jeudi 7 mai 2015

Découverte de la plus ancienne cité préhistorique en Europe à ce jour, en Bulgarie

Découverte de la plus ancienne cité préhistorique en Europe à ce jour, en Bulgarie

MAJ 04-2015

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Les archéologues bulgares confirment la découverte de la plus ancienne cité préhistorique connue à ce jour, près de la ville moderne de Prodavia, dans le nord-ouest de la Bulgarie. Cette cité entourée de parois fortifiées a probablement été un centre important pour la production de sel, denrée très importante à l'époque. L'époque ? On parle là d'une cité érigée, creusée dans la roche entre 6700 et 6200 ans avant maintenant ! 1500 ans avant les balbutiements de la première Grèce antique...

Sa découverte, à cet endroit, explique peut-être le fabuleux trésor en or découvert pas très loin, il y a 40 ans : le plus ancien trésor en or au monde jamais trouvé jusqu'à présent... Les archéologues ont estimé que la petite ville avait pu contenir environ 350 personnes, et que les habitants faisaient bouillir de l'eau à partir d'une source locale et l'utilisaient pour fabriquer des briques de sel. Ces briques étaient probablement échangées contre d'autres denrées non locales (ou complétaient une organisation plus globale concernant plusieurs cités ou tribus (des chasseurs, des mineurs, des pêcheurs, des cueilleurs, des éleveurs, etc...) et servaient surtout à conserver la viande, d'où l'importance du lieu.

Important car, et c'est aussi unique en Europe pour l'instant, cette petite cité est en effet entourée d'une paroi d'énormes et hauts murs défensifs entourant le lieu de production. Les fouilles ont démarré en 2005, avec la découverte des restes de plusieurs maisons à deux étages, d'une série de fosses utilisées pour des rituels, ainsi que les structures d'un pont et de bastions. Une petite nécropole ou cimetière a commencé a être dégagée très récemment et est en train d'être analysée par les archéologues.


Remarquez la disposition particulière des corps enterrés : disposés sur le coté mais leurs têtes soutenues par leur mains jointes, sur une sorte de piédestal, et dirigées vers le ciel ou une direction précise.

" Nous ne parlons pas d'une ville comme les ville-état grecs, de la Rome antique ou des villages médiévaux, mais sur ce que les archéologues sont d'accord pour dire qu'elle constituait une ville du cinquième millénaire avant JC, " a déclaré à l'agence de presse AFP Vasil Nikolov, un chercheur de l'Institut national d'archéologie de Bulgarie.

L'archéologue Krum Batchvarov de l'institut a dit que la dernière trouvaille était « extrêmement intéressante ». « Les énormes murs autour de la colonie, qui ont été construits très grands et avec de gros blocs de pierre ... sont aussi quelque chose d'inconnu dans les fouilles de sites préhistoriques dans le sud-est de l'Europe jusqu'à  ce jour," a-t-il déclaré à l'AFP.

De similaires Mines de sel près de Tuzla en Bosnie et à Turda en Roumanie aident à prouver l'existence d'une série de civilisations qui ont également minées le cuivre et d'or dans les Carpates et les montagnes des Balkans au cours de la même période.

Cette dernière découverte explique presque certainement le trésor trouvé il y a exactement 40 ans dans un cimetière à la périphérie de Varna, à 35 km (21 miles), le plus ancien trésor d'objets en or trouvés partout dans le monde.

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Source : AFP +  http://www.bellenews.com/2012/10/31/science-tech/bulgaria-europes-oldest-prehistoric-town-uncovered-near-provadia/#ixzz2C46tv1pz

MAJ 24-04-2015 : Quand la culture préhistorique Vinca nous mène aux pyramides européennes, aux Illyriens et à Rama, ainsi qu'à la première écriture... 

