Les empreintes préhistoriques impossibles
Empreinte de pied, chaussé d'une sandale, au talon incrusté d'un trilobite
C'est amusant et étrange en soi : plus on s'intéresse aux découvertes et énigmes scientifiques, plus on trouve des réalités et éléments qui dérangent et contredisent la science officielle. C'est un peu comme si nos conceptions scientifiques faisaient qu'on élimine 50% de données, juste parce qu'elles n'entrent pas "dans le moule". Si on compare avec la "bourde" (mais qui arrange bien certains financiers !) de la SNCF qui a commandé des rames trop larges par rapport à ses quais de trains, on dirait que la SNCF a choisi de conserver ses rames entières et de raboter ses quais, alors que la science choisi de raboter ses rames (découvertes) et de conserver ses quais (science) intacts...
Ce site a déjà à de nombreuses reprises parlé des nombreuses preuves mettant en doute certaines datations ou données historiques, en voici d'autres, avec un nombre assez conséquent d'empreintes provenant du fond des âges et ne correspondant pas aux données recensées (et de par ailleurs trouvées et prouvées ailleurs également, sans contradiction obligatoirement avec les autres données).
Voici une compilation des données connues actuelles (tout au moins celles que j'ai trouvé, merci d'intervenir éventuellement pour ajouter des données) :
" Parmi ces traces et ces squelettes incroyables, certaines découvertes ne peuvent être réfutées. Nous ne pouvons les expliquer faute de les comprendre. Doit-on pour autant les ignorer ?
Ces anomalies sont trop nombreuses pour être traitées en un seul dossier. Je vous propose donc de quitter toutes vos certitudes et de partir dans ce voyage de l’impossible. Les découvertes sont classées par ordre chronologique. Cette liste est loin d’être exhaustive.
1817 : des empreintes de 270 millions d’années
C’est sur une plaque de calcaire, de la rive ouest du Mississippi à Saint Louis, que George Rappe trouva d’étranges empreintes. Elles mesuraient 266 millimètres de long, 101 millimètres de large, avec un écart de 15,5 centimètres entre les talons et de 34 centimètres entre les pointes.
Croquis d'empreintes publié par H.R.Schoolcraft en 1822
Elles furent étudiées par l’ethnologue Henry R. Schoolcraft qui fit le rapport suivant en 1822 :
« Les orteils étaient très écartés et la plante du pied affaissée comme on le voit chez les gens habitués à faire de longues marches sans chaussure. Les empreintes sont d’une grande précision. Elles montrent les détails de la musculature et les renflements du talon et des orteils. Tous les indices conduisent à la conclusion que ces empreintes datent de l’époque où le sol était assez meuble pour les conserver par pression et, qu’elles sont authentiques. »
D’après la datation, ce calcaire a dû se durcir il y a environ 270 millions d’années.
(Source: The American Journal of Science and Arts, 1822)
1880 : des empreintes au Carbonifère
Dans les monts de Cumberland (Kentucky), une piste de chariots a mis à jour une couche de grès du carbonifère. Cette strate, vieille de 300 millions d’années, révéla une série d’empreintes : des empreintes d’ours, des empreintes d’un animal proche d’un grand cheval et des pieds humains. Les orteils étaient très nettement marqués.
Ces traces ont été étudiées par le Pr J.F Brown, de Berea Collège.
Pendant l'été 1882, des détenus de la prison de Carson city (Nevada) en travaillant dans une carrière, mirent à jour une couche de grès dans laquelle, parmi les traces d'animaux fossiles comme les mammouths, se trouvaient six séries d'empreintes d'hominidés géants. Un rapport fut envoyé á l'Académie des Sciences de Californie le 27 août 1882. Certaines de ces empreintes (de 50 centimètres) montraient que ces hominidés portaient même des sandales.
