Blog de l'auteur-écrivain d'anticipation Yves Herbo.
Publication d'articles scientifiques, archéologiques, ufologiques, de nouvelles et essais, d'extraits de romans de l'auteur.
Ses avis, commentaires et philosophies sur la société humaine et les événements internes et externes concernant la civilisation humaine et son évolution. Compilations de données pour éducation et recherches scientifiques ou littéraires. Sauvegarde actuelle de son site https://www.sciences-faits-histoires.com/
illogismes scientifiques : bêtise humaine ou complot ? - 2012 - MAJ 05-2015
Fresque pré-colombienne, Quito
Cette question est revenue à l'esprit de nombreux chercheurs indépendants ou non tant les quelques découvertes révélées (parmi tant d'autres encore cachées ou à l'étude avant "révélation" ou non) ces dernières années malmènent et contredisent même les déclarations assurées (ou moins) de certaines sommités scientifiques. Ces dernières années ont été particulièrement riches dans ce sens, il suffit "d'entendre" le silence officiel sur le nombre incroyable (et c'est déjà en soit une preuve que la science officielle "ne colle pas" à la réalité : les statisticiens sont formels) de données et preuves physiques concernant notamment l'utilisation de la roue (ou non utilisation volontaire), de l'électricité, de techniques de constructions et d'extractions, beaucoup plus tôt qu'admis officiellement.
Cro-Magnon reconstitution
Et que tout semble affirmer également que la raceCro-Magnon, apparue subitement on ne sait trop d'où (des découvertes artistiques identiques mais plus anciennes en 2014 indiqueraient une origine indonésienne !), armée déjà de bonnes techniques d'extractions de pierres, de connaissances en navigation et construction élevées, douée d'une sensibilité artistique jusque là inégalée,aussi bien du côté de l'Europe de l'Ouest (Açores, Espagne, Portugal, Pyrénées Basques), Afrique du Nord (Maroc, Atlas, Mauritanie, Canaries) que dans toute la méditerranée et Moyen-Orient, mais également du côté des Amériques (Terre Neuve). Officiellement, les scientifiques reconnaissent que les Cro-Magnons possédaient absolumenttoutes les capacités humaines actuelles : cerveau plus développé que chez les Néandertaliens (mais les scientifiques commencent aussi à admettre que ces derniers étaient très proches des Cro-Magnons et que, contrairement aux images, figurines et autres visibles dans tous les manuels et musées, où ces derniers Néandertaliens avaient un faciès de singe, maisétaient en réalité de race blanche aux yeux bleus et probablement entièrement dépourvus de poils (mauvais pour eux à cause du soleil d'ailleurs).
Néandertalien, reconstitution 2004 : roux ou blond, yeux bleus ou verts, peu de poils
Maintenant, la question est : les Cro-Magnons sont-ils le produit de l'évolution telle que décrite par Darwin (dont les limites et contradictions ont d'ailleurs été démontrées (voir l'évolution des insectes volants par exemple), prouvant notamment que cette théorie n'est valable que pour une partie de l'Histoire Naturelle, donc incomplète au minimum), ou bien sont-ils les survivants d'une évolution précédente, obligés subitement à utiliser seulement la nature, ayant perdu toute leur précédente technologie (technologie d'ailleurs peut-être aussi réservée déjà aux seuls rois) ?
Les preuves ne manquent pas concernant les distinctions ADN entre en particulier les Basques (descendants des Cro-Magnons) et le reste de la population française(hormis le sud français où Cro-Magnon s'est répandu), mais aussi du point de vuelinguistique(l'ancienne langue basqueressembleauxdialectes anciens d'Amérique du Sud !), ainsi que leur ancienne façon de cultiver la terre.Même la célèbre pelote basque est en fait le pendant d'un jeu antique réservé aux rois Aztèques ou Mayas !Le parcheesi était joué dans l'ancien Mexique sous le nom de patolli.Les Basques,considérés par certains comme des descendants des Atlantes, partageaient avec les Aztèques et les Mayasle goût des jeux de balle- à cette différence près que,selon le roi, le perdant en Amérique risquait de perdre la vie en même temps que la partie.Les Basques, les Mayas et les Ossètes du Caucase présentent une caractéristique commune : la rareté du facteur sanguin Rh négatif. Autre peuple étrange, malheureusementtotalement décimé par les européens "modernes" : les Guanches des Canaries. Grands, blonds aux yeux bleus, ils avaient développé leur propre culture dans leur archipel :ils pensaient être les seuls survivants au monde d'une antique catastrophe ayant noyé le reste de la Terre... Les français, espagnols et portugais ont complètement dispersé et pillé ce qu'ils ont pu trouver, après avoir assassiné la moitié de la population, le restant étant anéanti par des maladies continentales inexistantes aux Canaries à l'époque... Peu de chose reste de la culture mystérieuse des Guanches (qui n'est pas formellement datée) et de leurs constructions dans l'archipel de l'atlantique, au large de l'Afrique, une écriture mystérieuse, entre autres... :
Le pire en ce qui concerne les affirmations de la science officielle est probablement l'affirmation, encore entendue récemment : " l’Amérique pré-colombienne, les Mayas, Aztèques et autres Incas ne connaissaient pas la roue avant l'arrivée des conquistadors espagnols, idem en Océanie. Etpour l'Egypte par exemple, des scientifiques très sérieux font encore appel à des milliers d'esclaves " (alors qu'on a trouvé les preuves de livres comptables antiques mentionnant les salaires, nourriture et logement pour des ouvriers, pas des esclaves !) pour la construction des premières pyramides. Officiellement, la roue a été inventée par les Sumériens (toujours eux) vers 3 500 ans avant JC...
Mais nous avons aussi des preuves formelles que la roue était bien connue en Amérique précolombienne... alors ? Des théories officielles fumeuses pour justifier la non-découverte de chars ou véhicules à roues ? L'une de ces théories fait appel au refus volontaire de la technique : les Mayas connaissaient parfaitement la roue (qui est tout de même un symbole gravé dans la pierre depuis environ 15 000 ans, avec la spirale !) et peut-être même d'autres techniques avancées, mais ont refusé son utilisation : la voie à l'époque était du côté du spiritualisme, pas du matérialisme... ou peut-être plus simplement, les techniques avancées n'étaient réservées qu'aux rois et éventuellement aux prêtres (c'est plus dans "l'ordre" des choses à mon avis).
Personnellement, je pense aussi que toutes les traces de ces technologies avancées ont été volontairement effacées et détruites au fil du temps, et principalement par la religion chrétienne d'un côté, puis par des Etats soucieux de préserver la "vérité" historique créée par la religion dominante. Par la suite, il a été jugé que revenir en arrière sur l'histoire complète de l'humanité serait trop perturbant et déstabilisateur, principalement pour le monde occidental, mais aussi pour le monde entier. Il est évident que trop de pièces connues et non inexpliquées logiquement par la science aient disparu sans laisser de traces, que de nombreuses découvertes sont cachées sans être étudiées. Il y a même des témoignages de destructions volontaires d’artefacts... Cette partie secrète de la chasse aux artéfacts fera l'objet d'un dossier particulier.
