Blog de l'auteur-écrivain d'anticipation Yves Herbo.
Publication d'articles scientifiques, archéologiques, ufologiques, de nouvelles et essais, d'extraits de romans de l'auteur.
Ses avis, commentaires et philosophies sur la société humaine et les événements internes et externes concernant la civilisation humaine et son évolution. Compilations de données pour éducation et recherches scientifiques ou littéraires. Sauvegarde actuelle de son site https://www.sciences-faits-histoires.com/
Anomalies dans la Baltique: les news printanières 2015
Cette image prise par le ROV de l'intérieur d'une des failles ou couloirs de l'Anomalie 1 montre-t-elle une gravure préhistorique ?
La page originale est longue à charger, et pour cause... beaucoup d'images et de vidéos !... je publierai donc maintenant les news sous formes de billets moins gros en taille et si vous voulez revoir l'intégralité de cette passionnante aventure, patientez pour le chargement de cette page ! :
MAJ du 08-05-2015 : Une plus courte pause donc depuis les dernières nouvelles hivernales de février et le passage au-dessus des deux anomalies en été, mi-août 2014. Il semble bien que les coordonnées exactes des anomalies aient été dévoilées il y a quelques jours, ce qui fait donc l'objet de cette mise à jour ! :
Autre bonne nouvelle apparemment : une série télévisée pourrait permettre (financièrement) une nouvelle expédition sur les anomalies cette année 2015 : " Ocean X Team returns to the Baltic Anomaly during 2015 ? A TV series that is produced about the Ocean X Team has opened for a possibility to return to the Anomaly. The team hopes they can gather better side scan images of both anomalies. The goal is also to shoot more video films and to get close up sonar Mosaics. " - " L'équipe espère qu'ils peuvent obtenir de meilleures images de scan de toutes les anomalies. Le but serait aussi de filmer plus de vidéos et de créer une mosaïque de scans plus rapprochés. " source : http://www.oceanxteam.com/
Je suppose que la diffusion et la vente du documentaire sur Océan X Team à la série The Unexplained Files n'y sont pas étrangers... tant mieux ! Voir ce documentaire qui est en train de faire le tour du monde ci-dessous en deuxième partie (via Dailymotion Publisher qui redistribue les royalties des publicités aux bénéficiaires et producteurs) :
The Unexplained Files - S02E05 - Le squelette alien péruvien et l'OVNI de la Mer Baltique
S02E05 - Titre original : « Peruvian Alien Skull and Baltic Sea Ufo » - Au Pérou, les médecins sont perplexes devant un petit squelette ; est-ce un chaînon manquant dans l'évolution humaine ou la preuve d'un contact extra-terrestre ? - Anomalie de la Mer Baltique : Des chercheurs d'épaves trouvent un disque énorme de deux fois la taille d'un terrain de football sur le fond marin... enquête au fond de l'eau et aussi sur les ovnis suédois...
En mars 2015, l'équipe est tout de même partie plonger quelque part dans la Baltique et voici une petite vidéo postée le 12-03 sur youtube. Cela ressemble à l'anomalie1, des mesures sont faites apparemment et il y a l'apparence d'une sorte de poignée ou de petit cercle qui se brise quand l'un des plongeurs tente de tirer dessus. Des échantillons sont aussi prélevés et un message est laissé sur le sable recouvrant la roche... :
Le 21 avril 2015, l'équipe nous informe que le robot (un ROV V8 Sii) acheté est prêt et nous le montre : " ROV ready for duty - Ocean X Team AB has acquired a V8 Sii ROV (manufactured by Ocean Modules AB) to be used at Ocean X Team’s expeditions. http://www.subx.se
En fait, on apprend le même jour que l'équipe a fait une nouvelle découverte lors de cette plongée du 16 avril 2015 :
" News ! An interesting finding in an old mine.
A film from our findings in a mine in Dalarna – Sweden 2015-04-16.
The mine is 240 deep, And we found 16 cars, motorcycles, boats and barrels. and there is much more to find. We are now waiting for the authorities to give us the green light for salvage. "
Vous avez bien lu : une ancienne mine profonde de 240 mètres (en fait, d'après la vidéo, entre 48 et 200 mètres) de profondeur, un vieux trou de mine (cette mine date de 1400 après JC à peu près) donc situé vers la ville de Silvberg Säter à Dalarna en Suède et qui a été depuis longtemps inondé par les eaux, dans lequel 16 voitures et beaucoup d'autres choses se sont cachés au fond du trou. ils y ont trouvé 16 voitures, des motos, des bateaux et des containers et il y a encore plus à découvrir.
" - Il y a eu des rumeurs selon lesquelles des hommes ont jeté des cadavres et tout ce qu'il y a là. Nous avons pensé que ce pourrait être passionnant ! " dit Dennis Åsberg.
Il fait partie maintenant d'Ocean Explorer et a accès à un robot sous-marin qui peut descendre et aller à des profondeurs que les plongeurs humains ne peuvent pas atteindre.
Leurs travaux sur une émission de télé-réalité a décidé Dennis et ses collègues à explorer le trou de l'exploitation minière en Dalécarlie.
- Cela a commencé comme une chose amusante. Il y avait tellement de légendes à ce sujet, donc nous avons voulu vérifier. Nous sommes dans la chasse aux trésors, fondamentalement, explique Dennis Åsberg.
Et l'équipe a trouvé plus qu'elle ne pouvait imaginer. " On était sur un retour sur 50 années ".
En fait, 16 voitures, un bateau avec remorque et une moto étaient entre 55 et 200 mètres de profondeur.
- L'une des voitures était un modèle de 50 ans. Ceux qui les ont cachés, pensaient qu'il y avait suffisamment de chances pour qu'elles ne soient jamais retrouvées. Désolé messieurs ! dit Dennis Åsberg.
Maintenant, ils négocient avec la municipalité et la police au sujet de l'opération de sauvetage. Dès que tous sont d'accord, ils proposeront une collaboration avec la société de sauvetage pour ramasser toutes les vieilleries.
- La police sera impliquée dedans, car il peut y avoir des gens là-bas. C'est très dangereux, explique Dennis Åsberg.
Lorsque des épaves de voitures sont occupées, cela provoque plus d'histoires à venir à la surface avec...
Certaines des conclusions peuvent avoir des conséquences vraiment graves, dit Dennis Åberg.
- Nous avons trouvé des barils, là-bas. Des barils. Nous ne savons pas ce que c'est, alors nous devons donc être prudents, dit Dennis Åsberg. " (traduit par Yves Herbo de l'expressen - lien au-dessus)
Ils attendent maintenant un feu vert de la part des autorités suédoises pour sauvegarder ce qui peut l'être. Ils supposent que ceux qui s'en sont débarassés ici devaient probablement être confiants sur le fait qu'ils n'y seraient jamais trouvés... voleurs de véhicules, criminels ou escroqueries à l'assurance : seule une longue enquête pourra peut-être un jour le découvrir...
Quoiqu'il en soit, leur submersible robotisé est prêt pour les missions, ils peuvent rapidement se mobiliser pour des missions de façon indépendante de la plate-forme ou d'un emplacement dans le Nord...