1884 : empreintes d’au moins 200.000ans au Nicaragua
En 1884, Earl Flint, un géologue représentant le musée de Peabody et de l’université de Harvard, a découvert dans une carrière près de Managua (Nicaragua), au bord du lac Gilva, à 60 centimètres de profondeur, des empreintes d’hominidés, certaines avec sandales, d’autres indiquant l’usage d’une canne. Les plus grandes mesuraient 40 centimètres de longueur. Leur âge est estimé à 200 000 ans
Sources : The American Antiquarian, janvier 1885
En 1896, une pierre portant une empreinte parfaite de pied humain de 37 centimètres de long fut montrée aux membres de l'Académie des Sciences de l'Ohio. Cette pierre fut trouvée 20 ans plus tôt aux alentours de Parkesbourg ( Virginie ), son âge a été estimé à 150 millions d'années.
Anthropologist, fevrier 1896, P.66.
Au XIXe siècle, l’écrivain américain Josiah Priest, dans son ouvrage "American Antiquities" page 150, rapporte la découverte près des sources de la rivière Tennessee, à quelques kilomètres au sud de Braystown (Caroline du nord), d’un véritable carnaval d’empreintes de chevaux, d’ours, de dindes et d’hominidés à six orteils !
1908 : empreintes d'hommes et de dinosaures !
Découvertes en 1908, près de Glenn Rose (Texas), elles montrent des traces humanoïdes de géants de 4 mètres de hauteur (selon les standards modernes), mêlées avec des traces de dinosaures ! (de 120 à 130 millions d’années). Même si les traces que l’on aperçoit au premier plan sur la photo du haut (en haut) ont sans doute été laissées par les membres antérieurs ou les métatarses de ces dinosaures, on a du mal à croire que l’érosion ait pu les transformer en celles que l’on peut voir dans la photo ci-dessous.
1912 - empreinte de géant en Afrique du Sud trouvée par le chasseur Stoffel Coetzee
South Africa, près de la ville de Mpaluzi, proche du bord du Swaziland. Le granit en question est censé avoir été formé il y a entre 3.2 milliards d'années et 200 millions d'années...
« Voici quelque temps, alors qu’il cherchait des fossiles dans le Nevada, John T. Reid, ingénieur des mines et géologue distingué, se figea soudain et contempla un rocher à ses pieds avec une extrême stupéfaction. Là, dans la roche elle-même, il y avait ce qui semblait être une empreinte de pied humain ! Un examen plus minutieux lui apprit que ce n’était pas une empreinte de pied nu, mais, apparemment, une semelle de chaussure pétrifiée. La partie avant manquait, mais il restait le contour d’au moins les deux tiers, et le long de ce contour, on voyait distinctement la trace d’un fil cousu qui avait attaché la semelle à la chaussure. À l’intérieur, on remarquait une autre couture et au centre, là où devait être posé le pied si l’objet en question était bien une semelle, il y avait un creux, exactement comme celui qu’aurait laissé le talon en usant par friction le matériau dont la semelle était faite. C’est ainsi que fut découvert un fossile qui constitue aujourd’hui le plus grand mystère de la science, car la roche dans laquelle il se trouvait est vieille d’au moins 5 000 000 d’années. »
Empreinte de semelle découverte dans une strate calcaire du Nevada.
Reid emporta le fossile à New York, où il comptait le soumettre à l’attention d’autres scientifiques. Il raconta par la suite :
« En arrivant à New York, j’ai montré ce fossile au Dr James F. Kemp, géologue à l’université de Columbia ; aux professeurs H.F. Osbom, W.D. Matthew et E.O. Hovey, du Muséum d’histoire naturelle américain. Tous sont parvenus à la même conclusion, à savoir que “c’était l’exemple le plus remarquable d’imitation naturelle d’un objet artificiel qu’ils avaient jamais vu”. Pourtant, ces experts étaient d’accord pour attribuer la formation rocheuse au Trias, et des cordonniers reconnaissaient dans ce spécimen une semelle à trépointe. Le Dr W.D. Matthew a rédigé un bref rapport sur cette découverte, déclarant que si toutes les apparences d’une chaussure s’y trouvaient, y compris les coutures, ce n’était cependant qu’une remarquable imitation. Un lusus naturae, c’est-à-dire une “fantaisie de la nature”. » (YH : ou comment botter un problème en touche...)
