Blog de l'auteur-écrivain d'anticipation Yves Herbo.
Publication d'articles scientifiques, archéologiques, ufologiques, de nouvelles et essais, d'extraits de romans de l'auteur.
Ses avis, commentaires et philosophies sur la société humaine et les événements internes et externes concernant la civilisation humaine et son évolution. Compilations de données pour éducation et recherches scientifiques ou littéraires. Sauvegarde actuelle de son site https://www.sciences-faits-histoires.com/
Choquequirao, la deuxième mystérieuse Machu Picchu
Le gouvernement péruvien travaille actuellement à la construction d'un téléphérique menant au site de Choquequirao, surnommé "l'autre Machu Picchu". Ceci afin de réduire l'afflux de touristes au Machu Picchu proprement dit. Pour Choquequirao, cela se traduira par une explosion du nombre de visiteurs, qui passera de 5 personnes en moyenne à 3 000 par jouraprès son ouverture à la fin de 2015. Au Machu Picchu, ce nombre reste limité à 2 500 visiteurs par jour. Actuellement, la plupart des visiteurs à Choquequirao doivent voler à Cuzco, l'ancienne capitale impériale des Incas, et puis conduire pendant quatre heures sur les routes de montagne. Ensuite, c'est encore 12 à 16 heures de marche.
Loin des sentiers Incas foulés, chaque année, par des milliers de touristes, les ruines récemment « redécouvertes » de Choquequirao au Pérou mettent en lumière une nouvelle hypothèse : la fabuleuse civilisation inca aurait résisté près de quarante ans après la chute de Cusco.
Des générations de voyageurs ont rêvé de se perdre au cœur des sites Incas qui s’égrènent au Pérou, vieilles pierres alignées auréolées de mystère. Pourtant aujourd’hui, du célébrissime Machu Picchu à l’incontournable vallée sacrée autour de Cusco, difficile d’envisager une communion cosmique avec les fils du soleil, dans le silence des vestiges. De l’aube au crépuscule, ce sont des hordes de touristes - toutes nationalités confondues - qui empruntent le chemin pavé de l’Inca, photographient, arpentent et caressent les pierres des fameuses cités mille fois imaginées.
Un site toutefois, autorise une visite plus confidentielle : la cité perdue de Choquequirao (« Berceau de l’or » en quechua). Le comte français Eugène de Sartiges fut l’un des premiers explorateurs à avoir révélé l’existence de la citadelle, qui retomba vite dans l’oubli, avant d’être « redécouverte » dans les années 90 et progressivement déblayée depuis le début des années 2000. Mais, contrairement à tous les autres sites Incas accessibles au plus grand nombre, déambuler à travers Choquequirao se mérite : depuis le village de Cachora, petit bout du monde péruvien à 180 kilomètres à l’ouest de Cusco, il faut au minimum deux jours de marche pour parcourir, entre agaves et genêts, les 30 kilomètres et les 3000 mètres de dénivelés qui séparent la civilisation de la cité perchée.
La superficie totale des ruines (entre 1800 et 2000 hectares dont seulement 15 à 20 % ont été mis à jour) atteste de l’importance du site, jadis poste de résistance ou grand centre cérémoniel et religieux. Des chevaux paissent tranquillement à travers les vestiges : temples, sanctuaires, maisons des prêtres, résidences des nobles, bains et canaux, terrasses agricoles… Autant de découvertes qui posent toutes la question : quel mystère cache Choquequirao ?
Au fil des excavations, les archéologues et historiens semblent converger vers la même thèse : en 1532, Cusco est conquise par les espagnols, dirigés par le redoutable Pizarro. Les survivants Incas, menés par Manco Capac II, sont contraints de s’enfuir dans la montagne et de gagner des citadelles protégées par leur position en nid d’aigle, telle que l’était Choquequirao et qui servait à l’époque de refuge à la tribu des Chancas. Durant quarante ans, les Incas y survivent puis se voient exhortés à rejoindre la vallée. La plupart disparaissent dans la forêt amazonienne, emportant avec eux le secret de cette ultime citadelle. Le site, complètement abandonné, se dégarnit progressivement de ses toitures de bois et de paille et retourne à la jungle, envahissante.
Aujourd’hui, patiemment, des équipes internationales et locales d’archéologues continuent de surveiller et fouiller les ruines… Le dédale des vestiges coiffe une crête vertigineuse à 2950 mètres d’altitude, soit 1500 mètres au-dessus des flots bouillonnants du Rio Apurimac. Une perspective étourdissante, donnant le sentiment d’être littéralement accroché dans le ciel, où tournoient en permanence des condors. Plusieurs sommets enneigés ourlent l’horizon de la cordillère Vilcabamba… Un cadre idéal pour ce qui semble avoir été le plus inaccessible des refuges secrets des Indiens en fuite devant la progression des conquistadors.
Un événement marque le solstice de décembre à Choquequirao : un escalier géant à été construit, de 25 m (82 pi) de long et de 4,4 m (14 pi) de largeur, orienté vers un azimut de 120-125 degrés, juste quelques degrés du solstice. Au lever du soleil du solstice de Décembre, la lumière illumine toute la longueur de l'escalier.
