Ecritures énigmatiques 2 : Le Disque de Vladikavkaz
Un habitant de la ville de Vladikavkaz fait une surprenante découverte en 1992, alors qu'il nettoyait sa cave. Au milieu des nombreux décombres qui sont au fond de sa cave se trouve un morceau d'argile marron. Cassé et incomplet, il faisait probablement partie d'un plus gros ensemble en forme de disque. Entier, il aurait mesuré un peu plus de dix centimètres et son épaisseur au centre était d'environ un centimètre pour diminuer et atteindre cinq millimètres au bord.
L'apparence et la patine en font un objet à priori ancien. Fait d'argile pure, de couleur marron claire, la marque d'une planche était encore visible au revers. La forme discoïdale est attestée par la courbe du bord du fragment, ce qui permet de restituer un diamètre de 10cm. L'épaisseur de l'objet est de 1.1cm en son centre, mais se réduit à l'approche du bord où il ne mesure plus que 0.5cm. Le fragment subsistant mesure 5 cm du bord au centre1. Sur une des faces se trouve une série de dessins, formes de hiéroglyphes gravés sur ce qui devait être des cercles concentriques. Sur l'endroit du disque ont été tracés trois cercles concentriques qui divisent la surface du disque en quatre champs. les champs sont recoupés par des lignes verticales et ainsi divisés en secteurs dans lesquels ont été tracés trois à cinq signes. On suppose qu'il s'agit d'une écriture hiéroglyphique et que les secteurs correspondent à des mots.
Après avoir raconté son histoire, la personne qui l'a découverte a préféré rester anonyme et l'a laissé au musée de la ville. Plusieurs personnes se sont assez rapidement intéressées à l'objet pour tenter de comprendre l'origine de l'objet. Tout d'abord, le fait étrange est que l'écriture semble inconnue. Mais certains chercheurs y voient des similitudes avec le célèbre disque de Phaistos (dont je parle ici), découvert en Grèce.
L'apparence et la patine en font un objet à priori ancien. Fait d'argile pure, de couleur marron claire, la marque d'une planche était encore visible au revers. La forme discoïdale est attestée par la courbe du bord du fragment, ce qui permet de restituer un diamètre de 10cm. L'épaisseur de l'objet est de 1.1cm en son centre, mais se réduit à l'approche du bord où il ne mesure plus que 0.5cm. Le fragment subsistant mesure 5 cm du bord au centre1. Sur une des faces se trouve une série de dessins, formes de hiéroglyphes gravés sur ce qui devait être des cercles concentriques. Sur l'endroit du disque ont été tracés trois cercles concentriques qui divisent la surface du disque en quatre champs. les champs sont recoupés par des lignes verticales et ainsi divisés en secteurs dans lesquels ont été tracés trois à cinq signes. On suppose qu'il s'agit d'une écriture hiéroglyphique et que les secteurs correspondent à des mots.
Après avoir raconté son histoire, la personne qui l'a découverte a préféré rester anonyme et l'a laissé au musée de la ville. Plusieurs personnes se sont assez rapidement intéressées à l'objet pour tenter de comprendre l'origine de l'objet. Tout d'abord, le fait étrange est que l'écriture semble inconnue. Mais certains chercheurs y voient des similitudes avec le célèbre disque de Phaistos (dont je parle ici), découvert en Grèce.
Contrairement au disque de Phaistos qui fut gravé sur les deux faces et à l'aide de poinçon, le disque de Vladikavkaz a été gravé à la main et sur une seule face. Mais pour la chercheuse Efi Polighianaki il ne fait aucun doute qu'un même système graphique a été utilisé pour les deux disques1.
On sait que la maison où à été trouvé ce fragment de disque est assez ancienne, du 19ème siècle, et qu'il n'est pas impossible qu'un collectionneur d'antiquités y ait habité. Les similitudes évidentes entre les caractères gravés dessus et ceux du disque "grec" confirmaient que cet objet était authentique, mais sa disparition et le manque de progrès en ce qui concerne cette langue ancienne ont pour l'instant bloqué les pistes possibles...
Notez au passage que, contrairement à ce qu'affirment certains "détenteurs" de la vérité officielle, il existe bel et bien de part le monde des traces physiques d'une et même de plusieurs civilisations très anciennes, totalement inconnues de nous. Et que, tant que la lumière n'aura pas été faite sur ces artéfacts et objets n'appartenant à aucune culture connue, les théories concernant (peu importe leurs noms en fait) une hypothétique Atlantide, Ile Mu ou autre Hyperborée restent valables : ces artefacts ou écritures inconnues peuvent leur appartenir...
Notez au passage que, contrairement à ce qu'affirment certains "détenteurs" de la vérité officielle, il existe bel et bien de part le monde des traces physiques d'une et même de plusieurs civilisations très anciennes, totalement inconnues de nous. Et que, tant que la lumière n'aura pas été faite sur ces artéfacts et objets n'appartenant à aucune culture connue, les théories concernant (peu importe leurs noms en fait) une hypothétique Atlantide, Ile Mu ou autre Hyperborée restent valables : ces artefacts ou écritures inconnues peuvent leur appartenir...
1 :
V.A. Kouznetsov, Une énigme archéologique du Caucase septentrionnale, in L'Archéologue n°52, p.26.
Yves Herbo 04-2012
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