samedi 23 mars 2013

Survivance de la conscience : témoignage du Dr Eben Alexander

Survivance de la conscience : témoignage du Dr Eben Alexander

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Voici quelques extraits du témoignage du neurochirurgien Eben Alexander, revenu d’une expérience de mort imminente. Le texte original, en anglais, est paru dans Newsweek et sur le site du magazine, The Daily Beast.
Je suis le fils d’un neurochirurgien et j’ai grandi dans un environnement scientifique. Je comprends les mécanismes à l’œuvre dans le cerveau quand une personne est proche de la mort et j’ai toujours pensé qu’il y avait de bonnes explications scientifiques à ces voyages paradisiaques hors du corps que décrivent ceux qui ont échappé de peu à la mort.

J’avais de la sympathie pour les croyants, et même je les enviais, mais en tant scientifique, je ne pouvais pas partager leur foi.

Le cerveau est un mécanisme sophistiqué et fragile. Si vous diminuez dans des proportions infimes la quantité d’oxygène qu’il reçoit, vous provoquez une réaction. Rien de surprenant, donc, à ce que des gens victimes d’un traumatisme sévère reviennent de leur expérience avec des histoires étranges. Mais cela ne signifie pas que leur « voyage » était réel.
(…)
Mais, à la fin de l’année 2008, après sept jours passés dans le coma durant lesquels la partie humaine du cerveau, le néocortex était inactif, j’ai expérimenté quelque chose de si profond qu’il m’a donné une raison scientifique de croire que la conscience survit après la mort. Je sais comment résonne aux oreilles des sceptiques une phrase comme la mienne. Aussi, je vais raconter mon histoire avec les mots et la logique du scientifique que je suis.

Il y a quatre ans, je me suis réveillé avec une migraine extrêmement violente. En quelques heures, mon cortex -la partie du cerveau qui contrôle la pensée et les émotions- a cessé de fonctionner. Les médecins de l’hôpital de l’hôpital général de Lynchburg, en Virginie, où j’avais exercé, ont diagnostiqué une forme rare de méningite bactérienne qui frappe généralement les nouveaux-nés. La bactérie E.coli avait pénétré mon fluide cérébrospinal et dévorait mon cerveau.

Mes chances d’en réchapper autrement que dans un état végétatif étaient faibles quand j’ai été admis aux urgences. Très vite, elles sont devenues inexistantes.
(…)
Mais pendant que les neurones de mon cortex étaient réduits à l’inactivité complète par la bactérie, ma conscience libérée du cerveau parcourait une dimension plus vaste de l’univers, une dimension dont je n’avais jamais rêvé et que j’aurais été ravi d’expliquer scientifiquement avant que je ne sombre dans le coma.
(…)
Je ne suis pas la première personne à avoir découvert que la conscience existe au-delà du corps. Mais, à ma connaissance, personne n’a jamais effectué ce voyage avec a) un cortex complètement hors service et b) sous une surveillance médicale de chaque instant durant mes sept jours de coma.

Les principaux arguments avancés pour réfuter les expériences de mort imminentes induisent qu’elles sont le résultat d’un dysfonctionnement minime, transitoire ou partiel du cortex. Or, ma NDE n’est pas survenue pendant que mon cortex dysfonctionnait mais alors qu’il était totalement inactif (« off » dans le texte original NDR). Ce fait est avéré par la gravité et la durée de ma méningite ainsi que par les scans et les examens neurologiques que j’ai subis. Selon les connaissances médicales actuelles sur le cerveau et l’esprit, il n’y avait absolument aucune chance que je conserve ne serait-ce qu’une lueur de conscience ténue et limitée durant cette période. À plus forte raison, il était impossible que je sois emporté dans cette odyssée éclatante et parfaitement cohérente.

Il m’a fallu des mois pour parvenir à accepter ce qui m’est arrivé.
(…)
Là où je me trouvais, voir et entendre n’étaient pas deux fonctions séparées. (…) Tout était distinct et, dans le même temps, faisait partie d’autre chose comme les motifs entremêlés d’un tapis persan.
(…)
Je coupe un long descriptif de ce séjour paradisiaque, comparable aux récits d’expériences mystiques que l’on retrouve dans les textes de toutes les religions.

