samedi 4 janvier 2014

ODH TV/NV Bilan OVNI 2013 et Dernière soirée 2013

ODH TV/NV Bilan OVNI 2013 et Dernière soirée 2013

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La soirée spéciale Ufologie de Terrain, premier bilan Ovni 2013 vous est présentée par Gilles Thomas.
Les invités sont Orion et Corinne de la webradio fréquence interdite Surnaturock, Christophe alias Scopeman responsable national des cercles suricates et Polyèdre57, veilleurs et enquêteur du département de la Moselle et de la Lorraine.


Bienvenue à la Dernière soirée de l'ufologie de l'année 2013 sur ODH Tv où nous recevions Orion et Corinne de la webradio fréquence interdite Surnaturock, Christophe alias Scopeman responsable national des cercles suricates et Polyèdre57, veilleur et enquêteur du département de la Moselle et de la Lorraine.

Je tiens tout d'abord à remercier les partenaires d'ODH Tv ce soir qui sont des bénévoles. Je tiens à leur dire bravo pour tout le travail qu'ils fournissent par jours sans rien demander à personne, juste en continuant leur passion au fil du temps.

ODH Tv c'est avant tout une équipe constituée par des amis et des partenaires tous bénévoles. Je les remercie ce soir pour tout le travail de traduction, de prises de contact avec des ufologues et témoins, de conseil sur les reportages et les faits historiques, de réalisation de musiques, bruitages et bandes sons, de réalisations d'effets spéciaux, d'aide matériels, etc...etc...

Certes nous sommes des amateurs, mais nous aimons ce que nous faisons car c'est ça une passion !



Le 23 Janvier 2014 à 20h sur le Suri T'chat sera dévoilé le projet O.D.H-A. Un événement à ne surtout pas manquer puisque c'est une nouvelle aventure vidéo qui va commencer en collaboration avec les partenaires.


O.D.H-A 3.0 vous sera dévoilée le 23 janvier 2014 au lien ci-dessous :

http://sirus.forumgratuit.org/h2-tchat-sirus

Yves Herbo Relai-SFH-01-2014

vendredi 3 janvier 2014

Série Docu-Drama " Les Envoutés de l'Espace "

Série Docu-Drama " Les Envoutés de l'Espace " - MAJ - FIN - Update : 4 scènes coupées


Ce téléfilm de 1992 est basé sur des faits réels tirés du livre du spécialiste Budd Hopkins et vient en soutien à cet autre documentaire basé sur celui du scientifique John Mack.

Titre original : Intruders. Autres titres Canada : Les Visiteurs de l'au-delà. Tous Publics. Réalisateur Dan CURTIS. Scénariste(s) Barry ORINGER, Tracy TORMÉ. Auteurs originaux : D'Après le Livre ' Intruders ' de Budd Hopkins. Producteur(s) Michael APTED, Dan CURTIS, Branko LUSTIG, Eric SCHIFF, Tracy TORME.

Titre original : Intruders. Autres titres Canada : Les Visiteurs de l'au-delà. Tous Publics. Réalisateur Dan CURTIS. Scénariste(s) Barry ORINGER, Tracy TORMÉ. Auteurs originaux : D'Après le Livre ' Intruders ' de Budd Hopkins. Producteur(s) Michael APTED, Dan CURTIS, Branko LUSTIG, Eric SCHIFF, Tracy TORME.

Acteurs : Richard CRENNA, Mare WINNINGHAM, Susan BLAKELY, Daphne ASHBROOK, Alan AUTRY, Ben VEREEN, Steven BERKOFF, Lorry GOLDMAN, Rosalind CHAO, Robert MANDAN, Warren FROST

Sciences-Fictions-Histoires (SFH) publiera les 19 parties à raison de 5 à la fois (4+présentation aujourd'hui) tous les 2-3 jours.


" Ce passage est extrait du reportage de Jimmy Guieu : « OVNI-USA : de nouvelles révélations », où Guieu présente le téléfilm que vous pouvez voir ici en 19 parties. Les commentaires sont du détenteur des vidéos "Videodocu".

Il a tout d’abord été diffusé en décembre 1993 sur Canal +, sous le titre « Les envoûtés de l’espace » (et le samedi 1er janvier 1994 à 14 h 00, dans son intégralité), puis plusieurs fois sur M6 à partir d’août 1995, sous le titre « les visiteurs de l’au-delà », sous la forme de téléfilms en deux parties.

John Mack et Budd Hopkins ont tous deux été conseillers techniques sur le film, ce qui lui donne une indéniable qualité de « docu-drama ».
Le générique du début signale que le film est basé sur le livre d’Hopkins « Intruders » (l’affaire Kathie Davis/Déborah Tomey), et le message final stipule bien, par ailleurs, que le film se base sur des faits réels.

Le tout est servi par un casting composé de stars du petit ou du grand écran (Richard Crénna et Steven Berkoff de la saga « Rambo », Mare Winningham de la série « Les oiseaux se cachent pour mourir ») et des effets spéciaux très bons pour l’époque, utilisés à bon escient et sans excès.
Personnellement, je trouve que les Extraterrestres montrés dans ce film sont beaucoup plus convaincant et saisissant que nombre d’ET actuels en images de synthèse.

Enfin, n’oubliez pas, en le regardant, que ce téléfilm date de 1992, c’est-à-dire bien avant la création d’ « X-Files » ou l’affaire de la créature de Roswell.

A noter que deux ouvrages français ont traité plus en détail de ce téléfilm :
« Alien Télévision » de Richard D. Nolane (Editions CGR, P. 227 à 232) et « Aux frontières du réel. Vol. 2 : l’appel des étoiles » de Francis Valéry (editions DLM, P. 121 à 124).



Partie 1 :


Téléfilm réalisé par Dan Curtis en 1992, et basé sur des faits réels : les « abductions » ou enlèvements extraterrestres.
Conseillers techniques : Budd Hopkins & John E. Mack

- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

La détection des OVNI par les radars militaires ; la conspiration du silence et la politique de black-out sur le dossier OVNI.

- Commentaires divers :

Ce téléfilm semble clairement avoir influencé Chris Carter, pour « X-Files », à tout le moins l’épisode « L’ange déchu » (« Fallen Angel ») de la saison 1.
Cet épisode d’X-Files traite des enlèvement E.T., réutilise le même code que celui dont se sert le général Hanley dans le film (« Confirmation d’un ange ») pour désigner l’atterrissage d’un OVNI, et surtout vous y retrouverez presque tel quel la scène d’intro d’ « Intruders », lorsque la technicienne radar s’oppose à son supérieur hiérarchique…

  Partie 2 :

 


- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

Les symptômes classiques de l’ « abduction » : les souvenirs-écrans, les réminiscences partielles mais intrusives de l’expérience aux hasard de la vie quotidienne (particulièrement le souvenir marquant de grands yeux noirs), phobie liée à certains animaux, et surtout apparition inexplicable de cicatrices ou autres traces d’opérations sur le corps des victimes.

Partie 3 :


- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

Les symptômes classiques de l’ « abduction » : les souvenirs-écrans, le « Missing Times » ou amnésie temporaire de plusieurs heures, séquelles psychologiques se répercutant dans la vie quotidienne, et les saignements de nez consécutifs à la pose d’un implant nasal.

Partie 4 :


- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

Les symptômes classiques de l’ « abduction » : les réminiscences partielles mais intrusives de l’expérience aux hasard de la vie quotidienne, phobie liée à certaines images.

La mise sous surveillance illicite des « abductés » et de leur environnement.


Partie 5 :

 
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

La régression hypnotique comme technique thérapeutique et d’investigation des cas d’ « abductions ».

L’ « abduction » et ses caractéristiques : les souvenirs-écrans dissimulant l’enlèvement et l’apparence réelle des EBE, la description des « Petit-gris » et les expériences médicales auxquelles ils se livrent sur les victimes.

L’hypothèse sceptique d’abus sexuels humains refoulés, puis resurgissant sous forme d’enlèvement extraterrestre à l’âge adulte.

Partie 6 :

 
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

Les symptômes classiques de l’ « abduction » : séquelles psychologiques se répercutant sur la vie de famille, crise de panique et phobie liées à certaines images (la vue de lumière dans le ciel, celle d’un hélicoptère, mais rappelant inconsciemment celle d’un OVNI).

Partie 7 :

 
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

La mise sous surveillance illicite des ufologues et autres enquêteurs s’intéressant de trop près aux « abductions ».

Les symptômes classiques de l’ « abduction » : les saignements de nez consécutifs à la pose d’un implant nasal, et les séquelles physiques de l’abduction (inexplicable trace d’opération chirurgicale), angoisse et phobie liées au milieu médical ou à la vue d’instruments médicaux.

- Commentaires divers :

Vous remarquerez que l’ufologue se présente comme un « ovniologue », francisation amusante du terme.
Il ajoute aussi, dans sa discussion avec le Dr Chase à propos des « abductions », « avant que les enlèvements ne devienne à la mode », ce qui démontre qu’aux USA, en 1992, on parlait depuis déjà un bon moment de ces faits !

