Terres et datations, créations évolutives
Pour compléter cet article et voir ce qui pourrait éventuellement rapprocher toutes les théories sur la genèse de notre Terre (après sa création à partir d'une nébuleuse de gaz planétaire - théorie incomplète déjà, on l'a vu récemment par la découverte d'objets astronomiques planétaires ne pouvant provenir de telles nébuleuses)
Tout d'abord, voyons ce que dit la science sur l'évolution de la Terre après un refroidissement suffisant pour que de la matière solide se forme. Les découvertes semblent nous révéler une véritable succession de Terres différentes et ces successions et renouvellements du sols terrestres sont autant d'occasions (loupées précédemment à cause du climat ?) de déclencher la diversification de la vie telle qu'elle est apparue (à priori) vers 555 millions d'années avant maintenant. Histoire très complexe est très imparfaitement comprise encore de nos jours, et pour cause :
• La "vie" apparaît vers - 3,8 milliards d'années : de simples cellules d'organismes procaryotiques, les bactéries. Leurs descendantes sont toujours parmis nous... et on peut dire qu'elles sont vraiment les plus vieilles habitantes de notre planète ! De cette époque jusqu'à - 2 milliards d'années... il n'y a pas de trace d'évolution. Puis apparaît la cellule eucaryote avec un noyau.
- Le Vaalbara était un supercontinent qui a commencé à se former il y a 3,6 Ga et a existé de 3,1 Ga à 2,5 Ga, précédant le continent Ur, duquel par la suite s'est formé le supercontinent Rodinia, puis les continents Laurasia et Gondwana.
Vaalbara est la contraction de Kaapvaal et de Pilbara, deux cratons identifiés comme ayant appartenu à ce continent. Leur appartenance à une même structure géologique a pu être établie grâce aux quatre impacts météoritiques qu'ils ont subis entre 3,2 et 3,5 Ga.
- La Laurentia ou Laurentie est un paléocontinent, formant la base de l'Amérique du Nord et du Groenland, aussi connu sous le nom de craton nord-américain. Le bouclier Canadien en est la partie la plus ancienne (datant de la période archéene, entre - 4 milliards et - 2.500 millions d'années). Son nom provient du fleuve Saint-Laurent.
- Ur est le nom d'un ancien continent supposé s'être formé, il y a environ trois milliards d'années pendant l'Archéen, succédant à un autre supercontinent, le Vaalbara.
Ur englobait ce qui est devenu actuellement une partie de l'Afrique australe, de Madagascar, de l'est de l'Inde et de l'extrême ouest de l'Australie, Ur aurait survécu quasi-intact pendant près de 2 milliards 800 millions d'années, avant d'être déchiré par le morcellement du Gondwana au Jurassique.
Il aurait été associé à d'autres supercontinents qui se seraient succédés jusqu'au dernier, la Pangée.
Il aurait été associé à d'autres supercontinents qui se seraient succédés jusqu'au dernier, la Pangée.
On pense qu'Ur était à sa formation l'unique continent de son époque, bien que plus petit que l'Australie. Il a probablement été formé à la suite de la collision successive de plusieurs arcs insulaires d'origine volcanique.
• Il y a 2,1 milliard d'années des premières formes de vie complexes (multicellulaires) semblent s'être développées : ce sont les résultats d'une découverte réalisée au Gabon, à Franceville, publiée en juillet 2010. Ci-contre les formes de vie fossilisées dans les argiles Gabonais.
- La Rodinia (littéralement « terre mère ») est le nom d'un supercontinent qui a fini de se former puis s'est fragmenté durant le Néoprotérozoïque.
Ce supercontinent, qui contient la plupart ou toutes les masses continentales de cette époque, s'est formé il y a environ 1 milliard 100 millions d'années à partir d'Ur et était entouré d'un océan appelé Mirovia. Les mouvements continentaux avant sa formation sont mal connus. Il y a 750 millions d'années, il se scinde en huit continents et leur dérive provoquera sa dislocation puis un ré-assemblage en un nouveau super-continent : la Pangée, en passant éventuellement par une autre brève phase de super-continent (Pannotia).
La rupture de ce continent serait à l'origine de la période glaciaire du Cryogénien et de la rapide évolution de la vie à l'Édiacarien et au Cambrien.
- La Pannotia ou Pannotie est un ancien supercontinent qui aurait existé à la fin du précambrien, de -600 à -540 millions d'années (Ma) environ et au début du Cambrien. Les terres émergées de Laurentia, Baltica, Sibéria et la grosse masse de Gondwana en seraient les fragments.
• La faune marine de l'Édiacarien, vieille de 600 Ma, serait une preuve de l'existence de ce supercontinent. On a retrouvé des fossiles de cette faune dans des régions actuellement très éloignées les unes des autres (Australie, Namibie, etc). Ces animaux ne pouvaient pas parcourir de grandes distances, ils devaient vivre sur les marges continentales d'un seul continent. Les fragments issus de Pannotia formèrent plus tard la Pangée.
- Le Gondwana est un supercontinent formé à la toute fin du Néoprotérozoïque (– 600 millions d'années) et qui a commencé à se fracturer au Jurassique (– 160 millions d'années). On distingue le Gondwana du Paléozoïque (appelé aussi Protogondwana) et celui du Mésozoïque. Entre les deux, le Gondwana a fait partie du supercontinent Pangée.
• Les premiers restes de plantes et d'animaux terrestres remontent à environ - 410 millions d'années. Pour les plantes on fait dans la simplicité (pas de racine) et on reste proche de l'eau. Pour les animaux... acariens, insectes et ancêtres des scorpions sont les maîtres sur terre...
