jeudi 2 février 2017

Analyses des reliques étranges du Pérou : appel aux dons

Analyses des reliques étranges du Pérou : appel aux dons



Momie perou14 mini

Comme l'avait dit Thierry Jamin lors de ses dernières interviews, lui et l'ONG Inkari lanceraient un appel aux dons si ils ne trouvaient pas de solution ou de personne pour effectuer gratuitement des analyses ADN et C14 des reliques trouvées dans le désert péruvien. En effet, il est hors de question de toucher aux sommes déjà récoltées pour l'expédition archéologique sur la recherche de Païtiti, et les sommes demandées par les laboratoires officiels (7000 € par exemple au Musée de l'Homme de Paris) sont trop importantes pour pouvoir effectuer les trois analyses dans trois labos différents comme l'exige la procédure officielle... Nous y voici donc, un appel aux dons a été lancé ce matin.


Vous trouverez ci-dessous le message complet lisible aussi sur la plate-forme sécurisée Ulule, connue mondialement pour ce type de campagne d'appel aux dons, afin de vous faire gagner du temps, ainsi bien sûr le lien direct vers cette plate-forme afin que vous puissiez, en toute liberté bien sûr et à votre convenance, uniquement si vous le désirez, contribuer de votre mieux à l'établissement de la vérité sur cette étonnante affaire (cet établissement de la vérité étant à priori l'intérêt de tous, sceptiques ou convaincus...) :














Bonus : une présentation de Thierry Jamin sur Facebook en vidéo:





Chers Amis Internautes,






Vous avez été très nombreux, depuis le début de cette incroyable histoire, à me conseiller de lancer une opération de « financement participatif » permettant de déterminer, grâce à des analyses scientifiques poussées (principalement ADN et C14), l’origine des corps et des organes momifiés découverts dans le sud du Pérou en janvier 2016.




Nous sommes conscients que des milliers de personnes, à travers le monde, veulent savoir, tout comme nous, s’il s’agit d’une fraude ou d’authentiques reliques biologiques appartenant à des espèces terrestres inconnues ou extérieures à notre planète.

Alors, mon équipe et moi avons décidé, en toute humilité, de vous écouter et de lancer cette opération de crowfunding, baptisée « Alien Project », nous permettant d’obtenir les réponses que nous espérons tous.

Grâce à vous, et si vous nous en donnez les moyens, nous allons tirer au clair toute cette affaire. Nous ferons la lumière sur cette histoire et nous vous promettons de tout vous dire.

Qui sommes-nous ?

Mais avant tout, laissez-moi vous rappeler que l’objet principal de l’Institut Inkari – Cusco, que j’ai l’honneur de présider depuis 2009, n’est pas la recherche ufologique, mais bien l’investigation archéologique, dans le cadre et le respect des procédures et des règlements régissant l’archéologie moderne (voir le site : www.instituto-inkari.org).

Depuis près de vingt ans, mon équipe et moi nous consacrons à l’étude de la présence permanente des Incas en forêt amazonienne et à la localisation de leur principal centre de peuplement : la cité perdue de Païtiti. Ces recherches, ont toujours été encadrées par des projets approuvés par les autorités péruviennes, principalement les Ministères de la Culture et de l’Environnement (voir le site : www.granpaititi.com).

Depuis des années, l’Institut Inkari – Cusco jouit d’une bonne réputation, notamment grâce aux découvertes réalisées par mon équipe à Machu Picchu en 2012 (voir le site : www.machupichu-ciudadela.com). Raison pour laquelle nous sommes régulièrement contactés par des citoyens péruviens ayant découverts près de chez eux telles ou telles ruines. Ou d’autres encore nous sollicitent pour obtenir une expertise, par exemple concernant des objets découverts dans leurs champs. C’est dans ce cadre que nous avons été contactés, à la fin du mois d’octobre 2016, par deux habitants de Cusco au sujet de mystérieuses momies découvertes quelques mois auparavant dans le désert du sud du Pérou. La suite, vous la connaissez…

Diffuser l’information

Convaincus de l’authenticité de cette histoire, que devions-nous faire ? La garder pour nous, ou la faire connaître au grand public ? Depuis des décennies, des millions de personnes, à travers le monde, recherchent « la » preuve. Ce groupe de « huaqueros » péruviens a peut-être découvert cette preuve.

