

Lors des visites en décembre 2002 et février 2003, on pouvait constater ce que cette construction signifiait : entre-temps le mur avait atteint le plateau des pyramides et sur les tiges en fer des grilles avaient été fixées.

En avril 2002 j’avais informé le chercheur bien connu, le professeur Jim Hurtak, de cette construction. A cette époque, il n’en avait pas encore entendu parler, mais il envoya un collaborateur qui confirma la chose et ramena de nombreuses photos. Sur son site web, le professeur Hurtak publia l’estimation que le terrain emmuré aurait une superficie d’environ 8 km2.

De plus, il relata que « l’installation du mur est tellement gigantesque que dans ce but quelques bâtiments et logements de village ont certainement dû être démolis et enlevés. De ce fait, il faut supposer que ce n’est pas seulement l’intérêt des touristes qui est en jeu.

Ce que nous avons ici est un plan plus grand, bien réfléchi qui inclut également les sites environnants et doit sécuriser probablement des tombes souterraines, tunnels et couloirs…etc

Le financement de ce mur viendrait des USA, il est question, entre autre, de “Stanford University“

Quelles sont les motivations ? On sait que pendant les dernières années, de nombreuses fouilles ont eu lieu sur le plateau de Gizeh. Ainsi, le sol a été « radiographié » par sonde acoustique et les pyramides étaient plusieurs fois fermées quelques mois. En février 2003, les trois pyramides étaient fermées aux touristes. Pour des travaux de rénovation !

Serait-on en train de faire des recherches à l’intérieur ? Ou les rumeurs concernant des souterrains et espaces sous le plateau sont-elles fondées ? Des fouilles sont-elles programmées dont le public ne doit rien savoir ?

Ce ne sont que des spéculations, mais en tout cas cela vaut la peine de garder sous surveillance cette région dans un proche avenir surtout par des chercheurs indépendants.

Les Pyramides de GIZEH un  mur de 8km² .


Armin Risi

Il paraitrait, selon plusieurs témoins, que depuis la construction de ce mur, les excavations en sous-sol vont bon train sur le site fermé et isolé des curieux, des bruits de grosses machineries sont également entendu, mais nul ne sait de quoi il s’agit réellement !

Une zone ou personne n’avait accès jusqu’à présent, a été découverte également, les États-Unis exercent une surveillance accrue sur une structure interne de la pyramide. La chose la plus étonnante est que dans cette salle découverte il y avait une signature thermique importante, de la chaleur … Et on mentionne la présence d’une «entité».

Des forces spéciales ont été déployées aux alentours, et aux environ des 22, 23 avril cette entité inconnue est apparut, très grande, et étant vêtue d’or, portant une coiffe d’oiseaux. En consultant nos amis de la Geomatrix Gizeh, il semblerait que ce soit Thoth !

Thôt :

Dans la mythologie égyptienne, Thot est le dieu lunaire. Représenté comme un ibis au plumage blanc et noir ou comme un babouin, Thot capte la lumière de la lune, dont il régit les cycles, à tel point qu’il fut surnommé « le seigneur du temps ».

Inventeur de l’écriture et du langage, il est la « langue d’Atoum » et le dieu des scribes. Incarnation de l’intelligence et de la parole, il connaît les formules magiques auxquelles les dieux ne peuvent résister. Selon la légende, celui qui était capable de déchiffrer les formules magiques du Livre de Thot pouvait espérer surpasser même les dieux.

Le respect que Thot inspire lui vient de son savoir illimité. Toutes les sciences sont en sa possession : Il connaît tout et comprend tout. En tant que détenteur de la connaissance, il est chargé de la diffuser. C’est pourquoi il a inventé l’écriture. Les anciens égyptiens pensaient que le savoir et la connaissance leur avaient été transmis par des livres et des écrits que Thot avait volontairement abandonnés dans des temples.

Il préside à l’audition des morts au tribunal d’Osiris, et c’est Anubis qui pèse et juge les âmes en les comparant au poids d’une plume. Lors de son combat avec Seth, Horus perdit son œil, mais le retrouva par la suite grâce à Thot. Appelé « Oudjat », cet œil représente la victoire de l’ordre (légitime, Horus étant l’héritier du défunt Osiris) sur le chaos (Seth, qui perturbe l’ordre dynastique, et par conséquent l’ordre du monde).