Vers - 250 millions d'années, une baisse du niveau des eaux et une énorme explosion volcanique vont provoquer une extinction en masse de nombreuses espèces. Les océans se vident, et seuls quelques reptiles mammaliens survivent...
C'est à partir des reptiles qu'émerge la branche des mammifères, vers - 200 millions d'années. Les caractéristiques principales sont le sang chaud et les poils... Voilà enfin le temps des dinosaures... qui vont dominer la Terre jusqu'à - 65 millions d'années... Ils occupent le terrain avec les crocodiles, les serpents et les lézards... Mais une intense activité volcanique et une météorite qui heurte la Terre vont avoir raison des dinosaures géants et d'un grand nombres d'espèces...
Profitant de ce vide écologique, les mammifères vont prendre possession du terrain en 10 millions d'années... C'est vers - 55 millions d'années que nous allons retrouver les premières traces de primates... et les premiers hominidés ne datent que de - 6 millions d'années...A noter, la récente découverte de Toumaï repousse les premiers hominidés à - 7 millions d'années !
- Sibéria est un craton qui se situe au cœur de l'actuelle Sibérie. Il s'agit d'un craton très ancien, qui était indépendant au Cambrien avant d'entrer en collision avec le Kazakhstania durant le Carbonifère.
- Baltica est le nom d'un paléocontinent, ancien bouclier, aussi appelé Fenno-sarmatia. Il comprend l'actuelle Scandinavie, Pays baltes et côte méridionale de la Mer Baltique (nord-est de la Pologne...) , nord-ouest de la Russie (avec Moscou), la Biélorussie et le nord de l'Ukraine.
D'origine archéenne (notamment des roches trouvées en Finlande), Baltica est définie en tant que continent lorsqu'elle se sépare du supercontinent Pannotia à la fin du Protérozoïque. À la fin de l'Ordovicien, le terrane d'Avalonia entre en collision avec Baltica. Baltica et Avalonia entrent en collision avec Laurentia au Silurien pour former le continent Laurussia, lors de l'orogenèse calédonienne.
Ga = milliard d'année.
- La Laurussia, continent des vieux grès rouges ou Euramérique, était un supercontinent qui s'est formé au Silurien à la suite de la collision de Laurentia, de Baltica et d'Avalonia (orogenèse calédonienne). Il comprenait les actuelles Amérique du Nord et Europe du Nord et de l'Est.
Après sa formation, la poussée du Gondwana au sud qui élève les montagnes Hercyniennes à la fin du Dévonien fracture la Laurussia le long de la chaîne calédonienne, et la partie est du continent glisse vers le nord dans un processus de faille coulissante. Ces failles sont aujourd'hui visibles en Écosse (le Great Glen, dans lequel se trouve le Loch Ness), ou encore à Terre-Neuve. Ce phénomène de glissement s'arrête au Carbonifère. La collision avec la Sibérie-Kazakhstania à l'Est (au Permien) parachève la formation de la Pangée.
Au Crétacé, la Laurussia, alors partie intégrante de la Laurasia, se fracture lors de l'ouverture de l'Atlantique, suivant plus ou moins le système de faille qui l'avait affaiblie au Dévonien.
La Laurussia tire son nom de « continent des vieux grès rouges » des grès de couleur rouge, dus a la forte présence d'oxyde de fer, dans les strates du Dévonien en Amérique du Nord et dans le nord de l'Europe, ce qui indique qu'une grande partie du continent était émergée.
- La Pangée (« tout »)(« terre ») (littéralement : « toutes les terres ») est un supercontinent. Son nom lui a été donné par le météorologue et astronome allemand de l’université de Marburg, Alfred Wegener. Dans son ouvrage intitulé La Genèse des continents et des océans et publié en 1915, il décrit la Pangée comme rassemblant la quasi-totalité des terres émergées, qui a existé de la fin du Carbonifère au début du Jurassique.
Il aura fallu plus de 200 Ma pour rassembler tous les morceaux de la Pangée, soit de l'Ordovicien au Permien. Il en faudra 200 autres, soit de la fin du Trias à aujourd'hui, pour disperser les morceaux de la Pangée, une dispersion qui se poursuit toujours. Puisque ces évènements sont les plus près de nous, en temps, nous avons des détails plus précis, surtout qu'en plus, cette fois, nous connaissons les planchers océaniques. Au Trias et au début du Jurassique, les principaux mouvements se sont faits du côté de la Téthys, un océan à l'est de la Pangée.
