Blog de l'auteur-écrivain d'anticipation Yves Herbo.
Publication d'articles scientifiques, archéologiques, ufologiques, de nouvelles et essais, d'extraits de romans de l'auteur.
Ses avis, commentaires et philosophies sur la société humaine et les événements internes et externes concernant la civilisation humaine et son évolution. Compilations de données pour éducation et recherches scientifiques ou littéraires. Sauvegarde actuelle de son site https://www.sciences-faits-histoires.com/
Un article récent au sujet d'une tablette très ancienne inscrite de symboles jusqu'à présent indéchiffrés a attiré mon attention au détour d'une recherche qui n'avait aucun rapport, comme souvent... Cet article est donc, comme toujours, un ajout de données à une compilation axée sur les écritures ou messages énigmatiques laissés par nos lointains ancêtres, et dont voilà les premières données sous forme de liens :
La tablette Dispilio déchiffrée - une preuve de la plus ancienne écriture du monde ?
La tablette Dispilio est une tablette de bois portant des gravures inscrites, datée de 5260 ± 40 avant JC. Elle a été découverte en 1993 sur un site lacustre du Néolithique, près du village moderne de Dispilio, à Kastoria, en Grèce. À ce jour, ces marques n'ont pas été déchiffrées.
L'INTERPRÉTATION DE L'AUTEUR :
Il y a quatre colonnes au total, et les 2e et 4e colonnes sont presque identiques. (Certains signes sont retournés, et quelques-uns sont légèrement différents). Si nous divisons la tablette en deux, on obtient deux colonnes de 23 signes et deux colonnes de 22 signes. Ces chiffres sont assez proches du nombre de lettres de certains alphabets anciens.
Les symboles de la tablette Dispilio divisés en deux parties
PREMIÈRE MOITIÉ :
Nous allons comparer les signes des deux premières colonnes avec le plus ancien alphabet connu du monde - l'alphabet phénicien, (appelé l'alphabet Proto-cananéen, pour des inscriptions datées d'avant 1050 avant JC) L'alphabet phénicien contient 22 lettres, qui sont toutes des consonnes.
Première moitié de la tablette Dispilio à côté de l'alphabet phénicien
C'est évident : sur les 22 signes, 8 signes ont une correspondance parfaite (cerclé) et 3 sont un peu douteux (souligné).
De plus, nous voyons un schéma clair B-G-D, et puis de nouveau L-M- (N?) dans la première colonne. Le reste des lettres sont un peu dispersées, mais la lettre HE peut être vue dans la troisième position de la deuxième colonne, tandis que HETH est la dernière. Samekh est sur le côté droit de la lettre L, yodh pourrait être la dernière dans la première colonne, et tsadi la première dans la seconde, tandis que WAW ou même zayin pourrait être représenté par une flèche.
DEUXIÈME PARTIE:
Comparons maintenant la seconde moitié avec le plus ancien alphabet slave - l'alphabet glagolitique.
Deuxième moitié de la tablette Dispilio à côté de l'alphabet glagolitique
Regardez la première colonne à nouveau, nous avons des lettres A-B-V-D et éventuellement E et Z ! La deuxième colonne, (qui est presque identique à la première moitié), ressemble plus au script phénicien.
Mais comment est-ce possible ? l'alphabet glagolitique a été inventé seulement au 9ème siècle, non ? Eh bien, oui, officiellement, mais la vérité est que personne ne sait sur la base de quel alphabet... Une théorie affirme que Cyril et Méthodius avaient seulement adapté et organisé des lettres que les slaves utilisaient déjà.
CONCLUSION :
Il semble que ce que nous avons dans le cas de la tablette Dispilio ne soit pas un, mais deux alphabets (similaires) dont quelqu'un a fait la comparaison. Cela pourrait être appelé le Proto-phénicien et l'autre (partiellement) le Proto-glagolitique. MAIS ici est le problème - ils apparaissent 4000 ans avant qu'il devrait y avoir un alphabet !!!
Cependant, il y a une ancienne écriture qui relie tous les signes, mais elle est encore méconnue en tant qu'écriture par la science officielle - l'écriture Vinca ! La culture de Vinca a duré de 5700 à 4200 Avant JC, de sorte que le calendrier est correspondant, ainsi que la zone géographique où a été trouvée la tablette Dispilio !
script de Vinca - symbols seulement sélectionnés
Alors est-ce la preuve ultime que Vinca est une écriture, et pas seulement un script, mais la plus ancienne écriture du monde ? Pour moi, elle l'est. Vous pouvez regarder les signes ci-dessus et juger par vous-même.
Etrange figurine de la culture Vinca
La vraie question est : Est-il possible que personne d'autre n'ait remarqué cela ? Ou changer tous les livres d'histoire est bien ... trop de tracas ... ?
