vendredi 6 novembre 2015

OVNIs : JT Ovni en France du 05-11-2015

OVNIs : JT Ovni en France du 05-11-2015


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JT Ovni en France du 05-11-2015 d'ODH TV vous est présenté par Gilles Thomas.

Dans cette nouvelle édition, nous vous partageons l'actualité ovni en France d'avril à juin 2015, le 50ème anniversaire de l'affaire de valensole. Dans le dossier de l'édition, je vous partage les observations d'ovni en Provence (ou région PACA) avec la participation de nombreux ufologues et veilleurs.


Jtfrance11 2015

Extrait du documentaire ci-dessous (ODHTV)









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Yves Herbo Relai-Sciences, F, Histoires, 05-11-2015

jeudi 5 novembre 2015

Les pages des anomalies scientifiques - 4

Les pages des anomalies scientifiques - 4



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La pierre runique de Kensington



Cette nouvelle rubrique qui devrait comporter plusieurs pages (qui seront regroupées par la suite et après leur publication) va recenser certaines petites publications ou nouvelles brèves du passé sur des découvertes annoncées discrètement par certains professionnels ou scientifiques. Cela vient évidemment en complément du déjà large travail de compilation de données lisibles sur ce site. Ces annonces sont en principes toutes référencées et réelles et elles concernent toutes des "anomalies" par rapport aux normes, dogmes ou "establishment" scientifiques ou historiques. Il y a rarement des illustrations ou photos et l'annonce est parfois très brève. On se rapproche en quelque sorte un peu du "Livre des Damnés" de Charles Fort, mais plus récent et c'est voulu car ces données existent, même si elles ne sont pas très connues et explorées elles-mêmes... Je n'ai pas trouvé d'ordre préférentiel pour l'instant, un classement par continent ou par genre (archéologie, ovni, astronomie, etc...) par exemple pourrait être fait par la suite. Vous allez comprendre très vite de quoi il s'agit, je met le texte original quand dispo et la traduction française en-dessous :







A Stone Face From Ungava

September 1976. Lac Guerard, Ungava, Canada. A stone face was found on the lake shore by caribou hunters. The back of the sculpture was covered with moss and stained underneath with age; the front was well-weathered. It was a crude sandstone carving -- almost a doodle in stone -- but the facial features were unmistakably Norse. Stylistically, the face resembled nothing carved by Eskimos or the local Indians. The apparent antiquity of the stone and the strongly Nordic features suggest past Norse exploration of this desolate tundra near Hudson Bay.

(Lee, Thomas E.; "Who Is This Man?" Archaeological Journal of Canada, 17: 45, 1979.)

Comment. Once into Hudson Bay, why not on to Minnesota (and the Kensington Stone), then down the Mississippi to Oklahoma where Viking signs are claimed?



Un visage de pierre à Ungava

Septembre 1976. Lac Guerard, Ungava, Canada. Un visage de pierre a été trouvé sur la rive du lac par des chasseurs de caribous. Le dos de la sculpture s'est couvert de mousse et coloré par dessous avec le temps; l'avant a pu bien résister. C'était une sculpture en grès brut - presque un gribouillage dans la pierre - mais les traits du visage étaient indéniablement nordiques. Stylistiquement, le visage ne ressemblait à rien de sculpté par des Esquimaux ou des Indiens locaux. L'ancienneté apparente de la pierre et les traits fortement nordiques suggèrent que dans le passé, une exploration nordique (Vikings) de cette toundra désolée près de la baie d'Hudson a eu lieu.

(Lee, Thomas E .; "Qui est cet homme ?" Journal archéologique du Canada, 17, 45, 1979.)

Commentaire: Une fois dans la baie d'Hudson, puis pourquoi pas dans le Minnesota (et la pierre de Kensington), puis vers le bas du Mississippi en Oklahoma, où des traces des Viking sont réclamés ?






La pierre runique de Kensington

En 1898, un immigrant suédois a trouvé une pierre sur sa ferme près du petit village de Kensington, au Minnesota. La pierre, un petit bloc de grès, de la grauwacke, était enserrée dans les racines d’un jeune tremble. Sur deux de ses côtés se trouvait une inscription runique en suédois racontant comment 8 Suédois [Goths] et 22 Norvégiens avaient été victimes d’une catastrophe lors d’un voyage d’exploration à 14 jours à l’ouest du Vinland. Alors que des hommes étaient partis à la pêche, 10 autres avaient été tués. Cette tragédie date de 1362.

Pierredekensington

Olof Öhman, un fermier d'origine américano-suédoise, déclare en 1898 avoir trouvé la pierre alors qu'il débarrassait sa terre d'arbres et de troncs afin de pouvoir la labourer. Elle a été trouvée sur un monticule ou un côté de colline, couchée face contre terre et enchevêtrée dans les racines d'un arbre supposé être âgé d'au moins une dizaine d'années. Aux dires de plusieurs témoins, quelques-unes de ces racines étaient aplaties et épousaient la forme de la pierre. Le fils d'Öhman, âgé d'une dizaine d'années, a alors remarqué des inscriptions et le fermier déclara qu'ils pensaient avoir trouvé un almanach indien. L'artefact a des dimensions de 76 × 41 × 15 cm et pèse environ 90 kg.

Les preuves archéologiques d'établissements vikings au Canada ne devant apparaître que 50 ans plus tard, l'idée de vikings errant à travers le Minnesota à cette époque semble alors impossible aux yeux de la plupart des universitaires du 19ème siècle.

En 1907, la pierre est achetée, apparemment pour 10 dollars par Hjalmar Holand, un étudiant diplômé de l'université du Wisconsin. Holand ravive alors l'intérêt du public et d'autres études sont menées par le géologue Newton Horace Winchell (Minnesota Historical Society) et le linguiste George Flom (Philological Society de l'université de l'Illinois), qui publient tous deux leurs conclusions en 1910.

Si on se réfère à Winchell, le peuplier sous lequel la pierre fut trouvée avait été détruit mais plusieurs peupliers proches et de même taille ont été coupés et, en comptant leurs anneaux, il a été déterminé qu'ils étaient âgés de 40 ans. Comme la région en question n'a été colonisée qu'après 1858, il est apparu que la pierre ne pouvait être une contrefaçon. Winchell conclut aussi que l'aspect désagrégé de la pierre indiquait que l'inscription avait bien 500 ans.

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La plupart des controverses sur l'authenticité de la pierre de Kensington sont fondées sur un conflit entre les évidences linguistiques et physiques. Le fait que la pierre runique ait été découverte par un fermier suédois dans le Minnesota à une période où l'histoire viking et la culture scandinave étaient très populaires et la publication de plusieurs articles sujets à caution, font qu'un voile tenace de scepticisme en résultera pendant plus de 100 ans.

En 1354, le roi Magnus IV de Suède accorda une lettre de protection à Paul Knutson pour un voyage au Groenland. Les établissements à l'ouest du Groenland avaient été retrouvés abandonnés — seul du bétail y subsistait — quelques années plus tôt et il était supposé que la population avait rejeté l'Église (et sa mainmise sur les fermes locales, acquises progressivement comme paiements de taxes diverses), était retournée au paganisme et partie vers ce qui sera connu plus tard comme l'Amérique du Nord.

