Apparitions Mariales et OVNIS
Zeitoun, Egypte, 1968-1969
Généralement l’Eglise fait preuve d’une très grande prudence avant de canoniser un saint ou de reconnaître un miracle et les esprits scientifiques — rationalistes impénitents ou non — ne pourront, en l’occurrence, que lui donner raison; nous en avons justement présentement de très bons exemples sous les yeux, bien sûr avec le cas de Fatima en 1917 auquel s’est intéressé le feu contre- amiral Gilles Pinon mais aussi avec celui de Medjugorje en Yougoslavie et et de Kibeho au Rwanda qui sont un peu moins connus.
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Que s’y est t-il passé en effet ? A Medjugorje, aux fins fonds des Balkans, plusieurs adolescents ont prétendus voir et parler quotidiennement à la Sainte Vierge pendant plus de mille jours, et foules et autorités s’en sont émus; des pèlerinages ont même eu lieu, sans la caution de la hiérarchie ecclésiastique.
Au Rwanda, les choses se compliquent encore un peu plus, même si à l’origine, les événements semblent identiques : pendant plus de trois ans, une poignée de collégiennes et un tout jeune homme du petit village de Kibeho ont affirmés non seulement voir la Vierge Marie, mais également — ce qui est rarissime — Jésus, et s’entretenir avec eux des malheurs de ce monde. En outre, et c’est là précisément que les choses se corsent — l’un des « voyants » aurait fait état, selon un observateur s’étant rendu sur place, de « signes dans le ciel », comme à Fatima au Portugal, lorsque le disque solaire avait soit-disant dansé et était descendu vers la foule rassemblée à la Cova de Iria, le 17 octobre 1917.
Disque, croix, ou hostie géante ? ou plutôt ovni, comme l’affirment depuis longtemps certains ufologues avertis ?
Le doute est toujours permis en pareil cas, d’autant qu’à l’époque, aucun observatoire n’a été en mesure de détecter quoi que ce soit d’anormal dans le ciel au jour et à l’heure dite.
Il existe bien certes des phénomènes dits solaires depuis fort longtemps — de nombreux témoignages et observations ont déjà été collectés — , mais malheureusement, tous les efforts déployés jusqu’ici pour établir une corrélation évidente quelle qu’elle soit entre les dits phénomènes solaires et les apparitions de type ufologique ou mariale, n’ont jamais abouti et le mystère demeure.
La seule chose que l’on puisse affirmer est qu’un fort pourcentage des apparitions de type religieux qu’elles soient contemporaines ou passées, font intervenir des phénomènes lumineux d’une nature particulière que l’on retrouve également dans de nombreuses observations déjà cataloguées comme ovni. Le rapprochement est troublant mais c’est la seule évidence dont on dispose à l’heure actuelle.
On sait cependant aujourd’hui que le phénomène ovni est un phénomène universel au même titre que les apparitions mariales dont les premières connues remontent au Moyen-âge. Par Sylvain SCHNEYDER.
Ovnis, apparitions mariales et religions
Par Alain MOREAU
L’objectif du présent texte n’est pas de faire une étude des multiples apparitions mariales répertoriées depuis des siècles (et notamment du dix-neuvième siècle à nos jours), mais de montrer le rapport existant entre certaines manifestations relevant des ‘‘mariophanies’’ (apparitions de la Vierge) et certaines caractéristiques du phénomène OVNI, ce rapport pouvant être étendu à d’autres types de manifestations religieuses, notamment dans la Bible.
Précisons une chose : il ne s’agit pas, ici, de dire que les mariophanies dans leur ensemble relèvent de l’ufologie, mais de défendre l’idée que quelques mariophanies comportent une indiscutable « coloration » ufologique. Le cas le plus connu de connotation « ufologique » est bien sûr Fatima (Portugal, 1917).
I. Fatima (Portugal), 1917 :
Le premier auteur à avoir fait des rapprochements pertinents entre l’apparition mariale de Fatima et certaines manifestations d’OVNIs est, à ma connaissance, Paul Misraki (1962, 1968). Ultérieurement, d’autres auteurs (Jacques Vallée, etc.) ont aussi évoqué les ressemblances entre ces deux types de phénomènes.
Le 13 mai 1917, trois petits bergers (deux fillettes et un garçon) déclarèrent avoir aperçu une « Dame de Lumière », d’une grande beauté, laquelle avait flotté au-dessus de la cime d’un chêne vert. L’apparition avait parlé : elle avait demandé notamment aux pastoureaux de revenir en ce même lieu le 13 du mois suivant.