Alors, ils ne connaissaient pas la roue en Amérique Centrale et Latine ? C'est quoi ça ?...
Ci-dessus, vous voyez en premier un artefact caché dans le grand Musée National d’Anthropologie de Mexico, en second un autre trouvé à Veracruz au Mexique également, daté du 1er siècle Avant J.C. minimum et en troisième, c'est un artefact encore plus vieux et d'origine Olmèque, et qui produit également du son, comme un sifflet. Ces "jouets" ou "figurines" comme les ont dénommé les archéologues, ont tous été trouvés dans des tombes d'adultes, comme objets très importants pour le défunt...
Les anciens pré-colombiens connaissaient donc parfaitement la roue... d'ailleurs ils ont aussi construit énormément de routes, comme l'ont filmé de nombreux documentaires... :
Et rien de trouvé après le passage des conquistadors et religieux, est-ce si étonnant et est-ce une preuve absolue d’inexistence ou d'impossibilité ?
Quant à l'Egypte ancienne, elle n'est pas en reste non plus si vous regardez ces images d'objets également trouvés dans des tombes... (coïncidences toujours ?) :
(Egypte, vers 3150 avant J.C. - estimations - après les sumériens donc et très logiquement, mais des chars égyptiens ont été dessinés et gravés, on en a retrouvé, contrairement à l’Amérique latine) Musée du Louvre et Musée de la Bibliotheca Alexandrina. Mais ce n'est pas trop l'existence des roues qui est contestée en Egypte ancienne, c'est surtout la notion des esclaves nombreux nécessaires à la construction des pyramides...des esclaves qui n'ont en fait jamais existéréellement en Egypte ancienne, comme le démontrent de plus en plus les découvertes archéologiques de textes anciens (car en contradiction avec les croyances religieuses des anciens égyptiens ! - l'esclavagisme a été introduit par les perses et babylonniens, romains, bien après) :
Une théorie intéressante sur le refus de la technique par les anciennes civilisations ci-dessous. D'autres sources vont plus loin et affirment, avec textes et déductions à l'appui, queles anciens avaient refusé la technique pour continuer à se consacrer à l'étude de la spiritualité et des secrets de la nature: cette approche leur aurait permis d'utiliser parfaitement le magnétisme naturel et de l'amplifier à leur convenance, ils pouvaient aussi léviter, communiquer par la pensée, voir des événements passés et futurs dans le Temps... donc pas besoin de roues, ou juste à des fins spéciales et rares...
Homme de Spy, Belgique, reconstitution Néandertalien
Les Néandertaliens utilisaient de la 'peinture' rouge dès -250.000 ans
Publiant leurs travaux dans PNAS, des chercheurs hollandais ont découvert, sur des os et des silex d’un site préhistorique de leur pays, des traces d’un pigment rouge vieux de 200 à 250.000 ans, probablement utilisé par les Néandertaliens anciens.
Le Dr Wil Roebroeks, de l'Université de Leiden (Pays-Bas) et ses collègues ont décelé, sur des fragments de silex et d’os bien préservés, trouvés sur un site néandertalien situé près de Maastricht, de petites quantités de matériau rouge.
Les analyses, faites grâce à des techniques utilisant les rayons X, ont révélé la présence d'un oxyde de fer appelé hématite. Absent de l'environnement géologique du site, ce matériau n’a pu qu’être apporté sur place. Selon les chercheurs, il est probablement issu des gouttes d'un liquide riche en ocre, utilisé comme pigment. Son âge : un quart de million d’années !
Souvent considérée comme un signe de comportement symbolique, l’utilisation d'oxydes de fer par les Néandertaliens plus récents est bien documentée en Europe. "Ces découvertes ont souvent été interprétées comme des pigments, même si leur fonction exacte est largement inconnue. Ici, nous constatons une présence d'oxyde de fer significativement plus ancienne, qui caractérise la première utilisation documentée d'ocre rouge par les Néandertaliens", expliquent les auteurs cités par le Daily Mail. L’utilisation d’ocre à cette époque n’était attestée, jusqu’à présent, qu’en Afrique.
Des engins de pêche perfectionnés il y a 7.500 ans
Le Conseil national de recherches espagnol (CSIC) vient de publier le compte rendu de plusieurs années de recherches archéologiques menées dans la région de Moscou. Situé près d’une rivière, le site préhistorique a livré notamment des instruments de pêche remontant jusqu’à -7.500 ans.
Avec la collaboration de chercheurs russes et français, Ignacio Clemente, archéologue du CSIC (l’équivalent espagnol du CNRS), a fouillé durant trois ans un site de la fin de la Préhistoire situé dans le bassin de la rivière Doubna, près de Moscou. Outre des ustensiles de cuisine, des outils, des armes de chasse en silex, os et bois, les scientifiques y ont trouvé les traces de complexes activités de pêche, telles que harpons, crochets, nasses ou couteaux à écailler en os d’élan.
"Le matériel de pêche documenté montre une technologie hautement développée, faite pour pratiquer plusieurs techniques de pêche, [avec notamment] (…) de grandes nasses en bois (sortes de paniers en tiges entrelacés), très bien conservées, datant de 7.500 ans. Cela représente une des plus anciennes dates dans ce domaine et, sans doute, parmi les mieux conservées car elles possèdent toujours les cordes d’assemblage, fabriquées avec des fibres végétales", explique Ignacio Clemente cité par Science Daily.
La nature du terrain – des tourbières – a permis cette conservation des éléments végétaux et des restes de poissons. "Nous pensons que la pêche a joué un rôle vital dans l'économie de ces sociétés, car [le poisson] était un produit polyvalent, facile à conserver, à sécher, à fumer, et à stocker pour une consommation ultérieure", conclut l'archéologue.
Campagne de restauration de peintures rupestres au Chihuahua
Alors que l'état de Chihuahua connaît une sécheresse inconnue depuis plus de 70 ans et voit ses populations amérindiennes durement frappées par la famine, l'INAH nous annonce une importante campagne de restauration de peintures, oeuvres des différentes populations qui se sont succédé dans la Cueva de las Monas, au nord de la ville de Chihuahua.
Les restaurateurs traiteront douze ensembles de peintures tarahumaras et apaches élaborées sur les parois de cette caverne entre 500 de notre ère et l'histoire moderne. Ils tâcheront de nettoyer les champignons et les excréments d'hirondelles qui se sont accumulés et ont endommagé les pigments des peintures.
Certaines images ont des éléments iconographiques qui renvoient directement à l'usage rituel du peyote, ce cactacée aux propriétés hallucinogènes.
Les peintures rupestres de la Sierra de San Francisco, en Basse-Californie
Les peintures rupestres de la Sierra de San Francisco est le nom des pictogrammes préhistoriques d’art rupestre dans la région de la Sierra de San Francisco en Basse-Californie, au Mexique.
Elles sont des représentations de ce qui était autrefois la vie des Cochimi ou Guachimis dans la péninsule de Basse-Californie. On sait peu sur ce groupe, outre le fait qu’ils sont venus de plus au nord. Ces peintures sur les toits des abris et sur les murs de la Sierra de San Francisco ont été découvertes par le jésuite Francisco Javier au dix-huitième siècle.
