Un physicien a prouvé que certains Crop-Circles sont faits par des OVNIs
Dans la vidéo vers le bas, les producteurs du documentaire vidéo ont interviewé le physicien
Dr. Haselhoff Eltjo des Pays-Bas.
Le Dr. Haselhoff offre la preuve scientifique que au moins certains crop circles sont en effet formés par des billes de lumière / OVNI ". Ses recherches et des preuves ont même été acceptées après examen par des pairs pour la Internationalement reconnue revue scientifique, Physiologia Plantarum.
Il a prouvé que les crop circles qu'il a examinés avaient été faits par des sources ponctuelles électromagnétiques. Un exemple simple d'un dispositif électromagnétique à source ponctuelle est une ampoule. Le Dr. Haselhoff a fait sa découverte en examinant les anomalies qu'il a trouvées dans les nœuds des plantes des crop circles. Quand il a mesuré les nœuds de tous les échantillons qu'il avait prises, il a constaté que les nœuds dans le centre des cercles ont été allongés considérablement. Les nœuds des plantes qui ont poussé à la périphérie des cercles, ont un allongement spectaculaire, mais pas tout à fait autant que ceux qu'il avait trouvés dans les centres. Le Dr Haselhoff développé un logiciel pour que son ordinateur puisse mesurer les nœuds une fois de plus (ce qui exclut la possibilité d'erreurs humaines) et son ordinateur a pu mener à bien plusieurs centaines de mesures.
Dans la première ligne que vous voyez la longueur de noeud anormale dans le crop circle. Dans la deuxième rangée, vous voyez où le Dr Haselhoff prend ses échantillons.
Les barres rouges dans les diagrammes montrent les différences de croissance normales, naturelles qui peuvent survenir. Il est bien évident que les différences des crop circles sont si extrêmes (barres jaunes), que cela ne peut être attribué à la différence de croissance normale ...
Le Dr. Haselhoff a ensuite comparé la distribution des noeuds allongés (le plus fort dans le centre du crop circle, de moins en moins sur le périmètre) avec toutes les configurations possibles de distribution d'énergie connues en physique. Il a découvert un bonus de 100% avec la distribution de l'énergie électromagnétique d'une source ponctuelle. C'est par exemple une ampoule. Lorsque vous raccrochez une ampoule au-dessus du sol, vous verrez également une distribution (de lumière) qui est plus forte juste en dessous de l'ampoule (à comparer avec le centre du crop circle) et qui devient de plus en plus faible lorsque vous mesurez vers le bord de la lumière.
Un bonus de 100% est très rare dans la science. Par conséquent, la conclusion suivante peut être tirée en toute sécurité : les crop circles examinés avaient été faites par des sources ponctuelles électromagnétiques (des boules de lumière) suspendues au-dessus du sol à une hauteur de 4,1 mètres au moment où la récolte s'est couchée.
Le Dr. Haselhoff a envoyé ses conclusions au Physiologia Plantarum. Son travail était «peer-reviewed» (contrôlé par d'autres scientifiques), accepté et publié en Octobre 2000. Avec cette publication et donc l'acceptation par le monde scientifique, on peut dire dans l'état actuel des choses, ce qui suit : tous les crop circles ne sont pas faits par l'homme, mais par des sources ponctuelles électromagnétiques d'origine inconnue.
Cet état de fait est jusqu'à preuve du contraire, prouvé scientifiquement !
Remarque : Il ya beaucoup de désinformation diffusée par différents gouvernements - qui va immédiatement discréditer les crop circles et des vidéos comme celle-ci.
Le fait est que le cameraman (qui s'est manifesté et n'est pas anonyme) n'a jamais dit que sa vidéo était un faux (et qu'aucune version fausse n'a été montrée sur le net par la suite).
C'est vraiment incroyable de voir comment il est facile et rapide de discréditer des images comme celles-ci. Tout ce qu'il faut est qu'une personne dise « cela a été prouvé être un canular » pour discréditer complètement le film !
Source :
http://www.etupdates.com/tag/dr-haselhoff/ + http://www.etupdates.com/2012/11/15/physicist-offers-scientific-proof-that-crop-circles-are-formed-by-ufos-video/
Cette étude scientifique concluante sur certains crop circles n'est pas sans rappeler le même type d'étude effectuée par Michel Bounias, Directeur de Recherche à l'époque à l'INRA d'Avignon (Institut de recherche en Agronomie) sur un atterrissage célèbre d'OVNI à Trans-en-Provence, Var en 1981, et où il avait été conclu à un rayonnement électro-magnétique de type micro-ondes si je me souviens bien, inexistant dans la nature. La notion de rayonnement et de distance d'effet du phénomène sont similaires :
" En 1981 un objet discoïdal se pose en plein jour sur une "restanque", à Trans-en-Provence, petite localité du Var. L'appareil saute une haie d'arbres et vient percuter le sol, en reposant sur trois pieds semblables "à des seaux à ciment" selon l'unique témoin d'origine italienne, Renato Nicolaï, qui observe l'objet à une vingtaine de mètres de distance, à l'abri derrière un petit mur.
