samedi 27 avril 2013

Les nanotechnologies

Les nanotechnologies

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nanomecanique par Eric Drexler

Les nanotechnologies et les nanosciences sont l'étude, la fabrication et la manipulation de structures, de dispositifs et de systèmes matériels à l'échelle de moins d'une quarantaine de nanomètres (Un nanomètre = un milliardième de mètre = 10-9 m).

Les nanosciences et les nanotechnologies sont au croisement de plusieurs disciplines scientifiques comme l'électronique, la mécanique, la chimie, l'optique, la biologie qui utilisent des objets d'une taille de l'ordre du nanomètre.

Un des objectifs majeurs des nanotechnologies est de créer des nanomachines.


Nanotechnologies Documentaire partie 1 by alxka


Nanotechnologies documentaire partie 2 by alxka


Définition des nanotechnologies par Bertrand Bouchet, conseiller pour la Science et la Tecnología - Madrid - 17 avril 2013 by Ambassade France Espagne


Nanotechnologies reconstructives en Italie et à Hong Kong by busimex


Pour un développement responsable des nanotechnologies by centreanalysestrategique


Jean Bergougnoux - Débat public sur les nanotechnologies by VideoScopie

Yves Herbo-SFH-04-2013

Le Général de Gaulle et les OVNIs et UFO Conscience 12

Le Général de Gaulle et les OVNIs et UFO Conscience 12

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En 1966 l'armée américaine (USAF) met en place la commission Condon qui est de rendre la divulgation sur les OVNI au grand public, Charles de Gaulle approuve l'idée et veut mettre en place un groupe d'étude secret français indépendant sur le sujet. Il est bon de rappeler que le général avait été très impressionné par l'observation en 1954 d'un OVNI à Tananarive à Madagascar. Le professeur Yves Rocard du cabinet du président de Gaulle demanda à Alain Peyrefitte (chargé de recherches au CNRS en anthropologie) de créer un groupe de recherche sur la vie extraterrestre et les OVNI. Peyrefitte contacta Jean-Luc Bruneau (inspecteur général du Commissariat à l'Energie Atomique) et lui demanda de faire des propositions en ce sens.

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Le projet de Jean-Luc Bruneau, confidentiel, est approuvé. il propose 3 objectifs d'études à mener avec l'aide d'experts de différentes disciplines :

- La probabilité de l'existence et la recherche de vie intelligente extraterrestre.
- Une analyse sur une éventuelle relation avec d'autres civilisations dans l'espace.
- Essayer de comprendre l'intention des phénomènes OVNI dans le ciel français.

Finalement ce projet tombera très vite aux oubliettes en raison des événements de mai 1968, il ne sera plus jamais repris par la suite.

PAR OLIVIER DE SEDONA - UFO Conscience

UFO Conscience 12  : Michel Ribardière - L'armée et les OVNI - RR3 en France



Relayé par Yves Herbo-SFH-04-2013

vendredi 26 avril 2013

L'Empire de Mu identifié

L'Empire de Mu identifié

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Tongatabu

Au confins du monde connu réside un mystère, comment un peuple ancien prétendu de sauvages et de cannibales ont pu traverser 25 millions de km² ? D'où venaient il ? Le plus incroyable, c'est qu'ils ont peut être découvert l'Amérique avant Christophe Colomb.

Sur l'île de Paques, ou Rapanui, quelles sont les origines des habitants de cette île perdue dans le Pacifique ? Deux scientifiques se sont penchés sur ces questions. Ils ont prélevé de l'ADN sur ces descendants. Au delà de l'ADN, l'histoire des habitants de l'île de Pâques raconte qu'ils viennent d'un continent perdu dénommé Iva.

Le tout premier roi Itoumatoua venait de ce continent perdu Iva.

L'enquête continue sur les îles Marquises, bien plus au nord ouest. Les peuples anciens des îles marquises étaient adeptes d'un cannibalisme "religieux". Les scientifiques pensent que le peuple des îles marquises auraient peuplé l'océan pacifique. Les premiers explorateurs au XVII ème sièce ont trouvé un peuple "sauvage et primitif". Les offrandes des sacrifices humains étaient considérés par ces explorateurs de barbarie. Les prêtres et les chefs mangeaient leurs victimes, d'une façon très rituelle. Ils ne connaissaient ni l'écriture, et ne possédaient pas d'histoire.

Mais de nouvelles fouilles prouvent que les ancêtres de ces habitants primitifs étaient beaucoup plus raffinés et avaient une culture beaucoup plus élaborée. Des pétroglyphes ont été également découverts dans les îles marquises qui représentent les mêmes "tikis" qu'à l'île de Pâques. Cette preuve apporte un élément supplémentaire quant à l'origine des habitants de l'île de pâques. Jusqu'à aujourd'hui, personne ne pensait que ces peuples puissent avoir la connaissance suffisante pour naviguer sur des milliers de kilomètres en plein océan.
Et pourtant, de nouvelles fouilles ont prouvé qu'il a existé avant ces cultures primitives des échanges commerciaux entre les îles. Les découvertes d'un coquillage insolite à l'île, la découverte d'un hameçon, et la découverte d'une hachette en pierre appelée herminette portent les preuves de ces échanges qui étaient inconnus jusqu'à présent. La carrière de ces pierres est redécouverte, au nord des marquises sur une île abandonnée, tout ceci grâce à une étude chimique des pierres des herminettes, et de la carrière.

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Ces découvertes récentes viennent de bouleverser le point de vue qu'on avait sur ces civilisations polynésiennes. La preuve des échanges commerciaux et voulue par cette époque de l'age de pierre.

Pour revenir à l'ïle de Pâques, l'origine de Iva était un royaume luxuriant et très vert. Le nom des marquises possède un ancien nom selon les polynésiens : Les îles Iva ! L'origine des habitants de l'ïle de pâques aurait été poussée par des rivalités au sein des anciennes populations des îles marquises.