Yves Herbo : très bonne question... J'en profite pour ajouter que la culture de Vinca nous ramène évidemment aux tous premiers européens (je parle des premiers Homo Sapiens, des premiers Hommes Modernes ayant mit le pied en Europe), puisque les plus anciens fossiles d'Homo Sapiens ont justement été trouvés là, dans cette région entre l'Asie et l'Europe : Roumanie, Serbie, Hongrie, Bulgarie, Nord de la Grèce, Moldavie et Sud de l'Ukraine, et sont datés d'environ -45.000 ans à - 35.000 ans (j'en parle dans l'un des articles ci-dessous)... et que c'est exactement les lieux de la Culture de Vinca !
Auvergne, France, les mystérieux souterrains annulaires
Nous voici de retour dans la Montagne Bourbonnaise, il s'agit donc d'une suite aux précédents articles parlant de ces divers lieux étranges, sacrés, chargés d'Histoire et de Légendes, de mystères non élucidés pour beaucoup. Vous trouverez les liens vers ces articles en bas de celui-ci.
Encore un mystère non élucidé que ces étranges souterrains annulaires dont les premiers exemplaires semblent avoir été découverts au milieu du 19ème siècle, alors que d'autres l'ont encore été au cours du 20ème, et qu'il en resterait probablement encore à découvrir. On a longtemps pensé qu'ils étaient uniques et concentrés dans le Centre de la France, mais d'autres découvertes similaires, en Autriche et en République Tchèque, ont encore accentué le mystère les entourant. Et ce mystère est multiple si on épluche les diverses publications à leur sujet : on ne connaît pas leur but, la raison de leur existence, ni réellement par qui et quand ils ont été creusés. Car les quelques datations effectuées, (encore une fois avec un mauvais calibrage du carbone 14, réévalué récemment), sur de très rares tessons de poteries ou artefacts métalliques trouvés seulement dans quelques souterrains, s'étalent de la période gallo-romaine (ou même plusieurs siècles avant JC à un endroit !, j'en reparlerais) jusqu'à la Renaissance (1694) ! De toute façon, l'on sait depuis longtemps qu'un grand nombre de souterrains ont été utilisés et réutilisés au cours du temps (des souterrains du moyen-âge ont ainsi été encore utilisés pendant la guerre 1914-1918 !) : une datation raisonnable ne saurait donc être très fiable tant que la science n'a pas découvert le moyen de dater les gravures et usinages de la pierre... la présence de poteries ou artefacts ne témoignant bien souvent qu'une appropriation postérieure de lieux plus anciens, ce que les archéologues raisonnables et ouverts reconnaissent volontiers.
En fait, la majorité des souterrains, mêmes bouchés depuis longtemps, ne contiennent absolument rien : ils semblent même avoir été scrupuleusement nettoyés de toutes traces de leurs bâtisseurs et même d'autres visiteurs ultérieurs. Si nous ne parlons que de la Montagne Bourbonnaise, le nombre de souterrains jusqu'à présent découverts seraient de 34 parfaitement identifiés (dont 14 sur la seule commune d'Arfeuilles - un souterrain tous les 300 mètres !, 5 sur Le Breuil, 3 sur la Chapelle, 2 sur Laprugne, le Mayet de Montagne et Nizerolles, 1 sur La Chabanne, Isserpent, Molles et Saint-Nicolas des Biefs) et de 15 de plus (49 donc en tout) dont l'existence est mentionnée par un ou plusieurs témoignages, mais qui n'ont jamais été explorés ou leur situation exacte perdue au cours du temps...
C'est d'ailleurs le cas d'un des premiers découverts, en 1854, et qui avait fait l'objet d'une publication vingt ans plus tard et d'une exploration : on a perdu depuis sa situation exacte dans le hameau de Terre-Noire de la commune de Laprugne (Allier) ! Voici cette étude (qui pensait par erreur à un souterrain-refuge) et schéma, dans "Le Forez illustré" du 1er et du 8 août 1875 par le docteur Frédéric Noëlas. Pour rappel, ce souterrain avait été découvert en 1855 par hasard, lors du creusement des fondations d'une grange, puis rebouché.
Extraits : " La région montagneuse qui forme entre la chaîne de la Madeleine et celle du Montoncel le canton le plus méridional du département de l'Allier offre à l'archéologie des sujets d'étude qui touchent au plus haut point de la science: roches à bassins et à empreintes, châtelards, voies primitives, souterrains refuges, villes et industries gauloises, murs gaulois, pour ne parler que de ce qui nous est le plus à cœur….
En dehors du bassin et des travaux de concession des mines de cuivre de la Prugne, sur les premières croupes des hauteurs qui s'élèvent brusquement jusqu'à près de treize cents mètres au sommet de la Madeleine, un hameau, celui de Terre-Noire, étage ses maisons à quelque distance du profond ravin où coule le ruisseau de la Coste.
Il y a vingt ans des propriétaires, voulant y bâtir une grange, creusèrent des fondations et furent on ne peut plus surpris de sentir le sol peu solide dans un endroit rocheux; ils creusèrent par curiosité et découvrirent un souterrain, où ils pénétrèrent assez imprudemment et sans ordres, surtout sans intention de s'en rendre compte par l'étude; ils n'y trouvèrent, dit-on que des morceaux d'une poterie grossière. La découverte fit grand bruit, nombre de visiteurs accoururent, mais tous inexpérimentés; puis on referma la cavité tant et si bien qu'il a fallu deux demi-journées pour la retrouver.