Selon les anciennes croyances, les peintures ont été dessinées par une race de géants, ceci est soutenu par la taille de certains personnages qui sont de deux mètres de haut. Ils sont pleins d’un contenu magico-religieux. D’autres motifs sont des armes et des espèces animales comme le lapin, le puma, le lynx, le cerf, la chèvre sauvage, le mouton, la baleine, les tortues, les thons, les sardines, la pieuvre, l’aigle et le pélican, il y a aussi des éléments abstraits de formes diverses. Peut-être qu’ils sont liés à des groupes culturels de chasseurs nomades du nord du Mexique et du sud des États-Unis avant la conquête de l’Amérique, bien qu’ils ne montrent pas de relation significative à l’art de ces groupes. L’âge des peintures varie entre 1100 av JC à 1300 ap JC.
L’ensemble est composé d’environ 250 sites qui sont situés dans la municipalité de Mulege dans la Réserve naturelle d’El Vizcaino dans l’État de Basse-Californie du Sud, au nord du Mexique. L’accès aux peintures est difficile en raison de l’isolement du lieu, ce qui les a empêchés néanmoins d’être victimes de vandalisme.
La région a la concentration la plus importante de l’art pré-colombien dans la péninsule de Baja California. Il est d’une qualité exceptionnelle tant au niveau national et international, pour sa qualité, son étendue, la variété et l’originalité des représentations humaines et animales, ses couleurs remarquables, et son excellent état de conservation. Les peintures rupestres de la Sierra de San Francisco ont été nommées en 1989 et sont devenues un site du patrimoine mondial en 1993.
Yves Herbo-suivi archéologique S,F,H, 2012-1, 05-2015 - Données importantes remontées pour mémoire.
Civilisations anciennes de l'âge glaciaire dans la Baltique - Hyperborée ?
Lac Seydozero
« Le lieu d'origine des peuples finno-ougriens est généralement déduit comme étant à l'ouest de l'Oural, dans la région d'Oudmourtie, Perm, Mordva et Mari-El. Vers 3000 Avant j.-c., les groupes de Balto-Finnois avaient migré vers l'ouest jusqu'aux rives de la mer Baltique. Et vers la même époque, les Saami ont migré plus au nord et plus à l'Ouest, atteignant les côtes de l'océan Atlantique. Les Magyars (appelés hongrois en anglais) ont fait le trajet le plus long et le plus récent de la région de l'Oural vers leur site actuel en Europe centrale uniquement vers 896 après j.-c.. » http://www.elupuu.org/index.php?id=52
« Certains chercheurs croient que l'Hyperborée était probablement le berceau des civilisations humaines et que la colonisation de la terre a commencé à partir de là. En 1922, l'expédition de Barchenko et Kondiain a cherché les ancêtres des Indo-Aryens, qui ont migré de cette région vers le cinquième millénaire avant notre ère, près de l'un des endroits les plus mystérieux sur la péninsule de Kola - Seidozero, ou le « lac des montagnes fantômes ». De nos jours plusieurs légendes et effets anormaux sont rattachés à Seidozero (Seydozero), soutenues par les dessins cyclopéens mystiques sur le fond du lac et sur les falaises, et des pierres sacrées runiques (seids), par les vestiges d'un observatoire préhistorique et par la perte de plusieurs expéditions dans cette région."
The submitted radar image was acquired from the RADARSAT off-nadir SAR imaging instrument with nominal spatial resolution of 25 meters and horizontal polarization of signal. Imagery was performed in “Standard1” mode with side scanning at angles from 19.4 to 26.8 degrees, which brings to serious image geometric distortions across the satellite track and to stretching of scanned objects. Besides, brightness interpretation of the image will be difficult, as backscatter prevails in the return signal and its strength does not differ much for coarse or flat surface.
This radar image shows two U-shape main mountain ranges: the Khibiny and Lovozero Tundras with the deepest Kola Peninsula Umbozero lake located in between. The famous town of the miners, Kirovsk, is situated to the south of the Khibiny Mountains on the bank of the Lake Bolshoy Vudyavr. Most inhabitants of this town are working in mining industry. These mountains are part of the most ancient Earth’s rock structures – the Baltic fundamental crystalline formations, which have lived through several glaciations
" Récemment, les archéologues ont fait plusieurs découvertes qui semblent prouver l'exactitude des documents anciens. Y compris en ce qui concerne l'une des plus énigmatiques grandes civilisations anciennes, celle de l'Hyperborée ("hiperboreytsite"). Le mot signifie littéralement « ceux qui vivent au-delà des Borées (Vents du Nord) » ou simplement « les gens du Nord ». De nombreux auteurs antiques, avec persistance, donnent à penser que les habitants de ce légendaire pays, entre autres choses, pouvaient peut-être... voler. Est-il possible que d'anciens habitants de l'Arctique aient maîtrisé les secrets de l'aviation ?
Http://nlo.free.bg/4ove4estvoto%20en.html (site considéré comme malveillant et censuré... peut-être pas pour rien...) Expéditions sur la Péninsule Kolskiya
" Dirigé par le Dr Valery Mikhail Dyomin, un groupe de scientifiques russes a découvert les restes d'une ancienne route, recouverte de pierres érodées, qui mène dans la toundra impraticable de Carélie à des centaines de lacs de la région qui racontent aujourd'hui des histoires étranges. Sur sa rive, sur une immense falaise, le groupe de chercheurs étonnés a découvert l'image de 70 mètres d'une étrange créature humanoïde avec les bras tendus. Son accès n'est possible qu'avec un équipement d'escalade moderne. Selon une antique légende Saami, est dépeinte la période Kuyva - le chef des étrangers perfides qui sont venus à travers Polyarniy, ont tourné autour brièvement avant de détruire complètement les tribus locales de Laponie. Seule l'intervention des esprits convoqués par les chamans lapons a sauvé ces derniers, transformant Kuyva en ombre sur le cadran...
Un peu plus tard, l'expédition va sur la montagne Ninchurt et tombe sur des ruines de l'État Kuyva - la mystérieuse Hiperboreya des légendes européennes. Les scientifiques découvrent un centre culturel majeur, bien que pulvérisé de fragments de roches et érodé par les nombreux glaciers et avalanches. Voir les Pierres Géantes bien travaillées avec des formes géométriques régulières, les escaliers qui ne mènent nulle part maintenant. En vérité nous ne pouvons même pas juste dire où ils sont partis il y a 20.000 ans. Des murs construits avec compétence dans ces lointains temps et des écritures mystérieuses demeurent...
Enfin, la plus frappante des découvertes
- Les restes d'un très ancien Observatoire astronomique (dans cet endroit situé dans les montagnes désolées au-delà du cercle polaire Arctique !) Avec une goulotte de 15 pieds, s'élevant en haut vers les étoiles et la roche recouvre les deux extrémités.
