jeudi 5 novembre 2015

Les pages des anomalies scientifiques - 4

Les pages des anomalies scientifiques - 4



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La pierre runique de Kensington



Cette nouvelle rubrique qui devrait comporter plusieurs pages (qui seront regroupées par la suite et après leur publication) va recenser certaines petites publications ou nouvelles brèves du passé sur des découvertes annoncées discrètement par certains professionnels ou scientifiques. Cela vient évidemment en complément du déjà large travail de compilation de données lisibles sur ce site. Ces annonces sont en principes toutes référencées et réelles et elles concernent toutes des "anomalies" par rapport aux normes, dogmes ou "establishment" scientifiques ou historiques. Il y a rarement des illustrations ou photos et l'annonce est parfois très brève. On se rapproche en quelque sorte un peu du "Livre des Damnés" de Charles Fort, mais plus récent et c'est voulu car ces données existent, même si elles ne sont pas très connues et explorées elles-mêmes... Je n'ai pas trouvé d'ordre préférentiel pour l'instant, un classement par continent ou par genre (archéologie, ovni, astronomie, etc...) par exemple pourrait être fait par la suite. Vous allez comprendre très vite de quoi il s'agit, je met le texte original quand dispo et la traduction française en-dessous :







A Stone Face From Ungava

September 1976. Lac Guerard, Ungava, Canada. A stone face was found on the lake shore by caribou hunters. The back of the sculpture was covered with moss and stained underneath with age; the front was well-weathered. It was a crude sandstone carving -- almost a doodle in stone -- but the facial features were unmistakably Norse. Stylistically, the face resembled nothing carved by Eskimos or the local Indians. The apparent antiquity of the stone and the strongly Nordic features suggest past Norse exploration of this desolate tundra near Hudson Bay.

(Lee, Thomas E.; "Who Is This Man?" Archaeological Journal of Canada, 17: 45, 1979.)

Comment. Once into Hudson Bay, why not on to Minnesota (and the Kensington Stone), then down the Mississippi to Oklahoma where Viking signs are claimed?



Un visage de pierre à Ungava

Septembre 1976. Lac Guerard, Ungava, Canada. Un visage de pierre a été trouvé sur la rive du lac par des chasseurs de caribous. Le dos de la sculpture s'est couvert de mousse et coloré par dessous avec le temps; l'avant a pu bien résister. C'était une sculpture en grès brut - presque un gribouillage dans la pierre - mais les traits du visage étaient indéniablement nordiques. Stylistiquement, le visage ne ressemblait à rien de sculpté par des Esquimaux ou des Indiens locaux. L'ancienneté apparente de la pierre et les traits fortement nordiques suggèrent que dans le passé, une exploration nordique (Vikings) de cette toundra désolée près de la baie d'Hudson a eu lieu.

(Lee, Thomas E .; "Qui est cet homme ?" Journal archéologique du Canada, 17, 45, 1979.)

Commentaire: Une fois dans la baie d'Hudson, puis pourquoi pas dans le Minnesota (et la pierre de Kensington), puis vers le bas du Mississippi en Oklahoma, où des traces des Viking sont réclamés ?






La pierre runique de Kensington

En 1898, un immigrant suédois a trouvé une pierre sur sa ferme près du petit village de Kensington, au Minnesota. La pierre, un petit bloc de grès, de la grauwacke, était enserrée dans les racines d’un jeune tremble. Sur deux de ses côtés se trouvait une inscription runique en suédois racontant comment 8 Suédois [Goths] et 22 Norvégiens avaient été victimes d’une catastrophe lors d’un voyage d’exploration à 14 jours à l’ouest du Vinland. Alors que des hommes étaient partis à la pêche, 10 autres avaient été tués. Cette tragédie date de 1362.

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Olof Öhman, un fermier d'origine américano-suédoise, déclare en 1898 avoir trouvé la pierre alors qu'il débarrassait sa terre d'arbres et de troncs afin de pouvoir la labourer. Elle a été trouvée sur un monticule ou un côté de colline, couchée face contre terre et enchevêtrée dans les racines d'un arbre supposé être âgé d'au moins une dizaine d'années. Aux dires de plusieurs témoins, quelques-unes de ces racines étaient aplaties et épousaient la forme de la pierre. Le fils d'Öhman, âgé d'une dizaine d'années, a alors remarqué des inscriptions et le fermier déclara qu'ils pensaient avoir trouvé un almanach indien. L'artefact a des dimensions de 76 × 41 × 15 cm et pèse environ 90 kg.