On ne peut également s’empêcher de re-penser aux écrits et aux dires d’ Edgar Cayce !

Edgar Cayce, né en 1877 et mort en 1945, son œuvre est considérable. Elle se compose d’environ 14 256 lectures, c’est à dire, de consultations et d’analyses données au cours d’une sorte de sommeil très spécial, apparenté à une transe médiumnique.

« Bientôt viendra le temps des grands changements ; et dans trois endroits différents, on exhumera les archives atlantes. Le Temple de l’Atlantide surgira à nouveau. C’est alors qu’on mettra à jour le temple, ou plutôt la salle des archives en Egypte, ainsi que les archives qui avaient été cachées au cœur du pays atlante : elles pourront y être retrouvées (…) Ces archives forment un tout »

A propos de la découverte de cette salle des Archives en Egypte à Gizeh, Cayce dit encore :

« En ce qui concerne les archives (géo)physiques, il sera nécessaire d’attendre que s’accomplisse le temps de la désintégration de ce qui a été fait par les volontés égoïstes du monde. Car rappelez-vous que ces archives ont été réunies dans l’optique des changements mondiaux ».


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Source : Z. Hawass

2009 : Pyramide de Gizeh : le mystérieux puits d’Osiris révèle ses secrets

Découvert en 1945 par l’archéologue égyptien Abubakr Abdel Moneim, un mystérieux puits inondé situé sous la chaussée de Kheops à Gizeh n’avait jamais pu être exploré. Il vient enfin de l’être, révélant tout un lot de surprises. Et ce n'est pas fini...

L’entrée du puits n’est pas visible de la surface, celui-ci étant creusé depuis un tunnel orienté nord-sud sous la chaussée de Kheops. Bien que son utilisation exacte n’ait pu être déterminée, les archéologues pensaient jusqu’à présent qu’il aurait pu servir de réserve d’eau fraîche pour les ouvriers locaux.

Cependant, d’autres chercheurs évoquaient l’entrée cachée d’un réseau secret de tunnels conduisant vers la Grande Pyramide, et pourquoi pas, jusqu’au Sphinx..

En 1999, Zahi Hawass, qui figure parmi les égyptologues les plus enthousiastes de notre époque, décidait d’excaver ce puits afin d’en entamer l’exploration et ainsi de faire taire – ou confirmer – les rumeurs.

Hawass puits2009b
Source : Z. Hawass

Ce n'était pas une réserve d'eau

Première tâche : réduire le niveau d’eau afin de pénétrer dans le puits. L’opération n’était pas simple et il a fallu pour cela faire appel à des machines spécialisées qui ont fonctionné durant toute l’exploration en produisant un bruit d’enfer… faisant craindre des séquelles pour l’ouïe des scientifiques ! Devant le risque d’effondrement non négligeable des parois soulagées de la pression de l’eau, des étançons en plâtre ont été placés en travers de l’ouverture en ses endroits les plus étroits, non pour les retenir mais pour signaler, en cas de rupture, tout mouvement suspect.

Ce que les archéologues découvrirent sous la surface initiale de l’eau fut aussi surprenant qu’inattendu. Un premier segment de tunnel, situé à 10 mètres de profondeur, conduit à une chambre souterraine de 8,6 x 3,6 mètres. Un second puits vertical, situé plus au nord, descend encore de 13,25 mètres pour donner accès à une autre chambre de 6,8 x 3,5 mètres, elle-même entourée de six pièces de taille plus réduite.

Trois des six petites chambres ont contenu un sarcophage en pierre correspondant à l’époque de la 26ème dynastie (-2374 à -2140) et deux d’entre eux au moins ont renfermé des ossements humains. Divers débris et fragments de poteries nettement plus anciens ont aussi été découverts à ce niveau.
En plus de ces six petites chambres, la pièce principale présente encore une ouverture dans son angle sud-est, où s’amorce un nouveau puits vertical. Celui-ci aboutit, 8 mètres plus bas, dans une nouvelle pièce de 9 mètres de longueur.

