samedi 6 juin 2015

Monolithe sur Mars, monolithes sur Phobos : Kubrick ou les Celtes ?

Monolithe sur Mars, monolithes sur Phobos : Kubrick ou les Celtes ?


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monolithes sur Phobos

La spéculation autour d'un étrange "monolithe" découvert il y a longtemps sur Mars refait surface et un chercheur américain donne son avis.

Des astronomes amateurs ont aperçu un étrange objet sur la surface martienne. Vertical et de forme rectangulaire, il a pu être observé à partir de divers clichés de la NASA. Cet objet rappelle immanquablement le monolithe du roman d'Arthur C. Clarke et de son adaptation cinématographique par Stanley Kubrick : 2001, L'odyssée de l'espace...

Le mystérieux objet avait été repéré il y a plusieurs années par la caméra de la sonde Reconnaissance Orbiter. Selon le chercheur Jonathon Hill, de l'Arizona State University, "lorsque la résolution est trop faible pour photographier complètement un objet, celui-ci a tendance à prendre une forme rectangulaire à cause des pixels." La caméra HiRISE qui équipe la sonde Mars Reconnaissance Orbiter offre une résolution de 30 centimètres par pixel, ce qui est tout de même impressionnant.

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L'emplacement de cet objet indique qu'il a pu tomber d'une falaise située à proximité, il y a longtemps, d'après M. Hill. Ce qui fait dire au scientifique : "si je devais construire un monolithe, c'est le dernier endroit où j'irai le mettre ! La chute de roches de la falaise pourrait très vite le recouvrir." Ce mystérieux "monolithe" est-il arrivé là tout seul ? Il aura, au moins, le mérite de soulever la curiosité.

Maxisciences

Yves Herbo : D'autant plus que M. Hill dit en même temps qu'il est là depuis longtemps mais que des chutes de roches aurait dû très vite le recouvrir si quelqu'un avait choisi cet endroit... assez contradictoire... ou faux puisque ça ne s'est pas passé ! Et M. Hill ne s'est pas penché sur les monolithes de Phobos, l'un des deux satellites de Mars apparemment... :

Anomalies sur Phobos :

Lorsque la sonde de la NASA Mars Reconnaissance Orbiter (MRO) a cartographié la minuscule lune martienne, Phobos et a mis en lumière les photos du petit satellite en forme de pomme de terre, cela a fait fureur parmi les mordus de l’espace. Là, sur la surface à vue, se tenait un grand objet rectangulaire qui ressemblait à un monolithe incontestablement artificiel.

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Les caractéristiques de la surface inexpliquées telles que la convergence de nombreuses rainures, ainsi que les formations remarquables semblables à un monolithe , posent la possibilité que Phobos porte des structures non érodées qui méritent une attention particulière. Lan Fleming spécialisé dans l’imagerie de la NASA qui s’intéresse à Mars et autres anomalies du système solaire a regardé et après l’étude et un examen plus approfondi a conclu que le monolithe est une anomalie physique sur la surface de Phobos.

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On ne peut, évidement, que penser à 2001 de Kubrick et son monolithe noir qui annonce une phase déterminante dans l ' histoire de l 'humanité et qui apparaît a des moments cruciaux dans la destinée des hommes . Publié par Marc Lafontan 


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Le buzz autour de l’objet est devenu si intense que le célèbre “Buzz” est entré dans le débat. Buzz Aldrin, deuxième humain à marcher sur la surface de la Lune, en a surpris plusieurs en affirmant: “Nous devrions visiter les lunes de Mars. Il y a un monolithe là bas -. Une structure très inhabituelle sur ce petit objet en forme de  pomme de terre qui fait le tour de  Mars une fois tous les sept heures. “ Lorsque les gens vont apprendre ça, ils vont dire, Qui a mis ça là? Qui a mis ça là?  Eh bien l’univers l’a mis là, ou si vous préférez Dieu l’a mis là.”




Phobos est un endroit très prometteur pour l’exploration future. La lune elle-même a longtemps été une anomalie, ses caractéristiques orbitales suggèrent qu’elle peut être creuse. Une spéculation plus agressive suggère que Phobos pourrait en fait être un vaisseau spatial abandonné de la variété “génération arche”  décrite par les écrivains scientifiques comme Isaac Asimov. Je ne sais pas si j’irais aussi loin avec une information aussi peu définitive, mais c’est une idée séduisante. L’ancien épisode de Star Trek “ Le monde est creux et j’ai touché le ciel ” vient à l’esprit.

