dimanche 7 décembre 2014

Une autre légende qui perdure, le Yéti

Une autre légende qui perdure, le Yéti

Son origine n’est pas connue tellement elle est lointaine, mais il est certain que le Yéti a toujours fait partie des légendes et croyances des peuples du Tibet. Yéti dans le nord-est du Népal (traduction : créature magique), Migö ou Migou (Homme Sauvage) dans l’Himalaya ou aussi Gang-Mi (Homme des glaciers), tous les sherpas des montagnes en ont entendu parler, certains l’ont même aperçu. Selon eux, il pourrait tuer un yack d’un seul coup de poing.

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Patterson (1967)

Curieusement (mais peut-être pas tant que ça), les légendes du Yéti, aussi bien en Inde que jusqu’en Chine et Asie du sud-est (les Kmers en parlent), nous ramènent à un personnage ayant possiblement un lien avec les Annunakis de Sumer ! En effet, on trouve sa première citation écrite dans les manuscrits très connus du Ramayana, écrit en sanscrit aux alentours de notre an zéro, mais recopiant en grande partie des textes datant au minimum de 2000 ans AV. JC. Ces écrits ne sont pas seulement des textes religieux car, composés de sept livres, sont surtout composés de témoignages, données astronomiques et scientifiques (renommés en légendes et mythes à l’heure actuelle). Ce sont d’ailleurs les données scientifiques assez précises du ciel de l’époque qui ont permis la datation du règne de Rama, au 20° siècle avant J.C. Hormis le fait que ces données parlent des véhicules servant aux « dieux », ressemblants assez fortement à certains engins inconnus vus tout au long de l’Histoire humaine, ces textes parlent surtout des Hommes de l’époque et de leurs interactions avec les évènements de l’époque (Rama, héritier légitime, est désavoué par son père le « roi-dieu » et s’exile avec son frère et sa fiancée Sita. Cette dernière est enlevée par Ravana, cité comme un « démon » puissant et protégé des autres dieux et démons, mais pas des humains, et est emmenée vers des îles au sud (Sri Lanka peut-être). Après une épopée longue et une pénible recherche, Rama retrouve Sita…).

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 Hanuman, Kendrapada

En effet, lorsque Rama retrouve Sita, il est avec un dénommé Hanuman, Général de l’armée des Singes. Rama tue Ravana, et récupère par la suite son trône pour gouverner avec sagesse. Mais regardons de plus près comment sont décrits Hanuman et son armée de Singes :

Dans l'hindouisme, Hanumân (en sanskrit « pourvu (mân) de [fortes] mâchoires (hanu) ») est un héros du Rāmāyana, une épopée qui raconte le périple de Râma.

Fils de Vâyu ou de Pawan, le dieu du vent, il a l'apparence d'un singe et plus précisément d'un langur à face noire (Semnopithecus entellus). Il est décrit comme assez fort pour soulever des montagnes, tuer des démons et rivaliser de vitesse avec Garuda, l'oiseau véhicule de Vishnu.

Grand admirateur de Râma, (un avatar de Vishnu), Hanumân le rencontre à la recherche de sa femme Sîtâ, perdu dans la forêt de Kishkindhâ. Il l'aide à vaincre le roi des démons Râvana, qui avait enlevé Sîtâ.

Dans l'Hindouisme moderne, c'est un dieu très populaire dans les villages.

Hanumân est le dieu-singe, patron des lutteurs, dieu de la sagesse. Il est souvent représenté avec une massue.

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Bas-relief Kmer-armée des Singes

Une caractéristique d’Hanumân est sa fidélité complète et permanente à Rama, son Maître spirituel. Sa vie entière, ses actions, ses jours et ses nuits sont consacrés à servir son Maître. En un mot, Hanumân est l’image du parfait disciple. Après la victoire, Rama voulut récompenser Hanumân. Celui-ci refusa, trop heureux d'avoir été le champion de l'amour et de la justice. Cette noblesse est aujourd'hui encore illustrée par le proverbe hindou: "les singes pleurent sur les autres, jamais sur eux-mêmes."
A l'origine Hanumân était le gardien des propriétés et tout fondateur d'un nouveau village se devait d'ériger sa statue.

