Les Reliques du Pérou et les E.B.E. gris
Et bien, suite aux dernières nouvelles, témoignages de réels médecins péruviens et ce qui semble de plus en plus être une confirmation d'anciens témoignages (on peut remonter au minimum au crash d'ovni de mai 1953 à Kingman en Arizona, USA pour les concordances, voir Roswell ou autres en 1947 !) et l'évidence que de telles séries de hasards et de témoignages à travers le temps sont difficiles à contrer, y compris les témoignages de militaires maintenant à la retraite. Il devient évident que les autorités américaines ont voulu garder secrètes leurs interactions et rétroingénieries aliens le plus longtemps possible, mais que c'est bien une technologie récente, internet, qui est en train de les empêcher de maintenir ce secret plus longtemps...
Nous le savons depuis très longtemps, le principe des Services de renseignements et en particulier les équipes chargées de couvrir les interactions avec les activités "exogènes" possibles (je rappelle au passage que même si les "aliens" et OVNI n'existent pas officiellement pour la majorité des nations terriennes (il y a tout de même quelques nations qui ont eu le courage d'admettre leur existence), la majorité de ces nations paient tout de même des spécialistes pour s'occuper de la question, y compris en France et aux USA...), et de mêler le faux et le vrai en général pour "noyer" le poisson, de discréditer et ridiculiser des témoins gênant (comme des policiers aux USA par exemple), de muter et punir des témoins militaires... et même si l'on en croit certaines révélations, à assassiner si cela s'avérait nécessaire... Le cas de l'astronome Jessup a été très cité notamment...
J'en ai parlé à Thierry Jamin récemment, mais il se pourrait que certaines de mes recherches gènent car j'ai reçu moi-même des menaces récemment, des appels téléphoniques anonymes, des disques préenregistrés avec des voix synthétiques me disant "goodbye", etc... Je veux bien croire encore au hasard (ou à la malchance), mais je viens de recevoir un courrier de mon nouveau bailleur de logement (j'ai aménagé ici suite au doublement de mon précédent loyer il y a à peine 15 mois !) m'informant que le petit immeuble où j'habite va être détruit... quand on sait que j'ai dû interrompre mes communications pendant près de 6 mois à cause de la mauvaise couverture internet et du manque de possibilités et de choix dans cette région (pourtant faisant bien partie de la soit-disante "France moderne" !), on peut se demander s'il n'y a pas une réelle "volonté négative" derrière ! Mais ne soyons pas parano et restons zen... en tout cas, sachez que, au cas où il m'arriverait "quelque chose", je réprouve fortement le suicide et que je ne suis soigné pour aucune maladie physique ou psychologique, que je ne fume plus depuis des années et que je ne suis pas adepte de l'alcool, non plus d'une religion...
Mais revenons à l'objet de cet article qui va faire un peu la liaison entre ces fameuses reliques (momies et pierres, sculptures, ainsi que quelques objets technologiques (plaques avec mémoire de forme et implants métalliques cités) découvertes au Pérou par des pilleurs de tombes qui ont été mis en contact avec quelques personnes, dont l'historien et explorateur français Thierry Jamin, et ces étranges entités supposées extra-terrestres surnommées "petits ou grands Gris", dénommées en premier par Jimmy Guieu E.B.E. (Entités Biologiques Extraterrestres), ce qui a été repris d'ailleurs dans le monde entier par les spécialistes.
Le dénominateur commun entre ces reliques et les E.B.E. est bien sûr leur physique : grosse tête "allongée" sur un corps frêle, de gros yeux "amphibiens ou reptiliens" (ou même insectoïdes parfois), peu ou pas de pilosité, pas d'oreilles apparentes (trou), nez peu apparent, très petite bouche, pas de menton, un cou placé au milieu du crane pouvant peut-être s'allonger (comme une tortue), de longs membres terminés par des mains et des pieds avec trois doigts ou orteils (parfois 4, parfois 5 ou même 6 selon les citations, mais toujours sans pouces !), pas d'organes sexuels ni de nombril apparents...
Dessin d'après Betty et Barney Hill
Dans l'histoire de l'Ufologie, ces entités sont citées très tôt, par les "civils" lors des premières affaires d'abductions (enlèvements) dès les années 1960. On retient dès le début l'affaire des Hill à leur sujet, et la plupart des suivantes semblent bien, à quelques exceptions près, les concerner.
