Beaucoup d'artefacts étranges trouvés en Equateur 1
Petit historique de la région appelée aujourd’hui Equateur, au sud de l’Amérique Centrale. L’histoire de l’Homme en Equateur commence à peu près il y a quelque 11 000 ans, avec les découvertes de vestiges archéologiques provenant de peuples préhispaniques et préincaïques qui y vivent et qui ont développé leurs propres caractères qui les différencient des Incas. Alors que ces peuples leur ont opposé une longue et farouche résistance avant d’être vaincus, ils sont habituellement confondus avec les Incas. Vers cette période, comme un peu partout dans le monde, une grande glaciation prend fin et la région sort de l’une des périodes les plus froide de la glaciation Wisconsin et commence un processus de réchauffement climatique qui mettra des millénaires pour atteindre nos conditions actuelles.
Ces peuples sont issus des « cultures formatives » américaines d’après les ethnologues : ce terme correspondant au Néolithique européen pour décrire une réalité américaine. Ainsi, on ne parle pas ici de Paléolithique ni de Mésolithique mais de Période Paléo-indienne et de Période Archaïque… On ne sait pas trop ce qu’il se passe entre l’énorme période de ces -12000 ans et environ -500 ans avant JC où la Période de Développement régionale démarre seulement et qui se caractérise par la division de l’espace septentrional des Andes en plusieurs chefferies régionales, connues sous le nom de Signeuries ou Cacicazgos (domaine du Cacique), à la différence des Andes Centrales (Pérou) où se développèrent de grands royaumes tels que Huari, Chimu ou l’Empire des Incas. Petites mais très solides, différenciées et hiérarchisées, ces Seigneuries assirent une partie de leur pouvoir sur le contrôle des bassins fluviaux, sources de produits stratégiques, sur la création et le contrôle d’une force de travail et sur l’échange de matières premières et de produits manufacturés, en particulier à caractère exotique ou somptuaire.
Mais à la fin du XV° siècle ap. JC, ils durent faire face à l’expansionnisme du Tahuantinsuyu, Etat né dans la région de Cuzco qui répandit son influence sur un vaste territoire. L’Empire Inca est l’une des civilisations les plus développées des temps préhispaniques et sa puissance militaire lui permit d’édifier un vaste empire. Au sein de cette entité politique, les régions aujourd’hui nommées Equateur ont joué un rôle important (Cuenca), surtout au moment de la conquête espagnole, dans la mesure où c’est sur ses terres que se sont joués les derniers jours de l’Empire Inca, et où le fabuleux trésor des Empereurs s’est volatilisé…
Mystère équatorien :
Il y a de cela des milliers d’années, les habitants de l’Equateur actuel construisirent un monument de pierre à 2630 mètres de hauteur. Il était situé entre les deux cordillères des Andes, sur une colline appelée le Catequilla. Du sommet du Catequilla et par temps clair, la vue sur les alentours s’étend sur un rayon de 360º et on peut voir tout le site archéologique d’un seul regard. Les deux chaînes de montagnes ralliant le nord au sud, étaient des points d’orientation idéaux. La cordillère Est était utilisée pour déterminer précisément l’apparition des étoiles tandis que la cordillère Ouest permettait de localiser leur disparition.
Catequilla - Equateur
L’hémicycle a un diamètre de 70 mètres et il est constitué principalement d’un mur de pierre et de terre d’environ 1m80 de haut. On trouve également de nos jours dans cette vallée le monument de la “Mitad del Mundo”, littéralement la “Moitié du monde”, construit à l’endroit déterminé scientifiquement par la mission géodésique française conduite par Charles de La Condamine au XVIIIe siècle ap. JC. Tandis que ce nouveau monument a été construit à quelques centaines de mètres de la ligne équatoriale, l’ancien monument, qui date de bien avant l’invention de la Ligne Equatoriale (attribuée au Grec Thalès en 600 env. av. JC par les historiens sans réelles preuves), est situé exactement sur celle-ci…
Des découvertes récentes : Les trésors de Tumaco La Tolita
Situés à la frontière de l'Équateur et de la Colombie, deux sites archéologiques témoignent d'un peuplement ancien de près de trois millénaires avant JC ! C'est ce que démontre l'ouvrage que viennent de publier l'archéologue Jean-François Bouchard et le géomorphologue Pierre Usselmann, après trente ans de recherches menées sur place, Trois millénaires de civilisation entre Colombie et Équateur : la région de Tumaco La Tolita. Cette civilisation, antérieure à celle des Mayas et des Aztèques permet un formidable voyage au cœur de l'une des plus mystérieuses civilisations sud-américaines.