Ici plein de cartes montrant l'évolution du globe de -750 millions d'années à aujourd'hui : http://www.uwgb.edu/dutchs/platetec/plhist94.htm
Bon, arrivé à ce point, nous constatons que la dérive des continents ne date pas d'hier, ni même d'avant-hier, et que des continents sont apparus, ont disparu, des continents enjambent ou contiennent d'anciens continents ou mers et que des croûtes océaniques font de même... un vrai mille feuilles par endroits donc ! On le constate d'ailleurs à plusieurs endroits de la planète: ce sont des endroits où la croûte terrestre est beaucoup plus épaisse qu'ailleurs. Pour en arriver à cette constatation, nous avons une théorie qui fonctionne bien à partir de 4 milliards d'années donc jusqu'à nos jours (les datations des périodes pouvant être "élastiques" et affinées dans le futur), mais qui ne fonctionne pas avant (pas de plaques avant mais probablement un océan de magma ?) : c'est la théorie des plaques tectoniques, qui peut être complétée ou pas par celle de la théorie des hydroplaques. Dans la mesure où je ne suis ni évolutionniste ni créationniste mais plutôt simple adaptationniste, je vais faire le point sur ce qui pourrait réunir ou éloigner, confirmer ou infirmer certains arguments, et uniquement à partir de faits constatés par diverses sources. J'ai compris assez rapidement que l'un des principaux problèmes rencontré par la science est la datation des choses par rapport à notre époque. Malgré tous les efforts encore produits à l'heure actuelle par les techniciens pour affiner ou trouver de bonnes méthodes de datations sûres, force est de constater que nos différenciations d'états de la matière, sur lesquelles s'appuient grand nombres d'entre elles, ne sont pas assez efficaces ou ne concerne qu'une petite partie de la matière en question. Or, on sait que chaque année, ce sont bien des tonnes de poussières cosmiques vieilles de milliards d'années qui tombent sur notre planète, venant polluer de ses isotopes très vieux même des surfaces jeunes... un premier calibrage pour éliminer cette première pollution venant de l'extérieur, mais qui est constante, et dure depuis toujours est donc à faire... à moins que cette certaine constante puisse servir bien sûr. Voyons donc comment se date la roche... : tout se trouve ici (pour le carbone 14, une nouvelle calibration existe depuis cet article) :
Voici des exercices réels de datations au carbone 14 pour ceux que cela intéressent d'approfondir (j'ai laissé les corrections !) : activites-datation-absolue.pdf
Depuis le XIXe siècle, la question de l'âge de la Terre est un sujet de controverse passionnée. En 1921, Henry N. Russell suppose qu'une large portion de la croûte terrestre peut être traitée comme un réservoir unique et datée grâce au rapport entre parents radioactifs (uranium et thorium) et descendants stables (plomb) en supposant que la roche ne contient pas de plomb lors de sa formation. Il calcule un âge de la Terre compris entre 1 et 8 milliards d'années. Un comité sur l'âge de la Terre formé en 1931 conclut à la supériorité de la nouvelle méthode de datation de la Terre sur les anciennes. Suite à l’étude par Alfred O. Nier des isotopes du plomb (1938) puis au modèle proposé par Arthur Holmes et Friedrich Houtermans (1946), les travaux sur l'âge de la Terre aboutissent dans les années 1950 lorsque les chercheurs disposent de tous les outils nécessaires : la connaissance de la chaîne de désintégration des isotopes naturels de longue demi-vie (de l'ordre du milliard d'années) ainsi que les bons instruments de mesure. Comme la roche primordiale a été entièrement détruite par les mouvements de l'écorce terrestre et les processus sédimentaires, les tentatives de mesure directe de l'âge de la Terre sont vouées à l'échec. En 1956, Clair Patterson utilise la méthode uranium/plomb pour dater une météorite en supposant qu'elle vient d'une planète formée à peu près en même temps que la Terre et estime l'âge de la Terre à 4,55 milliards d'années à 70 millions d'années près.
Actuellement, l'âge de la Terre est estimé à 4 milliards 550 millions d'années, soit début de l'Hadéen. Les roches les plus anciennes connues ont un âge d'environ 4 milliards années ; rares sont celles dont l'âge dépasse 3 milliards années. Les plus anciens fossiles témoignent de l'existence d'organismes il y a 3,9 milliards d'années.
Actuellement, l'âge de la Terre est estimé à 4 milliards 550 millions d'années, soit début de l'Hadéen. Les roches les plus anciennes connues ont un âge d'environ 4 milliards années ; rares sont celles dont l'âge dépasse 3 milliards années. Les plus anciens fossiles témoignent de l'existence d'organismes il y a 3,9 milliards d'années.
Nous allons voir que certains faits contredisent plusieurs assertions admises par la science, à commencer par les contradictions relevées par les géologues eux-mêmes sur des datations effectuées aux mêmes endroits avec des procédés identiques, mais à des périodes différentes. Autre exemple flagrant : la datation des terres émergeant de l'eau comme les nouvelles îles volcaniques. On nous explique entre autres que tout ce temps passé explique tout un processus : l’érosion des nouvelles roches forme du sable et de la terre, et que la formation de plages par la mer prend des centaines de milliers d’années par exemple. C’est pourquoi, on ne s’attend pas à voir des plages ou des sols apparaître sur une Terre qui n’est âgée que de cinq ans... en principe...
Cette île de Surtsey a 50 ans d'existence tout juste en 2013
En 1963, au large de la côte islandaise, à plus de 130 mètres au-dessous de la surface de l’océan, une roche volcanique en ébullition commença à s’infiltrer dans l’eau froide de l’océan. En 1967, environ 800 m² de nouvelle roche brûlante avait formé une île toute neuve, là où il n’y avait autrefois que l’océan. Cette nouvelle île fut appelée Surtsey. L’été suivant, des scientifiques sont arrivés sur l’île pour l’étudier de plus près. Ils découvrirent que la mer avait provoqué l’érosion d’une falaise basaltique sur la plage, sur plus de 100 m vers l’intérieur de l’île en moins de cinq ans. Plusieurs parties de l’île avaient déjà des plages en terrasses de près de 100 m de large. Sur la côte nord de l’île, du sable nouvellement formé avait érigé une dune de sable, qui s’étendait à presque 330 m au-delà de l’île d’origine. Que ce serait-il passé si les géologues n’avaient pas connu l’histoire de Surtsey ? Ils auraient supposé que l’île était âgée de milliers, sinon de centaines de milliers d’années.
La théorie des plaques tectoniques :
Modèles simples avec schémas et explications : http://www2.ggl.ulaval.ca/personnel/bourque/s1/tectonique.pl.html
Théorie plaques tectoniques : cette carte ne montre pas les problèmes de convergeances avec la théorie dans plusieurs endroits du monde, mais indique la "frontière arbitraire" qui est celle de l'incertitude aussi...