Cependant, on avait un point de départ; il avait fallu, lors de la construction de la grange, reculer les fondations, on chercha donc dernièrement et, au fond d'une tranchée d'environ un mètre cinquante centimètres de profondeur, on rencontra une entrée du souterrain, la même que celle découverte il y a vingt années. L'ami qui nous préparait si galamment la besogne pénétra dans la cavité par une ouverture assez étroite, reconnut les lieux puis referma soigneusement avec de grosse pierres l'entrée du roc, crainte d'accident.
Enfin, le 11 juillet dernier, nous nous rendîmes vers le souterrain avec une certaine solennité: un orage majestueux nous surprit en route... deux petits murs formaient l'entrée de la grotte; leur distance réciproque était d'environ un mètre, ils reposaient sur la roche vive et une pente assez douce conduisait à une ouverture si étroite que les épaules d'un homme avaient peine à y passer; mais au bout de quelques pas faits et en se laissant glisser les pieds en avant, le souterrain se révèle à la hauteur d'un homme de petite taille.
Voici l'aspect de la galerie: elle est creusée dans une roche de porphyre quartziféré très fendillée et cassante, commune dans le pays et coupée de filons d'un granit grenu décomposé nommé gore, au-dessous d'une terre labourée qui porte le nom de la mure (masure); sa direction générale est du S-E au N-E; sa voûte de forme pointue très irrégulièrement ogivale n'est nulle part soutenue par une maçonnerie quelconque; elle ne paraissait pas solide, la pierre s'égrenait laissant passer de grosses gouttes d'eau de pluie et à chaque roulement de tonnerre que l'oreille ne percevait pas au reste dans les profondeurs, de petites rocailles se détachaient comme au moindre frottement; la largeur du boyau souterrain est d'environ 0.70 à 0.80 m ; nous étions trois explorateurs et le travailleur avait peine à se servir de sa pioche.
Une première galerie, pendant cinq ou six mètres, serpente fortement et brusquement, puis elle envoie à gauche et à droite deux branches de manière à circonscrire une masse de roche en forme de colossal pilier arrondi; on observe que la branche de gauche continue presque droit la première galerie avec la même hauteur de voûte et la même largeur; la branche de droite se dévie fortement de ce côté et son plafond est plus bas d'au moins 30 à 35 cm ; des flaques d'eau jaunâtre s'étaient amassées sur le sol, mais aucune fosse, aucun puits ne s'ouvraient dans les galeries au point de rencontre des deux branches; dans la paroi de gauche est creusée une case ou niche dans une partie granuleuse de la roche à hauteur de l'épaule, cette case large de 15 cm a le sommet pointu; on voit très distinctement les nombreux coups d'un outil pointu comme un pic qui a creusé la pierre tendre (ailleurs la pierre fendillée ne montre pas ces traces).
On distingue un ascia gallo-romain gravé à gauche du socle de cette statue-pierre tombale. L'ascia qui servit peut-être à creuser les souterrains, avait aussi une valeur symbolique, puisqu'elle était souvent gravée sur les pierres tombales gallo-romaines, étant censée protéger et assurer l'inviolabilité dudit tombeau.
Nul vestige de rouille ou d'oxyde de cuivre pour indiquer la matière de l'outil, mais vu la difficulté de manœuvrer, même un marteau de mineur, à cause de la voûte, on voit que l'outil était emmanché si court qu'il devait être vraisemblablement tenu à la main comme un couteau… nulle marque de fuliginosité ou de suie de lampe dans cette case ni aux voûtes; ces deux galeries réunies sans chambre élargie, sans issues autres, après un mètre de parcours, rencontrent un muretin de grosses pierres haut de 50 cm disposé transversalement, il est maçonné avec de l'argile jaune comme ceux de l'entrée, et forme un petit ponceau sous lequel fuit un filet d'eau par une pente assez rapide; au-delà et au bout de 6 mètres , presque en ligne droite, un fort éboulement barre le passage et sur le sol extérieur on remarque, à cet endroit, une dépression sensible.
L'eau s'écoulant ainsi n'avait pu s'accumuler en trop grande quantité, mais elle gênait nos recherches, la pioche ne ramenant que des pierrailles sans forme, point de poterie ni d'outils; de la paille pourrie et noire et dans la galerie de gauche de la paille brûlée et charbonnée provenant sans doute des brandes de paille dont on s'était servi au risque de s'enfumer lors de l'exploration d'il y a 20 ans; un bout de plateau ou d'épaisses planches de chêne mises là sans doute pour appuyer sur les pierres et ne pas se mouiller les pieds, tout annonce une visite timide et hâtive. Le bois du plateau est pourri, mou et malgré qu'il soit infiltré d'eau, il a perdu énormément de son poids. L'air avait pénétré dans le souterrain et si la première fois il était méphitique et éteignait les lumières, lors de notre examen il s'était renouvelé. Mais comme contraste avec ce bois, nous avons recueilli dans le terrain et sous les éboulis de la galerie de droite un long bâton brut et noueux dont une branche cassée au bout forme un crochet, vrai bâton de sauvage, d’homme primitif (nous savons qu’on a trouvé semblable objet dans des souterrains analogues). Il était difficile de savoir au moment de la trouvaille de quel bois était ce bâton, on eût dit un morceau d’érable à l’écorce rude (bois très rare dans la montagne) et tout à fait comparable à des bois qui ont séjourné des siècles dans les tourbières ; celui-là, au lieu d’avoir perdu de son poids, en avait acquis considérablement, il pesait de cinq à sept cent grammes, infiltré d’eau mais aussi de matières siliceuses…..
