samedi 4 août 2012

Alerte OVNI France du 19 juillet et du 1er août 2012

Alerte OVNI France du 19 juillet et du 1er août 2012

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Alerte OVNI France du 19-07-2012 : 



Alerte OVNI France du 1er août 2012 :



Relayé par SFH le 1er août 2012

Lanternes thailandaises et réseau de diffraction

Lanternes thailandaises et réseau de diffraction

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Il est devenu courant de recevoir des témoignages faisant état de lumières nocturnes non identifiées par les observateurs, qui après enquête, s’avèrent être de simples lanternes volantes.

Ces lanternes célestes (ou « lanternes thaïlandaises »), sont des ballons à air chaud qui utilisent le même principe que les montgolfières. L’air contenu dans la lanterne est chauffé par un brûleur, ce qui a pour effet de faire s’élever la lanterne dans les airs. Une fois le brûleur éteint, elle redescend lentement vers le sol.

L’utilisation d’une bonnette à réseau de diffraction permet de les identifier en quelques secondes.

En plaçant le réseau de diffraction devant l’objectif de prise de vue, il est possible d’observer le spectre caractéristique d’une source incandescente.

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Un gain de temps non négligeable pour les enquêteurs, mais également pour le témoin, qui n’auront nul besoin de procéder à des recherches pour déterminer l’origine possible de l’objet observé.

Merci a Audrey.S pour nous avoir fait parvenir ces clichés via le site du Projet V.I.G.I.E ainsi qu’une petite vidéo de la prise de spectre des lanternes thailandaises.


Relayé par SFH 07-2012

vendredi 3 août 2012

OVNIs : Intérêt de la détection acoustique

OVNIs : Intérêt de la détection acoustique

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Pour mener une étude plus poussée sur les Ovni, il est nécessaire d’enregistrer un maximum d’informations lorsqu’un phénomène de ce type se présente. Un objectif de caméra ou d’appareil photo, muni d’un réseau de diffraction, donnera un spectre. Une antenne associée à une station de détection fournira quant à elle une signature radar. Mais il serait intéressant de collecter un autre type de signal : le son.

De nombreux témoignages font état de sifflements, de bourdonnements ou de bruit sourd, mais également de bruit de moteur, voir de détonations.

Certains d’entre eux ont fait l’objet d’une analyse par le passé. Par le biais d’un essai en conditions réelles, nous allons voir quelles informations peuvent être obtenues à partir de tels signaux.

Trans-en-Provence (1981)

Bref rappel du témoignage : Le soir du 8 janvier 1981 dans le sud de la France, alors que Roberto Nicolaï travaille dans son jardin, son attention est attirée par un léger bruit, semblable à un sifflement. Il se retourne et constate alors la présence d’un objet ovoïde en phase de descente. Celui-ci finira par atterrir à quelques dizaines de mètres de lui, pour repartir au bout de quelques minutes d’observation.

Cet évènement connu une certaine célébrité dans le milieu de l’ufologie suite aux analyses de végétaux recueillis sur le terrain. Les résultats des analyses biochimiques réalisées par le professeur Michel Bounias amenèrent à penser qu’un événement de grande ampleur avait bien eu lieu.

Trois ans plus tard, à l’occasion d’un numéro de l’émission « temps X », animée par les frères Bogdanof, une nouvelle enquête sur le terrain fut réalisée.

Il s’agissait d’une mise en situation en présence d’une maquette approximative de l’objet observé. Pour compléter ce travail, un journaliste fit écouter au témoin une série de bruitages. Le but était de repérer quel son se rapprochait le plus de celui qui avait été entendu le jour de l’observation. Roberto Nicolaï finira par trouver un son aigu correspondant à ses souvenirs. Cependant, il est bien difficile de faire confiance à la mémoire et à la perception humaine.


Le mercredi 4 janvier 1984, l'émission scientifique de TF1 « Temps X », des frères Bogdanoff, a diffusé un reportage sur l'affaire de l'aterrissage d'un OVNI à Trans-en-Provence, en janvier 1981. Dans un premier temps, le reportage reconstitue l'observation du témoin principal, Rénato Nicolaï, puis fait le point sur les travaux de Jean-Pierre Petit concernant la MHD.

Nord-sur-Erdre (1987)

Autre témoignage, celui de Nord-sur-Erdre en Bretagne. Au cours de la nuit du 8 au 9 septembre 1987, un jeune garçon dit avoir été réveillé en pleine nuit par un bruit étrange. En ouvrant les volets de sa fenêtre, celui-ci constate la présence d’un objet ovale lumineux à quelques mètres de lui. Il aurait alors enregistré ce qu’il entendait sur un radiocassette de la marque « TWIST ».

Cet enregistrement fera l’objet d’une expertise l’année suivante pour le compte du GEPAN (Groupe d’Etude des Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés). Après recueil des différents éléments, examen de la cassette et analyses en laboratoire, il fut conclu qu’il s’agissait d’un faux.