En 1887, l'historien Gustav Storm mentionne ce voyage, suggérant son retour vers 1363 ou 1364. Il semble qu'il s'agisse des premiers travaux publiés qui se réfèrent à un voyage vers l'Amérique du Nord, concordant avec la date inscrite sur la pierre. Cela a depuis été confirmé par une lettre écrite en 1577 par Gérard Mercator à John Dee. Cette lettre donne un extrait des travaux plus anciens de Jacobus Cnoyen (maintenant perdus) décrivant un voyage au delà du Groenland dont le retour avec 8 hommes à bord date de 1364. Cnoyen mentionne également qu'un prêtre était du voyage et que celui-ci le décrivit dans un livre appelé Inventio Fortunate, livre qui est d'ailleurs cité dans nombre de documents du Moyen Âge ainsi que de la Renaissance, mais dont aucune copie ne subsiste.

L'Inventio est cité sur certaines cartes datant du xvie siècle comme étant leur source à propos de la description de l'Arctique. On ne sait pas si le voyage alla jusqu'à la baie d'Hudson mais quelques cartes montrent cette baie au moins 100 ans avant sa première exploration connue. Cela influence apparemment Christophe Colomb pour la planification de son voyage à travers l'Atlantique. Donc, même si un faussaire talentueux avait pu déduire la date à mettre sur la pierre en fonction des informations disponibles à cette époque, il semble qu'une expédition ait bien eu lieu à l'époque mentionnée sur la pierre.

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La voie navigable peut également contenir des signes de la présence viking. Au lac Cormorant, dans le comté de Becker au Minnesota, il y a trois rochers avec des trous triangulaires similaires à ceux utilisés pour amarrer les bateaux le long de la côte norvégienne au xive siècle. Holand a trouvé d'autres trous triangulaires dans des roches près du lieu où la pierre fut trouvée. Un morceau d'acier scandinave du xive siècle servant à allumer des feux est également trouvé entre le lac Cormorant et Kensington, lieu où la pierre runique a été découverte.

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D'autres artefacts vikings datés du xive siècle ont été trouvés au Minnesota mais apparemment aucun d'entre eux n'a été découvert sous contrôle archéologique...

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En décembre 1998, exactement un siècle après la découverte de la pierre de Kensington et pour la première fois depuis le rapport de Winchell de 1910, une analyse physique détaillée est menée ; elle inclut une photographie par un microscope à lumière réfractable, un prélèvement de roche et un examen au microscope électronique à balayage. En novembre 2000, le géologue Scott F. Wolter présente les résultats préliminaires suggérant que la pierre avait suivi un processus de changement relatif à un séjour dans le sol d'un minimum de 50 à 200 ans.

Par exemple, Wolter note la perte totale de mica sur la surface inscrite de la pierre. Des échantillons de pierres tombales dans le Maine âgés de 200 ans montrent une très grande dégradation en pyrite mais pas sa disparition complète comme cela a pu être remarqué sur la pierre. Étant donné que les échantillons de pierre tombale n'ont pas été sujets aux mêmes contraintes que la pierre, la comparaison suggère cependant que la pierre runique ait été enterrée bien avant le premier établissement européen moderne dans cette zone en 1858.



L'inscription sur la face (où plusieurs mots peuvent manquer à cause de la dégradation et à la calcification d'une partie de la pierre) dit:

« 8 göter ok 22 norrmen paa opthagelse farth fro winlanth of west Wi hathe läger weth 2 skylar en thags norder fro theno sten wi war ok fiske en thag äptir wi kom hem fan X man rothe af bloth og ded AVM frälse af illum. »

Traduction:

« 8 Goths de Scandinavie et 22 Norvégiens dans un voyage d'exploration venant du Vinland allant vers l'ouest. Nous avons établi des abris sur 2 îles rocheuses à un jour au nord de cette pierre. Nous avons pêché une journée. Quand nous sommes rentrés nous avons trouvé 10 de nos hommes en sang et morts AVM (Ave Maria) délivre-nous des démons ! »

Le texte sur le côté dit :

« har X mans we hawet at se äptir wore skip 14 thag rise from theno odh Ar wars Herra 1362. »

Traduction:

« Envoyé 10 hommes vers la mer pour aller chercher notre bateau 14 jours de trajet depuis ici An 1362 de notre Seigneur. »

En 2002, une autre analyse de Nielsen suggère que les formes linguistiques présentes sur la pierre étaient plausibles au xive siècle. De plus, les preuves d'existence pour tous les mots et runes inhabituels ont été trouvées dans d'autres sources médiévales...



Sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_runique_de_Kensington  + http://www.canadianmysteries.ca/sites/vinland/othermysteries/kensingtonrunestone/indexfr.html




Cartwheels In Space

An intriguing and totally unexpected wheel-shaped structure has been discovered by K. Taylor (Royal Greenwich Observatory) and D. Axon (Sussex University). Plates made with a 1-meter telescope show this curious dark pattern silhouetted against the Great Nebula in Orion. The circularity and neat set of six spokes make it seem a stellar UFO! No one knows its distance, age, or constitution. Speculation is that some interstellar winds may have created this artificial-looking object.

(Anonymous; "Cartwheels in the Sky," New Scientist, 83:804, 1979.)

Un panier à roues dans l'espace

Une structure en forme de roue intrigante et totalement inattendue a été découvert par les astronomes K. Taylor (Observatoire royal de Greenwich) et D. Axon (Université du Sussex). Les photos avec un télescope de 1 mètre montrent cette curieuse silhouette sombre contre la Grande Nébuleuse d'Orion. Sa circularité et l'ensemble précis de six rayons la font paraître comme un OVNI stellaire ! Personne ne connaît sa distance, son âge, ou sa constitution. La spéculation est que certains vents interstellaires peuvent avoir créé cet objet d'apparence artificielle...

(Anonyme, "Un Pannier à roues dans le ciel," New Scientist, 83: 804, 1979.)

Cartwheels space 1979

YH : cet objet spatial très lointain et gigantesque, d'apparence artificiel et extra-terrestre, n'a plus été signalé par la suite par les professionnels de l'espace...






The nuclear threat: bad dates

Woodmorappe has assembled an impressive and disconcerting collection of anomalous radiometric dates. Over 300 serious discrepancies are tabulated and backed by some 445 references from the scientific literature. To remove triviali-ties, only dates that were "wrong" by 20% or more were included. This criterion insured that the anomalous dates were off by one or more geological periods. To enhance his case, Woodmorappe excluded data for such troublesome minerals as K-feldspar, which have unreliable records. The surviving discordances will certainly disturb anyone who has long accepted radioactive dating as the near-final word in geochronology.

The lengthy text accompanying the table delves into the geological problems posed by the tabulated anomalies, primarily the severe distortions implied in the supposedly well-established geological time scale. Many attempts have been made to explain away these discrepancies, usually by asserting that the system must have been "open"; that is, contamination and/or removal of materials occurred. But a far more serious situation exists: the reluctance of researchers to publish radiometric dates that fly in the face of expectations. Data selection and rejection are epidemic. Some authors admit tossing out wild points; others say nothing.

