Contact Extraterrestre et Intérêts Humains
OVNI ou nouveau missile photographié le 13-04-2012 dans région d'Irkoutsk, Russie
Réflexions intéressantes du spécialiste français Christel Seval : Que se passerait-il si demain des extraterrestres prenaient officiellement contact avec l'humanité terrestre ?
Cette question n'est pas anachronique. Des études officielles ont été menées dans ce sens des deux côtés de l'Atlantique. Ce livre s'appuie sur des rapports aussi sérieux que celui du Brooking Institution, commandé par la NASA, du Cometa, en France, ou encore du Mutual UFO Network. Il puise également dans des sources plus confidentielles émanant de chercheurs indépendants
Quels seraient les impacts d'un tel contact sur la sphère émotionnelle, religieuse, socio-économique, politique, technologique ou militaire ? Un contact avec des extraterrestres bienveillants serait-il suffisant pour assurer la pérennité de notre société ?
Quels seraient les impacts d'un tel contact sur la sphère émotionnelle, religieuse, socio-économique, politique, technologique ou militaire ? Un contact avec des extraterrestres bienveillants serait-il suffisant pour assurer la pérennité de notre société ?
Christel Seval (né en 1960) est un ingénieur français et ex informaticien du ministère de la défense. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur l'ufologie.
Il s'est intéressé notamment à l'affaire Ummo et ses recherches sont marquées par un environnementalisme militant, dénonçant le réchauffement climatique et les « politiques d'autruche ». Ses ouvrages sont publiés chez JMG éditions ; il a fait plusieurs conférences pour présenter ses recherches et publié plusieurs articles dans des revues spécialisées.
Il s'est intéressé notamment à l'affaire Ummo et ses recherches sont marquées par un environnementalisme militant, dénonçant le réchauffement climatique et les « politiques d'autruche ». Ses ouvrages sont publiés chez JMG éditions ; il a fait plusieurs conférences pour présenter ses recherches et publié plusieurs articles dans des revues spécialisées.
Ufologie et stratégie militaro-industrielle
Le décryptage de Christel Seval
Jean-Pierre Petit illustre SETI (Search for Extra Terrestrial Intelligence) par un breton attardé concentré sur sa longue-vue, essayant de déterminer s’il aperçoit des signaux de fumée en provenance de l’Amérique (pour savoir si l’Amérique abrite des êtres intelligents), alors que s’il levait le nez, il verrait des jumbo-jets sillonner le ciel avec plein de yankees à bord... C. Seval
Dans le cadre du SETI, le radiotélescope d’Arecibo à Porto Rico envoya en décembre 1974 un message radioélectrique en binaire à destination d’une galaxie voisine, en vue de communiquer à une possible intelligence extraterrestre. Cette bouteille dans l’espace fut envoyée par la plus grande antenne parabolique du monde en direction de l’amas d’étoiles M13 située à 22 800 années lumière dans la constellation d’Hercule. Le message d’Arecibo, écrit sous la direction de Frank Drake, professeur d’astronomie de la Cornell University, codifia les numéros atomiques des principaux éléments constitutifs de la vie sur Terre (H = 1, C = 6, N = 7, O = 8, P = 15). Il décrivait également les sucres et les bases qui entrent dans la composition de l’ADN, le nombre de nucléotides, un schéma stylisé de la double hélice de l’ADN et enfin, l’image stylisée d’une silhouette humaine, indiquant sa taille, le nombre d’habitants terrestres en 1974, la composition du système solaire en distinguant la Terre comme l’origine du message et les caractéristiques de l’antenne radar émettrice.
Une réponse d’outre espace ?