Les pirogues des polynésiens ont démontré que c'étaient d'excellents moyens de transports pour les voyages sur l'océan. C'étaient d'excellentes embarcations. L'idée que les polynésiens étaient trop primitifs pour naviguer sur l'océan a aujourd'hui changé. La découverte de stickshart, un système de paille et de coquillages pour marquer le positionnement des îles a tout changé. Ils connaissaient les moments où les vents d'est et d'ouest soufflaient, ils observaient le positionnement des étoiles qui leur donnaient la route à suivre pour atteindre les îles.

En fait, le continent perdu est ni plus ni moins un continent océanique marqué par la connaissance de ces îles. Un immense territoire partant de Hawaï à la Nouvelle Zélande, à l'île de Pâques démarque une carte fantastique de ces échanges. Avec le temps, et les rivalités intérieures, cette connaissance a été perdue et le royaume a été oublié. Ainsi les peuples sont revenus à une période beaucoup plus primitive.

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Des plateformes tronquées et pyramidales, les marae existent dans l'ensemble des îles de la société, des pierres mégalithiques, soigneusement formées et adaptées. La plus grande de toutes les structures en pierre polynésiennes étant le Marae Mahaiatea à Tahiti. Aujourd'hui détruite, son aspect global était une pyramide possédant un large toit plat.

L'étude ADN a fini par confirmer que l'origine des habitants de l'île de pâques venaient des îles marquises, mais une autre découverte dans l'ADN a été trouvée. Des marqueurs génétiques démontrent que des échanges avec l'Amérique du Sud ont eu lieu ! La découverte de la patate douce en polynésie 1000 avant JC démontre ces échanges avec l'Amérique.

L'empire de Mu a été un immense royaume océanique où la connaissance de tous ces territoires était connue. Ils possédaient le savoir nécessaire suffisant pour conquérir toutes ces îles et de mettre également les pieds en Amérique du Sud. Ce "royaume" a été  probablement oublié à cause de rivalités intestines et les interactions entre les îles ont disparu. Ils étaient les grands commerçants et de grands explorateurs de leur époque. Pour les polynésiens, leur patrie est la mer.


Source : http://www.laterredufutur.com/accueil/index.php/divers/443-lempire-mu-redecouvert.html

SFH-04-2013

Les Dogons et le Mystère de Sirius

Les Dogons et le Mystère de Sirius

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Sirius (Nasa)

Les grands prêtres des Dogons, une tribu africaine du Mali, connaissaient l’existence de certaines étoiles, notamment Sirius, bien avant qu’elles ne soient détectées par nos télescopes modernes.

En 1950, deux anthropologues français, Marcel Griaule et Germaine Dieterlen, déclarèrent que Sirius B, bien qu’absolument invisible à l’œil nu, était depuis des siècles la clé de voûte céleste de la cosmologie des Dogons.

Il y a environ 300 000 Dogons qui vivent sur un plateau rocailleux du Mali. On ne sait pas grand-chose de leur passé à part qu’ils sont arrivés sur le plateau de Bandiagara entre le XIIIe et XVIe siècle de notre ère.

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Maisons à flancs des rochers. By El Rabbit

Encore aujourd’hui, les Dogons vivent paisiblement dans leurs villages de pisés dressés face à la plaine du Niger. Au pied de ces falaises escarpées, ce peuple vit au rythme des saisons, chacune étant honorée de danses rituelles.

Les Dogons pourraient être un peuple bien ordinaire si leur cosmogonie n’était pas si surprenante.
La vie des Dogons est imprégnée des mythes venus du fond des âges. Leur dieu créateur, Amma, a lancé des boulettes de terre dans l’espace, où elles se sont transformées en étoiles.

Amma a ensuite modelé deux poteries blanches symbolisant le Soleil et la Lune.

Selon leur mythologie, Amma a tiré la Terre d’un boudin d’argile. Huit nommo, des petits génies aux yeux rouges et au corps vert sont nés de cette argile. Ils ont donné naissance à huit familles qui sont devenues les huit tribus du peuple Dogon.

Ces mythes deviennent intéressants quand les Dogons affirment que les huit nommo viennent de Sirius. De plus, les Grands prêtres savent depuis fort longtemps que Sirius est accompagnée d’une autre étoile, baptisée par les astronomes Sirius B.

Ce qui est extraordinaire c’est que depuis plusieurs siècles, toute la cosmogonie des Dogons est commandée par Sirius B.

Or, cette étoile n’a été découverte qu’en 1836 et identifiée comme une naine blanche qu’en 1915.

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Danses Dogon By El Rabbit

Le savoir des Dogons
En 1931, deux ethno-anthropologues français partent s’installer dans ce qui était alors le Soudan français pour y étudier les Dogons. Pendant 20 ans, Marcel Griaule et Germaine Dieterlen vont partager la vie des Dogons.

Après plusieurs années, les Dogons ont parfaitement accepté les deux français. En 1946, ils acceptent de leur expliquer leur cosmogonie.

Les sages de la tribu tracent alors sur le sol à l’aide de bâtons la voûte céleste telle qu’ils se la représentent. Médusé, Griaule voit apparaître la constellation du Grand Chien et, gravitant autour, une étoile plus petite ainsi qu’un autre corps. Cette étoile, confièrent-il au scientifique, met 50 ans pour faire le tour de Sirius. Pour fêter cet évènement, tous les 50 ans, ils célèbrent la fête de "Sigui", afin de régénérer le monde.

Pour figurer cette petite étoile, les Dogons ont choisi l’objet le plus petit dont ils disposent : la graine de la variété fonio du millet, céréale qui constitue leur principale nourriture. Dans leur langue, « Po Tolo (Sirius B) est de taille minuscule mais très lourde.

On sait depuis 1920 que les naines blanches, des étoiles en train de mourir, bien que petites, ont une incroyable densité.

Quand les deux scientifiques ont demandé aux prêtres d’où ils tenaient ces connaissances, ils ont été formels :

« Des créatures amphibies ont atterri sur la Terre il y a fort longtemps. Elles ont transmis ce savoir à quelques initiés. Ces créatures, les nommo, sont les Guides de l’Univers, les pères du genre humain. »
Les Dogons dessinent un peu partout des figures qui évoquent l’arrivée des nommo sur Terre. Ils sont d’ailleurs très précis quant à l’atterrissage de l’arche. Cette dernière s’est posée au nord-est du pays dogon, près de l’endroit d’où les Dogons sont partis pour venir s’installer sur les plateaux.

