OVNIs et attaques : des militaires ont déjà témoigné dans le passé
Lubbock-Texas-31-08-1951
Le
phénomène OVNI a été rapproché assez rapidement avec des cas
d'enlèvements d'humains et d'animaux (et aussi de mutilations animales).
Le cas de Betty et Barney Hill au début des années 60
en est un des exemplaires les plus connus. Mais des documents et
témoignages émanant de personnels travaillant pour diverses armées ou
forces gouvernementales, à travers le monde, ne manquent pas non plus,
malgré les obligations de silence ou de réserve imposées par la charge,
nombreux sont ceux qui sont obligés de libérer leurs esprits de ce
qu'ils ont vu. C'est encore plus intéressant quand il s'agit de
témoignages d'hommes du même bataillon...
Tout d'abord, l'un des premiers témoignages militaire concernant une rencontre très rapprochée date de 1942 au Royaume Uni. Albert L.,
militaire en poste sur les côtes de la Mer du Nord déclara, quelques
années plus tard, avoir vécu une expérience troublante. Alors qu'il
montait la garde une nuit de 1942, il fut ébloui par une lumière jaune
provenant d'un objet circulaire. Il se sentit flotter, puis s'évanouit.
Quelques minutes plus tard, il revint à lui, à plusieurs mètres de
l'endroit où il avait vu la lumière... Durant de nombreuses années, il
fit des rêves étranges, se trouvant à bord d'un objet circulaire,
au-dessus de la mer, accompagné par une femme rousse et un "homme"
habillé de blanc...
Namur, Belgique, 1955
Un bataillon américain en difficulté :
Le 2 septembre 1977, à Fort Benning, Géorgie, au 1er bataillon d'entraînement de l'infanterie. Témoignage du soldat Clifford A.
"C'était
une parade du soir. Il y avait 39 hommes, nous avions a rendre compte
pour l'équipe, les capitaines et les officiers exécutifs."
"Nous
nous tenions en formation et quelqu'un devant moi mentionna quelque
chose dans le ciel et je n'en ai rien pensé, parce que je venais juste
de regarder les étoiles. Donc j'ai dis " Qu'est-ce que c'est ? ". Le
gars devant moi dit : Regardes, seulement ". Alors je l'ai faits et
tout-à-coup cette étoile a bougé, graduellement. J'ai pensé que c'était
un satellite. Ce sergent, qui se tenait derrière moi dit : " Que
penses-tu que ce soit ? ". J'ai juste dit : " Satellite "."
"Tout
à coup, l'étoile s'arrêta, et ensuite elle s'éloigna de nous, revint et
s'éloigna à nouveau, revint, etc... A ce moment, le même sergent nous
ordonna de garder notre attention et nous ne pouvions pas bouger, mais
j'ai jeté un coup d'oeil pour voir où cette chose allait, et elle était
partie."
"Et
c'est là que le capitaine, notre capitaine de la compagnie Delta, 1er
bataillon, 1ère infanterie, est sorti de cet immeuble pour faire un
discours. Et ce discours devait nous avertir de notre futur entraînement
de 6 à 8 semaines. Juste au moment où il s'approchait du podium pour
faire son discours, j'ai entendu ce son impétueux et je me suis penché
en arrière et j'ai regardé sur la gauche. J'ai vu cette lumière
brillante, une lumière intense. J'ai pensé que c'était une Jeep, un
camion ou quelque chose comme ça. Et elle traversait, doucement."