Malgré la fin de non-recevoir de Matthew, Reid s’entêtait :
« J’ai ensuite pris contact avec des spécialistes de la microphotographie et de la chimie analytique de l’institut Rockfeller qui, à titre personnel pour ne pas engager l’institut, ont fait des photos et des analyses des spécimens. Les analyses ont levé tous les doutes qui pouvaient subsister sur la fossilisation de la semelle au Trias (…). Les microphotographies donnent un grossissement de vingt fois par rapport au spécimen luimême, montrant les moindres détails de la torsion et des fibres du fil, ce qui prouve de façon concluante qu’il ne s’agit pas d’une ressemblance, mais d’une semelle de chaussure fabriquée par l’homme. Même à l’oeil nu, les fils sont bien visibles, ainsi que les contours parfaitement symétriques de la semelle. Le long du bord, on distingue une ligne parallèle régulièrement perforée comme par les points de couture. Je pourrais ajouter qu’au moins deux géologues dont les noms seront un jour divulgués ont admis la validité de cette semelle et de sa fossilisation authentique dans les roches du Trias. »
Aujourd’hui, l’âge des formations triasiques est estimé à beaucoup plus que 5 millions d’années. On situe le Trias entre 213 et 248 millions d’années avant notre époque.
Jusqu’à présent on n’imaginait pas qu’il pût exister des cordonniers contemporains des dinosaures et on est en droit de se demander qui a pu fabriquer la chaussure en question. Deux interrogations viennent à l’esprit : ou bien l’homme apparut-il sur la Terre des millions d’années avant le moment que nous avons toujours proclamé, ou bien des visiteurs provenant du Cosmos ont-ils débarqué un jour mystérieux sur notre planète ? Les deux hypothèses relèvent clairement du fantastique. " (YH : une troisième serait des hommes du futur...)
Bibliographie : * sources : revue Smena nº8, publiée à Moscou en 1961. « L'Histoire secrète de l'espèce humaine » de Michael Cremo et Richard Thompson, Editions du Rocher. Astronavi sulla preistoria, Peter Kolosimo, 1972. Andrew Tomas, Les secrets de l'Atlantide, Robert Laffont, Paris, 1969.
1938 : dix empreintes de pieds
La microphotographie et les infrarouges ne révélèrent aucune trace de façonnage artificiel. La numération microscopique des grains de sable indiqua une compression du sol sous les empreintes. Cela indiquait, sans conteste, qu’il y avait bien eu pression d’un pied humain, impossible à reproduire par la sculpture.
La roche qui portait les empreintes a été estimée à 250 millions d’années. Malheureusement, cette roche a été détruite par des vandales il y a une vingtaine d’années.
(Source: Mysteries of Time and Space, Brad Steiger)
En 1959, on a découvert dans le désert de Gobi une pierre portant l’empreinte d’une chaussure et qui remonterait à des millions d’années, à une époque où l'homme ne vivait pas encore sur la Terre. Les membres chinois et russes de l’expédition paléontologique, conduite par le docteur Zhou Ming-Zhen, ont été incapables de fournir une explication valable au sujet de cette empreinte.
L'empreinte du désert de Gobi - Smena 1961
En 1961, en France, sur le plateau de Daüs de la commune d'Ailhon situé en Ardèche, une empreinte d'humanoïde a été découverte à proximité d'empreintes de dinosaures dans du grès du trias moyen (environ 220 millions d'années). Selon l'Abbé Albert F. de Lapparent, la déformation serait due à une surface portante abondamment imbibée d'eau, une boue trop liquide.
Relevé effectué par M. P. Bellin
Source: Archéologia N°196 de novembre 1984, courrier des lecteurs, M. P. Bellin.
1968 : la plus vieille empreinte du monde
Empreinte de pied, chaussé d'une sandale, au talon incrusté d'un trilobite
La sandale qui écrase un trilobite mesure 262 millimètres de long et 77 de large. Le talon est un peu plus usé que la semelle. Le 20 juillet 1968, Le Dr Clifford Burdick, géologue de Tucson, accepta de venir sur le site. Il y découvrit à son tour, dans une couche de schiste, l’empreinte d’un pied d’enfant. Il montra cette empreinte à deux géologues et à un paléontologue. L’un des géologues admit qu’elle semblait être celle d’un être humain ; le paléontologue réfuta la découverte. Aucun autre scientifique n’accepta d’étudier ces empreintes.