Dans son apparence et sa finalité fonctionnelle, il rappelle le grand observatoire, ou le sextant enfoui de l'Observatoire médiéval célèbre près de Samarkand Ulugbek. Dans l'ensemble, ressemble à des ruines abandonnées élevées dans les villes en pierres des Andes construites par les civilisations pré-colombiennes. Malgré tout, la comparaison est peu appropriée, parce que les monuments de l'ère précolombienne du nouveau monde sont non seulement connus mais aussi suffisamment bien étudiés, alors que Nasko s'ouvre au-delà du cercle polaire Arctique, les ruines de Aryan Hiperboreya appartiennent à une culture beaucoup plus ancienne et dont les pratiques restent encore inconnues pour la majorité des scientifiques européens.
Une autre expédition en 2001 découvre une énorme grotte cachée au bord du lac et en 2004, il y a eu plus de surprises avec la découverte de panneaux en pierres fabriqués avec des outils métalliques datés de plus de 8000 ans avant j.-c..
Peu surprenant, un article de Igor Gusev dans la revue Anomaliya (Issue 1, 2005) révèle que des agents secrets Nazis ont aussi largement visités Seidozero, et que des vêtements portants des insignes SS avaient été découverts dans la grotte près du lac par des touristes.
Nous ne devons pas rejeter à la légère une telle hypothèse, étant donné que ces dernières années, sur les rochers de centaines de lacs en Carélie (région au nord de la Russie et de la Finlande), les scientifiques ont découvert de nombreuses gravures d'avions, ainsi que de ballons... »
On peut aussi noter les labyrinthes découverts dans la région :
MAJ 05/2015 : " Les Tundras de Khibiny et Lovozero ont de riches gisements de minéraux rares mentionnés essentiellement dans l'ensemble du tableau de Mendeleïev. Par exemple, dans les formations postmagmatiques de Eveslogchorrsky, la zone tectonique du massif de Khibiny, 27 minéraux rares ont été trouvés, deux d'entre eux - la perlialite et la denisovite - y ont été détectés dans la roche pour la première fois. L'Eudialite, ou "sang du lapon", peut être appelé comme une «carte de visite» des Montagnes Khibiny et de la Lovozero Tundra. Il y a une vieille légende disant que, lors d'une bataille cruelle entre les Lapons et les Chuds, la chute du sang lapon sur le terrain l'a transformé en pierres (rouges). Actuellement, la roche d'apatite-néphéline, découverte tôt dans les années 1920 par l'académicien A. Fersman, est devenue très célèbre dans le monde entier. Les Syénites Nepheliniques sont des matières premières et des sodium alumineux précieux, tandis que l'apatite est la source pour les engrais chimiques phosphatés. En raison des riches ressources minérales, les massifs montagneux sont devenus l'arène des activités économiques dans la région de Mourmansk, causant ainsi des dommages irréparables à la nature. Par exemple les développements de champs de production dans Oleny Creek et Partomchorr sont préjudiciables pour le parc national de Khibiny. - http://www.mindat.org/photo-203065.html
Le massif de Khibiny, qui est âgé de 250.000.000 d'années, est référencé comme le système unique des "Montagnes de Fennoskandia" et est un intérêt pour des voyageurs provenant de partout dans le monde pour des raisons différentes. L'une de ces raisons est bien sûr la recherche de l'antique civilisation de l'Hyperborée...
Légendes Saami
Le mystérieux lac sacré Seidozero est situé dans le centre de la toundra Lovozero, dans la péninsule de Kola, en Russie. Il est relié au lac Lovozero par une courte mais féroce rivière, la Seidyavryoka, et est entouré par des montagnes basses, au sommet plat. La beauté du lac est à couper le souffle, et la région environnante est le centre de beaucoup d'anomalies. La péninsule de Kola est située sur la bordure nord-ouest de la Russie, la plupart du temps au-dessus du cercle polaire arctique. Elle se situe entre la mer Blanche au sud et la mer de Barents au nord. Ici, un certain nombre d'énigmes anthropologiques, naturelles et mystiques coexistent côte à côte. Les tribus natives Saamis ont vécu dans cette région pendant des milliers d'années. Selon leurs légendes, un grand choom (une tente faite de peaux ou d'écorce) a été placé près du Seidozero Lake, et des présents de tous les camps des nomades saamis ont été apportés là pendant des générations.
L'hommage était très précieux, et comprenait des pépites d'or. Lors de l'invasion du roi norvégien Hakon, l'ancien choom a été détruit et brûlé. Les chamansont été en mesure de cacher les trésors collectés à travers les âges dans les eaux profondes du lac sacré. Il y a des rumeurs, même de nos jours, sur des rituels étranges réalisés par les chamans dans les environs du lac...
Spirit Stones Seid, la pierre sacrée des Saami, est dit contenir les esprits et les âmes des défunts noaidi (chamans). Les Seids sont censées posséder des pouvoirs magiques, ont été adorées et des sacrifices ont été réalisés en face d'elles. Elles ont également été utilisées pour la divination. Si une seid n'a pas été suffisamment adorée, l'esprit à l'intérieur la quitte, et la roche devient une coquille vide. Certains chercheurs russes estiment qu'il y a 30 seids dans la région. Quand les marins Saami ont passé la Kuiva seid sur la rive du Seidozero, ils ont eut peur de faire des bruits forts, parce que le vieil homme, comme ils appellent Kuiva, pourrait les entendre... Ils font attention à ne pas salir les eaux du lac sacré, de peur que le vieil homme mène le poisson ailleurs. Sur la plaine Nepeslogchorr, près du lac Seidozero, selon la mythologie Saami, il se dressait autrefois trois sorcières, une mère et ses filles, qui ont été transformées en pierres. L'isthme entre les deux lacs est appelé Motka. Après il y a une clareté constante de ciel bleu. Les vents soufflent comme des ouragans du creux de Seidozero. Les montagnes environnantes ne protègent pas des vents du lac. La pluie et les nuages sont fréquents, et d'énormes vagues font que parfois la voile est pratiquement impossible. C'est une tâche très difficile de venir à Seidozero, soit par l'eau ou par terre...