Je sais à quel point cela peut sembler extraordinaire et incroyable. Si, par le passé, quelqu’un -et même un docteur- m’avait raconté une telle histoire, j’aurais été certain qu’il était sous l’emprise d’une illusion. Mais ce qui m’est arrivé est très loin d’être une illusion. C’est un évènement réel, aussi réel que tous les évènements de ma vie, y compris mon mariage et la naissance de mes deux enfants.

Ce qui m’est arrivé demande une explication.

La physique moderne nous dit que l’univers est unité, qu’il est indivisible. Bien que nous ayons l’impression de vivre dans un monde de séparation et de différenciation, chaque objet et évènement dans l’univers fait partie d’un tissu reliant tous les autres objets et évènements existants. Il n’existe pas de séparation véritable. Avant mon expérience, ces idées étaient des abstractions. Aujourd’hui, ce sont des réalités.
(…)
Les regards d’incrédulité polie que l’on me réserve aujourd’hui -en particulier de la part mes pairs- me font comprendre à quel point il est difficile d’expliquer l’énormité de ce que j’ai vu et expérimenté.
(…)
Il est désormais évident pour moi que l’image matérialiste du corps et du cerveau comme producteurs plutôt que véhicules de la conscience humaine est caduque. A la place, une représentation nouvelle du corps et de l’esprit va émerger et, en fait, est déjà en train d’émerger. Cette représentation est à la fois scientifique et spirituelle en proportions égales. Elle donnera de la valeur à ce qui a toujours été privilégié par les plus grands scientifiques de l’histoire : la vérité.

Alexander discusses his experience on the Science channel's 'Through the Wormhole.' (VO)

« Proof of Heaven: A Neurosurgeon’s Journey into the Afterlife », est paru aux Etats-Unis aux éditions Simon & Schuster.

Sources : http://www.thedailybeast.com/newsweek/2012/10/07/proof-of-heaven-a-doctor-s-experience-with-the-afterlife.html

http://dark-zone.blog.parismatch.com/2012/10/13/n-d-e-lincroyable-odyssee-du-dr-eben-alexander/
http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/northamerica/usa/9597345/Afterlife-exists-says-top-brain-surgeon.html

Liens en relations : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/sciences/deux-scientifiques-disent-prouver-l-existence-de-l-ame-humaine-quantique.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/sciences/l-adn-sera-t-il-le-support-de-stockage-ultime-de-l-humanite.html

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/biologie-3/d/des-cellules-souches-survivent-17-jours-dans-un-cadavre_39371/

SFH 03-2013

Rappel : des Hominidés britanniques outillés il y a 700000 ans

Rappel : des Hominidés britanniques outillés il y a 700000 ans

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Meet Jeff, Troy, Annie, Pierce, Britta, Shirley, and maybe even Abed – a “Frankenstein” mummy from the community of Cladh Hallan, Scotland (c.1600-1300 BCE)

2005 : Des outils de pierre trouvés sur la côte de la Grande-Bretagne suggèrent que les premiers humains ont d'abord colonisé le nord de l'Europe beaucoup plus tôt que précédemment connu.

Des silex anciens découverts dans les falaises à Pakefield dans l'Est de l'Angleterre montrent que l'homme a vécu dans le nord de l'Europe il y a quelque 700.000 ans, selon des chercheurs.

Ils disent que la découverte indique que l'homme se rendit en Grande-Bretagne 200.000 années plus tôt que ce que les experts avaient soupçonné.

Ces silex typiques d'outils artisanaux utilisés pour l'abattage de la viande et la coupe de bois ont été trouvés dans les sédiments ainsi que des restes d'hippopotames, d'éléphants et autres animaux exotiques.

La faune éteinte depuis longtemps date les silex qui remontent à une période beaucoup plus chaude, quand l'Angleterre était encore reliée à l'Europe continentale via un pont terrestre.

La découverte est décrite cette semaine dans la revue Nature.

" Les premiers hommes qui ont fait ces outils vivaient dans [l'Angleterre] dans un climat de type méditerranéen, aux côtés de créatures telles que l'hippopotame, l'éléphant, le rhinocéros, l'hyène et le lion», a déclaré le co-auteur Chris Stringer, un anthropologue au Musée d'Histoire Naturelle de Londres.

Indices anciens

Les outils de pierre ont été datés avec divers éléments de preuve, y compris les os d'une espèce disparue de campagnol d'eau préhistorique appelé Mimomys.

Des artefacts humains n'avaient jamais été trouvés avec les restes de ce petit mammifère, disent les chercheurs.