(Woodmorappe, John; "Radiometric Geochronology Reappraised," Creation Research Society Quarterly, 16:102, 1979.)

L'analyse nucléaire: mauvaises dates

John Woodmorappe a assemblé une collection impressionnante et déconcertante de dates radiométriques anormales. Plus de 300 sérieuses divergences sont totalisées et soutenues par quelques 445 références de la littérature scientifique. Pour supprimer les liens de triviali, seules les dates qui étaient «mauvaises» de 20% ou plus ont été inclues. Ce critère assurait que les dates anormales étaient supprimées par une ou plusieurs périodes géologiques. Pour améliorer sa recherche, Woodmorappe a exclu les données relatives à ces minéraux gênants comme le feldspath potassique, qui ont des résultats non fiables. Les discordances survivantes vont certainement déranger les personnes qui ont depuis longtemps accepté la datation radioactive (carbone 14) comme le mot quasi-final dans la géochronologie.

Le long texte accompagnant la table plonge dans les problèmes géologiques posés par les anomalies sous forme de tableaux, principalement les graves distorsions implicites dans l'échelle des temps géologiques supposément pourtant bien établie. De nombreuses tentatives ont été faites pour expliquer ces écarts, généralement en affirmant que le système devait avoir été "ouvert"; autrement dit, une contamination et / ou l'enlèvement de matériaux se sont produits. Mais une situation beaucoup plus grave existe: la réticence des chercheurs à publier des dates radiométriques qui volent dans le visage des attentes (qui ne correspondent pas aux résultats attendus et conformes à la science officielles). La sélection des données et le rejet sont épidémies. Certains auteurs admettent publier des points faux; d'autres ne disent rien...

(Woodmorappe, John; "géochronologie radiométrique réévaluée," Création recherche de la Société Quarterly, 16: 102, 1979.)

YH : on voit ici que déjà dans les années 1970, le système de datation le plus utilisé et reconnu par la science officielle était mis à mal par certains scientifiques... ces divers travaux aboutiront à un recalibrage de certaines fourchettes établies auparavant par les données au carbone 14 (au début du 21eme siècle) mais aussi à l'obligation de ne plus s'en tenir qu'aux datations au carbone 14, d'autres méthodes devant être pratiquées conjointement. Un gros problème demeure néanmoins : de nombreuses datations établies avant ces modifications importantes (plusieurs millénaires selon les fourchettes de temps) n'ont jamais été mises à jour et modifiées dans les livres, musées, etc... Un gros travail de redatations d'artefacts de toutes natures reste à faire, mais la remise en question d'un pan de l'Histoire de l'Humanité semble beaucoup freiner les choses... ainsi que l'argent et le temps...




Bering Strait Theory Again In Trouble

If humans first populated North America via the Bering land bridge 10-20,000 years ago, how did human bones and artifacts get buried under a 50,000-year-old alluvial fan in California? Dogma demands that such finds be discredited. Thus, "Pleistocene Man at San Diego," the Calaveras Skull, and dozens of other archeological anomalies have been dismissed as the hoaxes and misidentifications of nonprofessionals. The latest hint of truly ancient man in America came after heavy rains in 1976 cut through 21 meters of deposits at Yuha Pinto Wash, just north of the Mexican border in California. The artifacts, still firmly in place, and associated bones are undeniably human. The overlying sediments are dated at more than 50,000 years old.

(Childers, W. Morlin, and Minshall, Herbert L.; "Evidence of Early Man Exposed at Yuha Pinto Wash," American Antiquity, 45:297, 1980.)

American antiquity

La théorie du détroit de Béring à nouveau en difficulté



Si les humains ont d'abord peuplé l'Amérique du Nord via le détroit de Béring il y a 10-20,000 ans, comment des os et des artefacts humains ont pu se faire enterrer sous un cône alluvial vieux de 50,000 ans en Californie ? Le Dogme exige que de telles trouvailles doivent être discréditées. Ainsi, le "Pléistocène Man de San Diego", le crâne de Calaveras, et des dizaines d'autres anomalies archéologiques ont été rejetées comme des canulars et des méprises de non-professionnels. Le dernier indice de l'ancienneté de l'homme dans l'Amérique est venu après de fortes pluies en 1976 et une crevasse à travers 21 mètres de dépôts à Yuha Pinto Wash, juste au nord de la frontière mexicaine en Californie. Les artefacts, toujours fermement en place, et les os associés sont indéniablement humains. Les sédiments sus-jacents sont datés vieux de plus de 50.000 ans.

(Childers, W. Morlin, et Minshall, Herbert L .; "Preuve de Early Man Exposed au Yuha Pinto Wash," American Antiquity, 45: 297, 1980.)

YH : Notez qu'à cet endroit même, à Yuha Pinto Wash en Californie, existe encore de très grands géoglyphes dessinés dans le désert par les indiens, pour se souvenir que ce désert a été il y a très longtemps habité par l'être humain... malheureusement, une grande partie de ces géoglyphes géants visibles du ciel (un peu comme à Nasca ou ailleurs en amérique latine) a été détruite par une bande de motards attardés (tous ne le sont pas heureusement !), dans les années 1970... Et notez aussi qu'il existe plusieurs endroits aux USA où des géoglyphes géants ont été découverts :

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Anomalous Sounds From An Australian Fireball

On April 7, 1978, a very large fireball passed through the atmosphere above the east coast of New South Wales. Seen by hundreds, it generated many high quality reports. Fifteen of the written reports mentioned anomalous sounds -- hisses, hums, swishes, and crackling sounds heard simultaneously with the visual sighting. Such sounds are anomalous because the meteor is tens of kilometers high and real sound would take a minute or more to reach the ground. (The sound from a detonating meteor is often heard several minutes later.)

Keay is convinced of the reality of the anomalous sounds and suggests that the highly turbulent plasma in the meteor wake generates powerful electromagnetic radiation at audio frequencies. This intense radio energy reaches the earth at the same time the visible light does. It may be converted into sound as it interacts with the surface and the observer.

(Keay, Colin S.L.; "The 1978 New South Wales Fireball," Nature, 285:464, 1980.)

Des sons anormaux d'une boule de feu australienne

Le 7 Avril 1978, une très grosse boule de feu a traversé l'atmosphère au-dessus de la côte est de la Nouvelle-Galles du Sud. Vue par des centaines de personnes, il a généré beaucoup de rapports de haute qualité. Quinze des rapports écrits font mention de sons anormaux - des sifflements, bourdonnements, bruissements, et craquements entendus simultanément avec l'observation visuelle. Ces sons sont anormaux parce que le météore était à des dizaines de kilomètres de hauteur et un son réel prendraient une minute ou plus pour atteindre le sol. (Le son d'un météore détonant est souvent entendu plusieurs minutes plus tard.)