Les singes hanumân (grandes mâchoires) seraient ses descendants. Ils sont respectés et protégés par les populations hindoues, malgré les nombreux saccages qu'ils commettent. Ils sont, après la vache et le serpent, les animaux les plus sacrés.

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Haniman, Java


http://fr.wikipedia.org/wiki/Hanuman

Ce petit article simplifié (qui est étayé par de multiples écrits reconnus - http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C4%81m%C4%81yana, suffit en lui-même pour établir un lien entre les yétis, décrits comme de grands singes puissants et les Hanuman, décrits comme des singes à fortes mâchoires, peut-être descendants des Annunakis, décrits eux-mêmes en – 6000 comme des géants à fortes mâchoires…

L’un des premiers témoignage visuel « récent » date de 1832, bien que l’explorateur J.B. Fraser a déjà mentionné des témoignages sur une étrange animal en 1820. En 1921, le Colonel Howard Bury, alpiniste renommé, photographie sur les flancs du Mont Everest la première découverte des empreintes identifiées par un Yéti. Les porteurs (Sherpas) de l’expédition déclarèrent tous qu’il s’agissait de traces du Metch-Kangmi (Répugnant Homme des Neiges), un monstre vivant dans les montagnes. Le répugnant (transformé en abominable) homme des neiges était né et fit le tour du monde. M. Tombazi, photographe grec, membre de l’expédition géologique britannique de 1925, aperçoit dans le secteur de Sikkim une créature de taille humaine, entièrement recouverte de poils et possédant un crâne de forme conique qui marche à travers les rhododendrons. De nombreuses traces de pas sont découverte à l’endroit où il se tenait. Au village qui sert de camp de base, les habitants lui dirent qu’il avait vu le démon Kanchenjunga.

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En 1938, le Capitaine d’Auvergue se serait perdu lors d’une tempête de neige, et aurait été secouru et hébergé par un Yéti jusqu’à ce qu’il puisse rentrer chez lui. De nouvelles traces étaient photographiées en 1951 par Eric Shipton sur le glacier Menlung, situé entre le Tibet et le Népal, à plus de 6000 mètres d’altitude. Les traces mesuraient de 33 à 45 centimètres et semblaient très fraiches. L’abbé Bordet faisait la même trouvaille en 1955. D’après ces empreintes, le Yéti n’aurait que quatre doigts, assez étrange. Une autre hypothèse voudrait que deux de ses orteils soient très proches et ne se distingueraient pas dans les traces de pas. Le premier homme à avoir escaladé le Mont Everest, Sir Edmund Hillary, découvrait en 1953, dans le monastère de Khumjung Gompa, un scalp de Yéti conservé telle une relique sacrée. Ce scalp, vieux de 300 ans, a une circonférence de 65 centimètres.

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Scalp de yéti monastère de Khumjung Gompa

En 1957, une expédition est montée et conduite par Tom Slick, visant à prouver l’existence de primates encore inconnus. Des excréments ont été découverts et leur analyse a révélé des faits encore plus troublants et inexpliqués. En effet, trois parasites intestinaux découverts sont inconnus. Des poils ont également été analysés et les résultats se rapprochent des analyses de poils de Bigfoot américains, poils d’un grand primate d’espèce inconnue. Une précision est apportée cependant car le Yéti est décrit comme un primate roux, proche de l’orang-outan sans toutefois en être un.