Difficile de discerner quoi que ce soit dans l'entrelacs touffu d'arbres et d'herbes hautes qui couvrent les rives du Rio Santiago, dans la région de La Tolita au nord de l'Équateur… Entrecoupée par trois deltas de fleuves (ceux du Patia, du Mira et du Santiago), soumise à un climat particulièrement humide et à de fréquentes crues, la côte qui longe le Pacifique dans cette zone frontière avec la Colombie est en effet couverte de mangroves. L'endroit n'a rien de particulièrement accueillant. C'est pourtant là que choisirent de s'implanter des hommes, si l'on en croit les découvertes archéologiques faites dans la région depuis les années 1960. À l'origine de cette découverte ? Les amas de coquilles de mollusque, mis à jour dans cette zone, et datés par les scientifiques de l'époque de Loma Alta (soit 3 000 ans avant notre ère), révèlent ainsi que des hommes s'installèrent dans cette zone et s'y fixèrent à une époque antérieure aux civilisations aztèques et mayas...
Cette datation constitue en soi une petite révolution car elle conduit aujourd'hui les scientifiques à récuser l'hypothèse d'un peuplement migratoire en provenance d'Asie, comme cela était couramment admis jusque-là. Cette découverte accrédite désormais l'idée selon laquelle divers centres culturels auraient coexisté dans la région andine dès l'époque néolithique (qui court de 7000 à 4000 ans avant maintenant).
Céramiques trouvées à La Tolita (remarquez le crâne allongé conforme aux multiples déformations cranières trouvées dans la région)
S'il ne reste aujourd'hui aucun vestige des huttes qui devaient constituer l'habitat d'origine de ces populations, de nombreux ustensiles de cuisine exhumés dans la région nous renseignent sur leurs habitudes alimentaires. « Prédateurs pratiquant la chasse, la cueillette et la pêche, [ces peuples du néolithique] possèdent déjà une horticulture potagère qui apporte un complément alimentaire attesté par les phytolithes, des restes de bois carbonisés et par des instruments agraires : pics à fouir, haches, houes », note l'archéologue Jean-François Bouchard.
Malgré un aspect a priori hostile et une réelle difficulté d'approche, le climat et la nature des sols se prêtent tout à fait à l'agriculture : « culture de bulbes comestibles et de racines, comme le manioc, mais aussi de céréales comme le maïs », complète Pierre Usselmann. Dans toute cette zone géographique, la découverte de céramiques et de travaux d'orfèvrerie (datant, elles aussi, de 1000 ans avant JC) présentant des caractéristiques stylistiques très homogènes, révèle une communauté de destin entre les populations de Tumaco et celles de La Tolita. Communauté de destin qui laisse à penser que ces deux ports, pourtant distants de près de 70 km, étaient en relations commerciales dès les périodes les plus anciennes. Et que de nombreux échanges étaient effectués entre ces deux villages, via les cours d'eau qui sillonnent cette zone marécageuse, probablement grâce à des pirogues monoxyles. La présence de monticules artificiels en terre ou tertres sur lesquels étaient jadis construits des édifices à usage cérémoniel et qui correspondent à une occupation plus récente, démontre, par ailleurs, que la région était également un haut lieu religieux. Jusque-là, seuls des témoignages de conquistadors espagnols attestaient une pratique cultuelle sur les bords du Rio Santiago : des chroniqueurs de l'époque racontent ainsi que les indigènes déversaient des offrandes de poudre d'or dans le lit du fleuve.
Les récentes datations d'un site de fouilles au sud de l'Equateur et la découverte, sur le même site, de récipients en pierre, révèlent l'existence, il y a plus de 4500 ans, d'une société antérieure à celles connues jusqu'alors en Amazonie.