1967, affaire Betty et Becky Andreasson-Luca
Mais l'un des témoignages les plus proches (description physique y compris les 3 doigts et 3 orteils) avec les artefacts biologiques qui sont en train d'être examinés et analysés par l'Institut Inkari et plusieurs médecins diplômés exerçant leur métier, est bien un témoignage militaire, voir plusieurs témoignages militaires. De plus, un rapprochement (partiel car le catalogue des 57 races aliens cité aussi n'est pas dispo) peut être fait avec des documents (estimés vrais à force de contre-enquêtes) qui ont probablement "fuité" de l'armée américaine et de ses services de renseignements. Je parle des documents nommés "SUM1-01", dont les premiers exemplaires datent de 1954, mais qui a très probablement subi plusieurs mises à jour au fil du temps. Ces documents ont été très influencés par ce qu'il s'est passé en mai 1953, lors de l'affaire "Kingman", qui en est donc à l'origine. Je ne vais pas parler plus précisément de ces documents "SUM1-01" (qui sont dispos plus bas en version PDF), mais je vous conseille de regarder entièrement la vidéo qui leur est entièrement consacrée ici, c'est-à-dire l'épisode 8 de la seconde saison de Hangar1-Mufon :
Cette mention de l'affaire de Kingman de mai 1953 est donc très importante car elle nous montre une évidence : ces êtres avec ce physique si particulier et en particulier ces trois doigts sans pouce opposable dont on a découvert des momies fin 2015 et début 2016, dans un site comportant aussi des momies incas... ont été vus et décris, bien vivants, dans les années 1953, par des militaires. Une histoire assez extraordinaire, qui est non seulement coroborée par ces documents "SUM1-01", mais aussi des témoignages de militaires, dont voici la trame :
A priori, on entend parler la toute première fois d'un crash d'ovni à Kingman, Arizona, en avril 1964 par un récit fait par un futur commandant au Vietnam anonyme au chercheur Richard Hall du MUFON, et il est déjà question des années 1950 pour cet accident.
On en saura plus bien plus tard, dans les années 1970, lorsqu'un certain "Fritz Werner", ingénieur nouvellement retraité, commencera à parler afin d'en découvrir plus lui-même. Le cas de la récupération de l'OVNI de Kingman commence donc à faire parler de lui par Raymond Fowler, un chercheur en ufologie respecté, à partir de Juin 1973. Il implique un ingénieur qui a pris des mesures préliminaires pour évaluer la vitesse d'un engin s'étant écrasé, mesures utiles pour des efforts de "reverse-engineering" de la part de l'armée américaine. Fowler mettra près de trois ans pour convaincre cet ingénieur de témoigner sous serment et sous son vrai nom, et c'est donc Arthur G. Stancil, alias "Fritz Werner", qui a signé une déclaration sous serment pour garantir légalement l'honnêteté de son témoignage, qui a été publié par Ray Fowler dans UFO Magazine de avril 1976.
Stancil est diplômé par l'Université de l'Ohio en 1949 et a été employé d'abord par l'Air Material Command à la base aérienne de Wright-Patterson à Dayton, Ohio, en tant qu'ingénieur mécanicien sur les moteurs d'avions d'essai de l'Armée de l'Air. Stancil a indiqué qu'il a été affecté temporairement à la Commission de l'Energie Atomique en tant qu'ingénieur de projets sur quelques essais de bombe atomiques désignés sous le nom "Operation Upshot Knothole". Le lieu de ces essais était Frenchman's Flat à l'extrémité méridionale de la zone d'essai du Nevada. Le directeur des essais était le Dr. Ed Doll. Et c'est lui qui convoque Stancil ce 21 mai 1953 (le lendemain du crash éventuel), pour effectuer une "tâche spéciale" à la base aérienne d'Indian Springs, où il a été rejoint par 15 autres spécialistes. Ils ont été transportés en avion militaire vers Phoenix où ils sont montés à bord d'un bus aux vitres opaques dans lequel ils ont circulé près de quatre heures. Quand ils sont arrivés à leur destination, quelque part au sud-est de Kingman dans les contrepentes des montagnes de Hulapai, ils ont reçu des instructions par un colonel de l'Armée de l'Air qui leur a dit qu'ils devaient étudier un "engin d'essai ultra secret accidenté". On leur a interdit de communiquer entre eux quelles que soient les circonstances. Le travail de Stancil était de déterminer les vitesses horizontales et verticales du véhicule quand il s'est écrasé dans le sable...