Le lac est entouré par une épaisse forêt à feuilles persistantes, presque impénétrable, qui le sépare de la montagne. Les arbres sont ici les plus hauts de la péninsule de Kola, et on peut trouver du cassis dans la forêt et des raisins sauvages dans la montée au pied des collines. Grimper au sommet de la montagne à proximité de la Montagne Ninchurg est à la fois difficile et passionnant. Plus on monte, plus belle devient la vue du mystérieux lac en-dessous. Des signes étranges se trouvent sculptés dans les côtés verticaux des étapes. Les inscriptions sont complexes, incompréhensibles, et inquiétantes, comme le sont les monuments de pierres empilées trouvés à intervalles réguliers sur le chemin vers les sommets. C'est un lieu de nombreuses énigmes, y compris des plaques gigantesques, géométriquement correctes, d'énormes rochers percés en travers par certains forages de tunnels inconnus et de considérables souterrains, des puits étranges et sept piliers mystérieusement debouts se soutiennent mutuellement comme un mur. Ou des tunnels construits par des esclaves staliniens recherchant de l'uranium ? Ce serait une explication offerte par des scientifiques soviétiques qui sont arrivés dans la zone pour élucider ses nombreuses énigmes, y compris les disparitions inexpliquées de touristes. Mais ils ne pouvaient pas expliquer pleinement les nombreux mystères de la région. Selon la légende, le lac Seidozero a un faux fond. Les expéditions soviétiques sponsorisées par la police secrète dans les années 1920, ont apparemment visité une grotte sous le lac. Celle de 1998 dirigée par Mikhail Dyomin a découvert un puits rituel, des signes et écritures mystérieuses, et les ruines d'un ancien observatoire, une longue tranchée de 15 mètres pointant vers le ciel. En 2001, une nouvelle expédition dirigée par Dyomin a découvert une immense grotte sur le bord du lac. Là, ils ont trouvé plus de surprises, y compris des panneaux de pierre faits avec des outils métalliques qui remontaient à 8000 ans avant JC. Un récent article, par Igor Gusev dans le journal Russe Anomaliya (Numéro 1, 2005) a révélé que des agents du renseignement nazis ont également visité Seidozero. Gusev affirme que certains touristes ont trouvé des vêtements avec des insignes nazis dans une grotte au bord du lac. La Ahnenerbe Forschungs Lehrgemeinschaft (La Société d'Enseignement et de Recherche sur le patrimoine ancestral), l'université nazie, fondée en 1935 avec la bénédiction de Hitler et qui a fusionné avec la SS deux ans plus tard, a peut-être joué un rôle actif dans la région. La mission de l'Ahnenerbe était de fournir la preuve anthropologique et archéologique pouvant déterminer les origines de la «race aryenne». Certains idéologues nazis croyaient que la réponse à ce mystère résidait dans la cité perdue de l'Atlantide. Leur Atlantide était la terre mythique de Thulé, située entre le Groenland et l'Islande ou, selon certains, à la Kola Peninsula. De 1940 à 1944, les nazis ont occupé le nord de la Russie, à l'exception de la péninsule de Kola. Les Allemands connaissaient l'importance stratégique du port libre de glace de Mourmansk et la grande richesse naturelle de la région. Peut-être qu'ils savaient aussi au sujet de ses phénomènes paranormaux. Mais les Soviétiques connaissaient également l'importance de leur péninsule du nord et l'ont défendu à tout prix. Le lac des esprits de la montagne est mystérieux, vierge, et à distance. Souhaitons qu'il le reste jusqu'à ce que le temps de déverrouiller ses secrets vienne. Jusque-là, Seidozero doit reposer, non perturbé par les touristes bruyants et indiscrets. "
Traduit de Paul Stonehill, qui est l'auteur de Soviet UFO Files (1998) et co-auteur de UFO-URSS (2005), par Yves Herbo (extraits).
Dans ce catalogue récent en anglais, une sorte de guide de voyage pour les touristes locaux, on parle des pierres sacrées et des nombreux anciens labyrinthes (plus de 2000 ans) encore visibles dans la région (voir photos plus haut), (page 71 entre autres) :
OVNI ou nouveau missile photographié le 13-04-2012 dans région d'Irkoutsk, Russie
Réflexions intéressantes du spécialiste français Christel Seval : Que se passerait-il si demain des extraterrestres prenaient officiellement contact avec l'humanité terrestre ?
Cette question n'est pas anachronique. Des études officielles ont été menées dans ce sens des deux côtés de l'Atlantique. Ce livre s'appuie sur des rapports aussi sérieux que celui du Brooking Institution, commandé par la NASA, du Cometa, en France, ou encore du Mutual UFO Network. Il puise également dans des sources plus confidentielles émanant de chercheurs indépendants
Quels seraient les impacts d'un tel contact sur la sphère émotionnelle, religieuse, socio-économique, politique, technologique ou militaire ? Un contact avec des extraterrestres bienveillants serait-il suffisant pour assurer la pérennité de notre société ?
Christel Seval (né en 1960) est un ingénieur français et ex informaticien du ministère de la défense. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur l'ufologie.
Il s'est intéressé notamment à l'affaire Ummo et ses recherches sont marquées par un environnementalisme militant, dénonçant le réchauffement climatique et les « politiques d'autruche ». Ses ouvrages sont publiés chez JMG éditions ; il a fait plusieurs conférences pour présenter ses recherches et publié plusieurs articles dans des revues spécialisées.
Ufologie et stratégie militaro-industrielle
Le décryptage de Christel Seval
Jean-Pierre Petit illustre SETI (Search for Extra Terrestrial Intelligence) par un breton attardé concentré sur sa longue-vue, essayant de déterminer s’il aperçoit des signaux de fumée en provenance de l’Amérique (pour savoir si l’Amérique abrite des êtres intelligents), alors que s’il levait le nez, il verrait des jumbo-jets sillonner le ciel avec plein de yankees à bord... C. Seval
Dans le cadre du SETI, le radiotélescope d’Arecibo à Porto Rico envoya en décembre 1974 un message radioélectrique en binaire à destination d’une galaxie voisine, en vue de communiquer à une possible intelligence extraterrestre. Cette bouteille dans l’espace fut envoyée par la plus grande antenne parabolique du monde en direction de l’amas d’étoiles M13 située à 22 800 années lumière dans la constellation d’Hercule. Le message d’Arecibo, écrit sous la direction de Frank Drake, professeur d’astronomie de la Cornell University, codifia les numéros atomiques des principaux éléments constitutifs de la vie sur Terre (H = 1, C = 6, N = 7, O = 8, P = 15). Il décrivait également les sucres et les bases qui entrent dans la composition de l’ADN, le nombre de nucléotides, un schéma stylisé de la double hélice de l’ADN et enfin, l’image stylisée d’une silhouette humaine, indiquant sa taille, le nombre d’habitants terrestres en 1974, la composition du système solaire en distinguant la Terre comme l’origine du message et les caractéristiques de l’antenne radar émettrice.
Une réponse d’outre espace ?
27 ans plus tard le 20 août 2001, proches de l’antenne parabolique géante de Chilbolton (Angleterre), sont gravés dans les champs deux agroglyphes géants sous forme de rectangles. L’un représente un visage humanoïde non terrestre et le second représentant une réponse d’outre espace du message radioélectrique envoyé d’Arecibo en 1974. Que dévoile le décryptage de cet agroglyphe qui semble bien être une réponse au message envoyé il y a 27 ans ? La réponse est codifiée, cryptée rigoureusement de la même manière que le message émis en 1974. L’ADN décrit est plus court que le nôtre, le silicium ayant pris la place du phosphore ce qui provoque un crépissage de l’hélice d’ADN précisément représentée dans les champs de Chilbolton. À la place d’un homme stylisé mesurant un mètre soixante seize, ressort une silhouette classique de Gris, un être de petite taille, un mètre, macrocéphale avec des bras, des jambes et des yeux qu’on identifie clairement. Le système planétaire dont cet être est originaire est autre. Sa planète totalise un nombre de 17 milliards d’habitants, et se place en cinquième position depuis un soleil petit, égale au 4/9 ème du nôtre, accompagné de neuf planètes. Dans ce système, les planètes trois et quatre sont désignées comme étant habitées. Le message représente également le schéma d’une antenne parabolique avec le symbole de la planète émettrice associée à un chiffre signifiant la puissance électromagnétique utilisée pour répondre.