Partie 8 :

 
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

Les symptômes classiques de l’ « abduction » : grossesse inexplicable, crise de panique et phobie liées à certains animaux, souvenir-écran d’animaux aux comportement bizarre dissimulant les EBE responsables de l’enlèvement.

Partie 9 :

 
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

La régression hypnotique comme technique thérapeutique et d’investigation des cas d’ « abductions ». L’hypothèse sceptique d’abus sexuels humains refoulés, puis resurgissant sous forme d’enlèvement extraterrestre à l’âge adulte.

C’est vraiment une scène-clé du film, car elle montre la reconstitution de façon très réaliste de l’«abduction» en tant que telle, comme la vivent généralement les victimes.
 
Partie 10 :
 
 
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :
 
 Les caractéristiques de l’ « abduction » : début des premiers enlèvements dès l’enfance, neutralisation du conjoint ou de toutes autres personnes présentes mais non-directement visées par les enlèvements au moment des faits, impuissance des victimes à faire face et à réagir pour contrer les exactions EBE, et enfin, saignements de nez généralement consécutifs à la pose d’un implant nasal.
 
Partie 11 :
 
 
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :
 
 La régression hypnotique comme technique thérapeutique et d’investigation des cas d’ « abductions ». Les caractéristiques de l’ « abduction » : le commencement des premiers enlèvements dès l’enfance, et le suivi génétique de famille entière, d’une génération à l’autre, par les EBE. Il est bien stipulé que l’enlèvement est rarement unique, mais se répète tout au long d’une vie, ce qui correspond aux caractéristiques réels du phénomène.
 
 Enfin, cette scène montre une cicatrice typique des séquelles physiques d’un enlèvement : la « scoop-mark », généralement à la jambe. Notez que le passage du début, en quelques lignes de dialogue, prend également en compte les implications des enlèvements par rapport à la religion biblique. C’est aussi la première fois dans ce film que des « métis » humains-extraterrestres sont mis en scène.
 
Partie 12 :
 
 
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :
 
 Traces physiques au sol, avec effet sur l’environnement, d’atterrissage d’ OVNI. Récupération par les ufologues et analyse des implants métalliques, bien réels, posés dans le corps des « abductés » par les EBE durant les enlèvements. Ces implants, d’une technologie avancée, peuvent entrer en symbiose avec le corps humains, et sont quelquefois pourvus d’un système d’autodestruction pour ne pas laisser de preuves. Ceux qui sont intéressés par cet aspect des « abductions » pourront lire avec profit le livre « OVNI et implants » du Dr. Roger K. Leir (traduit et paru en français, aux éditions du Mercure Dauphinois).
 
Partie 13 :
 
 
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :
 
 L’affaire du crash de Roswell, couvert par le black-out militaire, et les crashes d’OVNI en général. Vous remarquerez que le lieu de l’action se situe près de la base d’Holloman, une base du Nouveau-Mexique, ufologiquement réputée pour avoir reçu la visite « officielle » d’extraterrestres en avril 1964 (selon Richard Doty), ce qui démontre que les scénaristes ont vraiment bien travaillé leur sujet... A moindre titre, cette scène montre aussi les diverses anomalies électromagnétiques qui se produisent fréquemment lors d’observations d’OVNI (dérèglement des appareils électriques). 
 
- Commentaires divers :
 
 Aux USA, Ben Vereen, qui joue ici le rôle de Jim, est un célèbre acteur de théâtre, de télévision et de cinéma. Il a été plusieurs fois nominé aux Golden Globes et aux Emmy Awards. Son rôle le plus marquant est celui qu'il a interprété pour la série "Racines". Avez-vous aussi remarquez ce petit détail ? Vers 4’18/4’19 de cette scène, à la limite de l’image subliminale, on peut voir une sorte de « tête de mort » formé par le jeu d’ombres et de lumières sur un pan de mur, à l’intérieur de la soucoupe, lorsque Jim entre dans l’OVNI écrasé.
 
Partie 14 :
 
 
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :
 
 Les expériences d’engeenerie génétique auxquelles se livrent les EBE grâce aux enlèvements, dans le but de créer des hybrides humains-extraterrestres : insémination artificielle de femmes humaines lors d’un premier enlèvement, lesquelles servent de mères porteuses jusqu’au moment d’un second enlèvement, où les EBE prélèvent le fœtus. Il va sans dire que c’est souvent une expérience très traumatisante pour les femmes qui subissent ces exactions, comme le restitue très bien cette scène. 
 
On y voit également un de ces hybrides adultes, au visage étrange, mi-humain, mi-alien. Dans la réalité, ce type d’humanoïde est effectivement signalé aux côtés des « short greys » durant les abductions. Une courte séquence laisse aussi apercevoir un homme normal enlevé à bord du vaisseau ET, montrant qu’il y a aussi des « abductions » masculines, même si le film se concentre les « abductions » féminines.

Partie 15 :


 
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

Les différentes questions et hypothèses des ufologues vis-à-vis des abductions, de l’origine des E.T. et du but final des expériences d’hybridation. Les groupes de soutien organisés aux USA pour les « abductés », les premiers ayant été créés à l’initiative de Budd Hopkins.

Chaque enlevé peut venir y faire part de son expérience, et partager son vécu avec d’autres.
Cette scène permet à cette occasion de montrer plusieurs autres infos sur le phénomène des « abductions », en se plaçant surtout du point de vue des enlevés et non plus de l’enquêteur (le Dr. Chase).

Premièrement, l’isolement terrible ressenti par les victimes d’enlèvements extraterrestres, qui ne peuvent guère parler de leur calvaire dans la vie courante.

Deuxièmement, les « abductions » peuvent toucher n’importe qui, n’importe quand, sans discrimination, que l’on soit WASP ou latino (dans le film), homme ou femme, de n’importe quelle catégorie socioprofessionnelle. Dans une certaine mesure, le film s’attachait déjà à ce fait via ces deux protagonistes féminins : Mary la « campagnarde » est enlevée comme Lesley la « citadine ».

Enfin, le tour de table des différents « abductés » montrent la diversité des réactions ressentis par ceux-ci vis-à-vis de leurs ravisseurs EBE, que l’on retrouve aussi dans la réalité.

- Commentaires divers :

Une phrase formidable de la part du personnage de Steven Berkoff, qui pourrait devenir une des devises de l’ufologie : « Les personnes qui avancent de nouvelles idées sont traitées de malades ou de fous. Et puis un jour, le monde les rattrape, et les appelle des visionnaires !… »
  
Partie 16 :

 
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

L’intolérance et le déni de la communauté intellectuelle et scientifique vis-à-vis du problème des enlèvements extraterrestres, et des chercheurs qui les étudient ou essayent d’en parler ouvertement.
Parmi l’auditoire qui crie au scandale, un personnage représente notamment les psychosociologues hostiles à la réalité objective des « abductions ».

L’hypothèse socio-psychologique y est plutôt bien résumée : «Avant les gens voyaient apparaître la Vierge ; maintenant, sous l’influence de la S-F, ils voient des petits hommes verts !»  Les pressions mises en œuvre au niveau professionnel et social pour faire taire les chercheurs s’étant penchés sur les « abductions » ou les OVNI, notamment par l’usage de menaces pour leur carrière.

Là encore, les scénaristes n’ont rien inventé du tout : des universitaires comme Léo Sprinckle, John Mack ou des médecins comme le Dr. Leir, ont réellement eu à subir ce genre de pressions chacun dans leur milieu professionnel respectif.
 
Partie 17 :

 
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

Le MJ12 et les groupes « ultra-top secret » destinés à gérer le dossier OVNI.
Les implications politiques de la reconnaissance officielle des OVNI, des « abductions », et la mise en place du black-out gouvernemental destiné à cacher la vérité au grand public.
 
 Partie 18 :


- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

Traces physiques au sol, avec effet sur l’environnement, d’atterrissage d’ OVNI.
La trace au sol sur laquelle la neige ne tient pas est effectivement un phénomène s’étant produit durant l’affaire « Kathie Davis » étudiée par Hopkins dans son livre « Intruders ».
Les expériences d’ingénierie génétique auxquelles se livrent les EBE grâce aux enlèvements, dans le but de créer des hybrides humains-extraterrestres :
dans de nombreux comptes-rendus d’ « abductions », les enlevés décrivent des parois (voire des pièces) entières remplies d’incubateurs pour les embryons hybrides, tel que Mary en voit à bord du vaisseau.

Il n’est pas rare que des jeunes femmes « abductées » et ayant servi de mère-porteuse pour un fœtus hybride à un moment de leur vie, soit également enlevées par la suite pour voir et toucher leurs « enfants »

Pour plus de détails, je vous recommande de regarder en entier le reportage de Jimmy Guieu : « OVNI – USA : de nouvelles révélations », et/ou de lire « Les kidnappeurs d’un autre monde » de David Jacobs.
 
