Déclassification de documents secrets sur les ovnis en juin au Brésil
La décision a été prise suite à une réunion entre le ministère brésilien de la défense et les ufologues, réunis autour d'une table.
Selon le colonel Alexander Spengler, coordonnateur des services d'information des citoyens, le Ministère de la Défense brésilien diffusera publiquement en juin 2013 des documents classés "secrets" et impliquant des objets volants non identifiés.
On évoque une opération, réalisée entre 1977 et 1978, ayant révélé la présence de lumières dans la ville de Colares, ainsi que des rapports de pilotes à propos de lumières étranges.
La décision de libérer les documents a été prise après une réunion tenue le jeudi 18 avril 2013 entre les représentants du ministère de la Défense et des membres du Comité ufologique brésilien. " C'est la première fois que le ministère de la Défense d'un pays est assis sur la même table que des ufologues ", a déclaré Ademar Gevaerd, président de la commission ufologique brésilienne.
Rappel : en 1977, l'île brésilienne de Colares est visitée par des objets volants inconnus pendant des mois. On observe tous les jours toutes sortes d'engins de toutes tailles et toutes formes, arrivant par le Nord, depuis le ciel, voir sortant des eaux.
Trente-cinq habitants de l'île sont blessés par des rayons dirigés sur eux par les objets. L'armée intervient, filme, photographie, interroge, la presse est là. Finalement, devant la menace, tous les habitants évacuent l'île.
Trente-cinq habitants de l'île sont blessés par des rayons dirigés sur eux par les objets. L'armée intervient, filme, photographie, interroge, la presse est là. Finalement, devant la menace, tous les habitants évacuent l'île.
Selon le colonel Alexander Spengler, suite aux règlements sur la Loi sur l'accès à l'information (mai 2012), le Ministère de la Défense a reçu 107 demandes de renseignements liés à l'ufologie pour la divulgation de documents dont 65 pour l'armée de l'air brésilienne, 26 pour l'armée, 9 pour la marine, 5 pour le ministère central administratif et 2 pour l'école de guerre.
Selon le colonel, l'armée a dit qu'elle ne détenait guère de documents concernant l'événement connu sous le nom de "Varginha ET" en 1996 dans le Minas Gerais, parce qu'ils ont été égarés ou détruits, tel que la loi le prévoyait...
Les évènements de Colares 1977
Pas moins de 35 habitants de l'île sont blessés par des rayons dirigés sur eux par les objets. L'armée intervient, filme, photographie, interroge, la presse est là. Finalement, devant la menace, tous les habitants évacuent l'île.
Les événements se sont principalement concentrés sur la ville de Colares, environ 2000 habitants, sur l'île du même nom, qui se trouve dans l'Etat du Pará, dans le delta du fleuve Amazone sur la côte Nord-Est du Brésil. Mais la région entière a été visitée par le même phénomène.
colares-reconstitution
En Août 1977 sur l'île de Colares, une phénomène étrange à commencé à se produire, que les autochtones nommaient Chupa-chupa (vampire, suceur). Des objets lumineux étranges sont apparus au-dessus des quelques villes de la région. Ces objets projetaient souvent de minces rayons, apparemment de lumière, dirigés vers les gens. Les personnes touchées s'évanouissaient et se réveillaient avec une anémie étrange. Elles témoignent qu'elles se sentaient comme si une partie de leur sang avait été prélevée par les rayons étranges.
Par exemple, le pêcheur Manoel João de Oliveira Filho, âgé de 44 ans, marié et résidant au 64 de la rue Carneiro de Mendonça, flânait vers la plage tôt pendant un matin avec quelques compagnons, avant de passer une journée de pêche en mer. Avant qu'ils aient rejoint leurs bateaux, ils ont vu - au-dessus de la plage de Rio Novo - un objet formé "comme un parapluie" stationnaire à environ 4m du sol. De sa partie la plus basse, une lumière blanche vive était émise. Aucun bruit n'était audible depuis l'endroit où ils se tenaient. L'objet s'est alors écarté toujours en silence vers Machadinho, éteignant sa lumière quand il commença à s'éloigner.