Keay est convaincu de la réalité des sons anormaux et suggère que le plasma très turbulent dans le sillage des météorites génère un rayonnement électromagnétique puissant ayant des fréquences audio. Cette énergie de radio intense atteint la terre en même temps que la lumière visible le fait. Elle peut être convertie en son, tel qu'il interagit avec la surface et l'observateur.

(Keay, Colin SL; "1978 Boule de feu de Nouvelle-Galles du Sud ," Nature, 285: 464, 1980.)




A suivre pour d'autres pages...



Yves Herbo Traductions, Sciences, F, Histoires, 04-11-2015

mercredi 4 novembre 2015

OVNI : des milliers de gens en voient le 24-08-1990 à Greifswald

OVNI : des milliers de gens en voient le 24-08-1990 à Greifswald, vers la Centrale Nucléaire...



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Le 24 août 1990, ca. 8.35-9.03 P.M.

Greifswald en Allemagne,

Juste six semaines avant la réunification de l'Allemagne, des milliers de témoins oculaires ont observé une formation de sept objets lumineux, planant pendant presque 30 minutes au-dessus de la mer Baltique près de Peenemünde, à l'ancien chantier de construction de fusée nazi V-2, ces OVNI s'approchent de la centrale nucléaire Greifswald.

Parmi les témoins oculaires se trouvaient des physiciens en nucléaire russe travaillant pour cette installation.

Les chercheurs allemands d'OVNI ont pu rassembler cinq videos d'amateur de cet événement, ce qui leur ont permis de reconstruire la position de la formation par triangulation.

Les sceptiques ont rapidement refusé ce cas en disant que pour eux c'étaient de simples fusées de signal mises dans le ciel par la marine russe ou polonaise, mais ils ignorent le fait que la formation, sans aucun doute, planait au-dessus des mers allemandes, à l'ouest de la frontière polonaise.

Et n'importe quelle manœuvre militaire avant la réunification allemande aurait été considérée comme une agression et aurait causé des protestations diplomatiques importantes.

Mais en fait toutes les deux, la navy russe et polonaise, ont toutes les deux nié cette manœuvre aérienne alors en question.

Nous présentons ci-dessous deux images tirées des trois meilleurs vidéos, pris par le Dr. en nucléaire russe physicien Ludmilla Ivanova de Greifswald, Bernhard Gröchel d'Ücheritz-Bansin sur Usedom et Jürgen Luchterhand, à l'est de Greifswald.



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Le 24 Août 1990, à la centrale nucléaire de Greifswald en Allemagne de l'Est. Le personnel Est-Allemand et Russe travaillant à la centrale nucléaire a enregistré ces formations d'ovnis alors qu'ils semblaient se grouper dans le ciel au-dessus de cet endroit très sensible. Les lumières sont restées dans le ciel pendant des heures ou tout au moins quasiment une demi-heure sûre, et ont été filmées depuis différents points par différentes caméras. Parfois, le groupe a été approché par d'autres lumières voyageant à travers le ciel jusqu'à ce qu'elles joignent le groupe plus grand. Ce cas et d'autres cas semblables au-dessus de centrales nucléaires et autres installations atomiques pourrait être lié à des phénomènes encore inconnus du fait de notre connaissance limitée du comportement nucléaire en général.


Quatre vidéos amateurs ont été tournées depuis différents points de vue: 1) Greifswald: Jürgen Luchterhand, 2) Greifswald, Mendeleyev-Str. 12: Ludmilla Ivanova M.D., 3) Greifswald, pas loin de l'adresse ci dessus: Valery Vinogradov, vidéo ci-dessous, 4) Harbour of Lauterbach (sur l'île de Ringen): Irmgard et Ingo Kaiser.



OVNI pris au dessus de la centrale nucléaire de Greifswald, en Allemagne de l'Est, le 24 août 1990.

Photo tirée du documentaire sur "TV Allemande publique ARD".



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Un autre clip de Greifswald en Allemagne de l'Est en 1990, enregistré par le cameraman Valery Vinagradov. Valery déclare qu'il n'était pas le seul témoin de l'événement et déclame que des "centaines de témoins ont assisté à cet événement anormal et de nombreuses photographies ont été prises." Il a décrit les objets comme étant " des boules rougeoyantes qui étaient suspendues en formation dans le ciel. Les sphères qui ont composaient la formation semblaient tourner et planer, mais d'une façon stable et ordonnée." Il a également déclaré " ils agissaient de concert sans aucun mouvements brusques." Plus tard lors de l'observation, une autre sphère apparue et voyagea vers le groupe juste pour disparaître dès qu'elle l'atteignit. C'est pour ces raisons que Valery ne croit pas que ces choses étaient des fusées ou des engins classiques.



Sept photos des objets ont été prises, parmi lesquelles l'une depuis 20 km de là par Rainer-Michael Ladwig de Berlin. Il n'y a aucun doute sur le fait que les quatre vidéos et les sept photos montrent les mêmes objets, il est donc improbable qu'il s'agisse d'un canular. Une analyse informatique des vidéos et photos ont montré que les objets ont manœuvré a une altitude de 6000 mètres sous les nuages. Ils ont pu être vus depuis une distance de 125 kilomètres.

Le 10 Octobre 1993 à 20:15 le documentaire "Les OVNIS - pourtant ils existent " ("UFOs - und es gibt sie doch") par Heinz Rohde fut diffusé sur ARD, une chaîne allemande publique, avec commentaire et analyses de ces événements et documents.

OVNI pris au dessus de la centrale nucléaire de Greifswald, en Allemagne de l'Est, le 24 août 1990.

Photo tirée du documentaire sur "TV Allemande publique ARD" et de la vidéo prise par Valery Vinagradov.

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Voyez encore des photos ci-dessous, et remarquez que la configuration géométrique des points lumineux change, cela explique une chose simple, ces points lumineux ne pouvaient être que plusieurs engins extraterrestres en formation effectuant des figures pour le plus grand spectacle des "Hommes" se trouvant à Greifswald.



Toutes ces photos sont en fait des arrêts sur image provenant de plusieurs films faits par les témoins ce jour-là, pour ceux qui sont des septiques indécrottables, vous êtes au moins obligés de reconnaître que des OVNI existent, et là c'est impossible de répondre autre chose, impossible !

Maintenant libre à vous de croire que ce ne sont que des engins d'origine terrestre genre F-117 en pleine démonstration pour un 14 juillet ou des oies en rut éclairées par des lampions ou des lucioles !...

Au fait voyez à quoi ressemble le F-117 vu de nuit, nous avons justement une photo de lui en bas de page, rien à voir avec ces lumières ! De plus s'il avait volé à la même hauteur qu'elles, cela n'aurait été que juste un point dans le ciel !

Et de plus n'oubliez pas aussi par dessus tout cela qu'aucun bruit ne ressortait de ces lumières !



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CI-dessous, voici une photo du F-117, l'avion américain furtif vu de nuit. Rien à voir comme comparaison...


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Source : http://ovni007.tripod.com/id94.html - Jérôme Gorriz - Sébastien Tellerain

Vidéo S,F,H, 12-2012

Rappelons également qu'en 1990, les lanternes asiatiques n'étaient pas encore connues ni trouvables en Europe, et surtout pas dans cette région de l'Allemagne de l'Est très protégée, et qu'également, les lanternes asiatiques ne peuvent pas dépasser l'altitude de 500 mètres environs alors que là, nous parlons de 6000 mètres...