Silence radio des autorités
L’observatoire de Chilbolton est la propriété du gouvernement britannique, il fut construit en 1965, dans le but d’étudier les émissions d’ondes radios en provenance de l’espace et des satellites. L’accès de l’Observatoire est interdit au public. La première réaction des chercheurs britanniques comme Paul Vigay fut naturellement de comparer la formation de code binaire de 2001 à la transmission radio télescopique de 1974 à Puerto Rico. Malgré des photos, le décryptage du code binaire et toutes les correspondances relevées avec le message d’Arecibo par des chercheurs indépendants, aucune explication officielle n’a été donnée. Les astronomes de Chilbolton ont déclaré qu’ils ne s’étaient pas aperçus de l’apparition des glyphes, ceux-ci n’étant pas complètement visibles, même du point le plus élevé de l’antenne (sic!).
Un an plus tard toujours dans un champ de Childbolton, une silhouette d’alien tramée dans un gigantesque rectangle nous présente un disque rond d’une cinquantaine de mètres de diamètre dont la moitié sort du cadre (voir morphéus N° 8). L’intérieur du cercle végétal comporte un sillon spiralé divisé en une multitude de paquets de blés couchés ou relevés : une suite binaire. Le code en est simple, il s’agit de l’ASCII (American Standard Code for Information Interchange). Le message est le suivant :
"Prenez garde aux porteurs de faux cadeaux et aux promesses non tenues. Beaucoup de douleur mais il est toujours temps. Il y a du bon la-haut. Nous nous opposons à la tromperie. Fin de transmission…"
Il n’y aura aucune déclaration officielle à propos de cette formation. Alors s’agit-il d’un authentique contact ou d’une manipulation de l’armée ? A quelle fin ?
Des ovnis contre le secret défense
Après Nagasaki et Hiroshima, énormément d’ovnis vont survoler les États américains et se positionner avec précision au-dessus de tous les sites impliqués dans les activités militaires atomiques, comme s’ils cherchaient à s’informer sur les développements des armes atomiques terrestres. Dès 1946 les sites du Manhattan Project, les sites d’essais d’explosions atomiques comme l’atoll de Bikini, le site de Trinity, Roswell et les bases du Nouveau Mexique en 1947, Albuquerque, Sandia en décembre 1948, Los Alamos en janvier 1949, Camp Hood au Texas en mars 1949. Toute la filière atomique est découverte : des sites de recherche et d’essais, jusqu’aux lieux de stockage en passant par la chaîne de production des bombes. Pas un site secret n’est épargné. Les officiels de la Défense américaine sont aux abois. Leur pire cauchemar vient de prendre forme. Toutes les installations les plus secrètes du pays sont survolées par des ovnis. Il suffirait à un espion de relever la carte des apparitions d’ovnis de 1946 à 1950 pour avoir avec précision la situation géographique de toutes les installations nucléaires de l’armée américaine. C’est la panique dans les rangs US.
En juillet 1952, le Pentagone et la Maison Blanche sont survolés à deux reprises, en plein centre d’une zone névralgique strictement protégée, interdite à la circulation aérienne. Rien n’échappe aux ovnis, de la filière militaire à la filière politique.
Dès l’arrivée au pouvoir de D. Eisenhower en 1953, Nelson Rockefeller sera chargé de présider une commission de refonte du département de la Défense. A partir de cette date, l’empire Rockefeller, le CFR (Council on Foreign Relations), la Trilatérale et les Bilderbergs vont gérer le secret OVNI dans tous ses prolongements, scientifiques, technologiques, militaires, renseignements, désinformation, jusqu’aux financements et infiltrations des associations ufologiques.
OVNI et Secret Défense
En 1954, l’installation de Fort Meade, siège du NSA, qui plus tard mettra en œuvre le réseau mondial d’écoute électronique Echelon, est survolée.
En 1963 et 1964, les satellites mis en orbite par les États-Unis tombent systématiquement en panne, et, étrangement, se remettent à fonctionner spontanément.
Novembre 1965 : une gigantesque panne d’électricité affecte New York et le sud Canadien. Un disque lumineux est aperçu au-dessus de la station de distribution électrique de Clay, point d’interconnexion de plusieurs réseaux haute tension. Décembre : une panne identique touche plusieurs États, le Nouveau Mexique, le Texas. Les bases militaires Holloman, White Sands et Fort Bliss sont privées de courant. C’est le scénario que les responsables de la Défense craignaient le plus : des actions agressives paralysant à la fois l’économie de la Nation et les capacités des forces militaires.
En 1967 la base de Malmstrom, Montana qui abrite 120 missiles intercontinentaux du Strategic Air Command, est survolée par des ovnis. Le 16 mars, par une nuit glaciale, des lumières zigzaguent dans la nuit à des vitesses incroyables. L’officier de tir est alerté. Puis une soucoupe rougeoyante s’avance, survole la grille d’entrée au grand dam des gardes. En quelques secondes, ce sont huit silos de missiles qui sont déclarés hors service. Puis dix.Un commando chargé de s’approcher de l’ovni stationnaire a été légèrement blessé et est évacué. Plusieurs commandos partis inspecter les silos signalent des ovnis à leur tour. Dans une autre unité de silos plus au nord-est, un ovni évolue aux alentours de la zone interdite. Dix missiles sont à leur tour mis hors service. Il faudra plus d’une journée avant que les missiles ne soient déclarés à nouveau opérationnels. L’enquête technique conclura qu’il n’y a aucune explication rationnelle à la défaillance simultanée des 20 missiles ICBM.
En novembre 1975, les ovnis retournent sur la base de Malmstrom dans le Montana. 7 ovnis lents, qui déjouent les intercepteurs lancés contre eux, reproduisent le scénario de 1967 et déprogramment les ogives nucléaires.
La Nouvelle Donne
À partir de cette date, rien ne sera plus comme avant affirme Jean-Gabriel Greslé : Des puissances inconnues s’ingénient à rendre leur présence évidente par des manifestations aériennes non conventionnelles. Elles disposent de moyens techniques nécessaires pour convaincre l’ensemble du monde, une fois pour toutes, de leur présence et de leur supériorité. Pourtant, elles ne le font pas. De leur côté, le gouvernement américain et le département de la Défense utilisent leurs moyens considérables, renforcés en 1953 pour dissimuler eux aussi cette réalité au public.
Les mêmes puissances inconnues, entre 1947 et 1967 ont exercé une pression croissante sur les gouvernements américains. De toute évidence elles cherchent à obtenir quelque chose. Le gouvernement américain pourtant dominé par une technologie supérieure à la sienne a refusé, en apparence, de céder.