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Les environs du monolithe ont été proposés comme site d'atterrissage  pour un véhicule de l'Agence spatiale canadienne, financé  par l'Optech et l'Institut de Mars, pour une mission non habitée de Phobos connue sous le nom de PRIME (Phobos Reconnaissance and International Mars Exploration). La mission PRIME serait composée d'un orbiteur et d'un atterrisseur, et chacun transporte  4 instruments destinés à étudier les divers aspects de la géologie de Phobos. À l'heure actuelle, PRIME n'a pas été financée et ne dispose pas d'une date de lancement prévue.

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Paul Davies veut chercher un monolithe noir E.T. sur la Lune


Le physicien théoricien et exobiologiste Paul Davies, usant de son poids médiatique, veut donner une nouvelle impulsion à une vieille idée : rechercher d’anciennes traces de civilisations E.T. sur la Lune. Et ce, propose-t-il, grâce à la science citoyenne, les internautes scrutant les données de la sonde lunaire LRO.

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Paul Davies est très connu dans le monde anglo-saxon, et pas seulement parce qu’il a été, comme Bernard d’Espagnat, le récipiendaire du prix Templeton. Spécialiste de l’effet Hawking, il a écrit de nombreux livres de vulgarisation, allant des fondements de la mécanique quantique à la théorie des supercordes en passant par la cosmologie et l’exobiologie. Il fait partie de ceux qui s’interrogent sur une possible biologie quantique et il a été un des coauteurs de l’article controversé sur les bactéries à l’arsenic.

Depuis longtemps, Davies s’occupe d’exobiologie, ou encore d’astrobiologie comme on le dit dans les pays anglo-saxons. Avec un étudiant, il vient de publier un article qui va certainement faire beaucoup parler de lui sur le Net : Searching for alien artifacts on the moon.

En clair, en complément du programme Seti, des tentatives pour détecter des traces de civilisations extraterrestres en train de construire des stations spatiales ou qui se signaleraient par l’éclairage de leurs villes, Davies et Robert Wagner renouvèlent un concept déjà exploré par un radioastronome ukrainien membre de Seti, Alexey Arkhipov.

Il s’agit de chercher sur la Lune des restes de civilisations extraterrestres, comme des édifices et des mines, laissés il y a peut-être des millions d’années par une mission d’exploration de notre planète.

La découverte d'un monolithe noir ?

En effet, il est assez improbable que le développement de l’humanité coïncide à seulement quelques milliers d’années près avec celui d’une civilisation E.T. avancée. On peut tenter de se convaincre que le voyage interstellaire est beaucoup plus facile que ce que l’on imagine, par exemple en empruntant des trous de ver ou en dépassant sans vergogne la limite d'Einstein, comme le montrent peut-être les neutrinos transluminiques. Cependant, si une mission d’exploration extraterrestre a effectivement visité notre Système solaire, il est probable que l'événement ait eu lieu il y a des millions voire des centaines de millions d’années.

Pour une telle mission exploratoire, qui serait venue étudier de plus près la biosphère terrestre, le plus logique et le plus commode serait l'installation d’une base lunaire. Or, l’environnement tectoniquement stable et sans érosion de la Lune est bien plus propice que celui de la Terre à la conservation d’artefacts.

Davies propose donc, par exemple, d’utiliser les images à haute résolution de LRO, qui montrent notamment des grottes, pour détecter ces anciennes constructions.

Gare aux interprétations hasardeuses

La résolution des images de la sonde LRO est en effet inférieure au mètre et la base de données des photos prises donnera à terme une cartographie précise de la Lune. Nul doute que sa mise à disposition sur la toile, avec pour objectif de permettre aux internautes de partir à la chasse à des artefacts E.T., aurait un grand succès. En témoigne la réussite de l'opération lancée lors du projet Stardust. Il s’agissait de permettre aux internautes de travailler comme de vrais chercheurs de la Nasa en repérant des poussières cométaires ou interstellaires capturées par l'aérogel de la sonde.

Malheureusement, il n’y a guère de doute qu’on verrait aussi proliférer des fausses interprétations d’images. Les discussions à propos des images des missions Apollo, la fameuse affaire du visage martien ou celle du vaisseau géant en orbite autour de Mercure illustrent toute l’ampleur des dérives possibles (mais qui décide qu'il s'agit bien de dérives ?, la NASA qui se fait juge et partie ou juste la pensée "raisonnable", limitatrice, bordée et bloquant l'humanité éventuellement ?). Peut-être vaudrait-il mieux que ce travail soit effectué par des méthodes informatiques automatisées. (l'automate programmé par l'homme a-t-il son libre-arbitre ou ne dépend-il que de sa programmation, donc de pré-postulats humains réducteurs et probablement faux ?).