Yves Herbo, Sciences, Fictions, Histoires.com, 2012-2015

lundi 2 novembre 2015

Le mystère des têtes préhistoriques gravées dans la pierre : Marcahuasi

Le mystère des têtes préhistoriques gravées dans la pierre : Marcahuasi

+ Le Stonehenge Tropical au Brésil



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Ce n'est pas la première fois que des chercheurs, réels scientifiques ou simples amateurs, soupçonnent les Anciens d'avoir eu les capacités et connaissances nécessaires pour graver, tailler et façonner la pierre, non seulement sur quelques mètres, mais bien aussi sur des dizaines de mètres. Et en vérité, même si la science officielle préfère parler de "mimétisme de la nature et de coïncidences de formes", il se trouve de plus en plus d'endroits et de découvertes, surtout dans des lieux isolés et peu vus jusqu'à présent - comme la jungle amazonienne ou les falaises des îles Orcades par exemple, ou encore récemment au Canada ou en Roumanie - où il assez probable que des peuples préhistoriques, partageant un même savoir, ont laissé sur des falaises de pierre leur empreinte ou leurs dieux... il ne peut plus s'agir de coïncidences tant le nombre a augmenté ces dernières années, voir les liens en bas... Voici encore un autre endroit sacré qui semble regorger d'une ou plusieurs étranges énergies magnétiques et spirituelles :

" Nos découvertes ont été faites comme ceci : En observant les rochers de près là où des milliers de personnes ont vécu, mais qui ne les voyaient pas telles qu'elles étaient réellement parce qu'ils manquaient de foi dans le monde magique et dans les œuvres d'art laissées par un ancêtre qui a créé l'humanité actuelle et en respectant ce monde qui a produit ces œuvres d'art incomparables, mais n'a laissé aucune signature.



Le travail artistique était lié au rythme de la vie, comme les battements du cœur, ou la respiration, ou de marcher sur cette terre. Ce fut un travail de magie.

L'humanité a oublié tout cela et envisage de se rendre sur la lune comme étant beaucoup plus important. Il ne peut pas expliquer l'apparition de ces hommes de génie qui brisent toutes les barrières pour arriver à des résultats surprenants sans les chercher pour eux-mêmes, et sans écouter les voix dogmatiques - qui tentent de réduire à des mots ce qui n'a pas de nom.

Nous démontrons dans ce livre que les gravures et les sculptures dans la roche naturelle, pouvant être vues à partir d'un point de vue ou une certaine direction, et dans des conditions d'éclairage spécial, donnent du crédit à un style qui ne peut être exprimé que par des hommes de foi profonde panthéiste. La technique de ces sculpteurs n'a pas été répétée dans l'histoire ultérieure.

Ces œuvres se trouvent dans différents endroits sur terre, très espacées les unes des autres, répétant les mêmes symboles, et avec une chose en commun : ils se retrouvent autour des montagnes sacrées, des temples de l'humanité perdue, de sorte qu'ils ne seront pas oubliés et qu'ils peut servir une fois de plus pour purifier et sauver l'humanité ".



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Monument of Humanity




Ce sont les mots de Daniel Ruzo, trouvés dans l'introduction de son livre, "Marcahuasi L'histoire d'une découverte fantastique", d'abord publié en langue espagnole en 1974. Ruzo (1900 - 1993) était certainement l'un des pères du New-Âge.

Marcahuasi est un sommet de montagne unique, qui, géologiquement, ne ressemble à aucune des Andes voisines, situées à 80KM au nord-est de Lima, au Pérou. Daniel Ruzo, un génie par sa propre définition, a consacré sa vie à l'étude des sites sacrés à travers le monde. il a continué ensuite l'œuvre de sa vie à son domicile de Cuernavaca, au Mexique; près de Tepotzlan, un autre site d'une montagne sacrée.

Les œuvres d'art visées à l'introduction de son livre sont des monuments, des sculptures monolithiques, des mégalithes, qui se trouvent sur le sommet de Marcahuasi. Il y a des centaines de ces monuments sur le plateau de 41 / 2km x 1 km. Ils sont si grands, si clairs que seul quelqu'un qui n'est pas un chercheur ne peut défendre leur existence.



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Les "monuments répétant les mêmes symboles" se trouvent sur Tepotzlan et Guanajuato, au Mexique; à Rio de Janeiro et Vila Velha au Brésil; au Lac Titicaca, à San Cristobal et à Los Angeles au Pérou; à Stonehenge et Avebury en Angleterre; dans La Vallée Sacrée des Rois en Egypte; dans les montagnes des Carpates en Roumanie; et au parc national de Kakadu en Australie pour en nommer quelques uns.



Bien que Daniel Ruzo a également étudié les monuments de l'île de Pâques, il n'a fait aucune conclusion quant à leur origine. Tous les monuments de tous ces endroits, selon Ruzo, ont été créés par une humanité qui a vécu avant l'époque de la crue (ou "déluge") pour laquelle Noé a construit son arche.

Les monuments marquent le domaine général des grottes et cavernes qui ont rendu possible le salut de notre humanité, et ceux de la précédente, pendant le temps des grandes catastrophes. La dernière catastrophe était une inondation et l'arche de Noé est simplement une métaphore pour les grottes et cavernes, marquées par les monuments, partout dans le monde.



Selon Ruzo, la catastrophe (un incendie, précédant l'inondation) a été survécue par "Adam et Eve" (la précédente humanité) en vivant profondément à l'intérieur des cavernes.

Daniel Ruzo a formé sa théorie sur l'humanité dans les années 1920. C'était l'œuvre de sa vie de soutenir sa théorie. Avec l'utilisation de la Bible, des mythes et légendes du monde entier, les œuvres de Nostradamus, l'astrologie, et d'autres sources, il perçoit des preuves qui éclairent sa croyance.



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Sa théorie est :

- La vie humaine sur la terre a été composée de cinq humanités, chaque humanité a duré 8,608 ans et est composée de quatre cycles de soleil de 2.125 ans chacun.

- Nous sommes dans la cinquième humanité.

- Toutes les 8,608 années, la terre souffre d'une catastrophe.

- En suivant le zodiaque, les sciences humaines ont survécu aux catastrophes de la terre, du feu et de l'eau.

- Selon Ruzo la prochaine catastrophe sera par l'air et aura lieu entre les années 2127 et 2137.

Les monuments du monde entier marquent l'entrée des grottes et cavernes qui rendront possible le salut des graines de l'humanité.



Comme les monuments ne sont que des indicateurs que ces entrées très importantes sont dans la zone environnante, nous, les fidèles, devons faire notre mission de localiser les entrées, à temps pour préparer les grottes et cavernes, avant la prochaine catastrophe et sauver les graines de l'humanité telles qu'elles ont été sauvées par les humanités précédentes.