Peter Löf a encore travaillé sur l'anomalie 2 d'après les données fournies par les échos de scans et a déterminé les profondeurs entre les couches visibles. Tous ses travaux sont maintenant visibles sur la page Facebook de l'entreprise B.I.R.D., merci à lui :
Il faut patienter un peu pour que l'image (énorme) apparaisse, mais après vous pouvez vous y déplacer, zoomer, etc... du bon travail sur cette ligne de scans des fonds marins du golf de Bothnie... les anomalies se trouvent à peu près dans le tiers de la ligne vers le bas (ligne entière qui fait plusieurs kilomètres - image de 1920x 80.000 pixels) :
Sur cette page à part, lien ci-dessous, vous trouverez toutes les photos originales des scanners et sonars fournies par l'équipe, ainsi que plusieurs travaux et analyses photos de fans ou de spécialistes essayant d'aider à la compréhension des anomalies. Vous y trouverez aussi les travaux de MaxitsMax qui s'est manifesté ici pour montrer son travail, ainsi que les miens et beaucoup d'autres. J'y ajouterai des données sur d'autres théories (constructions anciennes, Atlantide, etc...) par la suite.
La cité ancienne de Nan Madol - 01-2012 - updated 04-2015
Nan Madol est une ville en ruine qui se trouve dans la partie sud-est de l'île de Pohnpei (actuellement l'un des quatre États fédérés de Micronésie). C'est un site constitué d'une série d'îlots artificiels qui fut la capitale de la dynastie Sau Deleur jusqu'aux alentours de 1500. Le nom de « Nan Madol », qui signifie « intervalles », fait référence aux canaux présents sur le site. Elle est souvent baptisée la « Venise du Pacifique ».
Nan Madol est le siège cérémoniel et politique de la dynastie Sau deleur, qui unifia la population de Pohnpei (estimée à 25 000 personnes).
Tombe Royale
C'est le lieu d'une activité humaine dès le premier ou le iie siècle de notre ère. Au viiie siècle ou ixe siècle, la construction d'îlots commence, mais l'architecture mégalitique n'a probablement pas commencé avant le xiie siècle ou le début du xiiie siècle. Peu de choses peuvent être vérifiées sur la construction des mégalithes. La tradition de Pohnpei prétend que les constructeurs du complexe Lelu sur Kosrae (composé également de vastes bâtiments en pierre) ont émigré à Pohnpei, où ils ont utilisé leurs compétences et leurs expériences pour construire l'impressionnant complexe de Nan Madol. Comme à Lelu, l'un des principaux objectifs de construire une ville séparée est d'isoler la noblesse de la population.
L'histoire locale raconte que lorsque Nan Madol a été construite, un puissant magicien vivant dans la région a été sollicité et que son aide a été un facteur important dans l'achèvement de la construction. En particulier, il était responsable de la fourniture des énormes « buches » de pierre utilisées dans beaucoup d'endroit de Nan Madol, les faisant « voler » de leur lieu d'extraction jusqu'au site de construction. (Wikipedia)
"Magistrale leçon d’architecture pour les colonisateurs qui se succédèrent à rapide cadence dès 1886 sur Ponhpei et dont les vestiges de leur présence se résument à peu de choses. Un pan de mur espagnol contre lequel les gamins jettent leurs sacs avant d’aller courir dans le parc de Kolonia, une tour allemande et branlante près du port, quelques bunkers japonais en bord de mer. Les bâtiments ne résistèrent ni au temps ni aux bombardements de la guerre du Pacifique qui permit aux Américains de prendre possession de l’île avant que les Etats Fédérés de Micronésie n’accèdent à l’indépendance en 1978. Les administrations coloniales ouvrirent les entrailles de Nan Madol. En 1907, le gouverneur allemand mourut subitement après avoir excavé une tombe à Nan Douwas et bien que la version officielle fit état d’une violente insolation, la population y vit la confirmation que la cité lacustre était maudite.
Nan Madol
Mais comment les archéologues auraient-ils pu résister au mystère de Nan Madol ? A cette parenthèse de pierre qui s’étire sur un kilomètre et demi de long et couvre 80 hectares, construite avec des aiguilles de basalte dont la première carrière se trouve, à des kilomètres de là, sur l’autre versant de Pohnpei. Les bâtisseurs certes n’eurent pas à tailler la roche. En se refroidissant la lave se fissure avec une rigueur géométrique pour former des colonnes à pans coupés, mais il fallut les extraire de la montagne, transporter ces poutrelles de pierre dont certaines pèsent jusqu’à 50 tonnes et qui furent soigneusement ajustées les unes aux autres, un peu comme les rondins de bois que l’on empile pour se prémunir des rigueurs de l’hiver. Si les hommes de science rejetèrent toute intervention divine, qui reste l’évidence pour beaucoup d’habitants de Pohnpei, ils ignorent par quels moyens fut construite la cité lacustre. Mais ils ne purent qu’admettre que tous les détails de la vie quotidienne sur Nan Madol, récités de génération en génération, furent confirmés par les résultats des fouilles archéologiques. La mémoire a traversé les siècles et les gens de l’île ont conservé intacte l’histoire des Saudeleurs bien que leur savoir faire n’ait pas été transmis. Pas un édifice à Pohnpei n’évoque l’architecture d’une civilisation qui a brutalement disparue. Engloutie dans le Keilahn aio, l’autre côté d’hier. Nan Madol fut désertée sans que l’on sache pourquoi. Est-ce que la maladie, la famine ou l’inexorable montée des eaux, qui aujourd’hui a balayé les îles les plus basses, avaient poussé les habitants à s’enfuir ? Quand James O’Connell s’aventure à Nan Madol, la cité lacustre avait déjà été abandonnée depuis plus d’un siècle et, déjà, avait la réputation d’un lieu où il ne fallait pas s’aventurer. Y résonne toujours l’écho d’une civilisation dont l’ampleur échappa aux grands navigateurs qui explorèrent le Pacifique. De la femme lascive au cruel cannibale, les images qu’ils ramenèrent en Europe furent celles d’une culture primitive sans suspecter que les îles océaniques avaient abrité des civilisations magistrales. Pourtant, toute la Micronésie porte la marque de ces peuples disparus.
Lelu
A Kosrae, sur la petite île de Lelu, derrière les jardins du village reposent des ruines basaltiques, une autre cité abandonnée. A Babeldoab, dans la république de Palau, où les flancs des collines portent encore la trace d’un entrelacs de terrasses et d’escaliers construits au 11ème siècle, sont alignées 37 immenses pierres qui pèsent chacune plus de 5 tonnes et dont on ignore toujours l’origine et la fonction. Peut-être les piliers d’une maison assez vaste pour accueillir plusieurs milliers d’habitants. Nombreux sont les indices de ces cultures mégalithiques qui ont élevé des monuments de pierre sur les îles de Micronésie puis, sans que l’on sache pourquoi, se sont évanouies dans l’océan.