On est convenu de nommer ce genre de grottes creusées de main d’homme "souterrains de refuges", mais la science n’a pas dit son dernier mot sur leur mystérieuse destination. Dès lors qu’ils ne sont pas construits de maçonnerie, il y a grande présomption d’antiquité, aucun château féodal n’y ayant laissé vestige et souvenir, mais on ne peut raisonner sur leur destination que par analogie et apporter dans leur recherche un grand esprit critique ; dans les uns, on trouve des restes évidents de l’homme préhistorique, hachettes de pierre, auges à broyer le grain ou le millet, comme dans la Creuse, le souterrain-refuge de Sanglard… Dans les autres on a trouvé de la poterie romaine ; les uns sont pourvus de puits ou fosses de défense, de conduits d’air ou soupiraux, présentent des cachettes, des grès à aiguiser, des réservoirs d’eau et des cavités circulaires, véritables silos que l’on cachait à l’ennemi; d’autres enfin offrent, taillés dans le bloc, des ouvertures avec des feuillures pour les portes, des bancs, des retraites et des salles spacieuses, de sorte qu’on a pu dire que c’était des habitations permanentes aussi bien que des refuges temporaires, même des caveaux ou des greniers d’approvisionnement.
Ils ont pu être occupés et réoccupés à différentes époques de troubles et d’invasion et sont creusés suivant différents types. (YH : à l'époque il y a peu de souterrains annulaires découverts et étudiés, mais l'auteur fait tout de même, remarquablement, le lien avec ceux-ci et un autre déjà découvert à Arfeuilles).
Ils sont rarement isolés, souvent groupés dans le même endroit à proximité de fontaine ou de ruisseaux ; ceux de la contrée, assez nombreux, semblent appartenir tous aux mêmes types : une galerie étroite embrassant un énorme pilier, nous en connaissons un à Arfeuilles dont la forme est tréflée, c’est-à-dire qu’il a trois piliers entourés de galerie qui se rendent dans un boyau unique. Tous ont été creusés de la même manière, avec les mêmes outils, dans la même roche. Nous faisons remarquer que la roche n’a pas partout un degré de solidité pareille, mais le temps, les mouvements de terrain ont dénaturé cette solidité.
Si le souterrain de Terre-Noire laisse maintenant filtrer les eaux pluviales, c’est qu’il était sans doute couvert de feuilles sèches et de fumier, comme le rapportent des auteurs anciens parlant (YH : peut-être : il n'y a pas de mention du lieu dans les écrits de Tacite au sujet des souterrains des "Germains", de plus, la région est considérée comme étant la région des Arvernes...) de ces souterrains. Il faut se faire une idée de la vie au grand air de nos ancêtres chasseurs et pêcheurs ; ils n’étaient jamais chez eux, il suffisait que la nuit et au gros de l’hiver les femmes et les enfants fussent en sûreté, la commodité, l’élégance du logis, sa salubrité même étaient choses secondaires. Mais nous faisons nous même toutes réserves à ce sujet, nous bornant à affirmer l’antiquité de ces retraites si bien oubliées des hommes.
L'ascia est un outil gallo-romain en forme de hache, une herminette, un outil à tailler le bois ou à polir la pierre, l'instrument à tout faire du maçon.
Cet outil gravé sur la pierre tombale était réputé lui conférer une protection en lui assurant l'inviolabilité.
Le peuple voit des communications fantastiques du souterrain Terre-noire avec les galeries du Châtelard, poste gaulois situé à deux kilomètres de distance... (sans preuve...) "
Ce souterrain fut par la suite rebouché et disparut des mémoires. Si la grange existe toujours, le souterrain n'évoquait plus aucun souvenir aux habitants du village, ni à l'ancien propriétaire de la grange, M. Eugène Oblette.
Des souterrains tous très semblables. Tous les souterrains de la Montagne bourbonnaise sont de longueur modeste (entre 20 et 40 m). Ils sont tous situés à une faible profondeur (entre 1m50 et 5m) et creusés dans du schiste ou du "gore" (arène granitique en décomposition), des matériaux qui excluent le creusement de vastes salles ou de larges couloirs. La plupart suivent le schéma de la lettre grecque Φ "phi" avec un vestibule d'entrée, se prolongeant plus ou moins dans l'axe par une galerie, coupant en deux endroits une structure en anneau. On notera que cette 21ème lettre grecque (utilisée aussi auparavant par les minoens de Crète, Santorin et Milos, mais aussi par les Etrusques, puis tardivement par les Coptes).