27 ans plus tard le 20 août 2001, proches de l’antenne parabolique géante de Chilbolton (Angleterre), sont gravés dans les champs deux agroglyphes géants sous forme de rectangles. L’un représente un visage humanoïde non terrestre et le second représentant une réponse d’outre espace du message radioélectrique envoyé d’Arecibo en 1974. Que dévoile le décryptage de cet agroglyphe qui semble bien être une réponse au message envoyé il y a 27 ans ? La réponse est codifiée, cryptée rigoureusement de la même manière que le message émis en 1974. L’ADN décrit est plus court que le nôtre, le silicium ayant pris la place du phosphore ce qui provoque un crépissage de l’hélice d’ADN précisément représentée dans les champs de Chilbolton. À la place d’un homme stylisé mesurant un mètre soixante seize, ressort une silhouette classique de Gris, un être de petite taille, un mètre, macrocéphale avec des bras, des jambes et des yeux qu’on identifie clairement. Le système planétaire dont cet être est originaire est autre. Sa planète totalise un nombre de 17 milliards d’habitants, et se place en cinquième position depuis un soleil petit, égale au 4/9 ème du nôtre, accompagné de neuf planètes. Dans ce système, les planètes trois et quatre sont désignées comme étant habitées. Le message représente également le schéma d’une antenne parabolique avec le symbole de la planète émettrice associée à un chiffre signifiant la puissance électromagnétique utilisée pour répondre.
Silence radio des autorités
L’observatoire de Chilbolton est la propriété du gouvernement britannique, il fut construit en 1965, dans le but d’étudier les émissions d’ondes radios en provenance de l’espace et des satellites. L’accès de l’Observatoire est interdit au public. La première réaction des chercheurs britanniques comme Paul Vigay fut naturellement de comparer la formation de code binaire de 2001 à la transmission radio télescopique de 1974 à Puerto Rico. Malgré des photos, le décryptage du code binaire et toutes les correspondances relevées avec le message d’Arecibo par des chercheurs indépendants, aucune explication officielle n’a été donnée. Les astronomes de Chilbolton ont déclaré qu’ils ne s’étaient pas aperçus de l’apparition des glyphes, ceux-ci n’étant pas complètement visibles, même du point le plus élevé de l’antenne (sic!).
Un an plus tard toujours dans un champ de Childbolton, une silhouette d’alien tramée dans un gigantesque rectangle nous présente un disque rond d’une cinquantaine de mètres de diamètre dont la moitié sort du cadre (voir morphéus N° 8). L’intérieur du cercle végétal comporte un sillon spiralé divisé en une multitude de paquets de blés couchés ou relevés : une suite binaire. Le code en est simple, il s’agit de l’ASCII (American Standard Code for Information Interchange). Le message est le suivant :
"Prenez garde aux porteurs de faux cadeaux et aux promesses non tenues. Beaucoup de douleur mais il est toujours temps. Il y a du bon la-haut. Nous nous opposons à la tromperie. Fin de transmission…"
Il n’y aura aucune déclaration officielle à propos de cette formation. Alors s’agit-il d’un authentique contact ou d’une manipulation de l’armée ? A quelle fin ?
Des ovnis contre le secret défense
Après Nagasaki et Hiroshima, énormément d’ovnis vont survoler les États américains et se positionner avec précision au-dessus de tous les sites impliqués dans les activités militaires atomiques, comme s’ils cherchaient à s’informer sur les développements des armes atomiques terrestres. Dès 1946 les sites du Manhattan Project, les sites d’essais d’explosions atomiques comme l’atoll de Bikini, le site de Trinity, Roswell et les bases du Nouveau Mexique en 1947, Albuquerque, Sandia en décembre 1948, Los Alamos en janvier 1949, Camp Hood au Texas en mars 1949. Toute la filière atomique est découverte : des sites de recherche et d’essais, jusqu’aux lieux de stockage en passant par la chaîne de production des bombes. Pas un site secret n’est épargné. Les officiels de la Défense américaine sont aux abois. Leur pire cauchemar vient de prendre forme. Toutes les installations les plus secrètes du pays sont survolées par des ovnis. Il suffirait à un espion de relever la carte des apparitions d’ovnis de 1946 à 1950 pour avoir avec précision la situation géographique de toutes les installations nucléaires de l’armée américaine. C’est la panique dans les rangs US.