Néanmoins, certaines personnes ont émis des doutes sur les conclusions officielles, suite à plusieurs enquêtes indépendantes réalisés sur des copies de l’enregistrement d’origine. Les rapports d’expertise et les comptes-rendus de ces enquêtes sont disponibles sur Internet; libre à chacun de se forger sa propre opinion.

En savoir plus sur cette affaire impliquerait d’avoir une bonne connaissance des technologies employées à cette époque pour détecter de possibles erreurs techniques, ou la présence de contradictions.

Il est à noter qu’une copie n’est jamais 100% conforme à l’original.

Tournefeuille (2008)

Enfin citons un troisième cas, celui-ci relativement récent. En juin 2008 du côté de Tournefeuille, dans une banlieue de Toulouse, un objet lumineux avait été observé en plein milieu de la nuit. La presse écrite en avait parlée, notamment La Dépêche.

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Extrait du témoignage : « Il faisait si chaud dans la nuit de dimanche à lundi que je n’arrivais pas à dormir. Je me suis alors mis à la fenêtre de ma chambre à coucher et j’ai regardé le ciel, et attendant que le sommeil revienne… Mais il n’est pas revenu et pour cause. Au bout d’une demi-heure, j’ai entendu un gros sifflement et j’ai vu un objet descendant du ciel à vive allure. De vert, il est devenu violet. Il venait de la direction de Léguevin. J’avais le cœur qui battait très fort… »

Point de spectre, ni d’enregistrement sonore malgré la présence de microphones dans de nombreux appareils de notre quotidien (téléphone portable, appareils photos etc…).

Quelles informations pourrions-nous obtenir ?

Suite à la lecture de ces témoignages, nous nous sommes posés plusieurs questions :
  • Quelle était la fréquence de ces sons ?
  • La fréquence était-elle constante ?
  • Quelle était la durée des ces émissions sonores ?
  • Y a-t-il eu production d’infrasons ou d’ultrasons ?
Questions auxquelles un simple témoignage ne saurait répondre de manière précise. Seule une analyse spectrale de ces sons, ou un sonagramme, permettrait d’y répondre avec précision.

Il est impossible de prévoir à quel phénomène nous pourrions être confronté. Néanmoins, partons d’une hypothèse :

Imaginons que le phénomène observé soit entouré d’un plasma. L’émission d’ondes acoustiques pourrait alors être consécutive aux pulsations du plasma dans de l’air. L’analyse des enregistrements pourraient donner, indirectement, la fréquence du signal dominant, celle à laquelle le plasma pulse en intensité.

Un plasma peut-il réellement produire un son ?


Voici un élément de réponse : Le haut-parleur à plasma, anciennement appelé « Ionophone ».

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Le principe est connu depuis plus plus d’un demi-siècle. Il s’agit de créer une onde sonore à partir de l’ionisation de l’air.

«Dans une cellule en quartz on crée par une onde de haute fréquence entre deux électrodes une ionisation de l’air modulée par le signal B.F. à reproduire. Il se forme une bulle ionisée dont les variations de volume créent une pression sonore. Comme le déplacement est très petit il faut adjoindre au système un pavillon permettant d’adapter le dispositif à l’air ambiant. Ce pavillon est en général exponentiel».

De nos jours, il est même fréquent de détecter la présence d’arcs électriques ou d’effet corona en mesurant les sons et les ultrasons. Ces détecteurs convertissent les ultrasons en sons audibles par l’oreille humaine (bande passante moyenne de l’ouïe humaine : entre 20Hz et 20KHz).

Estimer la vitesse d’un objet par effet Doppler :

Lire la suite ici : http://www.ufo-science.com/wpf/?p=4958


Très bon article relayé par Yves Herbo pour SFH 31-07-2012

Des nanoparticules extra-terrestres en nombre sur le sol lunaire

Des nanoparticules extra-terrestres en nombre sur le sol lunaire

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Des nanoparticules découvertes sur la lune dans des bulles de verre expliquent le comportement étrange du sol lunaire.

La découverte sensationnelle du géotechnicien Marek Zbik appuyée par les scientifiques Yen-Fang Song, Chun-Chieh Wang, et Ray L. Frost.

Des bulles de verre dans le sol lunaire renfermant des nanoparticules pourrait résoudre le mystère des propriétés inhabituelles du sol de la surface lunaire.

Le Dr Zbik, de la Faculté d’Ingénierie et de Science de l’Université de Technologie du Queensland, a déclaré que les scientifiques avaient longtemps observé le comportement étrange du sol lunaire, mais qu’ils n’avaient pas prêté une grande attention aux nano et particules inférieures au micron retrouvées dans le sol et que leur source était inconnue.

Le Dr Zbik a emporté des échantillons de sol lunaire à Taïwan où il a pu étudier les bulles de verre sans les briser à l’aide d’une nouvelle technique pour l’étude des nanomatériaux appelée synchrotron, basée sur la nanotomographie. La nanotomographie est un microscope de transmission aux rayons X qui permet de donner des images en 3D des nanoparticules.