Les preuves archéologiques d'établissements vikings au Canada ne devant apparaître que 50 ans plus tard, l'idée de vikings errant à travers le Minnesota à cette époque semble alors impossible aux yeux de la plupart des universitaires du 19ème siècle.

En 1907, la pierre est achetée, apparemment pour 10 dollars par Hjalmar Holand, un étudiant diplômé de l'université du Wisconsin. Holand ravive alors l'intérêt du public et d'autres études sont menées par le géologue Newton Horace Winchell (Minnesota Historical Society) et le linguiste George Flom (Philological Society de l'université de l'Illinois), qui publient tous deux leurs conclusions en 1910.

Si on se réfère à Winchell, le peuplier sous lequel la pierre fut trouvée avait été détruit mais plusieurs peupliers proches et de même taille ont été coupés et, en comptant leurs anneaux, il a été déterminé qu'ils étaient âgés de 40 ans. Comme la région en question n'a été colonisée qu'après 1858, il est apparu que la pierre ne pouvait être une contrefaçon. Winchell conclut aussi que l'aspect désagrégé de la pierre indiquait que l'inscription avait bien 500 ans.

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La plupart des controverses sur l'authenticité de la pierre de Kensington sont fondées sur un conflit entre les évidences linguistiques et physiques. Le fait que la pierre runique ait été découverte par un fermier suédois dans le Minnesota à une période où l'histoire viking et la culture scandinave étaient très populaires et la publication de plusieurs articles sujets à caution, font qu'un voile tenace de scepticisme en résultera pendant plus de 100 ans.

En 1354, le roi Magnus IV de Suède accorda une lettre de protection à Paul Knutson pour un voyage au Groenland. Les établissements à l'ouest du Groenland avaient été retrouvés abandonnés — seul du bétail y subsistait — quelques années plus tôt et il était supposé que la population avait rejeté l'Église (et sa mainmise sur les fermes locales, acquises progressivement comme paiements de taxes diverses), était retournée au paganisme et partie vers ce qui sera connu plus tard comme l'Amérique du Nord.

En 1887, l'historien Gustav Storm mentionne ce voyage, suggérant son retour vers 1363 ou 1364. Il semble qu'il s'agisse des premiers travaux publiés qui se réfèrent à un voyage vers l'Amérique du Nord, concordant avec la date inscrite sur la pierre. Cela a depuis été confirmé par une lettre écrite en 1577 par Gérard Mercator à John Dee. Cette lettre donne un extrait des travaux plus anciens de Jacobus Cnoyen (maintenant perdus) décrivant un voyage au delà du Groenland dont le retour avec 8 hommes à bord date de 1364. Cnoyen mentionne également qu'un prêtre était du voyage et que celui-ci le décrivit dans un livre appelé Inventio Fortunate, livre qui est d'ailleurs cité dans nombre de documents du Moyen Âge ainsi que de la Renaissance, mais dont aucune copie ne subsiste.

L'Inventio est cité sur certaines cartes datant du xvie siècle comme étant leur source à propos de la description de l'Arctique. On ne sait pas si le voyage alla jusqu'à la baie d'Hudson mais quelques cartes montrent cette baie au moins 100 ans avant sa première exploration connue. Cela influence apparemment Christophe Colomb pour la planification de son voyage à travers l'Atlantique. Donc, même si un faussaire talentueux avait pu déduire la date à mettre sur la pierre en fonction des informations disponibles à cette époque, il semble qu'une expédition ait bien eu lieu à l'époque mentionnée sur la pierre.

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La voie navigable peut également contenir des signes de la présence viking. Au lac Cormorant, dans le comté de Becker au Minnesota, il y a trois rochers avec des trous triangulaires similaires à ceux utilisés pour amarrer les bateaux le long de la côte norvégienne au xive siècle. Holand a trouvé d'autres trous triangulaires dans des roches près du lieu où la pierre fut trouvée. Un morceau d'acier scandinave du xive siècle servant à allumer des feux est également trouvé entre le lac Cormorant et Kensington, lieu où la pierre runique a été découverte.