Un charpentier du nom de João Dias Costa âgé de 44 ans et un pêcheur nommé João Da Cruz Silva de 54 ans, tous les deux de la ville de Colares, virent des "sphères lumineuses" et ont été très effrayés car celles ci étaient près de balayer leurs embarcations.
Un autre homme de la ville de Colares, Zarcarias Dos Santos Barata, 74ans, a vu des boules incandescentes pendant deux nuits. La première fois, l'objet est venu de la direction du comté de Marajó, et a rapidement disparu vers l'intérieur de l'île de Colares. La deuxième nuit une autre boule, de couleurs bleues, a volé au-dessus du terrain de football local. "Elle a éclairé tous les arbres autour du terrain et puis a filée vers le centre de la ville," a indiqué monsieur Zacarias.
Monsieur Sebastião Vernek Miranda a décrit son expérience comme suit:
"J'étais là avec mon épouse, Palmira, devant l'église sur le front de mer, quand vers environ 20h00, nous avons vu une lumière intense, orangée, arriver de la mer vers la ville. Pendant qu'elle s'approchait, elle s'est élevée, et puis, se déplaçant rapidement, a disparu vers la partie intérieure de l'île."
Le coiffeur Carlos Cardoso de Paula, âgé de 49 ans, vivant au numéro 231 de la Travessa Deodora Da Fonseca, a eu une rencontre plus encore plus rapprochée avec des "lumières", comme il le rapporte lui-même :
" Tout le monde était endormi à part moi. J'étais en train de fumer une dernière cigarette quand soudain une boule de feu est entrée dans notre maison vers le haut près du pignon. Elle a commencé à tourner en rond dans la salle et puis est finalement venue très près de mon hamac. Elle est remontée le haut de ma jambe droite jusqu'à mon genou (sans toucher ma peau). Je l'ai observé avec beaucoup de curiosité pendant qu'elle se déplaçait vers mon autre jambe. Alors j'ai commencé à me sentir faible et somnolent. Ma cigarette est tombée de ma main et je suis sorti en criant. L'aérolithe a rapidement disparu et tout le monde s'est réveillé. Je pense qu'elle avait recherché une veine dans mon corps mais n'est pas parvenu à le faire. Pendant que son éclat croissait j'ai senti une sorte de chaleur venir d'elle."
OVNI à Colares, vu de près.
L'ouvrier Raimundo Costa Leite, très bien connu dans la ville de Colares pour sa compétence dans les réparations des filets de pêche, décrit sa propre expérience:
"A environ 4,00 du matin, tôt, je suis allé pêcher avec mon ami "Baixinho" (Orivaldo Malaquias Pinheiro) au large de la plage de Cajueiro. Je me rappelle que "Baixinho" a crié " regarde ! Il est là " et a pris ses jambes à son cou, me laissant seul sur la plage. L'engin était de la taille et de la forme d'un hélicoptère, ne faisait aucun bruit, et volait très haut. J'aurais pu tirer jusqu'à lui si j'avais eu un pistolet avec moi. J'ai été terrifié quand la machine a émit une sorte de rayon lumineux vers le bas sur la plage. Cette lumière balayait le sol, illuminant tout ! C'était une lumière bleuâtre (une sorte de "lumière froide"). C'était assez facile pour moi de le voir parce que l'engin avait plusieurs petites lumières rougeâtres sous sa cloison avant. L'engin semblait chercher quelque chose au sol. J'avais peur qu'il puisse me toucher et, en dépit de mon état physique faible je suis parvenu à courir sur une grande distance, et alors "Baixinho" m'a retrouvé et m'a aidé. L'objet était venu de la direction de la mer et il se dirigeait au loin dans la partie intérieure de l'île."
En fait, tellement de gens ont rapportés avoir été attaqué par des faisceaux de lumière sortis de petits moyens ou grands OVNIS dans ce secteur que seulement quelques un sont mentionnés ici.
Le 20 octobre, trois femmes ont été frappées sur leur poitrine par les faisceaux de lumière: "chacune des trois a été atteinte d'une tension nerveuse énorme et d'une sorte inconnue de lassitude" comme si elles recevaient des décharges électriques constantes" écrivit un journal.