Les symboles universels référencés dans l'introduction de "Marcahuasi" sont la clé pour comprendre comment localiser les entrées sur les montagnes sacrées. Comme les entrées doivent encore être trouvées, nous devons travailler à "briser le code" de ces symboles pour les trouver.

Daniel Ruzo a vécu sur Marcahuasi pendant une période de neuf années à partir de 1952. Il a pris des milliers de photographies des monuments pendant ce temps. Il a constaté que, selon le moment de la journée et le temps de l'année, à la lumière du soleil, de la lune et des étoiles, même dans l'ombre, que différentes images sculptées peuvent être vues, même dans un même monument.



Le monument principal, le Monument de l'Humanité, a quatorze faces visibles sous la lumière du soleil et deux visibles seulement sous la lumière de la lune. Les photos de RUZO démontrent très clairement les différents visages de Marcahuasi. Il affirme que, même si son travail a continué pendant neuf longues années, ce qu'il a étudié n'est juste que dix pour cent de ces personnages...



D'autres monuments importants sont le Condor, dont la forme change tous les soixante degrés, et le Félin qui ne peut être vu que pendant la semaine du solstice d'hiver.



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Il y a beaucoup d'autres aspects importants à Marcahuasi, tous des morceaux d'un puzzle complexe incroyable. Il y a vingt-deux vortex d'énergie appelés "Cruzes" ou des croix, constitués de trois types distincts d'énergie.

- Il y en a trois du premier type que l'on trouve dans des zones d'accès limitées sur le plateau, limitées à ceux qui sont préparés pour être près à cette puissante énergie.

- Le deuxième type de croix, qui sont au nombre de sept, des croix reconnues pour représenter les jours de la semaine.

- Il y a douze croix du troisième type et qui ont un lien avec les phases de la lune.

Chaque croix a un pouvoir de guérison spécifique. Les croix qui sont facilement visibles sur le plateau ont une énergie indéniable qui peut être ressentie sans aucune préparation spéciale ou de sensibilité.

Carlos Seclan, un disciple péruvien de Daniel Ruzo, a eu une expérience extraordinaire avec l'un des vortex de Marcahuasi.



Il avait étudié Marcahuasi pendant quinze ans lorsqu'il a eu un accident de voiture qui l'a laissé paralysé, dans son lit, pendant onze mois. Malgré les meilleurs médecins au Pérou disponibles pour le soigner, on lui a dit qu'il ne pouvait pas être guéri et ne pourrait jamais remarcher ou même s'asseoir à nouveau.

Après avoir étudié les énergies des pierres et des vortex de Marcahuasi, il savait qu'il devait y avoir un moyen de guérir son dos cassé avec les forces profondes de la montagne. Il savait qu'un certain jour, à une certaine heure, à un certain vortex, qu'il y aurait de l'énergie appropriée pour le soigner. Il a convaincu ses amis de le transporter jusqu'à la montagne, au vortex désigné, où ils l'ont laissé, seul, pendant sept jours, avec suffisamment de nourriture et d'eau.

Le septième jour, un homme d'apparence péruvienne normale, étranger à Carlos, est apparu et ils ont parlé du problème de Carlos. L'homme a alors commencé à lui montrer certains exercices physiques, que Carlos réussi à suivre.



Alors qu'il bougeait, il a ressenti une chaleur qui est montée à travers son corps à partir de ses orteils. Il entendit un bruit de bourdonnement distinct et senti un picotement en même temps. Lorsque les sensations de chaleur et de bourdonnement ont atteint le sommet de sa tête, une vingtaine de minutes plus tard, il sentait comme si une lumière chaude était entrée dans le haut de sa tête.

La lumière le faisait s'endormir et il est tombé endormi. Quand il se réveilla, plusieurs heures plus tard, il fut surpris de se rendre compte que non seulement il pourrait s'asseoir, mais aussi se lever.



L'homme avait disparu, et Carlos descendit la montagne seul pour rejoindre ses amis qui l'attendaient à la cabane, la maison que Daniel Ruzo avait construit derrière le Monument de l'Humanité.



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Carlos est le connaisseur le plus important des vortex de Marcahuasi.



Il montre seulement cinq des vortex aux autres. Deux des vortex sont faciles à trouver sur le plateau: l'un est situé en dessous du Félin, et l'autre, marqué d'un X blanc, est au centre du plateau, au bord d'un précipice. Carlos alla d'abord à Marcahuasi en 1973, lors d'un voyage de chasse. Il dit que, avant qu'il y soit allé, il avait vu Marcahuasi dans ses rêves, et quand il y est arrivé, il savait exactement où aller pour l'eau.

Marcahuasi est également un endroit célèbre pour les observations d'OVNI. Les villageois dans la ville en-dessous de Marcahuasi, San Pedro de Casta, acceptent les observations d'OVNI comme un phénomène naturel. Lorsqu'on leur a demandé si ils croient aux OVNI, ils ont réagi comme si c'était une question étrange - comme si il leur avait été demandé si ils croyaient en les vaches...

Moises Bautista, ancien président de la communauté, raconte l'histoire d'une rencontre qu'il a eu en Août 1963. La nuit était claire avec une pleine lune. A environ 02h00, il marchait près des ruines sur son chemin pour vérifier ses vaches sur le plateau. Il a vu un véhicule de la taille d'une voiture sortir du ciel ou de la terre à environ 20m en face de lui. Il se cacha sous une ancienne tombe pendant que se déroulait la rencontre.

Le véhicule était d'environ 3M de diamètre avec six lumières rondes "fluorescentes". Du véhicule est sorti cinq êtres, chacun d'environ 20cm de hauteur. Ils portaient des combinaisons de corps orange / brunes et des bottes.



Ils ont émergé du véhicule à partir d'un portail en matériau clair. Ils marchaient autour et ont touché des pierres sur le terrain comme si ils étaient en train de les inspecter. Ils sont ensuite retournés au véhicule et sont partis, volant vers le nord, la même direction à partir de laquelle ils sont venus. L'ensemble de la rencontre a duré trois minutes.



Moises parle librement de sa rencontre, comme si elle n'était pas considérée comme un sujet fou dans la ville de San Pedro.

Parmi d'autres à San Pedro qui ont eu aussi des observations, il y a le boulanger du village. Il dit qu'il voit régulièrement un disque en métal argenté avec des lumières multicolores survolant Marcahuasi. Il croit que les OVNIS ont une raison régulière, apparaissant à la fin du mois.



Le boulanger, Moises Bautista, et beaucoup d'autres à San Pedro, y compris les plus jeunes enfants de la ville ont fait une observation, une nuit, d'un disque qui a survolé la ville. Les enfants parlent de la "soucoupe volante" ou "planète" avec animation, racontant les lumières colorées qui ont survolées leurs têtes en 1988.

San Pedro de Casta est le village andin folklorique à travers lequel on doit passer avant d'arriver à Marcahuasi. Ici, on peut louer des ânes pour transporter des fournitures et de l'équipement sur le plateau, trois heures et demie à pied de la montagne. Les habitants de San Pedro sont les gardiens spirituels de la «Meseta» de Marcahuasi. Il est de leur responsabilité de voir que ceux qui sont accueillis à la Meseta se sentent en sécurité et soignés pendant leur séjour.

