OVNIs et parlement français : archives
Achives CNROVNIS : « Note à l’attention de messieurs les parlementaires »
PARLEMENT : UNE NOTE D’INFORMATION SUR LES OVNIS (dépêche Agence Transcontinentale de Presse du 12/12/1980)
(ATP) A la demande d’un certain nombre de parlementaires s’intéressant au problème, la « Commission nationale de recherches sur les objets volants non-identifiés », a rédigé une brève note d’information résumant à l’intention de nos députés et sénateurs, l’essentiel des données de ce mystérieux et pourtant célèbre dossier.
Selon ce document, M. Raymond Barre (1er Ministre) aurait reçu dès 1978 un volumineux rapport de près de 1000 pages du Centre National d’Etudes Spatiales, lequel serait réputé n’être accessible ni aux journalistes, ni mêmes aux chercheurs. Cette note rappelle aussi la création du GEPAN en 1977, ainsi que la décision prise par M. Galley, alors Ministre des Armées, d’étendre les compétences dévolues à la Gendarmerie à des enquêtes spécialisées sur le terrain, chaque fois qu’un ou plusieurs témoins révèlent avoir rencontre un objet spatial insolite. Précisons qu’aux dires de la Direction de la Gendarmerie nationale, les-dits rapports d’enquête sont, eux aussi réputés incommunicables…avant 60 ans !
L’une des conclusions rédigée par la CNROVNI(S) est qu’il existe bien en France, en effet, tout comme d’ailleurs aux Etats-Unis, un véritable « Black-out », qui gêne le travail des chercheurs et enquêteurs privés, et ne peut qu’irriter un public de plus en plus concerné, et surtout, très désireux d’en savoir plus. Ses rédacteurs suggèrent enfin la création en France d’une commission parlementaire d’enquête permanente, à l’instar de ce qui existe déjà au Parlement britannique. »
COMMISSION NATIONALE DE RECHERCHES Sur les objets volants non identifiés JORF du 29/08/1975
Paris, le 18 juin 1980
NOTE A MESSIEURS LES PARLEMENTAIRES
« LE DOSSIER OVNI(S), PROBLEME POLITIQUE AUTANT QUE SCIENTIFIQUE »Messieurs les Parlementaires,
Depuis qu’à la date du 7 octobre 1954, deux députés français, MM. De Léotard et Nocher posèrent leur question écrite à Monsieur le Secrétaire d’Etat à l’Air, aucun parlementaire, à notre connaissance, n’aura pris l’initiative d’interpeller notre Gouvernement au sujet du dossier des « objets volants non identifiés », en abrégé « OVNI(S) », terminologie adoptée et reconnue par les milieux scientifiques pour désigner les fameuses « soucoupes volantes » encore appelés « M.O.C » (mystérieux objets célestes) ou « OVNI ».
C’est d’autant plus regrettable que le dossier « OVNI(S) » (en anglais « UFO » ou « unknown flight object », s’est révélé, depuis la date du 24 juin 1947, comme étant une affaire non seulement du plus haut intérêt pour les sciences, mais aussi et encore, pour ne pas dire surtout, comme une question aux implications multiples, notamment dans les domaines de la sociologie, des « médias », de la défense et de la politique.
Il n’est pas question dans le cadre de la présente note, essentiellement rédigée à l’adresse des parlementaires, de retracer un historique complet des « OVNI(S) ». Nous rappellerons simplement et pour mémoire, que des objets spatiaux étranges et ressemblant à des machines ont de tout temps été observés, y compris à l’époque de l’Empire Romain, à proximité plus ou moins immédiate de notre planète et, dans notre paysage social, à une époque remontant à la fin de la deuxième guerre mondiale puisque c’est à la fin de celle-ci qu’ont vit apparaître pour la première fois la notion de « foo-fighter » ou « fantôme volant » et que c’est seulement en 1947, avec la fameuse observation de l’américain Kenneth Arnold au Mont Rainier (Etat de Washington) que naquit la très populaire appellation de « soucoupe volante »
De 1940 à 1980, le phénomène « OVNI(S) », dont certains esprits sceptiques avaient imprudemment prophétisés la disparition, a au contraire affirmé son caractère à la fois permanent et planétaire. Si l’on estime généralement que le nombre total des observations d’ « UFO » effectuées sur une période de quarante années, avoisine le chiffre de 90 millions, le nombre proprement dit de cas effectivement observés et scientifiquement répertoriés sur ordinateur ou autrement, se chiffre par dizaines de milliers.