Le sanctuaire de la chute d'eau dans la section principale du site a des corniches d'ardoise, qui rappellent l'architecture vu sur les sites Chachapoya. En outre, une récente découverte est le dégagement de terrasses de pierre en gradins à Choquequirao. Ces terrasses ont été trouvées posséder une série de grands glyphes martelés de lamas, fixés dans un modèle pour compenser les marches de la terrasse, avec un motif en zig-zag couronnant la plus haute terrasse. Ce modèle est le seul trouvé à l'extérieur de la région des Chachapoyas, suggérant que les ouvriers Chachapoyas ont été amenés de leurs terres du nord du Pérou pour aider dans le processus de construction.
Ici au premier plan de la première photo, nous avons des ruines beaucoup plus anciennes que celles des Incas, construites avec une méthode architecturale différente et des blocs taillés massifs.
Yves Herbo Traductions, Sciences, F, Histoires, 30-05-2014
Makhunik en Iran, la cité des nains existe vraiment ?
L'ancien village iranien dans le sud de la province de Khorasan, connu sous le nom Makhunik, connu aussi sous le nom de Shahr-e Kotouleha (City of Dwarfs), a étonné beaucoup de gens qui sont friands de visiter une vraie ville naine. Personne ne savait à priori qu'il existait une antique civilisation dans ce désert avant 1946. Cependant, suite à des études menées par la faculté de l'Université de Géographie de Téhéran en 1946, des poteries ont été découvertes dans Shahdad comme preuve d'une civilisation qui a prospéré dans le désert de Lut.
Compte tenu de l'importance de la question, un groupe d'archéologues a visité la région et a mené des études qui ont conduit à la découverte de civilisations appartenant à la préhistoire (fin du 4ème millénaire avant JC et au début du 3ème millénaire avant JC).
Des fouilles scientifiques et archéologiques ont été menées dans cette région au cours de 1948-1956. Des Cimetières appartenant aux millénaire avant J.-C. et des fours à cuivre des 2e et 3e ont été découverts au cours des huit phases d'excavation. Les reliques découvertes dans les cimetières de Shahdad incluent de nombreuses poteries et vaisseliers.
Situés à environ 100 kilomètres à l'est du district de Shahdad à Kerman (voisine de la province de Khorasan), les vestiges de la ville antique et les structures découvertes évoquent l'image de "la ville de Liliput (Cour de Lilliput)" décrite dans le célèbre roman de Jonathan Swift, Les Voyages de Gulliver. L'ancienne région de Shahdad est répartie sur 60 km au cœur du désert de Lut. La ville comprend des ateliers, des quartiers résidentiels et des cimetières. Les études archéologiques dans le quartier résidentiel connu sous le nom de la "ville des nains" ont révélé la présence de sous-districts dans lesquels les bijoutiers, les artisans et les agriculteurs vivaient. Plus de 800 tombes antiques ont été fouillées pendant les phases d'excavation.
Selon les rapports des archéologues, l'ancienne ville de Makhunik (Makhoonik) faisait partie de la terre de la civilisation d'Aratta et des humains nains sont également rapportés avoir existé depuis 6.000 avant JC.
La petite taille des structures découvertes dans la ville pourrait être la preuve de cette croyance.
En outre, la découverte d'un nain momifié de 25 centimètres dans la zone en 2005, qui a créé de grandes sensations parmi le public, peut également soutenir la revendication. Le cadavre a été récupéré par deux trafiquants qui voulaient vendre la momie pour environ 3 millions de dollars en Allemagne. Les archéologues ont fait remarquer qu'elle aurait été momifiée par des processus naturels.
Alors que les études médico-légaux ne pouvaient pas aider les archéologues à déterminer l'âge exact du cadavre, il a été estimé que le nain aurait été âgé de 16-17 ans au moment de la mort.
La recherche dans la région a révélé que même il y a assez peu d'années, la hauteur des personnes à Makhunik atteignait rarement les 150 cm, mais maintenant, ils ont une taille normale. Au même moment, le plus ancien drapeau (blason) en métal de l'histoire humaine a également été mis au jour dans cette ville antique.
Les enquêtes archéologiques dans la "ville des nains" indiquent que les habitants ont abandonné la région en raison de la sécheresse il y a 5000 ans et ne sont jamais revenus. Mir-Abedin Kaboli, qui supervise les fouilles archéologiques de Shahdad, a déclaré : "Après les dernières fouilles, nous avons remarqué que les habitants de Shahdad avaient laissé beaucoup de leurs biens dans les maisons et recouvert les portes avec de la boue. Cela montre qu'ils avaient bon espoir de revenir un jour."
Un aspect important sur Shahdad est l'architecture étrange des maisons, des ruelles et des équipements découverts. Les murs, les plafonds, les fours, les étagères et tous les équipements ne peuvent être utilisés que par des nains. Après la découverte de la ville de nains dans Shahdad et des histoires sur les peuples qui y vivaient, des rumeurs ont circulé à propos de la découverte des restes d'un nain.
Le dernier cas portait sur la découverte d'une momie d'un nain avec une hauteur de 25 cm. Les contrebandiers voulaient la vendre pour 80 milliards de rials en Allemagne.