La culture préhistorique de Vinca (également appelée "Vieille Européenne" ou "culture de Turdas" en Roumanie) a été découverte en 1908 en premier lieu à Vinca, en Bulgarie, puis on s'est aperçu que cette culture déjà bien établie à la période du chalcolithique, s'étendait non seulement sur la Bulgarie, mais aussi sur une partie de la Roumanie, de la Hongrie et de la Bosnie, Serbie, Croatie et Monténégro... Pour mémoire, le chalcolithique (Période liée à l'utilisation intensive du cuivre) se situe entre la fin du néolithique et les débuts du "bronze ancien", c'est à-dire entre 7.500 et 5.500 Avant JC, sans pour autant parler d'un "Age du cuivre" car les périodes et endroits sont différents (il a par exemple perduré jusqu'en -2.500 au nord des Alpes). Mais il faut tout de suite préciser que cette culture de Vinca provient probablement (ou s'est installée sur) de la très peu connue Culture de Starčevo, du néolithique, dont l'ensemble le plus important est constitué de céramiques peintes en blanc, noir et rouge (couleurs de plusieurs cultures du néolithique "nomades ou devenue nomades" avant de se resédentariser, que nous ne pouvons nous empêcher de rapprocher de celles décrites par Platon quand il parle de l'Atlantide)...

On note d'après toutes ces découvertes (dont celle d'un des tous premiers villages en Europe ci-dessus) qu'ils ont construit très tôt des maisons "légères" avec toits en bois, comportant plusieurs pièces, un foyer, un four et un plancher. L'accumulation de constructions sur le temps, en plusieurs couches, forment d'ailleurs des tels, des collines artificielles par endroits, dont toutes n'ont pas encore été fouillées et découvertes probablement. 

Cette culture est très communautaire et basée sur le partage du travail et des ressources et des bénéfices en résultant : l'agriculture est déjà pratiquée (agriculture de l´engrain, du blé, des pois, des lentilles et du lin. Les noisettes, le prunellier, les cornouilles et le chénopode blanc sont utilisés. L'élevage est centré sur les bovidés. Les moutons, les cochons, les chèvres et les chiens étaient utilisés également comme animaux domestiques et d'élevage car les chiens ont probablement aussi été élevés pour être mangés d'après les ossements. La pêche joue toujours un rôle important dans les activités alors que la chasse est devenue secondaire...

La découverte maintenant enregistrée et prouvée de ce très ancien village en Bulgarie et de ces cultures  européennes embarrassent la communauté "officielle" et universitaire occidentale, en fait. Tout simplement parce qu'elle conforte non seulement les affirmations d'une grande partie des scientifiques (ou "pseudo-scientifiques" selon) de l'époque "communiste", et du protochronisme, mais aussi celles des nazis allemands et des travaux de l'Ahnenerbe, l'université nazie dans les années 1940...

Et c'est aussi d'ailleurs probablement une des raisons de cette "levée de boucliers" en ce qui concerne par exemple toutes les découvertes dans les anciens pays de l'Est, comme ces fameuses "pyramides de Bosnie"... qui ne sont pourtant pas les premières découvertes en Europe, loin de là : les 16 pyramides grecques par exemple sont connues depuis longtemps, et sont citées dans des textes anciens...

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Tablettes de Tartarie (Museum of History of Transylvania, Cluj-Napoca, Roumanie)

"En creusant en 1961, un tumulus dans la ville de Tartarie en Transylvanie, les archéologues espéraient simplement trouver de quoi éclairer les découvertes précédentes, sur un site romain. A leur grande surprise, trois petites tablettes d’argile gravées de signes bizarres furent exhumées.

La datation au carbone 14 révéla qu’elles remonteraient au IVe millénaire avant notre ère. Cela laisserait donc supposer que l’écriture a vu le jour non pas en Mésopotamie, berceau de la civilisation de Sumer, mais au cœur des inhospitalières steppes de l’Europe orientale... 

Les tablettes gisaient au fond de ce qui semblait être un puits sacrificiel en compagnie de quelques ossements humains. Elles portaient des symboles picturaux rappelant à la fois les inscriptions des tablettes de Sumer et celles des vestiges de la civilisation minoenne, en Crète. Mais, les tablettes de Tartarie, qui auraient appartenu aux Vinca, tribu agricole de l’âge de pierre, précéderaient d’un millénaire l’écriture sumérienne et de deux millénaires celle de Minos... "