Plus généralement, d'autres techniques d'exploration de la Lune, avec bien sûr une présence humaine permanente, pourraient révéler des surprises.

En tout état de cause, le concept est électrisant et pourrait contribuer à faire comprendre à l’humanité sa vraie place dans le cosmos, indépendamment de son succès. Et, qui sait, peut-être finira-t-on par effectivement découvrir une anomalie magnétique pointant du doigt l’existence d’un monolithe noir enterré dans le sol lunaire, comme dans le roman d’Arthur C. Clarke2001, l’Odyssée de l’espace...

Par Laurent SaccoFutura-Sciences

YH : Bon, en attendant de voir de plus près les monolithes martiens, nous pouvons toujours admirer ceux laissés par nos ancêtres celtiques un peu partout dans le monde... et n'oublions pas non plus que les théories scientifiques sont également des interprétations prouvées ou non jusqu'à un certain point et que parfois le hasard fait trop bien les choses (mais les coïncidences existent-elles vraiment ?)... :


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Dol de Bretagne

05-2015 : Et je profite de cette petite remontée du lien pour ajouter ici un article connexe puisque j'y parle aussi de Phobos ! :


Sans compter les quelques articles avec certaines données intéressantes sur la planète Mars et son exploration robotique :










Yves Herbo, S, F, H, 04-2012, MAJ 05-2015

vendredi 5 juin 2015

OVNIs : ODH interviews 60

OVNIs : ODH interviews 60

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La 60ème édition d'ODH Interview vous est présentée par Gilles Thomas.

Les invités sont Eric Zürcher, fondateur du Centre de Recherche ufologique Niçois et co-auteur d'Ovnis et conscience, Guy Loterre et Patrice Galactéros d'Ovni Paris, Gaëtan président du Réseau d'Enquêtes Ufologiques Belges, Laurent Chabin, François Haÿs, Mirko du projet SEPO (station d'étude du phénomène ovni), Frédéric, David Thuillier, Laurent Boulanger directeur de la revue Lumières Dans La Nuit et Thierry Pinvidic qui vous parlent de l'ufologie idéale ou utopique.





Pour mémoire, l'interview 59 était celle-ci http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/initiatives-ovnis/ovnis-et-conscience-avec-eric-zurcher.html



L'émission est relayée par :





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Yves Herbo Relai-Sciences-F, H, 06-2015

jeudi 4 juin 2015

Soirée ODHTv Ovni Dans l'Histoire en Belgique​

OVNIs : Soirée ODHTv Ovni Dans l'Histoire en Belgique​


Gillest


La soirée d'ODH TV " Ovni Dans l'Histoire en Belgique est réalisée et vous est présentée par Gilles Thomas.


Au programme de cette édition spéciale :

L'invité est Gaëtan.B, président du REUB (Réseau d'Enquêteurs Ufologique Belges). Il vous parle de l'actualité ovni en Wallonie et de son association.


Cette soirée était diffusée via Hangout (Google +) en direct le 02 mai 2015.

http://reub.e-monsite.com/



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L'émission est en collaboration avec :





http://reub.e-monsite.com/







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Yves Herbo Relai-Sciences, F, Histoires, 06-2015

Le pouce qui réveille le mythe des Géants

Le pouce qui réveille le mythe des Géants - 2012 - MAJ 05-2015

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doigt de 38 cm

Selon beaucoup de légendes et textes religieux, y compris la Bible, les plus anciens textes hindoux et sumériens inclus, des hommes et femmes de très grandes tailles ont existé dans un lointain passé. Certains chercheurs les font même remonter jusqu'aux dinosaures en âge, suite à certaines empreintes de primates géants trouvées à côté de celles de dinosaures. Plusieurs artéfacts de très grandes tailles ont été trouvés (masques, armes, couteaux et pierres taillées, casques) dans plusieurs régions du monde. Certains os et squelettes également et des tombes, des structures architecturales (Baalbek et autres)...

Une très étrange découverte aurait été faite en Egypte pendant l'année 1988 : un entrepreneur connu en Suisse et passionné d'égyptologie, Gregor Spörri, serait entré en contact en 1988 avec un vieil homme, héritier d'une vieille dynastie de pilleurs de tombes. A environ 100 km du Caire au nord-est, une réunion s'est tenue dans une ferme vers les Bir Hooker. Spörri doit donner 300 dollars juste pour jeter un oeil à la collection invendable des voleurs de tombes.

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Un os est enveloppé dans de vieux chiffons et une peau de cuir, dit Spörri, l'emballage était rectangulaire et c'était confiné dedans. J'étais choqué quand j'ai vu le vestige brun foncé et quand je l'ai pris dans mes mains. J'ai pu le photographier et mettre un billet de banque à côté pour comparer la taille.