Dans la soirée du 29 octobre, Benedito Campos et son épouse de dix-sept ans Silvia Mara étaient à leur domicile quand "ils ont reperé un objet ovale et argenté émettant un faisceau verdâtre comme un phare, vers la salle où ils se trouvaient. Très étonnés, ils se sont rapproché d'une petite fenêtre et, au moment ou ils faisaient cela, un rayon se projeta à travers la fenêtre et atteignit directement Silvia, la jetant dans une sorte d'état de transe." Silvia, qui était alors enceinte, s'est évanouie, sur quoi deux entités sont apparemment entrées dans la maison portant quelque chose ressemblant à une torche dorée et "le faisceau a de nouveau frappé Silvia, cette fois dans le bras gauche au niveau du poignet. Ses veines ont semblé "se soulever" comme gonflées par le faisceau qui les frappaient."
Plus tard, alors qu'il s'était rendu chez un voisin, Benedito a été également brièvement paralysé par un rayon lumineux. Craignant la perte du bébé à naître, le mari et l'épouse ont été transportés de nuit par bateau à la clinique médicale de Mosqueiro, suivis pendant tout le trajet par l'OVNI, qui n'a plus fait d'autre tentative de leur nuire. Ils sont restés là pendant trois jours, où l'épouse put récupérer, mais Benedito "était dans un état de dépression grave pendant quelques jours, ses fonctions motrices perturbées et, selon les propos de sa mère, "pleurant fréquemment."
L'activité des OVNIS au-dessus de l'île de Colares était si intense que les gens ont commencé à penser que les "Chupa-chupas" essayaient d'établir une sorte de contact avec eux. Telle était l'opinion exprimée par le Sr Raimundo Ferreira "Mimi" Monteiro. Il pense toujours que les engins provenaient des fonds de la mer ou d'une sorte de base sous-marine située dans le comté de Marajó ou peut-être dans la région du Caldeirão.
Alfredo Bastos Filho, un ancien maire de ville, a confirmé ceci et a indiqué: "oui, en effet je puis vous dire qu'il n'y avait alors pas un instant de tranquillité. La population était terrifiée par cette affaire de "Chupa-chupa". Je suis même parvenu à voir en personne "Mirota", une des femmes victimes des rayons qui était en traitement médical à la clinique de santé."
Les autochtones ont été tellement effrayés que plusieurs des femmes et des enfants ont quitté la ville. Les hommes qui sont restés allumaient des feux pour monter la garde la nuit, faisant en outre éclater des feux d'artifice et frappant des bidons à chaque fois qu'ils ont vu l'approche des Chupa-chupas. D'autres s'enfermaient dans leurs maisons par crainte du phénomène. On a mentionné plus tard que plus les gens faisaient de vacarme et de feux d'artifice pour les éloigner, plus ces engins s'approchaient d'eux.
Des blessés et un mort
En Novembre 1977 le médecin en charge de la santé publique dans l'île, le docteur Wellaide Cecim Carvalho, a pris soin d'environ 35 personnes prétendant avoir été touché par l'étrange rayon. Elle a pris des échantillons de sang, et a conclu que les victimes ont souffert d'hyperémie généralisée, de maux de tête chroniques superficiels, de brûlures, de fièvres intenses, de nausées, tremblements dans le corps, raideurs, asthénie et présentaient des très petits trous dans la peau là où ils avaient été frappés par les rayons.
Elle a écrit: "tous avaient souffert de lésions au visage ou dans la région thoracique." Les lésions, ressemblant à des dommages de radiations, "ont commencé par le rougissement intense de la peau dans le secteur affecté. Plus tard les poils tombaient et la peau tournait au noir. Il n'y avait aucune douleur, seulement une légère chaleur. Des marques de petites piqûre dans la peau pouvaient également être notées. Les victimes étaient des hommes et des femmes d'âges variables, sans liens entre eux."
En décrivant leurs expériences avec ces faisceaux lumineux, la plupart des victimes ont affirmé qu'elles ont été "immédiatement immobilisées, comme si un poids très fort a poussait contre leur poitrine. Le faisceau avait environ sept ou huit centimètres de diamètre et était de couleur blanche. Il ne les traquait pas mais les frappait soudainement. Quand ils ont essayé de crier aucun son ne sortait, mais leurs yeux sont restés ouverts. Le faisceau était ressenti comme chaud, "presque aussi chaud qu'une brûlure de cigarette," à peine tolérable. Après quelques minutes la colonne de lumière se rétractait lentement et disparaissait." La plupart des symptômes ont disparu en général après une semaine.