Les nouvelles de l'arrestation des deux contrebandiers et la découverte d'une étrange momie s'est propagée rapidement à travers la province de Kerman. Par la suite, le Département du patrimoine culturel de Kerman et les fonctionnaires de la Police se sont assis pour clarifier l'état de la momie, qui appartiendrait à une personne de 17 ans ".
Certains archéologues sont prudents et nient même que la ville de Makhunik était autrefois habitée par des nains anciens.
" Puisque les études médico-légales n'ont pas pu déterminer le sexe du cadavre, nous ne pouvons pas compter sur eux pour parler de la hauteur et de l'âge du corps, et des études plus anthropologiques sont encore nécessaires pour connaître les détails sur la découverte ", dit Javadi, l'archéologue de l'Organisation du patrimoine culturel et du tourisme de la province de Kerman. " Même s'il est prouvé que le cadavre appartient à un nain, nous ne pouvons pas dire avec certitude que la région de sa découverte dans la province de Kerman ait été la ville des nains. C'est une région très ancienne, qui a été enterrée en raison de changements géographiques. En outre, la technologie n'était pas aussi développée à cette époque et les gens pouvaient ne pas avoir été en mesure de construire de hauts murs pour leurs maisons ", a-t-il ajouté.
" En ce qui concerne le fait que, dans aucun des périodes de l'histoire de l'Iran, nous avons eu des momies, il n'est pas accepté du tout que ce cadavre soit momifié. Si ce cadavre se trouve appartenir à l'Iran, il serait un faux. En raison des minéraux existants dans le sol de cette région, tous les squelettes ici sont pourris et aucun squelette intact n'a été trouvé à ce jour. D'autre part, les fouilles archéologiques de 38 ans dans la ville de Shahdad nient toute ville naine dans la région. Les maisons qui sont restées avec leurs murs de 80 centimètres de haut étaient à l'origine de 190 centimètres. Certains des murs sont restés de 5 centimètres de haut, devrions donc nous prétendre que les gens qui vivent dans ces maisons avaient 5 centimètres de hauteur ? " dit Mirabedin Kaboli, leader des fouilles archéologiques dans la ville de Shahdad ".
Plusieurs mois après la découverte, Payvand Iran Nouvelles a indiqué que les études anthropologiques ont révélé que la petite momie datait en fait de 400 anset n'appartenait pas à un nain du tout, mais à un bébé prématuré qui avait été momifié par des processus naturels. " Le squelette appartient à un bébé prématuré qui, en raison des conditions régionales et sa méthode d'enfouissement, a été momifié sous des processus naturels ", a déclaré Farzad Forouzanfar, un anthropologue de l'Organisation du patrimoine culturel et du tourisme de l'Iran. (YH : On se souvient que, pourtant, un autre spécialiste dit le contraire et qu'il n'a jamais été trouvé de momie en Iran à cause des conditions régionales, justement...)
Alors, que pouvons-nous conclure à propos de Makhunik et la petite momie ? Il semble que la plupart des reportages des médias sur l'affaire ont été stimulés par la rumeur et déformés par le sensationnalisme. Il semble plus probable que la momie soit le reste naturellement préservé d'un bébé, des études anthropologiques l'ont révélé.
Néanmoins, il est curieux que les légendes de «petites gens» n'existent pas seulement en Iran, mais peuvent être trouvées dans de nombreuses cultures à travers le monde. L'Histoire des Petits Peuples perdus, selon le Dr Susan Martinez, auteur de "L'histoire des Petits Peuples : Leurs civilisations avancées spirituellement à travers le monde", une ancienne race de gens qui étaient de petite taille, a autrefois habité la Terre. Elle se réfère à des légendes et des histoires de nombreuses cultures, comme les dieux nains du Mexique et du Pérou, la Menhune d'Hawaï, le Nunnehi des Cherokee, ainsi que les Pygmées africains et le Semang de la Malaisie, et s'appuie sur les découvertes de réseaux de tunnels minuscules, de petits cercueils, de portes basses dans des monticules, et des huttes de la taille de pygmées, comme preuve de cette race ancienne. Alors, pourquoi ces êtres n'auraient pas existé dans l'ancien Iran ?
Après un laps de 5000 ans, depuis le départ des nains de la ville, une large bande de cette région préhistorique est enterrée dans le sol et la migration des nains de Shahdad reste assombrie de mystères. Beaucoup aimeraient savoir pourquoi les nains de Shahdad ont couvert les portes de leurs maisons de boue et ne sont jamais revenus...
Désastres et OVNIs, une relation indicative ou pas ?
Triangle et chaimrail (épandage) ?
Le sujet a déjà été abordé ici par exemple, mais il semble que l'actualité ovni de ces dernières semaines en liaison avec le nombre de désastres mondiaux de ce printemps 2014 fasse que la question est posée directement...
Pourquoi les objets non identifiés apparaissent près de catastrophes ? Pourquoi des triangles noirs ont été vu en nombre impressionnant au cours des derniers mois ? S'agit-il d'engins secrets en forme de triangles de certains gouvernements nationaux ou d'une organisation de voyous ? Ces objets sont-ils, et pas seulement les triangles, aliens à l'origine ? Et - le plus important - est-ce que leur présence est indicative ?