Des escargots anciens ont également été utilisés pour dater l'âge des pierres par une méthode appelée la géochronologie des acides aminés (amino acid geochronology).

La technique mesure l'ampleur de la dégradation des protéines dans la matière animale pour évaluer comment elle est vieille.

Auparavant, la plus ancienne preuve de l'implantation humaine dans le nord de l'Europe venait de dents fossilisées et des os trouvés en Angleterre et en Allemagne.

Ces restes sont considérés comme appartenant à l'espèce Homo heidelbergensis.

Stringer dit qu'il y a eu beaucoup de discussions sur les adaptations sociales, technologiques, ou même du corps dont ils auraient eu besoin pour coloniser le nord de l'Europe en venant du sud.

Mais, a-t-il dit, " le climat reconstruit pour l'ancien Pakefield suggère que ces pionniers ont migré vers le nord dans un environnement qui leur aurait été familier, pendant un interval de réchauffement très court."

Les chercheurs disent que les traces révélatrices de gel sensible d'insectes et de plantes non trouvées pour ces anciennes périodes en Grande-Bretagne signifient que les colons jouissaient d'étés chauds et d'hivers doux.

La région aurait également fourni un environnement riche en ressources pour les humains de l'âge de pierre, qui utilisaient beaucoup de plantes et d'animaux, selon les rapports du groupe d'étude.

Une attraction supplémentaire " était les graviers de rivières riches en silex, qui ont fourni la matière première pour la fabrication d'outils ", a déclaré Stringer.

Congélation

Sévères, de longues périodes de froid ont probablement entraîné des interruptions répétées de l'occupation humaine dans le nord de l'Europe, dit Stringer.

" Nous ne savons pas encore si les gens de Pakefield faisaient partie d'une population qui a donné lieu aux Heidelbergensis plus tard, ou si de nouvelles personnes, portant à la main des outils et des haches sont entrés par l'Europe de l'Ouest et remplacés ou absorbés les anciens habitants ", a-t-il dit.

Les premiers silex trouvés dans une falaise côtière en 2000, ont déclenché une recherche intensive, qui a jusqu'à présent mis au jour 32 objets en tout.

Les chercheurs disent que quelques-uns des silex demeurent d'une netteté remarquable, malgré le passage de 700.000 ans, et que tous portent la marque de l'artisanat de l'homme.

" La preuve Pakefield de l'activité humaine est solide comme un roc ", selon Wil Roebroeks, professeur d'archéologie à l'Université de Leiden aux Pays-Bas.

Dans un article paru dans Nature qui l'accompagne, Roebroeks a écrit que les outils de pierre bafouent l'opinion largement répandue, fondée sur des données probantes en Espagne et en Italie, qu'il y avait un laps de temps entre l'occupation de la région méditerranéenne et l'envahissement du nord de l'Europe.

Les nouvelles découvertes, a-t-il ajouté, " ne manqueront pas d'influencer notre compréhension de l'occupation humaine de l'Europe."

« À l'échelle mondiale, ils sont un rappel que nous devons être terriblement prudents avec la traduction "absence de preuve" en "preuve de l'absence"..."

http://news.nationalgeographic.com/news/2005/12/1216_051216_humans_britain.html


Extrait d'une demande de bourse officielle déposée en 2008 sur « Les Hominidés au Quaternaire, Milieux et Comportements » par le Département de Préhistoire du Muséum national d'Histoire naturelle.

Les découvertes britanniques ont donc été automatiquement répertoriées au niveau de la culture acheuléenne, la seule connue pour cette période, bien qu'elles soient uniques si au nord.

" L'Acheuléen, caractérisé par la présence d’outils spécifiques tels que bifaces et/ou hachereaux, est une culture du Paléolithique inférieur largement répandue dans tout l'ancien monde et associée à une deuxième vague de peuplement de l’Eurasie. Né en Afrique de l'Est il y a environ 1,6 Million d'années (sites de Konso-Gardula en Ethiopie et de Kokiselei au Kenya), il apparaît en Asie vers 1.4 -1,2 Ma (Ubeidiya en Israël, Isampur en Inde), où les témoignages se multiplient aux alentours de 800 000 ans (Yunxian et Bose en Chine, Ngebung à Java), et enfin en Europe il y a environ 700 000 ans, ce décalage chronologique étant généralement interprété comme le résultat d'une diffusion en Eurasie à partir de l'Afrique, soit par migration des populations porteuses de cette tradition technique (mode 2), soit par contact et transmission de proche en proche. L'hypothèse d'un développement indépendant, convergeant vers un même faciès, dans différentes régions, a aussi été proposée par certains. Ce décalage suscite par ailleurs plusieurs questionnements scientifiques importants concernant sur les voies de migration empruntées et par conséquent de l’influence des conditions climatiques et environnementales sur les déplacements des groupes humains, et sur l’alternative entre contacts ou mouvements de populations qui appelle à s’interroger sur le mode de diffusion des techniques.

