samedi 2 mai 2015

Civilisations très anciennes en Amazonie

Civilisations très anciennes en Amazonie - MAJ 2015

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Articles en lien étroit avec celui-ci :

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/retour-sur-les-geoglyphes-amazoniens.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/des-hommes-installes-en-amazonie-il-y-a-plus-de-10000-ans.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/decouvertes-dans-les-andes-et-en-amazonie.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/amazonie-les-harakmbut-devoilent-leurs-monolithes-sacres.html

Après avoir trouvé les traces d'une civilisation ancienne inconnue dans les hauts bassins amazoniens de l'Equateur, en 2003, les traces d'une autre civilisation apparaissent en pleine Amazonie avec certitude dès 2010 et confirmées en 2011, grâce à l'apport des satellites et de survols rapprochés. Les datations divergent beaucoup et les simples examens de surface relèvent des fourchettes d'occupations de 1800 à 750 ans avant notre ère, les sites sont donc probablement plus anciens et il faudra creuser en plusieurs endroits pour obtenir de meilleures datations, dater la fameuse terre petra en profondeur.

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Les recherches de l'IRD en Equateur ont révélé l'existence d'une civilisation inconnue datant de plus de 4000 ans.

En juillet 2003, une découverte importante des archéologues de l'IRD en Equateur révèle la présence, il y a plus de 4000 ans, des premières civilisations andines dans le haut bassin amazonien, où leur existence était jusqu'à présent inconnue. Les récentes datations d'un site de fouilles au sud de l'Equateur et la découverte, sur le même site, de récipients en pierre, révèlent l'existence, d'une société antérieure à celles connues jusqu'alors en Amazonie.

Ces recherches ont été menées en partenariat avec l'Institut National du Patrimoine Culturel (INPC) de l'Equateur et la participation, aux côtés des chercheurs de l'IRD (Jean Guffroy, Francisco Valdez et Geoffroy de Saulieu), de Julio Hurtado, archéologue équatorien.

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Sources et vidéo de présentation : http://www.ird.fr/la-mediatheque/videos-en-ligne-canal-ird/une-grande-civilisation-andine/decouverte-d-une-ancienne-civilisation-en-amazonie-occidentale

http://www.ird.fr/la-mediatheque/videos-en-ligne-canal-ird/une-grande-civilisation-andine/fouilles-archeologiques-en-equateur

Ailleurs en Equateur :

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/le-complexe-reseau-souterrain-de-los-tayos-equateur.html


http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/equateur-un-mur-cyclopeen-decouvert-relance-les-mysteres-equatoriens-sur-les-geants.html


http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/beaucoup-d-artefacts-etranges-trouves-en-equateur.html


http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/beaucoup-d-artefacts-etranges-trouves-en-equateur-part-2.html


http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/equateur-les-artefacts-de-padre-crespi.html




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Restes d'une cité inconnue découverte en Amazonie...

Si les circonstances de cette découverte, rendue possible par la déforestation, sont plutôt malheureuses (52.000 km² de forêt amazonienne disparaissent ainsi chaque année), elle n'en demeure pas moins exceptionnelle : ces vestiges de routes et de bâtiments aux formes géométriques sont en effet tout ce qui reste d'une civilisation inconnue des scientifiques, et qui aurait peuplé l'Amazonie il y a plusieurs centaines d'années.

Selon la croyance, il n'y aurait jamais eu de civilisation évoluée dans cette région du monde avant l'arrivée des Européens en Amérique. Or, depuis 1999 et après qu'une large déforestation a été opérée, les chercheurs ont découvert des monuments aux formes géométriques dans cette zone, œuvres d'une ancienne civilisation.

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Plus de 200 structures de type circulaire ou rectangulaire ont été retrouvées au cœur de la forêt amazonienne après que celle-ci ait subi une importante déforestation pour les besoins en alimentation du bétail. 260 avenues, fossés, digues et enceintes ont été recensés, pour un total de 19 villages. En comptant 300 travailleurs pour chaque construction, cette région aurait compté 60.000 habitants.Des routes sont rattachées à ces travaux, preuves de la présence passée d'une civilisation évoluée. Les scientifiques ont estimé l'abandon de certains sites à 750 ans voire à 1800 ans pour d'autres. Certains villages abritaient jusqu'à 5000 habitants, un chiffre conséquent pour l'époque et surtout, pour ce genre de région puisque la population devait se contenter des ressources de la forêt, l'océan étant très éloigné.Les formes géométriques indiquent une probable signification symbolique, peut-être utilisée pour des cérémonies. D'autres chercheurs ont émis l'hypothèse que les anciens habitants les utilisaient pour se défendre. En effet, les constructions étaient situées sur un plateau de 200 mètres de hauteur. Ceux qui y demeuraient avaient donc une bonne vue sur les environs et pouvaient prendre les mesures nécessaires largement en avance en cas d'intrusion ennemie.

Bien d'autres structures sont très certainement présentes dans des zones où les arbres n'ont pas encore été déracinés. Peut-être en apprendrons-nous davantage d'ici quelques années, notamment sur la raison de la disparition de ce peuple d'Amazonie. Pour l'instant, pour les scientifiques, il aurait été victime de maladies apportées par les colons européens il y a 500 ans.