Celle-ci est la plus intéressante de toutes. Un pilier carré en orne chaque angle, tandis que l’espace compris entre ses murs a été creusé d’un canal, qui a probablement coulé jadis car ses extrémités situées à des hauteurs différentes lui donnent une certaine déclivité. Ce canal n’est pas rectiligne mais forme le signe hiéroglyphique signifiant maison. En son centre a été déposé un sarcophage de basalte noir, contenant des ossements humains ainsi que diverses amulettes. Étonnamment, on y découvre aussi des poteries rouges polies avec des traces de peinture blanche, qui remontent vraisemblablement à la 6ème dynastie, dite de Saïs (-640 à -558).

Hawass puits2009c
Source : Z. Hawass

Une mise en scène de la création du monde ?

Rien ne semble indiquer que cet endroit ait été utilisé pour ensevelir un personnage royal. En revanche, il est possible qu’il s’agisse d’une tombe symbolique dédiée à Osiris, le dieu des Enfers. Celle-ci prenait l’apparence d’une île entourée par les méandres du canal, qui semble délibérément conçu de façon à être empli par les eaux de ruissellement souterraines. Cette configuration représenterait alors les eaux primitives de Nun, qui ont recouvert le monde au moment de la Création, la partie centrale figurant la première terre émergente. L’écoulement des eaux du canal symbolise la connexion d’Osiris à la Fertilité et à la Renaissance. La disposition des quatre piliers autour de l’emplacement du sarcophage est similaire à la configuration de l’Osireidon de Seti 1er à Abydos, autre tombe symbolique d’Osiris, et pourrait représenter les quatre forces par lesquelles intercèdent les dieux.

Hérodote le Grec, considéré comme « le Père de l’Histoire », pourrait avoir décrit ce lieu dans un de ses textes, lorsqu’il cite en substance que « Khufu (Khéops) a été enterré sur une île dans une chambre souterraine, située dans l’ombre de la Grande Pyramide et alimentée par un canal partant du Nil ». Il ne peut cependant s’agir de Khéops, car la chambre récemment découverte par Zahi Hawass en est largement antérieure, ainsi que l’indiquent les fragments découverts datant de la 6ème dynastie.

Hawass puits2009d
 Source : Z. Hawass

De nouvelles découvertes en perspective

Et ce n’est pas tout… Un nouveau tunnel s’ouvre dans la partie nord-est de la partie la plus profonde du réseau, particulièrement étroite et encombrée de boue. Son entrée est juste assez large pour laisser passer un enfant. Depuis 1999, plusieurs tentatives ont été effectuées pour l’explorer, en vain. A 6,5 mètres de l’entrée, un robot a découvert un embranchement dont l’une des parties se prolonge à 10,5 mètres au moins, mais les caméras n’ont pu pénétrer plus loin car ces boyaux devenaient trop étroite et humides. Les scientifiques ont pu ensuite déterminer que la partie principale court sur une longueur totale d’au moins 21 mètres. Il s’agit là du dernier résultat obtenu.

Une nouvelle expédition est actuellement en cours, mettant en œuvre un robot japonais pour tenter de découvrir ce qui a motivé les anciens Egyptiens à creuser ce nouveau réseau de tunnels dans la roche à une aussi grande profondeur. Gageons que de nouvelles surprises attendent Zahi Hawass et son équipe...

Source : http://www.futura-sciences.com/magazines/sciences/infos/actu/d/homme-pyramide-gizeh-mysterieux-puits-osiris-revele-secrets-19625/

Le 3 mars 2008, 3 explorateurs britanniques - Andrew Collins, Sur Collins et Nigel Skinner Simpson - ont trouvé et sont entrés dans un complexe de grottes sous le plateau de Gizeh. Ils ont explorés les grottes 4 fois pendant le mois qui s’en suivit.

En septembre 2009, le Docteur Zahi Hawass fit une déclaration officielle disant que le système de grottes n’existe pas.

En septembre 2010 une émission d’History Channel avec le Docteur Hawass montre le système de grottes décrit par Collin, celui, qui selon Hawass, n’existe pas..

Hawass avouera plus tard que l’exploration de ce réseau de grottes est "la plus grande aventure qu’il n’ait jamais eu à Gizeh."

Voici l’incroyable histoire des grottes perdues de Gizeh.

http://nemesistv.info/video/46K3H87XDSA7/the-secret-caves-of-giza-vo

Le documentaire commence devant la tombe des oiseaux située au nord ouest du plateau de Gizeh, avec à l'intérieur des momies d'oiseaux, en abattant une entrée murée les explorateurs anglais découvrent un vaste complexe souterrain.