Ces recherches ont été menées en partenariat avec l'Institut National du Patrimoine Culturel (INPC) de l'Equateur et la participation, aux côtés des chercheurs de l'IRD (Jean Guffroy, Francisco Valdez et Geoffroy de Saulieu), de Julio Hurtado, archéologue équatorien.
Une interview de Francisco Valdez :
Et aussi (pour l'Histoire plus récente et dire aussi que les descendants des Incas, Mayas et Aztèques sont en pleine effervescences depuis la dernière dizaine d'années et semblent retrouver un esprit combatif digne de leurs ancêtres) :
La nouvelle de la découverte du site archéologique a été rendue publique par l’historienne Tamara Estupiñán Viteri, boursière de l’Institut français d’Études andines (IFEA, UMIFRE 17, CNRS-MAEE), lors d’une conférence donnée à Quito, à l’occasion du 83e anniversaire de l’Institut géographique militaire (IGM), le 8 avril 2011.
Selon Tamara Estupiñán Viteri, chercheuse à l’IFEA, le général inca Rumiñahui utilisa le corps momifié (« malqui ») et l’effigie de l’empereur Atahualpa (un mannequin orné des ongles et cheveux du défunt, ou « huauque ») afin d’attiser la résistance indigène face au conquistador espagnol Benalcázar. La force de tels symboles auraient permis de mettre un frein aux divisions fratricides et de redonner espoir face à l’envahisseur. Ils auraient eu également pour fonction d’assurer la survie du clan familial (ou « panaca ») de l’empereur Atahualpa exécuté par Pizarre à Cajamarca.
La dernière demeure d’Atahualpa
Ces symboles majeurs (« malqui » et « huauque ») ne pouvaient être efficaces qu’à l’abri d’un sanctuaire facilitant les rites complexes aptes à la mise en œuvre de décisions militaires, politiques et religieuses. Des documents d’archive inédits et les caractéristiques très particulières du site archéologique identifié dans la région des Sigchos (Province du Cotopaxi) ont conduit Tamara Estupiñán Viteri à postuler qu’il s’agissait bien de la dernière demeure d’Atahualpa.
Parement « impérial » inca sur le site archéologique.
Une reconnaissance du site a été effectuée le 11 avril 2011 par une mission scientifique associant notamment Francisco Valdez, archéologue de l’Institut de Recherche et de Développement (IRD) ; Alexandra Yépez, anthropologue au ministère du Patrimoine ; Jaime Pastor Morris, fin connaisseur de la région et Georges Lomné, directeur de l’IFEA. Leurs observations ont renforcé celles de l’archéologue Tamara Bray (Wayne State University) et celles de l’archéologue Eduardo Almeida Reyes qui a effectué un premier relevé du site en janvier. Celui-ci a une extension d’environ deux hectares.
Foyer de résistance
La présence d’une rampe d’accès monumentale, bordée de murs en pierres (de style pirca), celle d’une vaste place cérémonielle et de plusieurs fontaines, d’un oratoire solaire (« ushnu ») et de nombreux parements de style « impérial » ne laissent aucun doute sur l’occupation inca d’un ancien site yumbo. Il ne s’agit ni d’une forteresse (« pucará ») ni d’un palais, mais plutôt d’un sanctuaire. La situation exceptionnelle du site, sur le piémont occidental des Andes équatoriennes, accrédite en outre la thèse d’un refuge, probable foyer de résistance au moment de la conquête espagnole.
http://www.latitudefrance.org/Decouverte-en-Equateur-d-un.html
Les artéfacts des collectionneurs privés ou des musées locaux :
Tout d'abord, il y a ces objets de pierre sont sculptés dans une pierre d'un blanc grisâtre, le tuf volcanique. Ils proviennent d'un petit nombre de sites archéologiques en Équateur. La plupart des spécimens viennent de sites situés sur l'île de La Plata, à 30 km de la région sud/centre des côtes de l'Équateur. Quelques spécimens ont également été trouvés sur le site de Salango et Chorrera en Équateur continental.