Stancil a été escorté vers l'emplacement par la police militaire. Deux lampes militaires éclairaient puissamment la soucoupe, empêchant de voir le paysage. L'engin semblait formé de deux plats convexes ovales inversés au-dessus de l'un l'autre, d'approximativement 30 pieds de diamètre (9 mètres de diamètre, soit 27 mètres de circonférence environ). La soucoupe était enfoncée dans le sable d'environ 20 pouces (50 cm). A partir de cela Stancil avait déterminé que la soucoupe s'est écrasée à une vitesse de 100 nœuds (185 km/h), pourtant elle n'avait ni bosselures, ni marques, ni même d'éraflures sur sa surface. L'engin était construit avec du métal argenté mat comme de l'aluminium brossé. Un autre spécialiste a jeté un œil à l'intérieur de l'engin car une trappe de 1,5 x 3,5 pieds (46 cm X 106 cm) était ouverte sur une carlingue intérieure ovale avec deux sièges pivotants et de nombreux instruments. Stancil vit le corps d'une des victimes de l'accident, dans une tente médicale, qu'il a décrit comme étant un humanoïde, d'environ 4 pieds de taille (1m20), avec une peau brune et portant une sorte de combinaison argentée très ajustée, ainsi qu'un calot sur le crâne.
Témoignage de Stancil (extrait de UFO Magazine -04-1976) - extrait de "ILS N'ETAIENT PAS DE NOTRE MONDE : La légende et les secrets de Wright Field" by Pierre Laird
Tandis qu'ils étaient de retour au bus et devaient signer un engagement de respect du secret, on leur expliqua qu'ils ne devraient jamais rien dire de ces événements. Fowler a fait plusieurs vérifications quant à l'intégrité de Stancil et chacun de ceux qui le connaissaient a indiqué qu'il est un homme de très grande intégrité et de compétences scientifiques considérables. On apprit aussi que Stancil a travaillé pour Raytheon à Sudbury, dans le Massachusetts tôt dans les années 70 sur des systèmes d'avionique. On ne sait pas s'il a eu davantage affaire avec la technologie extra-terrestre, mais c'est probable car il a travaillé pour le Dr. Wang à un certain moment. C'est le Dr. Eric Wang qui a été suspecté de mener une équipe de désossage sur l'engin extra-terrestre et qui diriga la Division des Installations au bureau des études spéciales où Arthur Stancil travaillait. Le Dr. Wang était un diplômé d'origine Autrichienne de l'Institut Technique de Vienne, et associé de Victor Schauberger qui aurait développé un concept de disque volant, en réalité de turbine, et avait selon la légende travaillé sur le programme allemand de soucoupe volante dès 1941. Wang enseignait la technologie structurale et métallurgique à l'université de Cincinnati de 1943 à 1952. Wang aurait examiné des OVNIS accidentés récupérés et les auraient comparé aux soucoupes alléguées du programme V-7 allemand, et aurait conclu à la nature extra-terrestre de ces engins. En 1949, il est devenu directeur du département des études spéciales à Wright-Patterson où il a travaillé de longues heures en coopération avec des scientifiques du bureau de la recherche navale et avec le Dr. Vannevar Bush et d'autres du "conseil de recherches et de développement". Le Dr. Wang a déplacé des bureaux de recherches de Wright-Patterson à Kirtland AFB à Albuquerque, Nouveau Mexique. Il est décédé le 4 décembre 1960.
L'histoire aurait pu en rester là mais d'autres témoignages la confortèrent au fil du temps. L'ufologue Len Stringfield, en 1977, enregistra le témoignage d'un homme qui était dans la garde nationale à Wright Patterson et qui affirmait avoir été témoin d'une livraison provenant du lieu d'un accident en Arizona en 1953. Le témoin, ancien pilote de la garde nationale, expliqua à StringField qu'il était, dans les années 1950, en poste à la base aérienne de Wright-Patterson, à Dayton (Ohio). Il se trouve qu'entre les années 1948 à 1969, cette base était conjointement le siège d'un projet de recherche sur les ovnis mis en place par le gouvernement américain, ainsi que celui de la FTD. Selon le pilote, c'est au cours de l'année 1953 que des caisses contenant des débris récupérés dans le désert d'Arizona arrivèrent à la base de Wright-Patterson. A l'intérieur se trouvait les corps de 3 êtres étranges — mesurant environ 1,20 m de haut, pourvus de têtes incroyablement grandes et d'une peau semblable à du parchemin. Ils avaient été empaquetés dans des conteneurs de neige carbonique afin de préserver leurs tissus. De nombreuses autres caisses suivirent, contenant divers morceaux d'épaves. Le pilote n'eut, hélas, pas l'occasion d'examiner leur contenu, mais il se rappela cependant que certains débris portaient des
symbolesproches du sanskrit.