« Nous avons été vraiment surpris de ce que nous avons trouvé, » a dit le Dr Zbik.

« Au lieu de gaz ou de vapeur à l’intérieur des bulles, que nous nous attendions à trouver comme sur Terre, les bulles de verre lunaires étaient remplies d’un réseau de particules.

« Il semblerait que les nanoparticules se soient formées à l’intérieur de bulles de roches fondues lorsque des météorites heurtent la surface lunaire. Elles sont ensuite libérées par le bombardement important de météorites qui heurtent la surface lunaire et qui pulvérisent ces bulles de verre. »

« Cette pulvérisation des roches de la surface lunaire et leur mélange constant développent un type de sol qui est inconnu sur Terre. »

Le Dr Zbik dit que « les nanoparticules agissent selon les lois de la physique quantique, totalement différentes de ce qu’on appelle ‘lois normales de la physique’. De ce fait, les matériaux contenant des nanoparticules se comportent étrangement selon notre compréhension actuelle. »

« Les nanoparticules sont si minuscules, que c’est leur taille, et non leur composition qui leur donne ces propriétés exceptionnelles. »

« Nous en savons peu pour l’instant sur la physique quantique, mais il est possible que ces nanoparticules, une fois libérées de leur bulle de verre, se mélangent aux autres constituants du sol et donnent au sol lunaire ses propriétés inhabituelles. »

« Le sol lunaire est chargé d’électricité statique planant donc au-dessus de la surface; il est sur le plan chimique extrêmement actif; il a par exemple une faible conductivité thermique qui peut aller de 160 degrés au-dessus de la surface jusqu’à -40 degrés à deux mètres en-dessous. »

« Il est aussi très collant et fragile tant et si bien que ses particules de métal et de verre s’effacent à la surface »

Cette découverte est je dois dire assez troublante, et il est assez difficile de ne pas céder à la tentation et de se laisser entrainer dans diverses spéculations. En effet, certaines sources sur le web citent deux scientifiques soviétiques, Vasin et Shcherbokov comme ayant une vision de notre satellite très différente que celle que vous connaissez.

Ces deux savants ont élaborés une théorie en 1970 (lien), selon laquelle :
« la Lune n’est pas un satellite naturel de la Terre, mais un énorme planétoïde creux, construit par quelque civilisation hautement avancée et sophistiquée technologiquement, aménagé artificiellement à l’intérieur et qu’ils ont placé en orbite autour de la Terre il y a des milliards d’années… ».

 

" Discovery of possible source of the lunar regolith fine fraction from liberation of particles born within impact generated vesicles in the lunar impact glass. 3D image obtained using Transmission X-Ray Microscope (TXM), shown here as the anaglyph, reveals fine structure within vesicle in the lunar impact glass.

Marek S. Żbik, Yen-Fang Song, Chun-Chieh Wang, and Ray L. Frost, "Discovery of Discrete Structured Bubbles within Lunar Regolith Impact Glasses," ISRN Astronomy and Astrophysics, (2012), Article ID 506187, 3 pages. "


SFH 07-2012

mercredi 1 août 2012

Corée du Sud : OVNI ou engin secret ?

Corée du Sud : OVNI ou engin secret ?

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Cette vidéo étonnante et assez précise a été tournée le 26 juillet 2012 en Corée du Sud à Busan. Aucun trucage n'a été décelé pour l'instant et les navires de l'USNavy présents auraient été mis en alerte selon des twitts non vérifiables. OVNI ou arme inconnue très supérieure aux évolutions conventionnelles ? :



Yves Herbo : vous allez dire que j'insiste mais je trouve que l'objet a des ressemblances avec l'anomalie dans la Mer Baltique !  

SFH 28-7-2012

Sphères lumineuses en Suisse Romande les 17 et 18 juillet 2012

Sphères lumineuses en Suisse Romande les 17 et 18 juillet 2012

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Après un Cercle de Culture apparu le 08 juillet 2012 dans l'est de la Suisse, ce sont des sphères lumineuses qui ont d'abord été vues le 17 juillet 2012 vers Cantone, près de Locarno vers 22 heures et à Caslano, ville proche de Lugano, mardi 17 aussi vers 22h30. Voir les témoignages et photos ici : http://yvesh.e-monsite.com/blog/ovni-ufo/des-tessinois-ont-vu-des-ovnis-le-17-juillet-2012.html

D’étranges engins sphériques ont fait leur apparition en Suisse romande, les 17 et 18 juillet 2012. De nombreux lecteurs racontent ce qu’ils ont vu. Par Joël Espi pour 20MinutesOnline.

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D'étranges engins sphériques ont fait leur apparition au-dessus de montagnes vaudoises et tessinoises durant la nuit du 18 juillet. Leur origine demeure inexpliquée.