La légende raconte que Nan Madol ne serait que le reflet d’une autre cité qui repose au fond du lagon. Intacte alors que Nan Madol se désagrège sans que les habitants de l’île ne s’en émeuvent, comme s’il était inutile de retenir à flots ces radeaux de pierre. Trop étranges pour y trouver de quoi s’enorgueillir. Trop différents de leur propre culture pour ne pas s’effrayer de cette dépouille abandonnée par d’autres. C’est peut-être pour cette raison que Nan Madol s’effacera sans avoir été révélée. Personne ne l’a reçue en héritage." (Extrait)
Aujourd'hui, Nan Madol constitue une zone architecturale couvrant plus de 18 km² et comprend l'architecture de pierres construite sur un récif de corail plat le long de la côte de l'île de Temwen, plusieurs autres îlots artificiels et le littoral de la grande île voisine Pohnpei (Ponape).
Le site principal avec ses murs de pierre enferme une superficie d'environ 1,5 km de long par 0,5 km de large et contient près de 100 îlots artificiels - plates-formes de pierre et de corail - bordée par des canaux.
La datation par le carbone 14 (qui n'est plus trop validée de nos jours si elle est seule a être utilisée), indique que la construction de Nan Madol a commencé vers l'an 1200 et les fouilles montrent que la zone aurait été occupée dès vers 200 après JC.
Certains sites de carrières probables autour de l'île de Ponape ont été identifiés, mais l'origine exacte des pierres de Nan Madol est encore indéterminée. Aucune des carrières proposées n'existent dans la région proches de Madolenihmw, ce qui signifie que les pierres ont été transportées jusqu'à leur emplacement actuel. Elles auraient pu être transportées par radeau depuis la carrière, mais le processus n'a jamais été démontré avec succès. Les archéologues n'ont pas encore pu éclaircir le mystère mais une plongée entre l'île et les carrières montre un chemin de pierres abandonnées.
Les vestiges de la cité d' Insaru
La ville antique en pierre géante d'Insaru sur l'île de Lelu, qui se trouve à côté de Kosrae (à l'est des îles Carolines), a été construite de murs et d'énormes pyramides de basalte, avec un réseau de canaux reliant les batiments et les îles voisines. On y trouve également des routes pavées.
Les ruines sont très semblables à celles de Nan Madol mais moins étendues. Certains des murs sont de plus de 6 m de haut, et les blocs megalithiques de basalte pèsent jusqu'à 50 tonnes. Alors que les ruines de Nan Madol sont légèrement enfouies, les structures de Lelu semblent elles s'être levées légèrement, puisque les canaux sont presque secs. D'où viennent les pierres est un mystère; la légende indique que la ville a été construite dans une nuit par deux magiciens.
MAJ 04-2015 :Les problèmes de datations au Radiocarbone 14 du Smithsonian Institute qui datent de 1960 (cette technique de datation a été recalibrée récemment à cause de nouvelles découvertes sur le carbone 14, justement ! - cette technique n'est plus trop reconnue comme fiable par les archéologues sérieux si elle n'est pas accompagnée par d'autres techniques plus modernes...) ont été dénoncés dans un livre de James Rollins (La Civilisation des Abysses), qui parle aussi des tentatives toutes ratées en 1995 de chercheurs tentant de transporter des pierres de basaltes identiques aux constructions (50 tonnes) sur des radeaux en bambou (seuls arbres de l'île), sans compter qu'il faut ensuite en élever certaines de 15 mètres en hauteur !
Selon les traditions orales, la dynastie des Sau Deleur (Seigneurs de Deleur, l'ancien nom de l'île), arrivés sur de grands canoës, était originaire de Katau (ou Kanamwayso), îles situées à l'ouest, et elle a soumit la population autochtone qui était elle présente depuis le second siècle après JC. La légende fait débuter la dynastie, et la construction de la cité, par l'arrivée des deux sorciers jumeaux : Olisihpa et Olosohpa, capables de faire léviter les sections d'orgues basaltiques utilisées dans beaucoup d'endroits de Nan Madol, depuis leur lieu d'extraction jusqu'au site de construction, grâce au concours d'un dragon volant (soucoupe volante pour certains, ou vimana hindoux !) et sous les auspices de Nahnisohn Sahpou, dieu de l'agriculture. Après plusieurs essais infructueux, ils réussirent et commencèrent la construction par l'autel de Nahnisohn Sahpou. Quand Olisihpa mourut de vieillesse, Olosohpa devint le premier « seigneur de Deleur », épousa une autochtone et fonda ainsi le clan Dipwilap ("Grand") qui gouverna la cité et l'île. Ces traditions se retrouvent avec de nombreuses variantes dans la plupart des îles de l'océan Pacifique, c'est le cas par exemple de la légende polynésienne d'Hawaiki. Sachant que le peuplement de l'Océanie s'est fait depuis l'ouest, d'île en île, les ethnologues interprètent Katau/Kanamwayso comme Chuuk, voire les Philippines ou même Fou-Nan dans l'Indochine (de plus, à Lelu dans Kosrae, il existe un autre complexe mégalithique semblable). (Wikipedia).
Mais on sait aussi que ce peuplement et voyage a commencé au minimum dès 40.000 ans Avant JC (arrivée des premiers Australiens !)... Les fouilles indiquent clairement que l'être humain était déjà là en 200 après JC et que la cité de Nan Madol était habitée vers 1200 après JC, mais on ne connaît pas exactement la date de son début de construction : les traces laissent à penser que cette construction aurait commencé vers 650 après JC (7ième siècle), mais des traces "préhistoriques" remonteraient à plus de 2000 ans d'après des études de 1974, (l'archéologue Patrick Vinton Kirch " On the Road of the Winds "), mais ces datations sont difficiles à établir et affirmer sereinement..., d'autant plus que cette culture est assez isolée et difficilement comparable avec d'autres mieux datées...
Le vaisseau spatial X-37B de la Force aérienne des États-Unis va être lancé pour sa quatrième mystérieuse mission le mois prochain.
By US Air Force [Public domain], via Wikimedia Commons
L'avion spatial X-37B sans pilote, une sorte de gros drone donc, qui ressemble à une version miniature de la navette spatiale de la NASA, maintenant à la retraite, est prévu pour décoller à l'aide d'une fusée United Launch Alliance Atlas V depuis la base spatiale de Floride à Cap Canaveral Air Force le 20 mai 2015 prochain.
« Nous sommes ravis pour notre quatrième mission X-37B," a déclaré Randy Walden, directeur de l'Air Force Rapid Capabilities Office, dans un communiqué. " Avec le succès démontré des trois premières missions, nous sommes en mesure de nous concentrer sur les objectifs initiaux du véhicule sur des tests de charges utiles expérimentales."
Illustration d'Artiste du X-37B en orbite. Le mystérieuxvaisseau spatial est prévu pour le lancement de sa quatrième mission le 20 mai 2015. - Crédit: NASA Marshall Space Flight Center
Les charges utiles de l'X-37B et ses activités spécifiques sont classifiées, on ne sait donc pas exactement ce que le vaisseau spatial va transporter/déployer autour de la Terre. Mais les responsables de la Force aérienne ont révélé quelques indices sur la prochaine mission.
" L'Air Force Research Laboratory (AFRL), le Space and Missile Systems Center (SMC) et l'Air Force Rapid Capabilities Office (AFRCO) étudient un système de propulsion expérimental sur la Mission 4 du X-37B ," a déclaré à Space.com par courriel le Capt. Chris Hoyler, le porte-parole de la Force aérienne.