Le 13 juin, une escorte accompagna les petits à leur rendez-vous :
« Là, les assistants purent voir les trois enfants tomber à genoux, cependant qu’une légère vapeur blanche se formait autour d’eux ; la lumière du jour, ainsi que la température, perdaient aussi de leur intensité ; une brise fraîche souffla. On ne distinguait aucune ‘‘belle dame’’, mais l’aînée des enfants, Lucia, parlait comme si elle s’adressait à quelqu’un, puis écoutait d’inaudibles réponses. Les villageois, eux, ne percevaient, selon leurs dires, qu’un léger bourdonnement… Au moment où Lucia signala le départ de la Dame il se passa quelque chose : les branches du chêne vert s’inclinèrent comme entraînées dans la direction indiquée par la petite fille. »
Le 13 juillet plusieurs centaines de personnes s’agglomérèrent à la Cova da Iria, lieu des apparitions, pour assister à un spectacle en tous points semblable à celui du mois précédent. Lucia déclara que la « Dame » lui avait confié des « secrets ». Cette fois, le départ de la céleste visiteuse fut ponctué d’une détonation brutale que tous entendirent, cependant qu’un portique de fortune, érigé pour l’occasion, fut secoué sur ses bases.
L’administrateur de l’arrondissement voulut faire avouer aux enfants qu’ils avaient tout inventé. Peine perdue. Il ne put non plus obtenir les « secrets » de la Dame. Le 13 août il séquestra les petits fauteurs de troubles à l’ordre public pour les soumettre à un nouvel interrogatoire. Il menaça les enfants de les plonger dans une marmite d’huile bouillante s’ils persistaient dans leur mutisme !
« ‘‘Ton petit frère est déjà frit !’’, dit-il à l’une des fillettes, qui pâlit mais continua de se taire. Les enfants passèrent le reste de la journée dans la prison, mêlés aux détenus de droit commun. »
Pendant ce temps, à la Cova, les pèlerins assemblés apprirent que les enfants ne viendraient pas. On entendit cependant une sorte de coup de tonnerre, semblable à l’éclatement d’un pétard, suivi d’un éclair. La nuée blanche s’éleva du sol. Quatre jours après, les trois petits virent le vallon s’illuminer de la teinte jaune d’or qui précédait généralement les apparitions. La « Dame » se montra alors. Lucia la supplia de faire en sorte que son entourage puisse la croire quand elle raconte ce qu’elle a vu. La Dame promit pour le mois d’octobre un prodige éclatant.
1. Le globe lumineux :
Le 13 septembre 20.000 à 30.000 personnes étaient rassemblées autour de la visionnaire. En plus de la vapeur blanche entourant les enfants, certains assistants aperçurent un globe lumineux traversant le ciel en direction du chêne vert. Il cessa d’être visible. Dix minutes après, le globe reparut et s’éloigna vers le ciel.
« On se le montre du doigt, cependant qu’une vieille dame aux cheveux blancs, missel en main, trépigne : ‘‘Je ne vois rien ! Je ne vois rien ! »… »
On constate alors qu’une pluie de corpuscules blancs, comparables à de minces flocons de neige, tombe du ciel et se désagrège au moment de toucher le sol.
Voici quelques témoignages :
« ‘‘A ma vive surprise’’, dit l’un d’eux, ‘‘je vis clairement et distinctement un globe de lumière glissant lentement et majestueusement à travers l’espace (…). Puis subitement, avec la lumière extraordinaire qu’il dégageait, ce globe disparut à mes yeux, et le prêtre qui était à mes côtés cessa lui aussi de le voir.’’ »
Comme il demande à ce voisin son opinion sur ce globe, ce dernier répond sans hésiter « qu’il s’agit sans doute du véhicule grâce auquel la Vierge Marie s’approchait des enfants… ».
Tous ceux qui aperçurent le globe, dit un autre texte, en retirèrent l’impression qu’il s’agissait d’un aéroplane de lumière apportant la « Mère de Dieu » au rendez-vous des pastoureaux et la rapportant ensuite au « Paradis »…
2. Les corpuscules blancs :
Je viens de mentionner les corpuscules blancs aperçus par les assistants. Une dame déclara avoir vu un de ces « pétales de fleurs » tomber sur son épaule gauche. Elle voulut le saisir, mais ne trouva plus rien.
De semblables pluies blanches se sont reproduites par la suite, à la Cova da Iria, le 13 mai 1918 (jour anniversaire de la première apparition) et le 13 mai 1924.
Paul Misraki fait ici un judicieux parallèle avec certains témoignages d’OVNIs :
a) Oloron, 1952 :
En 1952, dans les Pyrénées-Atlantiques (alors appelées « Basses-Pyrénées »), on vit passer, dans le ciel d’Oloron, un cigare et plusieurs disques. Tous ces objets laissèrent derrière eux « une abondante traînée qui tombait lentement vers le sol en se désagrégeant ». Pendant quelques heures il y en eut des paquets accrochés aux arbres, aux fils téléphoniques, sur le toit des maisons.
« C’était comme des fils de laine ou de nylon, ressemblant à des fils de la Vierge ; ils devenaient rapidement gélatineux, puis fondaient et disparaissaient. Parmi les nombreux assistants qui purent les recueillir et les tenir dans la main pendant quelques instants, se trouvaient les professeurs du collège ; l’un d’eux les examina attentivement mais ne put en faire l’analyse car ils se sublimèrent avant qu’il ne parvînt à un laboratoire. »
b) Graulhet, 1954 :
Le 13 octobre 1954 au-dessus de Graulhet (Tarn), et le 18 octobre 1954 à Vienne (Isère), il y eut la même pluie évoquant de la laine de verre ou des fils de toile d’araignée.