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D'autres artefacts vikings datés du xive siècle ont été trouvés au Minnesota mais apparemment aucun d'entre eux n'a été découvert sous contrôle archéologique...

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En décembre 1998, exactement un siècle après la découverte de la pierre de Kensington et pour la première fois depuis le rapport de Winchell de 1910, une analyse physique détaillée est menée ; elle inclut une photographie par un microscope à lumière réfractable, un prélèvement de roche et un examen au microscope électronique à balayage. En novembre 2000, le géologue Scott F. Wolter présente les résultats préliminaires suggérant que la pierre avait suivi un processus de changement relatif à un séjour dans le sol d'un minimum de 50 à 200 ans.

Par exemple, Wolter note la perte totale de mica sur la surface inscrite de la pierre. Des échantillons de pierres tombales dans le Maine âgés de 200 ans montrent une très grande dégradation en pyrite mais pas sa disparition complète comme cela a pu être remarqué sur la pierre. Étant donné que les échantillons de pierre tombale n'ont pas été sujets aux mêmes contraintes que la pierre, la comparaison suggère cependant que la pierre runique ait été enterrée bien avant le premier établissement européen moderne dans cette zone en 1858.



L'inscription sur la face (où plusieurs mots peuvent manquer à cause de la dégradation et à la calcification d'une partie de la pierre) dit:

« 8 göter ok 22 norrmen paa opthagelse farth fro winlanth of west Wi hathe läger weth 2 skylar en thags norder fro theno sten wi war ok fiske en thag äptir wi kom hem fan X man rothe af bloth og ded AVM frälse af illum. »

Traduction:

« 8 Goths de Scandinavie et 22 Norvégiens dans un voyage d'exploration venant du Vinland allant vers l'ouest. Nous avons établi des abris sur 2 îles rocheuses à un jour au nord de cette pierre. Nous avons pêché une journée. Quand nous sommes rentrés nous avons trouvé 10 de nos hommes en sang et morts AVM (Ave Maria) délivre-nous des démons ! »

Le texte sur le côté dit :

« har X mans we hawet at se äptir wore skip 14 thag rise from theno odh Ar wars Herra 1362. »

Traduction:

« Envoyé 10 hommes vers la mer pour aller chercher notre bateau 14 jours de trajet depuis ici An 1362 de notre Seigneur. »

En 2002, une autre analyse de Nielsen suggère que les formes linguistiques présentes sur la pierre étaient plausibles au xive siècle. De plus, les preuves d'existence pour tous les mots et runes inhabituels ont été trouvées dans d'autres sources médiévales...



Sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_runique_de_Kensington  + http://www.canadianmysteries.ca/sites/vinland/othermysteries/kensingtonrunestone/indexfr.html




Cartwheels In Space

An intriguing and totally unexpected wheel-shaped structure has been discovered by K. Taylor (Royal Greenwich Observatory) and D. Axon (Sussex University). Plates made with a 1-meter telescope show this curious dark pattern silhouetted against the Great Nebula in Orion. The circularity and neat set of six spokes make it seem a stellar UFO! No one knows its distance, age, or constitution. Speculation is that some interstellar winds may have created this artificial-looking object.

(Anonymous; "Cartwheels in the Sky," New Scientist, 83:804, 1979.)

Un panier à roues dans l'espace

Une structure en forme de roue intrigante et totalement inattendue a été découvert par les astronomes K. Taylor (Observatoire royal de Greenwich) et D. Axon (Université du Sussex). Les photos avec un télescope de 1 mètre montrent cette curieuse silhouette sombre contre la Grande Nébuleuse d'Orion. Sa circularité et l'ensemble précis de six rayons la font paraître comme un OVNI stellaire ! Personne ne connaît sa distance, son âge, ou sa constitution. La spéculation est que certains vents interstellaires peuvent avoir créé cet objet d'apparence artificielle...

(Anonyme, "Un Pannier à roues dans le ciel," New Scientist, 83: 804, 1979.)

Cartwheels space 1979

YH : cet objet spatial très lointain et gigantesque, d'apparence artificiel et extra-terrestre, n'a plus été signalé par la suite par les professionnels de l'espace...