" L'AFRCO accueillera également un certain nombre de dispositifs avancés à bord du X-37B, de la National Aeronautics and Space Administration (NASA) pour étudier la durabilité de divers matériaux dans l'environnement de l'espace ", a ajouté Hoyler.
La Force aérienne possède deux avions spatiaux X-37B, les deux ont été construits par la division Phantom Works de Boeing. Les vaisseaux spatiaux à énergie solaire sont d'environ 29 pieds de long par 9,5 pieds de haut (8,8 par 2,9 mètres), avec une envergure de 15 pieds (4,6 m) et une baie de charge utile de la taille d'un espace de camion pick-up. Le X-37B se lance verticalement, au sommet d'une fusée et atterri horizontalement sur une piste, comme la navette spatiale le faisait.
L'un des deux véhicules X-37B a volé sur la première et troisième missions du programme, qui étaient connues comme OTV-1 et OTV-3, respectivement. ("OTV" est l'abréviation de "Essais Orbitaux pour véhicules".) L'autre vaisseau a volé pour la OTV-2. Les fonctionnaires de l'Armée de l'air n'ont pas révélé quel sera l'avion spatial qui part en orbite sur la prochaine mission.
OTV-1 avait été lancée en Avril 2010 et avait atterri en Décembre de cette même année, restant en orbite pendant 225 jours. OTV-2 est partie en Mars 2011 et fait le tour de la Terre pendant 469 jours, redescendant en Juin 2012. OTV-3 était lancée en Décembre 2012 et est restée en l'air pendant le nombre record de 675 jours, pour finalement atterrir en Octobre 2014...
Si les responsables de la Force aérienne savent combien de temps OTV-4 va durer, ils ne le disent pas.
" Le X-37B est conçu pour une durée en orbite de 270 jours ", a déclaré Hoyler. " Des missions plus longues ont été démontrées. Comme avec les missions précédentes, la durée réelle dépendra des objectifs des tests, des performances et des conditions du véhicule sur orbite pour faciliter l'atterrissage."
Crédit Boing (octobre 2014)
Le secret qui entoure le X-37B et ses charges utiles a alimenté les spéculations dans certains milieux disant que le véhicule pourrait être une arme de l'espace en quelque sorte. Mais les responsables de la Force aérienne ont à plusieurs reprises réfuté cette notion. (Ce qui ne veut bien sûr pas dire grand chose car des militaires ne dévoileraient pas ce genre de chose de toute façon !)
" Les principaux objectifs de l'X-37B sont de deux ordres : des technologies d'engins spatiaux réutilisables pour l'avenir de l'Amérique dans l'espace, et des expériences d'exploitation qui peuvent être retournées, et examinées, sur Terre, " ont écrit les responsables de la Force aérienne dans le feuillet d'information en ligne du X-37B. " Les technologies testées dans le programme comprennent le guidage avancé de la navigation et du contrôle; des systèmes de protection thermique; l'avionique; le vol orbital, la rentrée et l'atterrissage autonomes; des structures et des joints à haute température; l'isolation conforme réutilisable, les systèmes de vol électromécanique légers."
Déification des visiteurs possédant des connaissances ou techniques supérieures
La littérature spécialisée rédigée par les ethnologues du monde entier témoigne d’un phénomène étonnant: la déification des étrangers et des objets techniques. Lorsqu’une culture peu ou pas avancée sur le plan technologique entre en contact avec des visiteurs qui disposent de technologies plus poussées que ne parvient pas à expliquer la culture moins développée, on rencontre l’«effet de déification». Connu sous le terme de «culte du cargo», qui vient de cargo = biens.
Les étrangers restent ainsi gravés dans la mémoire des tribus et peuples comme des «dieux» ou autres êtres surnaturels. Un souvenir transmis de génération en génération, qui se transforme en légende et qui, pour finir, devient une tradition mythologique. Une sorte de «réaction archétypale» qui se produit dans toutes les cultures. Les exemples sont innombrables. Pour ne parler que de notre siècle, les contacts entre les autochtones et les unités militaires américaines ou japonaises lors de la Seconde Guerre mondiale sur les îles de Mélanésie ou de Micronésie dans l’ouest du Pacifique et les nombreux autres contacts des ethnologues dans les forêts vierges impénétrables de Nouvelle-Guinée et d’Amérique du Sud apportent la preuve de cet étrange «effet de déification». La mythologie vivante. Une fois repartis, ces visiteurs sporadiques faisaient l’objet des conversations autour des feux de camps. Les impressions sont transmises de récits en récits. Le mythe grandit. Les objets étrangers que l’on ne peut pas classer dans sa propre compréhension culturelle sont décrits par la méthode intemporelle du «ça ressemble à». L’ «Oiseau-Tonnerre», le «cheval du feu», etc. nous sont désormais familiers. Les étrangers laissèrent aussi souvent des cadeaux aux tribus, de la boîte de Coca aux postes de radio. Ceux-ci étaient non seulement des souvenirs vénérés avec une crainte respectueuse mais également un défi pour les hommes de trouver le moyen de faire revenir les «dieux». Bien entendu, on voulait recouvrer les bienfaits de ces objets.
C’est ainsi que sont nés des rituels; en Mélanésie par exemple, après la Seconde Guerre mondiale, les tribus se faisaient tatouer et vénéraient les lettres «magiques» «USA», à la signification parfaitement inconnue. Des avions en paille ont été fabriqués et installés sur des «pistes d’atterrissage» artificielles au cœur de la jungle. Par des chants et des prières, les autochtones attendaient et imploraient le retour des «êtres célestes». Un régal pour tout ethnologue, la naissance «palpable» d’un culte.
Culte de l'avion à Tanna-Pacifique
Ces «dieux» étranges ont été décrit dans de nombreuses régions du monde. Le Capitaine Cook ou les conquistadors Cortez et Pizarro à l’époque des découvertes sont peut-être les exemples les plus connus de vénération et de crainte d’étrangers puissants, considérés comme des êtres surnaturels. Retrouve-t-on de telles «déifications» encore plus loin dans le passé, là où toute source historique attestée a disparu? chaque civilisation de cette époque ont maintenu vivantes ces «mémoires du futur».
Des cérémonies sacrées se sont perpétuées dans toutes les régions du monde pendant des millénaires. Des masques furent sculptés, des figurines de dieux symboliques furent réalisées (comme chez les Hopi d’Arizona ou les Dogu de la culture Jomon japonaise). Et lorsqu’au Brésil, les Kayapo vénèrent l’être Bep-Kororoti, emballé dans de la paille et ressemblant à un astronaute, en récitant ses messages, c’est également une preuve de mythologie vivante au sein de laquelle des informations des temps obscurs ont été conservées jusqu’à aujourd’hui.
De petits objets en or pur, façonnés en forme d’avion ont été découverts en Colombie. La disposition des ailes et le stabilisateur à l’arrière ont incité l’Aeronautical Institute de New York à faire des essais dans une soufflerie. Le Dr Arthur Poyslee en a conclu que ces «avions» devaient avoir une bonne tenue en l’air. L’un de ces modèles en or (l’original se trouve à l’institut Smithsonian de Washington DC) a été reconstruit fidèlement – envergure: 87 cm, longueur 93 cm. Le 26.8.1996 eut lieu le premier vol libre télécommandé dans toutes les positions de vol. Celui-ci se déroula sur plusieurs minutes et fut convaincant. Une réussite. Ce tour de force est le travail de techniciens allemands. Constructeur: Peter Belting. Conception: Dr Algund Eenboom et Conrad Lübbers. Comment l’archéologie interprète-t-elle cette curiosité? Que pensent d’autres chercheurs?