Il est évident que, comme dans tous les mythes, les symboles sont omniprésents, ce qui ne rend pas facile l’interprétation de chaque élément.

Ce qui est certain, c’est que les connaissances des Dogons en astronomie dépassent largement leurs capacités d’observation ou de calcul.

Peu après, Griaule découvrit que les Dogons avaient bien d’autres connaissances en astronomie. Ils savaient, par exemple, que Jupiter a quatre satellites principaux. Ils savaient que Saturne a des anneaux, que la Terre tourne autour du Soleil et que les étoiles sont des corps en mouvement perpétuel.

Ils savaient également que la Lune est une planète morte. Depuis des générations, les prêtres enseignent que la Voie Lactée est animée d’un mouvement en spirale, auquel participe notre système solaire.

Un autre fait étrange, ils affirment que Sirius serait accompagnée, non pas d’une étoile mais de deux étoiles. Nous savons que Sirius B existe mais, à ce jour, aucune Sirius C n’a été détectée.

Si un jour, on découvre cette deuxième étoile, invisible à l’œil nu, le savoir des Dogons serait spectaculairement confirmé.

La grande question qui se pose depuis maintenant 1976, année de la parution de l’ouvrage de Robert Temple « Le Mystère de Sirius », est :
De qui les Dogons tiennent-ils leur savoir ?

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Village Dogon By John Spooner

L’hypothèse d’extraterrestres souhaitant partager leur savoir avec les Dogons ne semble pas très sérieuse. (YH : mais est-ce vraiment sérieux d'affirmer ça de nos jours aussi ?)

Bien sur, la description que font les prêtres depuis plusieurs centaines d’années de l’arrivée de cette « arche » est assez troublante. « En descendant, l’arche a fait retentir un bruit terrible, qui a fait trembler les pierres » Robert Temple ajoute qu’ils font également allusion aux immenses colonnes de poussière qui s’élevaient dans le ciel.

Les Dogons se sont transmis cette légende oralement de génération en génération et ils s’expriment sous une forme mythique et symbolique. Il est donc difficile d’en faire une interprétation rationnelle.

Suite à la parution du livre de Robert Temple qui montre beaucoup d’audace dans ses conclusions, les prises de position se sont succédées. Si ce scientifique croit à l’hypothèse extraterrestre, ce n’est bien sûr pas le cas de tous ses confrères.

Pour certains, ce savoir s’expliquerait d’une manière très simple. Les Dogons ont été soumis à l’école laïque dès 1907 par les Français. Leurs connaissances proviendraient donc tout simplement de notre propre civilisation.

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Cet argument, très rationnel, ne tient malheureusement pas l’analyse. En effet, le savoir des Dogons est très ancien et se transmettait bien avant le début de la colonisation. De plus, il est très peu probable que les instituteurs enseignaient l’astronomie et encore moins les raisons anormales du pouvoir d’attraction de Sirius B.

L’autre hypothèse est déjà beaucoup plus plausible. On sait que dès la plus haute Antiquité, les peuples proches-orientaux se passionnaient pour l’astronomie.

Les Dogons n’étaient pas une tribu isolée. Leurs villages bordent les grandes routes commerciales qui reliaient autrefois l’Afrique occidentale à l’ancienne Egypte. Ils sont établis au sud de Tombouctou, siège d’une université qui, il y a 400 ans, était l’un des grands centres intellectuels de l’Islam...

Des échanges culturels ont donc forcément eu lieu. Il est donc possible que par l’intermédiaire des Egyptiens, une partie des connaissances des peuples de la Mésopotamie et même de Grèce soit parvenue jusqu’aux Dogons.

On constate d’ailleurs que Sirius apparaît souvent dans les mythologies antiques. Cela n’a rien d’étonnant car après tout, c’est l’étoile la plus brillante de notre ciel. Les Egyptiens connaissaient bien cette étoile car elle était liée aux premières inondations du Nil.

ll y a-t-il eu mélange des différents mythes ?

Et qu’en est-il de Sirius B, qui elle, est invisible à l’œil nu ? Certains avancent l’hypothèse que dans des temps plus reculés, cette naine blanche brillait suffisamment pour être vue et étudiée avec des instruments rudimentaires.

Effectivement, de nombreuses civilisations aujourd’hui disparues, avaient de bonnes connaissances en astronomie.

Cette dernière hypothèse n’explique pas tout mais apporte des éléments sérieux à ce dossier. Si un jour, il s’avérait que Sirius C existe bien alors il nous faudrait envisager d’autres hypothèses.
http://www.dinosoria.com/dogons.htm

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Yves Herbo : certains astronomes cherchent une ou plusieurs exoplanètes dans les environs de Sirius de nos jours, ce qui ne serait pas étonnant étant donné les nombreuses découvertes de planètes, y compris autour de l'étoile la plus proche, Proxima du Centuri... 

Mais que dire de cette troi­sième étoile Sirius C que les Dogons affirment connaître ?

Ils la nomme " Emma Ya " ou "Sorgo" ou encore "L’étoile des femmes" et ils disent que cette étoile a une période de révo­lution de 32 ans autour de Sirius A, sur une orbite éllip­tique très excen­trique et qui est, (et cela est plutôt remarquable comme pré­cision), per­pen­di­cu­laire à celle de Sirius B.

Les Dogons, qui ont des­sinés ces orbites sur leur objets pré­cieux sans doute pour mieux les visua­liser, affirment surtout que Emma ya, possède plu­sieurs pla­nètes en orbite autour d’elle et que c’est de l’une de ces pla­nètes, que seraient venus leurs ancêtres, il y a très long­temps à bord du NOMOvaisseau inter-stellaire dont la forme et le com­por­tement res­semble beaucoup à ceux de la fusée lunaire Apollo.