En juillet 1952, le Pentagone et la Maison Blanche sont survolés à deux reprises, en plein centre d’une zone névralgique strictement protégée, interdite à la circulation aérienne. Rien n’échappe aux ovnis, de la filière militaire à la filière politique.
Dès l’arrivée au pouvoir de D. Eisenhower en 1953, Nelson Rockefeller sera chargé de présider une commission de refonte du département de la Défense. A partir de cette date, l’empire Rockefeller, le CFR (Council on Foreign Relations), la Trilatérale et les Bilderbergs vont gérer le secret OVNI dans tous ses prolongements, scientifiques, technologiques, militaires, renseignements, désinformation, jusqu’aux financements et infiltrations des associations ufologiques.
OVNI et Secret Défense
En 1954, l’installation de Fort Meade, siège du NSA, qui plus tard mettra en œuvre le réseau mondial d’écoute électronique Echelon, est survolée.
En 1963 et 1964, les satellites mis en orbite par les États-Unis tombent systématiquement en panne, et, étrangement, se remettent à fonctionner spontanément.
Novembre 1965 : une gigantesque panne d’électricité affecte New York et le sud Canadien. Un disque lumineux est aperçu au-dessus de la station de distribution électrique de Clay, point d’interconnexion de plusieurs réseaux haute tension. Décembre : une panne identique touche plusieurs États, le Nouveau Mexique, le Texas. Les bases militaires Holloman, White Sands et Fort Bliss sont privées de courant. C’est le scénario que les responsables de la Défense craignaient le plus : des actions agressives paralysant à la fois l’économie de la Nation et les capacités des forces militaires.
En 1967 la base de Malmstrom, Montana qui abrite 120 missiles intercontinentaux du Strategic Air Command, est survolée par des ovnis. Le 16 mars, par une nuit glaciale, des lumières zigzaguent dans la nuit à des vitesses incroyables. L’officier de tir est alerté. Puis une soucoupe rougeoyante s’avance, survole la grille d’entrée au grand dam des gardes. En quelques secondes, ce sont huit silos de missiles qui sont déclarés hors service. Puis dix. Un commando chargé de s’approcher de l’ovni stationnaire a été légèrement blessé et est évacué. Plusieurs commandos partis inspecter les silos signalent des ovnis à leur tour. Dans une autre unité de silos plus au nord-est, un ovni évolue aux alentours de la zone interdite. Dix missiles sont à leur tour mis hors service. Il faudra plus d’une journée avant que les missiles ne soient déclarés à nouveau opérationnels. L’enquête technique conclura qu’il n’y a aucune explication rationnelle à la défaillance simultanée des 20 missiles ICBM.
En novembre 1975, les ovnis retournent sur la base de Malmstrom dans le Montana. 7 ovnis lents, qui déjouent les intercepteurs lancés contre eux, reproduisent le scénario de 1967 et déprogramment les ogives nucléaires.
La Nouvelle Donne
À partir de cette date, rien ne sera plus comme avant affirme Jean-Gabriel Greslé : Des puissances inconnues s’ingénient à rendre leur présence évidente par des manifestations aériennes non conventionnelles. Elles disposent de moyens techniques nécessaires pour convaincre l’ensemble du monde, une fois pour toutes, de leur présence et de leur supériorité. Pourtant, elles ne le font pas. De leur côté, le gouvernement américain et le département de la Défense utilisent leurs moyens considérables, renforcés en 1953 pour dissimuler eux aussi cette réalité au public.
Les mêmes puissances inconnues, entre 1947 et 1967 ont exercé une pression croissante sur les gouvernements américains. De toute évidence elles cherchent à obtenir quelque chose. Le gouvernement américain pourtant dominé par une technologie supérieure à la sienne a refusé, en apparence, de céder.