« J'ai vu un objet bizarre dans le ciel de Cossonay durant les mêmes jours. » « Alors je ne suis pas fou! J'ai vu d'étranges lumières figées dans le ciel en allant au Montreux Jazz!!! » « Nous avons vu la même chose vendredi dernier dans le Val-de-Ruz, dans le canton de Neuchâtel »... Après la publication, vendredi, de quelques témoignages concernant des ovnis apparus pour la première fois au Tessin, les réactions de lecteurs romands se multiplient. Un Fribourgeois aurait même aperçu un énigmatique engin en plein jour. Il en a fait une image troublante.

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En rentrant de vacances, ce lecteur a pris des photos d'un magnifique couché de soleil mais il ne sait pas ce que cette boule lumineuse fait sur son image.

« J'ai fait du pilotage et je sais que cet objet n'était ni un avion ni un hélicoptère. » Un habitant de Caux (VD), au-dessus de Montreux, affirme avoir aperçu avec sa femme, le 18 juillet à 22h28, une étrange sphère lumineuse près de la Dent-de-Jaman. L'objet à la couleur changeante, dont il a réussi à tirer une photo, est selon lui semblable à celui qui a été observé par plusieurs témoins au Tessin le même jour, aux alentours de 22h. « Il semblait jouer à cache-cache avec la Dent-de-Jaman. Ensuite, il est parti, environ cinq fois plus vite qu'un avion, en direction d'Olten », raconte ce témoin, qui avait déjà observé à deux reprises des ovnis dans les années 1970.

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Un lecteur a pris cette photo le 18 juillet dernier. "Je ne sais pas ce que c'est. Je l'ai photographié, ensuite l'objet a disparu. Il était très brillant", a-t-il raconté à "20 minutes".

En Lavaux, dans le village d'Epesses, c'est toute une famille qui a observé la même sorte d'ovnis facétieux qui s'élevait côté français, à 22h15. « Ces trois ballons de la taille d'une petite maison montaient presque au-delà des nuages, ensuite l'un d'eux s'est éteint et est devenu noir. Il est redescendu au niveau de l'eau et par la suite est remonté au niveau des nuages », raconte notre lecteur. Celui-ci nous a même expliqué que son frère avait pu observer un phénomène similaire il y a exactement une année.

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Une lectrice du site internet 20minuti.ch a immortalisé mardi 17 juillet ce qui semble être un ovni dans le ciel tessinois.
Chef du Groupe de recherche et d'étude des phénomènes insolites situé à Cointrin (GE), Daniel Benaroya n'envisage pour l'heure qu'une seule explication : « L'observation nous fait penser à un lâcher de ballon lumineux, même si un ou deux détails semblent ne pas coller »...

D'autres signalements ont eu lieu pour le 24 juillet, mais l'explication a vite été trouvée : Solar Impulse, restent les observations du 28 juin 2012 (signalée dans les nombreux commentaires et témoignages de la source, et des 17/18 juillet... : http://www.20min.ch/ro/lecteurreporter/story/Les-OVNIS-tessinois-ont-franchi-les-Alpes-24173163#


L'avion expérimental "Solar Impulse" a décollé mardi 24 juillet de l'aérodrome de Toulouse-Francazal, en direction de Payerne, en Suisse. Il réalise ainsi le dernier tronçon d'un parcours commencé le 24 mai 2012. En ayant parcouru 6 000 kilomètres, répartis dans quatre pays et deux continents, Bertrand Piccard et André Borschberg, pilotes et fondateurs du projet, ont réussi leur pari : réaliser le premier vol intercontinental à bord d'un engin propulsé à l'énergie solairehttp://www.lemonde.fr/planete/video/2012/07/24/l-avion-experimental-solar-impulse-termine-son-periple_1737776_3244.html

SFH 28-07-2012

mardi 31 juillet 2012

Nouveaux Crop-Circles juillet 2012

Nouveaux Crop-Circles juillet 2012

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Hill Barn, près de East Kennett, Wiltshire. apparu le 26-07-2012.

Une nouvelle série de Cercles de Culture ont fait leur apparition ces derniers jours, en voici quelques exemplaires, dont certains très sophistiqués :

A Juggler's Lane, Yatesbury, Wiltshire, Royaume-Uni le 17-07-2012 :
 

A Stanton St Bernard Alton Barnes, Wiltshire, Royaume-Uni le 20-07-2012 :

 

Hodeige, en Belgique le 25-07-2012 (pas de vue aérienne, dommage) : 


Près de Sugnens, dans le Vaudois Suisse, un cercle de cultures a été tracé dans un champ de blé dans la nuit du 25 au 26-07-2012. C'est le deuxième crop-circle en Suisse après celui de Büsingen, Schaffhausen, dans l'Est de la Suisse du 08-07-2012 (http://yvesh.e-monsite.com/blog/ovni-ufo/crop-circles-nombreux-debut-juillet-2012.html).  Jeudi à Sugnens (Montilliez), le cercle tracé la nuit précédente dans son champ de blé ne fera pas croire à Albert Dutoit qu’il existe une quelconque présence surnaturelle là derrière. « Je ne crois ni à ça ni à rien d’autre! assène l’agriculteur. En fait, je m’en fous complètement, je trouve ça cucul, et puis c’est tout », dit-il lorsqu’on lui apprend que son champ a été visé.