En ce qui concerne les recherches des astro­phy­si­ciens sur cette étoile Sirius C, en 1991 dans la revue "Astronomy & Astro­phisics", les astro­nomes, Jean Marc Bonnet-Bidaud et Cécile Gry nous disent qu’ils en soup­çonnent l’existence par suite de la consta­tation d’un chan­gement de couleur du système, à travers les ages, et pensent que cet hypo­thé­tique troi­sième com­pagnon de Sirius pourrait bien avoir une orbite très aplatie comme une comète et après analyse grâce à un coro­no­graphe occultant la lumière aveu­glante de Sirius A Ils ont sélec­tionné deux d’entre ces corps voya­geurs sans arriver encore à déter­miner lequel de ces astres montre le même mouvement propre que Sirius.

Dès les années 1920 une demi-douzaine d’astronomes rap­por­tèrent l’observation d’une 3ème étoile très faible sus­cep­tible d’appartenir au système , mais aucune confir­mation n’a pu émerger jusqu’alors. Les der­niers travaux menés par les astro­nomes jean-Louis Duvent et Daniel Benest de l’observatoire de Nice qui uti­li­sèrent des simu­la­tions numé­riques d’ordinateurs, semblent ren­forcer l’hypothèse de l’existence du 3ème corps d’une masse très faible, de 0,5 fois au plus la masse solaire et de magnitude appa­rente de 5 à 10 fois plus faible que Sirius A. Voir la Revue CIEL ET ESPACE d’Août1995, Article d’Olivier FEVRE "L’énigme de Sirius" et voir aussi l’article " Les étoiles du sacrifice" de Serge Jodra" dans le n° 331 de la même revue de Mai 1996.

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Ce que le prêtre Ogotemmeli a divulgué a Griaule en 1947
114 sys­tèmes solaires aux pla­nètes plates et cir­cu­laires, l’ensemble a été crée par le dieu Amma.
2. Ainsi le dieu lança "des bou­lettes de terre" pour en former les étoiles.
3. La terre fut crée en dernier afin de pouvoir s’accoupler avec elle et ainsi un élément unique fut engendré : le chacal. Par la suite il engendra des jumeaux dont l’apparence était celle de l’Homme et du serpent dont l’eau jouait un élément essentiel. de couleur verte, le corps lisse et couvert de poils de même couleur : leurs yeux avaient la forme des yeux humains mais étaient de couleur rouge, leur langue était fourchue, le torse iden­tique au rose humain, le bas du corps adoptait la forme du serpent : les bras étaient souples, sans arti­cu­lation et terminés par des mains palmées. Tous deux s’appellent Nommo : chacun est à la fois mas­culin et féminin et leur essence divine leur fit rejoindre leur père au ciel. Où celui-ci leur transmit son savoir.
4. Ainsi les nommo sont fils du ciel et de la terre et com­men­cèrent par vêtir la terre : Ils appor­tèrent du ciel des fibres qui n’existaient qu’au pays d’Amma et, avec leurs doigts, en torsadèrent dix poi­gnées pour qu’elles forment des sortes d’hélices sym­bo­lisant l’eau, le serpent et les spi­rales du soleil et de la lune. Ils en pla­cèrent cinq devant la Terre et cinq der­rière. Il est à noter que cette jupe de fibres ondu­lantes fait actuel­lement partie du costume des dan­seurs des masques.
5. Dieu modela une matrice en glaise humide et la posa sur la Terre : puis du ciel, il lança sur la matrice une bou­lette de terre. II modela ensuite un sexe mas­culin et agit de même. De la fusion de ces deux sexes naquirent un homme et une femme. Comme ils ne vou­laient pas que la règle des nais­sances doubles dis­pa­raisse, l’expérience du chacal unique étant regret­table, les Nommo des­si­nèrent sur le sol deux sil­houettes repré­sentant une âme femelle et une âme mâle. L’homme créé par Dieu se coucha sur les deux âmes et les absorba. La femme fit de même. Ainsi. chaque individu fut doté d’une double appar­te­nance. Chez l’homme, la féminité se situe dans le prépuce et chez la femme, la mas­cu­linité siège dans le clitoris.
6. Les Nommo déci­dèrent la cir­con­cision de l’homme. Au moment de l’opération. le prépuce se trans­forma en un animal bizarre, ni serpent, ni insecte, mais " dans la chasse des ser­pents ", et appelé nay : il res­semble à un lézard noir et blanc appelé plus tard lézard-soleil. En Dogon, nay veut également dire " quatre ", qui est le symbole de la féminité.
7. Attiré par une pré­mo­nition, l’aîné des huit ancêtres, s’enfonça dans la four­mi­lière, les pieds devant, en laissant au bord du trou la cale­basse qu’il portait sur sa tête. Aujourd’hui encore, la cale­basse est, pour les Dogon, la der­nière trace char­nelle du mort et elle fait partie des objets funé­raires. L’aîné des ancêtres devint pur esprit dans l’eau de la matrice : il reçut la parole et monta au ciel. Les sept autres le sui­virent dans l’ordre de leur nais­sance. Tous reçurent le même ensei­gnement, sauf le sep­tième, le chiffre sept étant le chiffre de la per­fection, car il est l’addition de trois, Chiffre mas­culin et quatre, chiffre féminin.
8. Jupiter et de son halo.
9. Saturne et de ses satellites de Vénus.
10. Sirius et de ses satellites.
Ainsi, nous voila en pré­sence d’une tribu du Mali à la tra­dition orale bien bien curieuse et surtout dont les propos sont vérifiés par les décou­vertes scien­ti­fiques. Faut il penser que les Nommos ont bien été des êtres réels, dans tous les cas les mys­tères restent ouverts…Que la recherche continue..