Le doigt courbé avait éclaté et était couvert de moisissures séchées. C'était étonnamment léger, à peine quelques centaines de grammes. C'était incroyable. A partir de ce doigt, la dimension du géant devait être au minimum de 5 mètres...

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Le voleur de tombe a montré aussi encore un certificat d'authenticité et une radiographie du doigt au suisse. Les deux des années soixante. Le voleur de tombe a juré par tous les noms d'Allah qu'il disait la vérité et que cette chose avait été trouvée dans une tombe pas très loin des pyramides de Gizeh. Mais le doigt n'a pas pu être vendu. Il a semblé être beaucoup trop important pour lui et sa famille... Aujourd'hui, Spörri regrette qu'il n'ai pu récupérer que des photos dans la maison. Cette découverte l'occupait pendant des années, mais les scientifiques ne se sont pas intéressés à la découverte, qui devait être impossible... "Le vestige ne collait pas avec les théories", dit l'explorateur à BILD.de. Ils ne voulaient pas se faire moquer par d'autres experts. Ce n'est qu'en 2009 qu'on recherche à nouveau un Arabe âgé et le vestige. Mais les traces dans les Bir Hooker étaient devenues du sable depuis...

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Gregor Spörri, certain de ce qu'il a vu et tenu dans ses mains, passe une bonne partie de sa vie à chercher intensivement des vestiges et preuves de la réalité du mythe des géants. Il est surtout allé en Egypte, et a trouvé des sarcophages géants, parfois incomplets et faux, mais aussi des vrais, trop grands pour des êtres humains normaux.

Y a-t-il eu des géants en Egypte ? L'historien Flavius Josephus romain a fait un rapport en 79 après le Christ d'une telle existence dans son histoire de la guerre juive : Des géants étaient . Organisés beaucoup plus grandement et autrement que l'homme normal. Craints terriblement. Celui qui ne l'a pas vue de ses propres yeux ne peut pas croire qu'ils aient été si extrêmement grands. "

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Spörri

Quoiqu'il en soit, l'artefact a disparu et son propriétaire avec. Spörri a décidé de changé de vie et, n'étant pas scientifique pour parler de sa découverte, il a décidé de la révéler via un roman, auquel ses preuves photographiques sont ajoutées dans l'histoire... Il l'a sorti volontairement du contexte pour le montrer, et plusieurs experts sont à la recherche de témoignages et traces du côté des Bir Hooker... au public de considérer la chose, dit Spörri, et de décider lui-même de sa propre opinion...



MAJ 05-2015 : L'affaire n'est toujours pas résolue et ce fossile a disparu avec la famille du découvreur. Les suppositions raisonnables les plus récentes font appel au primate préhistorique Gigantopithecus Blacki pour expliquer ce doigt et son gigantisme...

Le premier Gigantopithèque décrit par un anthropologue a été trouvé en 1935 par Ralph von Koenigswald, dans une boutique d'un l'apothicaire. Les dents et les os fossilisés sont souvent broyés en poudre et utilisés dans certaines branches de la médecine traditionnelle chinoise... Von Koenigswald a nommé ces espèces théorisés le Gigantopithèque.

Gigantopithecus bilaspurensis mandible

Wikipedia.en

Depuis lors, relativement peu de fossiles du Gigantopithèque ont été récupérés. Mis à part les molaires récupérées dans les magasins chinois de la médecine traditionnelle, la grotte de Liucheng à Liuzhou, Chine, a produit de nombreuses dents du Gigantopithèque blacki, ainsi que plusieurs mâchoires. Les autres sites donnant des découvertes importantes ont été au Vietnam et en Inde. Ces découvertes suggèrent que la race des Gigantopithèques était en Asie du sud-est (on note aussi avec l'Inde et ces régions certaines références historiques et religieuses en lien avec l'Armée des Singes, le Dieu-Singe et les textes védiques sur le compagnon de Rama et la construction d'un pont entre l'Inde et Sri-Lanka (Ceylan) par une armée de Singes géants intelligents, y compris aussi le fameux Yéti qui remonte à très loin).

En 1955, 47 dents de Gigantopithèques blacki ont été trouvées parmi une cargaison d' "os de dragon" (aka "os d'oracle") en Chine. En traçant ces dents jusqu'à leur source, on a abouti à la récupération de plus de dents et d'une grande mandibule assez complète. En 1958, trois mandibules et plus de 1300 dents avaient été récupérés. Les restes de Gigantopithèques proviennent de sites dans le Hubei, Guangxi et Sichuan, à partir d'entrepôts pour les produits médicinaux chinois, ainsi que des dépôts de grottes. Tous les restes chinois n'ont pas été datés de la même période de temps, et les fossiles dans le Hubei semblent être d'une date plus tardive qu'ailleurs en Chine. Les dents du Hubei sont également plus grandes.