Partie 19 :

 
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

Il y a deux grandes thèses ufologiques à propos du but poursuivi par les extraterrestres au travers des enlèvements et de leurs expériences d’hybridation : la thèse « optimiste » (Mack, Sprinckle) et la thèse « pessimiste » (Jacobs, Hopkins).

Comme vous pouvez le voir, la scène finale de ce téléfilm conclut en se rattachant à la vision « optimiste » des enlèvements, façon John E. Mack.

Ouf ! Le « Happy End » à l’américaine est sauf ! C’est le seul petit reproche que je ferais à ce téléfilm.

Il se pourrait bien, en effet, que la réalité soit beaucoup moins angélique quant au but des EBE et de leurs expériences d’hybridations !…

Si vous vous donnez la peine de regarder le générique en entier, vous pourrez voir que Budd Hopkins et John Mack ont bel et bien été crédités comme conseillers techniques, et que le sempiternel message : « Ceci est une fiction, toute ressemblance avec des faits ou des personnages réels ne seraient qu’une pure coïncidence » a laissé place à un message final précisant que ce téléfilm est basé sur des faits réels.
 
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Jimmy Guieu Vs Pierre Lagrange (1997) – Les abductions

 


Le lundi 27 janvier 1997, le magazine d’Arte « 7 ½ », présenté par Dominique Bromberger, a consacré sa troisième partie aux enlèvements extraterrestres, ou « abductions ».

Sur ce thème, un reportage confronte deux hommes diamétralement opposés : l’ufologue Jimmy Guieu, chercheur indépendant, qui dénonce le complot planétaire de nos institutions pour cacher la réalité de ces enlèvements extraterrestres, et le débunker Pierre Lagrange, sociologue, qui cherche à le discréditer en ne voyant là que de vulgaires ragots issu de l’extrême-droite.

A titre d’exemple concret, on peut voir Jimmy Guieu mener une enquête sur le cas d’enlèvement d’une femme, Edmonde, abductée en 1972, dans le Doubs, alors qu’elle était en voiture avec trois collègues de travail.

Au cours d’une régression hypnotique pratiquée par l’hypnotiseur Daniel Huguet, Edmonde se souvient de sa rencontre avec une entité nommée Axor (il me semble qu’elle a quelque rapport avec Haurrio, de l’affaire Cergy-Pontoise…) et de l’examen médical qui s’en est suivi.

Le livre de Jimmy Guieu dont il est question à partir de 02:15, « Terre : ta civilisation fout le camp », resté longtemps inédit, est maintenant disponible gratuitement sur Internet.

A noter enfin que le magazine « L’œil du cyclone », de Canal +, reprendra quelques extraits de l’intervention de Jimmy Guieu pour illustrer son numéro sur « Le grand complot », à peu près un an plus tard, en avril 1998.

« Intruders » - Scène coupée 1


Après avoir revu récemment le film « Intruders » en DVD (présenté ici en 19 parties), il m’a semblé de mémoire qu’il manquait certaines lignes de dialogues.
J’ai donc repris l’enregistrement VHS que j’avais fait sur Canal + du film en janvier 1994, et j’ai ainsi repéré pas moins de trois « scènes coupées » qui, pour une raison qui m’échappe complètement à ce jour, n’ont pas été retenues pour le montage final de la version DVD.
Ce qui est fort dommage, car cela ampute non seulement le film d’un total de 8 minutes, mais nous prive aussi de trois scènes qui éclairent le scénario en nous montrant quelques éléments ufologiques supplémentaires.

Cette première scène coupée se situe dans le courant de la scène 3.
Raccompagnant Lesley après leur premier rendez-vous thérapeutique, le Dr. Chase découvre une trace étrange dans le jardin de celle-ci.
Ce qui explique pourquoi une équipe de faux « géologues » vient faire des prélèvements de terrain à cet endroit dans la scène suivante (scène 4), et fait un lien avec la trace au sol qui sera découverte plus tard par les protagonistes de l’histoire, dans la scène 12.

- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

Traces physiques au sol, avec effet sur l’environnement, d’atterrissage d’ OVNI.
Plus spécifiquement, cela fait référence à la trace mystérieuse découverte près de la maison de Kathie Davis, dans l’ouvrage « Intruders » de Budd Hopkins (illustration en face de la P. 138 et Chap. 2). A moindre titre, la ligne de dialogue concernant « la lune » qui aurait atterri fait penser à une déclaration d’un des membres du couple Hill à propos de son abduction : « La lune semble avoir atterri dans la clairière ».

« Intruders » - Scène coupée 2


Cette seconde scène coupée se situe exactement entre les scènes 13 et 14.
Le fait qu’elle se situe juste entre le moment où le Dr. Chase a reçu les confidences de Jim sur un crash d’OVNI façon Roswell, et celui où il est convoqué dans le bureau de son supérieur hiérarchique donne un sens supplémentaire à l’histoire : on peut supposer que l’on envoie des MIB « prévenir » le Dr. Chase à partir du moment où il commence à en savoir trop et à rassembler véritablement des éléments positifs (confidences de Jim, découverte et photos de l’implant), et que parallèlement aux pressions exercés sur celui-ci, des consignes ont également été officieusement données à son supérieur hiérarchique pour augmenter la pression.

- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

Les « Hommes-en-noir » ou MIB (men-in-black), se faisant souvent passer pour des membres d’une institution officielle (ici : la NASA), qui viennent conseiller « amicalement » aux chercheurs s’étant penchés sur les « abductions » ou les OVNI d’abandonner leur recherche, et qui essayent de les décourager pour les inciter à se taire.

« Intruders » - Scène coupée 3

Cette troisième scène coupée se situe exactement entre les scènes 16 et 17.
En montrant que le « MIB » vu dans la scène coupée 2 est à la fois au courant de l’emploi du temps du Dr. Chase et le représentant du Général Hanley, cette scène fait le lien entre les différentes scènes précédentes montrant témoins et chercheurs sous surveillance illicite (scènes 4 et 7), les manœuvres de black-out militaire (scènes 1 et 13) et la rencontre avec le Général Hanley, dans la scène suivante, évoquant les groupes « ultra top-secret » chargés de gérer le dossier OVNI.

- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :

La visite d’ « Homme-en-noir » ou MIB (men-in-black) au domicile des chercheurs ou des témoins.
Le « messager » du Général Hanley en a d’ailleurs fortement l’apparence vestimentaire : imper noir et chapeau mou noir.

« Intruders » - Scène coupée 4


Après avoir revu récemment le film « Intruders » en DVD (présenté ici en 19 parties), il m’a semblé de mémoire qu’il manquait certaines lignes de dialogues. J’ai donc repris l’enregistrement VHS que j’avais faites sur Canal + du film en janvier 1994.
A la suite de cela, j’avais déjà repéré trois « scènes coupées » qui, pour une raison qui m’échappe complètement à ce jour, n’ont pas été retenues pour le montage final de la version DVD.
Avec cette scène coupée 4 d’une durée d’environ 3 minutes 30, cela porte actuellement à plus de 10 minutes le total de l’amputation effectuée sur la version originale.

Cette quatrième scène coupée se situe dans le courant de la scène 12, juste après la découverte de la trace au sol.

- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :  Traces physiques au sol, avec effet sur l’environnement, d’atterrissage d’ OVNI.

FIN.

Yves Herbo-SFH-12-2013/01-2014

Des siècles avant la Grande Muraille de Chine, il y en avait une autre !

Des siècles avant la Grande Muraille de Chine, il y en avait une autre !


La Grande Muraille de Chine, construite il y a plus de 2000 ans, se présente comme l'un des exploits monumentaux du génie antique. S'étendant sur des milliers de kilomètres, elle a protégé le pays nouvellement unifié contre les envahisseurs étrangers.

Mais avant la Grande Muraille, les dynasties chinoises en guerre ont construit beaucoup d'autres murs de protection. Un archéologue américain a récemment commencé l'arpentage un des plus grands d'entre eux.

Gary Feinman, qui est avec le Field Museum de Chicago, ne cherche pas à excaver ce qu'il appelle maintenant " la première Grande Muraille ". Il était allé tout simplement marcher autour de la province de Shandong à l'est de la Chine, pour regarder le sol comme tout bon archéologue, à la recherche de minuscules morceaux de poteries.