Puis l'engin redécolle et disparaît. Nicolaï ne s'adresse ni à la gendarmerie, ni au GEPAN. Mais sa femme bavarde et c'est finalement un gendarme qui recueille son témoignage, malgré ses réticence (il a peur de passer pour un fou). Celui-ci, fort à propos, recueille de simples luzernes à l'intérieur d'une trace d'un mètre et demi de diamètre et à l'extérieur. Il a la bonne idée de recueillir les support terreux. Tout ceci est expédié au GEPAN à Toulouse, qui est alors dirigé par le polytechnicien Alain Esterle succédant à l'ingénieur Claude Poher. Ces prélèvements ont été faits à l'initiative du gendarme et ne correspondent pas au " directives édictées par le GEPAN " qui avait décidé de ne s'intéresser à des traces au sol que :
- S'il y avait plusieurs témoins
- S'il n'avait pas plu....
Or il y a un unique témoin et le site d'atterrissage a subi une large rincée entre l'événement lui-même et la prise d'échantillons. Ceux-ci arrivent à Toulouse et il s'écoulera trois semaines avant qu'ils n'atterrissent sur la paillasse de Michel Bounias, Directeur de Recherche à l'INRA d'Avignon (Institut de recherche en Agronomie). Il se trouve que ses compétences le mettent dans une position particulièrement favorable pour analyser les traumatismes subis par des végétaux étant donné qu'il a fait sa thèse au CEA, en se concentrant sur les altérations subies par les végétaux sous l'effet de radiations ionisantes.
Très vite Bounias, capable de mener ses analyses sur les fragments les plus infimes décèle des anomalies très importantes concernant les "équipements pigmentaires des plantes" (chlorophylles A et B, carotène, phéophytine, violaxantine, etc. ). Il demande une analyse systématique avec des prises d'échantillons tous les mètres, précise que l'information contenue dans les échantillons peut être gelée (au sens propre et au sens figuré) en les conservant dans du gaz carbonique liquide. L'analyse met en évidence une extraordinaire corrélation phénomène-distance (je compléterai ce dossier plus tard. C'est un premier jet, rapide). Comme le soulignaient Aimé Michel et Pierre Guérin à l'époque : " L'ufologie scientifique est née ce jour là ".
analyses Trans-en-Provence (extrait)
Ce qui est extraordinaire c'est que ces traces biologiques sont non seulement très nettes, mais aussi durables. Bounias effectuera de loin en loin un suivi du site en montrant que le retour à la normale s'effectuera en 18 mois ! Il a ainsi créé un fantastique "piège à OVNI" qui ne demande qu'à fonctionner. Un obscur ufologue, Michel Figuet, Gardien de nuit, émet une hypothèse personnelle. Ces altérations seraient dues à des projections de ciment et les traces circulaires, évoquant un ripage, auraient été liées au mouvement de la bétonnière de Nicolaï. Brillante contribution "ufologique".
Agacé, Bounias fera néanmoins des vérifications, négatives. Le ciment est sans effet sur les équipements pigmentaires des plantes. A ce jour rien de connu, à part un rayonnement d'un mégarad ne saurait provoquer des telles altérations. Un an plus tard survient le cas dit "de l'Amarante". Un ovni stationne sous les yeux d'un ... chercheur du CNRS, dans son petit jardinet. Les plantes qui s'y trouvent, des "Amarantes" s'en trouvent affectées au point que le traumatisme est visible à l'oeil nu.
- Bounias n'est pas sollicité pour faire lui-même le recueil et l'analyse des échantillons
- Des gendarmes s'en chargent qui "ne conservent pas les plantes dans leur support terreux, mais sectionnent les tiges et mettent les échantillons recueillis dans des sachets de plastique" où ... ils pourrissent.
- C'est dans un état de décomposition avancée qu'ils parviendront dans un labo universitaire de biologie de Toulouse, qui ne pourra rien en tirer.
Que s'est-il passé ? Les gens du GEPAN, pourtant nantis de consignes très explicites de la part de Bounias tenu totalement hors du coup, seraient-ils tous devenus idiots ? Bien sûr que non. Mais, immédiatement avec cette percée de Trans l'ETCA (Etablissement Technique Centrale de l'Armement), laboratoire d'analyses, militaire, a créé sans difficulté une copie du modeste labo de Bounias et c'est là qu'ont atterri les échantillons correctement prélevés, tandis que ces plantes, sectionnées, cuites, consitueront une analyse bidon "dont, hélas, on n'aura rien pu tirer".
Il y a eu d'autres Trans-en-Provence mais cette fois le système, bien verrouillé, a fonctionné sans que quiconque ne voie passer les échantillons. Rappelez-vous : les gendarmes, ces "braves pandores", sont avant tout des militaires, astreints au secret... "
http://www.ufocom.eu/pages/v_fr/m_invest/Col_de_Vence/col_de_vence.htm