Docu1

Dans les semaines qui en suivirent le docteur Zahi Hawass, secrétaire général du Conseil suprême des Antiquités égyptiennes, dit qu'il n'y existe aucun réseau de la sorte en Egypte, par la suite dans une émission appelée Chassing Mummies de la chaîne History Channel, Hawass est surpris à montrer une entrée qui mène vers des cavernes remplies de chauves-souris, l'entrée secrète du tombeau des oiseaux....

Docu3

Pendant la visite, il parcourra une centaine de mètres dans ce réseau de caves et de tunnels, longueur qui correspond à la description du livre publié par Collins 1 an plus tôt sur ses premières recherches sur le site..

Docu4

Ensuite le documentaire parle de l'attraction mystique de l'Egypte pour les chercheurs ainsi que le fait que tous ont toujours dit et pensé qu'il y avait bien plus à trouver que ce qu'on a trouvé jusque maintenant, et ce malgré les centaines de pyramides déjà découvertes (L'actualité récente sur l'Egypte nous prouve qu'ils avaient raison..), quelque chose de manquant, caché sous terre, un chaînon entre l'ancienne et la nouvelle Egypte, peut-être celui qui nous enseignerait nos vraies origines.

Partie intéressante, la constellation du cygne à Gizeh.

280px cygnus constellation map fr

Il y a plus de 1600 ans, l'historien romain Marcelinus rapporte que près du plateau de Gizeh des passages souterrains et des fissures existent, de vrais chemins s'enfonçant dans le sol que l'on peut emprunter.

Dans les années 40 (l'an 40), les historiens arabes écrivaient qu'en prévision du déluge de grand passages souterrains avec des chambres furent construit afin de protéger l'intelligence et la connaissance de l'ancien monde.

Plus près de notre notre époque le grand médium Edgar Cayce parle d'un dépôt de connaissance, celui de la connaissance universelle. En 1930 il rapporte que ce 'Hall of records" est scellé depuis plus de 12 000 ans, selon lui ces écrits sont sur 32 tablettes de pierre dans une chambre souterraine sous le sphinx et qu'on y accède par des tunnels et des passages souterrains.

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Collins, chercheur réputé, y pensa toute sa vie jusqu’à leur découverte récente.

Collins ensuite nous parle de texte et de récits parlant d'une salle secrète dans la région de Gizeh, les anciens en parlent comme d'un savoir sur la vie après la mort et la possibilité de voyager dans les étoiles, qu'il doit exister une sorte de palais ou en tout cas une "structure géante" sous terre.

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C'est là qu'entre en compte la signification de la constellation du cygne, Collins pense que beaucoup de sites anciens sont alignés sur cette constellation à travers le monde.

Il explique que la constellation du cygne à toujours été vue comme la constellation de la vie après la mort, et ceci probablement à cause de sa position dans la voie lactée.

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Un autre chercheur nous explique qu'il a essayé de positionner la constellation d'Orion sur une photo aérienne des 3 pyramides et qu'il était content du résultat mais que lorsqu'il à essayé avec la constellation du cygne ça collait parfaitement. (Surtout avec la position de Deneb,en haut à gauche, et le site de Gebel Gibli, en bas à droite).

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Et on peut voir directement 3 étoiles du cygne se coucher sur le sommet des pyramides. De là ils en déduisent qu'il manque des étoiles de la constellation sur le site de Gizeh. Une des étoiles manquante pourrait être les ruines de Deneb, ruines de forme pyramidale mais s’arrêtant à quelques mètres du sol, site découvert par Lepsius mais classé sans importance. Dans la continuité de la recherche de l'empreinte de la constellation du cygne sur le plateau, Collins fût amené à chercher vers le nord ouest, à l'encontre des autres archéologues qui cherchaient généralement coté est, près du Sphinx et jusqu'aux pyramides, le coté ouest restant en grande part vierge de toute recherche...