Dans le système de numération grecque, phi vaut 500 ; par exemple ‹ φʹ › représente le nombre 500. Comme la plupart des autres lettres grecques, le phi est parfois utilisé en dehors de son contexte alphabétique grec dans les sciences. Par exemple, en mathématiques, elle note traditionnellement le nombre d'or (1+√5)/2 (soit environ 1,618). On l'appelle aussi "La Proportion Divine" car si on on mesure notre taille et qu'on divise ce nombre par la mesure du nombril aux pieds, on obtient Phi. On obtient le même résultat si on mesure la taille du haut de l'épaule au plus haut des doigts et qu'on divise ce nombre par la taille du coude au plus haut des doigts...
On accède à ces souterrains par un dénivelé et une entrée non cachée parfois même par un escalier monumental (comme chez Néglot), ce qui exclut toute hypothèse de cache ou de refuge. La plupart semblent avoir été creusés au Haut Moyen Age, à l'aide d'une ascia sorte de hache à tout faire que les gallo-romains utilisaient pour tailler le bois ou creuser dans la pierre tendre. Beaucoup étaient murés à l'entrée (chez Guérande) ou dans la galerie, ce qui tendrait à renforcer l'hypothèse d'un lieu sanctuarisé. L'extrémité de la galerie ou de la "chapelle" possède souvent des alcôves ou des niches. On trouve souvent, au bout de ces galeries, des conduits verticaux de faible diamètre (parfois inachevés) et communiquant avec l'extérieur (aération ? Culte des morts ?).
Une hypothèse fait état que ces souterrains pourraient être des sortes de tombeaux où les habitants du Haut Moyen-Age (Gallo-Romains) déposaient les restes calcinés de leurs défunts dans des urnes funéraires. La crémation était en effet interdite par la religion chrétienne qui s'était implantée d'abord dans les villes et qui préconisait l'inhumation tout en condamnant l'incinération, héritage du paganisme. Mais cette hypothèse, si tentante soit-elle, n'est pas confirmée par des éléments matériels ( ossements calcinés, statuettes, sculptures ou peintures sur les parois). Mais l'Eglise pourrait avoir découvert cette pratique par la suite, et aurait tout nettoyé, ce qui est aussi une possibilité bien sûr...
Ce pourrait être aussi d'antiques sanctuaires en rapport avec le culte des morts, ce qui pourrait expliquer la présence de ces "conduits d'aération" plus ou moins achevés. Dans ce cas, ceux-ci seraient une sorte de passage reliant le monde des morts (souterrain) à celui des vivants (sur la terre). Face à la progression inéluctable de la religion chrétienne durant le haut moyen âge, ce type de sanctuaire aurait disparu. Il aurait survécu sous une autre forme plus "chrétienne" celle-là (l'Eglise a récupéré beaucoup de cultes païens ou antiques à son compte), la lanterne des morts.
La lanterne des morts est un édifice maçonné, de forme variable, souvent élancé généralement creux et surmonté d'un pavillon ajouré, dans lequel au crépuscule, on hissait, souvent avec un système de poulies, une lampe allumée, supposée servir de guide aux défunts.
Mais là où cela se gâte, c'est que certains vestiges tout de même découverts depuis (alors que d'autres découvertes "préhistoriques" sont mentionnées au 19ème siècle), pourraient ramener cette pratique à bien plus anciens que les Gallo-Romains, puisque dans les souterrains de Puyravel, dans des fouilles au Hameau de Chez-Guerrier (Mayet-Montagne), sur le site de Moulin-Piat (à 2km au sud de Glozel, M. René Gattefossé le fouille en 1939. Il y découvre des haches de pierre, deux fleches, des anneaux de schiste brun, certaines de ces pièces sont gravées), dans les souterrains annulaires de Cluzel et de Palissard (des tablettes ou des galets inscrits de signes "glozéliens" ont été découverts en 1928), des artefacts et gravures du néolithiques, préhistoriques donc, ont été trouvés. Certains de ces objets (galets gravés) ont été assimilés aux mêmes trouvés à Glozel. Des analyses faites en 1995 pour tenter de dater plus précisément une partie de ces objets "Glozéliens", dans plusieurs laboratoires, ont donné des résultats disparates et peu concluants : le quartz contenu dans la plupart des objets fausse les données de la thermoluminescence (radioactivité) et, malgré des résultats peu fiables et contradictoires entre les laboratoires (des données donnant -17000 ans en moyenne (comment ? c'est dans le rapport officiel pourtant !) mais s'étalant surtout entre - 600 avant JC et le 17ème siècle, voir même le 20ème siècle pour certains objets douteux), une étrange conclusion ramenait le tout au Moyen-âge, peut-être "Haut" (Gallo-Romain) pour certains objets, mais plutôt 13ème siècle pour l'essentiel... tout simplement parce, depuis le début du 20ème siècle, trop de fouilles avaient "pollué" les lieux et que seuls des traces d'une verrerie datant du moyen-âge avait pu être identifiées avec certitude... :
" En effet, sans doute à cause de la très forte radioactivité naturelle de la région, les datations sont extrêmement disparates, et on a du mal à comprendre et à fortiori à expliquer la présence sur le même lieu, d'objets âgés de 17 000 ans, de 5 000 ans, de 2 500 ans, de 1 500 ans, et même du moyen âge ! Reste également l'énigme de l'écriture que l'on retrouve sur des os gravés de 17 000 ans, toujours non déchiffrée (elle l'a été par plusieurs auteurs différents à priori et daterait des Phéniciens selon beaucoup d'entre eux)... (mais cette écriture est ce qui gêne le plus la trame "historique"... même si d'autres écritures similaires semble avoir été découvertes ailleurs dans le monde (Pakistan)). Le compte rendu de 1995 est incomplet et ambigu : les seuls vestiges archéologiques du site sont les restants d'un artisanat de verrerie qui date du Moyen Âge. Aucun objet de type « glozélien » n'y a été découvert lors de ces fouilles de 1995 (!) "
On se rappellera bien sûr que les datations d'avant le 21ème siècle (recalibration du carbone 14 en 2004) ne peuvent plus être considérées comme fiables de toute façon... Il faudrait tout redater, et comme on le fait maintenant, avec l'aide d'au moins trois méthodes différentes...