En 1961, l’Etat Tibétain reconnaît officiellement l’existence du Yéti (mais c'est lui qui n'existe plus maintenant !), au point d’en faire son symbole national. Don Whillans, lors d’une expédition sur la face sud de l’Annapurna en 1970 découvre de nombreuses traces de Yéti. Balayant la région de ses jumelles, il est stupéfait de voir, escaladant une paroi, une créature humanoïde de grande taille recouverte d’une fourrure sombre. Il put le voir marcher sur des corniches pendant trente minutes passées puis, parvenue sur un plateau, la créature disparut dans la forêt. Whillans apprit par la suite que la vallée dans laquelle il avait vu la créature s’appelait « la Vallée du Grand Singe » …

Un incident eut lieu en 1974, lorsqu’une jeune sherpa se retrouva face à face avec un Yéti. Elle poussa des hurlements, paniquant la bête qui tua 2 yacks avant de s’enfuir. On retrouva de nombreuses empreintes de pas sur place.

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Au fur et à mesure des témoignages, du temps qui passe et de la communication plus facile entre les peuples, on s’aperçoit qu’il existe plusieurs sortes de races, ou espèces de Yétis. Au Népal vivrait le Grand Yéti, végétarien mais qui peut devenir omnivore en cas de manque de nourriture. Dans le même secteur, on trouve également le Rakshi-Bompo, plus petit que le Yéti mais beaucoup plus agressif et carnivore. Plusieurs zones géographiques et ethniques citent le Bang, le Bangjakri, Ban-Vanas ou Van Manas.

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Des études encore plus récentes de cryptozoologues indiquent que l’Homme des Neiges de l’Himalaya se décompose en fait en trois types bien distincts de primates, dont la zone de répartition de recoupe parfois : un être de taille modeste, le « petit yéti » qui est certainement le plus célèbre et vit au Népal, au Sikkim et dans le nord de l’Inde, un être de très grande taille (plus de deux mètres), le « grand yéti » signalé surtout en Chine du sud (Yeren), en Indochine et en Indo-Malaisie, que certains apparentent au Gigantopithèque, et pour fini, un homme sauvage véritable, appartenant sans conteste au genre Homo, dont l’aire de répartition est bien plus considérable, puisqu’elle couvrirait une grande partie de l’Asie depuis le Caucase jusqu’en Indochine, avec le Pamir,, la Cachemire, Mongolie du sud, Tibet…
Ces trois variétés sont aussi appelées Nyalmot, de 4,50 mètres de haut, le Rimi, de 2,50 mètres et le Bombo, de 1,50 mètres. Ces trois variétés auraient en commun des poils roux, une force phénoménale, une odeur nauséabonde, certains peuvent rugir, mais dans la majorité des cas, ce sont des cris stridents qui ont été entendus.

En 1992, au Népal, deux randonneurs dans l’Himalaya filment un Yéti s’éloignant dans la neige, malgré la mauvaise qualité du matériel, certains y voient une preuve de plus.


En 2003 lors d’une expédition M. Takahashi avait pu voir à environ deux cent mètre de lui ce qu’il pense être un Yéti. La créature marchait sur deux jambes et mesurait environ un mètre cinquante. Depuis, l’homme n’a de cesse que de revoir cette créature et la filmer.

En 2008, durant les six semaines d’expéditions ils quadrillèrent la zone avec des caméras, des appareils photo, des longues vues et caméra à infrarouge.

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Finalement ils ne trouvèrent que des traces de pas dans la neige… Pour les membres de l’expédition elles ne peuvent pas venir d’un ours ou un autre animal de la région. En effet, ces traces semblent assez semblables à celle d’un être humain.

Nous sommes en novembre 2010 lorsque des experts de la réserve naturelle de Shennongjia en Chine dans la province de Hubei ont fait des analyses sur des échantillons de poils. Ces poils auraient été découverts dans une zone où la population locale affirme voir des créatures ressemblant à des bigfoot.