"J'ai
vu quelques hommes de la compagnie Charlie courir hors de la formation,
et d'autres rester immobiles. Donc j'avais besoin de mieux voir ceci et
je me suis penché en avant. Quand je me suis penché, cette lumière
était vraiment proche et elle était entre la ligne des arbres. Et j'ai
continué à penser que c'était un camion, mais la lumière était vraiment,
vraiment intense. Je veux dire, c'était une lumière blanche, et elle
avait un bord bleu. J'ai regardé cette chose et j'ai pensé : " je ne
sais pas ce que c'est ". Hé bien, le gars qui se tenait devant moi, j'ai
voulu lui dire quelque chose, lui demander ce que c'était, mais quand
je l'ai regardé, il dormait. Sa tête était inclinée, ses yeux étaient
fermés, il dormait. Donc je me suis penché en arrière à nouveau, je ne
savais pas ce qui se passait ici, mais je fus inconscient pendant
quelques minutes. Quand je fus revenu à moi, je regardais vers le bas et
je ne pouvais pas bouger. Je ne pouvais pas bouger mes pieds. Et
j'essayais désespérément de partir de l'endroit où je me tenais."
"La
chose que j'ai fait ensuite, je pouvais tourner la partie haute de mon
corps, donc je me suis tourné vers la droite, et j'ai vu quelques hommes
courir vers les arbres et d'autres plonger dessous les bâtiments. Mon
ami Alan... courait, ils couraient tous. Donc, j'ai crié après Alan
pour qu'il vienne m'aider parce que je ne pouvais pas bouger. Il revint
et me prit physiquement d'où je me tenais, il me tira physiquement. Il
tira mon bras et j'ai bondi de l'endroit où je me trouvais. Il disait : "
Protèges-toi ! Protèges-toi ! " Et je disais : " Qu'est-ce qui se passe
ici ? Vous savez ? ".
"Il se passait quelque chose, et cela arrivait vite. J'ai dis à Alan : " je veux voir le Capitaine
". Donc nous avons couru vers où se trouvait le capitaine et il se
tenait derrière le podium. Et il dormait. Sa tête était inclinée et il
ne bougeait pas. Donc j'ai crié, j'ai crié, " Réveillez-vous ! ". J'ai
crié si fort que j'ai pensé que tout le monde allait se réveiller. Mais
il y avait encore beaucoup de gars qui se tenaient autour de cette
formation et c'était comme s'ils étaient immobiles. Le Capitaine ne s'est pas réveillé. A ce moment, Alan
s'est tourné et a fait face à cette chose, cette lumière. Je pense que
c'était une lumière. Et son visage était très pâle. Je veux dire, c'est
comme s'il avait vu un fantôme. Ses yeux étaient exorbités et sa
mâchoire était ouverte, et je l'ai secoué. Je lui ai dis " Ne regardes
pas ça ! Ne regardes pas ça ! ". Et il reprend ses esprits et dit : "
Qu'est-ce qui se passe ? ", comme s'il était vraiment perturbé."
Namur, Belgique, 3 juin 1955
"Et
nous avons commencé à courir, et quand nous avons commencé à courir
vers le premier bâtiment, dessous le bâtiment, il y avait quelque chose
qui se déplaçait et nous ne savions pas quoi. Donc, j'ai dis à Alan
d'attendre, de se tenir prêt, nous ne savions pas ce que c'était. Nous
avions vu les ombres se déplacer sous le bâtiment et nous allions
physiquement heurter cette chose. Hé bien, c'était l'un d'entre nous. Il
était venu à quatre pattes et il a demandé : " Qu'est-ce qu'il se passe
? ". Nous avons dit " Le Capitaine dort !, le Capitaine dort ! ". Il
tourna la tête et répéta " Le Capitaine dort ! ". Donc nous lui avons
dit : " Protèges-toi, éloignes-toi de ça ! " et Alan et
moi avons commencé à courir à nouveau et le gars s'éloigna à quatre
pattes de nous. Nous sommes arrivés au second bâtiment et à la fin des
baraquements, il y avait deux baraques de stockage, nous avons entendu
quelques gars en-dessous. Ils nous ont appelés par nos noms, donc nous
avons couru jusque là. Nous sommes allés sous cette façade et avons
commencé à argumenter sur ce qui se passait. Nous ne pouvions croire que
les choses étaient allées si vite, mais c'était notre réaction, de
manière hostile, parce que quand quelque chose comme cela arrive, vous
savez, quand les gens s'excitent au sujet de tout..."