The nuclear threat: bad dates

Woodmorappe has assembled an impressive and disconcerting collection of anomalous radiometric dates. Over 300 serious discrepancies are tabulated and backed by some 445 references from the scientific literature. To remove triviali-ties, only dates that were "wrong" by 20% or more were included. This criterion insured that the anomalous dates were off by one or more geological periods. To enhance his case, Woodmorappe excluded data for such troublesome minerals as K-feldspar, which have unreliable records. The surviving discordances will certainly disturb anyone who has long accepted radioactive dating as the near-final word in geochronology.

The lengthy text accompanying the table delves into the geological problems posed by the tabulated anomalies, primarily the severe distortions implied in the supposedly well-established geological time scale. Many attempts have been made to explain away these discrepancies, usually by asserting that the system must have been "open"; that is, contamination and/or removal of materials occurred. But a far more serious situation exists: the reluctance of researchers to publish radiometric dates that fly in the face of expectations. Data selection and rejection are epidemic. Some authors admit tossing out wild points; others say nothing.

(Woodmorappe, John; "Radiometric Geochronology Reappraised," Creation Research Society Quarterly, 16:102, 1979.)

L'analyse nucléaire: mauvaises dates

John Woodmorappe a assemblé une collection impressionnante et déconcertante de dates radiométriques anormales. Plus de 300 sérieuses divergences sont totalisées et soutenues par quelques 445 références de la littérature scientifique. Pour supprimer les liens de triviali, seules les dates qui étaient «mauvaises» de 20% ou plus ont été inclues. Ce critère assurait que les dates anormales étaient supprimées par une ou plusieurs périodes géologiques. Pour améliorer sa recherche, Woodmorappe a exclu les données relatives à ces minéraux gênants comme le feldspath potassique, qui ont des résultats non fiables. Les discordances survivantes vont certainement déranger les personnes qui ont depuis longtemps accepté la datation radioactive (carbone 14) comme le mot quasi-final dans la géochronologie.

Le long texte accompagnant la table plonge dans les problèmes géologiques posés par les anomalies sous forme de tableaux, principalement les graves distorsions implicites dans l'échelle des temps géologiques supposément pourtant bien établie. De nombreuses tentatives ont été faites pour expliquer ces écarts, généralement en affirmant que le système devait avoir été "ouvert"; autrement dit, une contamination et / ou l'enlèvement de matériaux se sont produits. Mais une situation beaucoup plus grave existe: la réticence des chercheurs à publier des dates radiométriques qui volent dans le visage des attentes (qui ne correspondent pas aux résultats attendus et conformes à la science officielles). La sélection des données et le rejet sont épidémies. Certains auteurs admettent publier des points faux; d'autres ne disent rien...

(Woodmorappe, John; "géochronologie radiométrique réévaluée," Création recherche de la Société Quarterly, 16: 102, 1979.)

YH : on voit ici que déjà dans les années 1970, le système de datation le plus utilisé et reconnu par la science officielle était mis à mal par certains scientifiques... ces divers travaux aboutiront à un recalibrage de certaines fourchettes établies auparavant par les données au carbone 14 (au début du 21eme siècle) mais aussi à l'obligation de ne plus s'en tenir qu'aux datations au carbone 14, d'autres méthodes devant être pratiquées conjointement. Un gros problème demeure néanmoins : de nombreuses datations établies avant ces modifications importantes (plusieurs millénaires selon les fourchettes de temps) n'ont jamais été mises à jour et modifiées dans les livres, musées, etc... Un gros travail de redatations d'artefacts de toutes natures reste à faire, mais la remise en question d'un pan de l'Histoire de l'Humanité semble beaucoup freiner les choses... ainsi que l'argent et le temps...




Bering Strait Theory Again In Trouble

If humans first populated North America via the Bering land bridge 10-20,000 years ago, how did human bones and artifacts get buried under a 50,000-year-old alluvial fan in California? Dogma demands that such finds be discredited. Thus, "Pleistocene Man at San Diego," the Calaveras Skull, and dozens of other archeological anomalies have been dismissed as the hoaxes and misidentifications of nonprofessionals. The latest hint of truly ancient man in America came after heavy rains in 1976 cut through 21 meters of deposits at Yuha Pinto Wash, just north of the Mexican border in California. The artifacts, still firmly in place, and associated bones are undeniably human. The overlying sediments are dated at more than 50,000 years old.