Il semble que dans la région un peu plus de quatre cent personnes ont vu une créature qui d’après leurs témoignages seraient mi-homme mi-singe. Cette espèce se déplacerait debout et mesurerait un peu plus de deux mètres de haut. Les témoignages parlent d’un pelage gris, roux ou noir recouvrant l’intégralité du corps.
D’après les premières analyses des experts chinois, ces poils semblent plus épais que les cheveux d’un être humain. Ces poils semblent pour le moment aussi différent des espèces locales. Mais actuellement il faudra encore d’autres analyses afin de savoir si ils appartiennent à une espèce connu ou non.

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Dans le Caucase, déjà cité, ce type d’hominidé/primate existe également et l’historien russe Boris Porshnev et le professeur Rinchen, de Mongolie, deux scientifiques reconnus, ont effectués de nombreuses recherches dans cette région dans les années 70. Témoignages en direct des témoins de rencontres avec des yétis, ils peuvent observer quelques spécimens au loin. Dans les comptes-rendus d’une exploration de la Mongolie et du désert du Gobi par le Colonel Nikolai Prsvalsky au 19ième siècle, il rapporte avoir aperçu des créatures marchant sur deux pattes, comme des hommes, de taille inférieure à l’humain. L’affaire fut étouffée à l’époque par le gouvernement impérial. Les habitants de cette région appellent ces créatures des Almas. On peut aussi découvrir qu’en Azerbadjan, les forêts tropicales sont peuplées d’Abanauyus, « les Hommes des Forêts » et celles du Kazakhstan par des Kiik. En Sibérie, des paysans affirment que des Chuchunaas, sorte d’hommes des cavernes de deux mètres de haut, leur ont dérobé des provisions de nourriture…

Certains pensent que les Yétis seraient une variété d’hommes préhistoriques qui n’aurait pas évoluée… mais comment expliquer sa taille imposante, car les hominidés étaient plutôt petits. Certains scientifiques prônent la théorie d’une colonie de Gigantopithèques. Ce dernier étant un grand singe ayant vécu sur notre planète de -1,8 million d’années à – 10.000 ans environ. Il ressemblait à un gorille mais sa taille à quatre pattes dépassait celle d’un homme actuel. On a surtout trouvé ses fossiles dans le Sud-Est asiatique et en Chine. De nouvelles photos d’empreintes et des moulages d’empreintes de pieds d’une créature de taille supérieure à un homme correspondent également au Bigfoot américain, y compris par les témoignages.

Octobre 2011 : Une délégation internationale de scientifiques a collecté des "preuves irréfutables" de l'existence du yéti dans la région russe de Kemerovo, en Sibérie, a annoncé l'administration régionale sur son site internet.

"Lors d'une expédition dans la grotte Azasskaïa, les participants ont collecté des preuves irréfutables démontrant que "l'homme des neiges" vit dans la contrée montagneuse", explique le communiqué publié dimanche soir, sur la base des découvertes de chercheurs russe, américain, canadien, suédois et estonien.

"Des empreintes de l'homme des neiges, son antre supposée et différents marqueurs avec lesquels le yéti démarque son territoire ont été trouvés. Dans l'une des empreintes découvertes, le scientifique russe Anatoli Fokine a trouvé des poils appartenant potentiellement au yéti", selon la même source.

La région de Kemerovo souligne dès lors que ces trouvailles prouvent "à 95% que l'homme des neige vit "sur son territoire" et qu'elles seront "étudiées dans un laboratoire scientifique".

A ce titre les chercheurs de l'expédition ont milité pour la création à l'Université d'Etat de Kemerovo d'un centre d'étude du yéti, reprenant une proposition de l'administration régionale formulée en mars mais qui avait été rejetée alors par la faculté.

"Ces études feront en sorte que la société et les médias prendront plus au sérieux ce qui concerne (le yéti). Les données (du centre d'étude) pourront être utiles aux biologistes, aux médecins et à d'autres scientifiques", relève encore le communiqué de l'administration régionale. (Le Point-octobre 2011).