Mais il y a deux ans, il est tombé sur un mur de terre. A certains endroits, il avait 15 pieds de haut. Les gens savaient qu'il y avait un grand mur ancien à Shandong, datant d'environ 500 avant JC - Construit des siècles avant la Grande Muraille. Ce que Feinman a découvert semblait être une partie de cet ancien mur. " En arpentant cette zone... nous avons vu comment il avait été bien conçu, " dit-il. " Il va vraiment le long de la crête, au-dessus des plus élevées de ces montagnes très escarpées de l'est de Shandong. Dans la partie supérieure de sa ligne, il a été étonnamment bien conservé. "

Feinman a essentiellement suivi le mur. Il a été traçer son parcours, l'a cartographié, et pense qu'il peut se prolonger sur plusieurs centaines de kilomètres. " Personne n'a fait ça avant, " dit Feinman. " Personne n'a vu comment il serpentait... à travers une telle grande surface. "

Les Chinois qui ont construit le mur, ont utilisé une technique appelée « pisé ». Les travailleurs ont apparemment utilisé une terre à grain fin de basse altitude et en ont transporté des tonnes et des tonnes jusqu'au sommet de la crête, où ils l'ont jeté en couches. Puis ils ont commencé à battre ces couches jusqu'à ce qu'elles soient excessivement dures, dit Feinman - la création d'un mur assez dur pour survivre 2500 ans...

Une construction comme ceci sur des centaines de kilomètres a pris beaucoup de main-d'œuvre. Gideon Shelach, un archéologue à l'Université hébraïque de Jérusalem, dit que les dirigeants de la dynastie Qi ( qui a supervisé la construction du mur ) avaient beaucoup de mains d'oeuvre qu'il était nécessaire de garder occupé.

" Ils étaient très bons à recruter des gens pour la guerre, avant tout, " dit Shelach. " Avec autant de main-d'oeuvre, dit-il, les dirigeants pouvaient faire tout ce qu'ils voulaient faire aussi, donc ils ont commencé la construction de ces murs. "

In Jiaonan county, the Qi wall incorporates outcrops of bedrock. Linda Nicholas/The Field Museum

Contrairement à la Grande Muraille qui suivrait 300 ans plus tard, ce " Grand Mur Qi " n'a pas été construit pour se protéger des envahisseurs étrangers. " C'était un mur entre les grands Etats existants ", explique Feinman.

Les Dynasties régionales de l'époque ont employé des armées en constante expansion, et étaient constamment en guerre jusqu'à ce que un gars très dur nommé Qin Shi Huang a mis un terme à cela, avec ce que Shelach dit que c'était une armée presque inimaginable de puissance.

" L'armée de Qin qui a conquis tous les autres Etats avait [ quelque chose ] comme 1,5 millions de soldats qui se sont battus sur ​​plusieurs fronts pendant 10 ans », dit Shelach.

Qin Shi Huang a unifié les Etats de la région en 221 avant JC, et a créé - naturellement - la dynastie Qin. Les soldats de Qin étaient des modèles vivants pour les fameux guerriers en terre cuite qui ont été découverts en 1974 . Ces statues ont été enterrées avec Qin Shi Huang quand il est mort. Mais avant sa mort, Qin a réalisé que de bons murs font de bons voisins. Il a commencé à construire un autre mur dans le nord - encore plus grand que le mur Qi - et cette seconde barrière est finalement devenue une partie de la Grande Muraille que les gens connaissent aujourd'hui.

Two Shandong University graduate students check the width of the Qi wall in Shandong Province.- Linda Nicholas/The Field Museum

Feinman dit que le public chinois est intéressé par la redécouverte de la paroi antérieure à Qi, mais il y a beaucoup de constructions en cours dans la Chine rurale, qui menacent d'en engloutir des parties. Cela pourrait ne pas être une mauvaise chose, selon Feinman.

" Curieusement, " dit-il, " les parties [de la paroi Qi] servent désormais de bases pour les chemins de terre reliant les communautés. Alors, ce qui était autrefois un moyen de garder les gens séparés, est désormais un moyen de les réunir. "

Source : http://www.archeolog-home.com/pages/content/centuries-before-china-s-great-wall-there-was-another.html



Yves Herbo Traductions-SFH-01-2014

jeudi 2 janvier 2014

Série Docu-Drama « Les Visiteurs de la nuit »

Série Docu-Drama « Les Visiteurs de la nuit » (1996) - MAJ - FIN


Téléfilm « docudrama » réalisé par Jorge Montesi en 1996, sur le thème des crashes d’OVNI, maintenus secrets par des organisations gouvernementales, et plus spécialement inspiré par l’affaire du crash de Roswell.

Cette vidéo relate un sujet quelque peu suspicieux. Les histoires (aux faits analogues) de personnes ayant été victimes d'apparitions pendant la nuit. Le reportage laisse entendre qu'il s'agit de fantômes (descriptions détaillées des apparitions) qui usent parfois de violence envers les gens qu'ils viennent voir.

L'exemple typique est le suivant: pendant la nuit, des personnes sont réveillées par des bruits étranges dans la pièce. Des silhouettes noires apparaissent, qui deviennent parfois des agressions physiques (strangulations, coups, etc).

Quel crédit faut-il apporter à ces histoires ?

Des psychologues se sont penchés sur ces cas afin de déterminer si il ne s'agit pas, purement et simplement, de crises mentales qui se traduisent par des convulsions, des spasmes (ce qui rappelle les agressions citées). Peut-être est-ce le cas dans beaucoup de ces exemples, mais certaines histoires révèlent des détails pour le moins étranges.

Un couple de jeune new-yorkais raconte une histoire similaire: le jeune homme est très fréquemment victime de visites très violentes qui se traduisent par des coups d'une rare violence. Mentalement fatigué et moralement diminué, le jeune américain est saisi d'une terreur implacable. Il n'ose plus dormir, il n'ose même plus fermer les deux yeux.

Mais son témoignage est troublant car un soir, sa petite amie est témoin de ce phénomène. Elle prétend avoir vu l'agresseur de son concubin, et corrobore ainsi en tout point ce témoignage douteux.
Dans son genre de cas, il est très difficile de ne parler que de problèmes psychologiques. Alors comment interpréter ce type de phénomène? Peut-on affirmer d'une part que les esprits existent, et d'une seconde part que certaines personnes peuvent être suivies, hantées par des spectres malfaisants?
Ce reportage n'est donc pas le plus intéressant sur le sujet, mais c'est une pierre à l'immense édifice de cet ésotérisme constant, qui se banalise presque, et qu'on peut apprécier en tant que phénomène marginal, ou en tant que réalité empiriquement prouvée par de nombreuses personnes.

Source texte : http://www.mystere-tv.com/le-visiteur-de-la-nuit-v1328.html


Partie 1 :


Partie 2 :


Partie 3 :


Partie 4 :


Partie 5 :


Partie 6 :


Partie 7 :


Partie 8 :


Partie 9 :


FIN

Yves Herbo-SFH-12-2013

Montée des eaux : un immense aquifère découvert au Groenland bouleverse tout

Montée des eaux : un immense aquifère découvert au Groenland bouleverse toutes les données


C'est l’équipe du géographe Richard Forster qui a fait la découverte dans l'inlandsis groenlandais, plus précisément au sud-est de la calotte du Groenland. La découverte est décrite comme une immense nappe d'eau douce liquide, de 70.000 km² de surface et qui s'écoule sans arrêt dans un névé situé à plus de 10 mètres de profondeur. De quoi s'agit-il au juste ?

© NASA 2012

En principe, une nappe aquifère sur nos terres sont des formations géologiques où la roche est poreuse et laisse circuler librement l’eau. Ce sont des réservoirs d'eau renouvelables, alimentés par les rivières et autres cours d'eau pour la plupart. Mais les scientifiques ont découvert récemment plusieurs exemples de nappes phréatiques non renouvelables, prisonnières sous les océans dans des bulles de gaz bloquées par des roches non poreuses. Et le clou de cette découverte au Groenland est qu'elle ne correspond à aucun de ces types de nappes aquifères, mais que la roche poreuse y est remplacée par une saturation de glace laissant passer de l'eau douce qui ne gèle jamais de l'année.  On appelle ça un névé, une sorte d'énorme couche de neige très compactée qui ne fond pas, même à des températures au-dessus de zéro.


Et ce névé créé la surprise car aucune donnée du GIEC ou de suivi de l'évolution des fontes des glaces n'avait révélé ce genre de chose. On sait bien que la fonte de la calotte du Groenland s'est considérablement accélérée ces dernières années : le GIEC annonce dans son cinquième rapport que la fonte de la calotte du Groenland avait atteint 215 Giga-Tonnes/an entre 2002 et 2011, alors qu'elle n'était que de 34 Giga-Tonnes par an entre 1992-2001... (valeurs sûres à 99%).


Notons que les modèles de prévision climatique, dans les calculs de modifications de masses dans la calotte groenlandaise, ne pouvaient prendre en compte les mécanismes et la dynamique du stockage de l'eau douce dans les névés (non connus jusqu'à présent en cet endroit). Ces calculs ne prennent en charge que l'écoulement de l'eau de fonte se dirigeant vers les rivières et lacs de surface, puis les courants sous-glaciaires en profondeur. Cette nouvelle découverte va donc permettre d'affiner le suivi de la fonte de cette immense calotte glaciaire (il faut prévoir au minimum une élévation générale des eaux de 6 mètres si elle fondait intégralement !) et de comprendre éventuellement ou confirmer les raisons de cette accélération des fontes.