A cet égard, l’un des fichiers les plus élaborés, selon la méthode informatique, est celui du Dr Saunders, qui comporte entre 60000 et 80000 cas environ.
Mais revenons au présent : en cette année 1980, il est important de souligner qu’il ne s’écoule pas de semaines, sans qu’au moins une ou plusieurs observations, rapprochées ou éloignées, à haut coefficient d’étrangeté et de crédibilité (pilotes, militaires, ingénieurs, scientifiques, policiers, ruraux, etc…) soient rapportées, le plus généralement, par le truchement des grandes agences de presse, ou de la radio et de la télévision, en provenance du monde entier.
Aussi bien, le portrait-robot de l’OVNI est il aujourd’hui assez bien connu : « l’OVNI – quelques soient par ailleurs ses formes et ses dimensions – (ses formes sont infiniment nombreuses, et ses dimensions peuvent aller du ballon de rugby au vaisseau géant de plusieurs centaines de mètres et quelque fois plus ! ) – se caractérise par son absence de bruit (sauf exception), des manipulations de lumières très étranges et très variées (dont les fameux faisceaux dits « tronqués »), des apparitions et disparitions très souvent quasi-instantanées, mais presque toujours rapides, voire brutales, ses facultés de virage à angle droit, d’accélération ou de décélération ou de statisme à volonté, toutes performances réputées, aujourd’hui encore, impossibles pour nos engins conventionnels, même les plus sophistiqués. La même observation vaut pour ses effets sur notre environnement, en cas de survols à haute ou basse altitude et surtout, d’atterrissages virtuels ou effectifs : effets électromagnétiques puissants, pouvant provoquer des pannes de courant à haute tension, ou des arrêts de moteurs de voitures ; traces au sol, indélébiles, en ce sens que des effets de calcination au sol ou sur la végétation peuvent subsister très longtemps après leur passage ou leur présence.
Peu de savants à « label » officiel ont consenti jusqu’à présent à se pencher sérieusement sur un phénomène qui les déconcertaient, en dérangeant maintes conceptions bien établies, pour ne pas dire érigées en dogmes, eux-mêmes réputés immuables ; en revanche, de nombreux chercheurs privés ont entrepris à partir de données restreintes dont ils disposaient, un véritable travail de déchiffrage, dans des conditions rendues fort ingrates, par suite d’un manque de moyen d’une part et de l’existence, il faut bien le dire, de tabous intellectuels, culturels ou religieux, principalement imputable à notre attitude anthropocentriste et rationaliste.
Toujours est-il que cet immense travail, malgré beaucoup de déchets rendus inévitables, par le caractère insolite et mystérieux de cette recherche, a commencer à porter ses fruits puisqu’en cette année 1980, on ne dénombre pas moins de plusieurs centaines d’associations ou de groupes de recherches ufologiques, disséminées à travers près de 50 pays, et dont quelques unes d’envergures, tels que le MUFON et le NICAP, le « Ground Saucer Watch », l’APRO, et le CUFOS, pour les seuls Etats-Unis ou le BUFORA pour la Grande-Bretagne.
Ces efforts se sont traduits par la publication de nombreux rapports, d’articles, d’études et aussi d’ouvrages, dont quelques uns, du plus haut intérêt et d’un haut niveau. Parmi les auteurs les plus sérieux et les mieux documentés, citions AIME MICHEL, JACQUES VALLEE, J. HYNEK, RENE FOUERE, PIERRE GUERIN, RICHARD HALL, LEONARD STRINGFIELD, FRANCK EDWARDS, BERTRAND MEHEUST, YOURKO BONDARCHUK, ION HOBANA, JULIEN WEVEBERG, LE DR A. JACOBS, LE DR RICHARD F. HAINES (Nasa research scientist), pour ne citer que ceux là.