Le gouvernement refuse effectivement d’inverser sa politique de développement des armes nucléaires. Tous les gouvernements engagés dans la course aux armements de destruction massive sont confrontés aux mêmes problèmes de survols de leurs installations nucléaires par des ovnis. Une pression venue d’outre espace, demande une autre politique pour la sauvegarde de la planète. De quelle genre d’intervention s’agit-il ? La marge de manœuvre des intelligences à l’oeuvre est très mince. Imposer la paix avec une technologie qui neutralise toutes les technostructures militaires de la planète serait perçu comme une dictature venu d’outre espace entraînant un ethnocide généralisé. Le remède serait pire que le mal. Par contre ne rien faire signifierait à moyen terme laisser l’humanité s’autodétruire volontairement ou par accident. Le développement des armes à plasma fait peser un péril pire que l’arme nucléaire. La pression globale sur l’écosystème ne saurait continuer encore des décennies. Il est donc essentiel d’intervenir progressivement en exerçant une pression toujours plus forte. L’augmentation du nombre de crop circles est significative ces dernières années. Certains agroglyphes révèlent des schémas d’appareillages militaires ultra secrets, d’autres portent sur des symboles de sociétés secrètes influentes, ou encore répondent à un message envoyé il y a 27 ans dans la direction de la constellation d’Hercule. Au Mexique, les soucoupes volantes sont omniprésentes sans affoler les autorités ou les populations. Gorbatchev lui-même s’est toujours opposé à l’idée que les ovnis constituaient une menace pour l’humanité. Alors un premier contact officiel est-il possible ? Non car la technostructure gouvernementale américaine n’a pas intérêt à ce que des ovniens entament une procédure de contact avec l’humanité.
Géostratégie militaire US
Tout contact avec une race extraterrestre technologiquement plus avancée que nous, engagerait un processus collégial de représentation de l’humanité auprès des visiteurs qui nuirait à la souveraineté des Etats-Unis. Il s’ensuivrait des réformes économiques et écologiques proposées et impulsées par les extraterrestres pour améliorer la situation de l’humanité dans son ensemble, ce qui nuirait à l’hégémonie américaine. La révélation ou le partage de données techniques et scientifiques jusque là classées secret défense nuirait également aux Etats Unis.
Aussi les États-Unis peuvent-ils être amenés à envisager d’entretenir volontairement un foyer mondial de perturbations économiques afin de repousser au plus loin le jour du contact qui nécessite maturité et stabilité. L’accélération et l’amplification d’une politique de domination et d’annexion du reste du monde, notamment par le biais du vecteur pétrolier et de programmes d’armes de nouvelle génération semblent être à l’ordre du jour.
Ainsi, au moment du contact, les États-Unis occuperont une place prépondérante, un fait accompli qui ne sera peut-être pas remis en cause par les extraterrestres par respect pour la liberté de l’humanité. Les États-Unis auront à leur disposition un arsenal technologique qui leur permettra de faire pression sur les volontés extraterrestres si ceux-ci en émettent.
Car, quel est le mobile qui peut pousser les stratèges militaires américains à construire des bombes à antimatière dix mille fois plus puissantes qu’une bombe thermonucléaire, si puissantes qu’elles ne peuvent pas être utilisées sur Terre ? La peur d’un astéroïde ? La probabilité d’un géocroiseur spatial en approche dangereuse dans les parages de la Terre ? Foutaises, c’est la paranoïa anti-extraterrestre, c’est le désir forcené de l’oligarchie militaro-industrielle des États-Unis de pouvoir faire obstruction aux extraterrestres et, le jour du contact, d’avoir à leur portée un maximum de moyens de pression contre eux, voire d’armes efficaces car tel semble être leur rêve d’indépendance virile. - Christel Seval
Extraits des chapitres 6 à 11 pp 177-300
Le plan pour sauver la Terre
Éditions JMG
Le plan pour sauver la Terre
Éditions JMG
"Nous avons eu du mal à comprendre que les humains dépensent tant d’argent et de forces pour protéger les richesses d’une minorité, alors que tant d’hommes au même instant meurent de faim. Nous considérons ceux qui vous gouvernent comme des malades mentaux". Document Ummite NR9 du 30/09/1991.
