vendredi 13 février 2015

OVNIs : Révélation de mai 2015 à venir, une diapo dévoilée

OVNIs : Révélation de mai 2015 à venir, une diapo dévoilée

Roswellalien 1947 diapo1tufoc
L'une des deux diapo retravaillée par le site TUFOC

Les ufologues américains semblent très fébriles suite aux annonces faites récemment sur des diapositives authentifiées d'extra-terrestres issues du crash de 1947 de Roswell et à la conférence prévue pour le 05 mai 2015, présentée par James Maussan et avec la participation d'Edward Mitchell, le scientifique astronaute bien connu. 

Au milieu de tout cela, Adam Daw lance sa chaîne YouTube, avec un trailer de son documentaire à venir (voir ci-dessous) sur les diapositives (intitulé, Kodachrome - Un documentaire) et les photographes présumés, Bernerd & Hilda Ray (qui sont tous deux décédés pour rappel). (Dans une interview avec Maussan, Daw détaille sa participation et qu'il est un ami de l'actuel propriétaire des diapositives).

Dew est un vidéaste indépendant de sports et propriétaire de Dew Media Inc; Toutefois, le documentaire et la chaîne YouTube sont attribués à la nouvelle entité, Slidebox médias.

Alien slide 1 unedit 250 px with box

Voici un exemple de la diapo telle qu'elle apparaît dans les documentaires, avant retraitement par les ufologues pressés de savoir...

Entre les vidéos de Maussan et le documentaire de Dew, les diapositives réelles sont montrées rapidement sur quelques passages; à la surprise de personne, des mélanges des scènes montrant les diapositives ont fleuri à divers endroits. Bien sûr, les diapositives, comme le montre la vidéo, sont à une certaine distance, elles sont petites et étirées sur un angle. Néanmoins, certains des rendus (des améliorations retravaillées ou non) semblent montrer ce que le public a été conditionné à juger comme un Alien de Roswell, par exemple, de petite taille, une grosse tête, de grands yeux, etc... (YH : l'alien, s'il est réel bien sûr, semble en tout cas très très frêle, sans ventre même ou appareil digestif et très petit - on peut comprendre leur défiance vis-à-vis des géants humains... et certains OVNI assez petits... mais ils pourraient tout aussi bien être des sortes d'androïdes ou robots et n'être donc pas trop gênés par le temps et les distances, comme le seraient des êtres biologiques comme nous...)


Alien slide 1 my edit 2


Comme les différents rendus le démontrent, il n'y a pas grand chose à faire avec pour obtenir quelque chose de visible, mais nous avons pensé que nous pourrions essayer notre main aussi ici au TUFOC (le site The UFO Chronicles s'y est donc mis aussi). Et voici donc leur exemple tiré du documentaire d'Adam; l'image a été agrandie, améliorée, reconfigurée pour la bonne perspective (pour la voir bien droite) et enfin enfermée dans une époque pertinente, un montage Kodachrome de diapo en carton (style 1947).

Il s'agit donc d'un travail fait par le site sur l'une des diapo visibles dans les documentaires, mais c'est bien le 05 mai 2015 que les vrais documents et l'étude officielle aura lieu...



Yves Herbo Traductions, Sciences, F, Histoires, 10-02-2015, 13-02-2015

De nouvelles preuves sur un crash réel à Roswell en 1947 ?

De nouvelles preuves sur un crash réel à Roswell en 1947 ?

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Reconstitution en image de synthèse de l'alien visible sur les diapos authentifiées de 1947

Ceci est une traduction d'un rapport paru dans le très sérieux Inquisitr.com sur une conférence de presse en ligne qui s'est tenue le 04 février 2015.

" Une équipe de chercheurs sur les OVNI (Ufologues) a annoncé lors d'une conférence de presse en ligne le 4 février 2015, qu'elle a obtenu des images Kodachrome, des diapositives, qui fournissent des preuves flagrantes que les aliens sont réels et qu'un crash d'OVNI extraterrestre est réellement survenu à Roswell en 1947, malgré les dénégations du gouvernement.

Selon Anthony Bragalia, qui a été impliqué dans les enquêtes et authentifications des prétendues preuves photographiques, les diapositives représentent une "magnifique preuve visuelle d'une créature humanoïde qui a été trouvée lors d'un crash près de Roswell."

Il a déclaré que les images sur les diapositives ont été examinées et déclarées authentiques par un spécialiste de la photo qui avait travaillé avec Kodak depuis des décennies et avait dirigé des équipes de projets techniques au siège de la société à Rochester, New York, et publié des livres qui font autorité dans le domaine.

Après avoir mené des tests détaillés et approfondis sur les diapositives, le spécialiste, Rod Slemmons, Directeur du Musée de la photographie de Chicago plusieurs années, a conclu qu'elles étaient d'authentiques diapositives de 1947 qui n'avaient pas été "modifiées ou manipulées d'une aucune façon."


" Ce qui est représenté est vraiment là, reflété fidèlement dans l'émulsion comme étant un moment réel en 1947. La science a pesé et a déterminé que ce sont de vraies diapositives qui sont vraiment de 1947." " La Preuve documentaire est un terme juridique qui se rapporte aux éléments de preuve qui reflètent fidèlement un moment dans le temps." " La seule conclusion : Cet humanoïde n'est pas une personne déformée, momie, factice, singe ou embaumeur." " Ce n'est pas une créature qui possède une origine Terrienne. "

Alejandro Rojas de l'équipe Open Minds rapporte que l'équipe présentant la preuve a d'abord annoncé la découverte de ces documents sur Roswell le mois dernier à l'American University à Washington DC, et que Tom Carey, l'un des ufologues qui ont récupérés les diapositives, a utilisé la conférence filmée en ligne qui s'est tenue le 4 février 2015, pour donner plus d'informations sur les photos et a fixé un jour où elles seront dévoilées au public.

La conférence a été parrainée par un journaliste et enquêteur sur les OVNI bien connu du Mexique, Jaime Maussan, dont le site Web et la chaîne YouTube font la promotion de la diffusion des photos, le 5 mai 2015, à l'Auditorium National de Mexico.

La promotion invoque des interviews et des vidéos qui donneront davantage d'informations de fond sur la source et la nature des photos concernées.


Entrevista Jaime Maussan a Tom Carey BeWitness / Sé Testigo Auditorio Nacional - Thomas J. Carey Coautor de Witness to Roswell en 2007, número 1 en ventas en el mundo, Así mismo autor y coautor de más de 40 artículos publicados sobre los acontecimientos de Roswell. Es parte de la última excavación arqueológica en el 2013 en Roswell con resultados potencialmente interesantes. Entrevue entre Jaime Maussan et Thomas J. Carey, Co-auteur de Witness to Roswell en 2007, le numéro 1 des ventes dans le monde, également auteur ou coauteur de plus de 40 articles publiés sur les événements de Roswell. Il a fait partie de la dernière fouille archéologique en 2013 à Roswell, avec des résultats potentiellement intéressants.

Selon Bragalia, l'événement à l'Auditorium National de Mexico le 5 mai 2015 sera retransmis en direct. Il est indiqué que les chercheurs fourniront des renseignements détaillés sur le contexte et l'origine des diapositives.

Mais avant la divulgation des photos, une vidéo montrant une image générée par ordinateur de ce à quoi les aliens ressemblent, a été postée sur le canal YouTube Tercermilenio (voir vidéo ci-dessous - le documentaire est en langue espagnole - vidéo supprimée depuis la sortie de cet article ! - il reste la photo ci-dessous...).