Les tout premiers sites acheuléens d’Europe occidentale sont ainsi connus à partir de 600-700 ka, en France (La Noira, dans la vallée du Cher ; La carrière Léon dans la vallée de la Somme), en Espagne (Santa Ana en Estramadure), en Italie (Venosa Loreto dans le Basilicate) et en Angleterre orientale (Pakefield, Happisburgh). Ils deviennent plus nombreux à partir de 500 ka en Espagne (Atapuerca Galeria, Ambrona), en Italie (Visogliano, Castel di Guido) et en France (sites de Cagny, Caune de l’Arago).
Toutefois, l’apparition de l’Acheuléen en Europe correspond à une période difficile à dater en raison de la nature géologique même des régions concernées, essentiellement en contexte fluvio-lacustre et karstique, et du faible nombre de points de référence chronologique disponibles pour ces régions. L’application des méthodes géochronologiques classiques ne permet pas toujours de fournir des points de repère chronologiques fiables pour ces gisements et des développements méthodologiques spécifiques sont indispensables pour permettre l’établissement du cadre chronologique de cette vague culturelle. "

Un très bon aperçu de nos connaissances imparfaites actuelles sur les différents hominidés :

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1) HOMO HABILIS, 2.4 à 1.6 millions d'anneés, Afrique
2) HOMO SAPIENS, 200 000 ans, Monde entier
3) HOMO FLORESIENSIS, 95 000 à 13 000 ans, Indonésie
4) HOMO ERECTUS, 1.8 millions d'années à 100 000 ans, Afrique et Eurasie
5) PARANTHROPUS BOISEI, 2.3 à 1.4 millions d'années, Afrique
6) HOMO HEIDELBERGENSIS , 700 000 à 300 000 ans, Afrique et Europe
7) HOMO NEANDERTALENSIS, 250 000 à 30 000 ans, Europe et Asie.

Sources: images Musée National de Géorgie et illustration d'Ivan Allen

http://historizo.cafeduweb.com/lire/11306-crane-ebranle-histoire-humanite.html

Notons que nous avons aussi droit à des momies étranges découvertes en Ecosse : des squelettes humains momifiés composés de plusieurs ossements de différents hommes... de véritables "frankenstein" datés de 3600 ans à priori pour l'instant... (voir photo en haut et lien ci-dessous) :


SFH 03-2013

vendredi 22 mars 2013

Alerte PAN du 16-03-2013 et soirée Crop circle 2 de ODHTV

Alerte PAN du 16-03-2013 et soirée Crop circle 2 de ODHTV

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Alerte PAN du 16-03-2013 :


La soirée Crop circle 2 édition du 15 mars 2013 vous est présentée par Gilles.T.
L'invité est Denis Roger Denocla qui vous présente les crop circles et les connexions psy. :


Site internet:
http://www.bltresearch.com/

Relayé SFH 03-2013

Astéroïde : Un risque de collision ? La Nasa demande aux habitants de prier

Astéroïde : Un risque de collision ? La Nasa demande aux habitants de prier

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Un astéroïde pourrait menacer la Terre selon la Nasa et le risque d’impact est à prendre au sérieux. L’agence demande aux habitants de prier.

C’est une déclaration surprenante que le chef de la Nasa, Charles Bolden a fait à CBS News « D’après les informations dont nous disposons, nous ne savons pas si un astéroïde menace la population des États-Unis. Mais si cela doit arriver dans les trois prochaines semaines, priez ! » Le risque de collision avec la Terre est réel, il a donc alerté le Congrès américain pour qu’il puisse mettre en place les moyens nécessaires pour se protéger. Il estime que le drame qui s’est déroulé en Russie il y a plusieurs semaines pourrait se reproduire prochainement. Le scientifique ne donne pas de précisions supplémentaires, mais ils ne peuvent pas détecter les petites météorites. Le chef de la Nasa explique que la Terre n’est pas menacée par un énorme astéroïde, car la technologie leur permet aujourd’hui de les détecter très vite et de longues années avant leur approche. Il est inquiet à cause de ces petites météorites qui sont en orbite autour de la Terre et le nombre serait important.