Le gouvernement refuse effectivement d’inverser sa politique de développement des armes nucléaires. Tous les gouvernements engagés dans la course aux armements de destruction massive sont confrontés aux mêmes problèmes de survols de leurs installations nucléaires par des ovnis. Une pression venue d’outre espace, demande une autre politique pour la sauvegarde de la planète. De quelle genre d’intervention s’agit-il ? La marge de manœuvre des intelligences à l’oeuvre est très mince. Imposer la paix avec une technologie qui neutralise toutes les technostructures militaires de la planète serait perçu comme une dictature venu d’outre espace entraînant un ethnocide généralisé. Le remède serait pire que le mal. Par contre ne rien faire signifierait à moyen terme laisser l’humanité s’autodétruire volontairement ou par accident. Le développement des armes à plasma fait peser un péril pire que l’arme nucléaire. La pression globale sur l’écosystème ne saurait continuer encore des décennies. Il est donc essentiel d’intervenir progressivement en exerçant une pression toujours plus forte. L’augmentation du nombre de crop circles est significative ces dernières années. Certains agroglyphes révèlent des schémas d’appareillages militaires ultra secrets, d’autres portent sur des symboles de sociétés secrètes influentes, ou encore répondent à un message envoyé il y a 27 ans dans la direction de la constellation d’Hercule. Au Mexique, les soucoupes volantes sont omniprésentes sans affoler les autorités ou les populations. Gorbatchev lui-même s’est toujours opposé à l’idée que les ovnis constituaient une menace pour l’humanité. Alors un premier contact officiel est-il possible ? Non car la technostructure gouvernementale américaine n’a pas intérêt à ce que des ovniens entament une procédure de contact avec l’humanité.
Géostratégie militaire US
Tout contact avec une race extraterrestre technologiquement plus avancée que nous, engagerait un processus collégial de représentation de l’humanité auprès des visiteurs qui nuirait à la souveraineté des Etats-Unis. Il s’ensuivrait des réformes économiques et écologiques proposées et impulsées par les extraterrestres pour améliorer la situation de l’humanité dans son ensemble, ce qui nuirait à l’hégémonie américaine. La révélation ou le partage de données techniques et scientifiques jusque là classées secret défense nuirait également aux Etats Unis.
Aussi les États-Unis peuvent-ils être amenés à envisager d’entretenir volontairement un foyer mondial de perturbations économiques afin de repousser au plus loin le jour du contact qui nécessite maturité et stabilité. L’accélération et l’amplification d’une politique de domination et d’annexion du reste du monde, notamment par le biais du vecteur pétrolier et de programmes d’armes de nouvelle génération semblent être à l’ordre du jour.
Ainsi, au moment du contact, les États-Unis occuperont une place prépondérante, un fait accompli qui ne sera peut-être pas remis en cause par les extraterrestres par respect pour la liberté de l’humanité. Les États-Unis auront à leur disposition un arsenal technologique qui leur permettra de faire pression sur les volontés extraterrestres si ceux-ci en émettent.
Car, quel est le mobile qui peut pousser les stratèges militaires américains à construire des bombes à antimatière dix mille fois plus puissantes qu’une bombe thermonucléaire, si puissantes qu’elles ne peuvent pas être utilisées sur Terre ? La peur d’un astéroïde ? La probabilité d’un géocroiseur spatial en approche dangereuse dans les parages de la Terre ? Foutaises, c’est la paranoïa anti-extraterrestre, c’est le désir forcené de l’oligarchie militaro-industrielle des États-Unis de pouvoir faire obstruction aux extraterrestres et, le jour du contact, d’avoir à leur portée un maximum de moyens de pression contre eux, voire d’armes efficaces car tel semble être leur rêve d’indépendance virile. - Christel Seval
Extraits des chapitres 6 à 11 pp 177-300
Le plan pour sauver la Terre
Éditions JMG
"Nous avons eu du mal à comprendre que les humains dépensent tant d’argent et de forces pour protéger les richesses d’une minorité, alors que tant d’hommes au même instant meurent de faim. Nous considérons ceux qui vous gouvernent comme des malades mentaux". Document Ummite NR9 du 30/09/1991.
18 janvier 2006 - Publié par le journal Morphéus n° 13, janvier-février 2006 - Frédéric Morin - www.morpheus.com - redaction@morpheus.fr
Préface de Jean-Pierre Petit pour le livre de Christel Seval " Contact et Impact "
C’est la première fois que j’accepte de préfacer un livre qui traite du thème ovni. Si je le fais c’est parce que ce qu’écrit Christel Seval sort de l’ordinaire. En lisant d’autres ouvrages traitant de ce sujet je leur ai toujours trouvé un caractère descriptif, comme s’ils restaient à la surface des choses, comme si les auteurs eux-mêmes étaient aussi frappés, après les médias, de superficialité. En fait le sujet ovni nous renvoie sans cesse à nous-mêmes, à notre devenir. Qui ne fait pas ce lien est un complet inconscient. Notre humanité vit les heures les plus graves de son histoire. Depuis 1945 l’homme a engendré des armes capables de le détruire. Un demi-siècle s’est écoulé. L’apparition d’armes biotechnologiques et de mind control a complété cette panoplie déjà impressionnante. L’avertissement du Président Einsenhower lors de son discours d’adieu n’a pas été entendu. Le lobby militaro-économique est comme un fauve lâché, sans contrôle. L’histoire, sur tous les continents, devient folle, avec différentes espèces de folies qui se déploient. La Nature elle-même semble participer au dérèglement planétaire général. On ne discerne plus quels mécanismes régulateurs pourraient amener les hommes vers un nouvel équilibre. Sur cette toile de fond la ronde des ovnis continue. L’aspect le plus fantastique est qu’en 30 ans, rien n’a bougé, strictement rien, du moins en France. Aux Etats-Unis c’est une autre paire de manches. Dans l’hexagone, après trois décennies d’existence le bilan du service créé par le Cnes est strictement nul. « Derrière, il n’y a rien ». Il n’y a pas de MHD militaire secrète. Les archives du Sepra ne contiennent rien d’autre que des rapports de gendarmes. Michel Bounias est mort pour rien. Ses travaux de 1981, sur les traces biologique laissées sur les luzernes, suite à un atterrissage d'ovni à Trans en Provence n’ont fait l'objet d'aucune suite. Aucun gendarme n’a capturé de spectre d’ovni grâce aux bonnettes imaginée par Claude Poher, dont leurs appareils photographiques avaient été équipés dès 1979 et dont le maniement a dû être oublié depuis longtemps. Mais comme le disait Hubert Curien peu de temps avant sa mort « la grande vague d’intérêt pour les ovnis est passée ».
Dans toutes les structures françaises il y a deux pour cent de gens « qui pensent que, quand même, on devrait faire un petit quelque chose vis-à-vis de ce dossier ovni ». C’est de ces deux pour cent qu’a émergé en 1999 le rapport Cometa, cité par Seval dans son ouvrage. Quatre-vingts pour cent s’en fichent éperdument et les dix-huit pour cent qui restent sont farouchement déterminés à ce que rien ne bouge. La question qui émerge est alors : « pourquoi cet immobilisme ? ». La lecture du livre de Seval apporte un élément de réponse. Notre humanité nie l’existence de ce phénomène, contre vents et marées et c’est normal car ce faisant elle se défend en mettant en œuvre un mécanisme de défense psycho-socio-immunologique contre ce qu’elle perçoit, à juste titre, comme une terrible menace.