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Une deuxième vidéo publiée sur la chaîne YouTube montre une interview de l'ancien astronaute de la NASA Edgar Mitchell, originaire de Roswell et le sixième homme sur la lune lors de la mission Apollo 14. Dans l'interview, Mitchell affirme qu'il est venu à croire qu'un vaisseau spatial extraterrestre s'est réellement écrasé à Roswell en 1947, après avoir interviewé des gens de Roswell, y compris un ami qui était un Major de l'Armée

J'en profite pour rappeler que, toujours le hasard, j'ai remonté un ancien article parlant des révélations d'Edgar Mitchell pas plus tard que la semaine dernière, le 28-01-2015 ! ... : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-la-divulgation-d-edgar-mitchell.html


Une autre vidéo, mais qui a été retirée de la chaîne YouTube, montrait une entrevue avec un homme identifié comme Adam Dew, qui révèle l'origine des photos. Selon Dew, la sœur de son ami a découvert des photos en 1989 lors du nettoyage de la maison d'un couple américain défunt et sans enfant, Bernerd et Hilda Blair Ray, en Arizona.

Bernerd Ray était un géologue d'exploration pétrolière qui avait travaillé dans les secteurs de la région de Roswell du Nouveau-Mexique dans les années 1940 et était le président de la section du Texas de l'American Institute of Petroleum Geologists en 1947.
Sa femme, Hilda, était une avocate "très respectée" par une "clientèle haut de gamme et ayant des connexions possibles avec le Renseignement."

Hilda blair ray
Hilda Blair Ray

Bragalia a appuyé la demande sur l'authenticité des photos, fondée sur l'argument selon lequel ce qui est connu sur le couple confirmait qu'ils étaient de la " plus haute intégrité ... avec aucune propension à la farce."

« C'est un couple qui était de la plus haute intégrité. Et tous les deux ont eu des contacts et des activités qui pourraient leur avoir permis fortuitement d'obtenir ces diapositives ".
Dew a dit que la sœur de son ami a trouvé les diapositives pendant le nettoyage de la maison du couple. Elle a trouvé un coffret rempli de vieilles diapositives Kodachrome dans le grenier, et a décidé de le garder dans son garage. Elle les a gardés pendant environ 10 ans, sans prendre la peine de les regarder. Mais quand elle les a finalement regardé, elle a découvert qu'il contenaient des photos de lieux de différentes parties du monde et des gens célèbres, dont le président Dwight Eisenhower, Bing Crosby et Clark Gable (certaines de ces photos sont visibles dans la vidéo ci-dessus).

Mais elle a également découvert deux diapositives Kodachrome soigneusement enveloppées dans une enveloppe cachée dans la doublure intérieure du couvercle du coffre. Elle a constaté que les diapositives étaient des images d'êtres étranges. Elle a montré les photos à son frère, qui les a montré Dew. Dew a expliqué que, parce que le film avait l'air authentique, il les a transmis à Carey et à son partenaire Don Schmitt, deux chercheurs sur les ovnis.


Donald R Schmitt, investigador que puso a Roswell en el mapa, ha organizado los 4 proyectos de excavación en Roswell 1989, 2002, 2006 y 2013 con resultados extraordinarios. Donald R Schmitt, le chercheur qui a mis Roswell sur la carte, a organisé les 4 projets de fouilles à Roswell en 1989, 2002, 2006 et 2013 avec des résultats extraordinaires.

Dans le cadre de leur enquête pour confirmer l'authenticité des diapositives, Carey et son partenaire ont contacté un spécialiste Kodak qui a vérifié que les diapositives étaient bien des diapositives Kodak fabriquées en 1947 et que les supports étaient du type utilisé par Kodak au milieu des années 1940.

Décrivant les extra-terrestres, Carey a déclaré que les diapositives montrent des humanoïdes "autrefois vivants" frêles d'environ trois et demi à quatre pieds de hauteur (1m07 à 1m22). Les créatures ont de grosses têtes et une paire de bras et de jambes grêles. Une diapositive montre l'un des étrangers sans tête et en partie disséqué.

" Les professionnels de diverses disciplines qui ont vu les diapositives conviennent qu'elles représentent une petite créature humanoïde - une chose qui vivait auparavant - qui n'est ni un accessoire ni un humain génétiquement défectueux." - " Et surtout, l'être qui est montré dans les diapositives ne correspond en aucun façon aux représentations des aliens existantes dans la culture populaire des années 1940 ".

Schmitt dit à l'auditoire que les photos étaient une découverte époustouflante.

" Ce sera certainement l'événement le plus important dans notre vie, parce que nous le démontrons, non seulement avec des preuves photographiques, mais nous crédibilisons aussi tous ces témoins qui nous ont signalé ces choses sur l'ensemble de ces années."

Mais comme le note Alejandro Rojas de Open Minds, il reste à voir si les réelles diapositives pourront remplir toutes les promesses de la pré-version qui en est faite...

On note aussi que le site du chercheur Anthony Bragalia, qui enquêtait sur ces diapositives depuis plusieurs mois, a été piraté... vous pouvez lire dans le lien tout en bas de cet article des nouvelles de ce piratage très étrange...


Sources : http://www.inquisitr.com/1816875/roswell-alien-photo-slides-to-be-released-smoking-gun-evidence-of-1947-ufo-crash/

http://ovnis-direct.com/mobilisation-dufologues-autour-dun-scoop-explosif-sur-roswell-8557.html

http://kevinrandle.blogspot.fr/2014/11/anthony-bragalia-roswell-slides-and-ufo.html

http://www.theufochronicles.com/2015/02/roswell-alien-slides-to-be-unveiled-in.html

Yves Herbo Traductions, Sciences, F, Histoires, 06 et 13-02-2015

mercredi 11 février 2015

Jacque Fresco : un système monétaire obsolète - 2)

Jacque Fresco : un système monétaire obsolète - 2)

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Le projet de l'américain Jacque Fresco sis dans la commune de Venus en Floride : The Venus Project. Ce projet offre non seulement de nombreux points de vue, constatations des réalités passées et présentes sur notre économie semblables aux miens, ainsi que des propositions très intéressantes (et toujours discutables) pour y remédier, pour trouver une solution, pour l'Humanité. Cette page présente plus le projet Venus en lui-même par rapport à  la première page.

II)

The Venus Project prône une vision dont le but est d’établir une nouvelle civilisation mondiale, durable et différente de tous les systèmes sociaux existants. Bien que cette description soit grandement condensée, elle repose sur des années d’études et de recherches réalisées par de très nombreuses personnes dans plusieurs disciplines scientifiques.

Il y est proposé une nouvelle approche holistique et dédiée aux préoccupations humaines et environnementales. C’est une vision réalisable d’un meilleur futur, adapté à l’époque dans laquelle nous vivons tout en étant pratique et accessible, permettant ainsi d’assurer un avenir positif pour tous les peuples du monde.

The Venus Project en appelle à l’adoption d’une approche simple pour la refonte d’une culture dans laquelle les anciens maux que sont la guerre, la pauvreté, la faim, la dette, les dégradations environnementales et les souffrances humaines inutiles sont considérés non seulement comme évitables, mais aussi totalement inacceptables.


L’un des principes du « Projet Venus » est d’œuvrer à déclarer toutes les ressources de la Terre comme étant l’héritage commun de tous les peuples du monde. Les demi-mesures n’entraîneraient qu’une perpétuation du même ensemble de problèmes inhérents au système actuel.

Historiquement, le changement se produit à un rythme lent. Des groupes successifs de dirigeants incompétents ont remplacé ceux qui les avaient précédés, mais les problèmes sociaux et économiques sous-jacents persistent, car les systèmes de valeurs essentiels demeurent inaltérés. Les problèmes auxquels nous faisons face aujourd’hui ne peuvent pas être résolus politiquement ou financièrement parce qu’ils sont hautement techniques par nature. Il n’y a d’ailleurs sûrement pas assez d’argent disponible pour financer les changements nécessaires, mais il y a plus de ressources que nécessaire. C’est pourquoi The Venus Project préconise la transition d’une société monétaire vers la réalisation, à terme, d’une Économie mondiale Basée sur les Ressources.

Elle est consciente que la transition depuis notre culture actuelle, politiquement incompétente et obsolète, vers cette société nouvelle et bien plus humaine, nécessitera un véritable bond en avant, tant en matière d’idées que dans l’action.