(Source: Creation Research Society Quaterly, 1968)
En 1969, Troy Johnson, un géologue de trente ans d'expérience de terrain, trouva une couche de grès pleine d'empreintes fossiles au sommet d'une colline à l'est de Tulsa (Oklahoma). Parmi les empreintes d'espèces animales disparues depuis 3 millions d'années, certaines semblaient parfaitement humaines avec 5 orteils. Il montra des moulages de ces empreintes à plusieurs experts qui les rejetèrent à cause des implications de sa découverte.
Tulsa Sunday World, 25 mai 1969.
Dans les années 1970, le Dr Rex Gilroy, directeur du musée d'Histoire Naturelle de Mount York ( Australie ), a découvert une empreinte géante au mont Victoria âgée de 200 millions d'années. D'autres empreintes de pieds nus et de chaussures, mêlées à celles de dinosaures, datées de 100 millions d'années ont été trouvées dans la vallée de Carrizo dans le nord-ouest de l'Oklahoma.
1971 : empreinte et volcan
L’empreinte d’un être humain semblant fuir une éruption volcanique en direction du fleuve Gediz, a été découverte dans des cendres volcaniques en 1971 en Turquie.
L’Institut de recherche minéralogique d’Ankara a évalué à 250 000 ans l’âge de la cendre. Le Laboratoire médico-légal de Suède a déclaré l’empreinte d’origine humaine. Nul ne sait à quel type d’hominidé cette empreinte appartient.
(Source : Magazine Nature, 1975)
1976 : traces de pieds et de dinosaures
On peut observer dans le lit de la rivière Paluxy (Texas) des traces de dinosaures. L’authenticité de ces traces le long de la rivière n’est pas contestée.
Le géologue Jack Walper mesure l'une des empreintes. Il estime qu'elle a été laissée par un dinosaure bipède
Cependant, là où les paléontologues ne sont plus d’accord, c’est que ces traces sont accompagnées d’empreintes humaines. On sait qu’une fraude a été révélée. Plusieurs personnes de la région ont avoué avoir sculpté des empreintes humaines pour les vendre aux touristes pendant la crise de 1930. Cependant, les fraudeurs ont également avoué qu’ils avaient réalisé ces copies à partir d’originaux. Là où ça devient réellement intéressant, c’est qu’en 1976, Jack Walper, professeur de géologie et John Green ont exploré le lit de cette rivière. Au moyen de digues et de pompes, ils ont mis à jour des empreintes de dinosaures et de pieds humains. Ce qui est surprenant c’est que les empreintes étaient submergées. Il aurait donc fallu travailler sous l’eau pour réaliser de fausses empreintes. D’après leurs observations, toutes les traces présentaient sur leur contour un bourrelet significatif qui correspond à la pression d’un pied s’enfonçant dans la vase.
Empreintes fossilisées d'un dinosaure et d'un homme photographiées en 1971 dans le lit de la rivière
Les empreintes immergées mesurent en moyenne 455 millimètres de long pour 125 à 175 millimètres de large.
(Sources: Pursuit, 1976; Man, Dinosaur and History, Frederick P.Beierle)
1931 à 1981 : des empreintes géantes
En 1931, un trappeur découvrit des empreintes apparemment humaines au Nouveau-Mexique. L’année suivante, quatre chercheurs étudièrent les traces et découvrirent 13 empreintes. Malgré leur taille gigantesque, ils leur attribuèrent une origine humaine. De forme ovale, elles mesuraient 40 à 55 centimètres de long et 20 à 27 centimètres de large. On revint sur ce site en 1972, 1974 et 1981. On découvrit de nouvelles empreintes dans les contreforts est des monts San Andres. Il n’y a plus aucun doute sur leur provenance humaine. Ses traces ont été protégées en vue de futures recherches. L’espacement semble correspondre à la marche d’un bipède et non de chameaux comme certains l’ont prétendu.
(Source : rapport de l’armée américaine, 1981)
Année 1979 : Des empreintes d'hominidés ont été trouvées sur le site de Laetoli en Tanzanie et datent de 3,8 millions d’années. Ce sont les pas laissés dans la boue par un(e) adulte et un enfant, qui ont ensuite été recouverts par des cendres volcaniques et que l’érosion a finalement redécouverts.