(Childers, W. Morlin, and Minshall, Herbert L.; "Evidence of Early Man Exposed at Yuha Pinto Wash," American Antiquity, 45:297, 1980.)

American antiquity

La théorie du détroit de Béring à nouveau en difficulté



Si les humains ont d'abord peuplé l'Amérique du Nord via le détroit de Béring il y a 10-20,000 ans, comment des os et des artefacts humains ont pu se faire enterrer sous un cône alluvial vieux de 50,000 ans en Californie ? Le Dogme exige que de telles trouvailles doivent être discréditées. Ainsi, le "Pléistocène Man de San Diego", le crâne de Calaveras, et des dizaines d'autres anomalies archéologiques ont été rejetées comme des canulars et des méprises de non-professionnels. Le dernier indice de l'ancienneté de l'homme dans l'Amérique est venu après de fortes pluies en 1976 et une crevasse à travers 21 mètres de dépôts à Yuha Pinto Wash, juste au nord de la frontière mexicaine en Californie. Les artefacts, toujours fermement en place, et les os associés sont indéniablement humains. Les sédiments sus-jacents sont datés vieux de plus de 50.000 ans.

(Childers, W. Morlin, et Minshall, Herbert L .; "Preuve de Early Man Exposed au Yuha Pinto Wash," American Antiquity, 45: 297, 1980.)

YH : Notez qu'à cet endroit même, à Yuha Pinto Wash en Californie, existe encore de très grands géoglyphes dessinés dans le désert par les indiens, pour se souvenir que ce désert a été il y a très longtemps habité par l'être humain... malheureusement, une grande partie de ces géoglyphes géants visibles du ciel (un peu comme à Nasca ou ailleurs en amérique latine) a été détruite par une bande de motards attardés (tous ne le sont pas heureusement !), dans les années 1970... Et notez aussi qu'il existe plusieurs endroits aux USA où des géoglyphes géants ont été découverts :

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Anomalous Sounds From An Australian Fireball

On April 7, 1978, a very large fireball passed through the atmosphere above the east coast of New South Wales. Seen by hundreds, it generated many high quality reports. Fifteen of the written reports mentioned anomalous sounds -- hisses, hums, swishes, and crackling sounds heard simultaneously with the visual sighting. Such sounds are anomalous because the meteor is tens of kilometers high and real sound would take a minute or more to reach the ground. (The sound from a detonating meteor is often heard several minutes later.)

Keay is convinced of the reality of the anomalous sounds and suggests that the highly turbulent plasma in the meteor wake generates powerful electromagnetic radiation at audio frequencies. This intense radio energy reaches the earth at the same time the visible light does. It may be converted into sound as it interacts with the surface and the observer.

(Keay, Colin S.L.; "The 1978 New South Wales Fireball," Nature, 285:464, 1980.)

Des sons anormaux d'une boule de feu australienne

Le 7 Avril 1978, une très grosse boule de feu a traversé l'atmosphère au-dessus de la côte est de la Nouvelle-Galles du Sud. Vue par des centaines de personnes, il a généré beaucoup de rapports de haute qualité. Quinze des rapports écrits font mention de sons anormaux - des sifflements, bourdonnements, bruissements, et craquements entendus simultanément avec l'observation visuelle. Ces sons sont anormaux parce que le météore était à des dizaines de kilomètres de hauteur et un son réel prendraient une minute ou plus pour atteindre le sol. (Le son d'un météore détonant est souvent entendu plusieurs minutes plus tard.)

Keay est convaincu de la réalité des sons anormaux et suggère que le plasma très turbulent dans le sillage des météorites génère un rayonnement électromagnétique puissant ayant des fréquences audio. Cette énergie de radio intense atteint la terre en même temps que la lumière visible le fait. Elle peut être convertie en son, tel qu'il interagit avec la surface et l'observateur.

(Keay, Colin SL; "1978 Boule de feu de Nouvelle-Galles du Sud ," Nature, 285: 464, 1980.)




A suivre pour d'autres pages...



Yves Herbo Traductions, Sciences, F, Histoires, 04-11-2015

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