En l'espace de seulement dix ans, la surface de forêt perdue en Amazonie atteint 587 000 km² ( la France a une superficie totale de 500 000 km² ) avec la majeure partie de forêt perdue devenant des pâturages pour le bétail ! l'Amazonie devient la principale source d'approvisionnement des industries du bois, en raison de l'épuisement progressif des forêts d'Asie et d'Afrique. Ainsi, la part du bois au niveau mondial en provenance du Brésil est-elle passée de 14 % à 85 % en deux décennies. Environ 80% du bois coupé est d'origine illégale (troncs de diamètre trop faible par exemple).

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Sources : Maxiscience / Wikipédia / 


La foret amazonienne, fournit également ‘’ la terre noire ‘’, c’est un sol anthropogénique (c'est-à-dire d'origine humaine) d'une fertilité exceptionnelle due à des concentrations particulièrement élevées en charbon de bois, matière organique et nutriments tels que azote, phosphore, potassium, et calcium. Il contient aussi une quantité remarquable de tessons de poterie, et l'activité micro-organique y est des plus développées. Ces sols ont été créés par l’homme entre -800 et 500, et sont d'origine précolombienne. (datations douteuses dans la mesure où l'on sait que la petra se régénère d'elle-même continuellement...).

Des milliers d'années après sa création il est si réputé au Brésil qu'il est récolté et vendu comme terreau à poter. Sa profondeur peut aller jusqu'à 2 mètres. Qui plus est, le récolter ne réduit pas son abondance. Les fermiers ont découvert qu'il se renouvelle à la vitesse d'1 centimètre par an !

La terra preta, ou terre noire, existe en petites surfaces avoisinant 20 hectares, mais on a aussi signalé l'existence de surfaces de 350 hectares.

La découverte de cités inconnues, n’est pas sans rappeler celle de la cité ‘’ Z ‘’ du colonel Fawcett.

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Avant l'arrivée des Européens au 16e siècle, l'Amazonie n'était pas un grand territoire vierge peuplé de quelques Indiens primitifs, mais abritait des sociétés complexes et bien organisées au sein de "villes" comparables à certaines cités-Etats de la Grèce antique, selon des chercheurs américains et brésiliens. Cette découverte de cités perdues dans le Haut Xingu, ne peut qu'interpeller ceux qui connaissent la fantastique épopée du colonel Fawcett et de sa découverte d'une mystérieuse cité qu'il nomma "Z" avant de disparaître avec son fils dans la redoutable selva du Mato Grosso.

« Aux 16e et 17e siècles, les conquistadors n'ont pas trouvé quelques Indiens isolés vivant uniquement de chasse et de pêche mais des populations importantes déjà sédentaires qui plantaient et avaient mis au point des systèmes sophistiqués de barrages. Cela détruit le mythe d'une Amazonie primitive totalement vierge, a déclaré à l'AFP Bruna Franchetto du Musée national de Rio de Janeiro. »

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C’est accompagné de son fils Jack et de Raleigh Rimell, qu’en 1925 le Colonel s’enfonce dans la forêt a la recherche des ruines perdues de cette mystérieuse citée. Le dernier message du groupe fut la confirmation de la réussite de l’expédition, la cité fut étrangement baptisée « Z » par l’explorateur puis le groupe disparaît à  jamais dans le haut Xingu. Aujourd’hui le mystère de cette disparition demeure intact malgré la foultitude d’expéditions pour résoudre cette énigme. Et si cette découverte du haut xingu finissait par amener un nouvel éclairage sur la cité de « Z » que les esprits forts confortablement engoncés dans leurs fauteuils, dénoncent depuis 80 ans comme simple fantasmagorie d’un explorateur devenu fou . 

Les archéologues sont dorénavant persuadés que l'Amazonie abrita jusqu'à l'arrivée des Espagnols une véritable civilisation, aussi développée que celles des Mayas ou des Incas. Selon Denevan, la région abritait “l'une des populations les plus denses et une culture parmi les plus élaborées en Amazonie”, tout aussi sophistiquée que les cultures Aztèque, Inca et Maya bien que radicalement différente de celles-ci.

Des projets d’ingénierie toujours plus nombreux liés à une urbanisation accélérée posent des difficultés aux archéologues locaux. Cette situation est mise en lumière par les recherches de Eduardo Góes Neves, du Musée de l’Archéologie et de l’Ethnologie de l’Université de São Paulo(MAE/USP).

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La multiplication des projets en Amazonie détruit des vestiges archéologiques uniques au monde, faute de service d'archéologie préventive. © Bunks (Wikimédia Commons)

Des expertises archéologiques à vau-l’eau

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La construction de centrales hydroélectriques comme celles de Belo Monte et de Jirau, l’ouverture de routes comme celle qui reliera Manaus à Porto Velho, et les constructions immobilières constituent ses principales préoccupations.


"En Amazonie, le pouvoir public finit par détruire, directement ou indirectement, le patrimoine archéologique ; la plupart du temps, par ignorance."


Avec seulement 11 formations en archéologie dans tout le pays, presque toutes réservées à des étudiants de 3ème cycle, le déficit de professionnels est grand. Des jeunes finissent par être responsables d’audits et signent des rapports d’experts alors qu’ils n’ont aucune expérience.

Pas d’étude de qualité

Or ces rapports sont cruciaux puisqu’ils permettent d’autoriser et délivrer des permis de construire, et semblent lucratifs pour ces jeunes professionnels.