18 janvier 2006 - Publié par le journal Morphéus n° 13, janvier-février 2006 - Frédéric Morin - www.morpheus.com - redaction@morpheus.fr
Préface de Jean-Pierre Petit pour le livre de Christel Seval " Contact et Impact "
C’est la première fois que j’accepte de préfacer un livre qui traite du thème ovni. Si je le fais c’est parce que ce qu’écrit Christel Seval sort de l’ordinaire. En lisant d’autres ouvrages traitant de ce sujet je leur ai toujours trouvé un caractère descriptif, comme s’ils restaient à la surface des choses, comme si les auteurs eux-mêmes étaient aussi frappés, après les médias, de superficialité. En fait le sujet ovni nous renvoie sans cesse à nous-mêmes, à notre devenir. Qui ne fait pas ce lien est un complet inconscient. Notre humanité vit les heures les plus graves de son histoire. Depuis 1945 l’homme a engendré des armes capables de le détruire. Un demi-siècle s’est écoulé. L’apparition d’armes biotechnologiques et de mind control a complété cette panoplie déjà impressionnante. L’avertissement du Président Einsenhower lors de son discours d’adieu n’a pas été entendu. Le lobby militaro-économique est comme un fauve lâché, sans contrôle. L’histoire, sur tous les continents, devient folle, avec différentes espèces de folies qui se déploient. La Nature elle-même semble participer au dérèglement planétaire général. On ne discerne plus quels mécanismes régulateurs pourraient amener les hommes vers un nouvel équilibre. Sur cette toile de fond la ronde des ovnis continue. L’aspect le plus fantastique est qu’en 30 ans, rien n’a bougé, strictement rien, du moins en France. Aux Etats-Unis c’est une autre paire de manches. Dans l’hexagone, après trois décennies d’existence le bilan du service créé par le Cnes est strictement nul. « Derrière, il n’y a rien ». Il n’y a pas de MHD militaire secrète. Les archives du Sepra ne contiennent rien d’autre que des rapports de gendarmes. Michel Bounias est mort pour rien. Ses travaux de 1981, sur les traces biologique laissées sur les luzernes, suite à un atterrissage d'ovni à Trans en Provence n’ont fait l'objet d'aucune suite. Aucun gendarme n’a capturé de spectre d’ovni grâce aux bonnettes imaginée par Claude Poher, dont leurs appareils photographiques avaient été équipés dès 1979 et dont le maniement a dû être oublié depuis longtemps. Mais comme le disait Hubert Curien peu de temps avant sa mort « la grande vague d’intérêt pour les ovnis est passée ».
C’est la première fois que j’accepte de préfacer un livre qui traite du thème ovni. Si je le fais c’est parce que ce qu’écrit Christel Seval sort de l’ordinaire. En lisant d’autres ouvrages traitant de ce sujet je leur ai toujours trouvé un caractère descriptif, comme s’ils restaient à la surface des choses, comme si les auteurs eux-mêmes étaient aussi frappés, après les médias, de superficialité. En fait le sujet ovni nous renvoie sans cesse à nous-mêmes, à notre devenir. Qui ne fait pas ce lien est un complet inconscient. Notre humanité vit les heures les plus graves de son histoire. Depuis 1945 l’homme a engendré des armes capables de le détruire. Un demi-siècle s’est écoulé. L’apparition d’armes biotechnologiques et de mind control a complété cette panoplie déjà impressionnante. L’avertissement du Président Einsenhower lors de son discours d’adieu n’a pas été entendu. Le lobby militaro-économique est comme un fauve lâché, sans contrôle. L’histoire, sur tous les continents, devient folle, avec différentes espèces de folies qui se déploient. La Nature elle-même semble participer au dérèglement planétaire général. On ne discerne plus quels mécanismes régulateurs pourraient amener les hommes vers un nouvel équilibre. Sur cette toile de fond la ronde des ovnis continue. L’aspect le plus fantastique est qu’en 30 ans, rien n’a bougé, strictement rien, du moins en France. Aux Etats-Unis c’est une autre paire de manches. Dans l’hexagone, après trois décennies d’existence le bilan du service créé par le Cnes est strictement nul. « Derrière, il n’y a rien ». Il n’y a pas de MHD militaire secrète. Les archives du Sepra ne contiennent rien d’autre que des rapports de gendarmes. Michel Bounias est mort pour rien. Ses travaux de 1981, sur les traces biologique laissées sur les luzernes, suite à un atterrissage d'ovni à Trans en Provence n’ont fait l'objet d'aucune suite. Aucun gendarme n’a capturé de spectre d’ovni grâce aux bonnettes imaginée par Claude Poher, dont leurs appareils photographiques avaient été équipés dès 1979 et dont le maniement a dû être oublié depuis longtemps. Mais comme le disait Hubert Curien peu de temps avant sa mort « la grande vague d’intérêt pour les ovnis est passée ».