Un risque important

Un membre de la Nasa, Donald Yeomans a expliqué à CBS qu’un moyen était très efficace. Un télescope infrarouge aurait l’occasion de détecter ces petits astres. La construction d’un tel instrument coûterait une centaine de millions de dollars et la Nasa aimerait bien concrétiser ce projet. Les scientifiques souhaitent rappeler que les conséquences de la chute de la météorite en Russie ont été minimes. Si elle était restée intacte quelques secondes de plus, elle serait alors tombée sur le sol avec une puissance équivalente à 20 fois celle de la bombe Hiroshima. La Nasa a été surprise par cette météorite et voudrait que cela ne se reproduise pas à l’avenir. Dans tous les cas, les propos du chef de la Nasa sont assez spéciaux, est-ce une manière de dire qu’il faut se protéger au mieux ou veut-il dire qu’une météorite va causer de gros dégâts d’ici quelques semaines ?


Menacé par 10 000 astéroïdes
Les astéroïdes qui ont un diamètre aux alentours de 50 mètres seraient nombreux, près de 10 000. Les scientifiques estiment qu’un objet de cette taille tombe sur la Terre tous les 1000 ans. Certains hommes politiques demandent donc qu’une protection anti astéroïdes soit mise en place « Nous avons de la chance que la proximité de ces évènements soit une coïncidence et non une catastrophe ». Un projet est en cours aux États-Unis, il permettrait d’avertir les villes une semaine avant un impact causé par un astre d’une quarantaine de mètres et trois semaines pour un astéroïde d’une centaine de mètres.

Sources : NASA, http://www.24matins.fr/asteroide-un-risque-de-collision-la-nasa-demande-aux-habitants-de-prier-38899

SFH 03-2013

OANI TV du 15 mars 2013 par ODHTV

OANI TV du 15 mars 2013 par ODHTV

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Actualité des objets aquatiques non identifiés dans le monde et Interview de Joël Mesnard sur les OANI.


Relayé par SFH 03-2013

jeudi 21 mars 2013

La comète Panstarrs se fragmente

La comète Panstarrs se fragmente

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Prise le 15 mars 2013 quelques heures après une nouvelle éjection de masse coronale, cette image de la comète Panstarrs traitée en fausses couleurs révèle la présence d'un point à l'avant de la comète. Il s'agit sans doute d'un morceau qui s'est détaché du noyau. © Peter Rosen

La traque de la comète Panstarrs se poursuit avec de nouvelles images prises au sol, mais également depuis l'espace par la sonde Stereo B. Une mobilisation qui porte ses fruits : on a peut-être assisté en direct à la fragmentation du noyau.

Tous les télescopes de l'hémisphère nord sont désormais pointés sur la comète Panstarrs, vedette des soirées de cette fin d'hiver. Si la belle voyageuse reste difficile à repérer pour les néophytes dans les lueurs du crépuscule, les astronomes amateurs et professionnels se régalent et accumulent les images. La Nasa a par exemple présenté la vidéo du déplacement de la comète entre le 9 et le 12 mars depuis l'un de ses observatoires spatiaux, Stereo B. Lancées en octobre 2006, les sondes Stereo A et B sont des engins de 620 kg installés sur l'orbite terrestre de part et d'autre de la planète. Ceci permet de surveiller la totalité de la surface du Soleil avec l'appui de la sonde SDO. Les sondes Stereo ont pu également observer par le passé un transit lunaire devant notre étoile, ainsi que la queue gazeuse de Mercure.

Sur la vidéo présentée par la Nasa du déplacement de Panstarrs pendant quatre jours (et sur l'image ci-dessous), le Soleil est à gauche en dehors du champ de vision de Stereo B, et la Terre est le point brillant à droite. La comète Panstarrs est tellement lumineuse qu'elle sature le capteur de la caméra de la sonde. En outre, des images réalisées au sol semblent révéler que la queue de cette comète est principalement constituée d'atomes de fer, comme celle de la comète McNaught en 2007. Mais l'observation la plus excitante est sans doute celle d'une possible dislocation du noyau de la comète Panstarrs.