Ar - - Arabia Au - - Australia Bk - - Baikal Block Br - - Brooks Range Co - - Cordilleran Accreted Terranes Ea - - East Antarctica Eg - - East Gondwanaland Fl - - Florida and SE USA Gon - - Gondwanaland Gr - - Greenland In - - India Ir - - Iran It - - Italy, including numerous small plates that now make up the Balkans. Ko - - Kolyma Block, present northeastern Siberia La - - Laurentia Mz - - Mozambique Belt: eastern and southern Africa |
Nc - - North China Ni - - Niger Block: eastern Brazil plus north-central Africa. Rp - - Rio De La Plata Craton: northern Argentina. Sa - - South America: Guyana Craton, consisting of northern and western Brazil and adjacent areas. Sb - - Siberian Craton Sb - - Spitzbergen. Part of Laurentia Sc - - Scotland. Part of Laurentia Sc - - South China Se - - Southeast Asia Sp - - Spain Tu - - Turkey Wa - - Western Arabia: Egypt and Arabia adjacent to the Red Sea. Waf - - West African Craton Wg - - West Gondwanaland |
- 750 millions d'années
La théorie des plaques hydroliques : Cette théorie a été émise par un créationniste réputé, diplômé du MIT, le Dr. Walter Brown, mais il est admis par des scientifiques sans "tendances" appuyés qu'elle a l'avantage d'expliquer certaines choses que la théorie classique ne démontre pas tout en ne la "détruisant" pas du tout, puisque la principale divergeance est surtout une question de datations et de rapidité ou non des évènements. Autrement dit, les deux théories sont d'accord sur le résultat que nous voyons de nos jours, y compris sur l'existence de ces plaques, ce sont surtout les dates d'évènements et les énergies en jeu qui diffèrent. Tout ce que nous avons vu au-dessus est donc bien applicable à la théorie des plaques tectoniques et aussi à celle des plaques hydroliques, et il n'est pas nécessaire d'ailleurs non plus que les évènements hydroliques se soient passés il y a 4000 ans comme pensent l'avoir compris certains érudits en lisant la Bible (d'ailleurs ces mêmes érudits auraient dû voir qu'on parle aussi d'un Adam et autres personnages cités pour être âgés de milliers d'années... il est donc évident que les années de la Bible ne sont pas des années humaines. Point. On peut donc dire que la Bible parle également de millions, voir de milliards d'années humaines à priori... et de quelques milliers divins.). Je renvoie donc ici les évolutionnistes et les créationnistes dos à dos : ils parlent de la même chose et ergottent sur des détails pas si importants car ils n'ont pas la même échelle de temps à la base...
La théorie Hydroplate: un aperçu
Pour expliquer scientifiquement un événement non observé qui ne peut pas être répété, nous devons d'abord assumer les conditions existantes avant cet événement. A partir de ces conditions supposées de départ, nous avons ensuite tenté de déterminer ce qui devrait arriver selon les lois de la physique. Trois critères devraient être utilisés pour évaluer l'explication proposée.
Critère 1:. Processus
Si nous pouvons expliquer toutes les observations pertinentes mieux que toute autre explication proposée, la confiance dans nos explications est en augmentation. Toutefois, si ces conditions de départ et le fonctionnement des lois de la physique (ou processus connus) auraient produit des résultats qui ne sont pas prouvés, alors la confiance en notre explication diminue.
Par exemple, une question fréquente et intrigante est: « Quelle est la cause de l'extinction des dinosaures ? " (Nous n'aborderons pas cette question maintenant, mais l'utilisons pour montrer comment évaluer les théories scientifiques qui tentent d'expliquer les événements non observés et irremplaçable.) Certains théories extinction des dinosaures assument d'importants changements climatiques. Alors que de nombreux types de variations climatiques pourraient tuer tous les dinosaures, nous devons aussi (par critère 1) jeter un coup d'oeil à d'autres conséquences de grands changements climatiques. Les plantes à fleurs et de nombreux petits animaux sont plus vulnérables aux changements climatiques que de grands dinosaures. Parce que la plupart des plantes et des animaux n'ont pas disparu avec les dinosaures, les théories sur "le changement climatique" pour justifier l'extinction des dinosaures sont affaiblies.
Critère 2:. Parcimonie (parcimonie signifie ici ". L'utilisation de quelques hypothèses") Si quelques hypothèses permettent d'expliquer beaucoup de choses, alors la confiance dans l'explication sera grande. A l'inverse, si de nombreuses hypothèses sont utilisées pour expliquer quelques observations, ou si nous devons continuellement ajouter de nouvelles hypothèses ou modifier notre théorie proposée, de nouvelles observations sont faites, alors nous devrions avoir peu confiance en notre explication.
Par exemple, certains disent qu'un gros astéroïde ou une comète a frappé la terre et tué tous les dinosaures. Soi-disant, l'astéroïde ou une comète, contenant de l'iridium, un élément rare, a lancé un nuage de poussière qui a bloqué la lumière du soleil à travers le monde pour plusieurs années, réduit la photosynthèse sur terre, et étouffé la chaîne alimentaire des dinosaures. La prise en charge de cette théorie provient de couches d'argile, contenant de l'iridium, en Europe, en Nouvelle-Zélande et ailleurs. Les couches riches en Iridium contiennent parfois des fossiles de dinosaures, qui reposant sur des hypothèses évolutionnistes, sont d'environ 65 millions d'années.