Une histoire presque identique a été rapportée au chercheur Charles Wilhelm en 1966 par un homme qui a dit que "son père lui avait fait le même récit sur son lit de mort".
Ce serait une photo de Jarod-2 lui-même, avec deux ingénieurs dans les visages ont été noircis
En 1995, un homme (?) qui se faisait appeler par le nom de code Jarod-2 est entré en contact avec la publication sur Internet (sur la zone 51) The Groom Lake Desert Rat (http://www.ufomind.com/area51/desertrat/1995/dr27/) et a rapporté qu'il avait travaillé pour l'U.S. Air Force sur un projet secret qui était une tentative de construire un simulateur de soucoupe en vol. Le projet avait commencé à la fin des années 40 et avait rassemblé du matériel à partir des lieux des accidents de Roswell et Kingman. Il existe encore de nos jours sur internet les références de ce dossier et même une photo de cet homme surnommé "Jarod-2", posant devant un appareillage technologique. Nous apprendrons plus tard que ce "Jarod-2" est bel et bien le Capitaine Bill Uhouse, qui témoignera officiellement et sous son vrai nom... En tout cas, dès 1994-1995, "Jarod-2" a apporté de l'eau au moulin à l'histoire de Bob Lazard sur les recherches technologiques américaines sur des ovni récupérés et sur la zone 51 (qui n'a été reconnue comme réelle que très récemment officiellement, sous le gouvernement US du président Obama...).
Notons qu'il y a des indications d'un autre accident d'OVNI en Arizona en 1953, le 18 avril, dont les 3 corps mentionnés dans l'histoire de Springfield pourraient provenir. Au sujet de la multiplication de crashs d'ovni, certains sceptiques s'en moquent un peu : "ils traversent l'espace immense et finissent par se crasher sur Terre ! Très étrange...". Si l'on en croit les témoignages historiques (et même la notion de soucoupes visibles, inchangées depuis des décennies !), il se pourrait que ces engins (et leurs occupants) soient coincés sur la Terre depuis... des millénaires ! Cela expliquerait les accidents (vieux matériels entretenus au mieux mais très âgés !) sur des engins (certes toujours plus avancés que les nôtres !) dont la technique n'a pu être améliorée (métaux ou alliages inexistants sur Terre, etc... ?) depuis très longtemps. Le fait de voir encore des "boucliers volants" depuis des centaines d'années, c'est un peu comme si on utilisait, sans aucune modification, nos vieilles tractions des années 1930 au 21ème siècle... (Mais on peut aussi bien sûr envisager la notion de voyages spatiaux-temporels, avec des vaisseaux identiques visibles sur plusieurs millénaires...).
Un chercheur ajoute: " Aussi étrange que cela puisse sembler c'est pendant les années 50 que diverses compagnies d'aviation ont lancé des projets de recherche sur le contrôle de la gravitation et la propulsion électrogravifique. Il est possible que ces projets aient constitué certaines des premières tentatives de reverse engineering sur des systèmes de propulsion extraterrestres ". Qui ont apparemment échouées... ou que les milliardaires du pétrole ont bloqués, au détriment de l'humanité...
(Référence : http://ufologie.patrickgross.org/htm/kingman53f.htm)
Puis, en octobre 2000, le Capitaine Bill Uhouse témoigne à son tour. Il a servi 10 ans dans la Marine comme Pilote de chasse, et 4 ans avec l'Air Force à la Wright-Patterson Air Force Base en tant que civil effectuant des tests en vol d'appareils expérimentaux exotiques. Ensuite, pendant les 30 années qui ont suivi, il a travaillé comme Ingénieur Cadre pour la Défense sur des systèmes à propulsion antigravitationnelle : sur des simulateurs de vol d'engins exotiques et sur les soucoupes actuelles. Il témoigne que le premier test de soucoupe fut effectué grâce à la réparation d'un appareil accidenté à Kingman, Arizona en 1953. Il témoigne aussi qu'un appareil OVNI a été présenté au gouvernement américain ; cet appareil aurait été examiné sur l'Aire 51 qui était alors toute récente, et les 4 extraterrestres qui étaient dans l'appareil ont été envoyés à Los Alamos. La spécialité de Mr Uhouse était le tableau de bord et les instruments qui le composent, il dit connaitre les techniques de champ gravitationnel et les méthodes d'entraînement des personnes devant subir une expérience d'anti-gravitation. Il dit avoir réellement rencontré plusieurs fois un extraterrestre qui a aidé les physiciens et les ingénieurs à comprendre leurs technologies.