Dans toutes les structures françaises il y a deux pour cent de gens « qui pensent que, quand même, on devrait faire un petit quelque chose vis-à-vis de ce dossier ovni ». C’est de ces deux pour cent qu’a émergé en 1999 le rapport Cometa, cité par Seval dans son ouvrage. Quatre-vingts pour cent s’en fichent éperdument et les dix-huit pour cent qui restent sont farouchement déterminés à ce que rien ne bouge. La question qui émerge est alors : « pourquoi cet immobilisme ? ». La lecture du livre de Seval apporte un élément de réponse. Notre humanité nie l’existence de ce phénomène, contre vents et marées et c’est normal car ce faisant elle se défend en mettant en œuvre un mécanisme de défense psycho-socio-immunologique contre ce qu’elle perçoit, à juste titre, comme une terrible menace.
Pourtant ces extraterrestres qui nous visitent n’ont nul désir, ni besoin de nous conquérir. La menace est d’un autre ordre. Elle revêt une dimension que je n’avais pas jusqu’ici perçue avant de lire l’ ouvrage de Seval, comme les précédents. Elle tient en un mot : ethnocide, mot initialement introduit par l'ethnologue R. Jaulin, décédé. Le génocide est l’annihilation d’une espèce, d’une tribu. L’ethnocide est l’annihilation d’une culture. L’auteur passe en revue des exemples historiques et montre comment des civilisations comme celle des Aztèques se sont effondrées en un temps relativement court après le choc culturel qu’a constitué pour eux l’irruption des conquistadors espagnols. J’ai écrit jadis que toute forme de pensée était un système organisé de croyances. Donc, si on remet brutalement les croyances fondatrices de notre pensée en question, celle-ci s’effondre, comme s’effondreraient des mathématiques sans axiomes et des logiques sans prédicats.
Ce que nous pouvons conjecturer c’est que l’écart qui nous sépare de nos visiteurs extraterrestres pourrait dépasser notre imagination, nos spéculations les plus folles. Nos connaissances scientifiques du moment deviendraient dérisoires. On peut même imaginer que lors d’un contact nous soyons confrontés à des êtres qui puissent être aussi différents de nous que nous pouvons l’être des singes. L’incidence d’un choc culturel a été évoquée par maints auteurs mais, note Seval, personne n’avait envisagé qu’un tel contact puisse être aussi dommageable, entraîner un ethnocide. Ainsi nous aurions l’explication du non-contact. Il ne s’agirait pas seulement de prévenir tout mauvais usage que nous pourrions faire de technologies plus avancées qui démultiplieraient nos capacités de destruction. Ce qui effondrerait notre civilisation terrienne, c’est le doute. Inutile d’aller très loin. En Russie c’est bye bye Lénine. Le Marxisme a vécu. Les Russes émergent de presque un siècle d’athéisme militant. Il n’y a plus de buts, de grands desseins. Personne ne croit plus aux lendemains qui chantent. L’alcool fait des ravages. L’espérance de vie des hommes est de 58 ans. La natalité est en chute libre. On retrouve chez un peuple qui a placé en orbite autour de la Terre le premier être humain des symptômes comparables à ceux qui frappent les membres de tribus indiennes. Alors, imaginez ce qui se passerait si les terriens étaient soudain confrontés à l’absurdité de leur système de vie, à l’inanité de leurs croyances, si des réponses foudroyantes leur étaient soudain apportées, concernant la naissance, la vie, la mort, l’évolution. Seval suggère que notre humanité pourrait s’effondrer au point d’être incapable de se relever, de pouvoir négocier le monde avec de nouvelles croyances qui soient à sa portée ou avec des fantasmes, des rituels salvateurs lui permettant de dialoguer avec le monde.