Cette étude, publiée dans la revue Nature Geoscience, fait suite à deux années d'analyses de données concernant une région du sud-est de la calotte groenlandaise qui possède des caractéristiques particulières : elle reçoit 32 % du total de la neige annuelle alors qu'elle ne fait que 14 % du quart sud-est de l'inlandsis. Dès 2010, Richard Forster étudiait la zone à l'aide de données radar (prises au sol et d'avion) de la NASA, puis a réalisé trois forages pour analyser les carottes de glace. L'année suivante, quatre autres forages plus profonds ont été effectués, et de l'eau liquide a été trouvée à 10 et 25 mètres de profondeur.

© YouTube, University of Utah

Pour l'instant, tous les spécialistes reconnaissent que ces nouvelles données sont très importantes, mais que leur impact est encore inconnu dans l'équation. Il pourrait être positif comme négatif, suivant qu'il conserve effectivement l'eau de fonte et aide à ralentir les effets du changement climatique, ou au contraire, que la circulation aisée de l'eau douce entre les cristaux de glace pourrait agir comme un lubrifiant et amplifier le déplacement de la glace et banquise vers les océans et donc empirer le tout. Certains pensent déjà que l'accélération de la fonte ici pourrait être aussi due à ces névés qui sont peut-être récents et eux-mêmes les premières conséquences du réchauffement du thermomètre... on pourrait peut-être d'ailleurs faire un parallèle avec l'Antarctique, qui a vu son inlandsis augmenter beaucoup ces derniers temps : des névés s'y créent aussi ? Accélérant aussi la chute de la banquise des montagnes dans l'océan ?

Yves Herbo-SFH-12-2013

mercredi 1 janvier 2014

Les Mystères Australiens : La pyramide Gympie

Les Mystères Australiens : La pyramide Gympie

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L'Australie est probablement l'une des plus grandes îles mystérieuses de la planète : malgré son éloignement dans le Pacifique sud, c'est un endroit où l'on rencontre les descendants des premiers hommes modernes les plus fidèles aux originaux arrivés il y a 50 à 60.000 ans et sans apports d'autres ADN très longtemps : un peuple longtemps isolé, des animaux très spécifiques et uniques dans le monde et une longue Histoire préhistorique chargée de mystères, qui commencent à peine à émerger. Il faut dire que les problèmes de territoires entre tribus de natifs n'ont jamais arrangé les choses à ce niveau.

Plusieurs chercheurs ont trouvé des traces de ces premiers humains arrivés il y a si longtemps, par canoës obligatoirement au minimum, même si la mer était plus basse de 100 mètres à l'époque et leur provenance était de l'Afrique, sans nul doute, et sans avoir rencontré ni "socialisé" avec d'autres groupes humanoïdes lors de cette longue première (?) migration. L'ADN des autochtones australiens est exactement similaire à celui des africains d'après une étude assez poussée et il n'y a pas traces de Homo Erectus, contrairement aux hypothèses émises précédemment. Pourtant, on a jusqu'à présent retrouvé beaucoup plus de squelettes et traces d'Homo Erectus dans tout le Pacifique et Australie que de squelettes d'Homo Sapiens, même archaïque. D'ailleurs, il semble que l'on ait trouvé au moins deux types d'Homo Sapiens différents en Australie : le plus vieux squelette trouvé jusqu'à présent vers le lac Mungo date de 62.000 ans et il est gracile, bien proportionné, alors que ceux trouvés dans la région de Willandra ont un crâne doté d’os très épais, avec un bourrelet suborbital plus archaïques, alors que plus récents que ceux du lac Mungo. Les archéologues expliquent cette différence par une régression dû à l'isolement, mais il est tout aussi possible que deux populations (et même erectus ou néandertal) aient été voisins pendant une période sans vouloir se mélanger du tout, ou tout simplement en finissant par anéantir la population la plus faible et la plus "arriérée".
Mais il y a d'autres mystérieuses découvertes en Australie, probablement en liaison à cette lointaine époque dont nous savons si peu de choses. Il y aura donc une suite d'articles sur le même thème des mystères de l'Australie et probablement un dossier mis à jour ensuite dans les pages.

Commençons par la pyramide Gympie avec une enquête jamais résolue de Greg Jefferys

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La soi-disante "Pyramide Gympie" est située à l'extrémité sud-est d'une crête rocheuse au point marqué d'une croix bleue sur la carte.
Vous verrez une petite place sur la jambe inférieure gauche de l'X, il s'agit des restes d'un chantier d'abattage (environ 400 mètres du bord du site). La ligne de chemin de fer traverse désormais cet endroit vers le nord.
À environ 5 km au nord du canton de Gympie dans le sud est du Queensland se trouve une structure (ou une série de structures) qui est devenu connue comme la « Pyramide Gympie ». Il y a eu de nombreuses explications divergentes quant à ses origines et sa fonction. Certaines de ces revendications ont été très controversées et beaucoup ont attiré l'attention des médias au début en 1956 jusqu'à aujourd'hui. 

La structure et sa situation

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Cette photo est censée avoir été prise avant la destruction du site par des bulldozers mais aucune preuve ni dates n'étayent cette hypothèse (Brett Green)

La pyramide Gympie se trouve à l'extrémité est d'une crête de grès à environ 5 km du centre de Gympie sur la route Tin Can Bay (Carte de référence: R733 Series Fiche 9445:. N060: E690).

Mais l'appeler une pyramide serait lui attribuer les caractéristiques d'une structure qu'elle ne semble pas avoir, c'est une construction mégalithique. Bien qu'il y ait une forme grossièrement pyramidale cela découle surtout de la forme naturelle de la borne de crête qui a été renforcée par une série de terrasses sur le sud-est et sud-ouest des pentes. A ce stade, il semble y avoir six de ces terrasses dont la première débute à environ 60 mètres au-dessus du niveau des mers.

Les quatre premières terrasses sont d'environ 10 mètres de large, la cinquième est d'environ cinq mètres de large, et la sixième est de 2 mètres de large. La dernière terrasse est d'environ 100 mètres au-dessus du niveau des mers. Au-dessus de la dernière terrasse est une masse de blocs de grès énormes qui constituent le sommet.

La dernière terrasse est aussi celle qui a soit conservé sa forme originale ou la plus complète qui a été construite et la plus efficace pour résister aux actions des intempéries. Le fait qu'elle serait moins soumise au ruissellement des pluies abondantes, parce qu'elle est proche de la crête de la colline, est la raison la plus probable pour son bon état. La région de Gympie est ainsi soumise à 50 pouces (1m27) de chute de pluie par an. Cette pluie a tendance à tomber dans une saison «humide» caractérisée par des chutes occasionnelles très fortes sur de courtes périodes de temps (10 pouces (12,7 cm) en moins de 24 heures possibles). Des bulldozer ont également été utilisés sur la partie inférieure de la pente dans le début des années 1960 (communication personnelle T. Jones, 1989).  L'autre facteur probablement responsable de la détérioration progressive des terrasses du plus haut vers le plus bas et la diminution proportionnelle des murs en pierres apparentes et intacts est l'action de bovins qui ont frôlé la zone pendant un certain temps. Il y a de meilleures nourritures sur les terrasses inférieures.

En marchant sur une ligne ascendante à partir du bas de la pente SE, la première terrasse semble être formée de terre, bien que l'herbe longue et l'érosion peuvent avoir oblitéré les restes de murs de pierres.

Sur la deuxième terrasse il y a seulement deux sections de murs de pierres bien visibles, chaque section étant d'environ 2m de longueur. La troisième terrasse comporte deux sections visibles, l'une d'environ 6m qui ensuite se casse vers le bas ou est enterré sous les feuilles, la terre et l'érosion générale sur environ 10m jusqu'à ce qu'elle redevienne visible sur une autre longueur d'environ 3m.

La quatrième terrasse de 32m présente des murs en pierres raisonnablement intacts. La cinquième terrasse présente plus de 80m de paroi continue qui se termine dans un monticule de 90 degrés d'angle, dont l'intégrité a été perturbée par un camphrier Laurel d'environ 30 ans d'âge qui pousse au milieu de la butte. La section du coin du mur est formée par des roches beaucoup plus importantes avec évidence que dans d'autres parties de la paroi. Certaines de ces roches pèseraient environ une tonne ou un peu plus.

Le mur au-dessus de la dernière terrasse semble être une utilisation de la formation rocheuse naturelle existante du pic.