Pourtant ces extraterrestres qui nous visitent n’ont nul désir, ni besoin de nous conquérir. La menace est d’un autre ordre. Elle revêt une dimension que je n’avais pas jusqu’ici perçue avant de lire l’ ouvrage de Seval, comme les précédents. Elle tient en un mot : ethnocide, mot initialement introduit par l'ethnologue R. Jaulin, décédé. Le génocide est l’annihilation d’une espèce, d’une tribu. L’ethnocide est l’annihilation d’une culture. L’auteur passe en revue des exemples historiques et montre comment des civilisations comme celle des Aztèquesse sont effondrées en un temps relativement court après le choc culturel qu’a constitué pour eux l’irruption des conquistadors espagnols. J’ai écrit jadis que toute forme de pensée était un système organisé de croyances. Donc, si on remet brutalement les croyances fondatrices de notre pensée en question, celle-ci s’effondre, comme s’effondreraient des mathématiques sans axiomes et des logiques sans prédicats.
Ce que nous pouvons conjecturer c’est que l’écart qui nous sépare de nos visiteurs extraterrestres pourrait dépasser notre imagination, nos spéculations les plus folles. Nos connaissances scientifiques du moment deviendraient dérisoires. On peut même imaginer que lors d’un contact nous soyons confrontés à des êtres qui puissent être aussi différents de nous que nous pouvons l’être des singes. L’incidence d’un choc culturel a été évoquée par maints auteurs mais, note Seval, personne n’avait envisagé qu’un tel contact puisse être aussi dommageable, entraîner un ethnocide. Ainsi nous aurions l’explication du non-contact. Il ne s’agirait pas seulement de prévenir tout mauvais usage que nous pourrions faire de technologies plus avancées qui démultiplieraient nos capacités de destruction. Ce qui effondrerait notre civilisation terrienne, c’est le doute. Inutile d’aller très loin. En Russie c’est bye bye Lénine. Le Marxisme a vécu. Les Russes émergent de presque un siècle d’athéisme militant. Il n’y a plus de buts, de grands desseins. Personne ne croit plus aux lendemains qui chantent. L’alcool fait des ravages. L’espérance de vie des hommes est de 58 ans. La natalité est en chute libre. On retrouve chez un peuple qui a placé en orbite autour de la Terre le premier être humain des symptômes comparables à ceux qui frappent les membres de tribus indiennes. Alors, imaginez ce qui se passerait si les terriens étaient soudain confrontés à l’absurdité de leur système de vie, à l’inanité de leurs croyances, si des réponses foudroyantes leur étaient soudain apportées, concernant la naissance, la vie, la mort, l’évolution. Seval suggère que notre humanité pourrait s’effondrer au point d’être incapable de se relever, de pouvoir négocier le monde avec de nouvelles croyances qui soient à sa portée ou avec des fantasmes, des rituels salvateurs lui permettant de dialoguer avec le monde.
Jean-Pierre Petit
Seule une civilisation jouissant déjà d’un certain équilibre pourrait faire face à un tel choc culturel. Or nous sommes loin du compte. En lisant son livre nous découvrons combien notre société terrestre est fragile, vulnérable, parce qu’encore infantile. Donc le contact est simplement impossible. Notre civilisation planétaire est comme un château de cartes. Le simple fait de se voir présenter des preuves définitivement irréfutables de l’existence, de la présence d’extraterrestres suffirait à pétrifier d’angoisse notre système social, à provoquer en quelques mois, quelques années un chaos, suivi d’un effondrement irrémédiable.
Pourtant nous courons à grandes enjambées vers l’Apocalypse. Tous les signes avant-coureurs d’un profond déséquilibre sont sous nos yeux. La foire d’empoigne économique, la raréfaction des ressources naturelles, les effets de la pollution, les violents antagonismes qui se profilent nous mènent au chaos. Dans son ouvrage précédent, Le Plan pour Sauver la Terre, Seval expliquait que si des extraterrestres se décidaient à intervenir cela ne pourrait être qu’au tout dernier moment, quand nous mettrions en danger l’ensemble de notre biosphère, quand « le processus suicidaire aurait déjà été amorcé ». Personne ne bougerait le petit doigt si nous nous infligions des souffrances équivalant à dix fois les drames de la précédente guerre mondiale, tout contact avec une humanité immature se traduisant automatiquement par un ethnocide. La nôtre ne pourrait qu’être au mieux « reformatée ». On garderait le « disque dur-support génétique » mais on réinstallerait d’autres logiciels, c'est-à-dire une autre logique de vie, une culture totalement différente. Dans Contact et Impact l’auteur revient donc sur ces thèmes en émaillant son discours d’extraits de textes ummites. Si vous vous aventurez dans les ouvrages de Seval, attendez-vous en règle générale à être secoué. C’est en cela qu’ils diffèrent des autres livres publiés sur le thème ovni, essentiellement anecdotiques. Lui, va vraiment au fond des choses, envisage un impact dont nous n’avions pas jusqu’ici imaginé l’ampleur.
Aucun extraterrestre ne possède la recette magique qui puisse transformer notre société en Eden puisque tout contact, à quelque moment que ce soit se traduirait par un ethnocide. Le seul être qui puisse sauver l’homme, c’est lui-même. - Jean-Pierre Petit http://www.jp-petit.org/OVNIS/seval.htm
Yves Herbo : Et pourtant, si on étudie l'histoire des peuples et même celle des religions (et oui), on ne peut que s'apercevoir en toute honnêteté que "quelque chose" ou "quelqu'un" a toujours influencé l'être humain sur son devenir et même sur sa culture... L'être humain a vu son psychisme façonné littéralement par des "dieux" venus du ciel, depuis des millénaires... ce "plan" qui dure depuis des milliers d'années aurait échoué, finalement ? J'en doute fortement... Ces entités, dieux ou extra-terrestres, peu importe le nom qu'on leur donne, finalement, n'ont-ils pas les moyens de leurs propres volonté et ambitions, si on peut parler ou comparer des attitudes humaines à celles d'êtres extérieurs, bien sûr ? J'en doute encore. Il y a des choses qui ont changé, finalement, au niveau des apparitions et des "vagues" d'ovnis, depuis les années 1990 : on parle et on voit beaucoup moins de "vagues" saisonnières d'apparitions : le contact a peut-être bien eu lieu, finalement... mais réservé probablement à une petite élite de dirigeants (comme dans le passé lointain d'ailleurs, tout aussi probablement...). Mais qui a été le contacteur ? S'il s'agit de celui "qui trompe et fait de fausses promesses" mentionné dans ce message en ASCII, l'Humanité a peut-être encore plus de soucis à se faire que d'un ethnocide... et tous les événements économico-politiques des années 2000 semblent accentuer ce doute et l'accélération du chaos dont on parle plus haut dans cet article...