Car si on suit les "protochronistes" des pays de l'Est, ce ne sont pas les sumériens qui ont inventés l'écriture, mais bien les Illyriens, les Thraces et les Darces ! Et en fait, ces trois peuples sont les plus anciennes civilisations au monde et les Grecs comme les Latins en sont issus, toujours d'après ces scientifiques rémunérés alors par les régimes "communistes" albanais, bulgare et roumain... Pour appuyer ces affirmations, des artefacts apocryphes anciens (comme le Codex Rohonczi) ou plus récents (comme les tablettes de Tărtăria supposées dater de 7.300 ans avant le présent), ont été utilisés et ont fait l'objet d'études et de publications d'aspect scientifique, mais dont les sources sont soigneusement triées et les assertions invérifiables par d'autres chercheurs... bien que, récemment, des chercheurs américains comme Toby Griffen aient "basculé" de "leur côté" et même présentés des travaux dans des universités américaines (Illinois) !

Codex rohonczi
extrait du Codex Rohonczi

En fait, l'américain Toby Griffen a bien déclaré avoir déchiffré, sur des tessons vieux de 7.000 ans, retrouvés à Jela, à côté de Belgrade, la plus ancienne écriture connue, parfois nommée "l'écriture de Vinca", sur deux fusaïoles en terre cuite. Plusieurs dizaines de symboles auraient ainsi été répertoriés. Mais ces symboles ne sont pas reconnus par la majorité des scientifiques, car ils seraient "apocryphes" selon eux (ce qui constitue une opinion en l'absence d'études !) et que s'ils étaient reconnus, cela ferait bien de « l'écriture de Vinca » la plus ancienne, et de loin, des écritures connues !

Toby Griffen, qui a enseigné les langues et la littérature étrangères à la Southern Illinois University d'Edwardsville, près de Saint-Louis, affirme avoir décrypté "l'écriture de Vinca". Il fut aussi président de l'Association linguistique du Canada et des États-Unis. Il a rassemblé (et exposé) une grande quantité de pièces sur lesquelles sont gravées des symboles. Il s'agissait, pour l'essentiel, d'outils (fusaïoles) et de figurines en terre cuite (ours, oiseaux ou humains portant des masques d'ours ou d'oiseaux). Partant du principe que les symboles figurant sur ces objets devaient avoir une signification religieuse, Toby Griffen écrit tenir une séquence de mots : « ours-déesse-oiseau-déesse-ours-déesse » dont il tira la phrase "la déesse-ourse et la déesse-oiseau sont bien la déesse-ourse" ou "sont bien la déesse-ourse, une seule déesse". Sa supposition est la même que celle ayant permis de déchiffrer les tablettes rongorongo de l'île de Pâques, à ceci près que pour celles-ci, les décrypteurs ont pu relier les séries de symboles aux hymnes bien connus et encore existants de la mythologie polynésienne. Toby Griffen, rapproche sa série « ours-déesse-oiseau-déesse-ours-déesse » de certains mythes tels que celui de la déesse grecque Artémis, déesse-chasseresse dont le mythe remonterait, selon lui, à de plus anciennes divinités liées à l'ours et à l'oiseau. Et le linguiste américain de souligner que le suffixe "ar(k)t"- est à mettre en rapport avec l'ours : "arktos" (=ours, en grec), "arctique" (parce qu'en rapport avec la constellation de la Petite Ourse, où se situe l'étoile polaire), "Artio" (déesse-ourse gauloise), "Arthur" (symbole de la 2e fonction indo-européenne aristocratique et guerrière dont l'ours est l'emblème)...

On peut noter aussi que la pourtant diplômée archéologue Marija Gimbutas (1921-1994) n'a pas été suivie non plus par la communauté scientifique conservatrice sur ses affirmations sur "une très ancienne et très religieuse civilisation européenne" des Balkans (Gimbutas, Marija (1974). The Goddesses and Gods of Old Europe: 6500 to 3500 BCE: Myths and Cult Images (2nd ed.). Berkeley: University of California Press. p. 17)

" En 2005, les vestiges d'une très ancienne civilisation européenne semblent être découverts (les vestiges d'une très ancienne civilisation européenne auraient été découverts", lemonde.fr, 11/06/2005 ; "Archéologie : Vestiges de la plus ancienne civilisation européenne", DH.be, 12/06/2005 ; 