Un astéroïde ou une comète frappant la terre pourrait expliquer l'extinction des dinosaures dans le monde entier et quelques couches d'iridium contenant des fossiles de dinosaures. Cette seule condition de départ (l'impact d'un gros astéroïde ou d'une comète) explique deux observations importantes : l'extinction de dinosaures et des couches d'iridium. C'est une bonne chose.
Mais il y a certaines hypothèses cachées. Alors que la plupart des météorites contiennent de l'iridium, il n'a pas été détecté dans les astéroïdes ou des comètes. Ainsi, les partisans de la théorie de l'impact doivent supposer que les astéroïdes ou les comètes ont de grandes quantités d'iridium (ou que les météorites provenaient de comètes ou d'astéroïdes). D'autres couches riches en iridium ont été découverts depuis, trop au-dessus ou trop en dessous de la couche que l'on pensait être celle de l'extinction des dinosaures. D'autres études ont trouvé peu de couches riches en iridium près de cratères d'impact connus. (Les scientifiques ont récemment découvert que les particules aéroportées expulsées par les volcans contiennent considérablement d'iridium et d'autres éléments chimiques rares que l'on trouve dans les couches riches en iridium.) 31
En outre, de nombreuses plantes marines ont besoin de lumière du jour. 32 Comment pourraient-elles avoir survécu à un nuage de poussière mondial qui a tué les dinosaures ? Chaque problème peut être résolu en ajoutant de nouvelles hypothèses. Cependant, par le critère 2, cela diminue notre confiance dans la théorie.
Critère 3: Prédiction : Une théorie légitime nous permet de prédire des choses inhabituelles que nous devrions bientôt voir si nous regardons dans les bons endroits et de faire les bonnes mesures.. Des prédictions vérifiées permettra d'accroître considérablement notre confiance en une explication. Prévisions publiées sont le critère le plus important de toute théorie scientifique. Nos théories tectoniques actuelles ne pourront être contrôlées que dans un millier d'années.
Quelles prédictions peuvent être faites sur la base des théories de «variations climatiques» et de l'«impact» ? Peu, sinon aucune n'ont été rendues publics. Cette n'inspire pas confiance dans ces explications.
Cependant, la théorie de l'impact peut produire des prévisions. Par exemple, un cratère d'impact très important doit être trouvé dont l'âge correspond à l'heure de l'extinction des dinosaures. Les fossiles de nombreuses formes de vie doivent être concentrées près du cratère ou, du moins, dans l'hémisphère contenant du cratère. Cependant, les fossiles de dinosaures sont uniformément réparties dans le monde entier, 33 un point intéressant se rappeler.
Depuis plusieurs années, aucun cratère approprié n'a pu être trouvé. 34 Enfin, en 1990, un site d'impact a été proposé sur la Péninsule Mexicaine du Yucatán, centré près du village de Chicxulub (Chick-shoo-loob). Les évolutionnistes ont initialement daté le site comme étant de 40-50 millions d'années avant que les dinosaures se soient éteints. Aucune forme de cratère n'était visible, mais un cratère a été réclamé enterré sur base de motifs circulaires légèrement magnétiques et gravitationnels, beaucoup d'imagination et le désir d'expliquer les extinctions de dinosaures. L'impact préconisé alors redatait la région et, en effet, il était prévu que le forage dans et autour de Chicxulub révélerait une couche d'iridium et un cratère d'impact enterré. Plus tard, les projets de forage n'ont rien trouvé. 35
D'autres théories sur l'extinction des dinosaures ont encore plus de problèmes. Notre objectif dans cette section n'est pas de régler cette question, mais de montrer comment un raisonnement scientifique doit être appliqué à des événements non observés, non reproductibles. Par ailleurs, une autre théorie sur l'extinction des dinosaures deviendra vite évident - une théorie impliquant un déluge global et des conditions difficiles après. [Pour en savoir plus sur les dinosaures, voir «Qu'en est-il des dinosaures» à la page 429 .
Les explications scientifiques ne sont jamais certaines ou définitives, et le mot galvaudé de «prouver» n'est jamais justifié sauf peut-être en mathématiques ou en tribunal de droit. La science est encore moins certaine lorsqu'il s'agit de choses antiques, des événements non reproductibles, parce que les autres conditions de démarrage pourraient fonctionner tout aussi bien ou mieux que les conditions proposées de départ. Peut-être que nous avons négligé une conséquence physique ou ont mal été appliquées les lois de la physique. Certes, on ne peut jamais envisager toutes les possibilités ou avoir toutes les données.
Donc, pour essayer de comprendre scientifiquement le non observables, des événements non reproductibles, il faut considérer de nombreux ensembles de conditions initiales, évaluer leurs conséquences sur la base des lois physiques, et voir ensuite dans quelle mesure ces conséquences répondent aux trois critères susmentionnés. Les Documents anciens, tels que le récit de Moïse dans la Bible ou des légendes, ne donnent pas un soutien scientifique pour la vérité ou la fausseté d'un événement ancien. Ces relevés peuvent fournir un important soutien historique aux personnes ayant confiance dans un dossier, en particulier antique. Ceci, cependant, n'est pas de la science. Ici, nous allons nous concentrer sur la science.
Les hypothèses de départ, comme expliquées ci-dessus, sont toujours nécessaires pour expliquer les événements anciens, non reproductibles. La théorie hydroplaque a une hypothèse de départ principal. Tout le reste découle de cette hypothèse et des lois de la physique. Les Théories des événements passés ont toujours quelques conditions initiales. Habituellement, elles ne sont pas mentionnées.