Ce qu'il pense de l'argent et du système monétaire

Des objectifs dynamiques

Il est courant de lire et d’entendre les commentateurs dans nos médias de masse parler du nombre de problèmes sociaux auxquels nous faisons face, comme le réchauffement de la planète, la destruction de l’environnement, le chômage, la criminalité, la violence, la pauvreté, la faim et l’explosion démographique. Pourtant, est-il fréquent d’entendre parler de plans réalisables pour atténuer bon nombre de ces difficultés ? Tandis que la critique de la société est facile, l’identification et la résolution de ses problèmes le sont beaucoup moins.

The Venus Project est un véritable plan destiné à la création d’une nouvelle civilisation qui se reposerait sur les préoccupations humaines et la préservation environnementale.

Les plans de The Venus Project offrent à la société un plus large éventail de choix s’appuyant sur le potentiel de la science orienté vers une nouvelle ère de paix et de développement durable pour tous. Grâce à la mise en œuvre d’une économie basée sur les ressources et l’application au système social d’une multitude de technologies innovantes et respectueuses de l’environnement, les propositions de The Venus Project réduiront considérablement la criminalité, la pauvreté, la faim, le nombre de sans-abris et de nombreux autres problèmes à la fois urgents et communs à l’ensemble de la planète.

L’un des éléments essentiels des découvertes de The Venus Project provient du fait qu’une grande partie des comportements dysfonctionnels de notre société découlent directement de l’environnement déshumanisant que constitue le système monétaire. À cela s’ajoute l’automatisation qui remplace le travail humain par les machines. Il s’en suit, finalement, que la plupart des gens n’ont plus les moyens d’acheter les biens et services qui sont produits.

The Venus Project propose un système dans lequel l’automatisation et la technologie seraient intelligemment intégrées au sein d’une conception socio-économique holistique dont les principales fonctions seraient de maximiser la qualité de vie plutôt que les profits. Ce projet introduit également un ensemble de valeurs pratiques et réalisables.
C’est aussi en parfait accord avec les aspects spirituels et les idéaux trouvés dans la plupart des religions à travers le monde. Ce qui distingue le Projet Venus à part, cependant, est qu’il propose de traduire ces idéaux dans une réalité de travail.

The term and meaning of a Resource-Based Economy was originated by Jacque Fresco. (vostfr)
Première étape

La première phase des plans à long terme du Projet Venus est déjà en cours. Jacque Fresco, futuriste, inventeur, designer industriel et fondateur du Projet Venus et sa associés Roxanne Meadows ont achevé la construction d’un centre de recherche de 21 acres à Vénus, en Floride, pour aider à présenter les propositions de The Venus Project. Vidéos, CD, affiches, brochures, des modèles, des rendus et des livres, comme « Le meilleur que l’argent ne peut pas acheter: Au-delà de la politique, de la pauvreté, et la guerre », ont été créés pour aider à sensibiliser sur ce projet et ses nombreuses propositions.

Seconde étape

La deuxième étape consiste en la création d’un film de grande longueur, qui mettra en vedette le travail des innovations du projet proposé, en réunissant le monde entier. Le film va apporter à ses téléspectateurs une vision positive d’une société pacifique dans laquelle tous les êtres humains forment une famille unie sur la planète Terreune civilisation où tous les peuples sont engagés dans la poursuite d’une meilleure compréhension du monde qu’ils partagent. Ce film est conçu pour être une expérience divertissante et informative pour les adultes comme pour les enfants.

Troisième étape

Afin de tester ses concepts et ses propositions, The Venus Project travaille à la construction d’une ville/centre de recherche expérimentale. Les objectifs pour la plupart des technologies initiales et des constructions ont déjà commencé à voir le jour. Des efforts de collecte de fonds sont en cours pour contribuer à la construction d’une ville expérimentale qui serait consacrée à accomplir les objectifs de The Venus Project, qui sont :

Réaliser la déclaration des ressources de la Terre comme étant l’héritage commun de tous les peuples ;
Transcender les frontières artificielles qui séparent arbitrairement les peuples.
Remplacer les économies monétaires nationalistes par une Économie mondiale Basée sur les Ressources ;
Contribuer à la stabilisation de la population mondiale grâce à l’éducation et à un choix libre en matière de régulation des naissances ;
Préserver et restaurer l’environnement naturel dans la mesure de nos capacités ;
Repenser nos villes, nos systèmes de transports, nos industries agricoles et nos installations industrielles afin qu’ils soient énergétiquement efficaces, propres, et capables de répondre convenablement aux besoins de toute la population ;
Dépasser progressivement les entités corporatives et les gouvernements (locaux, nationaux ou supranationaux) en tant que moyens de gestion sociale ;
Partager et appliquer l’ensemble des nouvelles technologies au service de toutes les nations ;
Développer et utiliser des sources d’énergie renouvelables et propres ;
Fabriquer des produits de la plus haute qualité possible au bénéfice de tous les peuples du monde ;
Effectuer des études d’impact environnemental avant la construction d’un grand projet, quel qu’il soit ;
Encourager toutes formes de créativité et de motivation dans la mesure où elles sont employées dans un projet constructif ;
Dépasser le nationalisme, la bigoterie et les préjugés par le biais de l’éducation ;
Éliminer tout type d’élitisme, technique ou autre ;
Arriver à des méthodologies par des recherches minutieuses plutôt que des opinions aléatoires ;
Améliorer la communication dans les écoles afin que notre langage soit pertinent vis-à-vis des éléments physiques du monde ;
Fournir non seulement les nécessités de la vie, mais aussi des défis qui stimulent l’esprit et valorisent l’initiative individuelle plutôt que l’uniformité ;
Enfin, préparer les gens intellectuellement et émotionnellement aux changements et aux défis qui nous attendent.

Adjacent à la ville expérimentale, un parc à thème est également prévu afin que les visiteurs puissent se divertir et s’informer au sujet des possibilités de modes de vie écologiquement durables prévus par The Venus Project. Il mettra en exergue les maisons intelligentes, la promotion d’un degré d’efficacité énergétique élevé, des systèmes de transports non polluants, une technologie informatique de pointe et un certain nombre d’autres innovations qui constituent autant de valeur ajoutée à la vie de toute la population, et ce, dans un laps de temps très court.

Une ville circulaire serait en elle-même une phase transitoire et pourrait évoluer d’une société semi-coopérative financière vers une économie basée sur les ressources. Cela pourrait être le prototype d’une série de villes qui seraient construites dans divers endroits à travers le monde. Le rythme des avancées dépendra de la disponibilité des fonds levés durant les premiers stades et des personnes qui s’identifient avec, participent aux et soutiennent les objectifs et les orientations de The Venus Project.

Au fur et à mesure que ces nouvelles communautés se développent et deviennent plus largement acceptées, elles peuvent très bien constituer le terreau d’une nouvelle civilisation, suivant de préférence un processus d’évolution plutôt que de révolution.
Personne ne peut prédire le futur. Nous ne pouvons qu’extrapoler les informations et les tendances actuelles. La croissance de la population, l’évolution technologique, les conditions environnementales planétaires et les ressources disponibles sont les principaux critères pour l’établissement de projections.

Il n’existe aucune philosophie ou aucun point de vue, soient-ils religieux, politiques, scientifiques ou idéologiques qui ne suscitent pas de débats. Nous sommes certains, cependant, que les seuls aspects de The Venus Project qui peuvent sembler menaçants sont purement issus de projections.

The Venus Project n’est ni utopique, ni orwellien, et ne reflète pas non plus les rêves impraticables d’idéalistes. Il présente des objectifs qui sont à la fois à notre portée et qui ne nécessitent que l’application intelligente de ce que nous connaissons déjà. Les seules limites sont celles que nous nous imposons.

Conférence complète Jacque Fresco à Paris 12/09/2010

Organisation supportrice en France :

Association Civilisation 2.0 - http://www.civilisation2.com

Sources : https://www.thevenusproject.com/en/store/official#!/~/product/category=1360103&id=5501756
https://www.thevenusproject.com/fr/about/resource-based-economy
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MPSA n'est pas adhérent au projet Venus mais examine et parle de toutes les possibilités et systèmes sans monnaie d'échange existants ou potentiels...