Très tôt créées, les commissions officielles d’enquêtes américaines, placées d’abord sous la responsabilité du Pentagone (USAF) ou de l’Université du Colorado (Rapport Condon), ne débouchèrent sur aucun résultat pratique, en ce sens que certains de leurs rapports (ou certaines de leurs conclusions) furent très vite étouffés (Blue Book, Projet SIGN, Projet Grudge, etc….) et ce, en dépit des protestations de certains parlementaires (notamment le sénateur Barry Morris Goldwater) voire d’ufologues chevronnés, comme le Major Donald E. Keyohe, retraité de la marine américaine. Il en fut de même au Canada où le gouvernement devait être amené lui aussi, à censurer de nombreuses informations sur des survols concernant des installations relevant du système de défense canadien, et donc du Commonwealth.
Mieux, on a aujourd’hui la preuve virtuelle que la CIA fut associée à l’instauration et au respect du secret qui, aujourd’hui encore, constitue une source de conflit entre les associations ufologiques et les chercheurs d’une part, et les autorités tant civiles que militaires d’autre part.
On notera au passage l’existence de procès d’un type nouveau,, entre la CIA et les « GSW » déjà cité plus haut et portant sur la non-communication d’informations qui devaient être théoriquement déclassifiées par les autorités politiques et militaires après une période de trente années.
Devant le congrès de 1978 organisé par le MUFON, à Dayton (USA), l’ufologue américain, Léonard Stringfield – qui fut autrefois lui-même membres des services secrets américains – a affirmé qu’il y avait à son avis, de très fortes chances – elles-mêmes fondées sur de très nombreuses présomptions – pour que l’US AIR FORCE détienne, effectivement, depuis déjà un certain nombre d’années, dans certaines de ses bases, et ce, dans le plus grand secret, des carcasses de vaisseaux spatiaux d’origine non humaine, capturés à la suite d’impacts survenus sur le territoire américain, notamment en Arizona et au Nouveau Mexique, ainsi que des cadavres d’humanoïdes, conservés dans de hautes conditions cryptogènes, et dont certains auraient même fait l’objet d’examens médicaux approfondis.
Par ailleurs, à la fin de l’année 1979, est paru en première page du « National Enquireer », – le plus fort tirage de la presse américaine -, un article de M. Maurice CHATELAIN, citoyen américain d’origine française, ex-membre de la NASA où il fut notamment l’un des responsables des programmes de télécommunication de la mission « APOLLO », révélant que plusieurs vaisseaux spatiaux inconnus attendaient les astronautes américains ALDRIN et ARMSTRONG au moment historique où ils débarquèrent en juillet 1969 sur le sol lunaire, rejoignant en cela les supputations d’auteurs tels que LEONARD, DON WILSON et Alfred NAHON, selon lesquelles, notre satellite naturel serait depuis fort longtemps visité voire occupé par une ou des civilisations en provenance de l’espace. A quoi, il convient de faire observer que l’opération APOLLO qui devait se poursuivre encore plusieurs années, fut interrompue brutalement pour des raisons qualifiées par ses responsables de « budgétaires ».
En France, un premier fait nouveau se produisit en 1974, lorsque fut décidé par le Ministre des Armées, Monsieur Robert GALLEY, que la Gendarmerie Nationale serait habilitée à l’avenir, à enquêter sur les cas d’observations ou d’atterrissages d’OVNI(S), survenant sur le territoire de la France métropolitaine ou d’Outre-mer.
Le deuxième fait nouveau intervint fin 1977, avec la création au sein du Centre National d’Etudes Spatiales (CNES) d’une petite cellule d’études appelée « GEPAN » (ou Groupe d’Etudes des Phénomènes Aériens Non-identifiés) ayant pour mission l’examen de tout ce qui pouvait concerner le phénomène OVNI(S).
Aux activités de ce nouvel organisme devaient être en principe associés, savants à label et chercheurs privés. Fort malheureusement, au bout de plus de deux ans de travaux, une ambiguité subsiste à propos du rôle imparti au nouveau GEPAN. En effet, cet organisme participe t-il au camouflage général et au discrédit qui entoure l’étude du phénomène « OVNI(S) » ou bien échappe-t’il au contraire, en fonctionnant comme se devrait de le faire un organisme non seulement scientifique, mais à vocation strictement scientifique ?