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Les ruines de ce qui a été nommé la "tourelle" sont bien réelles (photo by Mick Dale)

La superficie totale en terrasse serait d'environ un hectare. Les pierres dont les parois sont faites ne montrent aucun signe d'être usinées par des outils, mais en fonction de l'âge de la structure, les marques d'outils auraient été exposés aux intempéries alors que le grès est relativement doux. La plupart des blocs pèsent entre 10 et 20 kg sans traces qu'il y ait uniformité dans la taille évidente à ce stade. Il y a de plus grandes pierres dans les murs de certaines sections et des pierres aussi petites qu'un kilo sont utilisées pour caler les grosses pierres. Bien qu'il n'y ait aucune preuve de terrasses sur les pentes septentrionales qui sont raides et couvertes de rochers très petits, les pentes du sud-ouest ne présentent pas de signes de terrasses mais d'autres structures qui ne sont pas des terrasses. L'une de ces structures non en terrasse est une section semi-circulaire de mur en pierres d'environ 2m de diamètre (voir photo 1). Il existe des preuves de fouilles récentes dans le centre de cette structure à une profondeur d'environ 0,5 m. L'inspection de cette fouille montre que la structure semble avoir été rempli d'un sol graveleux. J'ai appelé cette structure une "tourelle", car il m'a rappelé les restes de tourelles romaines de garde que j'avais vus autour de la base de Massada.

Les restes d'un monticule de pierres sont situés à environ 5 m derrière la "tourelle" structure. En raison de l'épaisseur de la croissance au cours de cet arbre lantana, il n'était pas étroitement contrôlé.

Au sommet de la pyramide, sur une sorte de plate-forme de zone, il y a ce qui semble avoir été un abri sous roche autochtone sous la corniche d'un gros rocher. Se trouvent à proximité deux grandes meules entières, l'une et l'autre brisées (voir la photo 2.). Ce sont des pierres massives de plusieurs centaines de kilogrammes. La profondeur et la finesse de la section de roulement indique un usage intensif.

Les recherches antérieures.

Comme indiqué ci-dessus la "pyramide" a, à plusieurs reprises, fait l'objet de controverses, de spéculations et d'une quantité d'attention des médias. En conséquence de cela, la division archéologique du gouvernement du Queensland a commandité le Dr Michael Morwood de faire une étude archéologique du site. Morwood semble avoir fait une enquête raisonnablement brève du site qui a manqué plusieurs caractéristiques majeures de la structure. Malheureusement, il y a un biais long toujours d'actualité contre les anomalies archéologiques qui ont tendance à forcer les universitaires aveugles à les approcher. Cette étrange «cécité» semble avoir amené à conclure que la structure avait une fonction agricole.

Il déclare: « Il semblerait que la structure était de la fonction agricole et horticole résultant du nettoyage de l'angle sud-ouest de la crête Les terrasses ne s'étendent pas (GJ : c'est moi qui souligne) sur le versant sud-est qui n'est pas propice à l'agriculture. ... ... " (Morwood 1976). Mes recherches ont montré qu'il existe clairement une preuve de terrasses étendues sur les pentes sud-est, même si je suis entièrement d'accord avec Morwood que ces pistes sont impropres à l'agriculture.

Une autre personne qui a examiné la "pyramide" est un M. Rex Gilroy, qui attribue à une vision diffusionniste culturelle forte et voit la structure être d'origine égyptienne. Gilroy a également enquêté sur un objet en pierre qui a été labouré dans le paddock d'une propriété adjacente au début des années 1960 par la personne qui cultive là-bas. Il s'agit d'une statue d'environ 1m de haut. Il semble y avoir une formation naturelle qui a une certaine ressemblance avec la partie supérieure d'un torse humain masculin. Cette ressemblance a été renforcée par la sculpture d'un visage dans la section tête. Le visage est très stylisée et ressemble, dans une certaine mesure, aux objets trouvés en Mélanésie et dans les Andes. Le fait que la statue ait été trouvée dans la proximité de la "pyramide" peut en déduire qu'il existe une relation entre les deux.

Une gamme d'autres groupes ont manifesté leur intérêt pour la "pyramide" et certains d'entre eux comprennent " l'Ordre des Anciens Astronautes ", qui dispose d'une base à Brisbane et un groupe occulte de Gympie qui comprend plusieurs personnes qui affirment un certain degré de capacités psychiques. J'ai interviewé l'un d'eux, une Mme Betty Dodd, qui a affirmé avoir vu une apparition vêtue deblanc à la «pyramide». Elle a également indiqué qu'une de ses amies a été incapable de s'approcher de la "pyramide" sans éprouver un sentiment de vertige ou d'autres formes de détresse.

Un autre local, M. Trevor Jones, un ouvrier forestier, a relié l'emplacement à ce qu'il a entendu parler des traditions autochtones locales. C'est-à-dire qu'il y avait certains endroits où les Aborigènes croyaient qu'il était dangereux d'aller en raison de la présence de mauvais esprits ou d'autres entités, et que la "pyramide" pourrait entrer dans cette catégorie de lieux.

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L'un des restes de murs de pierres de la "pyramide"

Origines possibles
A ce stade, en raison de la quantité limitée de données disponibles sur ce sujet, il est difficile de présenter des conclusions fermes quant aux origines de l'ouvrage mais les possibilités qui existent se divisent grosso modo en trois catégories :

1. Que la structure a été créée à un moment donné dans le temps après la colonisation européenne de l'espace et avait une sorte de fonction agricole (Morwood 1976).
2. Que la structure a été créée à un moment donné avant la colonisation européenne et que la construction était autochtone.
3. Qu'il était une construction pré-européenne et des non-Autochtones.
Le principal défi de la première possibilité, qu'il est d'origine européenne, est de savoir qui l'a construite et dans quel but. La notion selon laquelle il a été construit pour un certain genre de produit agricole (comme la culture de la vigne ou du vin de table par les migrants italiens a été suggérée par une rumeur locale et renvoyée par Morwood dans son journal) paraît raisonnable à première vue.

Pour tester cette théorie, j'ai examiné les registres locaux (listes électorales, les titres fonciers et les registres du cimetière).

Ceux-ci ont clairement montré qu'il n'y avait aucune communauté italienne en vigueur dans Gympie comme de tout temps avant la Seconde Guerre mondiale (la structure peut être en toute sécurité question date sur au moins 40 ans par la croissance des arbres au-dessus). Aussi, si il a été un vignoble, il aurait eu une capacité de production de plus de 40.000 litres par an en utilisant les méthodes traditionnelles de culture italiennes (Notarianni: 1989 communication personnelle) qui serait une énorme quantité de vin et aurait nécessité la construction d'un gamme d'équipements associés, comme les cuves de stockage, les caves de stockage et ainsi de suite dans une proximité raisonnable du site et dont quelques vestiges ou de disques devraient encore exister. Un peu plus loin on s'attendrait à trouver quelques vestiges des endroits utilisés pour le palissage des vignes. Aucun n'a été trouvé à ce moment-là.

D'autres points sont contre l'utilisation agricole, rien qu'à eux-seuls les aspects sur les terrasses du sud. La communauté agricole locale favorise presque inévitablement les pentes septentrionales qui donnent le meilleur éclairage du soleil et la chaleur en hiver, quand le gel peut être un problème. La question se pose également de savoir pourquoi l'énorme investissement de temps et d'énergie nécessaire à la terrasse d'une surface aussi grande devrait être dépensée lorsque des zones beaucoup plus appropriées pour l'agriculture (c'est à dire avec des meilleurs sols, pentes, d'accès et d'aspect) qui ne nécessiteraient pas de terrasses existent en abondance autour de cette zone. Le sol de la zone, comme le note Morwood, est très pauvre, peu profond " au mieux squelettique » (Morwood 1976). Aucun des remblais n'en montre un signe, y compris l'introduction de sols plus fertiles.

Le terrassement dans l'agriculture est une activité qui se produit en général seulement quand la terre est rare par sa nature, il s'agit d'un exercice d'une exploitation ou utilisation intense d'une zone marginale. La région de Gympie est luxuriant, une région fertile avec de nombreuses collines ondulantes avec des types de sols profonds. C'est le cas aujourd'hui comme  il l'était il y a 100 ans. De riches plaines alluviales et les pentes douces existent en abondance à moins de 500 mètres dans toutes les directions de la "pyramide". La zone mitoyenne est unique en ce qu'elle est sans doute la région la moins propices à l'agriculture dans un rayon d'au moins plusieurs kilomètres. Si elle n'a pas été construite pour l'agriculture alors pour quoi faire ?

Des Terrasses pré-européennes ?

Un autre argument contre la structure comme étant d'origine historique se trouve dans les dossiers du gouvernement du Department des terres du Queensland. La structure est en fait entrecoupée entre trois titres fonciers distincts ou des titres de baux miniers. Le premier d'entre eux a été accordé le 30/06/1892 pour un bail d'exploitation minière (No.1484) à un RH James qui détenaient le bail pour 11 ans, le bail a été ensuite transféré à Edwards en 1903. Ce bail était pour cinq acres de terre et prennait à peu près 50% de la superficie totale des terrasses (voir annexe). En 1929 et 1931, les contrats de location, contigus de chaque côté du premier bail ont été repris par Drummond et Parke à titre de copropriétaires, en 1932 Drummond a acquis les 5 hectares de bail 1484. C'était la première fois que la propriété de la «pyramide» a été officiellement unie. La présence de vieux poteaux de clôture et les vestiges de fil de fer barbelé sur ces passages qui traversent à travers les zones en terrasses indique que la région a probablement été utilisée pour le bétail de pâturage au cours de la propriété Drummond, bien que cette déduction n'a pas encore été vérifiée fermement. Drummond et Parke ont occupé les trois baux jusqu'en 1961, date à laquelle ils ont été acquis par Ward qui les a occupé jusqu'en 1973, année où elles ont été acquises par Blackmore qui a ensuite divisé les contrats de location - retour en blocs individuels - en les vendant en 1981 et 1982 à des groupes distincts.