"Découverte de vestiges de la plus ancienne civilisation européenne", Métro, 13/06/2005, d'après le journal britannique The Independent) et viennent également conforter les anciennes affirmations des chercheurs des pays de l'Est... et de l'Allemagne nazie. Ces vestiges sont mis au jour par des archéologues sur une zone de plus de 600 km de long, couvrant l'est de l'Allemagne, la Tchéquie, la Slovaquie et l'Autriche. Ce sont les traces de plus de 150 temples, édifiés, entre 6.800 et 6.600 avant le présent, qui auraient ainsi été découvertes. Ces constructions de grande taille ont donc été créées 2000 ans avant les pyramides d'Égypte et le site mégalithique de Stonehenge (Angleterre méridionale). D'après les données, ces temples faits de bois et de terre auraient été bâtis par un peuple profondément religieux descendant de populations nomades du Danube. Les moyens de subsistance de cette civilisation semble avoir reposés sur l'élevage d'animaux tels que le porc et le mouton. L'une des plus remarquables découvertes se trouverait sous la ville de Dresde, où les archéologues ont mis au jour les vestiges d'un temple de 150 mètres de diamètre, entouré de quatre fossés, trois remblais de terre et deux palissades. On a également retrouvé des pierres, des outils en bois, de même que des figurines représentant des personnages et des animaux. Ces recherches auraient permis, selon Harald Staëble, chargé du département du patrimoine du gouvernement du Land de Basse-Saxe, de déterminer à quel degré de grandeur et de sophistication étaient parvenues ces premières véritables sociétés agricoles d'Europe.

En outre, des vestiges d'un village auraient été trouvés dans les alentours de Leipzig, abritant vraisemblablement 300 habitants dans une vingtaine de grandes habitations, regroupées autour d'un temple. Les temples de cette civilisation disparurent cependant après une période de deux ou trois siècles, et il faudra attendre 3.000 ans, soit à l'âge du bronze-moyen, pour voir de telles constructions réapparaître. La raison de cette longue absence des temples monumentaux demeure mystérieuse... " (The Independant)

Ainsi, de nos jours, la civilisation de Vinca et celle (peut-être la même s'étant déplacée d'ailleurs) de l'Allemagne sont reconnues officiellement par tous... mais pas l'écriture de Vinca ni les artefacts et symboles "apocryphes" trouvés (ou créés...)...

Mais d'autres recherches "bulgares" permettent de faire des liens encore plus étranges et probablement significatifs car, comme vous le savez vous-même, trop de coïncidences ou de hasards suppriment justement cette notion de coïncidences et de hasards... car voyons ce qu'en disent les ésotéristes et les spécialistes des langues :

Ainsi, « en arabe, pyramide se dit Hram. Cela vient du mot bulgare Hram qui signifie Temple. Hram est un mot bulgare dont l’origine très ancienne remonte à des milliers d’années et qui signifie Temple Dieu Mère (Rama).

Ra est le Dieu absolu des anciens Bulgares et Ma est la grande déesse, mère de la matière et de l’énergie. Dans le peuple de HRAM (Hora est le mot bulgare pour peuple) on peut sentir l’énergie de Rama Dieu Mère. » (source)

Nesabaryaniyat mer noire
ville de Nessebar

Citée dans la Bible comme étant une ville "païenne", la ville de Nesabaryaniyat, au bord de la Mer Noire, est connue maintenant comme la ville de Nessebar et l'une de ses plus anciennes églises porte encore les traces des symboles des aryens bulgares qui ont été répandus sur tout l'ancien monde, dont la croix gammée, qui s'est transformée en croix chrétienne par la suite dans les mêmes églises. Cette croix gammée était aussi l'un des symboles du Dieu du soleil bulgare, le Dieu Surva...