Les questions ci-dessus sont posées dans les détails de la vidéo YouTube ci-dessous, qui montre une compilation comprenant la couverture des infos et d'autres séquences d'observations mystérieuses proches, des catastrophes dévastatrices massives, des objets volants non identifiés, sans affirmer que ces ovnis existent ou n'existent pas. En fait, ils disent clairement "personne ne sait si ce sont des OVNI d'orbs, des véhicules aliens, des drones de gouvernements, ou tout autre chose", mais le grand nombre de cas où ce phénomène s'est produit est révélateur que quelque chose de très, très étrange se passe.
Via les détails :
La vidéo comprend plusieurs observations d'OVNIS étrangement similaires d'ovni en "triangle noir", d'étranges "lumières rayonnantes" capturées sur les caméras de chasseurs sur plusieurs états, et une sphère sombre encerclant lentement à l'inverse les vents tourbillonnaires en spirale d'une gigantesque tornade. La présentation compile également des appels au 911 issus d'une observation massive dans le Michigan pour un superbe «réactualisation» de l'événement à travers les yeux de vidéos de témoins et les conversations entre les intervenants gouvernementaux au téléphone.
Est-ce que ces étranges visiteurs sont à l'origine de ces catastrophes ou tout simplement témoignent-ils sur elles ?
Plusieurs images et témoignages étonnants, que dire de plus, sinon, que nous dissimule-t-on ?...
" UFO sightings near disasters is not a new phenomenon, they have been recorded for thousands of years by all the peoples of the world. Recently however, strange objects - whether they are UFO orbs, ET vehicles, government drones, or something else entirely - have been spotted near many devastating incidents including the Moore, Oklahoma tornado as well as wild fires across the globe. Compounding this mystery is the unprecedented rise of triangle UFOs seen across many countries and in greater detail than ever before.
Footage includes multiple sightings of eerily similar "black triangle" UFOs, creepy "beaming lights" captured on hunting cameras across multiple states, and a dark sphere slowly circling against the spiraling vortex winds of a massive tornado. The presentation also compiles 911 phone calls from a massive sighting in Michigan for a stunning "re-living" of the event through the eyes of witness footage and conversations between government responders.
Why do unidentified objects appear near disasters? Why have black triangles been seen in staggering numbers over the past few months? Are these triangles secret craft of some national government or rogue organization? Are these objects, and not just the triangles, alien in origin? And - most importantly - is their presence indicative? "
The Big C intégrale saison 4 - 3 coffrets DVD à gagner
The Big C intégrale saison 4 Saison finale - 3 coffrets DVD à gagner du 28 mai au 11 juin 2014.
Nombre de disques : 2 Durée approx. : 216 minutes Langues : Anglais (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1) Sous-Titre : Français, Italien, Anglais, Danois, Finnois, Néerlandais, Norvégien, Suédois, Arabe Date de sortie : 28 Mai 2014
Cathy reçoit de bonnes nouvelles du docteur Sherman : sa chimiothérapie expérimentale semble porter ses fruits. Bien décidée à profiter de la vie, elle fréquente désormais un bar où elle prétend être Alexis, une hôtesse de l'air, et décide d'adopter un enfant ! De son côté, Paul, qui a survécu à son attaque, décide de devenir coach, avec l'aide de Joy. Quant à Andrea, elle est de retour d'Afrique...
Un apprenti archéologue de 13 ans trouve une momie de 7000 ans au Chili
Momie Chincherro
C'est assez rare pour pouvoir être signalé, un jeune garçon de 13 ans, lors d'une fouille organisée par son école, a découvert une très vieille momie d'une femme, probablement de la culture de Chinchorro, qui est estimée à 7.000 ans environ avant maintenant. C'est le samedi 24 mai 2014 que la découverte a été faite, dans les contreforts de la Morro de Arica, en particulier dans le domaine de laplage Laucho, où des parties de cette momie ont été découvertes, probablement par le séisme du 1er avril 2014.
Le petit garçon, nommé Mijael Flores (un nom prédestiné !), affirme adorer les dinosaures et vouloir être paléontologue plus tard. Des histoires comme celle de Mijael sont répétées parmi les 17 enfants qui composent l'Académie de l'archéologie, qui a été créée en Mars par le maître d'école Hans Neira, visant à améliorer la socialisation de ses élèves et leur inculquer l'amour et le respect pour le patrimoine (historique). « Vivant dans une zone de trois frontières, les étudiants trouvent qu'il est difficile de s'identifier avec leurs racines. En visitant les vestiges archéologiques in situ, ils témoins de leur propre histoire, des premiers habitants de la région et aussi d'autres époques. Maintenant, la découverte d'une momie nous excite, car c'est le principal objectif de l'atelier ", explique t-il.
Vendredi et samedi, le groupe couvrait les zones de la région où des traces de cultures précolombiennes pouvaient se trouver. Des pelles, des balais et de l'enthousiasme, ils sont devenus les petits "Indiana Jones" de l'extrême nord (du Chili). Dans leurs excursions, ils ont trouvé de l'argenterie inca, des lances, des poteries et des vêtements de la culture Hamac, ainsi que des vêtements qui pourraient appartenir à l'époque de la guerre du Pacifique.