Mais même s'il y a un possible lien entre Glozel et les souterrains annulaires (puisque, finalement, il n'y a pas qu'à Glozel que des objets "glozéliens" ont été découverts !), revenons sur ces derniers, voilà plusieurs plans et schémas de ces cavités, établis par plusieurs chercheurs dont les noms sont cités plus haut ou par la suite... :
Anneau Birat (commune de Châtel Montagne) découvert en 1952, suite à l'effondrement de la voûte lors du passage d'une vache. Allée rectiligne de 13 m , demi-cercle de 18 m , 1m65 de haut, restes d'un muret de pierres sèches vers le fond
Chez Frobert (commune de Châtel Montagne) découvert sous un bâtiment. La partie rectiligne mesure environ 8m, l'anneau 13m50, les 2 extrémités, remblais et effondrement) n'ont pas été explorées.. Ont été trouvés quelques tessons de poterie et un liard de 1694 (!)
L'entrée de l'anneau de Chez Frobert
Anneau de Guérande (commune d'Arfeuilles) découvert en 1958, lors d'un labour. La véritable entrée était toujours murée. Les tessons retrouvés datent du Vème au IXème siècle (Gallo-Romain-Mérovée-Charlemagne). Allée rectiligne de 15 m débouchant sur une salle (la chapelle ?) avec 2 pierres d'autel de chaque côté).
L'entrée murée de l'anneau de Guérande
Anneau de Puyravel (Mayet de Montagne) découvert lors de labours en 1928. galerie de 16 m de circonférence. Restes de poteries, galet gravé et outil en pierre de l'époque préhistorique (néolithique + "Glozélien")
Chez Néglot (commune du Breuil) exploré dès 1875 par Noëlas, comblé en grande partie. Anneau de 12 m. menant à une "chapelle" avec conduit extérieur, escalier d'accès monumental, mais accès fermé par d'énormes blocs de granit. Ces blocs de granit, extraits d'une carrière distante de 8 km, verrouillaient l'entrée (similitude avec les différents murets des autres souterrains qui interdisaient l'accès)
Chez Néglotescalier d'accès monumental
A gauche, Couloir annulaire d'un souterrain annulaire creusé sous une église dans les Deux-Sèvres (France) (YH : ou c'est l'église qui a été construite sur le souterrain !). A droite, Arfeuilles, photo de souterrain annulaire
Arfeuilles, photo de l'entrée bouchée du souterrain annulaire du Bois-Barret
Pour compléter un peu plus cette compilation de données sur les anneaux souterrains, voici un extrait d'un livre ("lieux mystérieux") d'un chercheur local (qui était considéré comme beaucoup il est vrai comme un "mystique", mi-voyant mi-esotériste (il a fait des prophéties de son vivant, dont certaines se sont réalisées)), un auvergnat donc, nommé Pierre Frobert (déjà cité dans les articles consacrés au monument très ancien (celte ou encore plus ancien) "Pierre Ginish" du Puy de Montencel, point culminant de la Montagne Bourbonnaise), et qui a donné sa propre hypothèse, évidemment l'une des plus étranges de toutes les hypothèses, mais qu'il argumente d'une façon assez intéressante quand on se penche et étudie toutes les données concernant nos ancêtres qui ont passé beaucoup de temps et d'efforts sur le transport (sur des kilomètres et avec peu de moyens) et l'élévation de pierres levées (menhirs, dolmens, cairns) et monuments parfois gigantesques, y compris parfois tout en haut de certaines montagnes... : " Les étranges souterrains d'Arfeuilles "
" Le territoire de la commune d'Arfeuilles recèle plus du tiers des souterrains de la Montagne Bourbonnaise; Notons plusieurs faits importants : il n 'y a pas d'aération ou si peu que personne ne pouvait les utiliser comme refuge; ils sont inutilisables; on ne peut rien entasser sans boucher le passage. Ce ne sont pas des lieux de culte : Il y a un souterrain tous les 300 mètres à Arfeuilles. (YH : notons au passage que le nom d'Arfeuilles prendrait ses racines (celtes et latines) dans "Fouilles profondes"), Les noms d’Arfeuilles et Arpheuilles pourraient provenir aussi du verbe latin « fodiculare », signifiant fouiller, creuser. Cette étymologie situerait donc effectivement la création de ces souterrains à une époque lointaine de toute façon (cf. Maurice Piboule,Mémoire des communes de l’Allier : La Combraille, 1988). "M. DAUZAT, dans son dictionnaire des noms de lieux, pense (avec d'autres auteurs