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Patterson, 1967

En ce qui concerne le Big Foot du nord de la Californie américaine, les médias ne veulent entendre parler que des témoignages issus des cinquante dernières années, omettant volontairement tous les témoignages précédents et légendes indiennes locales. En fait, y compris aux Etats-Unis, les récits historiques de ces êtres remontent aux 18ième et 19ième siècles, et si on se réfèrent aux légendes indiennes du Sasquatch, remontent à bien plus vieux…

Selon certains septiques, un paradoxe survient tout de même quant à cette population possible de primates ou hominidés, signalée un peu partout dans le monde, là où il y a de grandes forêts, des lacs et des montagnes. C’est que pour survivre en tant que race sur de si longues années, c’est qu’ils devraient être des milliers… Or, les zoologues, anthropologues, n’ont apparemment jamais au l’occasion d’en examiner un de près. Pourtant, on le voit dans plusieurs reportages disponibles sur internet, même les gardes forestiers, les chasseurs et habitants de la région sont unanimes sur les traces et témoignages nombreux : il y a bien quelque chose. En 1967, le film de Patterson d’un Big Foot femelle trouble beaucoup la communauté, ses analystes et ceux qui enquêtent vraiment sur le sujet.


En se référent aux légendes indiennes, ont peut penser que les Sasquatchs hantent les lieux depuis des générations, d’ailleurs, leur puanteur y serait aussi mentionné, ainsi que des endroits où ils se cacheraient : des grottes et sous-terrains créés par les phénomènes telluriques de la région dans les monts au-milieu de la jungle. Ces endroits dégageraient une odeur nauséabonde empêchant toute vie humaine (des émanations volcaniques ?) mais les habitants des lieux y seraient habitués depuis des lustres…

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Reste que même les analyses ADN des poils ne donnent rien en l’absence de toute correspondance : il s’agit de poils de singes (petits) découverts effectivement en Asie ces dernières années ou d’une race inconnue non encore identifiée pour d’autres…  La nouvelle espèce découverte en Birmanie en 2010 contredis l’affirmation qu’il y aurait besoin de milliers d’individus pour qu’une race survive car on estime la population de cette nouvelle race découverte en 2010 est entre 260 à 330 individus, ce qui la classe bien sûr directement dans les espèces en voix de disparition, certes (et il y a urgence en la matière vu le pays), mais cela démontre aussi qu’un territoire de 270 km de jungle peut inclure une telle population. Or, aussi bien la région de l’Himalaya que de la Californie du Nord  comprennent des milliers de kilomètres carrés parfois inexplorés encore de nos jours… (10% du territoire des USA est totalement désert d’activité humaine). La taille des animaux sauvage étant proportionnelle aux territoires possibles, la présence d’êtres d’assez grande taille non encore répertoriés sur Terre est assez probable…

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2010-singe Birman découvert

Yves Herbo, Sciences,F, Histoire (11/2011)

Sources : http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/zoologie/d/une-nouvelle-espece-le-singe-qui-eternue-sous-la-pluie_25902/

http://perso.wanadoo.fr/cryptozoo/vedettes/abominab.htm

http://www.mystere-tv.com/la-legende-du-bigfoot-v604.html

http://dark-ride.org/?p=495

Des excréments ont été découverts associés à des pistes de yeti : l'étude parasitologique a révélé la présence de trois espèces de parasites intestinaux encore inconnues de la science, démontrant que leur hôte est lui-même inconnu ! (Sanderson 1963)

Des poils attribués au yeti obtenus par René de Milleville ont été étudiés par Michel Tranier, du Muséum National d'Histoire Naturelle, pourtant très réservé quant à la cryptozoologie : "il s'agit de "poils d'un primate roux proche de l'orang-outan", sans qu'ils appartiennent à ce dernier...".