A group of Chinchorro mummies on display in the cultural centre of the La Moneda presidential palace in Santiago, on August 27, 2008 (AFP Photo/Claudio Santana)
" Effectivement, il y aurait une explication à la présence de cette momie à la surface. Selon certaines sources, ce serait le puissant séisme qui a eu lieu dans la région au début du mois d’avril qui aurait déterré cette momie. D'une magnitude de 8,2 sur l’échelle de Richter, ce séisme avait même causé la perte de six personnes dans la région d’Arica. Concernant la momie en elle-même, cette dernière serait vieille de 7 000 ans et appartiendrait à la culture Chinchorro. A noter que les momies appartenant à cette culture souvent présentes au Nord du Chili et au Sud du Pérou seraient les exemples momifiés les plus anciens au monde. Ces spécimens seraient même plus vieux de 2 000 ans que les momies égyptiennes.
Si vous avez des difficultés à voir cette vidéo en https, enlevez juste le "https:" devant les deux barres de l'adresse du site et actualisez.
"Un grand cimetière"
"Cette zone doit être protégée car elle recouvre un grand cimetière pré-colonial" a déclaré Hans Neira, l’enseignant chargé de cette sortie scolaire. Cette sortie avait, pour lui, comme objectif d’inculquer "le respect du patrimoine culturel". Rappelons qu’au mois d’avril, des chercheurs avaient mis la main sur plusieurs momies appartenant à la même Civilisation Chinchorro dans le désert d’Atacama, dont certains squelettes non momifiés datant de 9.000 ans avant maintenant ont été aussi trouvés. Une région un peu plus située au Sud que celle d’Arica. Même cas que pour la momie découverte par les écoliers, ces momies ont quitté leurs tombes après des glissements de terrain provoqués par le puissant séisme. "
Notons que toutes les découvertes faites jusqu'à présent sur les Chinchorro prouvent qu'il s'agissait d'un peuple ayant principalement vécu de la mer, dès ses origines, et qui possédait déjà des outils de pêche et de mer sophistiqués dès son arrivée (débarquement ?) sur les côtes du Chili... si on suit la logique archéologique actuelle, les Chinchorro ne seraient pas venus à pied du nord des amériques, mais plutôt en longeant les côtes jusque là... à moins qu'ils ne soient issus de la Polynésie en face ou même de l'antique Mu englouti au même endroit par les séismes et tectonique du Pacifique, il y a environ 9000 ans selon certains chercheurs, voir plus vieux car on sait que les hommes sont en arrivés entre 12000 et 10000 ans : " The latest phase of the Central Andean Pluvial Event occurred between 13,800 and 10,000 years ago, when human settlement began in the Atacama. At 9,500 years ago, the Atacama had an abrupt onset of arid conditions, driving people out of the desert; another wet period between 7,800 and 6,700 brought them back. The effect of ongoing yoyo climates was seen in population increases and decreases throughout the period. " - " La dernière phase de l'Evénement Pluvial du Centre des Andes s'est produit il y a entre 13 800 et 10.000 ans, lorsque l'installation humaine a commencé dans l'Atacama. Vers il y a 9500 années, en Atacama est survenu brutalement des conditions arides, les conduisant à partir du désert ; une autre période humide entre 7800 et 6700 les a ramenés. L'effet des climats en yoyo en cours a été observé quand la population augmente et diminue tout au long de la période. "
Intéressant :
" Chinchorro et Arsenic
" Le désert d'Atacama où de nombreux sites Chinchorro sont situés a des niveaux élevés de cuivre, d'arsenic et d'autres métaux toxiques. Des traces de métaux sont présents dans les ressources naturelles en eau, et ont été identifiées dans les cheveux et les dents des momies, et dans les populations côtières actuelles (Bryne et al). Les pourcentages de concentrations d'arsenic dans les momies varie de <0,8 à ~ 700 microgrammes d'arsenic par gramme... "
Tout le monde a entendu parler de la fameuse Rapa Nui, l'île de Pacques et ses nombreuses statues géantes, mais assez peu savent qu'une autre île habitée, la plus éloignée du Pacifique sud-est d'ailleurs, nommée Rapa Iti.
Pour vous situer l'île et avoir un bon résumé de son histoire, voici des extraits du rapport " Anderson Atholl and Douglas J. Kennett (eds), 2012. Taking the High Ground. The Archaeology of Rapa, a Fortified Island in Remote East Polynesia, Canberra, anu E Press, Terra Australis 37, 288 p., bibliogr., annexes, cartes, schémas, nombreuses ill. noir et blanc et couleur dans le texte."
" La « petite » Rapa intéresse infiniment moins de chercheurs et de lecteurs que la « grande », ou île de Pâques, et elle est encore plus difficile d’accès, formant la plus méridionale et la plus écartée des îles Australes habitées, à quelque 1 100 km au sud de Tahiti, et à plus de 500 de sa plus proche voisine, Raivavae. Le relief tourmenté de cet ancien cratère de volcan empêche d’y établir un aérodrome, les liaisons ne se font que par mer et les approches exigent de la prudence. L’île a une superficie d’environ 38 km2 et culmine à 650 m. L’équipe internationale d’archéologues à l’origine de ce volume (Atholl Anderson, Jacob Bartruff, Judith Cameron, Éric Conte, Brendan J. Culleton, Douglas J. Kennett, Sarah B. McClure, Matiu Prebble, John Southon, Katherine Szabó, Alan J. D. Tennyson, Yolanda Vogel et Bruce Winterhalder) y a séjourné une quarantaine de jours au cours de l’hiver austral 2002, et en publiant une décennie plus tard les résultats de cette campagne, ses éditeurs soulignent d’emblée ce qu’a de provisoire, parfois même de sommaire, la synthèse qu’ils en proposent aujourd’hui.
