OVNIs : Les boules lumineuses - des témoignages
Voici des témoignages spécialement centrés sur le phénomène des OVNIs sous forme de sphères ou boules lumineuses, de diverses tailles et couleurs, mais souvent de petites dimensions. Ces témoignages sont tirés d'extraits du livre de l'écrivain et chercheur Jimmy Guieu, un homme qui est resté ferme avec ses convictions jusqu'au bout, " Nos Maîtres les Extra-Terrestres ", paru en 1994 :
" En 1957, Aline (nom fictif) a cinq ans et vit en Suisse, canton de Neuchâtel. C'est la nuit; la petite Aline dort paisiblement dans sa chambre; les volets, la fenêtre et la porte sont clos. Brusquement, l'enfant se réveille, prise de terreur en découvrant très près d'elle deux boules lumineuses, qui n'éclairent pas la chambre. Et ces boules parlent! La gamine ne se souvient que d'une phrase: «Nous reviendrons te chercher...» Ces boules étaient «matérielles», mais l'on devinait les contours flous de deux oreilles de lapin et une bouche souriante (suggestion d'apaisement?). Elles disparurent rapidement.
Un cauchemar d'enfant, songeront les sceptiques. L'on pourrait à la rigueur admettre qu'il s'agissait d'un phénomène paranormal, parapsychologique puisque Aline, adolescente puis adulte, vécut d'autres phénomènes (parfois avec des témoins) que l'on pourrait classer dans le domaine psi. Encore qu'un lien mystérieux puisse exister entre ces derniers (ou certains d'entre eux) et des «entités» — aussi matérielles dans leur monde que nous le sommes dans le nôtre — ne dédaignant pas l'humour (plus ou moins grinçant!).
En 1972, dans le midi de la France, Myriam (dix-sept ans) dort dans le même lit que sa sœur Josette (douze ans). Soudain, la fillette se réveille, s'assied et secoue Myriam, s'agrippe à elle, très effrayée. L'aînée sort du sommeil, s'assied elle aussi et, dans l'obscurité de la chambre, elle aperçoit au sommet de l'armoire, suspendue en l'air, une boule lumineuse cependant que sa jeune soeur s'affaisse en arrière, sans connaissance.
« Je ne détache pas mes yeux de cette boule, me dira-t-elle. Après un instant, elle se dirige tout doucement vers le pied du lit et vient se placer au centre. A ce moment-là, je sens que je me détends, je me relâche; j'ai la sensation écrasante que cette boule me fixe de toutes ses forces. Une phrase me vient à l'esprit: « Les Extraterrestres », et tout de suite après, sans savoir pourquoi ni comment, j'ai dit tout haut : « Eh bien, c'est pas trop tôt. » La boule s'est aussitôt mise à zigzaguer à la vitesse de l'éclair puis elle est partie à travers le mur, au-dessus de la fenêtre. Une fois qu'elle eut disparu, je me suis laissée retomber en arrière, vidée de toutes mes forces et me suis rendormie sans avoir le temps de réagir. Cette boule, d'environ vingt centimètres de diamètre, n'était pas éblouissante; une multitude de petits points scintillants occupaient presque toute sa masse. La première idée que j'ai eue de ce truc c'est qu'il était vivant!».