"En trois ans, nous allons perdre une partie de notre force de recherche, faute d’archéologues. On ne peut pas mener des études de qualité dans un délai aussi court", assure Eduardo Gòes Neves.


Contrairement à ce croit que la majorité des Brésiliens, l’Amazonie est peuplée depuis plus de 12.000 ans. Sa population possède des traditions et des rites bien définis, des organisations sociales complexes, et une grande diversité culturelle.

Une forêt pas si vierge que ça

Certaines régions ont été vidées suite à la colonisation européenne, à partir du XVIème siècle. Comme l’explique Eduardo.

"Les peuples américains ont domestiqué de nombreuses plantes, mais n’avaient pas d’animaux domestiques. Les Européens élevaient des porcs, des poules, et cette proximité a provoqué des maladies que les indiens ne connaissaient pas".

Ainsi, de nombreuses zones qui étaient auparavant occupées par les indiens ont été recouvertes de forêt. “Une grande partie de ce que nous appelons la forêt vierge n'existe, en vérité, que depuis 500 ans”.

http://megalithic-project.over-blog.com/article-les-traces-d-une-civilisation-inconnue-retrouvees-en-amazonie-97515485.html


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Mardi, l'organisation de défense des indiens Survival International a diffusé les premières photos aériennes d'un village d'indiens yanomami isolés en plein cœur de l'Amazone. Situé à cheval sur les Etats d'Amazonas et de Roraima au nord du Brésil, le territoire de cette tribu à été créé officiellement en 1992, devenant "le plus grand territoire forestier indigène au monde". Mais les indiens sont aujourd'hui confrontés à des menaces réelles, notamment la recherche clandestine d'or qui est réapparue malgré l'intervention des autorités (les chercheurs d'or avaient massacrés ces indiens dans les années 1980...). D'après les tailles des huttes collectives photographiées, le groupe de yanomami comprendrait 38 membres...


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Autre tribu isolée juillet 2011

MAJ 04-2015 :

La recherche de Païtiti par Thierry Jamin, expédition 2015

J'avais déjà fait part dans un long article des recherches de l'explorateur français installé au Pérou, Thierry Jamin sur la cité légendaire inca, toujours recherchée à la limite de l'Amazonie, ainsi que d'autres recherches qu'il a effectuées :



Mais où en est l'explorateur aujourd'hui et quels sont les objectifs de l'expédition préparée cette année ? :

La saison démarre en ce moment même, en avril, et voici les objectifs de cette année :

" La campagne « Inkari 2015 » marquera sans doute un tournant dans la recherche de Païtiti. Appuyée par les Matsiguengas de la communauté de Timpía, l’opération se déroulera entre juin et août 2015. Notez bien que la date officielle du départ dépendra bien sûr de son financement et sera fixée au mois d’avril 2015.

D’une durée d’un mois et demi, cette expédition se réalisera en cinq phases :

Dans un premier temps, un groupe de Matsiguengas de la communauté de Timpía s’engagera dans la jungle pour ouvrir la route de l’équipe principale une quinzaine de jours avant le départ officiel de l’opération. En coordination avec Thierry Jamin et l’Institut Inkari, ce groupe aura pour mission de préparer le terrain sur plus d’un tiers du chemin.

Dans un deuxième temps, l’équipe principale partira de Cusco en 4X4, avec une logistique minimale, jusqu’au petit port fluvial d’Ivochote. De là, remontant le rio Urubamba et passant le pongo de Mainique, elle rejoindra la communauté native en bote (pirogue de 20 mètres). Puis l’équipe se mettra en route, comme en octobre 2013, d’abord en peque-peque, remontant un fleuve amazonien, puis à pieds, jusqu’au lieu du camp de base, situé à proximité de la « lagune carrée ».

Dans un troisième temps, un hélicoptère partira de Cusco et les rejoindra quelques jours plus tard avec le gros de la logistique... "

Je vous laisse lire la suite sur le site de l'expédition, en signalant que l'équipe a évidemment besoin de fonds et fait appel à vos dons, voir sur le site en question, toute aide est la bienvenue :


Pour aller plus loin :







Yves Herbo, S,F,H, 01-2012, up 04-2015

vendredi 1 mai 2015

STARGATE : Les Vérités Scientifiques

Reportage : STARGATE : Les Vérités Scientifiques


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La célèbre série de science-fiction Stargate SG1 porte des étoiles est -elle si éloignée de la vérité que celà d’un point de vue scientifique ? Ce document complet que je vous propose à travers cette vidéo postée sur YOUTUBE apporte certains éclaircissements.

Ce documentaire, consacré à l’étude de la porte des étoiles du point de vue de la science, développe les concepts mis en œuvre lors de la création de la série Stargate SG-1 qui ont rendu crédible cette histoire de science-fiction.

Une porte des étoiles est un appareil de transport interplanétaire fictif du film Stargate. Il est l’élément central de l’univers de fiction de Stargate qui comprend les séries de télévision Stargate SG-1, Stargate Atlantis, Stargate Infinity et Stargate Universe.

Ces appareils sont décrits comme ayant été créés par un peuple appelé "Les Anciens", et servent à manipuler l’espace-temps, principalement dans le but de créer un trou de ver permettant de voyager rapidement entre deux points de l’espace-temps, d’une porte à l’autre. Il est appelé stargate en version originale ou "chappa’ai" en Goa’uld. Certains peuples de cet univers de fiction l’appellent aussi anneau des dieux, cercle des ancêtres, anneau ancestral, anneau ou portail.