Avions et planeurs antiques (oiseaux officiellement) en Colombie (en haut) et en Egypte (en bas, pièce étiquetée sous le N° 6347 (Musée du Caire - ce planeur a été reproduit et testé en réalité : il vole très bien... les cartes antiques "vues du ciel" sont-elles ainsi expliquées ?))
Si des observations et des récits non fictifs peuvent décrire la rencontre avec des êtres étrangers, les anciennes histoires bibliques peuvent-elles servir de sources ? Le prophète Ezéchiel vit et décrivit un véhicule céleste avec beaucoup de détails techniques, à tel point que des maquettes furent construites et testées. Ezéchiel est même monté dans ce véhicule et a visité un étrange temple. Des reconstitutions laissent à penser que le véhicule ainsi que le bâtiment qui ressemble à un hangar, reposent sur la réalité. Le livre d’Ezéchiel fait partie de l’Ancien Testament et est connu d’un large public. A quatre reprises au total (en 593, puis deux fois en 592 et une dernière fois en 572 av. J.-C.), Ezéchiel a rencontré quelque chose d’impressionnant qui venait du ciel.
Voici quelques versets:
(1,4) Je regardai: c’était un vent de tempête soufflant du nord, un gros nuage, un feu jaillissant, avec une lueur tout autour, et au centre comme l’éclat du vermeil au milieu du feu.
(1,5) Au centre, je discernai quelque chose qui ressemblait à quatre animaux dont voici l’aspect: ils avaient une forme humaine.
(1,6) Ils avaient chacun quatre faces et chacun quatre ailes.
(1,7) Leurs jambes étaient droites et leurs sabots étaient comme des sabots de bœuf, étincelants comme de l’airain poli. (...)
(1,15) Je regardai les animaux; et voici qu’il y avait une roue à terre, à côté des animaux aux quatre faces.
(1,16) L’aspect de ces roues et leur structure avaient l’éclat de la chrysolite. Toutes les quatre avaient même forme ; quant à leur aspect et leur structure: c’était comme si une roue se trouvait au milieu de l’autre.
(1,17) Elles avançaient dans les quatre directions et ne se tournaient pas en marchant.
(1,18) Leur circonférence était de taille effrayante, et toutes les quatre, était pleine de reflets autour.
(1,19) Lorsque les animaux avançaient, les roues avançaient à côté d’eux, et lorsque les animaux s’élevaient de terre, les roues s’élevaient...
Cette notion de "roues" fait évidemment penser aux "soucoupes volantes", ou encore à nos avions modernes "ailes volantes", voir drones actuels... cette notion d'intemporalité (le temps de compte pas) dans les formes décrites lie bien le phénomène à l'espace-temps...
Notons qu'il y a également les textes antiques de l'Inde, le Ramayana et le Samara Sutradhara, qui décrivent très précisément la construction et les vols des "Vimanas", des chariots volants... " Le Samara Sutradhara nous raconte : « On appelle Vimana, l’avion qui se meut par sa propre force comme un oiseau », et aussi : « Le corps doit être résistant et solide, taillé dans un bois léger et les ailes seront déployées. Il faut placer le moteur au mercure à l’intérieur et mettre en dessous le système de combustion en fer ».
Cette image illustre le Ramayana pour décrire un chariot volant, d'après le texte...
Le Ramayana, qui est un poème épique du IIIe siècle avant notre ère, mais possiblement recopié de plus vieux textes, parle d'un avion circulaire à double pont muni de hublots et d’une coupole. "Grâce à un carburant fait d’un liquide jaunâtre, l’appareil pouvait voler à la vitesse du vent ".
«Ça ressemble à...» Par ce moyen de comparaison, des personnes ont décrit ou représenté de manières abstraites, des choses qu’elles ignoraient dans leur culture, des choses de nature souvent technique et scientifique. Faisons-nous autrement?Comment décririons-nous les êtres ou les technologies d’un monde éloigné du futur ? Si nous entrions en contact avec une civilisation extraterrestre très avancée, comprendrions-nous ce monde et ne le classerions-nous pas comme «magique» ?Les Indiens d'Amérique, en voyant les premières locomotives des colons européens, les ont appelé " Chevaux de fer ", car c'était pour eux la seule façon de les comparer à quelque chose qu'ils connaissaient... ne ferions-nous pas pareils avec des engins extra-terrestres volants que nous ne pourrions comparer à rien de connu ?Ne serions-nous pas nous-mêmes des "autochtones", des "insulaires" isolés sur notre petite planète ?
Texte inspiré en partie par "Contact", un vieux texte libre.
Découverte de la plus ancienne cité préhistorique en Europe à ce jour, en Bulgarie
MAJ 04-2015
Les archéologues bulgares confirment la découverte de la plus ancienne cité préhistorique connue à ce jour, près de la ville moderne de Prodavia, dans le nord-ouest de la Bulgarie. Cette cité entourée de parois fortifiées a probablement été un centre important pour la production de sel, denrée très importante à l'époque. L'époque ? On parle là d'une cité érigée, creusée dans la roche entre 6700 et 6200 ans avant maintenant ! 1500 ans avant les balbutiements de la première Grèce antique...
Sa découverte, à cet endroit, explique peut-être le fabuleux trésor en or découvert pas très loin, il y a 40 ans : le plus ancien trésor en or au monde jamais trouvé jusqu'à présent... Les archéologues ont estimé que la petite ville avait pu contenir environ 350 personnes, et que les habitants faisaient bouillir de l'eau à partir d'une source locale et l'utilisaient pour fabriquer des briques de sel. Ces briques étaient probablement échangées contre d'autres denrées non locales (ou complétaient une organisation plus globale concernant plusieurs cités ou tribus (des chasseurs, des mineurs, des pêcheurs, des cueilleurs, des éleveurs, etc...) et servaient surtout à conserver la viande, d'où l'importance du lieu.
Important car, et c'est aussi unique en Europe pour l'instant, cette petite cité est en effet entourée d'une paroi d'énormes et hauts murs défensifsentourant le lieu de production. Les fouilles ont démarré en 2005, avec la découverte des restes de plusieurs maisons à deux étages, d'une série de fosses utilisées pour des rituels, ainsi que les structures d'un pont et de bastions. Une petite nécropole ou cimetière a commencé a être dégagée très récemment et est en train d'être analysée par les archéologues.
Remarquez la disposition particulière des corps enterrés : disposés sur le coté mais leurs têtes soutenues par leur mains jointes, sur une sorte de piédestal, et dirigées vers le ciel ou une direction précise.
" Nous ne parlons pas d'une ville comme les ville-état grecs, de la Rome antique ou des villages médiévaux, mais sur ce que les archéologues sont d'accord pour dire qu'elle constituait une ville du cinquième millénaire avant JC, " a déclaré à l'agence de presse AFP Vasil Nikolov, un chercheur de l'Institut national d'archéologie de Bulgarie.