D'après Bill Uhouse, il y avait 4 aliens vivants dont 2 blessés qui furent emmenés dans un centre médical. Les 2 autres eurent l'autorisation d'entrer à nouveau dans le disque écrasé. Les membres de l'équipe de récupération d'épaves qui entrèrent dans le vaisseau avec eux ont développé par la suite des problèmes de santé étranges... ils se mirent à vomir dès leur sortie de l'appareil et furent évacué. L'épave fut transportée sur la zone 51, section Nevada Test Site au nord de Las Vegas.
Cet événement fut à l'origine du projet de rétroconception sur lequel Bill travaillait : Concevoir et construire un simulateur de vol afin que les pilotes s’entraînent à piloter des disques. Au cours de son travail sur le projet ultra secret, Bill eut l'occasion de rencontrer J-Rod plusieurs fois. Celui-ci, un alien du type petit gris, supervisait le projet, il en était le conseiller technique, peut-être que lui et son semblable avait-ils eu besoin de pénétrer dans le vaisseau après le crash pour récupérer ce qui pouvait l'être. D'après Bill, J-Rod supervisait également des projets à Los Alamos.
J-Rod, dessin de Bill Uhouse - Lorsqu'un haut-gradé de l'USAF vit ce dessin, il dit "A part pour les ongles longs, cela ressemble exactement à J-Rod."
Bill se souvient: " Nous avions des réunions et je me suis trouvé dans une réunion avec un alien. Je l'ai appelé J-Rod, car ils l'appelaient comme ça. L'alien venait habituellement avec [Dr. Edward] Teller et d'autres. Il venait pour gérer les questions que nous aurions. Il faut comprendre que tout était connecté à ce groupe, si ça ne l'était pas, vous ne pouviez pas en parler. C'était basé sur ce que vous deviez savoir et alors il parlerait [l'extraterrestre], il parlerait mais ça donnerait l'idée que c'est vous qui parliez...La préparation que nous avions eue avant de rencontrer cet alien était de revoir toutes les nationalités du monde... En fait l'alien ne faisait que donner des conseils d'ingénierie et des conseils scientifiques. Parfois vous étiez dans un projet où vous essayiez encore et encore, et encore et rien ne marchait. C'est là qu'il [l'alien] s'impliquait. Ils lui disaient de regarder ça et de nous dire où nous nous étions trompés."
( Extrait du témoignage du Capitaine Bill Uhouse, Ancien Marine du Corps des Marines Américain, US Air Force et ingénieur aérospatial. Disclosure,ed., Stephen Greer (Crossing Point, 2001) 386-7)
Les scientifiques américains l'avaient nommé ainsi suite à leurs tentatives d'établir un langage commun afin de communiquer avec les aliens qu'ils appelaient alors des Entités Biologiques Extraterrestres (E.B.E.). Ils montraient aux ETs une série de symboles (lettres et formes géométriques) et surveillaient les réactions suscitées. L'EBE eut une première réaction quand il vit la lettre J, puis une autre en voyant une image représentant une barre inerte, rod.
" J-Rod est de couleur grise, imberbe et sans aucune expression, avec les grands yeux noirs typique de ces entités. Ses mains ont 4 doigts, pas de pouce. Il aurait 200 ans et souffre d'une détérioration des cellules. Il se trouve à Papoose S-4, aire 51 au Nevada, toujours en vie au moment de l'écriture de ces notes, en 1999 mais l'auteur ne peut le confirmer ".
Bill Uhouse est décédé en mai 2009... emportant avec lui ses derniers secrets et ses témoignages très consistants...
Résumé de la présence de ces visiteurs appelés EBE.
* Le premier "EBE1" fut trouvé vivant dans l'un des crashs de 1947. Il fut gardé en captivité dans une base souterraine à Los Alamos au Nouveau-Mexique. Il est mort en juin 1952. (cause inconnue)
* J-Rod: 1953, crash de Kingman.