« Dans le passé, nos sages ancêtres Bulgares ont utilisé la force géomagnétique pour construire leurs hrams, pyramides, temples et sanctuaires rocheux au flanc des montagnes ou enfouis dans des puits profonds. » La force géomagnétique, c’est à dire vril. « Ils ont utilisé la force de la mère Terre Ge / Ga car ils savaient que le corps de l’homme est fait de terre et que son âme est l’Esprit du Dieu Ra, esprit qu’ils ont appelé Ha. Cette puissante énergie géomagnétique facilitaient leur contact avec l’Esprit Dieu Mère ou Ha Ra Ma. C’est pourquoi ils nommèrent leurs temples mégalithiques Harama. L’Esprit de Dieu passait à travers Ra Ma, la déesse de la matière et de la Terre. Auparavant, les pyramides en Egypte étaient appelées HRAM, Ahram. Cependant, au cours des âges, cette connaissance a été occultée puis détruite »

" Tout ce qui touche, de près ou de loin à Rama a en effet été mutilé, truqué ou détruit. D’où la difficulté pour le chercheur de faire parler des vestiges absents. Il faut donc scruter le langage, qui lui demeure, et ne ment pas. Harama, en ancien Bulgare, signifie Esprit de Ra et de Ma, nous dit cet auteur bulgare. Fort bien. J’y vois aussi une évocation de la trinité primitive des Hyperboréens et des Atlantes. Ha, l’esprit – Ra, le père – Ma, la mère. Ce qui explique bien des choses. Pendant l’ère du Lion, les "dieux astronautes" sont revenus sur terre. Leur chef était Ra, dieu solaire, qui s’est uni à Ma, la Matriarque. Elle était la Grande Mère, elle dirigeait la terre avec la magie et le don. Des millénaires plus tard, pendant l’ère du Bélier, un jeune druide d’Hyperborée met fin au matriarcat, devenu une pétaudière de sorcières criminelles exploitant les mâles avec sadisme. "

" Il a prêché la Voie du Milieu, il a instauré un système équitable où les femmes sont devenues des partenaires, non des tyrans. Pour marquer cette union harmonieuse des deux sexes, il a prit le nom de RAMA, Père Mère. "

" Le mot bulgare pour « temple », Hram, évoque l’architecte du temple de Salomon, Hiram. Il s’agit du même nom. C’est une preuve de plus que le temple de Jérusalem était dédié non à Yahveh, mais à la trinité Atlantéo-hyperboréenne originelle, HA RA MA. "

" Temple en bulgare se dit Hram, mais aussi Ahram, d’où le mot hindi Ashram qui veut dire la même chose. D’où vient cette forte parenté entre la Bulgarie antique et la saga de Rama, souvent liée à l'Inde et la Mésopotamie ?

La transmission orale ayant été la règle et les glyphes ayant évolués au cours des âges, il faut apprendre à décoder à travers les cultes, les mythes et les traditions communes. C’est tout à fait vrai qu’il y a des points communs entre ces deux civilisations. Elles partagent la même pierre, de solides connaissances technologiques, de grandes parentés spirituelles et une langue présentant de grandes similitude. "

" A ceux qui s’étonneront de retrouver presque le même mot dans deux pays aussi lointains que l’Inde et la Bulgarie, je conseillerais de lire d’autres épisodes de la vie du druide Ramos d’Hyperborée.

Ils découvriront que la route de Rama jusqu’en Asie lointaine est jalonnée de lieux, de peuples ou d’événements qui célèbrent encore son précieux nom, même si sa mémoire est oubliée. "

" Le druide Ramos devint Ram pour les Celtes, il traversa toute l’Europe et l’Asie pour y apporter la paix, la prospérité et l’élévation spirituelle. Sur son passage, il a montré une nouvelle façon de penser, d’agir et de parler, d’où les nombreuses traditions ramaïques qui subsistent encore en Europe occidentale et orientale, autour de la mer Méditerranée, dans les Balkans et au Moyen-Orient, ainsi que dans l’Inde, le Tibet et la Chine. "

" Rama n’est pas d’origine indienne, comme le prétend faussement le Ramayana. Rama est un dieu planétaire, dont on a oublié les exploits en Europe, et pourtant c’est en Europe celtique qu’il a commencé sa vie. Les événements de sa jeunesse ont été relocalisés en Inde par Valmiki, auteur présumé du Ramayana.