Hypothèse : L'eau souterraine
Près de la moitié de l'eau aujourd'hui dans les océans était autrefois dans des chambres interconnectées à environ 10 miles (16 km) sous la surface de la terre entière. En des milliers d'endroits, le plafond de la chambre s'est affaissé et pressé contre le sol de la chambre. Ces vastes contacts solides seront appelés piliers. L'épaisseur moyenne de l'eau souterraine était d'au moins 3/4 mile (5 km). Au-dessus de l'eau souterraine était une croûte de granit ; sous l'eau était le manteau terrestre.
Figure 53: granite et basalte. Le Granite, la principale roche continentale, a une couleur grisâtre à rose. Les éclats secondaires de quartz, qui ont un éclat vitreux, occupent environ 27% du volume du granit. Le Basalte, la roche la plus commune aujourd'hui au fond des océans, est solidifié en fine roche de lave sombre. La théorie de l'hydroplaque suppose que, avant le "déluge", le granit était au-dessus de l'eau souterraine et le manteau était en dessous. Comme vous le verrez, pendant et après le "déluge" ou inondation, le basalte fondu s'est déversé sur le sol des chambres, donc la plupart des planchers océaniques sont aujourd'hui pavés logiquement de basalte.
Les 25 grands mystères décrits ci-dessous, tels que grandes chaînes de montagnes, les âges glaciaires et le Grand Canyon, sont des conséquences de cette hypothèse de base.
De nouvelles preuves montrent que la terre a connu une inondation terrible dans le monde entier, dont les eaux ont violemment jaillit de dessous la croûte terrestre. Le "manuel" Standard des explications pour un grand nombre de fonctionnalités majeures de la terre sont scientifiquement erronées. Nous pouvons maintenant expliquer, en utilisant des phénomènes bien compris, comment cet évènement cataclysmique a rapidement formé autant de fonctionnalités. Ces mystères et d'autres, énumérés ci-dessous et décrits brièvement dans les 11 pages liées, sont mieux expliqués par un évènement bouleversant, bien plus catastrophique que presque tout le monde a imaginé. Des chapitres entiers sont consacrés aux thèmes énumérés ci-dessous en italique.
- Mi-Oceanic Ridge
- Principaux éléments de la Terre
- Variations magnétiques sur le plancher océanique
- Canyons sous-marins
- Charbon et pétrole
- Les hydrates de méthane
- Période glaciaire
- Grandes chaînes de montagnes
- Chevauchements
- Les volcans et de lave
- Chaleur géothermique
- Roche métamorphique
- Plateaux
- Le Moho et fumeurs noirs
- Dômes de sel
- Fit Jigsaw des Continents
- Changement inclinaison de l'axe
Chacun semble être la conséquence d'un évènement soudain, un irremplaçable déluge/tsunami global dont les eaux ont éclaté à travers le monde, reliés entre elles des chambres souterraines avec une libération d'énergie supérieure à l'explosion de milliers de milliards de bombes à hydrogène. 1 La théorie des hydroplaques, expliquée plus loin dans ce chapitre, pourra résoudre tous ces mystères.
Les boucliers archéens sont en orange
Mais d'abord, qu'est-ce qu'une hydroplaque ? Avant le déluge global, l'eau était considérable sous la croûte terrestre. La pression a augmenté dans cette chambre d'eau souterraine et a rompu la croûte, la divisant en plaques. L'eau s'écoulant a inondé la terre. Parce hydro : l'eau, les plaques de la croûte seront appelées hydroplaques. Où elles ont cassé, comment elles se déplaçaient, et des centaines d'autres détails et des preuves tout en accord avec les lois de la physique, constituent la théorie des hydroplaques et expliquent en grande partie pourquoi la terre ressemble à ce qu'elle est... Cette théorie pourrait d'ailleurs se placer éventuellement AVANT celle de la théorie classique des plaques tectoniques, ou mieux, entre deux formations de supercontinents et provoquant la dislocation du dernier, la Pangée.
Les phases de la théories des hydroplaques :
Figure 80: Des tranchées du Pacifique occidental. Seize fosses océaniques sont concentrés dans l'ouest du Pacifique. Quatre autres se trouvent ailleurs. 1 La zone au-dessus, avec 40.000 volcans plus grand que 1 kilomètre, a évidemment été fortement perturbée. La croix blanche marque le centre de cette région de tranchée concentré. Visualisez la terre comme une sphère, et non pas une carte plane. Pourquoi le centre de cette région de tranchée est presque exactement en face du centre de l'océan Atlantique, à la fois en latitude et en longitude ? L'encart montre quelques tranchées en vert et en orange, l'Anneau de Feu - une bande de volcanisme extrême et d'activité sismique.
L'origine des fosses océaniques, les séismes et l'Anneau de Feu
Résumé : des tranchées océaniques, de milliers de miles de long et plusieurs miles de profondeur, s'allongent sur le sol de l'ouest du Pacifique, juste en face du centre de l'Atlantique. La théorie de la tectonique des plaques prétend que les plaques, à la dérive sur la surface de la terre, plongent dans la terre et forment des fissures. Seize raisons sont données révèlent que cette idée est erronée.
L'inondation a commencé par une rupture de la croûte terrestre qui a entouré le monde en 2 heures environ. Pendant des mois, la fuite d 'eau souterraine a érodé la fissure d'une largeur moyenne d'environ 800 miles (1300 km) tout au long de son parcours de 46,000 mile même sur la terre du côté du Pacifique. Les hydroplaques ne sont plus empêchées de se déplacer au moins de quelques centaines de miles vers le côté Pacifique de la terre.