La question est posée car si certains rapports ont bien été établis après l’étude de nombreux cas, anciens ou nouveaux, et cela nous le savons de bonne source, par contre, aucun chercheur privé n’a pu encore à notre connaissance, y avoir accès. Pas plus d’ailleurs, qu’aux rapports de Gendarmerie, effectués depuis 1974, ceux-ci étant encore réputés secrets, non accessibles pour une durée de 60 ans !
L’un des inconvénients majeurs du système de collecte actuelle de l’information ufologique en France est le suivant :
- alors que les informations concernant le phénomène OVNI(S) et ses manifestations – peuvent circuler librement entre associations de recherches privées (il y en a près d’une quarantaine de reconnues officiellement mais seulement quatre ou cinq d’envergure, ou possédant une certaine notoriété) – et le GEPAN, il en va tout autrement avec les deux autres canaux d’information que représentent pour le GEPAN, l’Armée et la Gendarmerie. En effet, alors que le grand public ignore tout de l’affaire, la plupart des informations émanant à la fois de la Direction de la Gendarmerie d’une part, et de l’Armée de l’Air d’autre part (centres de détection radar par exemple), sont filtrées avant leur arrivée au « GEPAN » précisément , ce qui est à proprement parler aberrant, puisque le GEPAN fait lui-même partie intégrante du CNES et que le CNES est tenu, ne serait-ce que pour la construction de ses prototypes de fusées, au plus haut niveau du secret, y compris du secret militaire…..
La conséquence qui en découle est que les experts du GEPAN ou du CNES et ce, à la différence de certains chercheurs privés, travaillent sur des informations édulcorées voire tronquées, ce qui ne peut manquer bien évidemment de peser sur la qualité des travaux entrepris. Cet état de fait présente de graves inconvénients pour une recherche qui se voudrait à la fois sérieuse et à part entière. Il suggère en outre, que certaines des informations relatives aux OVNI(S), sont bel et bien de nature, à ne pas être divulguées non seulement au public, mais encore aux experts eux-mêmes et que le Haut Commandement qui en a décidé ainsi, a de puissantes raisons pour agir de cette façon (?)….
Cette situation paradoxale et curieuse, Messieurs les parlementaires, ne saurait bien évidemment manquer d’attirer votre attention….
Le problème OVNI(S) n’est pas seulement selon toute vraisemblance, le plus grand problème scientifique de notre temps, (Aimé MICHEL n’a t-il point dit quelque part qu’il est probablement plus important encore pour l’humanité que la découverte du feu ?), ainsi que n’hésitait pas à l’affirmer le professeur James Mc Donald, Doyen de l’Institut d’études atmosphériques de l’Université de l’Arizona, dès les années soixante, lorsqu’il déclarait devant la Commission des affaires spatiales des Nations Unies, que l’hypothèse de « sondes spatiales extraterrestres » était la plus crédible et la plus vraisemblable parmi toutes les hypothèses alors alignées, afin de tenter d’élucider le phénomène ?
Mais le problème OVNI(S) est un problème militaire et un problème politique :
Lorsqu’un individu circulant dans sa voiture, le soir sur une route déserte, en un endroit isolé, voit son véhicule stoppé par suite du survol ou de la présence, à sa proximité, d’un engin spatial de nature inconnue (de nombreux rapports de presse font état de telles situations chaque année), l’affaire ne concerne pas seulement Monsieur Esterle, chef du GEPAN, ni même Monsieur Curien, Président du CNES, ou tout bonnement le chef de la brigade de Gendarmerie la plus proche !
La meilleure preuve en est que les rapports d’enquêtes qui sont effectués, tant par la gendarmerie que par la Police vont jusque sur la table des Préfets, voire du Ministre de l’Intérieur.
D’où la question suivante, qui est une suggestion de la part des auteurs de ces lignes, adonnés à méditer sur ce type de problèmes depuis déjà un certain nombre d’années :
Pourquoi n’existe t-il point en France au sein de notre Parlement une commission permanente d’enquête, comme celle qui fonctionne déjà en Grande-Bretagne au sein de la chambre des Lords ?
Le Public a droit à la VERITE, et ses élus le DEVOIR de suivre cette question pour et à travers lui car, qu’on y réfléchisse en effet, les témoins de manifestations OVNI(S) ne relèvent-ils pas du « public » précisément ?