Yves Herbo-MPSA, 11-02-2015

mardi 10 février 2015

OVNIs : Années 1950, des pilotes et des militaires témoignes

OVNIs : Années 1950, des pilotes et des militaires témoignes

Ovni france lacchauvet 1952

Dans cet article un peu "spécialisé", vous trouverez de réels témoignages de pilotes civils ou militaires, mais aussi de personnels militaires au sol (gendarmes aussi) impliqués lors d'apparitions de phénomènes aériens identifiés... comme n'étant pas explicables par des phénomènes naturels ou technologiquement humains... Tous ces témoignages sont des extraits de différents ouvrages connus et de plusieurs époques, beaucoup en France mais également dans d'autres parties du monde, et ont tous faits l'objet de vérifications et enquêtes, tant par des ufologues que par des services officiels comme les gendarmeries ou polices militaires ou de contre-espionnages... Les sources sont répertoriées en fin d'article. Cet article fait partie d'une enquête informative et éducative historique et est composé d'extraits limités exclusivement à un sujet bien défini.

(1) : Aérodrome de Brétigny, le 24 juin 1954. " Ce dossier m'avait été communiqué, en 1955, par le bureau scientifique du Ministère de l'Air, alors que je rassemblais la documentation de mon premier livre " Alerte dans le ciel ". " Voici encore une histoire passablement irritante, et à laquelle nous n'avons pu donner d'explication ", m'avait dit le lieutenant-colonel Martin en me le remettant.

Il était environ 15 h 30, ce 24 juin 1954. Aux commandes d'un " Ouragan ", un pilote du centre d'essais en vol s'apprêtait à atterrir. La visibilité était parfaite. La tour de contrôle n'avait indiqué aucun autre appareil dans le secteur. Pourtant, alors qu'il amorçait un virage, le pilote aperçut, sur le trois quart avant gauche de son avion, deux objets qui évoluaient parallèlement à sa propre trajectoire.

" Je les pris pour deux " F 84 " en maraude, écrit-il dans son rapport. Ils suivaient approximativement le cap 220. Je décidai de les intercepter et j'amorçai un virage pour les rattraper. Ce virage aurait dû normalement m'amener à leur hauteur. Je me retrouvais, à ma grande stupéfaction, à 3 kilomètres derrière eux ! Jamais, poursuit le pilote, je n'ai vu chose pareille en plein ciel ! Les deux objets m'apparaissaient comme deux fuselages ovoïdes, vus en bout, et liés par une poutre. Leur écartement était de 40 mètres, leur altitude de 9 000 mètres. Bien qu'ayant mis toute la gomme, je ne pus m'en rapprocher. Ils devaient évoluer à une vitesse supersonique. Et, chose étrange, ils se " dandinaient ".

Se basant sur les renseignements précis de ce rapport, le Bureau scientifique procéda à plusieurs essais de reconstitution. Tout ce que les enquêteurs purent établir d'après les indications du pilote, qui avait précisé que l'objet remplissait les trois quarts de sa glace avant, c'est qu'en réalité cet objet était beaucoup plus gros ou beaucoup plus près. En tout cas, il ne ressemblait à aucun appareil ou prototype connus.

L'étrange engin, vainement pris en chasse par le pilote de "l'Ouragan", fut revu le 18 octobre 1954, entre Saintes et Royan, par deux automobilistes. Les deux témoins reprennent presque mot à mot la description du pilote : un objet " en forme de balance " qui se dandinait dans le ciel "...

(2) : Camp de Mailly (Aube). L'observation remonte à fin octobre 1954. Ce dossier m'avait été également communiqué par le Bureau scientifique du Ministère de l'Air. Les témoins appartenaient tous aux services spéciaux de l'armée de l'Air. Parmi eux, le colonel Decker, ingénieur en chef de la SCAN (Société nationale de Constructions Aéronautiques du Nord), et ancien chef de la section des engins téléguidés, au Ministère de l'Air. M. Decker et plusieurs autres techniciens, dont le colonel qui, par la suite, rédigea le rapport transmis au Bureau scientifique, s'apprêtaient à quitter le camp de Mailly, où ils venaient de procéder aux essais d'engins antichars téléguidés, lorsque soudain, légèrement au nord par rapport au soleil couchant, quelque chose apparut dans le ciel.

" Il était exactement 17 h 30, relate le rapport de l'officier. Le soleil venait de disparaître derrière l'horizon. L'objet évoluait à une hauteur angulaire comprise entre 20° et 45°. On aurait dit un "petit segment de droite", avançant avec une inclinaison de 30° sur la verticale ".

Prodigieusement intéressés, on s'en doute, les techniciens suivaient la marche de l'apparition. L'objet continua d'avancer dans cette position pendant vingt-cinq à trente secondes, puis il bascula autour de son centre de gravité, et se réduisit à un point qui, très vite, disparut. Le rapport, de par la qualité des témoins, est troublant. Tous savent reconnaître en vol et identifier non seulement les avions ordinaires, mais aussi les prototypes et la plupart des engins téléguidés.

(3) : Foire de Metz, 10 octobre 1954. Vers 23 heures, un projecteur de D.C.A., installé au stand de l'Armée à la Foire de Metz, et qui balayait le ciel pour la plus grande joie des badauds, accrocha soudain dans son faisceau un mystérieux objet, un globe lumineux, immobile en plein ciel et qui, selon l'expression de certains témoins, "scintillait comme une boule d'arbre de Noël". Une dizaine de servants (YH : des militaires donc) se trouvaient autour du projecteur. Le rayon était orienté à la verticale. La chose semblait se trouver à environ 10 000 mètres d'altitude

Afin de s'assurer qu'il ne s'agissait pas d'un phénomène ou d'une illusion d'optique, on décida de procéder à un nettoyage complet du projecteur. On changea aussi les charbons et on le ralluma. L'objet était toujours là. " Il a au moins 50 mètres de diamètre ", estima l'officier. De nombreux curieux, qui s'étaient groupés entre temps autour du projecteur aperçurent aussi la "boule de Noël". Elle resta là jusqu'à 23 heures, heure à laquelle on se décida à éteindre le projecteur. Le radar avait sans cesse balayé l'espace sans rien accrocher. Cela pouvait signifier deux choses : ou bien l'objet n'était pas métallique ou bien il se trouvait au-delà de la portée utile des radars du type de celui qui fonctionnait à Metz.

(4) : Aérodrome de Francfort, Allemagne, 11 octobre 1954. Une séance d'entraînement se déroulait à l'école de vol à voile. Un moniteur exécutait une démonstration devant une vingtaine d'élèves pilotes. Ceux-ci suivaient des yeux les évolutions du planeur, à quelque mille mètres au-dessus du terrain. Parmi eux se trouvaient plusieurs anciens de la Luftwaffe.

Soudain, arrivant à grande vitesse, bien au-dessus du planeur, surgit un disque argenté, légèrement renflé au centre. Pas le moindre bruit, alors qu'au sol on percevait le bruit presque imperceptible de l'air fendu par les larges ailes du planeur. Le disque ne semblait pas très haut : 3 000 mètres peut-être. Pendant deux minutes, il évolua lentement au-dessus de l'aérodrome, puis brusquement accéléra et disparut rapidement à l'horizon.

(5) : Belesta (Ariège) le 16 octobre 1954. Peu après 21 h 30, une centaine d'habitants de Belesta virent apparaître au-dessus du "Rocher-de-Millet", une boule lumineuse extrêmement brillante, qui s'éleva au-dessus de la montagne, resta un instant immobile, descendit pour disparaître derrière les rochers, et recommencer son manège. Le phénomène apparaissaient cependant en des points différents. Il était très aisé de prévoir sa réapparition, car une lueur se dessinait nettement à travers les arbres du dessus de la falaise. Cette lueur faisait place à nouveau au disque lumineux, dont l'éclat demeurait toujours éblouissant. Il en fut ainsi pendant huit à dix minutes environ, soit jusqu'à 21 h 40. Puis un deuxième disque se manifesta aux côtés du premier, mais nettement à l'écart. Tous deux présentaient rarement le même éclat ou la même coloration. Tandis que l'un était blanc brillant, l'autre prenait une couleur vert pâle, intensément lumineuse.