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A partir de là Collins consulte de vieux documents et trace une droite entre le site de Gebel Gibli et la 2eme pyramide et tombe sur un site appelé le tombeau des oiseaux (Pits of birds mummies). Il se rend comte en l'explorant que c'est un endroit de culte des oiseaux, dont les dieux étaient associés au faucon et à l'ibis, les dieux Horus gardien du monde souterrain et Hermes(?) le gardien des écrits secrets.

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2ème partie : Le Journal de Salt, indice final. - Henry Salt: Artist, Traveller, Diplomat, Egyptologist
Partie importante de la découverte, en 2003, un archéologue découvre le journal de Salt qui parle de vastes réseaux souterrains sous Gizeh ainsi que de catacombes, qu'il a exploré dans les années 1800 avec Giovanni Caviglia (1) un capitaine italien, leurs écrits au sujet du monde souterrain de Gizeh ne seront jamais publiés, le fait de trouver des catacombes ornementés ne semblant guère intéresser qu'eux...

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Ce qui sera décrit dans le journal de Salt, ainsi que la position révélée par les 2 explorateurs, désigne précisément l'endroit connu sous le nom du Tombeau des oiseaux selon Collins. C'est à ce moment là que lui et sa femme pensent être passé à coté d'une entrée cachée à l'intérieur du tombeau, une entrée qui mènerait vers les catacombes dont parlait Salt.



(1) : Caviglia, Giovanni Battista (1770 - 1845)

Un des premiers explorateurs en Egypte, Caviglia était un capricieux italien inculte qui a passé son enfance en tant que capitaine de la marine. Néanmoins, il a trouvé sa véritable vocation dans l'égyptologie, à une époque où les hommes aventureux étaient peut-être plus adaptés à la profession que les savants d'aujourd'hui. Il a été employé par divers collectionneurs européens et a travaillé avec un certain nombre des premiers explorateurs, y compris des personnalités telles que Henry Salt. Salt a payé Caviglia pour excaver le Sphinx, mais apparemment, les deux hommes ont eu une embrouille après que Caviglia ait passé la plupart de son temps à la recherche de tombes de momies. Il est à noter qu'il est le premier explorateur à procéder à d'importantes fouilles à Gizeh, et a plus particulièrement étudié la Chambre Davison dans la Grande Pyramide, en espérant trouver une chambre secrète. Apparemment Caviglia était un homme très religieux qui a sentit les secrets mystiques détenus par la pyramide.

Explorateurs de l'Egypte : Lire la suite : http://www.touregypt.net/featurestories/egyptologists.htm



La découverte des grottes, mars 2008

Après maintes recherches à partir du site de Gebel Gibli, nos explorateurs mettent à jour un grand réseau de grottes souterraines, dont ils trouveront un accès à partir d'une fissure dans un mur du tombeau des oiseaux. Dès leurs premières visites du réseau ils trouveront une chambre massive qu'ils appelleront "le dôme".

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En l'explorant ils éprouvèrent des difficultés à respirer, par la suite ils trouvèrent des culs de sac dans le réseau, bloqués par des pierres massives, ainsi que d'autres chambres et passages se dirigeant vers le sud (sur un peu moins de 80 mètres..).

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En sortant du réseau un gardien leur raconta qu'il n'avait jamais visité les souterrains car ils étaient hantés par un serpent géant, Hanash.

Je vais faire court à partir de maintenant par manque de temps.. Mais sachez que malgré toutes ces découvertes à l'intérieur du réseau (des os et des crânes d'animaux entre autre), l'exploration prit fin parce que les officiels égyptiens les ont bridé dans leur recherche, les empêchant d'explorer le réseau comme ils l'auraient voulu (ils y retournèrent sans les officiels, parcourant ainsi plus de 110 mètres sous terre) et puis pour des raisons inconnues ils placèrent une grille d'acier à l'entrée du tombeau des oiseaux, prévenant ainsi toute exploration future..

Depuis, des tunnels souterrains reliant plusieurs sites sur le plateau de Gizeh commencent à apparaître grâces aux recherches et aux données satellites, reste au Conseil suprême des Antiquités égyptiennes de laisser les archéologues travailler en toute quiétude afin qu'ils puissent réécrire l'histoire..

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Ce qui m'amuse particulièrement dans ce reportage c'est que les photos et descriptions des tunnels correspondent à ce que raconte Lovecraft dans ses livres, sur la ville interdite et sur les salles enfouies sous Gizeh, pour quelqu'un qui n'a pu guère sortir de chez lui et à passé son temps à étudier l'histoire et la théologie, je me dit qu'il n'avait pas vraiment accès aux mêmes livres que nous avons aujourd'hui..