Désormais, totalement impliqués dans cette histoire (qui comporte, il est vrai, encore de nombreuses zones d’ombre), les membres de l’Institut Inkari – Cusco vont mener l’enquête pour vous, et avec vous.






Nous allons appliquer pour cette affaire les méthodes de l’archéologie moderne. Celles qui nous ont permis de mettre au jour une quarantaine de sites archéologiques nouveaux dans le département de Cusco entre 2009 et 2013. Celles aussi qui nous ont permis de confirmer l’existence d’importantes chambres funéraires dans le sous-sol du « Temple des Trois Portes », à Machu Picchu. Enfin, ce sont ces mêmes méthodes qui nous ont permis de localiser, en 2012, le lieu probable où se cache la reine des cités perdues sud-américaines : la mirobolante cité de Païtiti. La découverte officielle de ce site légendaire est, selon nous, imminente (voir aussi : Thierry Jamin, « L’Aventurier de la cité perdue », éditions du Trésor, Paris, mars 2014).

C’est donc avec notre méthodologie que nous vous proposons de nous suivre dans ces recherches concernant le cas de ces corps et organes momifiés. Et vous pouvez nous faire confiance, s’il s’agit d’une imposture nous serons les premiers à la dénoncer.

Canular ou événement « historique » ?

Je comprends parfaitement que l’on puisse avoir des doutes dans une affaire aussi extraordinaire. Je pense que mes camarades et moi aurions eu les mêmes doutes légitimes en regardant les photos et les vidéos diffusées sur Internet.

Ces artefacts biologiques ont cependant été examinés à Cusco par une quinzaine d’archéologues, de biologistes, de médecins et d’anatomistes. Et aucun d’entre eux n’a émis l’hypothèse d’une fraude. Alors, s’il s’agit d’un canular, il est bien monté ! Si ces objets sont l’œuvre d’un faussaire, il faut lui rendre hommage pour la qualité exceptionnelle de son travail.

S’il y a une fraude, nous ne l’avons pas encore détectée. Et la seule manière de mettre tout le monde d’accord, les partisans comme les sceptiques, n’est-elle pas d’effectuer des analyses scientifiques poussées de ces objets, en particulier ADN et C14, dans plusieurs laboratoires internationaux ? Alors, donnons la parole aux chercheurs !

À l’Institut Inkari, nous ne cherchons pas à prouver quoique ce soit. Les déclarations à l’emporte-pièce, formulées par certains Internautes dénonçant une supercherie, ne relèvent certainement pas de ce principe intangible. Comme l’écrit Albert Eistein, « Celui qui n’a jamais fait d’erreur, n’a jamais innové »…

Comme des milliers de citoyens à travers le monde, nous voulons juste savoir.




Pourquoi des analyses ADN et C14 ?

Les analyses auxquelles nous vous proposons de participer permettront de déterminer :

  • S’il s’agit bien de matériels biologiques, ou non.
  • S’il s’agit d’espèces animales connues, inconnues, ou non identifiées. A moins qu’il ne s’agisse de toute autre chose…

S’il s’agit bien d’une imposture, 100 % des composants de ces corps et organes momifiés devraient, selon toute logique, être identifiés par les analyses.

Mais si ces mêmes reliques appartiennent à un groupe animal inconnu ou à une espèce extérieure à notre planète, les analyses devraient tout aussi logiquement mettre en évidence des « éléments inconnus » pouvant aller de plus de 0% à 100 %.




L’union fait la force !

Nous lançons donc, dès à présent, un appel à tous les Internautes, aux partisans de l’authenticité de ces étranges « reliques », comme aux sceptiques, ou tout simplement aux curieux, bref, à tous ceux qui, comme nous, veulent connaître la vérité sur cette histoire, de se joindre à cette opération pour permettre dès que possible, le lancement de ces analyses.