« Ce champ va disparaître d’ici deux heures de temps. Une fois qu’on aura fini de battre le champ de pois à côté », affirmait Albert Dutoit jeudi après-midi. Une décision en rien précipitée par la découverte. « C’était prévu comme ça. Ça leur coupe un peu leur effet! » Loin d’être désolé pour les auteurs de la sculpture sur blé, ou agroglyphe, il est étonné: « D’habitude, ils le font plus vite. » L’opération tardive pourrait même réduire en partie les dommages faits aux cultures. « Quand les épis sont mûrs, on arrive parfois à récupérer quelque chose. La batteuse relève une partie du blé couché. »

Albert Dutoit relativise: « J’ai 64 ans et je sais que l’agriculture, c’est comme ça. Vous êtes prêt à moissonner, et l’orage est là; une voiture quitte la route et écrase votre champ sans laisser d’adresse… et j’omets encore le pire. » Les extraterrestres n’entrent pas dans la liste des sinistres. Quoi qu’il en soit, les moissons allant bon train, les auteurs de crop circles, d’où qu’ils viennent, n’auront pas le temps d’en signer beaucoup d’autres cette année.(24 heures)

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Le 26-07-2012 à Hill Barn, près de East Kennett, Wiltshire, Royaume-Uni :

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Yves Herbo SFH 27-07-2012

lundi 30 juillet 2012

OVNIS à Paturages (Colfontaine), Hainaut, Belgique : appel à témoins

OVNIS à Paturages (Colfontaine), Hainaut, Belgique : appel à témoins - MAJ

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ODH TV et le Réseau d’Enquête Ufologique de Belgique nous informent que :

Nouvelle observation à Pâturages (Colfontaine) de 5 boules lumineuses rouge/orange.


1 témoin. Le 7 juillet 2012 vers 23h00.
Le témoin observa 5 boules lumineuses survolant à basse altitude sa rue.

L’observation dura environ 10 minutes. Le témoin a réalisé 3 vidéos et 1 photo en cours d’analyse.

3 boules lumineuses disposé en triangle et 2 autres à gauche disposé en oblique le tout à vitesse très lente, l’une des 3 boules (en triangle) s’est désintégré et une autre accélére soudainement vers le bas. Le témoin a perdu de vue le phénomène lorsqu’il se déplaca en direction de l’ouest, des maisons lui cachaient la vue. Le témoin a suivi le phénomène sur 200m.”

Enquête en cours du REUB et nous faisons appel à d’éventuel témoin.

Pour déposer votre témoignage ou toutes informations.
Contacter le REUB : Par courriel: reub.ufo@hotmail.com

Le 7 juillet étant un samedi, jour de mariages, des lanternes chinoises ne sont pas exclues... attendons les analyses.

MAJ : Voici une vidéo tournée à Wasmes (Colfontaine) en Belgique le même jour et à 23h30 selon les témoins. " bonjour le 07 juillet 2012 plusieurs boule de feu on traversé le ciel vers 23h30 en belgique à Wasmes exactement nous étions plusieurs témoins certaines boules n'avaient pas une trajectoire rectiligne,certaines d'entre elles se sont éclairées intensivement puis on chuté vers le sol rapidement une d'entre elles avait des clignotements sur les cotés malheureusement nous avions pas de camera mais appareil photo (?) on a su filmer une des dernières mais pas aussi concluant par rapport a ce qu'on a vu ". Bon, ça manque cruellement de ponctuation et je me suis permis de corriger quelques grosses fautes d'orthographe. Pas très clair en ce qui concerne l'appareil photo-caméra mais en tout cas il est certain que la surprise et le manque de préparation des témoins ne rend pas très exploitable ce film, que j'ajoute à l'affaire :





Je note également le commentaire de notre nouvel inscrit Mr Dossogne sur SFH qui pense avoir vu le même phénomène à Frameries, près de Mons en Belgique également. Peut-être pourriez- vous préciser les circonstances de votre observation à Frameries (en privé si vous préférez bien sûr, voir contact) ?


Le Réseau d'Enquête Ufologique Belge/France a enquêté sur l'affaire et reconstitué la trajectoire des lumières, vérifié la météo et vents et a conclu à la même probabilité que moi : des lanternes asiatiques : http://centraleufobelgique.e-monsite.com/pages/quelques-enquetes.html - voir la vidéo sur leur site (il y en a eu 3 en tout).
Je tiens à féliciter le REUB pour la qualité de son enquête bien documentée.
Relayé par SFH 07-2012

Climat : Réactions aux prévisions alarmistes pour 2100 - Groenland bientôt vert ?

Climat : Réactions aux prévisions alarmistes pour 2100 - Groenland bientôt vert ?