de dictionnaires similaires) que ce “feuilles“ serait un hybride Gallo-Latin de “fodiculare“, fouiller. Quant à la signification du préfixe “Ar“, elle laisse perplexe la plupart des linguistes. Une interprétation récente a été donnée en 1988 par M. FROMAGE, professeur de lettres anciennes et président de la Société Française de Mythologie, lors du congrès mondial sur les souterrains, qui s'était tenu à Arfeuilles cette année là. Pour lui, le “Ar “ proviendrait d'une déformation de prononciation du “Al “ de “alto“ qui signifie aussi bien profond qu’élevé. Cette interprétation est imaginée par M. DAUZAT et d'autres auteurs à propos de noms de lieux autres qu'Arfeuilles. Si cette interprétation est valable en ce qui nous concerne, “Arfeuilles“ signifierait “fouilles profondes“ ou encore “ le pays des fouilles profondes“. Or M. DAUZAT signale la présence de souterrains à proximité de la plupart des Arfeuilles ou Hautefeuilles. On a une explication qui tient debout, quant on sait qu'ici les souterrains annulaires atteignent une densité que, jusqu'à présent, on n'a jamais rencontrée ailleurs".
Des dépots d'urnes ? Cette hypothèse avait été avancée par le docteur Chabrol. C'est bien improbable (YH : aucune preuve n'est jamais venue l'étayer en tout cas).
D'après les recherches que j'ai effectuées en Bretagne et dans d'autres lieux, j'ai remarqué que tous ces souterrains présentent un plan particulier, à savoir un couloir généralement petit débouchant sur une salle ou plusieurs salles de formes circulaires. En Bretagne on a élevé des Cairns, sorte de pyramides à étages, tout simplement parce qu'il n'y avait pas de montagnes or dans notre région (Auvergne), tous les sommets alentours présentent des amas de rochers placés volontairement ou des murs ceinturent un sommet. La concentration de ces souterrains n'est pas un hasard si l'on étudie la nature du sous-sol et les courants telluriques.
LA SCIENCE DES ATLANTES
Il existe sous la terre des courants de forces tout comme l'être humain possède un système nerveux électrique. Il est admis aussi que la foudre sort de la terre avant son échange avec les forces célestes. Or la foudre est toujours au croisement de lignes de force tellurique. Il y a donc des points d'émissions puissants et c'est sur ces points d"émissions que nos ancêtres ont creusé les montagnes, ou ont fabriqué des capteurs artificiels tumulus avec salle intérieure. Pour diriger cette force ils ont à certains endroits placés sous terre des capteurs directionnels de différents modèles.
Ce sont nos fameux souterrains aux formes étranges creusés en forme de voûte. Selon l'intensité de la force l"entrée qui est en réalité une sortie, était plus ou moins haute et était dirigée soit sur une file de menhirs - les condensateurs - ou plusieurs files de menhirs avec dolmens (prise de courant) soit sur des lignes naturelles (les autres nerfs de la terre) l'épine de certaines montagnes, le cours de certaines rivières, etc...
Nous avons une preuve éclatante de la domestication de cette énergie gravée sur les pierres du tumulus de Gravinis en Bretaqne. Cette énergie pouvait être décuplée par du quartz.
Sur la terre il existe de semblables systèmes de domestication des forces telluriques. Pour quoi faire me direz-vous : C'est ici que la réalité dépasse la fiction : Les Atlantes avaient des colonies sur toute la terre.
Les Atlantes connaissaient en des temps préhistoriques la radio, la télévision, l'énergie atomique, le laser et leurs vaisseaux aériens suivaient ces lignes de force telluriques, ces lignes servaient aussi à la fertilisation des terres, à envoyer des messages à distance et bien d'autres choses encore. A une période de leur histoire qui se situe vers 12500 avant le Christ, les Atlantes firent un mauvais usage de leurs découvertes et causèrent leur propre perte car ils ont mis au point des instruments qui mettaient en mouvement les feux du centre de la terre ainsi transformés en force destructrices. Les Atlantes s'étaient rendus maîtres d'une source d'énergie fabuleuse, les rayons du soleil amplifiés par des cristaux, l'inversement de ces forces a provoqué la destruction de leur continent.