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Cette image a été prise le 13 mars 2013 par la sonde Stereo B. La comète Panstarrs est au centre, le Soleil (en train d'éjecter de la matière coronale) à gauche et la Terre à droite. Les deux bandes noires verticales sont provoquées par la forte luminosité de la Terre et de la comète qui sature le capteur de la caméra. © Nasa, Stereo
Panstarrs perd un peu la tête
Le 15 mars 2013, comme bon nombre d'astronomes, l'astrophotographe Peter Rosen a réalisé des images en haute résolution de la comète Panstarrs. En leur appliquant différents traitements informatiques, il a eu la surprise de découvrir un point brillant à l'avant du noyau de la comète. Il ne peut s'agir d'une étoile, puisque le télescope suivait le mouvement de la comète et que les étoiles ont donc laissé de petits traits sur le cliché. Les astronomes pensent plutôt que la comète Panstarrs a perdu un morceau de son noyau, un phénomène qui s'observe de temps en temps lorsqu'une comète s'approche un peu trop près du Soleil. Pareille mésaventure était arrivée en 2006 à la comète 73P/Schwassmann-Wachmann 3, et un an plus tard à la comète 17P/Holmes. Dans ce dernier cas, la belle voyageuse avait vu son éclat multiplié par un million en quelques heures, devenant parfaitement observable à l’œil nu sous la forme d’une petite tache floue dans la constellation de Persée.

Panstarrs a donc sans doute été victime du Soleil qu'elle a approché le 12 mars, et dont l'activité est à son maximum, comme le prouve la nouvelle éjection de masse coronale observée le 15 mars, quelques heures avant que Peter Rosen ne réalise ses images. Personne ne sait encore ce que nous réserve cette comète dans les jours qui viennent. En attendant, vous pouvez continuer à suivre les aventures de cette belle voyageuse sur notre forum d'astronomie.

source : NASA, http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/la-comate-panstarrs-victime-dun-coup-de-soleil_45296/#xtor=RSS-8

Yves Herbo : Pour bien observer la comète jusqu'en avril (avec du matériel), voilà un site vous expliquant bien les choses. Mais si la comète se fragmente, elle pourrait devenir encore plus brillante et visible donc, à surveiller. On ne nous dit rien non plus des débris peut-être assez gros qui risques de dériver à différentes vitesses en orbite autour du Soleil et le long de la trajectoire de la comète en cas d'importante fragmentation... la dislocation l'année dernière de la comète Levine n'a-t-elle pas été suivie quelques mois plus tard de nombreuses météorites sur la Terre ? N'y a-t-il pas renouvellement et augmentation des roches, débris et astéroïdes en permanence près des petites planètes telluriques comme la notre, grâce aux comètes précisémment ? Comment prévoir les dangers que représentent les astéroïdes s'il s'en ajoute sans arrêt (voir le nombre de comètes visiteuses cette année...) de toutes les dimensions et sur de nouvelles orbites changeantes ? La question est posée... :


MAJ 21-03-2013 : La comète a bien survécu à son passage près du Soleil malgré une petite dislocation et un dégazage important, une importante queue pleine de débris la suit :


" La comète s'éloigne maintenant de la terre. Elle s'obscurcira lentement pendant qu'elle se dirigera de nouveau dans l'espace lointain. Ironiquement, en contradiction, sa visibilité s'améliorera pendant un moment alors qu'elle se dirige dans des cieux plus foncés en s'éloignant du soleil. Dans les dernières semaines de mars, elle pourrait devenir un objet facile à voir à l'oeil nu. " d'après le Dr Phillips de la NASA

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Panstarrs sur l'Océan Indien le 06-03-2013 - Photograph by John Goldsmith, TWAN

Yves Herbo SFH 03-2013

mercredi 20 mars 2013

Des témoignages sur des bases extra-terrestres sous-marines dans l'Atlantique Sud

Des témoignages sur des bases extra-terrestres sous-marines dans l'Atlantique Sud

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Extraits d’une ancienne revue du G.E.P.A., ces documents datés de 1968 évoquaient déjà des observations de soucoupes volantes submersibles dans l’Atlantique Sud. Autant rapprocher cette information de ces autres bases sous-marines soupçonnées dans la Pacifique nord-est et Californie notamment : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/une-base-extra-terrestre-sous-marine-au-large-de-la-californie-du-sud.html,sans oublier l'Inde et la Chine également déjà recensées également : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/l-armee-indienne-cherche-a-identifier-des-ovnis-au-ladhak.html... :