Nous nous engageons à vous communiquer l’intégralité des rapports d’analyses en toute transparence et à vous tenir informés régulièrement de leurs avancées.

Chers Amis Internautes, nous comptons tous sur vous pour réussir cette opération dont l’unique objectif est la recherche de la vérité. Le philosophe Aristote disait « l'ignorant affirme, le sage doute et le savant réfléchit ».

Vous pouvez aussi compter sur nous. Nous ferons toute la lumière, quelle qu’elle soit, sur cette incroyable affaire. 

Au nom de toute l’équipe de l’Institut Inkari – Cusco et en mon nom personnel, je tiens à vous remercier par avance du fond du cœur pour votre soutien sans lequel la vérité sur cette histoire ne sera sans doute jamais faite.

À Très Bientôt !

Bien Amicalement À Vous, depuis le Cœur des Andes,

Thierry JAMIN



A quoi va servir le financement ?






À travers ce financement participatif, l’Institut Inkari – Cusco se propose de réaliser dans différents laboratoires de renommée internationale les analyses complètes concernant les matériels suivants :

  • Analyses complète dans trois laboratoires indépendants de matières issues de la petite tête momifiée.
  • Analyses dans trois laboratoires indépendants des fibres de coton découverts dans la petite tête momifiée, puis étude comparative avec des cotons des cultures nasca et paracas.
  • Analyses dans un laboratoire péruvien du produit poudreux dans lequel ont été découverts les restes momifiés, puis étude comparative avec des minéraux présents dans la région côtière de Nasca-Paracas.
  • Enfin, analyses dans un laboratoire péruvien de l’un des implants métalliques découverts dans une des mains à trois doigts.

D’autres analyses seront par ailleurs lancées en même temps par notre contact « Paul » dans d’autres laboratoires, concernant d’autres pièces biologiques. À travers cette opération de crowfunding, l’Institut Inkari – Cusco se propose de prendre en charge une partie seulement des analyses du matériel en possession de ce dernier.

La somme collectée sera versé sur le compte de l'Instituto Inkari Cusco, ONG déclarée au Pérou.



A propos du porteur de projet



Thierry Jamin se consacre depuis près de 20 ans à la recherche archéologique au Pérou, plus particulièrement sur les traces des Incas en Amazonie péruvienne. Voir les sites internet consacrés aux recherches archéologiques de Thierry Jamin : www.granpaititi.com et www.machupicchu-ciudadela.com.






Il a fondé avec son équipe une ONG qu'il préside : l'Instituto Inkari Cusco, www.instituto-inkari.org.

Sur Facebook :


Ses publications principales :

  • Thierry Jamin, "Je te raconte : à la recherche de Païtiti, la cité perdue des Incas", in "GÉO Ado, le magazine de notre planète", N° 143, janvier 2015.
  • Thierry Jamin, "L’Aventurier de la cité perdue", éditions du Trésor, Paris, 2014.
  • Thierry Jamin, “Jeu de piste chez les Incas”, in “Historia”, N˚ 126, juillet – août 2010.
  • Thierry Jamin, “Pusharo, la memoria recobrada de los Incas”, Edisa, Lima, noviembre del 2007.
  • Thierry Jamin, Pierre-Albert Ruquier, “L’Eldorado inca. À la recherche de Païtiti”, éditions Hugo & Compagnie, Paris, 2006.
  • Thierry Jamin, “Sur les traces de Païtiti, la cité perdue des Incas”, in “La Géographie”, N˚ 1522, septembre 2006.
  • Thierry Jamin, “Les aventuriers de la cité perdue”, in “National Geographic France”, Vol. 13.2, N˚ 71, août 2005.



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Ne pas hésiter à commenter, donner votre avis, faire part de votre propre expérience... Ce site et une sauvegarde ancienne, à mettre à jour, du blog https://www.sciences-faits-histoires.com/