Source : http://www.projet22.com/archeologie/civilisation/article/le-mystere-des-dogons


Les Dogons et le Mystère de Sirius - Robert Temple by Epistemea



Le mythe dogon by www.vodeo.tv

Culture of the Dogon on Display by NewsLook (vo EN)

SFH-04-2013

mercredi 24 avril 2013

Vidéos-actualités Sciences et Hi-Tech, geek du moment

Vidéos-actualités Sciences et Hi-Tech, geek du moment

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Les plus vieux embryons fossilisés de dinosaures by sciencesetavenir


Fermeture des marchés européens : 22.04.2013 by euronews


Sciences et Avenir n°795 - Mai 2013 by sciencesetavenir


Un procédé pour rendre les organes transparents ! by sciencesetavenir


Robotique : Derniers réglages avant la compétition (Le Mans) by LM tv Sarthe


JTech 136 : Facebook Home, Robots danseurs… by La Chaine Techno 01net


Champs d'éoliennes vus du ciel par drone by DronImages


Star Trek : The Video Game. Sim City. Splinter Cell Blacklist (GE#035-22/04/2013) by gamereportFR


STAR TREK INTO DARKNESS - Message pirate #1 VF by Paramount Pictures France


Rencontre (Pascal Légitimus & Chantal Baroin # court-métrage) by LASTRAJOLI

Yves Herbo-SFH-04-2013

Un nouveau bolide explosif filmé sur l'Argentine ?

Un nouveau bolide explosif filmé sur l'Argentine ?

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Todo Noticias News le 21/04/2013
Une étrange boule de feu est tombée au nord de l'Argentine dans les premières heures de dimanche 21-04-2013, provoquant une explosion et un léger tremblement de terre, ont rapporté les médias locaux.

Selon la télévision argentine Todo Noticias canal (TN ), le corps étranger, qui semble être un météore, a été vu dans les provinces de Santiago del Estero, Catamarca, Tucuman, Córdoba, La Rioja et Salta.



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« Plutôt qu'une météorite, c'était un bolide. Une roche de l'espace est entrée avec une grande vitesse. Cet objet qui s'est désintégré était à une grande hauteur pour qu'il puisse être vu sur des centaines de miles », a déclaré le directeur de l'Observatoire astronomique de Santa Fe, Jorge Coghlan, cité par TN. "Les météores sont des fragments plus petits. Dans ce cas, c'était un objet plus grand. Nous pouvons calculer environ 20 pouces (51 cm) de diamètre », a déclaré Coghlan. Selon des témoins cités par TN, ont mentionné que le dernier phénomène a eu lieu à 03:00 du matin (heure locale), a illuminé le ciel pendant quelques minutes comme si c'était le jour et on a ensuite entendu une explosion et une sorte de tremblement. Jusqu'à présent, on ne sait pas exactement où le corps étranger a impacté, mais sans doute que c'était au sud de la ville de Santiago del Estero.

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Egalement, la nuit du 13 au 14 Avril 2013, une grosse boule de feu venant d'un fragment de comète a illuminé le ciel dans le centre de l'Espagne. L'objet a frappé l'atmosphère de la Terre à la verticale de la ville de Villamuelas dans la province de Tolède.

"The Spanish Institution for the Study of Meteors and Meteorites, which tracked the fireball, classified the meteorite as a piece of a comet that was flying by Earth.

Video: J.M. Madiedo - University of Huelva  - http://rt.com/news/spain-fire-ball-meteorite-878/

The explosion as the fireball entered the atmosphere sparked comparisons with the 500-kiloton explosion caused by the meteorite that fell over the Russian city of Chelyabinsk in February. Although the meteorite measured only a few meters in diameter, scientists estimated that the initial explosion was comparable in power to a nuclear bomb.

Visit us on: http://fayens.com


Le 15 Février 2013, une grosse météorite est tombée dans l'Oural, causant plus de 1.200 blessés et beaucoup de dégâts. Aujourd'hui, les scientifiques continuent à chercher les débris du corps spatial, dont la plus importante partie est sans doute tombée dans le lac Chebarkul.

Yves Herbo : ici, on ne voit pas le bolide mais cette caméra a enregistré la luminosité et le temps de passage très rapide de l'objet. En dessous, un large extrait d'un journal télévisé local (VO espagnol) montrant différentes vidéos et insistant sur la persistance du nuage lumineux de matières diverses (et extra-terrestres) s'étalant un long moment dans l'atmosphère au-dessus de la ville. Des retours sur les dégats de février en Russie aussi... :