Cette phase dura à peine deux minutes. Et un troisième disque surgit à son tour, qui, avec les deux autres, se mit à dessiner dans le ciel une ronde étourdissante. Les trois disques changeaient fréquemment et subitement de coloration. Une nouvelle couleur était apparue : un rouge orangé, relativement foncé, mais très lumineux, dont la tonalité, dirent les témoins, était comparable à certains rouges que l'ont voit dans une rosace ou vitrail de cathédrale lorsqu'ils sont traversés par un rayon de lumière.

A 21 h 45, le phénomène cessa brusquement. Dès le début, la brigade de gendarmerie avait été alertée, et les gendarmes furent ainsi parmi les principaux témoins. Tout paraissant terminé, le docteur Millet (YH : un nom de la région), président de l'Aéro-Club, voulant en savoir plus, invita le chef de brigade et un autre témoin à l'accompagner en voiture jusqu'au plateau du pays de Sault, à 900 mètres d'altitude, au-delà de la forêt. Un quart d'heure plus tard - il était alors 22 h 05 - le véhicule arrivait sur la route dominant la grande prairie de la route de Bunague (Aude). Les automobilistes purent alors contempler la phase ultime. En effet, apparaissant au zénith du hameau de la Bunague, une très vive lueur vert pâle descendit à très grande vitesse en direction de Belvis. Elle s'évanouit subitement avant d'atteindre Belvis à environ 25° à 30° au-dessus de l'horizon. 

Redescendus à Belesta, le docteur Millet et ses compagnons apprirent que la lueur avait été vue à la même heure et paraissait se diriger vers ce même rocher de Millet, si brillamment illuminé vingt minutes auparavant...

(6) : Zurich, Suisse, le 07 août 1954. Cette observation est certainement l'une des plus précises qui aient été faites à l'époque. Pour la première fois, une observation minutieuse et détaillée d'un OVNI put être faite à l'aide de jumelles. Ce jour-là, vers 16 heures, l'attention de centaines de Zürichois fut attirée par un objet difficilement identifiable, qui brillait dans le ciel. Parmi les témoins se trouvait un capitaine de l'aviation helvétique qui, par chance, avait ses jumelles à portée de la main. C'est à lui que l'on doit le rapport suivant, qu'il adressa au Bureau fédéral :

" Concerne l'observation d'un objet volant non identifié. J'estime de mon devoir de porter à votre connaissance cette observation d'un OVNI. Date : 7 août 1954. Lieu et heure : Zurich, 16 h 15. Temps : 5/8° couvert. Plafond : 1 300 mètres. Vent d'Ouest de 60 km/heure au-dessus des nuages. Durée de l'observation : environ une minute, avec jumelles militaires. Circonstances : de la fenêtre de mon appartement situé près de la place de Schaffouse, j'observais des avions de sport qui tournaient autour de la ville. En même temps, je suivais un ballon d'enfant qui, poussé par le vent, dérivait vers l'ouest, en direction du lac, gagnant sans cesse de l'altitude jusqu'à devenir un point minuscule.

Soudain, dans la même direction que le ballon, j'aperçus un disque sombre, de la grosseur d'une pièce d'un centime, qui semblait se trouver immédiatement sous le plafond de nuages. Je crus d'abord qu'il s'agissait d'un ballon plus gros. Mais, curieusement, ce disque, à la différence du ballon, n'était pas déporté par le vent. Je me saisis aussitôt de mes nouvelles jumelles et observai ce qui suit : La forme de l'OVNI ressemblait d'une manière frappante à celle d'une soucoupe renversée. Son épaisseur était d'environ le sixième de son diamètre. On pouvait très nettement distinguer une large couronne ronde entourant une surface circulaire, dont le diamètre représentait environ la moitié du diamètre de l'objet. Il ne m'a pas été possible de déterminer si la surface circulaire à l'intérieur de la couronne était creuse ou non.

La couleur de la large couronne changeait constamment, passant d'une teinte argentée au rose, puis au bleu. La pureté pâlote des teintes était frappante. Lorsque la teinte passait au rouge, les contours de l'OVNI semblaient imprécis et incandescents. Mais ils restaient nettement délimités tant que la teinte était argentée ou bleue. L'OVNI tanguait légèrement suivant son axe vertical, à la manière d'une toupie sur le point de s'arrêter. A des intervalles d'environ quatre secondes se dégageait derrière lui une fumée brun foncé, qui se dissolvait aussitôt dans l'air. Après avoir observé l'OVNI pendant une minute environ, je supposai qu'il resterait quelques temps encore sur place et allai au téléphone avertir un ami. Je ne pus malheureusement pas l'atteindre. Lorsque je revins à la fenêtre, l'OVNI avait disparu. Je continuai à scruter ce secteur du ciel avec mes jumelles. Lors d'une éclaircie momentanée, je pus encore distinguer un minuscule point brillant. Il m'est très difficile d'estimer la grosseur de l'OVNI mais elle ne doit pas être supérieure à 15 mètres. Sur l'échelle des jumelles, il occupait quatre graduations. Compte tenu de l'angle d'observation, de 225° environ, et de l'altitude de l'OVNI, le calcul permet d'aboutir au même ordre de grandeur ".

Ce rapport, confirmé par des centaines de témoignages, fit l'effet d'une bombe au quartier général de l'armée suisse. Les services de renseignements de l'Aviation suisse, avec lesquels j'avais pris ce contact à l'époque, m'avaient confirmé l'authenticité de ce document. Ils furent catégoriques dans leur commentaire : " L'observation faite le 07 août, au-dessus de Zurich, appartient sans aucun doute possible à la catégorie des objets volants non identifiés. "

(7) : Aéroport de Dusseldorf, Allemagne, 10 juin 1954. Le pilote d'une compagnie privée s'apprêtait à amorcer la procédure d'atterrissage. Il volait à 4 000 mètres. Le ciel était clair. Le soleil commençait à descendre sur l'horizon. Le chronomètre du bord marquait 18 h 50.

Soudain, sur la droite de l'appareil, un éclair fulgurant accrocha le regard du pilote. Et il aperçut, légèrement sur l'avant de l'avion, un objet métallique scintillant au soleil. L'objet était rond et plat. Il évoluait à environ 1 200 mètres de l'avion, et sensiblement à la même altitude. Son diamètre pouvait être d'une quinzaine de mètres. Pendant trois minutes, il se maintint à la hauteur de l'avion, puis, brusquement, il accéléra rapidement et disparut dans les nuages. Entre temps, l'avion était arrivé au-dessus de l'aéroport de Dusseldorf-Lohausen. Du sol, on avait suivi l'étrange manège. Tous les témoins furent unanimes : il ne pouvait s'agir d'un ballon météorologique en raison de la vitesse de l'engin. 

" En tout cas, conclut le pilote en racontant son aventure, je n'avais qu'une crainte : c'est que ce "truc " me fonce dessus ! " Cette déclaration d'un ancien as de la Luftwaffe - dix-huit victoires homologuées - situe bien le caractère insolite et inquiétant de l'objet observé.