A Agulhas Fincadas, Mme Maria Lopes, habitante de Vila Gorete, aux confins du Rio Tapajós, dans le voisinages de Santarém (Pará), raconte son cas impliquant des engins étranges qui absorbent l'énergie des être humains, connus sous le nom de Chupa-Chupa. "J'ai vu un objet se poser tranquillement dans les buissons ici tout près... Il avait attaqué deux hommes et une femme, qui avaient commencé à se déplacer avec deux pêcheurs", raconte Maria. D'autres gens de l'endroit avaient été paralysés en observant la scène et des hommes ont été tués dans des circonstances identiques. Au coeur de chacun des décédés il y avait eu des ensembles de petits trous comme des dizaines d'aiguilles."
Beaucoup s'étaient blessés en essayant d'échapper à un de ces objets étranges. Dans de nombreux cas, les marques laissées par les rayons sur la peau de victimes étaient des marques qui pouvaient avoir jusqu'à huit petits trous. Dans ces occurrences, l'appellation de Chupa-Chupa (vampire) semblait bien appropriée car elles avait perdu jusqu'à approximativement 300 ml de sang par ces blessures.
Ce fut le cas pour Claudomira, une habitante de l'île de Colares. Elle affirme que sa famille ne trouvait déjà plus un sommeil normal à cause de la crainte de ces engins. "En un de ces jours, après minuit, je me suis réveillée en raison d'un flash puissant, une sorte de rayon de lumière verte claire focalisée qui est descendue du haut du toit vers ma poitrine gauche. J'ai essayé de crier, mais ma voix n'a pas fonctionné. J'ai senti une agréable chaleur... Plus tard, ce faisceau de lumière a diminué et j'ai vu que j'ai été brûlée."
Claudomira a indiqué qu'elle a aperçu un objet étrange, ressemblant à un parapluie, duquel un être de peau claire, avec des yeux "orientaux" et de grandes oreilles sortit. Selon elle, la créature était habillée d'un vêtement verts serrés et avait eu une sorte de pistolet dans la main, qui a émis le faisceau lumineux. A ce moment, Claudomira s'est senti perforé comme par des aiguilles sur son sein. "
Après cela, j'ai ressenti une migraine et une grande faiblesse, qui m'a laissée prostrée pendant plusieurs jours." Le lendemain de l'événement, elle avait été dirigée vers l'unité sanitaire de la ville, où elle a été prise en charge par le docteur Wellaide Cecim Carvalho, qui l'a envoyée à l'institut médical Renato Chaves, à Belém, pour des examens de complément. Son malaise et ses migraines constantes ont duré de nombreux jours, suivis de fatigue et de faiblesse. Des années après, Claudomira ne se sent toujours pas complètement remise. "Ma santé n'est jamais redevenue la même depuis cette nuit." Elle n'est pas la seule avoir vécu une telle situation. Une estimation dit que des milliers de gens, également des hommes, avaient souffert les attaques du Chupa-Chupa dans les années de 1970 à 1980, et ces incidents se produisent toujours aujourd'hui, bien que moins fréquemment.
"Les séquelles émotives et physiques sont très communes dans ces cas," affirme le docteur Wellaide Cecim Carvalho, qui a pris soin de Claudomira. Bien qu'elle ait été sceptique et qu'elle ait d'abord cru que les histoires de Chupa-Chupa étaient des croyances populaires ou de la sorcellerie, le Dr Wellaide a fini par être convaincue de la véracité des cas quand elle a été confrontée à leur fréquence croissante. "Avec l'augmentation du nombre des personnes blessées, j'ai commencé à accorder plus d'attention aux dommages existants. J'ai vu les choses qui n'existent pas dans mes livres médicaux," dit-elle. Selon elle, les victimes de Chupa-Chupa présentaient des brûlures des plus étranges, pas comme celles provoquées par le feu ou l'eau chaude, comme on pourrait le penser, mais très semblables à celles produites par des irradiation de cobalt.