Les Açores et fonds marins probablement hors de l'eau dans une période préhistorique.
George Vancouver, le premier Occidental à décrire l’île où il ne se risqua pas à accoster en décembre 1791, s’étonnait d’avoir distingué à la lunette, au sommet de ses six plus hautes montagnes, des forteresses « semblables à des redoutes », avec des palissades, des « ouvrages avancés » et des hommes s’y mouvant « constamment ». C’étaient les seules habitations observables, « assez vastes pour loger un grand nombre de personnes », et il s’interrogeait sur ce qui les avait fait édifier, « la crainte d’ennemis étrangers » ou « celle d’une insurrection domestique ».
Ces constructions, qui existent bel et bien, ont été examinées successivement par John Stokes à la faveur d’un séjour de neuf mois dans l’île en 1921-1922, par Edwin Ferdon et William Mulloy, membres de l’expédition archéologique norvégienne de Thor Heyerdahl en 1956, puis par Jérôme Walczak en 1997, et elles formaient le principal objectif de l’expédition de 2002, mais heureusement non le seul. L’une de ses principales hypothèses de travail était que les premiers occupants polynésiens de l’île, comme en Nouvelle-Zélande et ailleurs, s’étaient d’abord établis à proximité des côtes pour profiter plus aisément des ressources halieutiques, et c’est en fouillant des abris sous roche proches de l’océan que l’équipe d’A. Anderson a recueilli les données les plus sûres et les plus abondantes, suggérant un premier peuplement vers le xiie siècle de notre ère, avec aménagement en tarodières de zones marécageuses, puis, deux siècles plus tard, l’édification des premières fortifications, soit un siècle plus tôt que ne l’estimaient les mêmes chercheurs dans un rapport précédent (Kennett et al., 2006 : 340 et 350).
(...) La culture du taro aurait ainsi constitué jusqu’aux quatre cinquièmes de la diète des insulaires, et deux chapitres (10 et 13) sont consacrés respectivement à l’étude de sa culture, mettant en évidence une déforestation par brûlis, et à des extrapolations sur le nombre d’insulaires que ces tarodières auraient été susceptibles de nourrir, estimé à 2 000 – alors que Stokes, dans ses observations restées manuscrites, chiffrait à 3 000 habitants la capacité des villages fortifiés. Mais s’agissait-il de résidences ou de sanctuaires, comme avait conclu (après d’autres) J. Walczak dans sa thèse restée inédite ? Pour A. Anderson et son équipe (p. 233), une telle dichotomie n’a pas de sens à propos de chefferies polynésiennes imbriquant toujours étroitement le « civil » et le « religieux ». Du reste, à côté de la trouvaille dans l’un de ces forts d’os de tortue, « chiefly food » (p. 232, mais voir aussi contra Vérin, 1969 : 290, mets réservé aux marae), l’étude des édifices subsistants ne laisserait aucun doute sur leur destination de défense contre les intrusions et de protection des tarodières établies dans leur champ de surveillance. Trop brève, l’exploration de ces constructions impressionnantes, dont la plus haute culmine à 608 m et dont la plus large s’étend sur 2,5 ha (0,5 ha de moins que l’Acropole d’Athènes), n’a pas permis aux auteurs d’établir la forme des bâtiments disparus, notamment la « structure ovale » observée dans d’autres îles des Australes (Vérin, 1969 : 56 sq.) et de la Polynésie.
L’édification de ces ensembles fortifiés se serait déroulée en trois phases historiquement significatives, interrompues par l’intrusion des Blancs puis des missionnaires (éloquemment décrite par Richards, 2004) : deux ensembles architecturaux auraient vu le jour au xive siècle, suivis de trois autres au xvie siècle et de plus d’une dizaine au xviiie siècle, pour s’en tenir aux constructions principales dont dépendaient des dizaines de fortifications secondaires et de refuges probablement tardifs mais non explorés par l’expédition (p. 227). Ce développement exponentiel serait à mettre au compte d’une croissance démographique exacerbant la compétition violente entre chefferies, estiment A. Anderson et son équipe (p. 253 sq.), s’appuyant sur des modèles appliqués ailleurs en Polynésie. ".
Source : Gilles Bounoure, « Taking the High Ground. The Archaeology of Rapa, a Fortified Island in Remote East Polynesia de Atholl Anderson and Douglas J. Kennett », Le Journal de la Société des Océanistes [En ligne], 136-137 | 2013, URL : http://jso.revues.org/6867
Scripts préhistoriques - Heinrich Kruparz
On peut déjà, en cherchant ce qu'en pensent d'autres chercheurs, se rendre compte que le manque de données (et de volonté d'en trouver) semble étonnant pour une île française, habitée de surcroît... en effet, la dernière expédition officielle française de scientifiques sur cette île date de 1984 ! Et encore, elle n'y a été que pour faire des relevés de radioactivités pour un suivi des retombées des essais nucléaires français dans le Pacifique... Et si vous regardez du côté de la cartographie, de photos et vidéos de ces fondations trouvées, on constate également la très grande pauvreté de ces données. Le fait que la cartographie a été très difficile a établir avec certitude apparaît logique si on considère son éloignement et l'impossibilité d'y construire un aérodrome, ainsi que sa couverture nuageuse de plusieurs zones quasi-permanente...