Les habitants de San Pedro sont des «campesinos» ou paysans. Ils font leur vie en commun (pour le revenu) en cultivant la terre en terrasses sur les montagnes environnantes, comme le faisaient leurs ancêtres depuis des milliers d'années avant eux. Un total de vingt tonnes de maïs, de luzerne, des pommes de terre et d'autres cultures sont exportés chaque année.



Le plus intéressant, cependant, est qu'ils exportent quarante tonnes de plantes médicinales sauvages qui poussent sur les montagnes environnantes, ainsi que sur Marcahuasi lui-même. Les quelques plantes disponibles trouvées dans la région semblent couvrir tous leurs besoins. Les habitants de San Pedro prétendent que les plantes sont anciennes.

Certaines des plantes médicinales trouvés dans la région de San Pedro de Casta et leurs utilisations sont: la Valériane, la source naturelle de notre Valium synthétique, est comme une couverture du sol avec de petites fleurs jaunes. Un thé fait à partir des fleurs de Valeriana est un relaxant. Les fleurs brunes ou jaunes de Margerita Silvestre faites dans un thé, aide à réduire l'hypertension artérielle.



Les fleurs bleues et les feuilles de tarwi, mais pas la graine, faites dans un thé, sont utiles pour combattre les frissons et la fièvre. Une combinaison des feuilles de la plante Chunchu et celles de la Gasengasa bouillies dans du lait, et bues, est bonne pour les désagréments de la puberté. Le thé Tipta, fait à partir des petites feuilles et fleurs jaunes de la plante, est presque un remède miracle pour les maux de tête. Les maux de tête sont un symptôme fréquent de la maladie d'altitude, facilement contractée à l'altitude de 4000 mètres de Marcahuasi.



Une combinaison de Taiya et de Chinchilcoma laissée macérée avec de l'alcool et appliquée comme un cataplasme sur une partie gonflée du corps est un remède rapide contre l'enflure.

Marcahuasi a aussi ses mythes et légendes. L'endroit sur la Meseta avec les histoires les plus intéressantes est le "Infernillo", ou le lieu infernal. Il y a une grande crevasse dans la roche d'environ vingt pieds de profondeur (6 mètres). Il est dit que quiconque ose sauter par-dessus le "Infernillo" sera "englouti" et pris à l'intérieur de la terre, pour ne jamais revenir.



Un autre mythe entourant le " Infernillo " est que si une personne entre dans la base de la crevasse, il sera pris à l'intérieur de la terre, passera par la montagne, et ressortira loin à l'embouchure d'une rivière. La personne ne sera jamais plus la même et incapable de réintégrer la société. Elle se détournera des humains comme les animaux sauvages le font. Mais les gens du pays considèrent ceux-ci comme des mythes et sautent en fait facilement par-dessus le fossé de l'Infiernillo...

Soxtacuri était le Dieu Vivant, qui a régné sur l'ensemble du plateau de Marcahuasi.



Chaque mois de Janvier, il rencontrait tous les chefs des vallées environnantes pour échanger des idées. Ces rencontres légendaires sont commémorées aujourd'hui dans un rituel effectué chaque 5 Janvier par le «guérisseur» ou chaman de San Pedro de Casta, Paolino Gonzales, en face du monument de la Bruja.

Chaque année, les gens qui vivaient dans Marcahuasi devaient offrir le sacrifice d'une femme à leur bien-aimé Soxtacuri (un possible ancien empereur revendiquant être un dieu ?). Une année, les gens ont échoué à faire leur offrande, et dans sa colère, il a quitté l'endroit et a déménagé en Bolivie. Il est dit que lorsque Soxtacuri est parti, son peuple Divin s'est également déplacé du plateau. Au moment où les conquistadors sont arrivés, de nouveaux peuples habitaient la Meseta Marcahuasi. La maison et le trône de Soxtacuri restèrent sur le plateau.

Les conquistadores ont déplacé à nouveau les gens de Marcahuasi. Certains de leurs descendants vivent à San Pedro de Casta. Les personnes ont été déplacées par l'Espagnol dans tout le Pérou en les mettant dans de nouveaux villages afin qu'ils puissent respecter l'ordre et la force du catholicisme sur elles. Ils ont appris l'espagnol et le catéchisme aux indigènes péruviens. Les peuples conquis vivant au plus proche de Lima ont perdu leur langue maternelle: le Quechua. La plupart des noms de rivières, les montagnes et les dieux sont en quechua, car, malgré les efforts des conquistadores brutaux, il y a encore deux langues au Pérou...



Marcahuasi, en quechua, signifie simplement la maison / la ville.

Il existe cinq villes en ruines sur le plateau de Marcahuasi. On pense qu'à un moment donné, probablement vers le XIVe siècle, trente mille personnes peuplaient les villes de Marcahuasi.



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A en juger une ruine de premier plan, la «Fortaleza» ou forteresse (image ci-dessus), qui occupe la deuxième plus haute colline du plateau, les gens étaient des guerriers, soucieux de la surveillance et de la protection de leur territoire.



Les Incas ne sont pas arrivés avant que la majorité des villes n'aient été abandonnées et les ruines converties en "pacarinas", dédié aux ancêtres du peuple parti. Ce que les Incas trouvèrent étaient des constructions de pierres angulaires mises ensembles avec de la boue, formant des patios, des chambres, des couloirs et des tombes. Les tombes ou "chulpas" (l'image ci-dessous) sont encore éparpillées sur tout le plateau, et marquent l'endroit le plus sacré dans chaque ville.



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Malheureusement, la plupart des chulpas ont été dépouillés de leurs momies et des offrandes qu'ils comprenaient: des bijoux, de la poterie et des textiles.

Cependant, une impressionnante collection de momies peut être observée, avec autorisation, dans l'école secondaire à San Pedro de Casta.



Aucune excavation organisée d'aucune sorte n'a jamais été fait dans les villes de Marcahuasi. Le gouvernement péruvien n'a pas de fonds et toutes les fouilles en cours à cette époque au Pérou étaient financées par des fondations étrangères.

Le terrain de Marcahuasi n'est nullement accueillant, il est aride et rocailleux. La météo dans la saison sèche est chaude et ensoleillée dans la journée et très froide la nuit. Il y a peu d'ombre du soleil. Dans la saison des pluies, il est pratiquement impossible de marcher autour du plateau, comme il se transforme en une flaque de boue géante. Néanmoins, Marcahuasi a un magnétisme indescriptible qui amène les gens à revenir encore et encore.

Il y a quelques caractéristiques très attractives sur cette montagne de 4000 mètres. Le silence fait se déplacer l'âme. La nuit, avec les étoiles au-dessus, à la fois comme un plafond et des murs du plateau, on a la sensation d'être dans une grande salle. Les panoramas, de la mer de nuages ​​en-dessous de la montagne aux îles des sommets des montagnes furtives, sont à couper le souffle. La vision pas si occasionnelle d'un, ou deux ou trois condors survolant le plateau est unique.