"Alors nous avons vu le sergent S. sortir du premier bâtiment qu'Alan
et moi venions de traverser. Et cette boule de lumière blanche, à 15
mètres, nous nous tenions allongés, cela avait la taille d'une pastèque,
une petite pastèque. Mais c'était une lumière brillante et ce n'était
pas un traceur, parce que je le sais. J'ai déjà vu des traceurs avant,
j'ai tiré avec mon F16, et je sais à quoi ressemblent les traceurs. Mais
ce n'était pas un traceur. Elle semblait provenir du second étage,
directement vers et à la hauteur du sergent S. Et le sergent S.
était à deux mètres, et il bougeait ses bras de haut en bas, criant sur
ce qui se passait, nous disant de rester caché et d'injurier le ciel
parce que quelque chose descendait. Et il a commencé à courir et il a
disparu dans le second bâtiment. Et cette lumière brillante descendit à
sa hauteur et passa, puis elle disparut. Et ensuite, nous avons entendu
un " claquement " et un " cognement " et l'un d'entre nous, H., rampa de l'autre côté pour voir où était le sergent S.,
et il était " groggy " sur le trottoir. Il n'avait pas bougé.
Apparemment, il avait été assommé par quelque chose. Quelque chose
l'avait frappé. Quand H. revint, c'est à ce moment que
nous avons entendu les cris. De la compagnie Alpha, de la Bravo, puis de
la compagnie Charlie et de la Delta."
"Quand
cela vint de la compagnie Delta, nous entendîmes quelqu'un crier "
maman ! ", un cri haut perché qui devint une sorte de grognement. Je
peux encore l'entendre quand je parle de ceci. Je veux dire, quand vous
entendez un homme crier comme ceci, vous savez que quelque chose ne va
pas. Et j'ai dis à Jones, qui étais assis à côté de moi, j'ai dis que
nous devions sortir et aider ces gars parce qu'il se passait quelque
chose là-bas. Mais il s'est tourné et a dit : " Non, ils sont déjà
morts, oublies-les "."
New-Delhi, Inde, 03-07-1964
"Nous
avons commencé à nous poser des questions sur ceci, nous avons commencé
à nous demander où étaient les M16, et où étaient les munitions. Nous
allions déployer une de nos tactiques de défense et j'ai dis à Alan : " Quoi qu'il se passe, essayes d'aller jusqu'au poste principal pour avoir de l'aide. J'allais rester en arrière avec J. et H.
Hé bien, pendant notre discussion, nous avons eu un des gars qui est
entré en rampant et nous lui avons demandé ce qui se passait dehors. Et
il dit : " Ce sont les lumières ". Nous nous sommes regardés : "
Lumières ? Quelles sortes de lumières ? ", " D'étranges lumières, quoi ?
". C'était plus qu'une intense lumière, je veux dire que la place était
éclairée comme s'il faisait jour. Et les fenêtres des bâtiments, et les
contours du bâtiment lui-même se détachaient sur un fond clair. La
lumière silhouettait tout, incroyable, c'était vraiment incroyable. Cela
se déplaçait doucement au second étage et s'approchait du sol, et nous
pouvions voir les gars devant nous, en-dessous du bâtiment et nous avons
commencé à marteler le sol et à les appeler, à leur dire de s' éloigner
de cette chose, mais ils ne bougeaient pas. Au moment où cette lumière a
atteint le coin, j'ai regardé dedans. Je ne savais pas ce que c'était
mais c'était comme regarder dans une de ces lampes de recherche, droit
dedans."
"Le soldat V.
décrit alors comment il commença à entendre une " voix " dans sa tête.
Il regarda au sol et vit un petit animal effrayé, qu'il qualifia
d'opossum. Il dit qu'il entendit l'animal dire : " Qu'est-ce que c'est ?