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Après l'incrédulité, la panique. Les prévisions alarmistes d'une équipe internationale de chercheurs publiées en juin dans la revue « Nature » commencent maintenant à enflammer la Toile : « La fin du monde est pour 2100 », relaient nombre de blogs, sites et forums. Sous l'intitulé « Approaching a state-shift in Earth's biosphere » (un état de décalage dans la biosphère terrestre), l'étude cosignée par une vingtaine de chercheurs appartenant à une quinzaine d'institutions scientifiques internationales n'est, il est vrai, pas optimiste. Elle pointe « l'imminence d'un effondrement irréversible des écosystèmes terrestres ».

Pour poser leur diagnostic, les auteurs ont analysé les travaux décrivant les bouleversements biologiques intervenus lors de sept grandes crises planétaires : l'explosion cambrienne, il y a 540 millions d'années, les cinq extinctions massives qui ont anéanti pour certaines jusqu'à 90 % de la vie sur terre et le passage de la dernière période glaciaire à notre époque, il y a 12.000 ans. « Toutes ces transitions ont coïncidé avec des contraintes qui ont modifié l'atmosphère, l'océan et le climat à l'échelle mondiale », résument les auteurs.

Le même phénomène se produit actuellement : selon les chercheurs, presque la moitié des climats rencontrés aujourd'hui sur la Terre pourraient avoir bientôt disparu, laissant place à des conditions qui n'ont jamais été rencontrées par les organismes vivants sur 12 % à 39 % de la surface du globe. Surtout, cette transition radicale pourrait se faire avec une brutalité jamais vue. « Le dernier bouleversement planétaire a fait apparaître des changements biologiques extrêmes en seulement mille ans, souligne un des coauteurs de l'étude, Arne Moers, professeur en biodiversité à la Simon Fraser University de Vancouver. A l'échelle géologique, c'est comme passer du stade de la tendre enfance à l'âge adulte en moins d'une année. Or ce qui se produit aujourd'hui va encore plus vite. »

Pis : l'inertie pourrait très rapidement emballer le système. « La planète n'a pas de mémoire de son état précédent, soulignent les auteurs. Nous prenons un énorme risque à modifier le bilan radiatif de la Terre : faire basculer brutalement le système climatique vers un nouvel état d'équilibre auquel les écosystèmes et nos sociétés seront incapables de s'adapter. »

Les émissions massives de gaz à effet de serre ne sont pas les seules responsables. Les pressions exercées par l'espèce humaine vont de la « fragmentation des habitats naturels » à « la croissance démographique » et « la consommation à outrance des ressources », listent les chercheurs. Déjà 43 % des écosystèmes terrestres sont utilisés pour subvenir aux besoins de 7 milliards d'habitants sur la Terre. Le seuil qui peut saturer les capacités d'endurance et d'adaptation de l'espèce humaine, voire la précipiter dans le vide est proche : « 7 % de plus et nous aurons atteint un point de non-retour », pensent les scientifiques.

Les travaux de la plate-forme intergouvernementale sur la biodiversité et les services éco-systémiques (Ipbes), le « GIEC de la biodiversité » qui devrait tenir sa première réunion en 2013, ne les contrediront pas. Ils constatent déjà qu'une espèce disparaît de la planète toutes les vingt minutes, et que le rythme s'accélère. Ces deux cents dernières années, depuis le début de l'ère industrielle, il a déjà été, selon les espèces, de 10 à 100 fois au rythme naturel d'extinction constaté par les scientifiques sur une période de 500 millions d'années (en gros, une espèce sur un million chaque année). Il pourrait être bientôt 10.000 fois supérieur. Considéré à l'échelle géologique, c'est une disparition quasi instantanée.

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Nos enfants pourront-ils échapper à cette « supernova écologique » ? Depuis l'appel poignant de la jeune Severn Cullis-Suzuki, qui enjoignait aux adultes de « cesser de casser ce qu'ils ne savent pas réparer » il y a vingt ans lors du premier sommet de la Terre à Rio, l'« écodiplomatie » marque certes quelques discrètes avancées. Mais le rythme lent de sa musique s'accommodera-t-il du tempo prestissimo de l'effondrement biologique ? Saura-t-elle aussi sortir de la zone d'influence gravitationnelle des lobbys qui dispersent son efficacité ?

Pas moins de 500 conventions internationales et multilatérales sur l'environnement sont nées des petites et grand-messes politiques de la biodiversité, du climat et des sciences de la vie : sur les zones humides (Ramsar, 1971), la conservation de la vie sauvage, le commerce des espèces de faune et de flore menacées d'extinction (Cites, 1973), la protection du patrimoine mondial (Unesco, 1972), la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel en Europe (Berne, 1979), les espèces migratrices, les cétacés, les couloirs écologiques, les zones d'exclusion de chasse, la diversité biologique, la lutte contre la désertification, les bois tropicaux... Mais faute d'une organisation mondiale pour les chapeauter, leur efficacité se dilue.