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La porte des étoiles présente dans le Stargate Command (SGC), qui se révélera plus tard être un modèle standard de la Voie lactée, a la forme d’un grand anneau d’environ 6,70 mètres de diamètre et d’un poids d’environ 32 tonnes, comportant un anneau concentrique plus petit coulissant sur lequel sont gravés 39 symboles. Neuf chevrons sont disposés régulièrement autour de l’anneau extérieur et s’enclenchent au moment où le symbole choisi s’arrête devant eux.

L’intérieur du disque formé par la porte est vide quand la porte est inactive, mais c’est là que se stabilise l’entrée du vortex appelée "horizon des événements" quand la porte est en fonctionnement.

Amanda Tapping, actrice de la série, nous guide dans cette visite derrière les décors de la porte des étoiles, pour démystifier les différentes technologies employées par les membres du SG-1.

Certaines questions sont soulevées comme, où se situe la limite entre la science et la science-fiction, les parasites extraterrestres comme les Goau’lds sont-ils une fiction, les trous de ver et les univers parallèles sont-ils possibles, des robots indestructibles comme les Réplicateurs et les armes qui désintègrent sont-ils que pure fantaisie, pourrons-nous un jour voyager dans le temps ?

Ce documentaire permet de faire des découvertes fascinantes sur ce que nous réserve l’avenir d’un point de vue technologique et scientifique.



Source du texte : Nemesis TV - Video : YouTube - cette vidéo est toujours d'actualité, et même peut-être encore plus...


Yves Herbo, S,F,H, 01-2012, update 01-05-2015

jeudi 30 avril 2015

La mystérieuse Chine du néolithique - découvertes étonnantes 1

La mystérieuse Chine du néolithique - découvertes étonnantes

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Nous savions que les hommes du néolithique étaient déjà passés maîtres dans le travail de la pierre au niveau du gros oeuvre : mines profondes et taillages, creusages de la pierre en témoignent largement. Mais les découvertes chinoises amplifient cette maîtrise bien au-delà de nos propres capacités actuelles et remettent encore plus en question le dogme actuel selon lequel les hommes ont évolué très lentement, voir à reculons  qu'ils étaient proche de l'animal etc... Au contraire, tout indique nous avons à faire à une société bien organisée, répartie en communautés "spécialisées" qui sont interdépendantes les une des autres (je dis bien interdépendantes : il s'agit d'une société communautaire dirigée par un conseil des sages issu de chacune des communautés (des fabricants de sel (ex trouvé récemment en Bulgarie, des éleveurs de divers bétails, des pêcheurs, des chasseurs, des cueilleurs, des mineurs, des tailleurs, etc...) qui ne procèdent pas par " échanges " (troc) ou " ventes " (commerce) mais par une organisation de services : les fabricants des matériaux amènent ce qui a été demandé par le Conseil pour subvenir aux besoins prévisibles de toute la communauté (même très étendue), les chasseurs, pêcheurs, etc dans des marchés ou des entrepôts pour permettre à la population (qui est la même bien sûr) de récupérer les ressources et denrées individuelles prévues par elles-mêmes.

Nul besoin de troc ou d'échanges (sauf exceptionnels), de monnaie, dans une société où la communauté passe avant l'individualisme : la production est ajustée en permanence à la demande ou en fonction des ressources évidemment (comme de nos jours d'ailleurs) et tout le monde participe volontiers à cet ensemble pour bénéficier du travail de chacun : le seul échange entre humains est un échange de volonté, de force ou d'intelligence pour accomplir une tâche commune ou individuelle, et dans le même but de la communauté (et par cela celui de la famille). La création individuelle est exacerbée car le temps réservé aux travaux pour la communauté sont souvent ponctuels, saisonniers et de plus, le nombre d'humains croissant libère du temps mathématiquement pour répartir les tâches (ce que le monde moderne s'obstine obscurément à refuser !) : pendant les saisons mortes ou leurs loisirs, ils vont apprendre le métier d'autres corporations pour aider, vont chasser, explorer les terres inconnues et inventer, faire de l'art...

La plupart des découvertes archéologiques vont dans ce sens : il y a eu une longue période pendant laquelle une civilisation humaine a su regrouper toutes les inventions essentielles à son épanouissement, qui s'est étendue (ou son savoir et technologie) dans le monde entier sur quelques milliers d'années et a imposé un savoir sur la pierre que l'on retrouve partout sur Terre. Des découvertes chimiques sur certaines pierres et poteries très anciennes laisseraient entendre que ces très anciennes sociétés avaient trouvé un moyen chimique (un alliage végétal ?) pour rendre malléable certains types de pierres normalement très dures : un " amollissement local ou même total " permet effectivement des transports ou ajustement "au millimètre" constatés partout sur ces constructions gigantesques. L'intelligence et avancée technique des très anciens contredisent à l'évidence la théorie linéaire de l'évolution humaine toujours acclamée par la communauté scientifique.