L'archéologue Krum Batchvarov de l'institut a dit que la dernière trouvaille était « extrêmement intéressante ». « Les énormes murs autour de la colonie, qui ont été construits très grands et avec de gros blocs de pierre ... sont aussi quelque chose d'inconnu dans les fouilles de sites préhistoriques dans le sud-est de l'Europe jusqu'à ce jour," a-t-il déclaré à l'AFP.
De similaires Mines de sel près de Tuzla en Bosnie et à Turda en Roumanie aident à prouver l'existence d'une série de civilisations qui ont également minées le cuivre et d'or dans les Carpates et les montagnes des Balkans au cours de la même période.
Cette dernière découverte explique presque certainement le trésor trouvé il y a exactement 40 ans dans un cimetière à la périphérie de Varna, à 35 km (21 miles), le plus ancien trésor d'objets en or trouvés partout dans le monde.
MAJ 24-04-2015 :Quand la culture préhistorique Vinca nous mène aux pyramides européennes, aux Illyriens et à Rama, ainsi qu'à la première écriture...
La culture préhistorique de Vinca (également appelée "Vieille Européenne" ou "culture de Turdas" en Roumanie) a été découverte en 1908 en premier lieu à Vinca, en Bulgarie, puis on s'est aperçu que cette culture déjà bien établie à la période du chalcolithique, s'étendait non seulement sur la Bulgarie, mais aussi sur une partie de la Roumanie, de la Hongrie et de la Bosnie, Serbie, Croatie et Monténégro... Pour mémoire, le chalcolithique (Période liée à l'utilisation intensive du cuivre) se situe entre la fin du néolithique et les débuts du "bronze ancien", c'est à-dire entre 7.500 et 5.500 Avant JC, sans pour autant parler d'un "Age du cuivre" car les périodes et endroits sont différents (il a par exemple perduré jusqu'en -2.500 au nord des Alpes). Mais il faut tout de suite préciser que cette culture de Vinca provient probablement (ou s'est installée sur) de la très peu connue Culture de Starčevo, du néolithique, dont l'ensemble le plus important est constitué de céramiques peintes en blanc, noir et rouge (couleurs de plusieurs cultures du néolithique "nomades ou devenue nomades" avant de se resédentariser, que nous ne pouvons nous empêcher de rapprocher de celles décrites par Platon quand il parle de l'Atlantide)...
On note d'après toutes ces découvertes (dont celle d'un des tous premiers villages en Europe ci-dessus) qu'ils ont construit très tôt des maisons "légères" avec toits en bois, comportant plusieurs pièces, un foyer, un four et un plancher. L'accumulation de constructions sur le temps, en plusieurs couches, forment d'ailleurs des tels, des collines artificielles par endroits, dont toutes n'ont pas encore été fouillées et découvertes probablement.
Cette culture est très communautaire et basée sur le partage du travail et des ressources et des bénéfices en résultant : l'agriculture est déjà pratiquée (agriculture de l´engrain, du blé, des pois, des lentilles et du lin. Les noisettes, le prunellier, les cornouilles et le chénopode blanc sont utilisés. L'élevage est centré sur les bovidés. Les moutons, les cochons, les chèvres et les chiens étaient utilisés également comme animaux domestiques et d'élevage car les chiens ont probablement aussi été élevés pour être mangés d'après les ossements. La pêche joue toujours un rôle important dans les activités alors que la chasse est devenue secondaire...
La découverte maintenant enregistrée et prouvée de ce très ancien village en Bulgarie et de ces cultures européennes embarrassent la communauté "officielle" et universitaire occidentale, en fait. Tout simplement parce qu'elle conforte non seulement les affirmations d'une grande partie des scientifiques (ou "pseudo-scientifiques" selon) de l'époque "communiste", et du protochronisme, mais aussi celles des nazis allemands et des travaux de l'Ahnenerbe, l'université nazie dans les années 1940...
Et c'est aussi d'ailleurs probablement une des raisons de cette "levée de boucliers" en ce qui concerne par exemple toutes les découvertes dans les anciens pays de l'Est, comme ces fameuses "pyramides de Bosnie"... qui ne sont pourtant pas les premières découvertes en Europe, loin de là : les 16 pyramides grecques par exemple sont connues depuis longtemps, et sont citées dans des textes anciens...
Tablettes de Tartarie (Museum of History of Transylvania, Cluj-Napoca, Roumanie)
"En creusant en 1961, un tumulus dans la ville de Tartarie en Transylvanie, les archéologues espéraient simplement trouver de quoi éclairer les découvertes précédentes, sur un site romain. A leur grande surprise, trois petites tablettes d’argile gravées de signes bizarres furent exhumées.
La datation au carbone 14 révéla qu’elles remonteraient au IVe millénaire avant notre ère. Cela laisserait donc supposer que l’écriture a vu le jour non pas en Mésopotamie, berceau de la civilisation de Sumer, mais au cœur des inhospitalières steppes de l’Europe orientale...
Les tablettes gisaient au fond de ce qui semblait être un puits sacrificiel en compagnie de quelques ossements humains. Elles portaient des symboles picturaux rappelant à la fois les inscriptions des tablettes de Sumer et celles des vestiges de la civilisation minoenne, en Crète. Mais, les tablettes de Tartarie, qui auraient appartenu aux Vinca, tribu agricole de l’âge de pierre, précéderaient d’un millénaire l’écriture sumérienne et de deux millénaires celle de Minos... "
Car si on suit les "protochronistes" des pays de l'Est, ce ne sont pas les sumériens qui ont inventés l'écriture, mais bien les Illyriens, les Thraces et les Darces ! Et en fait, ces trois peuples sont les plus anciennes civilisations au monde et les Grecs comme les Latins en sont issus, toujours d'après ces scientifiques rémunérés alors par les régimes "communistes" albanais, bulgare et roumain... Pour appuyer ces affirmations, des artefacts apocryphes anciens (comme le Codex Rohonczi) ou plus récents (comme les tablettes de Tărtăria supposées dater de 7.300 ans avant le présent), ont été utilisés et ont fait l'objet d'études et de publications d'aspect scientifique, mais dont les sources sont soigneusement triées et les assertions invérifiables par d'autres chercheurs... bien que, récemment, des chercheurs américains comme Toby Griffenaient "basculé" de "leur côté" et même présentés des travaux dans des universités américaines (Illinois) !
extrait du Codex Rohonczi
En fait, l'américain Toby Griffen a bien déclaré avoir déchiffré, sur des tessons vieux de 7.000 ans, retrouvés à Jela, à côté de Belgrade, la plus ancienne écriture connue, parfois nommée "l'écriture de Vinca", sur deux fusaïoles en terre cuite. Plusieurs dizaines de symboles auraient ainsi été répertoriés. Mais ces symboles ne sont pas reconnus par la majorité des scientifiques, car ils seraient "apocryphes" selon eux (ce qui constitue une opinion en l'absence d'études !) et que s'ils étaient reconnus, cela ferait bien de « l'écriture de Vinca » la plus ancienne, et de loin, des écritures connues !