Ces objets mystérieux peuvent être carrés, rectangulaires ou ronds. Certains sont décorés de lignes et de cercles gravés, d'autres ne présentent aucune décoration. Les huit spécimens de la collection USF sont tous rectangulaires et perforés dans le sens de la longueur de manière à pouvoir être enfilés. Six de ceux-ci portent sur leurs quatre faces trois cercles gravés autour d'un petit point en creux. Le septième spécimen n'est pas décoré tandis que le huitième est orné sur ses quatre faces d'un nombre différent de cercles (7, 10, 12 et 14) gravés autour d'un point en creux. Les archéologues ignorent la fonction de ces objets. Par le passé, les chercheurs ont suggéré qu'ils auraient pu servir de pièces de jeu ou d'aides à la navigation. Le contexte archéologique entourant leur découverte peut cependant apporter un indice quant à leur fonction. Ainsi, en s'appuyant sur les nombreuses sépultures humaines, statuettes et coquilles de spondyles trouvées à ces endroits, les archéologues croient que les sites de Salango et de l'île de La Plata étaient des lieux cérémoniels. La présence de ces objets en pierre pourrait donc indiquer une fonction cérémonielle ou rituelle. Mais ceci n'est peut-être que l'excuse habituelle employée par les archéologues lorsqu'ils ne savent pas comment expliquer tel ou tel artefact !
Ensuite, parlons des plus de 300 Artefacts très étranges trouvés en 1984 à la Maná en Équateur. Cette année, une large cachette a été trouvée par un petit groupe de prospecteurs d’or menée par l’ingénieur Elias Sotomayor, dans un tunnel 300 pieds (100 mètres) sous terre, à l’intérieur d’une montagne recouverte par la jungle. Premiers problèmes rencontrés sur ces artefacts : la technologie et la géométrie lithiques présentées par les artefacts ne correspondent à aucun contexte de la région, suggérant qu’ils peuvent être antérieurs à toutes les cultures régionales. De plus, impossible de les dater par les dernières technologies de thermoluminescence : ils ont trop été exposés à la lumière depuis leur découverte. De plus, le symbolisme présenté dans les formes, les découpes et designs, signes incrustés dans les artefacts de La Maná concernent plutôt la culture Sanskrite, la langue mère depuis laquelle les glyphes Égyptiens et semble-t-il Mayas proviennent. Je vous conseille de lire également le texte traduit des propos de Klaus Dona sur ces artefacts, qui apparaît sur certaines photos : des explications très intéressantes... Interview audio 2011 de Klaus Dona (en anglais).
Le site de La Maná, Equateur, (0.95°S 79.18°O) est à 12,021 kilomètres de Gizeh, Egypte, une distance qui est exactement de 30% de la circonférence de la Terre. Ces découvertes n’ont pu être catégorisées parmi les cultures connues de l’Amérique du Sud, et montrant des iconographies composées de traditions Sanskrites étrangères à la région. Le nom de l’endroit lui-même est ancien, probablement un reste des habitants Sanskrits pour qui le mot « mana » voulait dire « esprit » ou « corps mental ». La signification de ce nom peut devenir claire alors que les artefacts révèlent leur géométrie psychoacoustique encodée par de l’information fractale à propos de propriétés de résonance de la calcite (voir ici : http://www.humanresonance.org/mana.html en anglais).
Plus incroyables (et confirmant le fait qu’une peuplade provenant à la fois du Moyen-Orient et d’Asie s’est installée des millénaires auparavant en Equateur !), sont les représentations des Grandes Pyramides de Gizeh, un Roi Cobra (un serpent connu pour seulement exister en Asie du Sud Est) et une carte globale engravée des continents existants et autres terres de nos jours submergés. Des caractéristiques technologiques avancées sont visibles dans le travail de la pierre, comprenant des effets magnétiques zéro-point et des lignes incrustées qui deviennent fluorescentes une fois exposées à de la lumière ultraviolette. Pour finir, ces artéfacts défient n’importe quelle explication simple, révélant que les capacités technologiques de l’homme ancien étaient des millénaires en avance de ce qui est utilisé aujourd’hui par l’homme industriel. Le groupe d’à peu près 300 objets est resté en Équateur dans la collection privée de German Villamar pendant près d’une décennie depuis sa découverte par Sotomayor. L’analyse physique de tous ces objets luminescents prouve que les roches dures ont été incisées précisément et qu’un mortier de calcite (connue pour ses propriétés luminescente à l’ultraviolet) mixé à différents minéraux (dont les chercheurs n’ont toujours pu déterminer tous les composants), comme la manganèse, pour trouver aussi bien la bonne couleur que la spécificité du spectre de lumière émis : les objets acquièrent une résonance qui amplifie la luminosité de la matière grâce a ces nanoparticules (utilisées également par les Mayas dans leurs céramiques entre autres avec le manganèse et le fer).