Gigantopithecus v human

Wikipedia.en

Le Gigantopithèque est considéré comme une race éteinte de singe qui existait depuis environ neuf millions d'années jusqu'à il y a aussi récemment que 100.000 ans, dans ce qui est maintenant la Chine, l'Inde et le Vietnam, plaçant le Gigantopithèque dans le même laps de temps et la situation géographique que plusieurs espèces d'hominidés (y compris l'homme moderne qui était déjà apparu, mais pas en Asie (à priori)). les archives fossiles suggère que les individus de l'espèce Gigantopithèque Blacki  étaient les plus grands singes qui ont jamais vécu, mesurant debout jusqu'à 3 m (9,8 pieds) et pesant jusqu'à 540 kg (1,200 livres), ce qui rend l'espèce deux à trois fois plus lourde que les gorilles modernes et près de cinq fois plus lourde que l'orang-outan, son plus proche parent vivant. Les grands mâles peuvent avoir eu une envergure des bras de plus de 12 pieds (3,6 m). L'espèce aurait eu un fort dimorphisme sexuel, les femelles adultes pesant environ la moitié du poids des hommes. En raison de grandes différences entre les espèces trouvées et leur relation entre la dent et la taille du corps, certains soutiennent qu'il est plus probable que le Gigantopithèque le plus répandu (non Blacki) était beaucoup plus petit, d'environ 1,8 m (5,9 pi).

Les espèces vivaient en Asie et habitaient probablement des forêts de bambous, puisque ses fossiles sont souvent trouvés aux côtés de ceux des ancêtres disparus du panda. La plupart des éléments prouvent que Gigantopithèque était un herbivore.

Mais la question ultime est : que ferait un doigt fossilisé d'un Gigantopithèque Chinois ou Hindoux dans une tombe de l'ancienne Egypte ?...

Yves Herbo, Sciences, Fictions, Histoires, 03-2012, MAJ 05-2015

mercredi 3 juin 2015

Un paradigme s'effondre : l'Homme n'a ni inventé les outils, ni le langage

Un paradigme s'effondre : l'Homme (le genre Homo) n'a ni inventé les outils, ni l'unique langage...

Mone

Un singe Mone de Campbell qui sait communiquer...

Il y a des découvertes comme ça qui remettent parfois tout en question. En général, ces découvertes sont la plupart du temps écartées d'office et leurs découvreurs mis à mal par leurs confrères, pendant des années. Deux découvertes publiées ces derniers jours remettent en question des dogmes très longtemps "bordés" et approuvés par l'ensemble du monde scientifique. Des dogmes qui rejoignaient d'ailleurs la même idée centrale et "anthropomorphique" : c'est le genre Homo et son avènement qui a amené sur la Terre une créativité intellectuelle et une évolution dont nous sommes le résultat actuel avec l'Homme Moderne. Autrement dit, ce sont les premières races humaines qui avaient fait toutes les découvertes évolutives, qui s'étaient "redressées" sur leur deux jambes et avaient créé les premiers outils de pierre et qui avaient fini par créer les premiers arts, le langage puis l'écriture, etc...

Et bien la preuve du contraire vient d'être établie formellement sur deux de ces évolutions autrefois liées au genre "Homo" (Homo Habilis étant le premier dans la chronologie actuelle). Ces découvertes concernent l'outillage et le langage, la communication.

La première découverte, très importante sur tout le chemin évolutif, concerne la taille volontaire et appliquée de pierres à des fins d'outillage (armes de jet, pointes de flèches, tannerie, cuisine et vaisselle, etc...). Cette découverte date de 1997 mais il a fallut tout ce temps pour "être sûr" et abattre les dogmes précédents (et notamment la théorie du français Yves Coppens (qu'il avait d'ailleurs lui-même commencé à abandonner dernièrement suite aux découvertes récentes en Afrique) d'une évolution à partir de la naissance du genre Homo qui se serait "redressé" sur ses deux jambes à cause des changements climatiques jungle-savane...), en faisant d'autres découvertes du même type et aussi ancien. Mais c'est aussi une française qui est à l'origine de cette nouvelle découverte, même si elle a dû "émigrer" aux Etats-Unis pour avoir plus de moyens (et de reconnaissances) car c'est bien la française Sonia Harmand qui avait déjà fait une première découverte en 1997, découverte renforcée par d'autres en 2011.