Bien des gens ont du mal à croire à l'existence d'une civilisation avancée comme L'Atlantide et qu'elle ait pu disparaître sans laisser de traces, et pourtant ces traces existent.
Réfléchissez à ceci, il y a moins d'un siècle seuls les auteurs de science-fiction pouvaient songer à des choses comme la télévision, les sous-marins atomiques, la bombe à hydrogène. En moins de 50 ans, des nations ont disparu dans le chaos de deux guerres mondiales et d'autres ont été fondées. Regardez à quel point notre civilisation actuelle est tributaire des communications, des transports, de l'énergie électrique et il est facile d'imaginer qu'une guerre atomique, si elle ne détruit pas complètement l'humanité, puisse renvoyer l'homme à l'âge de pierre.
Que resterait il de notre superbe civilisation dans 5000 ans ? "
Tous ces dessins sont extraits du livre de Pierre Frobert "Lieux mystérieux"
Autres souterrains annulaires dont on connaît l'existence :
Deux auteurs Francis Pérot (en 1884) et Adrien Blanchet (en 1927) signalent tous deux la présence d'un second souterrain annulaire à Laprugne, au "Chatelard". D'après Pérot: " La confection de la route de Laprugne à la Loge des Gardes a mis à découvert un souterrain dont on voit nettement la section et la forme au Chatelard. Les deux ouvertures qui se voyaient dans la tranchée de la route ont été maçonnées avant qu'il n'ait été exploré. Sa hauteur est de 1m30 et sa largeur 0m80 ". Et d'après l'inventaire de Blanchet: " Le Chatelard: souterrain dont les 2 parties découvertes ont été murées. Hauteur: 1m20; largeur: 0m70; voûte cintrée en anse de panier ".
Au hameau de Lareure, Jean Robert Perard, un agriculteur natif d'Arfeuilles a visité deux souterrains, un ouvert par le godet d'une pelleteuse qui réalisait le terrassement de son hangar et un autre découvert par des débardeurs dans le bois du Rez des Écoliers. Mais les deux sont bouchés depuis. Question de sécurité. L'agriculteur, qui a les yeux qui brillent lorsqu'il raconte sa visite du souterrain des Écoliers, se souvient de sa première visite et de l'état de quiétude qu'il a ressenti sous la terre. Il se souvient aussi de sa dernière visite avec des cameramen américains « qui ont failli y passer car il n'y avait plus d'oxygène dans le boyau. Trop de monde sans doute »...
Peu connu de la plupart des habitants de notre région, les souterrains annulaires sont extrêmement nombreux sur notre territoire : montagne thiernoise, bois noirs, monts du bourbonnais…
Aujourd’hui encore l’énigme de leur utilisation reste entière malgré les efforts de recherche des sociétés archéologiques locales et de la Société Française d’Étude des Souterrains.
Hugues Dourvert découvreur et spécialiste de ces structures souterraines nous entraîne dans ses visites et nous donne quelques explications sur ces lieux mystérieux...
OVNIs : ODHtv - Actualités 1er semestre 2016 - MAJ juin 2016
Créée en Octobre 2006, JT Ovni est l'émission dédiée à l'actualité ovni (objet volant non identifié) et d'oani (objet aquatique non identifié) en France. Elle est réalisée par une équipe de reporters en France.
Ainsi JT Ovni en France, vous partage les dernières observations d'ovni/oani, les conférences et évènements ufologiques mais également un dossier sur les ovnis dans l'histoire d'un département ou d'une région.
L'édition est présentées par Maryline, Franck Black, Gilles.T
- Présentation du 51ème anniversaire de Valensole
- Observation du 20 février 2016
- Astuces du veilleur: satellite NOSS avec Gaëtan (il y a un décalage dans le son, nous nous en excusons)
- Actualité ovni en France de Janvier à Avril 2016
- Dossier de l'édition: Ovni dans les Alpes-maritimes
Créée en Mai 2007, Matin Ovni est l'émission dédiée à l'actualité ovni (objet volant non identifié) et d'oani (objet aquatique non identifié) dans le Monde. Elle est réalisée par une équipe de reporters en Europe et dans le reste du Monde.
Ainsi Matin Ovni dans le monde, vous partage les dernières observations d'ovni/oani, les conférences et évènements ufologiques dans le monde mais également un dossier sur l'ufologie dans une région ou un pays.
Edition du 02 Mai 2016 présentée par Gilles.T
- Interview de Giorgio Pattera et Marco La Rosa
- Question de l'édition: Y'a-t-il des ovni quand il pleut ?
- Actualité ovni dans le monde
- Dossier: Ovni en Ligurie (italie)
MAJ Juin 2016 : JT Ovni du 28-06-2016 L'édition est présentées par Rémy Fauchereau et Gilles.T
- Rencontre avec l'Ovni - Valensole
- Commentaires du livre de Sylvain Matisse avec Rémy Fauchereau
- Astuces du veilleur: point de repère et estimation des distances par Gaëtan.B du REUB