A des degrés divers, ces sœurs possédaient une certaine médiumnité, Myriam en particulier, comme le prouve l'anecdote suivante: «Vers l'âge de quatre ou cinq ans, raconte-t-elle, nous repartions, mes parents et moi, de chez des amis qui avaient un petit garçon prénommé Gilles, de six mois plus jeune que moi. Au moment où nous nous faisions la bise, mon petit copain et moi, sa mère dit d'un air amusé: « Nous les marierons, ces deux-là. » Et moi, très gravement, j'ai pensé :
« Elle n'aurait pas dû dire ça, il ne sera plus là. » Or, Gilles s'est suicidé à l'âge de dix-sept ans et demi, le 11 avril 1972. »
Brigitte (la trentaine, mariée, deux enfants) habite dans l'Yonne. Le 10 mars 1983, à vingt heures, son travail achevé, Brigitte prend la route pour regagner son domicile, distant d'une vingtaine de kilomètres. Voici des extraits de son rapport écrit :
« Je vis, à l'entrée d'un bois, une lumière venant en sens inverse de la marche de mon véhicule, que j'identifiai comme le phare d'une voiture «borgne» (pourquoi pas celui d'une moto, je l'ignore). Je plaçai alors mes phares en code et, au moment de croiser cette lumière, celle-ci se subdivisa en de nombreuses petites boules très lumineuses mais non éblouissantes. A ce moment, j'eus l'impression de traverser toute une zone très lumineuse; j'eus le réflexe de freiner, mais mes freins ne répondirent pas. Pendant cette traversée, je n'éprouvai aucune sensation de chaleur ou de froid, ne ressentis aucune vibration, aucune sensation de roulement de ma voiture (2 CV Citroën). A ce moment précis, une pensée m'obséda: «Il ne faut pas qu'ils m'emmènent sans Georges (mon mari) et les enfants.» [...] Cela s'est passé très vite, en quelques secondes tout au plus. Ensuite, je vis dans mon rétroviseur les «petites boules lumineuses" se rassembler derrière la voiture pour n'en former qu une seule, plus grande, qui s'éloigna très vite derrière le véhicule. Puis, regardant la route, je m'aperçus que je stationnais sur le côté droit, dans l'herbe, juste devant le panneau routier de l'entrée du village de V... Dans un état d'intense inquiétude, je suis alors descendue de ma voiture; j'ai constaté que la carrosserie était chaude, ainsi que la capote, comme si la 2 CV avait stationné plusieurs heures sous un soleil torride ! Remontant dans le véhicule, j'ai remarqué que le levier de vitesse était au point mort et que le frein à main était libre. Puis j'ai repris la route. Arrivé à C..., je suis allée chercher mes enfants chez la nourrice et nous sommes rentrés immédiatement.
— En descendant de la voiture, j'ai voulu prendre mon tricot (un pull que je m'étais confectionné, dont toutes les pièces étaient tricotées, mais pas encore assemblées), déposé sur le siège arrière avec deux aiguilles dans un sac de papier. Or, je ne retrouvai que les aiguilles... Aucune trace du pull ! Quelques minutes plus tard, dans la salle de bains, je vis, dans la glace, que mon maquillage avait coulé sur mon visage, comme si j'avais fortement transpiré !
Disposant de plusieurs repères dans le temps, Brigitte réalisa qu'il existait un trou de quinze à vingt-cinq minutes durant son trajet, lors même que l'intermède des boules lumineuses lui semblait n'avoir duré que quelques secondes! Depuis, elle souffre de céphalées, pas très douloureuses mais fort tenaces, et éprouve parfois également la sensation d'être surveillée.
« Par ailleurs, précise-t-elle, il m'arrive souvent de me relaxer avant de m'endormir. A ces moments, je suis totalement détendue, l'esprit le plus vide possible. Un soir, dans ces circonstances, j'ai entendu ou cru entendre la phrase suivante, prononcée lentement: "Ne dis rien à personne pour le moment", ou une phrase ayant ce sens, je ne puis garantir les termes précis. Enfin, il y a quelques jours (15 ou 20 mars 1983), je me suis souvenue avoir entendu, lors de cette aventure, une musique douce, reposante, composée de quelques notes prolongées et s'apparentant un peu au souffle du vent. Mon mari et moi-même avons entendu la même musique le 29 mars vers 3 heures du matin, avant de nous endormir.»
Georges, l'époux de l'intéressée, m'écrivit le 6 avril 1983 :
« Je viens de prendre connaissance du rapport que Brigitte vous envoie. Je confirme effectivement avoir attiré l'attention de mon épouse sur une musique très douce, très faible également, que nous avons entendue le 29 mars vers 3 heures du matin. Cette musique s'est terminée sur une note très prolongée d'amplitude toujours égale. Je crois pouvoir évaluer la durée de ce phénomène à environ une minute, mais cela n'est qu'une appréciation personnelle. J'ajoute avoir constaté que j'entendais mieux cette musique l'oreille «collée» sur l'oreiller que la tête relevée, ce qui m'a profondément surpris.»