On the banks of the lake Turkana, a number of archaeological and paleontogical discoveries have been made that shed a new light on the origin of mankind. The WTAP (west turkana archaeological project), a Franco-Kenyan team, has been conducting excavations on the left bank of Lake Turkana for several decades. In 1997, they made a major discovery : they unearthed the oldest stone tools found in Kenya, dated back to 2.34 million years old. Albert Leminbach - Youtube

Et des découvertes de 2011 encore meilleures qu'escompté car le record d'ancienneté pour des outils taillés volontairement dans la pierre a été battu : 3,3 millions d'années ! Vous avez bien lu. Ces dates sont plus anciennes que le premier hominidé du genre Homo connu, et il faut donc attribuer ces premiers outils aux "primates" homininés australopithèques ou autres, de lignées non "Homo".

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La publication scientifique dans Nature par l’archéologue française Sonia Harmand et son collègue Jason E. Lewis, tous deux de l’université de Stony Brook (États-Unis) et directeurs du West Turkana Archaeological Project (WTAP), soutenus par 19 membres de leur équipe est très complète et apporte des détails sur les méthodes employées pour les datations des outils, notamment la téphrostratigraphie. Une technique qui rend possible la datation des couches de cendres par des procédés physico-chimiques et qui a pu être utilisée car l’on disposait dans ce cas, d’une couche de sédiments prise en sandwich entre deux couches de cendres volcaniques. En effet, sauf perturbation géologique établie, une strate est toujours plus vieille que celle qui la recouvre. La datation des deux couches de cendres entre lesquelles s’intercalait cette couche sédimentaire dans laquelle se trouvaient ces outils permet donc d’encadrer l’âge de la couche sédimentaire en question et ce qui s'y trouve. 

Ces découvertes ont été faites sur le site nommé Lomekwi 3, dans la région du lac Turkana, au Kenya et donc dans le Grand Rift africain. C'est déjà dans la même région, sur les rives de l'ouest du lac Turkana que la française avait déjà trouvé en 1997 les plus anciens outils de pierre taillée, mais les datations n'étaient pas aussi anciennes que celles effectuées sur les outils découverts en 2011. Depuis 2011 donc, c'est une équipe internationale de 19 chercheurs qui se sont donnés comme mission de dater le plus précisément possibles les outils trouvés et apporter enfin les preuves que ce n'étaient pas les premiers humains (Homo Habilis qui a habité la région aussi plus tard) qui en étaient responsables, mais bien des races non humaines et plus anciennes.


Sonia Harmand and Jason Lewis, research professors at Stony Brook University's Turkana Basin Institute, rewrote the prehistory books when they unearthed the earliest tools ever found - dated at 3.3 million years old.

Cette découverte attestée repousse donc bien officiellement d'au minimum 700.000 ans les débuts de l'industrie lithique chez les homininés, et bien avant l'apparition du premier genre Homo. C'est un véritable changement de paradigme, une révolution dans le milieu de la paléontologie. Sonia Harmand l'explique elle-même dans l'article : " ces outils mettent en lumière une période inattendue et inconnue de l’histoire du comportement des homininés et ils peuvent nous apprendre beaucoup sur le développement cognitif de nos ancêtres que nous ne pouvions comprendre uniquement à partir de leurs fossiles ».

Jason Lewis ajoute : « La conception habituelle de l’évolution humaine supposait que l’origine de l’industrie lithique était liée à l’émergence du genre Homo. Le développement de cette technologie était aussi supposé être connecté au changement climatique ayant provoqué le développement de la savane. L’hypothèse était donc que seule notre lignée avait accompli le bond cognitif consistant à faire se percuter des pierres pour en tirer des éclats et que cela avait été à la source du succès de notre processus évolutif ». Une hypothèse donc démentie, d'autant plus qu'ils ont prouvé au passage que l'environnement dans lequel vivaient ces homininés "habiles" était bien la jungle et non la savane...

En effet, il est maintenant prouvé que ces homininés se sont servis de gros blocs lourds et volumineux de lave pour construire leurs outilsSonia Harmand écrit d’ailleurs que " l’étude de la taille des outils fait apparaître l'utilisation de gestes qui rappellent ceux des chimpanzés utilisant des pierres pour ouvrir des fruits à coque. On est donc peut-être en présence d’une technologie en transition, utilisée pour exploiter des plantes en forêt et précédant celle utilisée par Homo Habilis pendant l’Oldowayen, bien plus tard, entre 2,6 et 1,7 millions d’années environ avant maintenant.

On pourrait presque supposer que ces êtres entre primates et hommes se sont donc transformés en "cogneurs-lanceurs de pierres" et portant des "munitions", les obligeant ainsi à se redresser debout et à développer les muscles des jambes et des bras pour utiliser leurs pierres...