"Les dommages changeaient avec le temps. D'abord cela commençait par une raideur intense dans le secteur touché, ce que l'on appelle une hyperémie. Plus tard, la peau de la région affectée commençait à tomber (alopécie) et des jours plus tard la peau pelait. "Dans cette période de développement," a dit Wellaide, "il était possible de noter des trous, semblables aux perforations par des aiguilles." Un des cas les plus intéressants dont elle a assuré les soins s'est produit avec une dame qui avait des problèmes cardiaques. Elle est arrivée au bureau du docteur très nerveuse et immédiatement elle a montré son sein gauche, sur lequel il y avait deux trous étranges.
La brûlure.
Elle s'est plainte de nausée, de souffle court et de faiblesse, symptômes caractéristiques déjà connus par les personnes frappés par le phénomène. Le docteur a essayé de la calmer et elle est rentrée à son domicile. Mais vers environ 15:00, cependant, le Dr. Wellaide a été appelée au chevet de cette femme, qui était tombée très malade. Son corps entier était immobile et elle avait du mal à respirer mais elle n'avait ni fièvre$ ni vomissements. Voyant le sérieux de la situation, le docteur l'a transportée à un hôpital de Belém.
Des heures plus tard, elle a reçu les papiers médicaux et l'extrait d'acte de décès expédiés par l'institut médico-légal Renato Chaves, qui a énoncé qu'une crise cardiaque comme cause de la mort. Le fait intrigant est qu'à aucun moment les médecins de Belém n'aient seulement mentionné les dommages sur son corps et n'ont pas même dit s'ils avaient effectué des examens de compléments.
Electricité :
Concernant les effets possibles des OVNIS sur l'approvisionnement en électricité, le Senor Geraldo Aranha de Oliveira du C.E.I.P.A. (centrale électrique de Pará) a expliqué:
" En 1977 la sous-station du C.E.I.P.A. se composait de trois moteurs Scania de 125 kilowatts, assurant l'éclairage de la ville à partir de 18:00 jusqu'à minuit. Je ne me rappelle pas avoir vu le moindre OVNI au-dessus de l'usine. Je me rappelle simplement que pendant cette période, un bon nombre de tiges de paratonnerre ont été brûlés et, parfois, également des fusibles."
Les forces aériennes alertées :
La COMAR (Comando Aéreo régional, le commandement régional de l'Armée de l'Air Brésilienne), est arrivé à Belem, et fait une série de recherches dans la région, sous le nom d'opération "Prato" (assiette, ou soucoupe"). Le Capitaine Uyrangê Bolivar Soares Nogueira De Hollanda Lima a dirigé toutes les opérations dans la région. Pendant les investigations, l'Armée de l'Air a tourné quatre films et pris des centaines de photographies des soucoupes volantes dans le bassin de Marajó. Ils ont également été d'un grand secours pour la population, fournissant l'aide de psychologues, pour éliminer la panique qui s'était emparée de toute la région.
Les rayons de lumière des engins ont été décrits comme étant si lumineux qu'ils ressemblaient à ceux employés pour éclairer les stades sportifs la nuit. Ils ont "toujours été nettement définis, dirigés avec une précision parfaite vers toutes leurs cibles - les maisons, les gens, bateaux, arbres, et même les hélicoptères de la force aérienne Brésilienne déployés au-dessus de l'île pendant les investigations. En une occasion on rapporta qu'un de ces puissants faisceaux obligea l'un des hélicoptères à atterrir, cependant la raison technique exacte ne fut pas communiquée. (...)
Suites, développements et enquêtes ci-dessous, en attendant les documents déclassifiés de juin 2013 :
http://www.forum-ovni-ufologie.com/t6938-l-affaire-de-colares-1977-merite-toute-notre-attention
http://ufologie.patrickgross.org/htm/colareshollanda.htm
http://www.prufon-news.com/2010/05/colares-island-ufo-attacks.html
http://ufoetscience.wordpress.com/2012/12/10/dossier-bresilien-operation-pratoles-observations-de-colares/
Yves Herbo-SFH-04-2013
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