Un chercheur officiel, géologue de profession, le Dr. Heinrich Kruparz, parle de nombreuses îles du Pacifique recèlant un mystère et une culture commune, mais également de légendes proches parlant d'îles englouties, de géants et techniques avancées : l'Atlantide et la Lémurie (Mu) sont également du domaine prouvé géologiquement par ce géologue (en vo) :
L'Atlantis et la Lémurie. Mythes et légendes ou Civilisations Avancées Disparues du passé ? De nouvelles preuves - elles existent !
Heinrich Kruparz
Dans le flot de la littérature sur Atlantis, un livre ressort, il est écrit par un géologue qui montre des preuves, fondées sur une connaissance substantielle, qu'il y avait des civilisations antiques - les précurseurs de notre civilisation étaient l'Atlantide et la Lémurie. L'auteur a, pour des raisons professionnelles, été dans de nombreuses régions du monde où il a été en mesure de recueillir les informations pertinentes. Tous ceux qui s'intéressent à Atlantis pourront enfin apprendre de ce livre comment, quand et où ces cultures de la préhistoire se sont effectivement développées et disparues...
En voici une autre du même géologue (et il en existe qui dépassent les deux heures) avec une possibilité de mettre des sous-titres anglais (moyen) ou même français (mauvais) qui montre des preuves :
La cité engloutie de Nan Madol-Asie du sud-est - les survivants de Mu ?
Le paranormal à Rapa Iti :
" Marc Liblin fut un homme invraisemblable.
Sa prodigieuse existence me chatouilla les oreilles lors d’une visite à Raivavae, un joyau d’île, située à 800 kilomètres au sud de Tahiti.
Génial pour les uns, pathétique pour les autres, Marc Liblin naît à Luxeuil dans les années trente, en Haute-Saône, d’un père maître de forges.
A l’âge de six ans, il fut traumatisé par des rêves incessants dans lesquels un vieux personnage lui enseignait la physique et surtout une langue obscure — qu’il parlera couramment — mais dont absolument personne ne connaissait l’origine.
Son enfance fut dès lors un cauchemar. Dès son plus jeune âge, la fuite, la lecture et la solitude deviendront ses fidèles alliées. Durant ses années-là, faites d’errance et d’expédients, il tentera désespérément de connaître l’origine de la langue mystérieuse qu’il parlait.
A 33 ans, il débarque en Bretagne. Il est seul, fauché et très marginal. Là, le hasard le fait rencontrer deux professeurs de linguistique, et des chercheurs de l’Université de Rennes essaieront de décoder cette langue, d’analyser ces rêves. Les ordinateurs naissants crépitent. Peine perdue.
Il rencontrera un chinois linguiste. Celui-là lui dira que sa langue pourrait s’apparenter à un idiome parlé cinquante ans auparavant dans les plateaux du Tibet.
D’autres linguistes lui diront que le son de cette langue s’apparentait à une langue Mère, archaïque, morte. De l’Araméen, peut-être ?
C’est dans un bar de Rennes qu’il trouvera la réponse. Il fait le rigolo devant un aréopage de marins Tunisiens ronds comme des billes. Le barman les écoute attentivement.
Marc Liblin, dans un texte intitulé « L’indigène », raconte :
Il [le barman] alla directement aux faits. J’ai déjà entendu parler de cette façon, c’était sur une île du Pacifique, à Rapa (…) : je ne pratique pas cette langue, mais il faut voir Mérétuini Make, une Polynésienne.
Cette femme habite dans une ZUP. Mais il n’ose pas. Il n’ose pas l’aborder, lui parler. En septembre 1980, il rencontre Charly, un Tahitien paumé, cherchant de l’aide. L’occasion est bonne. Les Polynésiens aident les Polynésiens.
"Nous fûmes vite devant sa porte (…). Il me fallut avancer seul vers la femme qui apparut, figée et silencieuse, attendant de comprendre le pourquoi d’une visite aussi bizarre. Ce qu’il y a eu en moi à cet instant, je l’ignore. Mais sans aucun préambule, j’adressai à la statue qui nous faisait face, le flot des paroles de cet autre langage que mes recherches passées, infructueuses, avaient tant contenu. Et la statue répondit le même parler…"
Quelques années passent. Marc Liblin épouse Mérétuini. Ils décident de partir à Rapa.
Rapa (Photo Tahitipresse.fr)
Située à 1400 kilomètres au sud de Tahiti, Rapa Iti est une île isolée aux confins des îles Australes. Elle est surnommée la petite sœur de l’île de Pâques (Rapa Nui). Le climat y est frais. En hiver, la température peut chuter à 5°. Ici, point de cocotiers, ni de frangipaniers, aucune plage blanche, pas d’exotisme. Une population de 400 âmes, reliées au monde par un bateau de ravitaillement épisodique.