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Les mystères de la Chine ancienne confirment bien évidemment cet ensemble de peuples répartis sur toute la planète, qui sait très bien naviguer et qui procèdent tous d'une culture pratiquement identique, seulement modifiée par les conditions locales (souvent climatiques) et les adaptations nécessaires. Le symbolisme est très utilisé (exactement comme de nos jours les logos des entreprises par exemple) et compris du monde entier comme un langage : on retrouve ces mêmes symboles partout dans le monde, sur une fourchette de quelques milliers d'années).

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ruines de Yuanmingyuan, plus récentes

Une assemblée de 40 scientifiques chinois vient de confirmer la découverte de la plus grande ancienne ville (à ce jour) du néolithique chinois, avec pas moins de 4,25 km² de superficie ! 
" Les archéologues ont indiqué que des ruines de la ville de 4 kilomètres carrés au nord-ouest de la Chine découvertes dans la province du Shaanxi est la plus grande de son genre en Chine néolithique. La conclusion est intervenue après que plus de 40 archéologues des recherches dans les ruines de Shimao datant de 4000 ans à Shenmu County et ils ont mesuré la taille exacte de la ville ancienne en pierre. "

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« La ville possède de magnifiques murs en pierre et nous avons découvert un grand nombre de jade sculpté, qui font allusion à l’état de base de la ville dans la civilisation du nord de la Chine », a déclaré Zhang Zhongpei, chef de la Société archéologique de Chine.

Les Ruines Shimao ont été découvertes en 1976 sous la forme d’une petite ville, mais les autorités locales archéologiques ont ensuite mené une enquête approfondie l’an dernier, ce qui a conduit à la découverte de murs de la ville bien plus grand encore.

La ville découverte possède des structures internes et externes, et les murs qui entourent la ville extérieure s’étendent sur une superficie de 4,25 kilomètres carrés. D’autres résultats à partir du site inclus un morceau de fresque, dont les archéologues pensent être la plus ancienne en Chine.

Les datations de 4000 ans sont basés sur les objets trouvés pour l'instant dans les ruines, et la probable destruction de la cité, il faudra atteindre les couches les plus profondes pour tenter de découvrir d'autres indices de son origine.

LES GROTTES ÉNIGMATIQUES DE HUASHAN

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Les grottes énigmatiques de Huashan se situent dans la banlieue est de la ville de Tunxi, province chinoise de l'Anhui, à 30º de latitude Nord, appelée « parallèle mystérieuse » où on trouve plusieurs miracles du monde tels que les pyramides d' Egypte, le triangle des Bermudes, l'arche de Noé et le mont Huangshan de Chine. Situées entre 29º39' et 29º47' de latitude Nord, les grottes se situent près du mont Huangshan, chef-d'œuvre de la nature. Les deux se font ressortir l'un l'autre. Dès leur découverte en 2000, les grottes millénaires ont attiré de nombreux visiteurs chinois et étrangers, tous en admiration devant cette merveille de la Chine et du monde.

Différentes des autres grottes connues en Chine, les grottes de Huashan ne sont pas naturelles, mais artificielles. Il s'agit d'un immense ensemble de palais souterrains en forme singulière, creusés jadis par les hommes. Actuellement, on a découvert 36 grottes qui se répartissent dans les montagnes ou au sous-sol, à 5 km du bord sud du fleuve Xin'an en aval, dans le territoire de Tunxi. Elles se cachent dans les arbres touffus et les herbes denses. Il est donc très difficile de les découvrir. Rien d'étonnant à ce que les vieux cueilleurs de plantes médicinales et les vieux gardiens de forêt locaux ne les aient jamais trouvées.

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Au printemps de 1999, inspiré d'une lettre des habitants locaux, le gouvernement municipal de Huangshan a pris la décision d'exploiter les grottes de Huashan. Rapidement, beaucoup d'experts du pays, dont ceux de l'université Qinghua et de l'université Tongji, s'y sont concentrés. Tout le monde a été surpris par cet immense espace de grottes. Leur espace est beaucoup plus grand que toutes les grottes découvertes dans les autres endroits du pays. Rien que dans les grottes nº2 et nº35 dont la superficie dépasse 17 400 m², on a enlevé de la vase et des pierrailles pour 20 000 m³. On a drainé, avec trois pompes à eau pendant douze jours consécutifs, 18 000 tonnes d'eau seulement de la grotte nº35.

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À présent, la grotte nº35, la plus grande, a été ouverte au public. Dans celle-ci, on trouve une salle principale dans laquelle se dressent 26 colonnes de pierre d'un tour de plus de 10 m et d'une hauteur de 10 m au moins. 36 pièces de formes différentes sont disposées en plusieurs niveaux autour de la salle principale. Selon les experts, leur architecture et leurs formes ont une très haute valeur mécanique et esthétique. On peut encore voir des traces de forage sur les murs. Les majestueux motifs de 18 variétés différentes gravés dans les grottes numéros 2 et 35 saisissent le public d'admiration. Dans les grottes, on trouve également une tribune de pierre, des étangs, bassins et ponts construits, parsemés ça et là. L'eau est limpide. Quand on se promène entre eux, on a l'impression d' être dans un labyrinthe mystérieux.