(8) : Aérodrome de Villacoublay, Yvelines, 29 août 1952. 19 h50. Cette observation a été faite par le personnel de la station météo de l'aérodrome. Elle a fait l'objet d'un rapport militaire, contresigné par l'aspirant D... et les autres membres de l'équipe de garde :

" 1. Aux environs de 19 h 30 (Temps Universel), Michel T... et moi-même discutions près de la station, tout en regardant apparaître quelques étoiles dans le ciel sans nuage. Notre attention fut soudain attirée par l'apparition, secteur est, d'un point lumineux brillant, avec un éclat bleu très prononcé. Ce point se déplaçait en ligne brisée, et par saccades. Sa vitesse apparente ne semblait pas très élevée. Intrigués, nous installâmes le théodolite de la station, en prévenant nos camarades de travail. Le point lumineux se déplaçait toujours, un peu moins vite cependant, après avoir pris une direction apparente de marche sud-est - nord-ouest. Saisi dans l'oculaire du théodolite, il apparut sous la forme d'un trait lumineux (blanc incandescent bordé de noir et accompagné de deux traînées bleutées perpendiculaires au trait lui-même). Ces traînées étaient peut-être dues aux déformations provoquées par les lentilles du théodolite.

Suivi de façon constante, le point lumineux continua à se déplacer dans la direction sud-est à nord-ouest, pour aller se fixer, à 20 h 30 TU, en un point du ciel sensiblement proche du zénith (inclinaison 77, azimut 109). Parvenu à ce point, l'objet nous a semblé s'éloigner en altitude, son image se rapetissant dans l'oculaire du théodolite. En déréglant la lentille de cet appareil, nous obtînmes une image floue, composée d'un cercle violet entouré de circonférences d'un vert vif, sur lesquels apparaissaient des points verts beaucoup plus clairs. Nous relevâmes également, à partir de 20 heures T.U., la présence d'une tache rouge vif tranchant sur le bleu vif du point lumineux. "

" 2. Durant l'observation de ce point, l'attention du caporal-chef J..., qui venait de rentrer et, par conséquent, ignorait tout de l'affaire, fut attirée par l'arrivée d'un deuxième point lumineux. Il s'agissait d'une lueur d'un rouge incandescent, comparable à la lueur d'un phare d'atterrissage. Sa chute apparente avait cessé. Pris dans l'oculaire du théodolite, ce point lumineux apparut sous la forme d'un cercle parfait, jaune blanc, accompagné de traînées irrégulières, comme jaillissant par saccades du cercle en question. Elles semblaient, à leur apparition, " se tordre en coup de fouet ". Apparu à l'est, l'objet reste stationnaire quelques instants, avant de repartir rapidement vers l'est en diminuant d'éclat, puis en laissant un halo diffus, dû sans doute à la présence de cirrus élevés invisibles à cette heure de la nuit, à savoir 21 h 45 T.U. "

" Nous observâmes une nette réapparition deux minutes plus tard (azimut 316, inclinaison 6), avec un déplacement très prononcé du point lumineux d'est en sud-est. L'objet parut enfin se fixer sur le fond des étoiles, dont il sembla suivre le mouvement apparent. "

3. A 22 h 45 T.U. apparut, secteur nord-ouest, une lueur rouge et bleue que nous confondîmes tout d'abord avec les feux à éclipses d'un appareil de ligne. Mais la lueur, très vive, demeura silencieuse et immobile, puis se déplaça lentement. Observée au théodolite, elle apparut sous la forme d'une tache de couleur rouge vif, passant au jaune puis au vert. Ayant abandonné l'observation de ce point pour relever la position du précédent, nous nous aperçûmes, en revenant à cette observation, que la lueur avait complètement disparu... "

Dans le commentaire de ce rapport, qu'il cite dans son livre " Lueurs sur les Soucoupes Volantes ", Aimé Michel écrit fort justement : " ... Mais le détail le plus troublant du rapport de Villacoublay est assurément contenu dans cette petite phrase qui conclut l'observation n° 2 : " L'objet parut enfin se fixer sur le fond des étoiles dont il sembla suivre le mouvement apparent... Ce petit point dans le ciel, ce n'était qu'un point. Aucun bruit, aucun tonnerre sur la ville calme. La base vivait un soir comme les autres. Et pourtant, s'il est vrai que ce petit point à peine visible dans le champ des étoiles suivît le mouvement du ciel et non plus celui de la Terre, qu'il se fût fixé en un point de l'espace, totalement dédaigneux de nos définitions géographiques, que son immobilité à lui fût celle de la voûte nocturne, et non plus celle, trompeuse, de la Terre, si tout cela est vrai, ce soir-là n'était pas un soir comme les autres... Que signifie, en effet, la position d'immobilité par rapport aux étoiles prise par l'objet ? Qu'il reprenait sa liberté par rapport au mouvement de rotation de la planète. L'engin regardait sous lui la Terre tourner, ayant dans le dos l'ensemble immobile des étoiles. A quelle altitude était-il ? On a failli le savoir : mais il n'y avait personne à l'observatoire, et la station météo d'Orly, alertée, n'a pas eu la curiosité de jeter un coup d’œil... " (YH : Nous sommes en 1952, le premier Spoutnik russe n'existe pas encore...).

(9) : Le Bourget, 13 juin 1952. " Vers 1 heure du matin, par ciel couvert, une boule de feu plus grosse qu'une étoile a parcouru le ciel dans le sud-ouest du terrain après une longue période d'immobilité. Ce phénomène a été signalé par l'avion "FBEFM", qui l'a lui-même indiqué à la tour de contrôle du Bourget. Cette boule disparut à l'horizon en scintillant, et en effectuant un déplacement de plus en plus rapide. Il faut noter, ajoutait le communiqué officiel, que dans la journée du 12 à 13 h 45, par deux fois, une personne nous a téléphoné de Montmartre pour signaler à la tour de contrôle la présence d'un disque argenté au nord de Paris. " Les milieux officiels ne trouvèrent aucune explication " rationnelle ". Mais le pilote du "FBEFM", M. Navarri, qui devait s'écraser au sol près de Lyon en 1956, fut affirmatif sur un point : " Cela n'était certainement pas un ballon, car ça se déplaçait contre le vent ". Trois semaines plus tard, le 8 juillet 1952, la tour de contrôle du Bourget aperçut à nouveau un OVNI. Il était à peine 4 heures du matin quand l'un des contrôleurs le vit passer. Il laissait derrière lui une double traînée lumineuse. L'engin fonçait vers le nord. Le contrôleur eut le réflexe prompt : saisissant son téléphone, il appela la station météo de l'aérodrome de Lille-Lesquin. Les employés sortirent immédiatement. Ce fut pour apercevoir les deux traînées lumineuses, vers le nord-ouest en direction de la Belgique. L'OVNI était déjà passé. La communication téléphonique avait demandé trois minutes. L'objet volait donc à plus de 4 000 kilomètres/heure. (Nous sommes en 1952...).

(10) : Nuit du 13 au 14 août 1956, au-dessus de Lakenheath, Angleterre. Un OVNI est détecté simultanément par deux radars militaires. Un avion à réaction décolle pour le prendre en chasse. Son radar détecte à son tour l'OVNI. Le pilote pointe ses canons vers la cible à l'aide de son radar de bord et l'annonce par radio. Mais l'OVNI, dont les radaristes au sol ont déjà pu apprécier les possibilités de déplacements supérieurs à celles des appareils de chasse les plus performants, va faire la démonstration de ses stupéfiantes capacités de manœuvre : il vient brusquement se placer derrière son poursuivant. Celui-ci, malgré des tentatives de plus en plus brutales ne peut parvenir à le " décrocher ". Finalement, à court de carburant, le pilote interrompt cet engagement inégal et se pose.

(11) : 17 juillet 1957. Un avion à réaction RB 47 de l'armée de l'Air américaine équipé d'appareils ECM (Electronique de contre-mesures) permettant de détecter les émissions de radars ennemis est suivi par un OVNI pendant 1 300 kilomètres entre le Mississippi et l'Oklahoma. L'OVNI a été observé visuellement de multiples fois par les pilotes qui le décrivent comme une lumière intense. Il a été en même temps détecté par les radars au sol et par les appareils ECM, au fur et à mesure de la progression du RB 47. Les manœuvres de l'OVNI démontrent à l'évidence qu'il s'agit d'un engin inconnu en raison de ses performances. Il disparaît brutalement tant à la vue des pilotes que sur les écrans radars et réapparaît aussi soudainement, effectuant ses manœuvres à des vitesses qu'aucun avion à réaction ne peut atteindre à l'époque.