Toby Griffen, qui a enseigné les langues et la littérature étrangères à la Southern Illinois University d'Edwardsville, près de Saint-Louis, affirme avoirdécrypté "l'écriture de Vinca". Il fut aussi président de l'Association linguistique du Canada et des États-Unis. Il a rassemblé (et exposé) une grande quantité de pièces sur lesquelles sont gravées des symboles. Il s'agissait, pour l'essentiel, d'outils (fusaïoles) et de figurines en terre cuite (ours, oiseaux ou humains portant des masques d'ours ou d'oiseaux). Partant du principe que les symboles figurant sur ces objets devaient avoir une signification religieuse, Toby Griffen écrit tenir une séquence de mots : « ours-déesse-oiseau-déesse-ours-déesse » dont il tira la phrase "la déesse-ourse et la déesse-oiseau sont bien la déesse-ourse" ou "sont bien la déesse-ourse, une seule déesse". Sa supposition est la même que celle ayant permis de déchiffrer les tablettes rongorongo de l'île de Pâques, à ceci près que pour celles-ci, les décrypteurs ont pu relier les séries de symboles aux hymnes bien connus et encore existants de la mythologie polynésienne. Toby Griffen, rapproche sa série « ours-déesse-oiseau-déesse-ours-déesse » de certains mythes tels que celui de la déesse grecque Artémis, déesse-chasseresse dont le mythe remonterait, selon lui, à de plus anciennes divinités liées à l'ours et à l'oiseau. Et le linguiste américain de souligner que le suffixe "ar(k)t"- est à mettre en rapport avec l'ours : "arktos" (=ours, en grec), "arctique" (parce qu'en rapport avec la constellation de la Petite Ourse, où se situe l'étoile polaire), "Artio" (déesse-ourse gauloise), "Arthur" (symbole de la 2e fonction indo-européenne aristocratique et guerrière dont l'ours est l'emblème)...
On peut noter aussi que la pourtant diplômée archéologue Marija Gimbutas (1921-1994) n'a pas été suivie non plus par la communauté scientifique conservatrice sur ses affirmations sur "une très ancienne et très religieuse civilisation européenne" des Balkans (Gimbutas, Marija (1974). The Goddesses and Gods of Old Europe: 6500 to 3500 BCE: Myths and Cult Images (2nd ed.). Berkeley: University of California Press. p. 17)
" En 2005, les vestiges d'une très ancienne civilisation européenne semblent être découverts (les vestiges d'une très ancienne civilisation européenne auraient été découverts", lemonde.fr, 11/06/2005 ; "Archéologie : Vestiges de la plus ancienne civilisation européenne", DH.be, 12/06/2005 ;
"Découverte de vestiges de la plus ancienne civilisation européenne", Métro, 13/06/2005, d'après le journal britannique The Independent) et viennent également conforter les anciennes affirmations des chercheurs des pays de l'Est... et de l'Allemagne nazie. Ces vestiges sont mis au jour par des archéologues sur une zone de plus de 600 km de long, couvrant l'est de l'Allemagne, la Tchéquie, la Slovaquie et l'Autriche. Ce sont les traces de plus de 150 temples, édifiés, entre 6.800 et 6.600 avant le présent, qui auraient ainsi été découvertes. Ces constructions de grande taille ont donc été créées 2000 ans avant les pyramides d'Égypte et le site mégalithique de Stonehenge (Angleterre méridionale). D'après les données, ces temples faits de bois et de terre auraient été bâtis par un peuple profondément religieux descendant de populations nomades du Danube. Les moyens de subsistance de cette civilisation semble avoir reposés sur l'élevage d'animaux tels que le porc et le mouton. L'une des plus remarquables découvertes se trouverait sous la ville de Dresde, où les archéologues ont mis au jour les vestiges d'un temple de 150 mètres de diamètre, entouré de quatre fossés, trois remblais de terre et deux palissades. On a également retrouvé des pierres, des outils en bois, de même que des figurines représentant des personnages et des animaux. Ces recherches auraient permis, selon Harald Staëble, chargé du département du patrimoine du gouvernement du Land de Basse-Saxe, de déterminer à quel degré de grandeur et de sophistication étaient parvenues ces premières véritables sociétés agricoles d'Europe.
En outre, des vestiges d'un village auraient été trouvés dans les alentours de Leipzig, abritant vraisemblablement 300 habitants dans une vingtaine de grandes habitations, regroupées autour d'un temple. Les temples de cette civilisation disparurent cependant après une période de deux ou trois siècles, et il faudra attendre 3.000 ans, soit à l'âge du bronze-moyen, pour voir de telles constructions réapparaître. La raison de cette longue absence des temples monumentaux demeure mystérieuse... " (The Independant)
Ainsi, de nos jours, la civilisation de Vinca et celle (peut-être la même s'étant déplacée d'ailleurs) de l'Allemagne sont reconnues officiellement par tous... mais pas l'écriture de Vinca ni les artefacts et symboles "apocryphes" trouvés (ou créés...)...
Mais d'autres recherches "bulgares" permettent de faire des liens encore plus étranges et probablement significatifs car, comme vous le savez vous-même, trop de coïncidences ou de hasards suppriment justement cette notion de coïncidences et de hasards... car voyons ce qu'en disent les ésotéristes et les spécialistes des langues :
Ainsi, « en arabe, pyramide se dit Hram. Cela vient du mot bulgareHram qui signifie Temple. Hram est un mot bulgare dont l’origine très ancienne remonte à des milliers d’années et qui signifie Temple Dieu Mère (Rama).
Ra est le Dieu absolu des anciens Bulgares et Ma est la grande déesse, mère de la matière et de l’énergie. Dans le peuple de HRAM (Hora est le mot bulgare pour peuple) on peut sentir l’énergie de Rama Dieu Mère. » (source)
ville de Nessebar
Citée dans la Bible comme étant une ville "païenne", la ville de Nesabaryaniyat, au bord de la Mer Noire, est connue maintenant comme la ville de Nessebar et l'une de ses plus anciennes églises porte encore les traces des symboles des aryens bulgares qui ont été répandus sur tout l'ancien monde, dont la croix gammée, qui s'est transformée en croix chrétienne par la suite dans les mêmes églises. Cette croix gammée était aussi l'un des symboles du Dieu du soleil bulgare, le Dieu Surva...