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En mai 2001, l'ex-président Jiang Zemin a visité ces grottes. Aussitôt entré dans l'une d'elles, il s'est exclamé : « C'est vraiment incomparable ! Un trésor véritable ! » « Il ne faut pas faire à la légère une conclusion avant de résoudre complètement l'énigme de ces grottes », a-t-il dit. Jiang Zemin leur a donné le nom de « Grottes énigmatiques de Huashan ». Lors de leur visite dans ces grottes en janvier 2002, M. Wang Yingfan, ambassadeur chinois à l'ONU, et d'autres diplomates ont eux aussi beaucoup apprécié l'endroit. Wang a dit que leur valeur pourrait soutenir la comparaison avec la Grande Muraille et les statues de guerriers et chevaux en terre cuite exhumées à Xi'an.

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Admirez au centre l'extraordinaire pilier qui étend ses "cornes" en V pour soutenir le plafond, la sculpture d'une tête et d'un corps semblable à une chèvre par exemple. Remarquez aussi à gauche une exemple des fameuses parois entièrement  recouvertes de lignes gravées qui se retrouvent un peu partout dans les grottes artificielles.

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Comme les pyramides d'Egypte, les grottes de Huashan sont une énigme millénaire. Qui a creusé ces grottes ? Quand et comment les travaux ont-ils été accomplis ? Où les terres et pierres excavées ont-elles été transportées ? Pourquoi les ouvrages n'ont-ils pas été enregistrés dans les livres ou documents historiques ? Pourquoi cet ensemble de grottes si miraculeux et si ancien vient juste d' être découvert ? Une série d'interrogations demeurent... Depuis les quatre ans qui ont suivi l'exploitation des grottes, les experts et les scientifiques ont trouvé des lampes à huile en terre cuite et des faïences ainsi que des fragments dont des pots, des vases, des bols et des jarres. L'expertise montre que ce sont des objets de la dynastie des Jin (265-420), selon lesquels on estime que les grottes devraient dater de la dynastie des Jin ou la précéder. En outre, on a découvert des stalactites dans une grotte. Selon les géologues, la formation d'une stalactite longue de 5 ou 6 cm nécessite une période de 1 500 à 2 000 ans. Cela démontre encore que ces grottes ont dû être creusées pendant ou avant la dynastie des Jin. 

Yh : Bon, la datation précise d'une pierre "usiné" par l'homme étant impossible, le "avant" la dynastie Jin peut se mesurer en milliers d'années ! Encore une fois donc, la présomption du dernier habitant entraîne la datation du lieu... la découverte de cette empreinte d'un animal préhistorique dans une grotte est assez étonnante aussi, ainsi que les fossiles trouvés : les Jin auraient pile creusé leurs grottes en s'arrêtant pile au niveau du "plancher" des dinosaures ?


Toutes les grottes communiquent donc entre elles et ont probablement été en parties inondées par périodes. La caverne de " Huanxi ", d’une longueur de 140 mètres et d’une superficie de 4.800 mètres carrés est ouverte au public. Après une promenade d’environ 100 mètres, il y a un large hall à l’intérieur de la caverne, avec des bassins, des piliers et de petites salles de chaque côté.

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Fait étrange, les murs internes ont la même pente que celle de la colline extérieure. Une des salles couvre 12.600 mètres carrés, elle est appelée "Quingliang" et serait une sorte de palais souterrain. À l’intérieur de la caverne, il y a un pont en pierre au-dessus d’un fleuve souterrain et des chemins en pierre menant à différents halls. Une structure de pierre de deux étages ressemble à un énorme balcon. Aucun reste de nourriture n’a été trouvé dans la caverne, ni aucun signe du feu.

Jusqu’à maintenant, 36 grottes ont été découvertes, parmi lesquelles 34 se situent dans l’arrière-pays montagneux, deux se situent sous le niveau de la rivière de Xin’an. Ces grottes s’étendent sur pratiquement 5 kilomètres, couvrant les chaines de montagnes dans le Huanxi, les Montagnes Shilin, les Montagnes Yingpai, les Montagnes Shibiying, les Montagnes Matou, les Montagnes Yangli ainsi que les Montagnes Huashan. De plus, de nombreuses grottes ont été découvertes dans le village Yan. La présence de tant de grottes à cet endroit est un mystère pour tous.

À présent, 5 grottes sont ouvertes aux visiteurs, la N°2, 24, 33, 34 et la N°35. Les touristes peuvent aussi visiter la grotte N°1 et 6 en sécurité s’ils ont des lampes.

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L’entrée du palais souterrain (Grotte N°35) est relativement petite mais la grotte est grande. Il y a une cave de 20 mètres qui mène jusqu’au palais souterrain. Arrivé à la sortie de la grotte de passage, on se retrouve soudainement illuminé dans un lieu éclairé. Un surprenant palais souterrain apparaît, d’une surface totale de 4000 mètres carrés. Dans ce palais souterrain, se tiennent 26 piliers colossaux d’un périmètre de plus de 10 mètres, adoptant différentes formes pour soutenir la grotte. Autour de la salle principale du palais se trouvent 36 cabines de pierre, dont la plus petite d’entre elles n’occupe qu’une surface de 2 mètres carrés. L’épaisseur des murs diffère également selon les endroits, le plus fin faisant seulement 10 centimètres.

Pour chaque cabine, trois côtés sont bloqués avec seulement une sortie vers le palais, par laquelle seule une personne peut passer. De plus, ces plate-formes de pierre sont dispersées, mais bien situées. Si vous vous tenez sur la plate-forme, vous serez impressionné par un autre spectacle.