Alors que faire ? Les scientifiques, qui ne s'embarrassent généralement pas de politique, suggèrent des réponses tranchées pour sauver ce qui peut l'être, comme associer les paradoxes « décroissance » (aligner les niveaux de vie planétaires sur des modes de consommation plus raisonnés des ressources) et « innovation » (développer de nouvelles technologies permettant de produire et de distribuer de nouvelles richesses alimentaires et énergétiques sans consommer davantage de territoires).

Un courant plus radical suggère de forcer l'humilité de l'espèce humaine. Les signataires de l'article anxiogène de « Nature », qui se disent non pas inquiets mais « terrifiés à la vue de leurs propres résultats », estiment que l'homme n'a désormais plus d'autre choix que d'opérer une vraie révolution dans son style de vie : il doit réduire sa pression démographique, repenser ses structures sociales et concentrer ses populations dans les zones déjà denses pour donner à la Terre les moyens de retrouver ses équilibres naturels.

par Paul Molga, correspondant des « Echos » à Marseille.
http://www.lesechos.fr/opinions/analyses/0202171668454-la-fin-du-monde-en-2100-347602.php

La calotte glaciaire du Groenland montre une fonte record

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Selon la NASA, la surface gelée du Groenland a fondu comme jamais en juillet. C’est la première fois qu’une telle réduction de la calotte glaciaire est observée en plus de trente ans d'observations par satellite.

Selon les données collectées par trois satellites de la NASA et des scientifiques universitaires, environ 97% de la surface de la calotte glaciaire du Groenland avait dégelé à la mi-juillet, a indiqué l'Agence dans un communiqué. Un chiffre tellement préoccupant que les chercheurs ont eu du mal à y croire. " C'est tellement sans précédent que je me suis d'abord interrogé sur le résultat : était-ce bien réel ou était-ce dû à une erreur de données ? ", a ainsi indiqué Son Nghiem, de la NASA.

Cet expert précise avoir une première fois remarqué la disparition de la majorité de la glace de la surface du Groenland au 12 juillet en analysant les données d'un premier satellite. Ce sont ensuite les résultats des deux autres satellites qui ont confirmé la découverte. Plus exactement, les cartes satellitaires montrent que la surface de la calotte glaciaire avait fondu à 40% au 8 juillet et à 97% quatre jours plus tard. Plus inquiétant encore, ces résultats n’ont été connus que quelques jours après qu'un immense bloc de glace de deux fois la superficie de Paris s'est détaché d'un glacier du Groenland. " Cet événement, combiné à d'autres phénomènes naturels mais rares, comme le monumental décrochage la semaine dernière sur le Glacier Petermann, font partie d'un ensemble complexe", a ajouté Tom Wagner, responsable de la NASA.



Un gigantesque iceberg s'est détaché d’un glacier au Groenland par Maxisciences : Un iceberg faisant deux fois la taille de Manhattan s’est détaché du glacier Petermann, au Groenland le 17-7-2012. Selon les scientifiques, cela pourrait accélérer l’avancée de la glace dans les eaux de la région.


C’est en comparant avec le fonctionnement habituel de la fonte des glaces au Groenland qu’on prend conscience de l’ampleur du désastre. En principe, au cours de l'été, la moitié de la surface glaciaire fond naturellement. Généralement, la plupart de l'eau issue de cette fonte regèle rapidement en altitude ou alors est retenue par les glaces des régions côtières. Le reste s'écoule dans l'océan. "Mais cette année, l'ampleur de la fonte à la surface ou près de la surface a connu une hausse brutale", indique la NASA. Or, selon l’Agence, même le point le plus haut de la calotte glaciaire, situé à plus de trois kilomètres au-dessus du niveau de la mer, montrait des signes de dégel.

Les chercheurs doivent maintenant déterminer si cet événement, qui coïncide avec une forte pression inhabituelle d'air chaud au dessus du Groenland, va contribuer à une hausse du niveau des océans. Toutefois, la glaciologue Lora Koenig a expliqué que ce type de fonte intervient tous les 150 ans en moyenne. " La dernière ayant eu lieu en 1889, cet événement est bien au rendez-vous ", a-t-elle confirmé avant d'ajouter : "mais si nous continuons à observer ce type de fonte au cours des prochaines années, ce sera angoissant ".





Rappel 2009 : " La calotte glaciaire du Groenland a réagi plus rapidement au réchauffement climatique au cours des 10.000 dernières années qu'on ne le pensait jusque là, selon une étude publiée mercredi dans la revue scientifique britannique Nature. Les résultats suggèrent que des hausses de températures correspondant à un scénario moyen de réchauffement au cours de ce siècle pourraient entraîner une fonte des glaces du Groenland à un rythme alarmant.