Mais les recherches continuent sur l'ouest du lac Turkana car la scientifique française est persuadée que 3,3 millions d'années n'est pas la date des tous débuts de l'industrie lithique : les pierres sont déjà trop complexes pour être le produit de chocs répétés hasardeux et qu'il doit donc exister des outils plus anciens encore...

En ce qui concerne les dénominations hominoïdes, hominidés, homininéshttp://www.snv.jussieu.fr/vie/faq/ts/hominine.htm​


http://www.futura-sciences.com/magazines/sciences/infos/actu/d/archeologie-hominines-taillaient-deja-outils-il-y-33-millions-annees-58333/#xtor=RSS-8

Mais là où certains font également (ou tentent) de faire des corrélations, c'est sur les découvertes et annonces faites sur d'autres découvertes... au Kenya justement ! Mais ces fossiles d'un nouveau genre (Homo ?) semblent trop récents pour être comparés à ces outils de 3.3 millions d'années... mais ils ont été découverts sur les rives Est du même lac Turkana ! Un hasard ? : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/le-genre-homo-s-enrichit-de-deux-especes-d-apres-des-fossiles-kenyans.html​



L'autre découverte est tout aussi surprenante car l'on y découvre que l'homme n'est pas l'inventeur du langage à priori, ou le seul à en utiliser un... car au moins une race animale (ou jugée comme telle par notre intelligence sélective) utilise aussi un langage de communication complexe utilisant les suffixes ! On ne quitte pas l'Afrique car cette découverte a été faite en Côte d'Ivoire...

Le langage a une origine très mystérieuse chez l'Homme et on pensait que seul l'être humain connaissait la possibilité de combiner des sons pour générer une infinité de messages codifiés.  Ce sont des éthologistes du laboratoire EthoS, en collaboration avec des chercheurs de l'université de St Andrews (Ecosse) et de l'université d'Abidjan (Côte d'Ivoire, qui ont voulu démonter ce dogme en étudiant des animaux assez proches de l'homme, puisqu'il s'agit de primates. Certains pourraient aussi noter que, question sons, on devrait aussi étudier les possibilités des dauphins et de certains oiseaux (mainates, perroquets)... Ils se sont penchés sur les communications entre les singes cercopithèques en Côte d'Ivoire, et ont découvert qu'ils ajoutaient un suffixe à leurs cris d'alarme pour modifier le message encodé. Cette étude a été publiée dans la revue Proceedings of the Royal Society of London B.

Mone

mone de Campbell, un petit singe forestier de la famille des cercopithèques

L'étude s'est donc portée sur la mone de Campbell, un petit singe forestier de la famille des cercopithèques, qui possède la forme de communication vocale la plus élaborée jamais décrite dans le monde animal. La mone de campbell utilise une sémantique, une syntaxe et un vocabulaire spécifiques. En fait, ce n'est pas réellement nouveau mais les avis divergeaient toujours un peu selon les études. Auparavanti, des éthologues avaient suivi pendant 2 ans 8 groupes de primates du parc national de Taï, en Côte d'Ivoire, habitués à la présence humaine. Et l'analyse des 7.000 cris qu'ils ont enregistrés en réponse à des stimulations naturelles ou provoquées par des leurres de prédateurs (diffusion de cris, modèles empaillés) avait livré des résultats pour le moins surprenants.

UNE FORME DE SYNTAXE

Primo, leur vocabulaire est plus riche que ce que l'on pensait, grâce à l'ajout du suffixe "oo" aux trois sons d'alarme déjà décrits chez ce singe. Ainsi, alors que "hok" et "krak" indiquent respectivement la présence d'un aigle et d'un léopard, "hok-oo" et "krak-oo" signalent un danger autre, comme la chute d'une branche.

Secundo, le primate utilise une syntaxe primitive : il émet des séquences composées chacune d'environ 25 cris qu'il combine ou enchaîne différemment selon le contexte. Le mâle intercale par exemple significativement plus de "hok-oo" dans la séquence s'il voit un aigle que s'il l'entend simplement, signalant ainsi au groupe un danger plus imminent.

Tertio, les cris des femelles, plus sociaux que ceux du mâle, ressemblent par certains aspects à la conversation chez l'homme, avec en particulier le respect d'un délai pour les réponses. Une sémantique, une syntaxe, une conversation : la communication vocale de la mone comporte donc les prémices des trois éléments fondateurs du langage humain. Une aptitude qui protège le groupe des prédateurs, coordonne ses déplacements, favorise ses liens sociaux... et nous renseigne sur l'origine possible de notre langage.