Vers la fin de l'inondation, un «point de basculement» a été atteint. Ainsi, une grosse masse de matières avait été retiré du côté de la côte atlantique lorsque la dorsale médio-atlantique a commencé à boucler sa ceinture. Les Hydroplaques ont commencé à glisser sur l'eau souterraine restante, loin de la hausse dorsale médio-atlantique. Ce régulier enlèvement de quantités gigantesques de poids à partir de ce qui allait devenir le plancher de l'Atlantique, a fait de sorte que la crête et le plancher de la chambre ont augmenté encore plus rapidement (YH : on observe effectivement le même effet de soulagement de poids de glace sur la péninsule Scandinave par exemple et son élévation). Le matériau à l'intérieur de la terre allait alors à se déplacer vers les côtés de l'Atlantique. Près du centre de la terre, où les pressions sont les plus fortes et le mouvement était plus resserré, le décalage a produit tellement de chaleur de friction que la terre intérieure a fondu et reculée. (Le Magma est beaucoup plus compressible que le roc, 2 comme expliqué aux pages 154-155.) Ainsi, le noyau de la terre a commencé à se former seulement (YH : rappel, ce n'est qu'une théorie). Le retrait plus loin dans la terre intérieure a créé la croûte du Pacifique, entouré de ce que l'on appelle aujourd'hui l'Anneau de Feu, à débuté l'enfoncement. Des portions de la croûte du Pacifique, juste en face du centre de la piste montante de l'Atlantique, se sont enfoncés vers l'intérieur, formant des tranchées. En moins d'une journée, la plaque Pacifique a diminué d'au moins 10 miles (16 km), suffisamment pour éliminer tout obstacle aux hydroplaques coulissantes loin de la dorsale médio-atlantique.
Figure 81: Spin. Un corps en rotation, comme une patineuse artistique ou la Terre, tourne plus vite si elle devient plus compacte autour de son axe de rotation. Cette patineuse commence un tour avec les bras tendus. Puis, comme elle retire ses bras près de son axe de rotation, elle tourne très vite, elle devient un peu flou.
La Gravité essaie de faire une Terre la plus compacte et ronde que possible. Les tremblements de terre déforment la Terre pour qu'elle devienne plus compacte et tourne un peu plus vite. 8 Par conséquent, le plus en arrière dans le temps que nous regardions, moins compacte nous devrions trouver la Terre, du moins jusqu'à ce que nous arrivions aux conditions où le total déséquilibre s'est présenté. Parce que les tremblements de terre peuvent se produire au plus profond de la terre, l'état hors équilibre a influencé la terre entière et, comme vous le verrez, ont produit les fosses et l'Anneau de Feu.
Une technique appelée tomographie sismique a montré que les roches du manteau supérieur sont plus denses sous les continents que sous les océans. La technique utilise des ondes sismiques pour «voir» l'intérieur de la terre, comme un scanner utilise les rayons X sous de nombreux angles pour «voir» l'intérieur de votre corps. Chaque tremblement de terre émet des ondes à travers la Terre. En connaissant l'heure précise d'un tremblement de terre et les moments où les ondes atteignent les sismomètres à travers le monde, les scientifiques peuvent calculer la vitesse moyenne de chaque onde le long d'un chemin spécifique. Après de nombreux séismes afin de connaître les vitesses le long des milliers de chemins différents, un ordinateur peut estimer la vitesse de l'onde en chaque point à l'intérieur de la terre. Des vitesses plus élevées impliquent plus froid et / ou de la roche plus dense. Les ondes sismiques voyagent plus vite sous les continents. Certaines augmentations de vitesse sont trop grandes pour être entièrement dues à des températures plus froides. 7
Les tremblements de terre. L'objectif majeur de la recherche sur les tremblements de terre est de prédire les tremblements de terre. Normalement, la meilleure façon de prédire quelque chose est de comprendre comment il fonctionne. Parce que, les tremblements de terre sont mal compris, beaucoup d'efforts sont consacrés à l'étude des évènements qui semblent parfois précéder les tremblements de terre - les séismes précurseurs, tels que les comportements étranges des animaux, des changements brusques des niveaux d'eau dans les puits, le gonflement du sol, et des irrégularités brusques d'éruptions de geysers locaux.
L'explication plaques tectoniques donne la théorie que des tremblements de terre se produisent lorsque les plaques frottent les unes contre les autres, se bloquent temporairement, puis se relâchent en vrac. Si c'est le cas, pourquoi certains puissants tremblements de terre sont loin des limites des plaques ? 9 Pourquoi des tremblements de terre locaux se produisent parfois lorsque l'eau est enfoncée dans le sol après que de grands réservoirs d'eau sont construits et remplis? 10 Après le tremblement de terre de Sumatra 2004 et le tsunami qui a tué 230.000 personnes, pourquoi y avait-il une baisse permanente de la force de gravité au-dessous de l'épicentre ? Selon la tectonique des plaques, la masse ne doit pas avoir changée. Cela a été mesurée très précisément par le système satellite GRACE. 11
Un défaut est une fracture dans la croûte terrestre le long de laquelle le déplacement a eu lieu. Lors d'un tremblement de terre, les côtés opposés d'un défaut «déverrouillent» du préexistant et glissent soudainement. Si le côté d'un défaut le plus proche d'un sismomètre à distance se déplace vers le sismomètre, une onde de compression sera détectée en premier. Si ce côté s'éloigne du sismomètre, une onde de tension est détectée en premier. En examinant la première vague atteindre de nombreux sismomètres, on peut en déduire l'orientation du plan de faille et si le tremblement de terre a été déclenchée par de la compression ou de la tension. Les tremblements de terre près d'une fosse sont presque toujours dus à une tension horizontale (à l'emplacement de la fosse) perpendiculaire à l'axe de la fosse. 12 Des mesures montrent également que des microséismes sur le plancher océanique ont tendance à se produire à marée basse. 13
Les séismes superficiels, parfois déplacer le sol horizontalement le long d'une faille, comme cela s'est produit le long de la faille de San Andreas au cours du grand tremblement de terre de San Francisco en 1906. L'Ouest de la Californie a glissé vers le nord par rapport au reste de l'Amérique du Nord. La faille de San Andreas a plusieurs virages importants, alors même que deux pièces de verrouillage d'un puzzle ne peuvent pas glisser très loin par rapport à l'autre, on ne peut courber les deux côtés de la faille de San Andreas. En outre, si le glissement s'était produit le long de la faille de San Andreas depuis des temps immémoriaux, le frottement aurait grandement chauffé les surfaces de glissement. Des forages dans le défaut n'ont pas détecté de la chaleur. 16 De toute évidence, peu de mouvements ont eu lieu au cours des millions d'années ou les parois de la faille ont été lubrifiés.