En 1979, à Laetoli, en Tanzanie, un pays d’Afrique orientale, Mary Leakey, qui est la femme de Louis Leakey, l’un des anthropologues les plus renommés du XX° siècle, trouva des empreintes de pas dans des cendres volcaniques datant d’environ 3,6 millions d’années. Des experts des empreintes, anthropologues et autres les analysèrent. Le National Geographic et des publications scientifiques en ont beaucoup parlé. Et si vous regardez les photos de ces empreintes, vous constatez qu’elles sont identiques à celles d’un homme moderne. Un chercheur a dit que si l’on allait aujourd’hui sur une plage et que l’on y regardait des empreintes de pas, elles ne seraient pas différentes. Malgré cela, le schéma mental des chercheurs est tel qu’ils n’ont pu tirer la conclusion qui s’imposait, à savoir que ces empreintes ont été faites par des créatures très proches de nous.
En 1984, le professeur Kourban Amanniazov, directeur de l'Institut de géologie de l'Académie des Sciences de Turkménie, a dirigé une expédition dans les montagne de Kouguitang-Taou au sud-est du pays. Parmi les nombreuses traces de dinosaures, ils ont trouvé également une empreinte, pas très nette mais assez distincte, vieille de 150 millions d'années, qui ressemble à la trace d'un pied d'humanoïde.
Archéologia N°194 de septembre 1984 p.6 et 7.
1987 : Nouveau-Mexique, des empreintes vieilles de 290 millions d'années
Le paléontologue Jerry MacDonald a trouvé une grande variété de pistes fossilisées en 1987. Les anciennes pistes ont été faites par une variété d'animaux et d'oiseaux, situées dans une strate du Permien. Parmi les différentes pistes fossilisées, MacDonald a découvert des empreintes indéniables d'un pied nu humain, incroyablement situé dans les strates du Permien. Les strates du Permien datent de 290 à 248 millions d'années, plusieurs millions d'années avant que les animaux, les oiseaux, et même les dinosaures et l'homme existaient.
Paléontologue Jerry MacDonald-1987
En Juillet 1992, le magazine Smithsonian a publié un article sur les traces de MacDonald, « Empreintes pétrifiées: Un défilé de Puzzling Permien bêtes."
Smithsonian admis le mystère et a reconnu «que les paléontologues aiment à l'appeler,« problematica. "Il a décrit ce qui semblait être empreintes de pas humaines. Les humains "évolué longtemps après la période du Permien, mais ces titres sont clairement du Permien."
C'est en février 2002 que James Snyder, un habitant de la région de Ramona, a fait cette découverte étonnante lors d'une balade dans la forêt nationale de Cleveland.
En sortant des sentiers battus à la recherche d'or dans le massif de Gowers, Snyder est tombé sur une empreinte géante de pied fossile dans la roche granitique de ce qui a sans doute été un cours d'eau il y a longtemps... très longtemps...
Snyder, qui pense qu'il pourrait s'agir de l'empreinte d'un "Bigfoot", aimerait que des scientifiques fassent l'effort de se déplacer dans ce coin perdu, à plus d'une heure et demi de marche dans des montagnes difficiles d'accès pour étudier sérieusement cet empreinte...
http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/angleterre-des-empreintes-humaines-vieilles-de-800-000-ans.html
Norfolk-UK-Dr Ashton-moule empreinte prehistorique -800.000 à -1.000.000 d'années - hominidé de 1,73 mètre environ.
http://www.dinosoria.com/empreinte_impossible.htm + http://www.inmysteriam.fr/oopart/des-empreintes-de-chaussures-vieilles-de-plusieurs-millions-dannees.html + http://archivesmillenairesmondiales.wordpress.com/2013/11/20/empreintes-fossilisees-mysterieuses/ + http://www.ldi5.com/paleo/prints2.php#8 + http://www.2012un-nouveau-paradigme.com/article-nous-etions-la-il-y-a-800-millions-d-annees-106880519.html
Yves Herbo, Sciences, F, Histoires, 23-05-2014
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