« Des experts se penchèrent sur la question et proposèrent des explications ‘‘naturelles’’ plus étonnantes encore, par leur insuffisance, que le phénomène lui-même.
Laine de verre, fils d’araignée : ces comparaisons ne correspondent pas tout à fait aux ‘‘corpuscules blancs’’ qu’une pieuse préoccupation transforme en ‘‘pétales de fleurs’’. Il reste cependant une analogie certaine entre ces diverses chutes de ‘‘mannes’’ célestes, ‘flocons de neige’’ ou… ‘‘fils de la Vierge’’, qui fondent rapidement à la chaleur du sol. »
La manne céleste :
On fera aussi le parallèle avec la « manne » du récit de l’Exode. Dans l’Ancien Testament la « manne » est une nourriture tombée du ciel grâce à laquelle tout un peuple put subsister dans le désert « pendant quarante ans ».
Six jours sur sept, une couche de rosée recouvrait les alentours du camp. Puis, la rosée évaporée, apparaissait sur la surface du désert « quelque chose de menu, de granuleux » (traduction incertaine), « de fin comme le givre ».(Exode, 16, 14.)
« On eût dit de la graine de coriandre, c’était blanc, cela avait le goût de la galette au miel. » (Exode, 16, 31.)
Il fallait procéder au ramassage dès l’aurore, car ce « pain du ciel » fondait à la chaleur du jour.
Apparitions miraculeuses à Zeitoun, Egypte, 1968-1969
Le 2 avril 1968, une heure et demie après le coucher du soleil, l'attention des mécaniciens et des chauffeurs se trouvant dans ce garage fut attirée par des bruits et des mouvements dans la rue.
Ils virent alors une forme humaine, une femme habillée de vêtements blancs, se tenant sur le dôme central de l'Église, tenant la main sur la croix dominant ce dôme.
Les personnes se trouvant dans le garage : Farouk Mohammed Atwa (chauffeur), Hussein Awwad (mécanicien), Abd-el-Aziz-Ali (gardien), Mahmoun Afifi (chauffeur) et Yacout Ali, tous musulmans, ont raconté en détail ce qu'ils ont vu.
Ils crurent, en voyant distinctement cette forme blanche, être en présence d'une religieuse en habit blanc.
Etant donné qu'elle se tenait sur une surface arrondie et glissante, ils lui crièrent de faire attention et d'attendre.
L'un d'eux, craignant qu'il ne s'agisse d'une personne voulant se suicider, avertit la police.
Un autre frappa à la porte de l'église.
Ce fut Adel Youssef Ibrahim, âgé de 18 ans, fils du père Youssef Ibrahim, l'un des prêtres de la paroisse qui lui ouvrit.
Ayant constaté l'apparition, il prévint son père, lequel l'ayant vue à son tour, en avertit le supérieur : le père Constantin Moussa.
Pendant ce temps, une grande foule s'étant amassée devant l'église, la circulation dut être interrompue dans la rue Touman Bey.
Rapport du curé de la paroisse
Le père Constantin Moussa, curé de la paroisse, établit un rapport officiel dans lequel il écrit en particulier
"Après cette soirée mémorable, la Sainte Vierge apparut plus d'une fois et fut aperçue par différentes autres personnes parmi lesquelles M. Michel Soliman et sa famille qui habitent en face de l'église.
La Sainte Vierge apparut de nouveau le 9 avril.
La nuit suivante, aussi bien les sœurs d'une école voisine que mon fils ainé (élève ingénieur) me dirent avoir de nouveau aperçu la Sainte Vierge. Je me précipitai sur la place et je vis l'apparition, cette fois sous la forme d'un buste dans l'une des ouvertures du dôme du côté nord-est de l'église.
C'était un corps lumineux doré. " (...)
Manifestation Étrange du Soleil en Côte d'Ivoire avec apparition de type Mariale le 20 avril 2011 :
"Mercredi 20 Avril 2011 dans le quartier de yopougon à Abidjan Côte d'Ivoire, soit 9 jours après le passage d'Alassane Dramane Ouattara, une manifestation étrange qu'on pourrait qualifier de divine, à moins d'être incrédule, se déroule à la vue de tous..." (un avertissement par rapport aux événements qui se sont produits ensuite ?...)
MAJ 05-2015 : Yves Herbo : Je ne peux évidemment m'empêcher de comparer ma propre observation, de très près, (estimation de 15 mètres de distance environ dans la mesure où l'objet a brièvement éclairé le devant du toit de l'immeuble), d'une grosse sphère blanche lors de mon enfance, et des événements l'ayant précédés et l'ayant suivis... + ajout de nouvelles vidéos et liens.
Yves Herbo, S,F,H, 03-2012, Update 05-2015
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