L’artefact le plus intrigant du groupe est une représentation d’une pyramide avec 13 divisions horizontales ou étapes et surmontée d’un œil qui voit tout, ou du troisième œil dans le symbolisme spirituel Sanskrit. Alors qu’il n’y a pas de seules vraies pyramides représentées dans les Amériques, seulement une multitude de pyramides à étages, cela doit être considéré comme une représentation de la Grande Pyramide de Gizeh qui se trouve à des milliers de kilomètres. Sur le côté renversé de l’objet se trouve une inscription en or de la ceinture d’Orion et une série de glyphes archaïques Sanskrits, qui ne sont toujours pas interprétables. On retrouve aussi cette même pyramide dans beaucoup de religions, et sur le billet d’un dollar américain… D'autres pierres taillées en forme de pyramides égyptiennes ont été trouvés à divers endroits de l'Equateur, comportant ou non des incrustations lumino-magnétiques, mais toutes des symboles pré-sanskrits. Notez dans les dernières photos, gravées dans la pierre pyramidale, un homme se sert de la pyramide (comme montré dans d'autres gravures) et émet des rayons puissants qui sortent de ses yeux et qui porte un casque avec des antennes posées sur la tête, un objet apparemment lumineux le survole... Une partie de ce casque en métal semble faire partie de la collection, voir photos ci-dessus.
Le Cobra royal est aussi gravé dans la pierre avec une minutie difficile avec cette pierre, de plus le cobra n'existe pas en Amérique latine, ils ont assez d'anaconda comme ça. Il est également fluorescent à la lumière ultraviolette, et ce dauphin aussi. Il semble évident qu'il s'agissait d'objets de cérémonies qui se déroulaient dans un noir presque absolu et ces objets lumineux avaient de quoi impressionner... Le ventre du serpent pourrait représenter les points du chakra, d'origine de l'Indus. Mais quels êtres ou hommes ont bien pu les fabriquer, et pourquoi, comme en Egypte ou ailleurs, cette référence mondiale à la constellation d'Orion il y a des millénaires ?
Parmi ces artefacts, plusieurs casques de pierre, mais pas n'importe quels casques : ils sont faits pour reposer à l'arrières et le côté sur les épaules et, à l'intérieur, se trouvent des points magnétiques fluorescents qui sont aux emplacements exacts des points d'acupuncture : cette peuplade d’Amérique latine connaissaient les mêmes secrets que la Chine antique inventés au même moment... Des frontaux, qui étaient suspendus via les petits trous visibles à des liens, un chapeau ou une couronne, reposaient sur le "3ème œil" de celui qui le portait et comportent également des points magnétiques. Cet ancien peuple se soignait et utilisait donc de façon avancée des techniques de luminescence et de magnétisme : techniques que certains labo avancés sont en train de mettre au point en ce moment même dans notre monde moderne.
Egalement dans cette énorme collection, de nombreuses pierres gravées, ainsi que des céramiques, statuettes et têtes en lyddite (jaspe) ou non, et comportant parfois des lignes incrustées luminescentes formant des dessins. Notez que tous les objets sont gravés d'une pièce dans un bloc, y compris le couple "à cheval " ci-dessus. Regardez aussi les positions en lotus de certains personnages : nullement de la culture pré-colombienne vous en conviendrez. Pourtant les roches ne se différencient guère et semblent bien provenir de la même région, y compris des statuettes nettement de culture africaine et d'autres de cultures japonaises (voir aussi les têtes ci-dessous) ! On retrouve aussi beaucoup le Serpent parmi les symboles et gravures, y compris le fameux bâton entouré d'un serpent, source de légendes (voir la collection du Padre Crespi dans la page 2-Equateur à venir).