(12) : avril 1952. Don Kimball, Ministre de la Marine américaine, observe 2 vaisseaux aériens en forme de disque au cours d'un vol officiel vers Hawaii. L'avion accompagnateur, avec à son bord l'amiral Arthur Radford, mesure sur son radar de bord des vitesses de 2500 à 3000 km/h. Un rapport est envoyé à Washington par radio. A son retour, la CIA essaie de faire pression sur le ministre afin de le persuader de modifier son témoignage. Celui-ci riposte en ordonnant à l'Office of Naval Research d'entreprendre une enquête. (" Aliens from space " de Donald Keyhoe, Londres, Panther Books, 1973 p. 27).


Yves Herbo : il ne s'agit que de 12 témoignages, bien sûr. Mais 12 témoignages de professionnels dont on peut difficilement mettre la parole et les compétences en doute. 12 témoignages répartis sur une dizaines d'années, les années 50. Une période où les premiers satellites artificiels n'existaient pas encore, une période où internet n'existait pas, où les ordinateurs personnels n'existaient pas et où les communications étaient plus longues et touchaient moins de monde, où les trucages individuels de films ou photos étaient très difficiles et beaucoup plus compliqués. Et 12 témoignages très sérieux parmi des dizaines, des centaines, rien que sur cette décennie. Et pourtant, des témoignages très proches et semblables à ceux recueillis depuis maintenant plus de 70 ans (minimum car on retrouve dans de vieilles archives, (y compris d'un certain Fort), des témoignages assez semblables en fait dès la moitié du 19ème siècle, avec des vagues de "cigares volants" et même de "tasses" volantes - sans parler de certains textes historiques plus lointains encore qui font réfléchir...). En fait, les témoignages de militaires, de pilotes et marins, de gendarmes et soldats - y compris sur des bases nucléaires et des centrales d'énergie nucléaire, des officiers de police, mais aussi des fonctionnaires, des docteurs et des scientifiques (n'en déplaise à certains sceptiques un peu trop hypocrites) vont se multiplier dans les décennies qui ont suivies, jusqu'à nos jours où même des astronautes retraités ont osé parler... Mais notre monde n'a pas changé pour autant : au contraire, pourrait-on dire ! Les atteintes aux libertés de base, aux égalités nécessaires sont au contraire, semble-t-il, de plus en plus nombreuses et l'obscurantisme (y compris politique et économique) est revenu en force, dirait-on. Non, c'est assez prouvé et certain maintenant, nous ne sommes pas seuls sur cette petite Terre, nous avons même souvent de la visite. Mais l'aveuglement d'une majorité qui se croit impuissante et l'obsession de la possession matérielle d'une minorité toute puissante font que la Terre régresse de plus en plus. Non point sur sa technologie et ses sciences, mais sur sa spiritualité et sur sa propre conscience... Au nom de son confort et de son économie, de "son petit bout de terrain", une partie de l'humanité est prête à sacrifier et assassiner une autre partie de l'humanité ! Il faut se ressaisir très vite, car la roue du destin tourne et des civilisations entières ont disparu parce qu'elles ne voulaient voir que le côté matérialiste et très temporel des choses... nos visiteurs ont tenté de nous prévenir, à mon avis, mais nous faisons comme si de rien n'était... des nations et peuples autrefois victimes sont devenues orgueilleux et parfois pires que leurs anciens bourreaux, tout simplement parce qu'ils estiment avoir le droit de vivre là où elles sont actuellement, en refusant la même chose à d'autres nations... quelle grossière erreur, qui risque de coûter très cher à l'ensemble de l'Humanité... C'est un message que je perçois depuis maintenant quelques semaines, et qui semble se préciser de plus en plus. C'est un avertissement à l'ensemble de l'Humanité...

Des détails de l'été 1952 où les OVNI sont repérés par radar et vus par de nombreux témoins sur Washington.

(1), (2), (3), (4), (5), (6), (7), (8), (9) : " Face aux Extra-terrestres - Le dossier français des atterrissages (1947-1975) " de Charles Garreau et Raymond Lavier, Editions Jean-Pierre Delarge (1975)

(8) : " Lueurs sur les Soucoupes Volantes ", de Aimé Michel, éditions Mame, (1954)
(10), (11) : " OVNIS 1999, Le Contact ? " de Jean-Claude Bourret, éditions Michel Lafon, (1997)

(12) : " OBJETS VOLANTS NON IDENTIFIES  - Un Pilote de ligne parle " de Jean-Gabriel Greslé, éditions Guy Trédaniel (1993)


Yves Herbo, Sciences, F, Histoires, 10-02-2015

dimanche 8 février 2015

Russie : Etat de Kouban, une pyramide à l'étude ?

Russie : Etat de Kouban, des murs mégalithiques et une pyramide à l'étude, un artefact très mystérieux trouvé ?

Nomades scythes
Des Scythes

La République populaire de Kouban (Kuban) se situe tout au sud de la Russie et au Nord du Caucase. Cette région borde la Mer Noire d'un côté et le delta de la Volga de l'autre, proche de la Géorgie et des steppes menant à l'Asie  via la Mer Caspienne... Et c'est l'un des pays de l'Elam biblique, conquis par les Scythes (cités par le prophète Jeremie)...

Territoire des scythes

On connait assez peu de choses d'un point de vue archéologique sur les peuplades, souvent nomades, qui se sont succédées dans cette région. Déjà occupée au paléolithique et donc néolithique, on sait qu'une puissante civilisation s'est développée à l'âge du cuivre. Cette civilisation de Kouban provient des peuples du sud de la Russie actuelle et correspondent aux civilisations de l'Elam archaïque, citées dans l'Ancien Testament, de l'époque proto-sumérienne en Mésopotamie et proto-dynastique en Egypte. C'est cette population-civilisation qui enterrait ses morts sous des tumuli, dans une position recourbée et qui recouvrait ses cadavres de couches abondantes de terres rouges. Ceci a été prouvé dès 1898 par les fouilles de Vesselowsky du grand tumulus de la ville de Maïkop, puis à nouveau au 20ème siècle par Pharmakowsky. Un trésor inestimable y a d'ailleurs été trouvé : " six bâtons en or et en argent, dont quatre ornés dans le bas de figures de taureaux fondues en or et en argent; il est probable que ces bâtons constituaient originairement le support d'un baldaquin funéraire ; deux beaux diadèmes en or, ornés de rosettes en or aussi ; plusieurs figurines en or de lions et de taureaux et des rondelles en or, toutes en travail repoussé, probablement cousues sur un suaire qui a servi originairement de couvercle au baldaquin susmentionné; plusieurs vases en or et en argent, dont deux en argent étaient couverts de dessins gravés, représentant des files d'animaux. "

Prehistoiremalconnue
De nombreuses gravures et peintures dans les grottes du néolithique, avec les premiers Chaman (certains y voient des extra-terrestres)