" Il est tout à fait possible qu'une future hausse de température de quelques degrés Celsius au Groenland entraîne une perte de la masse de la calotte glaciaire et une contribution plus importante que prévu à l'élévation du niveau de la mer ", conclut l'étude. Il est important de se préoccuper du destin des blocs de glace du Groenland, préviennent les scientifiques, parce qu'il contient assez d'eau pour faire grimper d'environ sept mètres le niveau de la mer. Même une augmentation plus modeste mettrait sous les eaux d'importantes villes côtières et obligerait des centaines de millions de personnes à migrer. Jusqu'à récemment, les experts estimaient que les deux calottes glaciaires de la planète - au Groënland et en Antarctique - resteraient globalement stables au cours des siècles à venir malgré le changement climatique. Mais des études plus récentes ont montré que le rythme auquel les blocs de glace se détachent s'est accru rapidement au cours des dernières décennies. La nouvelle étude utilise une technique de mesures des changements de la calotte glaciaire au cours des derniers 10.000 ans qui permet de résoudre un paradoxe. Pour des raisons restées inexpliquées, les mesures antérieures laissaient entendre que le Groenland avait défié pendant trois millénaires ayant débuté voici 9.000 ans la tendance générale au réchauffement dans l'hémisphère nord

Le réchauffement du Groënland durant cette période semblait varier d'un endroit à l'autre, sans tendance claire, selon ces études. Les nouvelles recherches, conduites par Bo Vinther, de l'université de Copenhague, expliquent qu'il s'agissait d'un problème de mesures, et que la calotte glaciaire a répondu plus uniformément - et plus vigoureusement- à l'élévation des températures.

Vinther et ses collègues ont examiné des carottes de glace prélevées à quatre endroits différents de la calotte glaciaire, qui atteint des profondeurs allant jusqu'à plus de trois kilomètres. Les résultats se sont avérés hétérogènes comme dans les précédentes études.

Mais deux nouvelles carottes prélevées juste à côté de la calotte glaciaire ont permis de comprendre que les variations inégales, qui semblaient ne donner aucune tendance précise, étaient en fait dues à des changements de l'altitude à laquelle la glace s'est formée. "


SFH 07-2012

dimanche 29 juillet 2012

Pour quand le casque télépathique de l'armée américaine ?

Pour quand le casque télépathique de l'armée américaine ?

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Après l’invisibilité et les armures liquides, les militaires s’intéressent à la télépathie. Il y a quatre ans, l’armée américaine lançait un premier projet pour développer un casque permettant de communiquer par la pensée. Un moyen de donner des ordres aux hommes et aux machines, sans émettre le moindre bruit.

En 2008, l’armée américaine décidait d’investir dans un projet futuriste. Un contrat de 4 millions de dollars, signé pour cinq ans, pour développer des « casques de pensée ». Étendu depuis à 6,3 millions, ce dossier vise à mettre en place une forme de télépathie : les hommes devraient, à terme, pouvoir communiquer par simple pensée. Sans bouger la bouche et en se concentrant, un chef de groupe pourrait ainsi transmettre sans le moindre bruit un ordre ou une information à son groupe de combat.

L’année dernière, de premiers résultats étaient obtenus. Les professeurs Gerwin Schalk et Eric Leuthardt ont pu obtenir la transmission de mots simples. Les cobayes, volontaires, ont pu se concentrer mentalement sur des termes simples comme « botte » ou « chauve-souris » (« boot » et « bat » en anglais). Des ordinateurs, connectés à des diodes posées sur leurs cranes, ont pu identifier les marques neuronales laissées par ces mots dans leurs cerveaux. Les terminaux ont dès lors pu les retranscrire par écrit et par oral. Sur des syllabes simples comme « aah » ou « ooh », la machine reconnaît les sons dans 100% des cas.
Cette technique, baptisée « électroencéphalographie », continue pour l’instant de séduire les militaires qui ont consenti à quelques petites rallonges budgétaires. Avec un objectif de 10 à 20 ans, ils espèrent que des casques puissent identifier ces empreintes neuronales et les transmettre à d’autres personnels. L’émetteur, en se concentrant sur une phrase simple, pourrait ainsi la communiquer sans un bruit. Ce qui tombe plutôt bien car il s’agirait là de faire circuler des ordres brefs et simples : « go », « stop », « roger » (« reçu ») ou encore « TIC » (« troop in contact » – « troupes engagées »).

Ce projet pourrait aussi concerner des applications matérielles. Les personnels pourraient donner des consignes à des équipements, des véhicules ou des drones. Des technologies déjà évoquées par des oeuvres de science-fiction pourrait dès lors voir le jour : activation individuelle d’une arme, communication mentale homme-machine ou encore renseignement humain en toute discrétion grâce à l’envoi d’informations par la pensée.

Photo : DR
PAR ROMAIN MIELCAREK

http://www.actudefense.com/communications-ou-en-est-le-projet-de-casque-telepathique-de-larmee-americaine/

Via http://area51blog.wordpress.com/2012/07/25/communications-ou-en-est-le-projet-de-casque-telepathique-de-larmee-americaine/

SFH 07-2012