Malgré son mariage (dernier et premier de l’année sur l’île, le 31 décembre), Marc Liblin n’est pas vraiment le bienvenu, et ses questions sur l’origine de la langue de Rapa, irritent « la communauté des insulaires ».
Il écrit : « Mes tentatives d’interprétations linguistiques soulevaient les rumeurs d’un dialogue avec les anciens et leurs esprits ».
Le couple vit dans des conditions difficiles. « Durant six mois (…), je dépéris de ne manger que racines et cœurs de fougères, poissons encore vivants déchiquetés avec les dents, bananes vertes salées à l’eau de mer… »
Tous les sites préhistoriques ou historiques connus recensés
Il revient un an plus tard. Exerce le métier de secrétaire de mairie. Puis devient instituteur, initiant les jeunes de Rapa à la physique et la métaphysique. Il récolte des informations et échafaudes des théories, dont certaines sont abscondes, sur la lointaine Rapa Iti.
Même marié avec une insulaire, et père de quatre enfants, il ne s’intégrera que lentement à la vie de Rapa. Le personnage dérange. Il agace. Les tentacules de l’administration française parvenant à s’arc-bouter sur cette île, elles le somment de fournir des preuves de son diplôme de baccalauréat. Incapable de s’exécuter, il est reclassé instituteur auxiliaire, forcé de rembourser des parties de son salaire. Il arrive tout juste à subvenir à ses besoins et à ceux de ses enfants.
Il meurt des suites d’un cancer en mai 1998.
Ainsi se termine l’invraisemblable – mais véridique — histoire de Marc Liblin. La question demeure : Comment se fait-il que ce garçon de six ans de Haute-Saône ait pu parler, sans jamais l’avoir apprise, une langue uniquement parlée et comprise par une petite communauté insulaire recluse du Pacifique sud ?
Sources : Jean Guillin, L’Archipel des Australes, Editions A. Barthélémy & Editions Le Motu, Avignon, 2001, (ISBN 2-87923-138-8).
" Très peu d'infos sur cette île volcanique, un monde oublié...Rapa Iti, la petite Rapa, en Polynésie française...petite soeur de Rapa Nui, l'ïle de Pâques..fouillée en 1956 par William Mulloy qui trouva les restes d'un ancien village fortifié...il y a des abris de pierre et des constructions/structures un peu partout sur les crêtes montagneuses de l'île, camouflées entièrement par la végétation...certains parlent de 'forts' (28) construits par les colons au 18/19è siècle pour les expliquer...en moins de deux siècles complètement ensevelis par la végétation?...peu convaincant...d'autres parlent de 'guerre interne' entre autochtones au 13è siècle suite à un manque de ressources...les survivants se terrant dans ces 'forteresses'...mais encore...les habitants de l'ïle de Pâques seraient les descendants d'habitants de Rapa Iti...'Rapa Nui' signifie la grande île; 'Rapa Iti', la petite île. "
L'une des rares anciennes photos
Ce qui étonne surtout les chercheurs, c'est que même avec une population maximum de 3000 personnes possibles dans des temps reculés, le nombre et la taille des forteresses semble largement surestimés... il est tout aussi possible d'imaginer une protection globale de l'île de dangers d'ennemis provenant de l'extérieur... ou encore que cette île faisait partie du continent englouti et que ces forteresse surveillaient les vallées entourant ce sommet (comme on le constate encore aujourd'hui pour les forteresses mayas par exemple...)
En ce qui concerne l'Atlantide, et du côté de l'Atlantique, cette autre découverte par des brésiliens n'a pas été confirmée pour l'instant par d'autres prélèvements :
L'Atlantide brésilienne aurait été découverte par des géologues
Des géologues brésiliens ont annoncé avoir trouvé à 1 500 kilomètres des côtes de Rio de Janeiro, dans les profondeurs de l'Atlantique sud, des morceaux de roches qui pourraient être une partie du continent submergé lors de la séparation de l'Afrique et de l'Amérique du sud, époque où a surgi l'océan Atlantique il y a cent millions d'années. Selon Roberto Ventura Santos, directeur de géologie de ressources minérales du Service géologique du Brésil, des échantillons de granite ont été trouvés il y a deux ans, lors d'une opération de dragage (retrait de sol océanique pour analyses), dans la région dénommée "Élévation du Rio Grande", une cordillère maritime en eaux brésiliennes et internationales. Or le granite est une roche considérée comme continentale. "Cela peut être l'Atlantide du Brésil. Nous en sommes presque sûrs mais nous devons renforcer notre hypothèse. Nous aurons la reconnaissance scientifique finale cette année quand nous aurons fait des forages dans la région pour trouver plus d'échantillons de ces roches", a expliqué M. Ventura cité par le site d'information G1 de Globo. (Le Monde)
L'originale montrée au début du reportage
Une interprétation d'éventuelles ruines visibles au début de la vidéo ?
Une autre question n'est toujours pas vraiment résolue, c'est celle de la provenance des premiers habitants de l'île de Paques, que certaines légendes pourraient attribuer comme étant des hommes ayant fuit Rapa Iti...
Yves Herbo Traductions, Sciences, F, Histoires, 27-05-2014