Pourtant ces extraterrestres qui nous visitent n’ont nul désir, ni besoin de nous conquérir. La menace est d’un autre ordre. Elle revêt une dimension que je n’avais pas jusqu’ici perçue avant de lire l’ ouvrage de Seval, comme les précédents. Elle tient en un mot : ethnocide, mot initialement introduit par l'ethnologue R. Jaulin, décédé. Le génocide est l’annihilation d’une espèce, d’une tribu. L’ethnocide est l’annihilation d’une culture. L’auteur passe en revue des exemples historiques et montre comment des civilisations comme celle des Aztèques se sont effondrées en un temps relativement court après le choc culturel qu’a constitué pour eux l’irruption des conquistadors espagnols. J’ai écrit jadis que toute forme de pensée était un système organisé de croyances. Donc, si on remet brutalement les croyances fondatrices de notre pensée en question, celle-ci s’effondre, comme s’effondreraient des mathématiques sans axiomes et des logiques sans prédicats.
Ce que nous pouvons conjecturer c’est que l’écart qui nous sépare de nos visiteurs extraterrestres pourrait dépasser notre imagination, nos spéculations les plus folles. Nos connaissances scientifiques du moment deviendraient dérisoires. On peut même imaginer que lors d’un contact nous soyons confrontés à des êtres qui puissent être aussi différents de nous que nous pouvons l’être des singes. L’incidence d’un choc culturel a été évoquée par maints auteurs mais, note Seval, personne n’avait envisagé qu’un tel contact puisse être aussi dommageable, entraîner un ethnocide. Ainsi nous aurions l’explication du non-contact. Il ne s’agirait pas seulement de prévenir tout mauvais usage que nous pourrions faire de technologies plus avancées qui démultiplieraient nos capacités de destruction. Ce qui effondrerait notre civilisation terrienne, c’est le doute. Inutile d’aller très loin. En Russie c’est bye bye Lénine. Le Marxisme a vécu. Les Russes émergent de presque un siècle d’athéisme militant. Il n’y a plus de buts, de grands desseins. Personne ne croit plus aux lendemains qui chantent. L’alcool fait des ravages. L’espérance de vie des hommes est de 58 ans. La natalité est en chute libre. On retrouve chez un peuple qui a placé en orbite autour de la Terre le premier être humain des symptômes comparables à ceux qui frappent les membres de tribus indiennes. Alors, imaginez ce qui se passerait si les terriens étaient soudain confrontés à l’absurdité de leur système de vie, à l’inanité de leurs croyances, si des réponses foudroyantes leur étaient soudain apportées, concernant la naissance, la vie, la mort, l’évolution. Seval suggère que notre humanité pourrait s’effondrer au point d’être incapable de se relever, de pouvoir négocier le monde avec de nouvelles croyances qui soient à sa portée ou avec des fantasmes, des rituels salvateurs lui permettant de dialoguer avec le monde.