Sur le bord du palais se trouve plusieurs bassins profonds remplis d’eau. L’eau est si claire que l’on peut voir le fond de ces bassins qui ne se sont jamais asséchés depuis des années. On dit que des milliers de chauve-souris vivaient dans la grotte lorsqu’elle a été découverte pour la première fois.

Lorsque les gens sont entrés dans la grotte et ont fait sortir ces chauve-souris, ils ont été pris au dépourvu et ont été étourdis par cette tornade noire qui semblait faire tourner le ciel et la terre. C’est pour cela qu’on appelle cette salle la "Salle des Chauve-Souris".

Couloir Souterrain (Grotte N°2) Cette grotte est située sous un pan de montagne. Son entrée ressemble à la gueule béante d’un tigre. En déambulant le long de la pente après être entré dans la grotte, vous pouvez sentir l’air froid qui glace le visage et les os. En vous retournant vers l’entrée, vous pouvez voir passer du brouillard.

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Dans cette grotte, il y a aussi des dizaines de piliers verticaux qui forment un couloir souterrain de 80 mètres de long, 1,5 mètre de large et 4 mètres de haut. Sur le côté droit de la grotte, une entrée carrée s’ouvre à l’endroit le plus élevé.

Sans pénétrer dans la grotte par l’entrée, vous ne pouvez deviner qu’il y a des couloirs et des couloirs qui s’étendent dans la même direction. À une profondeur de plus de 100 mètres, les couloirs intérieurs sont plus profonds que le couloir extérieur. La couleur de l’eau qui s’y trouve est vert pâle comme la jadéite.

Grotte des 24 piliers (Grotte N°24) L’entrée possède la forme d’un rectangle plat. Elle fait face à la route de montagne et fait 50 mètres de large et environ 30 mètres de haut. Cette grotte immense est très spacieuse et élevée à l’intérieur. Sa superficie et profondeur sont difficile à mesurer.

Six piliers se trouvent à l’intérieur. Chaque pilier est si grand qu’il faut trois personnes pour l’entourer avec les bras écartés. Chaque pilier est placé suivant deux lignes, soutenant le plafond de la grotte. Dans cette grotte il y a aussi de l’eau qui est si profonde qu’on ne voit même pas le fond. Dans cette eau, nagent des poissons rouges, jaunes, bleus, blancs et noirs aux formes étranges.

Salle Tongtian. L’entrée de cette salle n’a pas de porte en pierre et est penchée d’est en ouest. Sur le côté ouest se trouve une pierre rare. La grotte fait 45 mètres de long, 26 mètres de large et 12 mètres de haut. A l’entrée de la grotte se trouve un trou conduisant vers le ciel, ce qui fait qu’on appelle aussi la grotte "Salle Tongtian" (littéralement, une salle qui possède un accès vers le ciel. Actuellement cet accès n’est pas ouvert.)

Nous en venons donc aux hypothèses. Voici le texte du livret officiel de tourisme développé par la région de Huangshan :

Il y a beaucoup d’histoires sur l’utilisation et la construction de ces grottes, telles que "architecture culturelle gigantesque", "Lieu Taoïste Propice", "Château de crime", "Massif", etc. Ces histoires semblent toutes claires et logiques, mais ne peuvent se justifier à elles seules.

Des personnes ont donc des idées fantastiques selon lesquelles les grottes furent créées par les ExtraTerrestres de l’espace".

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Que ces grottes furent construites par des peuples anciens sur terre ou par des ETs de l’espace, elles supposent une incroyable persévérance et sagesse. Sur tous les murs de ces grottes, il y a des traits ciselés et ordonnés en forme de vague ou de plis de vêtements.

Ce n’est pas facile pour des personnes de creuser des lignes parallèles et symétriques sur des pierres d’une montagne dans des endroits aussi spacieux. Ces lignes peuvent avoir des fonctions stupéfiantes, telles que préserver les roches de l’effritement, et même éliminer les bruits.

De plus, des hiéroglyphes de différentes périodes ont été découverts dans les grottes N°24, N°35 et N°2 les uns après les autres, donnant aux hommes un autre mystère.

Pouvons-nous trouver une explication plus persuasive à ces mystérieuses reliques ?

Parmi les reliques mises à jour, il y a des empreintes fossiles d’un dinosaure de l’ère Mésozoïque, des dendrolithes [plante, buisson, ou partie de plante fossilisée ou pétrifiée], ainsi que des outils d’extraction et poteries de la Dynastie Jin (265-316 après j-c) (...)

Maintenant une nouvelle question se pose : il n’y a pas de personnages représentés sur les murs intérieurs des Grottes. De plus, il n’y a même pas de termes se référant à ces grottes dans les archives officielles anciennes de la Préfecture de Huizhou.

Il est impossible pour une organisation non-gouvernementale de construire d’aussi grandes grottes en seulement quelques années. Cela prendrait beaucoup de temps pour finir ce projet ce qui impliquerait le gouvernement et l’armée. Mais pourquoi n’y a-t-il pas un seul mot dans les diverses archives archéologiques s’y référant ?

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À la fin du livret, diverses hypothèses sont évoquées, c’est écrit en tout petit et ce serait trop long à traduire, mais parmi ces dernières on peut lire :

Civilisation Préhistorique :

Des gens font état d’une "Ligne mystérieuse" de 30° latitude nord, autour de laquelle se trouve divers édifices ou lieux mystérieux :

Pyramides égyptiennes, Triangle des Bermudes, la mer morte, le désert du Sahara, etc. Les grottes mystérieuses de Huashan se situent également près de cette ligne, donc certains pensent que ces grottes sont un chef-d’œuvre d'ETs venus de l’espace.