Ces trois autres objets très mystérieux font partie des découvertes de La Mana, il s'agit d'une grosse pierre gravée, d'un plateau décoré de statuettes étranges et d'un service complet à liquide. Ils comportent tous des incrustations à caractères fortement magnétiques (surtout le service) et luminescents à l'ultraviolet, y compris "la Pierre du Monde" incrustée de quartz. Sur ce service est gravé un système de nombres proche de celui des Mayas, mais pas tout à fait :
Toutes les timbales sont de tailles légèrement différentes, mais leur contenu rempli parfaitement le broc, qui est lui-même très étrange : la constellation d'Orion y est insérée de quartz luminescent et l'intérieur est fortement magnétisé, alors que l'extérieur non ! La méthode de fabrication est ici complètement inconnue à ce niveau car c'est impossible d'après les géologues : s'il y a des particules magnétiques dans la pierre, elles ne peuvent être que réparties partout, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur, puisqu'il ne s'agit que d'un seul bloc ! Et pourtant il suffit d'approcher un aimant ou une boussole de l'intérieur de l'objet pour voir ses effets... c'est peut-être la mixture que contenait ces récipients qui était magnétique après tout pensent certains savants... mais de quoi s'agissait-il donc ?
Un plateau en jade (ou autre chose de proche) très étrange accompagnait ce service également en jade : incrusté également de la constellation d'Orion, identique à celle du broc, deux personnages étranges regardent le ciel et attendent. La constellation sur le plateau et les yeux des personnages brillent fortement à l'ultraviolet.
"La Pierre du Monde" a été également trouvée ensevelie au fond d'un sous-terrain antique par des chercheurs d'or et permet de se poser d'étonnantes questions sur les connaissances de l'homme qui l'a gravée il y a plusieurs millénaires : les deux Amériques, l'Europe, le nord de l'Afrique, le Moyen-Orient et l'Asie y sont parfaitement reconnaissables. On y voit même les traces au sud-est de l'Asie d'une grande péninsule, que l'on sait avoir existé il y a encore 12000 ans, formant avec les actuelles Philippines et Malaisie un ancien continent englouti (peut-être Mu, qui aurait étendu son empire du Japon à l'Australie en allant jusqu'à l’île de Pâques qui était à l'époque une montagne surplombant une île grande comme Madagascar au large de l'Amérique du Sud d'après cette carte et peut-être l'Amérique du Sud, d'où la probable provenance océanienne de certaines peuplades naviguant très tôt, peut-être même avant ceux qui sont passés par le Nord à pied via le Détroit de Béring glacé). L'Atlantide serait représentée par le grand cercle au large de la Floride, du côté des Bermudes, là où de violents phénomènes magnétiques, gazeux (poches de méthane sortant du sous-sol) et biologiques (le tapis végétal d'algues des Sargasses est réputé pour son épaisseur et infranchissabilité) protège peut-être un grand secret... Quoiqu'il en soit, elle est incrustée d'une ligne de quartz qui semble dessiner une ligne équatoriale, sauf que sur cette ligne apparaît un "croissant" (fertile ?) plus épais avec au centre un œil luminescent. Cet œil se trouve au Moyen-Orient, entre la Mésopotamie et l'Arabie Saoudite. La ligne continue et fait le tour de la pierre, mais s'incurve subitement vers le Nord, alors qu'une plus légère semble vouloir continuer la "ligne équatoriale". Cet endroit où la ligne s'incurve au-dessus de l'Amérique du Sud est précisément l'endroit où la Pierre du Monde à été trouvée !
Les miniatures et les têtes trouvées en Equateur :
Notez que plusieurs d'entre elles ne semblent pas provenir d'une culture locale, mais bien d'Afrique et d'Asie et que d'autres portent des costumes, cuirasses et casques étranges et n'appartenant à aucune culture connue.
Vous pourrez voir dans une autre page une petite partie de la collection du Padre Crespi, dons des indiens à leur prêtre pendant 50 ans. Beaucoup sont en or massif et sont dans le musée dont le Vatican avait autorisé l'ouverture dans les années 60, à Cuenca. Écritures inconnues, pyramides égyptiennes et pré-sanskrit, 3ème Œil, serpents, reptiles et sauriens sont dans le lot et l'Equateur va me donner l'occasion de faire une autre page sur ce même sujet tellement le nombre d'objets assez révélateurs y existent...
Yves Herbo (09/2011) Partie 1-Equateur - up 23, 29-05-2018