Seule une civilisation jouissant déjà d’un certain équilibre pourrait faire face à un tel choc culturel. Or nous sommes loin du compte. En lisant son livre nous découvrons combien notre société terrestre est fragile, vulnérable, parce qu’encore infantile. Donc le contact est simplement impossible. Notre civilisation planétaire est comme un château de cartes. Le simple fait de se voir présenter des preuves définitivement irréfutables de l’existence, de la présence d’extraterrestres suffirait à pétrifier d’angoisse notre système social, à provoquer en quelques mois, quelques années un chaos, suivi d’un effondrement irrémédiable.
Pourtant nous courons à grandes enjambées vers l’Apocalypse. Tous les signes avant-coureurs d’un profond déséquilibre sont sous nos yeux. La foire d’empoigne économique, la raréfaction des ressources naturelles, les effets de la pollution, les violents antagonismes qui se profilent nous mènent au chaos. Dans son ouvrage précédent, Le Plan pour Sauver la Terre, Seval expliquait que si des extraterrestres se décidaient à intervenir cela ne pourrait être qu’au tout dernier moment, quand nous mettrions en danger l’ensemble de notre biosphère, quand « le processus suicidaire aurait déjà été amorcé ». Personne ne bougerait le petit doigt si nous nous infligions des souffrances équivalant à dix fois les drames de la précédente guerre mondiale, tout contact avec une humanité immature se traduisant automatiquement par un ethnocide. La nôtre ne pourrait qu’être au mieux « reformatée ». On garderait le « disque dur-support génétique » mais on réinstallerait d’autres logiciels, c'est-à-dire une autre logique de vie, une culture totalement différente. Dans Contact et Impact l’auteur revient donc sur ces thèmes en émaillant son discours d’extraits de textes ummites. Si vous vous aventurez dans les ouvrages de Seval, attendez-vous en règle générale à être secoué. C’est en cela qu’ils diffèrent des autres livres publiés sur le thème ovni, essentiellement anecdotiques. Lui, va vraiment au fond des choses, envisage un impact dont nous n’avions pas jusqu’ici imaginé l’ampleur.
Aucun extraterrestre ne possède la recette magique qui puisse transformer notre société en Eden puisque tout contact, à quelque moment que ce soit se traduirait par un ethnocide. Le seul être qui puisse sauver l’homme, c’est lui-même. - Jean-Pierre Petit
http://www.jp-petit.org/OVNIS/seval.htm
Sources: http://www.forum-ovni-ufologie.com/t9411-pourquoi-les-extraterrestres-ne-prennent-ils-pas-contact-avec-nous#ixzz1s1GExsdT
Yves Herbo : Et pourtant, si on étudie l'histoire des peuples et même celle des religions (et oui), on ne peut que s'apercevoir en toute honnêteté que "quelque chose" ou "quelqu'un" a toujours influencé l'être humain sur son devenir et même sur sa culture... L'être humain a vu son psychisme façonné littéralement par des "dieux" venus du ciel, depuis des millénaires... ce "plan" qui dure depuis des milliers d'années aurait échoué, finalement ? J'en doute fortement... Ces entités, dieux ou extra-terrestres, peu importe le nom qu'on leur donne, finalement, n'ont-ils pas les moyens de leurs propres volonté et ambitions, si on peut parler ou comparer des attitudes humaines à celles d'êtres extérieurs, bien sûr ? J'en doute encore. Il y a des choses qui ont changé, finalement, au niveau des apparitions et des "vagues" d'ovnis, depuis les années 1990 : on parle et on voit beaucoup moins de "vagues" saisonnières d'apparitions : le contact a peut-être bien eu lieu, finalement... mais réservé probablement à une petite élite de dirigeants (comme dans le passé lointain d'ailleurs, tout aussi probablement...). Mais qui a été le contacteur ? S'il s'agit de celui "qui trompe et fait de fausses promesses" mentionné dans ce message en ASCII, l'Humanité a peut-être encore plus de soucis à se faire que d'un ethnocide... et tous les événements économico-politiques des années 2000 semblent accentuer ce doute et l'accélération du chaos dont on parle plus haut dans cet article...
Yves Herbo, S,F,H, 04-2012, up 05-2015
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