MAJ 17-7-2012 : Complément à cet article : http://sciences-fictions-histoires/blog/sciences/des-test-adn-pour-eclaircir-le-mystere-du-yeti.html

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Les empreintes de pas près du véhicule

En Californie, le Big Foot fait toujours parler de lui. Fin 2011, des habitués aux randonnées hivernales dans les montagnes enneigées et faisant partie de l'Expedition Big Foot 2011 (des chercheurs donc) ont été surpris par de fortes chutes de neige et ont dû abandonner leur véhicule pour se réfugier dans un abri connu. 3 jours plus tard, le calme étant assuré, ils ont rejoint leur voiture et ont découvert, imprimées par la neige et la saleté sur les vitres, des empreintes assez nettes d'un animal debout et assez grand. Des traces montrent aussi que le véhicule a été "brutalisé" et secoué par quelque chose de très fort. La question est toujours évidemment de savoir s'il s'agit d'un ours ou d'un Big Foot, mais l'empreinte de ce qui ressemble à de très longs poils ou même cheveux augmente le doute en ce qui concerne l'ours... :

Pour finir tristement, un chasseur nommé Justin Smeja a revendiqué tout récemment avoir tué (assassiné ?) un tout jeune Bigfoot, voici en VO une très longue interview ainsi que quelques photos (vers 33-34 mn) qui montrerait plutôt un chimpanzé à mon avis, mais il est dit dans la vidéo que des premiers tests ADN confirmeraient une découverte importante :

Les résultats et avis sur des analyses ADN de poils de Bigfoot (ou Sasquatch) confirment que celui-ci n'est pas humain, mais très proche. Les comparaisons avec des primates comme des chimpanzés et gorilles n'ont rien donné de concluant. Pour ces chercheurs, il semblerait qu'il s'agisse d'Homo Sapiens ayant évolué légèrement différemment que la majorité, une adaptation spécifique en faisant de "vrais hommes des bois"... Une prochaine comparaison avec l'ADN de Néanderthal va être effectuée. Voir l'article en VO ici : http://alamas.ru/eng/publicat/DNA_of_Bigfoot_e.htm
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Aussi étonnant que cela puisse paraître, les Alpes et ses environs, France comprise, possèderait aussi ses mystères concernant une race d'êtres ou d'Hommes des Bois. Certains scientifiques seraient même proches d'admettre une hybridation entre Homo Sapiens et Homo Neanderthalis pour donner cette race ! :

Attention, une nouvelle fois, des entreprises comme Youtube efface et censure des documents historiques sous pretextes de droits privés... mais dans la mesure où ces documents ne sont exploités et visibles nulle part après, ils disparaissent bel et bien de la mémoire et connaissance humaine, ce qui est inadmissible... il doit rester des traces et extraits de ce qui est volontairement enlevé... nous avons encore des exemples de vidéos disparues ici.
Relativisons un peu tout de même :
Le Bigfoot, fils d'une Homo sapiens... et de père inconnu ?

Une vétérinaire texane déclare avoir pu séquencer de l'ADN de Bigfoot (ou Sasquatch). - 2013
Communiqué

Sur le site de la Société DNA Diagnostics, Inc. un communiqué de presse a été déposé concernant les premiers résultats de travaux dirigés du docteur Melba S. Ketchum. Le communiqué précise qu'une équipe d'experts (généticiens, médecine légale…) travaille depuis 5 ans sur de l'ADN de Bigfoot. Ce n'est pas un génome, mais trois génomes complets que les "experts" ont pu analyser !
Le séquençage du génome du Bigfoot

Le Docteur Melba S. Ketchum donne, dans le communiqué, des précisions : «Notre étude a permis de séquencer 20 génomes mitochondriaux complets et utilisé la prochaine génération de séquençage pour obtenir 3 génomes nucléaires complets à partir d'échantillons supposés de Sasquatch. Le séquençage du génome montre que l'ADNmt de Sasquatch, semblable à celui d'Homo sapiens modernes, correspond toutefois à un nouvel hominidé inconnu, liée à Homo sapiens et d'autres espèces de primates. Nos données indiquent que le Sasquatch d'Amérique du Nord est une espèce hybride, résultant de métissages de mâles d'une espèce d'hominidé inconnu avec des femelles Homo sapiens."…
Le Bigfoot, proche de l'homme actuel ?