" Les seules analogies probantes nous sont données par les objets proto-élamites, proto-sumériens et proto-égyptiens du troisième millénaire avant J.-C, date qui doit être adoptée aussi pour la trouvaille de Maïkop. Si nous pouvons constater une ressemblance éloignée avec les objets hittites du second millénaire, cela s'explique par une communauté d'origine, la civilisation du bronze hittite étant sortie d'une civilisation du cuivre analogue à celle de centres précités. La période suivante — celle du bronzes'est développée richement au Caucase, surtout dans la Transcaucasie et dans la région du Kouban, en Sibérie et dans l'Oural, même en Russie centrale. Au Caucase, nous pouvons constater des liens étroits entre cette civilisation du bronze et celle du cuivre, dont je viens de parler. Par le Turkestan, le Caucase a bien pu influencer la Sibérie occidentale et l'Oural. Bien moins riche fut la civilisation du bronze en Crimée, ainsi que dans les steppes de la Russie méridionale, où les sépultures à squelettes recourbés et peints se prolongent sans interruption jusqu'à l'époque où les steppes furent submergées par deux courants d'une civilisation du fer, — l'un occidental, venant probablement du Danube et portant avec soi des types hallstattiens, l'autre, plus riche et plus développé, venant de l'Orient, celui que nous appelons scythe. Le premier courant pourrait être identifié avec les données historiques que nous possédons sur l'occupation des bords de la Mer Noire par des tribus cimmériennes, dans lesquelles je persiste à reconnaître des peuplades thraces. La céramique proto-scythe trouvée dans les couches inférieures des bourgades indigènes sur le Dnieper et le Boug, qui est antérieure à la céramique grecque du vnie siècle avant J.-C. et qui se maintient dans la partie occidentale de la Russie méridionale jusqu'au 4° siècle avant J.-C, présente des analogies frappantes avec la céramique de la couche reconnue pour cimmérienne de Troie et les produits de la céramique hallstattienne. Les manches de glaives dits scythes offrent des analogies frappantes avec les épées hallstattiennes à antennes, etc. J'incline à reconnaître des produits proto-cimmériens dans les objets en pierre polie, en argent incrusté d'or et en bronze qui furent trouvés en Bessarabie et que Stern date avec raison du commencement de l'âge de fer. Le courant oriental fut continué par la migration des tribus conquérantes iraniennes que les Grecs appelèrent Scythes, transformant ainsi un nom de tribu iranien Asguzai

C'étaient des cavaliers armés, qui emportaient avec eux leurs maisons mouvantes et leurs troupeaux. Les guerriers de ces tribus avaient une stricte et effective organisation militaire et excellaient dans l'art de tirer de l'arc en plein galop et d'engager une lutte corps à corps, sans descendre de leurs montures. Le rite funéraire, qu'ils pratiquaient pour leurs chefs, nous est bien connu par les fouilles fructueuses de N. Vesselowsky dans les tumuli de la région du fleuve Kouban. Nous devons noter que la région du Kouban seule nous a donné des tumuli avec sépultures contemporaines d'Hérodote, c'est-à-dire des 6° et 5° siècles avant J.-C. , tandis que les tumuli du bas Dnieper appartiennent, comme nous allons voir, à une époque non antérieure à la fin du 4° siècle avant J.-C. Probablement, les Scythes venant de l'Orient et peut-être du Sud par les défilés du Caucase ou en longeant les côtes de la Caspienne, se fixèrent d'abord dans les steppes du Caucase du Nord, en s'avançant graduellement vers l'Occident. En tout cas, on a trouvé sur le Kouban des séries de sépultures purement orientales que nous avons des raisons de croire scythes et datant des vic et vr siècles. La trouvaille la plus instructive d'un groupe de sépultures intactes du 6° siècle avant J.-C. a été faite en 1901 et les années suivantes par MM. Schulz et Vesselowsky, à Kelermès. Je mentionne cette trouvaille, qui était connue de Minns, pour exprimer le regret que ni un compte rendu des fouilles, ni les objets trouvés, d'une pareille importance, n'aient jamais été publiés. La série des tumuli du même type s'échelonne tout le long du 5° siècle et s'arrête à la seconde moitié du 4°."

" Ce tableau correspond bien plus à celui, qui nous a été décrit par Hérodote, que celui que présentent les tumuli du bas Dnieper. On creusait dans le sol vierge une fosse spacieuse et profonde, ou plutôt un large puits. Sur les parois de cette fosse, on fixait des piliers en bois qui généralement en dépassaient le niveau. Ces piliers étaient recouverts d'un toit pointu. Le tout formait une grande tente de nomades. Un corridor recouvert de bois conduisait à cette tente. Sous cette tente, parfois dans une autre petite tente, construite de la même manière, on ensevelissait le défunt avec tout ce qui lui avait été cher et nécessaire dans la vie : ses armes, ses vêtements de parade, ses bijoux, son appareil de sacrifice, des patères et des rhytons, le tout en or ou en argent. On n'oubliait jamais de déposer dans la tombe du vin, de l'huile et de la viande en quantité, généralement dans de grandes chaudières en bronze et dans des amphores grecques. Autour du défunt, on disposait les cadavres des femmes de son harem et ceux de ses serviteurs et une quantité énorme (parfois des centaines) de chevaux immolés, quelquefois aussi des bœufs et des cerfs. Les chevaux tués étaient souvent déposés sur les rebords de la fosse, parfois auprès des piliers de la tente ou auprès de constructions spécialement érigées, qui représentaient les étables entourant la tente du chef. Le tout était recouvert d'un tumulus parfois d'énormes dimensions...(...) ... Dans deux de ces tumuli Vesselowsky a trouvé des restes de chars funéraires à quatre roues, chacun avec des parois peintes et incrustées. Dans l'une de ces sépultures, il y avait deux chars, attelés de six chevaux accouplés. Les chars avec les chevaux étaient conduits dans le corridor du sépulcre; les chevaux y étaient tués et leurs cadavres disposés dans l'ordre de l'attelage. Sur le char funéraire, on fixait un catafalque soutenu par quatre mâts en bois, couronnés chacun d'un gros grelot. Les grelots étaient ornés en haut d'une tête de taureau ou de griffon... (...). "

En juillet 2014, lors d'une expédition d'été dans la région de Krasnodar, capitale du Kouban, dans l'une des gorges difficiles à atteindre, l'équipe de Nikolai Subbotin a découvert les restes d'anciens murs mégalithiques et peut-être une pyramide. Une étude approfondie doit bien sûr être faite à ce sujet car le temps a manqué en été 2014 et une confirmation de plus près doit être faite. Les coordonnées sont gardées secrètes pour l'instant, il prépare actuellement une nouvelle documentation et un film sur les civilisations mégalithiques inconnues de la Russie. Voici déjà quelques photographies montrées, pour toute information concernant ces photos sous copyright (je n'ai pas d'activité commerciale en lien mais suis intégré depuis plusieurs mois dans les discutions de la team Genesis Quest et ses projets), vous devez contacter Nikolai Subbotin (lien comme demandé par l'intéressé) :

Russie kouban1 genesisquest
Russie kouban2 genesisquest
Russie kouban3 genesisquestRussie kouban6 genesisquest


Et c'est assez étonnant, car c'est dans cette même région que vient d'être découvert cet étrange artefact dont il est question dans la presse russe, entre autres :


Micropuce alien

" Une puce électronique "extraterrestre" a été découverte dans la rivière Labinsk de Hojo dans la région de Kuban en Russie, imbriquée dans une pierre rare. La puce est d'une nature similaire à une puce électronique des temps modernes, et a été soumise à des analyses à l’Institut de Recherche en Nanotechnologie et nouveaux matériaux de l’Université Technique du Sud de l’état Russe, qui a déterminé que la puce est approximativement vieille de 450 millions d’années.

De plus en plus de preuves sont trouvées, et offrent un aperçu de la technologie d'anciennes civilisations que les humains façonnent de nos jours, mais qui proviennent d’une époque où il est supposé que les technologies de pointe n’existaient pas, et ce n’est qu’un exemple de plus en rapport avec ce phénomène. "

Puce electro ancienne russi
Une petite pièce de monnaie a été mise à côté de l'objet enserré dans la pierre pour montrer sa taille réelle

PS : Pour certains, cet artefact serait en fait un banal fossile organique cassé dans la pierre...

Sources : ANGLAIS: http://hainanwel.com/en/unusual-world…

RUSSE: http://hainanwel.com/ru/unusual-world…




Sources : Citations de " L'exploration archéologique de la Russie méridionale de 1912 à 1917 " de Michel Rostovtseff.

A noter les publications très intéressantes de Véronique 
Schiltz : http://www.archeo.ens.fr/IMG/pdf/biblio_schiltz_2008.pdf

https://www.facebook.com/nikolay.subbotin.1?fref=nf

http://www.nouvelordremondial.cc/2014/05/15/stupefiant-une-puce-electronique-alien-de-450-millions-dannees-decouverte-en-russie/

Yves Herbo, Sciences, F, Histoires, 08-02-2015