Près de 90% de l'énergie sismique est distribué sous les fosses. Les Tremblements de terre se produisent souvent à proximité des aires appelées zones de Benioff, où la pente vers le bas à partir de fosses est à 30 ° -60 °d'angles horizontal. Ces zones sismiques sont jusqu'à une profondeur d'environ 410 miles (660 km).
Une caractéristique importante de tous les planchers océaniques est la dorsale médio-océanique. Une caractéristique de la crête occupe une place importante dans les deux théories concurrentes sur la façon dont les fosses se sont formées. Comme expliqué dans le chapitre précédent, la crête est craquée dans une étrange tendance. Des fissures sont presque perpendiculaires à l'axe de la dorsale, tandis que d'autres fissures sont parallèles à celui-ci. Leurs formes et l'orientation sont mieux expliquées par l'étirement de la crête. 17 Que ferait la crête dans deux directions perpendiculaires ? Ces fissures sont facilement visibles le long de la dorsale médio-océanique dans la Figure 43 à la page 110 .
Plus de 40.000 volcans sous-marins, appelés monts sous-marins, jonchent le sol du Pacifique. Certains plus puissants s'élèvent plus au-dessus du plancher océanique que le mont Everest ne s'élève au-dessus du niveau des mers. Curieusement, l'Atlantique a quelques monts sous-marins. Si, comme le prétend la théorie des plaques tectoniques, on plonge la plaque (subduction) sous une autre, pourquoi il n'y a pas plus de monts sous-marins et des sédiments meubles ont gratté la partie supérieure de la plaque plongeante ?
Environ 2.000 sommets plats de monts sous-marins, appelés tablemounts, ont des sommets qui sont à 3,000-6,000 pieds (900 à 1800 mètres) au-dessous du niveau des mers. Évidemment, comme ces volcans ont essayé de pousser au-dessus du niveau de la mer, l'action des vagues a raboté une partie de leurs sommets. Soit le niveau de la mer était une fois 3,000-6,000 pieds plus bas, soit les planchers océaniques étaient 3,000-6,000 pieds plus haut, ou une combinaison des deux. Chaque possibilité soulève des questions nouvelles et difficiles.
Plus de la moitié des volcans du monde territoriales actives et inactives et 90% des séismes dans le monde se produisent le long du Ring of Fire, indiqué sur la carte encadré page 148 . De toute évidence, que 25.000 mile de long, chemin de fer à cheval est une région qui a été violemment perturbée par le passé.
Des profondeurs du manteau, d'énormes quantités de basalte fondu, appelé basaltes fluides, 24 se sont déversés rapidement vers le haut de la croûte sur la Terre, en particulier sur le bassin du Pacifique. Au-dessus du niveau de la mer, quelques «déversements» que nous pouvons examiner aujourd'hui sont assez grands pour couvrir l'Est des États-Unis à la hauteur des montagnes Appalaches, depuis Atlanta jusqu'à New York et de la chaîne des Appalaches à l'océan Atlantique. Plus d'une douzaine de ces convulsions se sont produites à différents endroits sur la terre, éclipsant en volume la totalité du magma dans tous les cônes volcaniques. Le volume de tous les «déversements» en dessous du niveau de la mer peut être cent fois plus grand.
Les roches sont composées de minéraux différents, certaines molécules contenant de l'eau. Ces minéraux ne se sentent pas humides au toucher, parce que chaque molécule d'eau est verrouillée séparément dans la structure cristalline d'un minéral, l'eau occupe seulement environ un millième du volume de la roche. Néanmoins, la terre intérieure est si grande qu'elle contient probablement une valeur de plusieurs océans d'eau. Un processus de chauffage peut avoir relâché de l'eau, qui peut de retrouver dans des grandes poches. Qui tiendrait compte des piscines d'eau (avec un volume total égal à l'eau de l'océan Arctique) qui se déversent à 500-750 miles en face de l'Asie orientale et de la partie occidentale de l'Amérique du Nord. 25
Extraits du livre In the Beginning: des preuves convaincantes de la Création et le Déluge de Walt Brown.
Yves Herbo : J'ai ajouté des liens complémentaires en français traduit par Google trad. par manque de temps mais il est possible qu'une traduction plus précise et agréable soit faite lors d'un basculement de ce sujet en mode page, permettant un meilleur format pour de grands textes et photos-schémas. En tout cas, je retiens pour l'instant qu'il me faut encore vérifier certaines assertions non expliquées par les deux théories mais il semble que les deux théories pourraient être valables sur des époques différentes, ou encore complémentaires.
Yves Herbo SFH 03-2013
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