"L'ADN nucléaire du Sasquatch est incroyablement nouveau et ne correspond pas du tout ce que nous avions imaginé. Bien qu'il ait l'ADN nucléaire humain dans son génome, il y a aussi distinctement des séquences d'ADN qui n'appartiennent ni aux humains actuels, ni à des hominidés anciens et ni aux autres primates (singes)".

En effet, pour le Docteur Melba S. Ketchum le nouvel ADNmt n'a pas de parenté avec Homo néanderthalensis ni avec l'Homme de Denisova (qui, rappelons-le, n'a été identifié que grâce à son ADN).
Ce qu'il faut retenir… avant de s'enflammer !

- ce communiqué, repris par les médias n'est qu'un… communiqué ! C'est-à-dire que l'étude n'est pas publiée et encore moins dans une revue scientifique avec comité de relecture.

- pour frapper les esprits la presse fait un amalgame entre le BigFoot (Sasquatch) et le Yéti… alors que ces hypothétiques animaux ne sont même pas sensés vivre dans la même région du monde.

- l'auteur du communiqué, le Docteur Melba S. Ketchum, est en fait la fondatrice de la société DNA Diagnostics, Inc. qui a publié le communiqué : on n'est jamais mieux servi que par soi-même...
- aucune mention sur l'origine des 3 échantillons et les moyens de prouver que l'ADN correspond bien à ce mystérieux Sasquatch.

2014 : " SUR LES TRACES D'UNE REVELATION ?