La relocalisation d’événements mythiques est un phénomène si répandu qu’on met du temps à s’en apercevoir. Homère lui-même a relocalisé des événements touchant à la saga de Rama pour les besoins de son "funny remake", l’odyssée d’Ulysse. L’original s’est perdu, le destin aveugle n’a conservé que le pastiche. J’ai montré aussi comment l’exode de Moïse est une adaptation des vraies aventures de Rama. "

" On peut aussi rapprocher le mot bulgare Hram du nom d’Abraham ou Abram, « celui qui vient du temple ». Or ce nom d’Abraham présente de fortes parentés avec la caste indienne supérieure, celle de Brahman.

Le mot HARAMA contient les trois syllabes les plus employées dans de très nombreuses langues. Rappelons sa signification ésotérique. HA, l’esprit, le saint esprit, le paraclet. 

RA, le père, le dieu venu du ciel, le Soleil. MA, la Mère, la Grande Déesse Gé Gaïa, la Terre.

Le chakra du ventre se dit hara en japonais : littéralement Esprit Père. Ce qui décrit bien le Manipura Chakra, le chakra du ventre. Les Arabes se baignent au hamam. Littéralement, hama(m) est Esprit Mère. La consonne finale n’est pas exceptionnelle : la plupart des langues dit MA pour mère, et bien d’autres disent MAM, voire MAMAN. Qui se décompose en MAM la Mère, et AN ou ANOU, le dieu principal des Anunnaki.

En hindi, maha signifie grand. Littéralement, maha dit Mère Esprit.

" Jamais les historiens ne se sont souciés d’ouvrir les horizons figés par la doctrine académique. Les linguistes et les étymologistes ne peuvent se passer de la langue orale, de la langue vernaculaire et de la langue des oisons pour établir les liens qui leur manquent… 

La passion immodérée des racines fait oublier les fleurs. Comme la civilisation de l’écrit nous a fait oublier les sons.

Pourtant, les lieux, les noms propres ou communs sont de précieux indices dans ce puzzle géant qu’est l’histoire humaine en miettes. "

Intéressant article traduit et rapprochements de Xavier Séguin : http://eden-saga.com/linguistique-bulgarie-hram-temple-pyramide-eaudejade-rama.html +  (source

http://www.culture.gouv.fr/culture/arcnat/harsova/fr/balk6.htm

Et sinon, pour les pyramides bulgares, on peut dire que les nombreux tumulus encore visibles en ont la forme, au moins... (et sont entièrement artificiels, construits) :

Grobnica ostrusha gr shipka

Le tumulus d’Ostrusha se trouve près de la ville de Shipka : en 1993, lors des fouilles archéologiques, on y découvrit un site tumulaire de culte d’une grande valeur artistique et historique. Les monnaies et les objets trouvés datent du milieu du IVe siècle av. J –C.

Le site monumental est composé de six salles. Du côté sud, on entre dans la salle centrale à trois entrées, pour les chambres disposées de ses deux côtés et au nord. La salle à droite est ronde, à la forme d’une coupole. Le reste des salles sauf la chambre monolithique furent réalisées en blocs de granite bien taillés sur un plan rectangulaire. La chambre du sud-ouest a la forme d’un carré. On y a découvert des objets en métal ayant servi au sacrifice d’un cheval.

Dans le coin du sud-ouest de la chambre furent découvertes les appliques de l’équipement du cheval : le frontal à la forme d’une hache double stylisée et une tête de griffon tridimensionnelle avec six éléments de protection de face en argent. Tous les objets sont d’une riche décoration d’ornements animaux et végétaux.

A proximité furent découverts une phiale et un broc très déformés. La chambre tumulaire est taillée d’un bloc monolithique, elle ressemble à un sarcophage. Tous les blocs utilisés pour la construction proviennent de la carrière au pied de la montagne de Sredna gora. "

http://bulgariatravel.org/fr/object/189/Grobnica_Ostrusha_gr_Shipka

L'un des problèmes en Europe est que même s'il y a eu dans le passé de véritables pyramides et de grands temples construits, on voit bien (y compris ceux des romains, plus récents) que toutes les pierres ont été réutilisées pour les églises chrétiennes et les différents châteaux ou temples plus tardifs du Moyen-Age... les traces du passé ont quasiment disparues...


Par Yves Herbo, S,F,H, 11-2012, MAJ 05-2015

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