Cette fois-ci, ils ont été plus loin et ont franchi une étape importante dans la compréhension de ce phénomène de l'ajout de suffixes en testant expérimentalement la validité de cette hypothèse combinatoire. Leur objectif était de vérifier si le phénomène observé résultait réellement d'une combinaison d'un cri "Krak" avec un suffixe "oo", autrement dit, de tester si "Krak + oo" = "Krak-oo" pour les singes entendant ces cris. Pour cela, ils ont diffusé par haut-parleurs des cris "Krak" et "Krak-oo" naturels ainsi que des cris "Krak" et "Krak-oo" artificiels (en supprimant ou ajoutant le suffixe) à 42 groupes de singes Diane sauvages, une autre espèce de primates non-humains vivant en association avec les mones de Campbell. Les résultats montrent que les sujets ont réagi plus fortement aux cris non suffixés (Krak) qu'aux cris suffixés (Krak-oo), en accord avec l'importance du danger encodé. Surtout, cette étude a révélé que les singes ont réagi de manière comparable aux cris naturels et aux cris artificiels, confirmant l'hypothèse d'une capacité combinatoire.



Ces résultats sont particulièrement intéressants car ils démontrent expérimentalement, pour la première fois chez l'animal, l'existence d'un système combinatoire modifiant le message transmis de manière pertinente pour les receveurs. Ce système permettrait donc effectivement aux singes de diversifier les messages transmis aux autres individus en dépit de capacités articulatoires limitées. La capacité à combiner des sons aurait ainsi été une étape clé dans l'émergence du langage, y compris chez l'Homme...




Yves Herbo, Sciences, F, Histoires, 23-05-2015

lundi 1 juin 2015

OVNIs : Vérités et Illusions-extraits

OVNIs : Vérités et Illusions-extraits - 2012 - up 2015

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Un F16 (ou F14) poursuit un ovni

Voici des extraits du documentaire-enquête des frères Bogdanoff (qui ne sont pas des aliens, attention !) diffusé en France en janvier 2011





Mon avis : assez objectif dans l'ensemble et laissant la parole aussi bien à des convaincus qu'à des sceptiques. Des témoignages et avis intéressants, quelques cas inexpliqués et des démonstrations de faux ou d'erreurs de perception. Peu d'avancées ou mêmes de nouveautés réelles mais on constate néanmoins une forte évolution de la reconnaissance du phénomène (quel qu'il soit) et sa réelle interaction avec notre monde : on ne se demande plus vraiment si le phénomène existe mais tout le monde trépigne de plus en plus pour comprendre de quoi il s'agit, y compris (apparemment) les autorités officielles.

Pourtant l'Humanité est entourée de mystères, en commençant par sa propre histoire et existence, jusqu'à la naissance même de la Vie, mais une grande majorité de gens ne comprennent pas qu'un phénomène apparemment pas si rare que ça (plusieurs observations chaque jour dans le monde), voir devenant banal historiquement (même les 4 à 7% de cas inexpliqués représentant maintenant sur la durée des milliers de cas), ne trouve pas assez rapidement d'explication rationnelle globale. Un autre aspect étant que cette rationalité est censée évoluer au même rythme que les nombreuses découvertes scientifiques actuelles. Qui accroissent (et oui) les possibilités effectives de l'existence du phénomène, même chez nous : les scientifiques argumentant que les distances de l'univers sont trop immenses pour envisager de tels voyages sont de moins en moins crédibles eux-mêmes. (Ils se dénigrent eux-mêmes en affichant un faux savoir sur le futur de l'humanité et ses futures possibilités qu'ils ne peuvent connaître).

La physique quantique, la probabilité forte d'un univers multi-dimensionnel (et électrique) (appelé multivers) et même apparemment les particules contredisent de plus en plus ces vieilles théories centrée sur l'Etre Humain et la croyance aveugle que des civilisations et planètes beaucoup plus anciennes que la Terre ne peuvent pas exister et avoir trouvé ces moyens... En fait, on entend de moins en moins les dinosaures scientifiques sceptiques assurer de cette impossibilité, mais plutôt de confus et embarrassés " Tout est possible au vu de la recherche actuelle...". Rappelons que des grands scientifiques, suivis et approuvés par la majorité et les médias, affirmaient encore, quelques semaines avant l'invention de la locomotive à vapeur, que l'homme ne pourrait jamais aller plus vite que la vitesse du cheval...

Sources : Dailymotion Publisher

Vous trouverez ici (en bas) des commentaires (mitigés) d'internautes lors de la diffusion du reportage :

area51blog.wordpress.com/2010/12/22/

Yves Herbo, S,F,H, 02-2012 - Up 05-2015