Publié le 14 Janvier 2014 par Nikolaï poland

Selon les travaux d'une vétérinaire texanne, Melba S. Ketchum, le Bigfoot ou Sasquatch serait un cousin de l'espèce humaine qui serait apparu il y a de cela 15.000 ans. Une hypothèse soutenue par l'étude de son ADN qui suggère également qu'il se serait même reproduit avec des femmes humaines donnant ainsi naissance à des individus hybrides.
Big Foot, Sasquatch ou encore abominable homme des neiges en version moins flatteuse, le Yéti possède bien des noms à travers le monde. Pourtant, au sein de la communauté scientifique, il reste aujourd'hui un être légendaire dont on n'a jamais vraiment réussi à prouver l'existence. Et ce, malgré de nombreuses recherches dont certaines sont encore en cours. Entre témoignages visuels et supposés indices matériels, les hypothèses se multiplient ainsi depuis des décennies. Toutefois, pour une vétérinaire texane, cela ne fait aucun doute : Bigfoot (la version américaine du Yéti himalayen) existerait bel et bien.
C'est du moins ce qu'affirme une société du nom de DNA Diagnostics qui rapporte dans un communiqué les travaux de Melba S. Ketchum. "Une équipe de scientifiques peut attester que leur étude d'ADN de cinq ans, actuellement en relecture, confirme l'existence d'une nouvelle espèce d'homininé hybride, couramment appelé Bigfoot ou Sasquatch vivant en Amérique du Nord", explique le fameux communiqué cité par LiveScience. Mais celui-ci va même plus loin en indiquant que Sasquatch serait en fait "un cousin de l'espèce humaine qui est apparu il y a environ 15.000 ans".
Un croisement entre un homininé inconnu et un Homo sapiens
Pour arriver à cette conclusion, la vétérinaire et ses collègues auraient travaillé à partir de trois génomes nucléaires complets issus de prétendus échantillons de Yéti. Ils auraient également obtenu du génome mitochondrial, contenu dans les structures productrices d'énergie des cellules, les mitochondries. En étudiant les deux génomes, les chercheurs auraient alors constaté que l'ADN mitochondrial était identique à celui de l'Homo sapiens moderne. En revanche, l'ADN nucléaire lui, a montré des différences s'apparentant à celles d'un nouvel homininé cousin de l'Homo sapiens et d'autres espèces de primates.
"Nos données indiquent que le Sasquatch d'Amérique du Nord est une espèce hybride, le résultat d'un croisement entre un mâle d'une espèce inconnue d'homininé et d'une femelle Homo sapiens", précise le communiqué. Autrement dit, les chercheurs suggèrent qu'un ancien homininé se serait un jour accouplé avec un Homo sapiens et aurait ainsi donné naissance à un hybride donc en partie humain. Reste que cette hypothèse est sans surprise largement sujette à débat, notamment parce que l'étude de Ketchum n'a pas encore été publiée et que la vétérinaire a refusé d'en dévoiler davantage à son sujet.
Le mystère plane sur l'origine des échantillons
Pour l'heure, il est donc impossible de valider ces conclusions, mais si les résultats s'avèrent corrects au sujet de l'ADN mitochondrial, deux hypothèses peuvent être envisagées : la première, celle envisagée par Ketchum, qu'une hybridation a bien eu lieu. La seconde, plus simple, celle que les échantillons ont été contaminés. Autrement dit que la personne qui a collecté ou manipulé ces derniers y a accidentellement introduit son ADN, ce qui peut se faire aussi facilement qu'en toussant ou en éternuant. Une hypothèse renforcée par le fait qu'en dehors de Ketchum et de son équipe, personne ne sait d'où sont issus les fameux échantillons, ni qui les ont prélevés.
De même, on ignore comment les chercheurs ont pu s'assurer que ceux-ci venaient bien du Yéti américain relève LiveScience. Comment peuvent-ils être sûrs que cela ne vient pas d'un autre animal errant ou même d'un humain ? Dans la mesure où aucun prélèvement n'a jamais pu être formellement identifié comme appartenant à Bigfoot, ils ne disposent d'aucun support de comparaison. Par le passé, l'analyse ADN de certains échantillons a permis de qualifier ces derniers d'inconnu ou de non identifié. mais là encore, la preuve n'est pas faite que non identifié veuille dire appartenant à Bigfoot.
Le mystère reste donc entier aujourd'hui et ne pourra se dévoiler que lorsque l'étude de Ketchum sera enfin publiée. Si la vétérinaire détient réellement la preuve qu'elle affirme, alors la preuve sera faite que Bigfoot existe bel et bien. De quoi captiver l'attention du monde entier et d'inciter les scientifiques à partir à la recherche de la créature. Mais si ce n'est pas le cas, aucun doute que les spécialistes n'en resteront pas là et tenteront encore et toujours de prouver son existence. "
http://nikolai-poland.over-blog.com/2014/01/sur-les-traces-d-une-revelation-selon-les-travaux-d-une-v%C3%A9t%C3%A9rinaire-texanne-melba-s.-ketchum-le-bigfoot-ou-sasquatch-serait-un-cou
En août 2014, à l'émission "Coast to Coast", la scientifique Ketchum a parlé de ses analyses et du fait qu'elle a récupéré les échantillons de poils et cheveux ayant permis cette étude de l'ADN grâce aux indiens natifs américains, elle a aussi montré une lettre d'un autre technicien de l'ADN qui confirme ses analyses à sa façon... elle assurerait également que des gens chercheraient à cacher et censurer ses travaux... :
Une page facebook a été ouverte (en son nom) : https://www.facebook.com/pages/Dr-Melba-Ketchum/359075637446173
L'affaire semble donc loin d'être terminée après 5 ans de polémiques... Elle est aussi maintenant partie prenante pour une recherche poussée sur les origines réelles de l'Homme et a adhéré au mouvement Ancient Humans Origins puisque pour elle, le Big Foot est une composante de la race humaine ancienne...
Yves Herbo, Sciences, F., Histoires, 30-11-2011, 17-7-2012, up 05-12-2014

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