« Dans le passé, nos sages ancêtres Bulgares ont utilisé la force géomagnétique pour construire leurs hrams, pyramides, temples et sanctuaires rocheux au flanc des montagnes ou enfouis dans des puits profonds. » La force géomagnétique, c’est à dire vril. « Ils ont utilisé la force de la mère Terre Ge / Ga car ils savaient que le corps de l’homme est fait de terre et que son âme est l’Esprit du Dieu Ra, esprit qu’ils ont appelé Ha. Cette puissante énergie géomagnétique facilitaient leur contact avec l’Esprit Dieu Mère ou Ha Ra Ma. C’est pourquoi ils nommèrent leurs temples mégalithiques Harama. L’Esprit de Dieu passait à travers Ra Ma, la déesse de la matière et de la Terre. Auparavant, les pyramides en Egypte étaient appelées HRAM, Ahram. Cependant, au cours des âges, cette connaissance a été occultée puis détruite »
" Tout ce qui touche, de près ou de loin à Rama a en effet été mutilé, truqué ou détruit. D’où la difficulté pour le chercheur de faire parler des vestiges absents. Il faut donc scruter le langage, qui lui demeure, et ne ment pas. Harama, en ancien Bulgare, signifie Esprit de Ra et de Ma, nous dit cet auteur bulgare. Fort bien. J’y vois aussi une évocation de la trinité primitive des Hyperboréens et des Atlantes. Ha, l’esprit – Ra, le père – Ma, la mère. Ce qui explique bien des choses. Pendant l’ère du Lion, les "dieux astronautes" sont revenus sur terre. Leur chef était Ra, dieu solaire, qui s’est uni à Ma, la Matriarque. Elle était la Grande Mère, elle dirigeait la terre avec la magie et le don. Des millénaires plus tard, pendant l’ère du Bélier, un jeune druide d’Hyperborée met fin au matriarcat, devenu une pétaudière de sorcières criminelles exploitant les mâles avec sadisme. "
" Il a prêché la Voie du Milieu, il a instauré un système équitable où les femmes sont devenues des partenaires, non des tyrans. Pour marquer cette union harmonieuse des deux sexes, il a prit le nom de RAMA, Père Mère. "
" Le mot bulgare pour « temple », Hram, évoque l’architecte du temple de Salomon, Hiram. Il s’agit du même nom. C’est une preuve de plus que le temple de Jérusalem était dédié non à Yahveh, mais à la trinité Atlantéo-hyperboréenne originelle, HA RA MA. "
" Temple en bulgare se dit Hram, mais aussi Ahram, d’où le mot hindi Ashram qui veut dire la même chose. D’où vient cette forte parenté entre la Bulgarie antique et la saga de Rama, souvent liée à l'Inde et la Mésopotamie ?
La transmission orale ayant été la règle et les glyphes ayant évolués au cours des âges, il faut apprendre à décoder à travers les cultes, les mythes et les traditions communes. C’est tout à fait vrai qu’il y a des points communs entre ces deux civilisations. Elles partagent la même pierre, de solides connaissances technologiques, de grandes parentés spirituelles et une langue présentant de grandes similitude. "
" A ceux qui s’étonneront de retrouver presque le même mot dans deux pays aussi lointains que l’Inde et la Bulgarie, je conseillerais de lire d’autres épisodes de la vie du druide Ramos d’Hyperborée.
Ils découvriront que la route de Rama jusqu’en Asie lointaine est jalonnée de lieux, de peuples ou d’événements qui célèbrent encore son précieux nom, même si sa mémoire est oubliée. "
" Le druide Ramos devint Ram pour les Celtes, il traversa toute l’Europe et l’Asie pour y apporter la paix, la prospérité et l’élévation spirituelle. Sur son passage, il a montré une nouvelle façon de penser, d’agir et de parler, d’où les nombreuses traditions ramaïques qui subsistent encore en Europe occidentale et orientale, autour de la mer Méditerranée, dans les Balkans et au Moyen-Orient, ainsi que dans l’Inde, le Tibet et la Chine. "
" Rama n’est pas d’origine indienne, comme le prétend faussement le Ramayana. Rama est un dieu planétaire, dont on a oublié les exploits en Europe, et pourtant c’est en Europe celtique qu’il a commencé sa vie. Les événements de sa jeunesse ont été relocalisés en Inde par Valmiki, auteur présumé du Ramayana.
La relocalisation d’événements mythiques est un phénomène si répandu qu’on met du temps à s’en apercevoir. Homère lui-même a relocalisé des événements touchant à la saga de Rama pour les besoins de son "funny remake", l’odyssée d’Ulysse. L’original s’est perdu, le destin aveugle n’a conservé que le pastiche. J’ai montré aussi comment l’exode de Moïse est une adaptation des vraies aventures de Rama. "
" On peut aussi rapprocher le mot bulgare Hram du nom d’Abraham ou Abram, « celui qui vient du temple ». Or ce nom d’Abraham présente de fortes parentés avec la caste indienne supérieure, celle de Brahman.
Le mot HARAMA contient les trois syllabes les plus employées dans de très nombreuses langues. Rappelons sa signification ésotérique. HA, l’esprit, le saint esprit, le paraclet.
RA, le père, le dieu venu du ciel, le Soleil. MA, la Mère, la Grande Déesse Gé Gaïa, la Terre.
Le chakra du ventre se dit hara en japonais : littéralement Esprit Père. Ce qui décrit bien le Manipura Chakra, le chakra du ventre. Les Arabes se baignent au hamam. Littéralement, hama(m) est Esprit Mère. La consonne finale n’est pas exceptionnelle : la plupart des langues dit MA pour mère, et bien d’autres disent MAM, voire MAMAN. Qui se décompose en MAM la Mère, et AN ou ANOU, le dieu principal des Anunnaki.
En hindi, maha signifie grand. Littéralement, maha dit Mère Esprit.
" Jamais les historiens ne se sont souciés d’ouvrir les horizons figés par la doctrine académique. Les linguistes et les étymologistes ne peuvent se passer de la langue orale, de la langue vernaculaire et de la langue des oisons pour établir les liens qui leur manquent…
La passion immodérée des racines fait oublier les fleurs. Comme la civilisation de l’écrit nous a fait oublier les sons.
Pourtant, les lieux, les noms propres ou communs sont de précieux indices dans ce puzzle géant qu’est l’histoire humaine en miettes. "
Et sinon, pour les pyramides bulgares, on peut dire que les nombreux tumulus encore visibles en ont la forme, au moins... (et sont entièrement artificiels, construits) :
" Le tumulus d’Ostrusha se trouve près de la ville de Shipka : en 1993, lors des fouilles archéologiques, on y découvrit un site tumulaire de culte d’une grande valeur artistique et historique. Les monnaies et les objets trouvés datent du milieu du IVe siècle av. J –C.
Le site monumental est composé de six salles. Du côté sud, on entre dans la salle centrale à trois entrées, pour les chambres disposées de ses deux côtés et au nord. La salle à droite est ronde, à la forme d’une coupole. Le reste des salles sauf la chambre monolithique furent réalisées en blocs de granite bien taillés sur un plan rectangulaire. La chambre du sud-ouest a la forme d’un carré. On y a découvert des objets en métal ayant servi au sacrifice d’un cheval.
Dans le coin du sud-ouest de la chambre furent découvertes les appliques de l’équipement du cheval : le frontal à la forme d’une hache double stylisée et une tête de griffon tridimensionnelle avec six éléments de protection de face en argent. Tous les objets sont d’une riche décoration d’ornements animaux et végétaux.
A proximité furent découverts une phiale et un broc très déformés. La chambre tumulaire est taillée d’un bloc monolithique, elle ressemble à un sarcophage. Tous les blocs utilisés pour la construction proviennent de la carrière au pied de la montagne de Sredna gora. "
L'un des problèmes en Europe est que même s'il y a eu dans le passé de véritables pyramides et de grands temples construits, on voit bien (y compris ceux des romains, plus récents) que toutes les pierres ont été réutilisées pour les églises chrétiennes et les différents châteaux ou temples plus tardifs du Moyen-Age... les traces du passé ont quasiment disparues...