" Il y a trois mystères entourant les Grottes Mystérieuses de Huashan…

Premièrement : le bassin Bishui, qui est un bassin souterrain si profond que trois mois de pompage serait insuffisant pour en retirer toute l’eau.

Deuxièmement : les colonnes de pierre, qui font plus de 33 pieds de haut et son arrangés en forme de gorge pour supporter le plafond de la grotte. L’orientation des colonnes suggère que les anciens avaient une connaissance en mécanique théorique et en son application précise.

Enfin, la gigantesque caverne est dépourvue d’écho car l’agencement des murs empêche la résonance du son."

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L’époque exacte de la construction de la caverne est actuellement inconnue. Cependant, selon les minéraux trouvés dans la grotte, les experts estiment qu’elles fut construite il y a au moins 1700 ans.

Comment cette caverne fut construite ?

Pourquoi était-ce nécessaire d’avoir ces grottes ?
Qu’est-il arrivé aux 100 milliers de mètres cubes de pierres retirées dans la construction ?
Comment furent-elles extraites et transportées ?
Les grottes ont déjà quelques minéraux extraits, alors pourquoi n’ont-ils pas été transportés à l’extérieur ?
Il y a aussi de nombreux murs de pierre de 10 centimètres d’épaisseur, pourquoi ne furent-ils pas enlevés mais laissés debout au milieu de la grande salle ?
Quel était l’utilité des trous carrés et ronds cachés dans les colonnes de pierre ?
Pourquoi n’y a-t-il pas de trace dans les archives historiques de ces cavernes gigantesques ?
Les experts ont émis différentes théories mais n’ont pas de réponse définitive.

sources :  Article d’Epoch Times - http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article5878articleoriginaljsf-newstomorrowsansphotos.docx articleoriginaljsf-newstomorrowsansphotos.docx

Sources à voir : http://lelibrechoix.blogspot.fr/2011/12/les-grottes-enigmatiques-de-huashan.html

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Le Mont Huangshan (ou Hua, Huashan ou montagne de l'Ouest, montagne des fleurs) est l'une des 5 montagnes sacrées de Chine et situé à proximité des grottes du même nom, toutes situées dans la province du Shaanxi.

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Avec une altitude de 2 160 mètres à 120 kilomètres à l'Est de Xi’an, Huashan, littéralement la montagne des fleurs, est un délice à observer. Ce mont est considéré depuis des centaines d'années comme l'une des 5 montagnes sacrées (Wu Yue) parmi celles de Hengshan au Nord, Songshan au centre de la Chine et Taishan à l'est et Hengshan du Sud. Les cinq monts sacrés représentent les cinq points cardinaux chinois, c'est-à-dire le nord-sud-est-ouest-centre.

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Le long du chemin de 12 kilomètres qui mène du pied de la montagne à ses 5 sommets et au Temple de la Fontaine de Jade, vous aurez la chance de voir des paysages impressionnants dont des pics de granit aux formes étranges et des pins torsadés par le temps et le climat. A partir du sommet le plus au Nord vous pourrez atteindre celui du centre puis de l'Est, de l'Ouest et enfin du Sud. Ces 4 derniers entourent un cirque tel les pétales d'une fleur de lotus, d'où le nom de la montagne. L'ascension de cette montagne offre non seulement la vue de sublimes paysages naturels mais aussi d'un grand nombre de constructions qui, pour le meilleur comme pour le pire, font partie des ressources touristiques de la montagne.

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La route permettant d'atteindre les sommets passe par différents temples, sanctuaires, pavillons, terrasses, gravures, statues, stands de nourriture et de bibelots, qui apparaissent intercalés entre les chemins nus de granit et les bas côtés boisés. Le long de la Crête du Dragon Vert (Bilong Ji), qui relie le pic du Nord avec les autres, le chemin est tracé sur une fine crête de pierre avec des précipices de chaque côté. Une partie de cette route peut être assez dangereuse, malgré les chaînes de métal qui sont d'une grande aide aux endroits les plus périlleux donc avis aux cœurs sensibles…

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Il faudra gravir un dénivelé de 1000 mètres sur des sentiers escarpés et des escaliers presque à la vertical avant d’atteindre le sommet qui culmine à 2160 m ..Car le Hua Shan est hauts lieux du vertige, falaise vertical à gauche, falaise vertical à droite, avec par endroit et pour tout aide une chaîne en acier et de minuscules encoches taillées dans le roc !

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Mais bizarrement sur le Mont Huashan on ne trouve pas des grimpeurs forcenés ou des fous avides de sensations fortes, mais le tout public, la mère de famille, le visiteur bedonnant, adorateurs de beautés sauvages, fervents ou non.

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Sources : http://geekslop.com/2012/insane-terrifying-huashan-plank-walk-china-plank-bridge + http://au-bout-de-la-route.blogspot.fr/2011/06/les-monts-celestes-de-chine.html

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Dancing on The World's Most Dangerous Hike™ (Mt. Hua Shan) - YouTube

Yves Herbo, S,F,H, 11-2012,  up 04-2015