LE PERE KIRCHER ( 1601 - 1680 )

Le père Kircher fut un des personnages à mettre la main sur des archives des Templiers sur Gizeh mais, sachant que la postérité ne comprendrait pas forcément le Latin, l’Arabe, l’Hébreu de son livre OEDIPI aegyptiaci, il illustra celui-ci en nous faisant remarquer qu’un bon schéma vaut mieux qu’un long discours.

Ce schéma sera également repris et transmis à la postérité par le biais du livre intitulé : Vetera Monimenta, publié à Rome en 1690, du Père Joannes Ciampinus. Les pyramides terminées en pointe ainsi que celle terminée en plate-forme carrée, fortement mise en évidence, symbolisent le plateau de Gizeh.

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La partie inférieure du dessin qui est dessinée en coupe nous donne un avant goût de la configuration du sous-sol du plateau de Gizeh. Observons cette partie en coupe. Nous voyons en partant de la droite vers la gauche :

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1) Un escalier - E ) Un puits - Un tunnel à deux entrées - F) Un sarcophage sur lequel est positionnée une plaque gravée ou sculptée - Un labyrinthe, constitué de salles reliées entre elles, projeté sur le sol. Enfin sur la gauche, G ) un grand sarcophage sur lequel un faucon, symbolisant le dieu Horus, écarte les ailes.

Cette configuration du sous-sol du plateau de Gizeh sera confirmée par l’égyptologue M.r. Emile Baraize dont nous avons déjà mentionné le nom à l’occasion du couloir obstrué dans la face nord du Sphinx et par le rapport du Docteur Sélim Hassan, Directeur de l’équipe de recherches scientifiques de l’Université du Caire.

TEMOIN GENANT D’UNE CIVILISATION TRES AVANCEE.

Par Tony BUSHBY " 2003 d’après le Chapitre 8 de son livre The Secret in the Bible publié par Stanford Publishing Group et Joshua Books, PO Box 5149, Maroochydore BC, Qld 4558, Australia.

UNE CITEE ENFOUIE SOUS LE PLATEAU DE GIZEH.

En 1935, au moment de l’aboutissement de très importants travaux de déblaiement de sable et de coquillages dirigés par Emile Baraize, qui durèrent onze ans, des histoires remarquables commencèrent à naître au sujet des découvertes réalisées.


Un article de presse, écrit et publié alors par Hamilton M. Wright, traita d’une découverte extraordinaire sous les sables de Gizeh, que l’on refuse aujourd’hui d’admettre.

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L’article était accompagné de photographies d’origine venant du Dr Selim Hassan, le directeur de l’équipe de recherches scientifiques de l’Université du Caire qui fit la découverte. Il déclarait : Nous avons découvert un passage souterrain utilisé il y a 5.000 ans par les anciens Egyptiens. Il passe en dessous de la chaussée menant entre la deuxième Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la Pyramide de Khéops à celle de Khéphren. A partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, à de petites pièces et salles latérales.

Le Dr Selim Hassan et d’autres continuent à croire et à affirmer publiquement, bien que l’âge du Sphinx ait fait partie des énigmes du passé, qu’il avait pu appartenir au grand projet architectural qui fut organisé et exécuté à dessein en même temps que l’érection de la Grande Pyramide.

Des archéologues firent au même moment une autre découverte majeure. A peu près à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide de Khéphren on découvrit quatre énormes puits verticaux, chacun d’environ 3 m2 conduisant tout droit au fond du calcaire massif.

Ces puits portent le nom de "Tombeau de Campbell", sur les cartes maçonniques et rosicruciennes, et "ce complexe", dit le Dr Selim Hassan, "se terminait par une cour close, au centre de laquelle une autre cheminée descendait vers une salle flanquée de sept chambres."

Certaines d’entre elles contenaient d’immenses sarcophages de basalte et granit, scellés, de 6 mètres de haut. La découverte avançait et, dans l’une des sept chambres, une troisième cheminée verticale menait profondément à une chambre beaucoup plus basse.