A partir de cette histoire de la propriété, nous voyons que les baux trouvés, dont la structure "pyramide", étaient détenus par les mêmes personnes de 1929 à 1961. Comme la première controverse sur ses origines parue dans la presse locale en 1956 (Hall: 1989 communication personnelle), il s'ensuit que les propriétaires de l'époque auraient su si elle avait été construite par eux-mêmes ou pendant la période de leur propriété. Si le terrassement a été fait avant 1929, pourquoi tout groupe ou individu aurait réalisé des oeuvres longues et coûteuses sur des terres dont ils ne détiennent pas les titres, compte tenu notamment de la facilité d'acquisition et le faible coût de ces contrats à cette époque?

Le problème avec la possibilité de l'origine pré-européenne, c'est que tandis que les Aborigènes ont été connus pour construire des terrassements importants sous la forme de cercles Bora, il n'y a pas de tradition connue de colline en terrasses parmi les populations autochtones australiennes (la même chose s'applique aux populations australiennes européennes). Il peut être possible que si la structure est pré-européenne, il existe une relation entre la technologie des murs de pierres utilisée sur les terrasses et la construction de murs de pierres utilisée dans les pièges à poissons de Toorbul Point, qui est une paroi continue entourant une zone d'environ 70m sur 35 m (Walters, 1985). Même s'il y avait une relation dans la technique de construction, il serait extrêmement difficile de trouver une justification fonctionnelle pour les terrasses qui ne pouvaient pas avoir la valeur de subsistance même que les pièges à poissons.

Une non-utilisation fonctionnelle des structures en pierre a été notée dans le centre de l'Australie par Mountford, au sein de la tribu Pitiandadjara. Dans ce cas, d'inhabituelles dalles rectangulaires de pierre d'une hauteur d'environ 1 m ont été érigées en modèles géométriques (Mountford 1958).

La possibilité de non-autochtones et non d'origine européenne.

À ce jour, il n'y a eu aucune preuve étayée pour une pré-européenne et non-Autochtones présence sur la côte Est de l'Australie. C'est peut-être inhabituel étant donné la proximité relative de l'Australie par rapport aux îles de la Mélanésie et la Polynésie avec leurs populations de nations maritimes. L'Australie est à proximité des centres d'expansion océaniques tels que la Nouvelle-Calédonie, les Nouvelles-Hébrides et les îles Fidji. Dans le cas des deux premiers, elle est beaucoup plus proche que la Nouvelle-Zélande qui a été largement colonisée par plusieurs vagues de colons, les plus susceptibles de Fidji (Bellwood 1978).
Sur cette base, il est possible que la structure soit d'origine polynésienne. Les Polynésiens ont certainement une tradition de collines en terrasses dans la construction de forts et à des fins religieuses (Bellwood 1978) et de nombreux exemples de ceux-ci sont trouvés tout au long de la Polynésie. Les monticules-dieu des Tonga et les forteresses du village de Rapaiti étant deux exemples. Les structures des murs de pierre sur Rapaiti (Heyadahl 1958) portent d'assez fortes ressemblances avec les terrasses de Gympie.

L'accès à la zone de l'océan aurait été relativement facile par la rivière Mary mais il est difficile de voir pourquoi un peuple serait allé si loin en amont du fleuve, en particulier si elles étaient de traditions maritimes.

Le site est bien situé pour une forteresse commandant des vues étendues et ininterrompues du terrain environnant plat. Les pentes sont raides et faciles à défendre. Les blocs anormalement formés sur le sommet pourraient facilement être adaptés pour faire d'excellents parapets. Une source permanente d'eau douce est disponible d'une source sur le versant sud-ouest et fertilise la plaine arrosée par un ruisseau considérable permanent qui existe en abondance à la base de la "pyramide", à l'est et au sud.

La découverte d'une statue de style océanien dans un champ voisin peut prêter appui à cette hypothèse.

Conclusion

Cette enquête, étant seulement de nature préliminaire, tend à indiquer qu'il y a encore une série de questions concernant ce site, le plus important est d'établir l'âge de la structure. Les indications sont qu'il a au moins 60 ans et que de plus amples informations sur son âge ne seront acquises que par:

1. Contact d'une source de vie individuelle ou historique qui contient des informations sur son origine.
2. En utilisant la dendrochronologie sur des arbres vivants et morts qui se sont développés depuis que les terrasses ont été faites.
3. Faire une analyse stratigraphique des emplacements sélectionnés.
4. L'obtention d'un matériau approprié pour la radio-datation au carbone.

S'il y a le moindre crédit à l'idée que la structure aurait des origines pré-européennes et non-Autochtones, on s'attendrait à ce qu'une enquête plus approfondie du site se transformerait en preuves sous la forme d'objets qui sont hors de leur contexte avec la culture matérielle des Autochtones. Si la structure était une forteresse de quelque nature, y compris éventuellement des résidences, on s'attendrait à ce que les restes de structures d'abris soient trouvés. Je voudrais également anticiper que la preuve d'une sorte de barrière comme un poteau, ou une clôture, d'une tranchée serait trouvée sur la crête derrière le sommet de la pyramide. (Fin).

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Cette solide statuette de bronze est probablement d'origine tibétaine ou birmane. C'est une déité femelle a quatre bras armée, possiblement la déesse Tara. Elle a été trouvée pas très loin de la pyramide Gympie par un pêcheur embourbé dans un lit de lave d'une crique qui a été récemment érodée par les grosses pluies. La corrosion importante du bronze montre qu'il est très vieux. Mais puisqu'il n'y a aucun contexte archéologique ou géologique, nous ne pouvons être certains de son âge : ne pas enlever un objet archéologique d'un endroit sans en relever précisément la position. La statuette n'a pu être prise en considération par la science officielle rien que pour ces faits. (Mick Dale)

Maître de conférences en archéologie à l'Université de Queensland, le Dr Prangnell démontre le visage classique d'une approche peureuse de l'establishment du Queensland archéologique aux questions entourant les origines de la pyramide Gympie, en déclarant dans une interview avec le rédacteur en chef du Gympie Times du Septembre, 9e 2006 ; .... « L'Université n'a pas l'intention d'essayer de tester le mythe et que toute fouille sur le site (de la pyramide Gympie) serait tout simplement donner de la crédibilité à quelque chose qui était impossible."

Le document ci-dessus a été marqué et caché dans les fichiers du Dr Jay Hall pendant environ 10 ans jusqu'à ce qu'une requête de Tristan (le webmaster du blog Awarenessquest.com,) pour toute information sur la pyramide Gympie mette le papier dans la lumière de jour.

Tristan m'a contacté pour obtenir la permission de publier le document sur son site et en conséquence j'ai fait la connaissance de Tristan et d'un certain nombre d'habitants de Gympie et autres intéressés à enquêter sur le puzzle de la pyramide Gympie. L'un d'eux était Brett Green, qui a écrit plusieurs livres sur le sujet et dont le travail représente le plus grand ensemble de travaux dans le mystère de la Pyramide Gympie.

À la suite de ces rencontres, j'ai été invité à inspecter le site à plusieurs reprises au cours desquelles j'ai pu développer mes observations originales et comparer leurs notes avec d'autres chercheurs.
Brett Green, généreusement, m'a permis d'inspecter son travail et les résultats qui ont été obtenus.
Ici, je dois dire quelques mots sur le travail de Brett, qui a suscité certaines critiques assez venimeuses de diverses sources de l'«establishment».

Le travail de Brett est typique de l'œuvre produite dans le monde entier par des historiens amateurs enthousiastes qui n'ont aucune formation professionnelle ou académique, mais beaucoup d'enthousiasme pour leur sujet. Avec les meilleures intentions ces braves gens courent sur l'accumulation de grandes quantités d'informations sur leur sujet de prédilection et empilent le tout dans un commentaire intéressant que d'autres amateurs enthousiastes trouvent fascinant et instructif, mais qui ne résiste pas souvent bien à l'examen par les critiques universitaires formés professionnellement. Cela n'enlève rien à la valeur de ce type de travail qui a pour effet bénéfique une argumentation stimulante sur un sujet qui, autrement, serait passé inaperçu et sans écrits. Le travail de Gavin Menzies "1462 L'Année où la Chine A Découvert le Monde " est un excellent exemple de ce type de travail. Il a atteint de nombreux lecteurs du monde public et a été un best-seller international, mais comme document historique c'était une chose très pauvre !