Yves Herbo-SFH-04-2013

mardi 23 avril 2013

Quand la panne est programmée par le fabricant


Quand la panne est programmée par le fabricant
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Fait suite à cet article et éclaire un peu plus sur l'escroquerie programmée mondiale au niveau de la production... : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/economie-memoire-d-un-piege/l-obsolescence-programmee-escroqueries-du-systeme-capitaliste.html
Machine à laver en panne au bout de cinq ans, téléviseur qui ne fonctionne plus au bout de trois...
Est-ce une fatalité si les biens d'aujourd'hui durent moins longtemps qu'avant ?
Le Centre européen de la consommation (CEC) est persuadé qu'il s'agit d'obsolescence programmée.
Le Centre européen de la consommation vient de publier une étude intitulée: l'obsolescence programmée, dérive de la société de consommation.
Cette étude a été faite avec l'aide de Lydie Tollemer, une étudiante qui vient d'écrire un mémoire sur le sujet.
L'obsolescence programmée est le fait de planifier délibérément la durée de vie d'un produit. Cela permet de réduire cette durée de vie afin d'inciter les consommateurs à en acheter un autre.
Exemples d'obsolescence programmée
Le type d'obsolescence le plus répandu est l'obsolescence "par défaut fonctionnel": les producteurs font en sorte que si une seule et unique pièce tombe en panne, c'est l'appareil entier qui cesse de fonctionner. Cela concerne les produits électriques ou électroniques tels que les téléviseurs, les téléphones portables, les machines à laver ou les ordinateurs (voir ci-dessous).
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- Machines à laver
Le CEC estime qu'elles sont programmées pour faire 2000 à 2500 cycles de lavage seulement. Le remplacement des cuves en inox par des cuves en plastique permet de limiter leur durée de vie: il suffit qu'une pièce de monnaie se soit glissée à l'intérieur, pour qu'elles se cassent, au moment de l'essorage ; une température trop élevée peut aussi les déformer.
"En outre, les roulements à bille, qui sont des pièces vitales au fonctionnement de la machine, sont directement moulés dans la cuve en plastique. S'ils ne fonctionnent plus, il faut changer la cuve en entier. Et si la cuve en plastique, moins résistante que celle en inox, casse, il faut remplacer les roulements à bille."
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- Téléviseurs
Le CEC estime qu'ils sont programmés pour fonctionner 20 000 heures.
Les pannes viendraient le plus souvent du "condensateur", une pièce qui a pour rôle de les allumer. On peut le faire gonfler et casser, en l'exposant à la chaleur sur la carte d'alimentation.
-Téléphones portables et smartphones
Ils sont victimes de plusieurs types d'obsolescence programmée:
-par défaut fonctionnel : il suffit que la batterie tombe en panne pour qu'ils deviennent inutilisables.
- indirecte: sur beaucoup d'appareils, il est certes aisé d'enlever la batterie, mais il est moins facile de trouver une batterie de remplacement. Même chose pour les chargeurs. Les accessoires ne sont plus disponibles, ce qui fait que l'on ne peut plus utiliser le bien principal.
-par incompatibilité: il faut des appareils toujours plus récents pour télécharger des applications.
-Et ne parlons pas de l'obsolescence esthétique ! Les consommateurs veulent le modèle dernier cri. La périodicité de renouvellement des portables est en moyenne de vingt mois.
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-Imprimantes
Elles sont victimes d'obsolescence par notification, assure le CEC. Elles signalent le moment où il faut changer la cartouche d'encre, mais continuent encore à imprimer plusieurs dizaines de feuilles. Certains consommateurs changent donc le toner avant que ce soit utile. "C'est l'imprimante qui rend la cartouche d'encre obsolète", conclut le CEC.
Parfois, une puce placée dans l'imprimante enregistre le nombre d'impressions faites et, au bout d'un nombre prédéterminé par le fabricant, bloque cette dernière.
-Ipod et Apple
Les Ipod de première, deuxième et troisième génération d'Apple n'avaient pas de batteries amovibles. Quand la batterie tombait en panne, au bout de dix-huit mois, il fallait acheter un autre appareil. Une "Class action" (action de groupe) a été lancée aux Etats-Unis, mais n'a pas abouti, Apple ayant accepté entre-temps de dédommager ses clients et de proposer des batteries de remplacement.
-Voitures
Il arrive de plus en plus souvent qu'un moteur devienne inutilisable, faute de pouvoir trouver les pièces détachées de rechange (YH : ou que celles-ci soient trop chères avec la main d'oeuvre par rapport à la valeur entière du véhicule !)
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Comment lutter contre l'obsolescence programmée ? Les sites internet d'aide à la réparation
Nombre de consommateurs donnent des conseils pour réparer des appareils électrique.
Le site américain Ifixit.com propose des vidéos, sur lesquelles les salariés montrent comment tout réparer, du grille-pain à la voiture en passant par l'ordinateur portable ou la machine à laver.
En France, il y a le site Commentreparer.com (qui répertorie des sites de pièces détachées d'électro-ménager), ou le forum de réparation Tout-electromenager.fr .
La réponse législative
Le CEC souhaite que l'Union européenne se saisisse de cette question
Il demande que, pour chaque appareil acheté, le consommateur ait accès à l'information sur la durée de vie de l'appareil. Il estime que la durée de la garantie de conformité devrait être allongée en fonction de cette durée de vie moyenne.
En attendant, le CEC soutient la proposition de loi "visant à lutter contre l'obsolescence et à augmenter la durée de vie des produits" déposée le 18 mars sénateur Jean-Vincent Placé (Europe Écologie Les Verts).
Ce texte propose d'étendre la durée légale de conformité des produits électriques et électroniques, de deux ans actuellement, à trois ans au 1er janvier 2014, quatre ans au 1er janvier 2015 et cinq ans au 1er janvier 2016.
"Le fabricant aura ainsi intérêt à produire des biens plus durables, tandis que le consommateur n'aura pas intérêt à renouveler l'achat avant la date d'expiration de la garantie", explique l'exposé des motifs.
Actuellement, pendant les six premiers mois à compter de la vente, le consommateur n'a pas à prouver l'antériorité du vice, mais seulement son existence. La proposition de loi propose d'étendre ce délai à deux ans.
Le texte dit aussi que le consommateur doit pouvoir disposer des pièces détachées indispensables ) la réparation dans un délai d'un mois, et pendant une période de dix ans à partir de l'achat.
Le texte fera l'objet d'un débat au Sénat mardi 23 avril, à partir de 14h30
Source : http://sosconso.blog.lemonde.fr/2013/04/20/quand-la-panne-est-programmee-par-le-fabricant/
Yves Herbo-SFH-04-2013

Les phénomènes lunaires transitoires : un petit pas vers leur explication ?