Ma consœur et amie Geneviève Vanquelef (la seule femme ufologue d'Europe, à ma connaissance) publie dans son ouvrage OVNI, interventions, captures , divers exemples de comportement de ces boules lumineuses qu'elle appelle des « plasmoïdes lumineux » :
« Dans l'Aveyron, en 1966 et 1967, des boules lumineuses sont aperçues par tous les habitants de la ferme. En janvier, le père est suivi dans ses déplacements par cette étrange forme. Tout à coup, avant qu'il ne fasse un geste, la lumière vient se placer devant le sentier qu'il avait l'intention de prendre.
— Le 4 avril 1974, dans une ferme à trente kilomètres de Montluçon, le chef de famille aperçoit deux boules lumineuses qui tournent autour des bâtiments. Dans son lit, sa fille endormie gémit à chaque passage. Le fermier sort, une des boules se plante devant lui, "agressive"; le manège dure jusqu'à 4 heures du matin! Un autre jour, comme le fermier rencontre de nouveau cette boule diabolique, il décide de la suivre. Il s'aperçoit avec effroi qu'il ne touche plus le sol. Alors que la terre est très boueuse, ses chaussures sont intactes. Par contre, il s'embourbe complètement lors du voyage de retour quand le phénomène a disparu: étrange pouvoir que celui de faire léviter un homme.
— Au Canada, en 1970, une infirmière observe une soucoupe volante stationnée face au second étage de l'hôpital où elle travaille. Après sa journée, elle revient chez elle en voiture et s'aperçoit qu'une petite lumière blanche la suit. Chaque fois qu'elle effectue ce parcours entre l'hôpital et son domicile, la boule est fidèle au poste. Ceci pendant quinze jours [...].
— Le cas de Blauzac, dans le Gard, en juin 1967, donne un exemple des effets de ce genre de plasmoïde. Un soir, le téléphone sonne. La maîtresse de maison vient dans la salle à manger pour décrocher et s'entretient avec son interlocuteur. Tout en parlant, elle entend son chien grogner et regarde dans sa direction. Une boule lumineuse jaune est juste devant son museau, elle éclaire d'ailleurs tout un côté de la pièce. Brusquement, la boule s'élève et s'approche de la femme. Celle-ci lève la main devant son visage pour se protéger. Elle est alors entièrement paralysée dans cette position, le combiné dans l'autre main, la boule au-dessus de sa tête! Elle ne peut même pas bouger les yeux ni appeler. Au bout de quelques minutes, la boule glisse de côté et disparaît. La victime tombe, entraînant le téléphone, et toute la maisonnée accourt.
— Cette personne est paralysée mais consciente. Le docteur lui fait une piqûre. Elle commence à pouvoir remuer les jambes deux heures après. Le chien meurt trois jours plus tard. La femme ne racontera les détails de l'aventure que dix ans après, lorsque son mari remarquera à son tour une boule insolite dans le jardin.»
Que ces boules «parlent», «regardent» ou se contentent de virevolter, il est certain qu'elles ne se bornent pas à passer sous le nez des témoins. Dans Les soucoupes volantes viennent d'un autre monde , j'ai baptisé «mouchards» un type particulier de ces modules téléguidés depuis un astronef qui recueille les informations transmises par leurs soins. "
La préface de Jimmy Guieu ici : http://www.the-savoisien.com/blog/index.php?post/2012/10/11/Jimmy-Guieu-Nos-Maitres-les-Extraterrestres
Jimmy Guieu - Nos maîtres les extraterrestres 1/4
Jimmy Guieu - Nos maîtres les extraterrestres 2/4
Jimmy Guieu - Nos maîtres les extraterrestres 3/4
Jimmy Guieu - Nos maîtres les extraterrestres 4/4
Yves Herbo, Sciences-F-Histoires, 04-03-2014
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