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Source : http://investigationsoanisetoceanographiee.wordpress.com/2013/03/17/des-bases-sous-marines-dans-latlantique/

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Yves Herbo SFH 03-2013

Articles, Podcasts et News SerieViewer du 09-03 au 15-03-2013


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Yves Herbo SFH 03-2013

mardi 19 mars 2013

Des figurines d'argile préhistoriques d'hommes-oiseaux en Grèce

Des figurines d'argile préhistoriques d'hommes-oiseaux en Grèce

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Figurines de Koutroulou Magoula. (Credit: Image courtesy of University of Southampton)

Des archéologues de l'Université de Southampton étudiant un site néolithique dans le centre de la Grèce ont découvert plus de 300 figurines d'argile. Il s'agit là de l'une des plus forte densité découverte dans le sud-est de l'Europe.

L'équipe de Southampton, en collaboration avec le Service Archéologique Grec et la British School at Athens, a étudié le site de Koutroulou Magoula près du village grec de Neo Monastiri.

Koutroulou Magoula a été occupé pendant la période du Néolithique moyen (5800 à 5300 avant JC) par une communauté de quelques centaines de personnes qui a fabriqué des maisons architecturalement sophistiquées : en pierre et en briques crues.

Les figurines ont été trouvées un peu partout sur le site, dont certaines sur les murs de fondation. On pense que leur utilité n'était pas seulement esthétique mais qu'elles devaient aussi servir à transmettre des idées et des réflexions sur la culture de la communauté, la société et l'identité.

" Les figurines étaient créées pour représenter généralement la forme féminine. Mais notre découverte est non seulement extraordinaire en termes de quantité, mais aussi en diversité : hommes, femmes et êtres non sexués ont été trouvés et plusieurs représentent un hybride homme-oiseau ", a expliqué le professeur Yannis Hamilakis, Co-directeur du projet archéologique et ethnographique de Koutroulou Magoula, " nous avons encore beaucoup de travail à faire pour étudier les figurines, mais elles devraient apporter une énorme quantité d'informations sur la façon dont les gens du Néolithique interprétaient le corps humain, leur sexe et leur identité et expérience sociale."

Les fouilles à Koutroulou Magoula ont été lancés en 2001 par le Dr Nina Kyparissi et ce dernier projet a débuté en 2010.

Le site fait environ quatre fois la superficie d'un terrain de football et se compose d'un monticule de 18 mètres de haut comportant au moins trois terrasses entourées de fossés.

Les gens qui vivaient dans la colonie semblent avoir reconstruit leurs maisons sur les fondations même de l'ancien habitat, génération après génération.

Certaines maisons ont une construction inhabituelle, comme le précise le professeur Hamilakis : " Ce type de foyer aurait normalement des fondations en pierre avec des briques de terre au-dessus, mais nos investigations à Koutroulou Magoula ont trouvé des murs préservés en pierre de un mètre de hauteur, ce qui suggère que les murs ont pu être construit entièrement en pierres. Cela n'est pas typique de la période."

Les gens étaient des agriculteurs qui gardaient des animaux domestiques, utilisaient des outils en silex ou en obsidienne et avaient des échanges avec des colonies environnantes. La construction de certaines parties de la colonie suggère qu'ils travaillaient en commun, par exemple, pour construire les fossés concentriques qui entourent leurs maisons ...

Des siècles plus tard, le site est devenu un important lieu de mémoire. Ainsi, à la fin de l'âge du bronze, un «tholos» ou tombe en forme de ruche a été construit au sommet et à l'époque médiévale (12-13è s. Après JC) au moins une personne a été enterrée parmi les maisons néolithiques.

En plus des fouilles, le projet a mené une étude ethnographique des communautés locales, en explorant leurs coutumes, leur culture et leur relation avec le site.

L'équipe du projet procédera à deux saisons de fouilles en 2013 et 2014.

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Figurine de Koutroulou Magoula. (Credit: Image courtesy of University of Southampton)

Sources :
Science Daily: "Archaeologists Unearth More Than 300 Prehistoric Clay Figurines in Greece" + trad. by Jann Lassalle pour http://decouvertes-archeologiques.blogspot.fr/

SFH 03-2013