", et il répondit " Je ne sais pas ". Ses collègues le regardèrent
intrigués, virent l'animal détaler au loin et dirent " A qui parles-tu V. ? ". H, m'a dit " vous savez, vous parlez à la nature "."
"Je
ne sais pas, il se passait des choses étranges. Et cette brillante
lumière, elle était si brillante que de dessous les bâtiments, vous
pouviez voir la tuyauterie, les planches, vous pouviez tout voir. Toute
la place était illuminée. Tout le monde était effrayé, et moi aussi.
Vous savez, pour être honnête, nous avions peur de cette lumière, comme
des enfants cachés dans un coin."
"A
ce moment, j'ai entendu cette voix, cet écho, comme métallique, et elle
me disait : " C'est ok, ne soyez pas effrayé, sortez ". Hé bien, je ne
sais pas qui a dit cela, et j'ai questionné tous les gars : "Qui a dit
que c'était ok ? Qui a dit que c'était ok ? ", et tous les gars m'ont
regardé. V. dit à ses amis qu'il avait entendu une voix
lui disant que tout était ok et qu'il fallait sortir. Ils rampèrent
jusqu'à lui, parce qu'ils n'avaient rien entendu. Il leur dit de
s'approcher du centre du bâtiment, loin de la lumière et décida de
sortir pour voir lui-même ce qui se passait. V. sorti
en rampant du dessous du bâtiment et se releva sur l'herbe. Je me tenais
debout et j'ai regardé sur ma gauche, et cette brillante, intense
lumière se tenait devant moi. Je vis cette silhouette, comme une sorte
de petite forme, se précipiter dans la lumière. Je ne savais pas ce que
c'était, mais quand j'ai levé ma main gauche pour protéger mon regard de
cette lumière, quelque chose a frappé mon épaule gauche, et cela fit le
même bruit qu'un plomb qui saute. Je suis descendu. J'ai cherché de la
main mon ami H., et H. criait mon nom, et je le cherchais, mais quelque chose d'autre m'a frappé le dos et je suis devenu inconscient."
"Ce
que je me rappelle à partir d'ici, c'est que quelqu'un me disait de
garder mes yeux fermés. Et je sentais qu'il y avait une personne sur ma
gauche, et une autre sur ma droite. Il y avait une couverture sur moi et
j'étais soulevé. Mon corps tout entier semblait picoté, vraiment
picoté, et la chose suivante qui arriva fut le déplacement rapide de
deux personnes, venants vers ma gauche, tournants à l'unisson et
s'éloignant de moi, très rapidement. On me dit de garder mes yeux fermés
durant tout ce temps et la chose qui c'est passé ensuite, j'ai entendu
cette voix féminine dire " Vous rappelez-vous ? " et j'ai dis " Rappeler
quoi ? ", et je n'ai pas dis un mot, c'était une communication mentale.
Et quand elle m'a entendu dire " Rappeler quoi ? ", j'ai senti un
intérêt profond venir en elle."
Air Force Base Holloman, New-Mexico, USA, 1957
"La
première, moi-même, debout dans un océan, ciel bleu, et je me tiens
dans un océan par moi-même. L'autre fut une image de la Terre en train
de se détruire, morceau par morceau. Et l'autre fut une image d'un
visage humain, un visage blanc, pâle, avec des pupilles comme du mercure
liquide. Et c'est tout ce que j'ai vu. J'ai vu à nouveau ce visage, je
suis tombé inconscient.""La chose suivante, j'ai eu cet examen médical,
et après j'ai regardé ce mur, et sur le mur il y avait un insigne de
quelque chose, une demi-lune et une sorte de zigzag. Et quand j'ai
tourné ma tête, j'ai vu des rangées d'hommes étendus sur une dalle,
comme une dalle de métal. A la 5 ou 6ème table, il y avait deux choses
qui se tenaient derrière moi, et en juste une seconde, elle dit "Dormez
", et je le fis. Ce que je me rappelle ensuite, c'est ce gars, je dois
dire que c'était un gars parce que j'ai senti que c'était un mâle, il
m'a dit de regarder ses yeux. Et je ne voulais pas le faire. Je ne
voulais pas le regarder parce qu'il le faisait peur. Et il dit : Il n'y a
pas de quoi avoir peur... " ou quelque chose comme ça, " N'ayez pas
peur ", et il continua à me demander de le regarder dans les yeux. Et
j'ai dis : " Seulement si ça peut aider ", et il dit " Ça aidera ". J'ai
regardé ses yeux et j'ai vu trois images."