Les phénomènes lunaires transitoires : un petit pas vers leur explication ?
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(c) Mathieu Godron/Yves Herbo
La British Astronomical Association vient de publier les résultats d'une enquête particulièrement détaillée concernant les phénomènes lunaires transitoires (LTP). Ces curieuses et éphémères modifications à la surface de notre satellite naturel divisent les chercheurs depuis des décennies.
Rares sont les sujets d'études concernant la Lune qui font autant débat. Bien qu'on en dénombre plus de 2.800 au cours de ces trois derniers siècles, les phénomènes lunaires transitoires sont toujours autant controversés qu'inexpliqués. C'est en 1968 que l'astronome sir Patrick Moore créa le terme de LTP (Lunar Transient Phenomena) pour englober d'étranges phénomènes rapportés par des observateurs. Brève augmentation de brillance, point lumineux, assombrissement, coloration ou effet de brouillard sont des exemples typiques de LTP remarqués sur des zones lunaires de quelques kilomètres. La British Astronomical Association(BAA) a présenté, au mois de mars dernier, les résultats d'une minutieuse enquête sur le sujet.
Historiquement le premier LTP fut observé le 18 juin 1178, par cinq moines de la cathédrale anglaise de Canterbury qui admirèrent à l'œil nu un flash lumineux sur le bord du croissant de Lune. Ils venaient d'assister en direct à la chute d'une météorite qui donna naissance à un jeune cratère de 22 kilomètres de diamètre, nommé Giordano Bruno.
Depuis cette date les rapports d'observation se succèdent. Bien entendu, beaucoup de ces signalements sont sujets à caution. Très souvent rapportés par des individus isolés sur la base d'une observation visuelle limitée par les possibilités de l'instrument optique utilisé, ils sont sans aucun doute à mettre sur le compte d'effets atmosphériques ou d'optique. À ce sujet, les statistiques réalisées par la BAA sont éloquentes : seuls 2 % des rapports d'observation (53 sur 2.806) rédigés entre les années 1700 et 2010 font état de véritables LTP.
Pour ou contre les LTP ?
53 phénomènes lunaires transitoires, c'est à la fois peu et beaucoup. Ceux qui ne croient pas aux LTP font judicieusement remarquer que le développement de l'imagerie numérique ces dernières années n'a pour le moment permis d'enregistrer aucun de ces phénomènes avec certitude. Leurs opposants rappellent l'observation de Nikolai Aleksandrovich Kozyrev en novembre 1958. Cet astronome russe, qui travaillait avec un télescope de 1,25 m de diamètre à l'observatoire d’astrophysique de Crimée, étudia pendant 30 minutes une coloration rougeâtre dans le cratère Alphonse. Le spectre photographique qu'il réalisa révéla une émission de vapeur de carbone. Même à la Nasa les avis sont encore partagés.
En juillet 1969 on demanda à Neil Armstrong d'observer en détail le cratère Aristarque (souvent cité par les observateurs de LTP) au cours d'un des survols d'Apollo 11. L'astronaute américain signala une zone beaucoup plus lumineuse que les alentours, qui semblait avoir une légère fluorescence.
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La sonde Ladee (Lunar Atmosphere and Dust Environment Explorer) ici à droite au cours d'un test de ses instruments. Son lancement est prévu dans le courant de l'année 2013, et elle sera chargée d'étudier la fine atmosphère et la poussière lunaires. Les astronomes espèrent également qu'elle apportera des réponses concernant les très controversés phénomènes lunaires transitoires. © Eric James, Nasa Ames
Les LTP ne sont pas liés à l’activité solaire
Bien qu'elle ne permette pas de trancher le long débat autour des LTP, l'étude de la BAA révèle, par contre, que la fréquence de ces phénomènes n'est pas liée à l'activité solaire. Une idée largement répandue dans la communauté astronomique, depuis la formulation de cette hypothèse en 1945 par Hugh Percy Wilkins, un astronome amateur gallois.
Si les LTP se produisent sur la Lune, leur origine sera sans doute à rechercher du côté du dégazage de cette dernière. La distribution de ces phénomènes à la surface de la Lune révèle en effet une forte concentration sur le bord des fausses mers, là où la croûte lunaire est la plus fragile. La remontée ponctuelle de gaz par des fissures lunaires pourrait alors expliquer les effets de brouillard observés au cours de certains LTP. On peut également imaginer la formation de décharges électriques au sein de ces gaz (par effet triboélectrique) à l'origine de phénomènes lunaires lumineux.
C'est peut-être la sonde Ladee (Lunar Atmosphere and Dust Environment Explorer) de la prochaine mission d'exploration de notre satellite naturel, qui permettra de mieux comprendre les LTP. Elle devrait être mise en orbite lunaire cette année, avec comme objectif l'étude de la fine atmosphère et de la poussière de la Lune. On en saura alors peut-être un peu plus sur ces étranges phénomènes lunaires transitoires...
Source : http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/les-phenomenes-lunaires-transitoires-un-petit-pas-vers-leur-explication_45956/#xtor=RSS-8
Sciences,Fictions,Histoires-04-2013

lundi 22 avril 2013

Un Garde des débris de l'Accident de Roswell : J'ai reçu l'ordre de tirer pour tuer