Au moment de cette révélation, elle était inondée, l’eau recouvrant en partie un unique sarcophage blanc. Elle fut appelée ’’Tombeau d’Osiris’’ et présentée par un montage documentaire télévisé de mars 1999 comme étant "ouverte pour la première fois".

Explorant ce site en 1935, le Dr Selim Hassan déclara : Nous espérons trouver quelques monuments importants après avoir évacué cette eau. La profondeur totale de cette série de puits est de plus de 40 mètres soit plus de 125 pieds...

Ces détails ne représentent qu’une petite partie du rapport complet du Dr Selim Hassan qui fut publié en 1944 par la Presse Gouvernementale, au Caire, sous le titre Fouilles à Gizeh (en 10 volumes.)

On fit un court métrage de l’expédition, et un documentaire appelé Chambers of the Deep (Salles des Profondeurs) qui fut par la suite visionné de façon confidentielle. "

Source : http://www.histoiresecretedestempliers.com/pages/origine-et-aboutissement-1/preuves-visuelles-de-la-configuration-du-sous-sol-du-plateau-de-gizeh-laissees-a-la-posterite-par-les-templiers.html

Gigal, archéologue française, parle des souterrains construits sous Gizeh, s'étendant sur des centaines de km et au-delà de la Mer Rouge. Elle pense que ces tunnels érigés avec de la haute technologie avaient pour but de SERVIR à l'Humanité et de sans doute la sauver d'un prochain Cataclysme ou Déluge... Le site de Gigal http://www.gigalresearch.com/ Son Association http://www.gizaforhumanity.org



Qui a vraiment construit les pyramides de Gizeh

Les preuves qui rattachent les monuments du plateau de Gizeh que sont, entre autres, le Sphinx et la Pyramide de Kheops, aux pharaons égyptiens, sont-elles en béton ? Franck Domingo, expert en identification judiciaire dans la police de New-York, a comparé la seule représentation connue du roi Kheops au visage du Sphinx.

Depuis 1983, les théories avancées par les égyptologues sont remises en cause. Le débat est relancé, car les techniques de pointe utilisées par une nouvelle génération de chercheurs remettent en question les évidences du passé, en fournissant des preuves irréfutables. Contrairement aux égyptologues conventionnels, Graham Hancock et Robert Bauval utilise des ordinateurs pour reconstituer la voute céleste des temps passés. Un autre chercheur, John West, a utilisé la géologie pour arriver à la conclusion que les monuments du plateau de Gizeh remontant à une époque bien plus ancienne que celle de la civilisation égyptienne telle que nous la connaissons aujourd'hui.



Gizeh, Les pyramides et les maths, démonstrations...

Ce film démontre le "Point de Convergence" dans Khéops et pourquoi Mykérinos était qualifié de "Divin" dans l'Egypte ancienne.
This film shows the "Point of Convergence" in Khufu and why Mycerinus was described as " Divine " in Ancient Egypt.

Plus d'infos:
http://numerus.free.fr/
Vous pouvez télécharger gratuitement sur le site un aperçu des transmigrations au Nord de l'Afrique depuis 12.000ans et les antériorités des apports des Berbères à l'Egypte Antique.
("Les Deux Sycomores de Turquoise", 208 pages, format PDF). http://numerus.free.fr/berberes.php
Un second livre également téléchargeable gratuitement traite du concept et de la mise en oeuvre des pyramides de Gizeh.("Numérus", 211 pages, format PDF).
http://numerus.free.fr/accueil.php#livres - Copyright® C.& M. Sélaudoux.

2012 : The Great Pyramid - Mystery of the Shafts / Tunnels :

Sources : http://www.cheops.org/
http://emhotep.net/2012/03/07/locatio...

Book : Keeper of Genesis by - Graham Hancock

La visite du robot Djedi qui a suivi tout un conduit d'aération (voir 1ère page) partant de la Chambre de la Reine de la Grande Pyramide jusqu'à une sorte de bloc percé bloquant le passage à la suite. Mais des hiéroglyphes particuliers y ont été photographiés par le robot. Pas plus d'explications sur ces découvertes, l'auteur de cette visite robotisée n'étant plus autorisé à opérer sur le Plateau (comme beaucoup d'autres) depuis les événements politiques en Égypte :


A suivre...

Yves Herbo-SFH-24-01-2014

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