"La
chose suivante dont je me souviens, et que nous étions tous revenus en
formation, tout le monde. Nous étions tous revenus en formation
linéaire, mais je me rappelle qu'Alan et moi nous tenions à la deuxième
ligne, alors que nous étions revenus à la quatrième ligne. Nous étions
tous désorientés. C'est comme... c'est comme si nous avions bu 150
litres de bière, parce que nous nous balancions d'avant en arrière.
Comme Alan et comme tous les autres. Nous avons fait notre auto-examen : "Comment allions-nous ? ".
"Beaucoup d'entre nous étaient désorientés, ne sachant pas ce qui c'était passé. J'ai regardé et j'ai vu le Sergent T.,
qui se tenait là dans son uniforme d 'été, son habit de parade. Il
avait toute ses médailles. J'ai pensé qu'il avait renversé du café sur
son pantalon, mais apparemment, il avait eu un "accident". Il maudit et
s'éloigna. Le sergent N. nous dit de retourner à nos
baraques et je me suis demandé : " Hé, nous n'avons pas eu le discours
du Capitaine. Qu'est-il arrivé à notre discours ? ". Et bien, nous
n'avons jamais eu de discours et nous avons commencé à partir, et
quelques-uns d'entre nous ont commencé à tomber au sol. Nous avions
perdu l'équilibre et je suis aussi tombé par terre parce que tout
tournait, et c'était inhabituel. Et quand je me suis relevé, j'ai
commencé à marcher au loin. Quelques personnes, quelques-unes qui
étaient dans la formation, commencèrent à se sentir malade, commencèrent
à vomir, tombèrent, comme si nous avions perdu notre contrôle de
l'équilibre."
"Quand
je suis arrivé au premier bâtiment, je me suis arrêté et j'ai regardé
ma montre. Et ma montre s'était arrêtée à 07h40. J'ai demandé à Jones,
qui se tenait à côté de moi, quelle heure il avait et il dit qu'il avait
03h30. Et il questionna son ami à sa droite qui lui dit qu'il avait
04h45. Toutes nos montres étaient arrêtées. Je suis tombé malade,
réellement malade. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis retourné à mon
baraquement et il y avait là des gars réagissant très bizarrement. Comme
être sous l'emprise d'une drogue. Mais ils réagissaient vraiment
bizarrement. Alan était assis sur son lit, fixant le
mur, c'est comme s'il était " parti ". J'ai ouvert mon vestiaire, et
j'étais prêt à retirer mon t-shirt quand j'ai noté qu'il était
déboutonné en haut, mes boutons de pantalons étaient ouverts. Mais le
plus drôle est que mes chaussures, les chaussures de combats ont 8
trous."
"Et
bien, elles étaient lacées du quatrième trou et en travers jusqu'au
bout, et avec une sorte de nœud papillon. Et je me suis dis à moi-même :
" je sais que je ne suis pas sorti comme ça... Je sais que je n'ai pas
fait ça. Parce que le sergent aurait dit quelque chose, il aurait été le
premier à crier et à dire : " Que faites-vous ainsi dehors, Vasquez
? ". J'ai donc commencé à changer de vêtements, et en retirant mon
pantalon, j'ai trouvé comme une sorte de pâte dessus. Je l'ai retiré du
pantalon et de sur moi aussi, ne sachant pas ce que c'était.".
Yves Herbo (11/2011)
(Sources et extraits : Frédéric Fons, Dossier Brulant 1, ATN publications)