Au crédit de Brett, il a volontiers accepté la critique constructive et les modifications apportées à son site Web et un travail écrit à la suite.

Cela dit, la discussion du travail de Brett Green m'amène à un incident intéressant qui montre les attitudes venimeuses et non scientifiques que des membres de l'historique et archéologique "establishment" sont prêts à embrasser quand il s'agit du sujet de la pyramide Gympie. Ceux-ci sont encapsulés dans un article paru dans le Times Gympie, du 9 Septembre 2006, que je viens de citer en haut de ce paragraphe. Mis à part le Dr Prangnell, Times Gympie a également cité un livre écrit par le censé hautement qualifié historien local Docteur E. Brown. Le présent document par le Dr Brown m'a été envoyé pour commentaires par le rédacteur en chef du Times Gympie avec la promesse que le Dr Brown fournirait ses sources de référence. Qu'il suffise de dire que les références ne vinrent jamais et j'ai trouvé que le papier de Brown avait plus de trous et de défauts que ce que devait avoir le Titanic...

Source : http://www.stradbrokeislandgalleon.com/Gympie.html  - Traductions Yves Herbo



Ce n'est que récemment, en 2005, que des enquêtes archéologiques et géologique sérieuses ont eut lieu. Depuis, des membres de la Société Dhamurian, un groupe de chercheurs, espère être en mesure d'acheter le site en cours de vente et construire un bâtiment comme un petit musée qui sera ouvert au public tout en continuant à nous priver de cette histoire perdue... alors qu'une construction d'une extension du chemin de fer risque de compromettre le tout...

Des légendes autochtones racontent qu'il y avait des mers intérieures qui s'étendaient à Tin Can Bay, les géologues croient également qu'un ancien port a été une fois connecté Gympie à Tin Can Bay il y a aussi longtemps que 1000 ans. Ils allaient jusqu'à ce port, selon la légende aborigène, en naviguant sur de grands canots pour construire une montagne sacrée et venaient dans la zone pour prendre les décombres jaune (*) pour leurs navires.

Le nom de Gympie est une interprétation moderne du nom autochtone "Gimpi-Gimpie" qui a le sens "arbre piquant", en référence à l '«esprit gardien des pierres jaunes». Comme les autochtones n'ont jamais exploité l'or, il pourrait y avoir une relation forte avec l'endroit de la montagne chinoise de "Gin'pi" (la place de l'or), où ils disent avoir visité un grand pays au sud à la recherche de la pierre jaune. Et quand on sait qu'un empereur chinois a envoyé une flotte de découverte dès 1420, il n'est pas impossible que la relation soit là.

Traductions Yves Herbo SFH 02-2013

Cet article est en lien avec ces autres, publiés également sur ce site : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/des-egyptiens-anciens-en-australie-part-2.html  (lien Partie 1 inclus) + http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/decouverte-de-l-entree-d-un-tunnel-antique-en-australie.html

MAJ 30-12-2013 : La pyramide de Gympie en Australie décrite dans le Ramayana
 

" La Pyramide Gympie est une structure faible terrassée, située dans la périphérie de Gympie dans le Queensland, en Australie.

Beaucoup d'archéologues prétendent que cette structure a été construite par les immigrants européens à la fin du 19e siècle ou du début du 20e siècle. (YH : mais on a vu plus haut que c'était hautement improbable).

Peu prétendent qu'elle dispose d'une connexion latino-américaine ( Inca ) en raison de la prédominance d'un cactus du Sud ou originaires d'Amérique centrale dans cette zone.

Peu sont même allés jusqu'à affirmer que cette pyramide a été créée par les Égyptiens, qui avaient des opérations minières en Australie il y a des siècles, avec des bases de fonctionnement atteignant aussi des endroits éloignés comme les Blue Mountains en Nouvelle-Galles du Sud.

Même une connexion chinoise a été imposée à elle comme sa taille, sa hauteur et ses formes sont typiques des plates-formes d'observation de la dynastie Ming et il aurait été logique pour les Chinois de construire des observatoires pour déterminer avec précision l'emplacement des richesses phénoménales qu'ils avaient découvertes.

Pyramide Gympie - La connexion Ramayana

Dans l'épisode Kishkinda Kanda du Ramayana, le Sage Valmiki décrit ​​les plans du roi Vanara Sungreeva d'envoyer 4 équipes dans 4 directions pour trouver Sita, qui a été enlevée par Ravana.

En ce qui concerne l'équipe qui s'est dirigée vers la direction Est, il décrit que, après avoir traversé l'océan sur la côte est de l'Inde, on peut trouver Yava Dwipam (Île Yava), qui est l'île de Java d'aujourd'hui de l'Indonésie.

यत्नवन्तो यव द्वीपम् सप्त राज्य उपशोभितम् |
सुवर्ण रूप्यकम् द्वीपम् सुवर्ण आकर मण्डितम् | | 4-40-30
यव द्वीपम् अतिक्रम्य शिशिरो नाम पर्वतः |
दिवम् स्पृशति शृन्गेण देव दानव सेवितः | | 4-40-31
ततो रक्त जलम् प्राप्य शोण आख्यम् शीघ्र वाहिनीम् |
गत्वा पारम् समुद्रस्य सिद्ध चारण सेवितम् | | 4-40-33

Valmiki descrit l'île de Yava comme apparaissant en couleur dorée (due aux rayons du soleil) et là après, on trouve une montagne appelée Shishira.

Puis il mentionne des «eaux rouges rapides de la rivière de Shona. ( Shona ' ( शोण ) signifie « rouge » en sanskrit )

La il leur demande de rejoindre une île appelée Plaksha (de figuier), et plus loin à l'île Ikshu (canne à sucre). Ils seront alors face à un océan déchiré furieux et tempétueux et ses îles.

Après cela, il y a un autre océan nommé Lohita. ( Lohita signifie «jaune», mais les eaux sont décrites comme un mélange de jaune et de rouge. Ceci est probablement la mer de Corail de l'Australie d'aujourd'hui.

Après avoir traversé la mer, Valmiki dit qu'on peut voir le plus grand des arbres " Shalmali ' ( शाल्मलि ) sur une île.

Le nom botanique pour le sanskrit " Shalmali " est Salmalia Malabaricatralia et est aussi appelé Bombax Ceiba. Il est originaire d'Asie de l'Est et du Nord de l'Australie. Ce doit être l'île Fraser.

Le Bombax Ceiba est une espèce d'arbres à soie-coton, parfois connu sous le nom Kapok dans le nord de l'Australie et les ' Shalmali ' sont de grands arbres qui grandissent à une hauteur de 80 pieds. Vishnu Purana se réfère à l'Australie comme « Shalmali Dwipa » en raison de la présence de ces arbres.

Le Verset 4-40-40 mentionne une énorme montagne comme une structure sur cette île, qui a été construite par Viswakarma, un architecte « céleste», responsable de la construction de nombreuses villes et structures (probablement les gigantesques mégalithes) à travers le monde.

गृहम् च वैनतेयस्य नाना रत्न विभूषितम् |
तत्र कैलास संकाशम् विहितम् विश्वकर्मणा | |
( gRiham ca vainateyasya naanaa ratna vibhuuSitam |
tatra kailaasa sa.nkaasham vihitam vishvakarmaNaa | |) 4-40-40

Traduction : " Sur cette île Shalmali dans l'océan de vin, vous allez voir la maison du fils de Vinata, à savoir Garuda, l'aigle-véhicule de Vishnu, qui est décorée avec de nombreux bijoux, et qui, dans l'éclat sera comme le Mont Kailash, la demeure de Shiva. Ce manoir est une construction de Viswakarma, l'architecte céleste. "

Aujourd'hui, la seule île que l'on peut atteindre après avoir traversé l'Indonésie est l'Australie et la Pyramide Pyramide est située sur la côte ouest.

Le site de la pyramide de Gympie dans le Queensland est à environ 120 Km de l'île Fraser. Valmiki indique que, après avoir passé cette structure gigantesque, on verra un rivage qui est blanc et en forme de collier. C'est probablement la côte au large de Brisbane.

Le Ramayana mentionne ensuite un océan lacté, une haute montagne du nom de Rishaba, un lac argenté appelé Sudharsha, et un beau terrain habité par les « Devas », « Apsaras » et « Kinnaras ».

Cela devrait être la Nouvelle-Zélande (avec les lacs et à proximité de l'Australie).


Dieu védique Ganesha trouvé à Gympie

Même si les archéologues modernes essaient de prouver quelque chose d'autre, des artefacts comme le Dieu védique Ganesha et une déesse dans une posture Padmasana, assis sur une fleur de lotus, ont été trouvés à Gympie, ce qui indique que l'histoire du monde antique est bien différente de ce qu'on nous fait croire. "


Traductions Yves Herbo-SFH 12-2013