D’autant que les travaux inspirés par ceux d’Aimé MICHEL à l’origine sont à la veille de déboucher sur des conclusions que nous soupçonnions depuis longtemps, sans démonstration scientifique valable, à savoir que les vols d’OVNI(S) en France comme dans d’autres pays obéissent bien à une stratégie globale faisant intervenir une intelligence supérieure, ne pouvant provenir que de l’Espace et probablement très en avance, au moins technologiquement sur notre propre civilisation.
Par conséquent, si un contact ou des contacts officiels doivent venir sanctionner un jour, vraisemblablement proche, les multiples contacts officieux qui sont rapportés un peu partout à travers la planète depuis 1947 principalement, il ne pourrait qu’en résulter un choc énorme, aux conséquences aussi incalculables qu’imprévisibles pour nos sociétés. Or, ne vaut-il pas mieux y préparer le public ? N’est-il pas de l’intérêt de l’Humanité que ce contact – s’il doit vraiment avoir lieu – se fasse à nos conditions plutôt qu’à celles de « ceux » que le Major KEYHOE nomme « les étrangers de l’espace » ?
Le terme familier « DEBUNK » signifie en langue anglaise « déboulonner » ou encore « démystifier ». Le « debunking » serait-il aussi applicable chez nous aux plus hautes instances, au CNES, au Haut-Commandement, au Gouvernement, voire à la Présidence de la République ? Cette question mérite d’être posée….
ANNEXES :- Bibliographie- Pièces à conviction destinées à l’information des Parlementaires »Cette note reproduite ci-dessus, rédigée à l’attention des parlementaires quoique imparfaite a eu le mérite d’exister. Il s’agit d’une initiative sans précédent dans l’histoire de l’ufologie française et particulièrement osée si on la resitue dans le contexte de l’époque.Elle reçut en secret le soutien de certains membres de la Commission de Défense de l’Assemblée et de membres du réseau d’amitiés liant les anciens de l’Indochine française.Elle put ainsi discrètement être diffusée directement dans l’hémicycle à des parlementaires, certains déjà avisés, à charge pour eux de la faire circuler afin qu’ils se saisissent des questions soulevées.
Elle n’eut malheureusement pas le retentissement espéré et certains parlementaires complètement ignorants s’en amusèrent. Aucun d’entre eux n’osa interpeler le gouvernement de l’époque sur cette question.
Elle était accompagnée d’annexes, comportant une bibliographie sommaire, le texte de la lettre du Professeur James Mc Donald à U Thant (USA), la copie d’échange de courriers avec la Direction de la Gendarmerie Nationale, ainsi que des reproductions de clichés argentiques exempts d’artefact chimique ou photographique, expertisés par l’Institut d’Astrophysique (au passage un grand merci à Pierre Guérin !) . Certains sont bien connus comme celui de Rouen (1954) et celui des pyrénées-orientales (1978) reproduit sur la couverture de l’ouvrage collectif de Philippe Schneyder « Ovni, premier bilan »
Puisse ce document inspirer certains acteurs de l’ufologie et de la recherche pour mener une nouvelle initiative de sensibilisation à l’attention des parlementaires et du monde politique en général (Ecrire à l’Elysée ne sert pas à grand chose, ni publier une lettre ouverte dans un grand quotidien, les faits l’ont démontré à plusieurs reprises..). C’est une des voies à privilégier pour faire bouger les lignes de résistance de nos élites et « sortir l’ufologie de son ghetto ».
Le lecteur avisé ne manquera pas de constater que tout un pan de l’histoire de l’ufologie française est non seulement méconnu du public mais aussi des meilleurs spécialistes de l’ufologie !
Qu’on se le dise, la France n’est pas un exemple en matière d’Ovni loin de là, contrairement à ce qu’écrivent les uns et les autres ici ou là. Elle cache ses rapports de gendarmerie sur les Ovnis pendant que les dossiers du nouveau Geipan ouverts au public demeurent désespérément vides !Phil NOYANT
Archives CNROVNI – lettre du futur Ministre de la Défense
OVNI photographié au décollage depuis une automobile dans les pyrénées orientales, France. Cliché authentifié et sans artefact chimique ou photographique, expertisé par l’Institut d’Astrophysique – 1978 – L’original est en couleur :
Source : http://skystars.unblog.fr/
SFH 04-2012
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