Un Garde des débris de l'Accident de Roswell : "J'ai reçu l'ordre de tirer pour tuer"
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Une équipe d'enquêteurs (dont l'auteur fait partie) a renouvelé ses efforts pour trouver et contacter les derniers vétérans en vie de l'Air Force qui étaient à Roswell au moment d'un crash d'OVNI qui a eu lieu au début de Juillet de 1947. Certains de ces témoins aujourd'hui octogénaires se sont ouverts au public pour la première fois et certaines choses qu'ils disent ne peut être décrites comme du reniement. Si le témoignage d'un particulier, vétérinaire à Roswell est vrai, alors l'explication de la Force aérienne d'un système de ballon Mogul comme étant un OVNI écrasé ne peux pas être. C'est parce que le vétérinaire soutient que le dirigeant de la base lui avait ordonné la plus extrême et redoutable des directives : On lui a ordonné de «tirer pour tuer» quiconque pourrait essayer d'entrer dans le hangar où les débris de l'accident ont été stockés. On ne serait pas ordonné de tuer pour un ballon. L'homme de service Calvin Cox a tenu secrète son expérience inquiétante à Roswell depuis des décennies. On lui a ordonné de ne jamais parler de lui. Et il ne l'avait jamais fait... jusqu'à maintenant.
L'Ordre Ultime
Le "tirer pour tuer" des ordres de l'officier remplace le protocole normal d'appréhender et d'arrêter. Cela signifie mettre fin instantanément à la vie d'une autre personne en tant que juge, jury et bourreau.
Un tel militaire assez consciencieux comme l'était le PFC Calvin Cox pourrait le faire. Cox est décrit dans l'Annuaire de la base à Roswell Army Air, sur le terrain en 1947 et d'autres informations indiquent qu'il a été attaché au 3ème Laboratoire Photo. Cox a été trouvé par moi pendant que j'essayais de localiser ceux qui étaient avec le laboratoire de photos à ce moment. Un militaire qui a été également affilié au laboratoire, Gene Neiderschmidt, avait suggéré que je contacte un Calvin Cox " qui savait des choses qu'il pourrait maintenant être ouverte à révéler." Gene a expliqué que Cox avait effectivement gardé le hangar où les débris ont été stockés. Gene a ajouté, « et ce qu'il vous dit est vrai. Il aurait fait n'importe quoi si on le lui avait ordonné, n'importe quoi. C'était une rude sorte de gars. ".
Je suis arrivé à joindre Calvin Cox par téléphone très récemment. Son histoire était celle qu'il était d'abord réticent à raconter. Mais ce qu'il a rapporté a été remarquable. Calvin a expliqué qu'il était tenu au top secret. Lorsque les débris du crash de Roswell étaient arrivés à la base, Calvin affirme qu'il lui avait été commandé d'effectuer une garde très urgente au Hangar 84. Ce serait pour un changement dans quatre heures. Le dirigeant, le major Edwin Easley, a chargé Calvin de garder une partie de l'intérieur de l'immense hangar. Et Calvin a fait cela. Mais ce qui lui provoque un arrêt, même aujourd'hui, ce sont les ordres énergiques qui lui ont été donnés ce jour extraordinaire :
Le Major Easley avait ordonné à Calvin, en termes absolus de « tirer et tuer quiconque tenterait d'entrer dans le hangar qui n'avait pas été autorisé à le faire."
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Et Calvin ajoute qu'il lui avait alors été dit par le major qu'il ne pourrait pas utiliser son arme standard pour monter la garde. Au lieu de cela, Easley a montré à Calvin une mitraillette à être utilisé avec une force meurtrière au cas où on tentait de traverser.
Autres révélations du garde des débris :
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Hangar 84 à Roswell base Aujourd'hui
Cox a dit qu'il y avait un garde placé à l'extérieur et un à l'intérieur à l'entrée du hangar. Il ne devait pas aller au-delà d'une corde qui avait été placée à quelques mètres après l'intérieur de l'entrée du hangar. Malgré cela, Calvin a eu l'occasion de voir certains des débris de Roswell à une certaine distance. Il a vu une partie du matériel de l'accident qui débordait d'un plateau de 60 pieds (18 m), rempli peut-être juste à la moitié de sa capacité de remorque. Il indique qu'il est apparu que le matériel de l'accident peut avoir été semblable à du métal, mais qu'il pouvait dire qu'il y avait des projections de poutres et que cela semblait brillant et lisse. Certains d'entre eux avaient peut-être eu une coloration bruni ou terni. Loin dans le hangar mal éclairé, il pouvait voir environ 30 pieds (9 m) d'une étrange matière, structurée comme du métal et cela était semblable à ce qu'il avait vu dans le plateau.
Cox affirme qu'à aucun moment au cours de cet événement il n'a vu quelque chose ressemblant à un ballon ou un système de ballons. Il se souvient des journaux affirmant plus tard que le disque qui avait été découvert avait été un ballon finalement et savoir personnellement que ce n'était pas vrai, mais être incapable de dire quoi que ce soit.
Calvin croit que les divulgations tardives dans la vie de l'Intelligence Officer Major Jesse Marcel au sujet que le matériau trouvé dans le désert n'était pas de la Terre étaient vraies. Calvin dit que Jesse était «simple» et que Jesse a été mis en place comme un «bouc émissaire».
Après le crash, Calvin a remarqué qu'il y avait du personnel autour de la base en grand nombre qu'il savait avoir été affilié avec les agences de renseignement, y compris à la fois le FBI et l'OSI.
Quand je lui ai demandé ce qui est arrivé aux débris, Cox a dit qu'il savait que le pilote Captain Oliver "Pappy" Henderson a été impliqué dans le vol aérien de certaines d'entre elles vers un autre emplacement. (Il y a plusieurs années, les chercheurs ont documenté que Henderson avait avoué à sa famille qu'il avait personnellement vu des corps étrangers et des débris étranges.)
Calvin aujourd'hui soutient que ce qu'il a gardé doit avoir été d'une telle importance que cela a affecté la sécurité nationale. Et il croit que ce qui s'est écrasé était "piloté". Quand j'ai demandé par qui, il a répondu par une question: « Croyez-vous aux extraterrestres ? "
Le major, ses ordres et ses aveux
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Major Edwin Easley, Provost Marshal
Le Major Edwin Easley a été le grand fonctionnaire à Roswell Army Air Field en Juillet 1947. Un grand prévôt est à la tête du groupe de la police militaire dans une base d'opérations militaires. Il est le responsable de cette unité et est donc responsable de la discipline militaire, du maintien de l'ordre et d'autres fonctions de police. Easley a été celui qui a donné l'ordre de tuer à Calvin Cox. On croit que Easley, comme prévôt, a également connu le lieu de l'accident.
Quand Easley a été joint en 1991 par le chercheur Kevin Randle, on lui a demandé s'il pensait qu'ils  «suivaient le bon chemin" sur la vraie nature de l'accident de Roswell. Easley a demandé: « Que voulez-vous dire ? " Quand il a été précisé comme se référant à " la voie extraterrestre ", Easley a répondu : « Eh bien laissez-moi vous dire que poser la question de cette façon-là n'est pas la mauvaise voie." Il n'en dira pas plus, ce qui indique qu'il était «tenu au secret».
Sa fille, Nancy Johnston Easley a déclaré que son père lui a dit qu'il avait fait une promesse au président Truman de ne rien révéler. Au cours de ses derniers jours, Easley a finalement confirmé aux membres de sa famille (et à son médecin, le Dr Harold Granik) qu'il y avait un «véritable crash» qui a eu lieu "au nord de Roswell." Lorsqu'on lui a demandé ce qu'il avait vu là-bas dans le désert, Edwin a répondu : «Créatures».
par Anthony BragaliaInterAmerica, Inc
posté par RRRGroup au Thursday, 18 Avril, 2013
Traduit par Yves Herbo pour Sciences,Fictions,Histoires-04-2013