Il y a quelques formes de vie animale sur le plateau. Le renard gris vit dans une caverne rocheuse et est rarement vu. Le "viscache", un croisement étrange entre un lapin et un écureuil est l'animal le plus nombreux du Marcahuasi.



Les lions "Puma" sur la montagne, vivent aux altitudes supérieures du Marcahuasi, mais descendent sur le plateau pendant la saison des pluies. Tous ces animaux sont chassés car leur viande est appréciée comme une délicatesse par les habitants.

Au cours des dernières années, les monuments et les tombes ont été fortement perturbés par les 3.000 à 4.000 touristes chaque année qui font des voyages le week-end à la montagne.



Les gardiens de San Pedro de Casta ne peuvent pas contrôler la destruction des monuments qui ont été là depuis des milliers d'années. Malheureusement, les gardiens sont tributaires du revenu apporté à la ville par les destructeurs de la Meseta, qui louent leurs ânes et achètent quelques fournitures, tels que l'eau, pour se rendre jusqu'à Marcahuasi.

Le voyage de Lima à San Pedro de Casta, en voiture, prend environ cinq heures. Il y a plusieurs hôtels andins à San Pedro, si l'on souhaite passer la nuit. Il est conseillé d'apporter un sac de couchage et un approvisionnement alimentaire personnel sur place.



La promenade jusqu'à la Meseta de Marcahuasi prend environ trois et demi-heures. Il y a quelques chevaux disponibles à la location qui peuvent remplacer vos propres pieds pour remonter la colline. Mais les Burros ou anes de location sont trop petits pour porter une personne moyenne.



Le moment idéal pour aller à Marcahuasi est d'Avril à Octobre. Le festival le plus important, la «Fiesta del Agua", a lieu chaque année au début d'Octobre et dure huit jours.



Il y a également des cérémonies sur le plateau pour le solstice d'hiver...



Traduction de Yves Herbo d'un texte de Lisa Rome d'après le livre de Daniel Ruzo "Marcahuasi L'histoire d'une découverte fantastique" (1974)

Autre exemple récent :

SAO PAULO, Brésil - Un regroupement de blocs de granit le long d'une colline herbeuse de l'Amazone pourrait être les vestiges d'un vieil observatoire astronomique vieux de plusieurs siècles - une trouvaille que les archéologues disent que cela indique que les anciens habitants de la forêt tropicale étaient plus sophistiqués qu'on ne le croyait.



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Les 127 blocs, certains allant jusqu'à 9 pieds (2 m 74) de hauteur, sont espacés à intervalles réguliers autour de la colline, comme une couronne de 100 pieds de diamètre.

Le jour le plus court de l'année - le 21 décembre - l'ombre de l'un des blocs, qui est fixé à un angle, disparaît.

" C'est l'alignement de ce bloc avec le solstice d'hiver qui nous porte à croire que le site était autrefois un observatoire astronomique ", a déclaré Mariana Petry Cabral, un archéologue de l'Amapa State Scientific and Technical Research Institute. " Nous pouvons être en train d'examiner également les vestiges d'une culture sophistiquée. "



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Les anthropologues ont depuis longtemps compris que les populations indigènes locales étaient des observateurs aigus des étoiles et du soleil. Mais la découverte d'une structure physique qui semble intégrer ces connaissances, suggère sue les Indiens précolombiens de la forêt amazonienne ont pu avoir plus de connaissances qu'on ne le pensait.

«Transformer ce genre de connaissances en un monument; la transformation de quelque chose d'éphémère en quelque chose de concret, pourrait indiquer l'existence d'une population plus importante et une organisation sociale plus complexe ", a déclaré Cabral.

Cabral a étudié le site, près du village de Calcoene, juste au nord de l'équateur dans l'état d'Amapá, dans l'extrême nord du Brésil, depuis l'année dernière. Elle estime qu'il était autrefois habité par les ancêtres des Indiens Palikur, et tandis que les blocs ne sont pas encore soumis à la datation au carbone 14, elle dit que des tessons de poterie à proximité du site indiquent qu'ils sont pré-colombiens et peut-être plus ancien qu'autant que 2000 années.

Le mois dernier, les archéologues travaillant sur une colline au nord de Lima, au Pérou, ont annoncé la découverte du plus ancien observatoire astronomique dans l'hémisphère occidental - et des sculptures géantes en pierre, vielles apparemment de 4.200 années, qui s'alignent avec le lever et le coucher du soleil le 21 décembre.



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" Alors que les Incas, Mayas et les Aztèques ont construit des grandes villes et d'énormes structures rocheuses, les sociétés précolombiennes de l'Amazone ont construit des petites colonies de bois et d'argile qui se sont détériorées rapidement dans le climat chaud et humide amazonien, disparaissant il y a des siècles ", disent les archéologues.

Les agriculteurs et les pêcheurs de la région autour du site Amazonien les connaissent depuis longtemps, et la presse locale l'a surnommé le " Stonehenge tropical ". Les archéologues se sont impliqués l'an dernier après que les géographes et les géologues aient fait une enquête socio-économique de la région, à pied et en hélicoptère, et ont remarqué " la structure circulaire unique sur le dessus de la colline ", a déclaré Cabral.

Les scientifiques qui ne sont pas impliqués dans la découverte ont déclaré qu'elle pourrait se révéler précieuse pour la compréhension des sociétés précolombiennes de l'Amazonie.

Personne n'a jamais décrit quelque chose comme ça avant. Ceci est une trouvaille extrêmement nouvelle - une partie d'une chose d'un autre genre ", a déclaré Michael Heckenberger de l'Université de Département d'anthropologie de la Floride.

Il a dit que, bien que la datation au carbone 14 et que d'autres fouilles doivent être effectuées, la trouvaille s'ajoute à une masse croissante qui fait penser parmi les archéologues que la préhistoire dans la région amazonienne était plus variée qu'on l'avait cru.

« Étant donné que les objets astronomiques, les étoiles, les constellations, etc., ont une importance majeure dans une grande partie de la mythologie et de la cosmologie amazonienne, cela ne me surprend pas qu'un tel observatoire existe ", a déclaré Richard Callaghan, professeur de géographie, d'anthropologie et d'archéologie à l'Université de Calgary.



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Les archéologues brésiliens seront de retour en Août, lorsque la saison des pluies se terminera, pour mener à bien la datation au carbone 14 et faire de nouvelles fouilles.

" L'image traditionnelle était qu'il y a des milliers d'années, il y a de petits groupes d'horticulteurs des forêts tropicales qui sont arrivés dans la région et qu'ils ne l'ont jamais changé - (que) ce que nous voyons aujourd'hui est juste comme c'était il y a 3000 ans ", a déclaré Heckenberger. " Ceci est une chose de plus qui suggère qu'à travers le passé de milliers d'années, les sociétés ont beaucoup changé en fait."

Sources : Stan Lehman - Associated Press Writer - from ABCNews Website / from CBSNews Website - photos : (AP Photo/GOVERNO DE AMAPA, Gilmar Nascimento)

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Yves Herbo Traductions, Sciences, Fictions, Histoires.com, 01-11-2015