* EBE2: Arrivé en avril 1964 lors du premier atterrissage pour contact "officiel", aire 17 sécurisée de White Sands au sud du site atterrissage du Shuttle. On trouve une description de EBE2 dans une interview le 5 mars 1983 avec un agent AFOSI (renseignements Air Force) à Los Alamos. " Environ 1.45m, un corps frêle, il était vêtu d'une combinaison près du corps, il n'avait que 4 doigts, pas de pouce. " EBE2 est reparti en 1984, selon 2 mémos différents, soi-disant de la CIA.
* EBE3 est venu en tant qu'échange de scientifiques en 1978, avec deux de ses aides. L'un fut basé à Groom Lake et l'autre à Los Alamos. EBE3 était masculin, l'une des aides était féminine. Tous les 3 sont repartis en 1994.
Bien des années après l'événement de Roswell, et les contestations d'un témoin militaire sur la mention d'un ballon-sonde météorologique, dans les années 1970, de nouveaux témoignages de personnes retraitées et moins menacées apparaissent et remettent en question à nouveau les diverses tentatives de discrédits par l'armée américaines, entre autres la mention de ces "ballons-espions" dont on sait maintenant qu'ils n'ont jamais pu être confondus par personne avec une "soucoupe volante" : Le gouvernement des États-Unis explique l'incident par le crash d'un ballon de recherche top-secret dans le cadre du projet Mogul. Le but de Mogul était de déterminer l'état d'avancement de la recherche soviétique en matière d'armements nucléaires. Puisque les frontières de l'Union soviétique étaient fermées, le gouvernement des États-Unis avait tenté de mettre au point une méthode de détection à grande distance d'explosions nucléaires. Un moyen de détection acoustique à long rayon d'action, porté par ballon, avait été proposé en 1945 au général Spaatz par le Dr Maurice Ewing comme solution possible. Il s'agissait d'un projet dit "sensible et compartimenté". Pour reprendre ce qu'a dit dans son livre le commandant Greslé : "selon l'Air Force, le projet Mogul était d'une importance stratégique telle qu'il pouvait justifier le niveau de confidentialité qui recouvre tout ce qui touche à l'incident de Roswell. Cette affirmation, d'après Greslé, ne peut pas être exacte, et ce pour plusieurs raisons. La première vient du fait que les ballons utilisés par ce nouveau projet étaient jusqu'au 2 juillet 1947 du même modèle que ceux utilisés pour les sondages météorologiques. Tout ce qui a déjà été dit, quant à l'impossibilité d'attribuer des caractéristiques extraordinaires à des débris de néoprène reste donc valable pour Mogul. La seconde est beaucoup plus grave, car il semble que le niveau de confidentialité de Mogul ait été très exagéré par l'Air Force. Tout d'abord aucun document ne vient démontrer que le projet ait été effectivement "compartimenté". S'il avait été vraiment "sensible" et secret entre 46 et 47, il ne l'était plus en 49, puisque la détection de la première bombe atomique soviétique ne fut pas réalisée par un engin de ce type, mais plus simplement en recueillant, grâce à des avions volant à haute altitude, les substances radioactives produites par l'explosion nucléaire… ". De plus, d'après l'ouvrage de Jean Gabriel Greslé, le "projet" était bien connu en août et septembre 1947 après une analyse de deux documents fournis par le FBI. On peut donc en déduire que le "Projet Mogul" était la meilleure couverture que pouvait avoir le gouvernement US à l'époque pour camoufler cet incident...
Glenn Dennis, employé de Pompes Funèbres de Roswell affirme ainsi qu'une infirmière lui a décrit des corps (et non pas des mannequins de bois selon l'armée US) avec beaucoup de précision. Glenn Dennis aurait dessiné un croquis selon la description de l'infirmière :
A noter la présence de cupules ou ventouses présentes sur les (quatre) doigts des Aliens.
Mais Glenn Dennis n'a jamais nié avoir rencontrè une infirmière ayant participé à la première autopsie des corps des extra-terrestres, mais il a cherché à cacher son identité, suite à une promesse. L'équipe de la première autopsie pratiquée sur les corps en décomposition avancée (odeur pestilentielle rapportée par tous les témoins) était composée de deux médecins et de deux infirmières. D'autres employés de la base (Bob Wolf, de la station de radio de Roswell KGFL et le Sergent LeRoy Lang) ont affirmé, d'après les descriptions de Glenn Dennis qu'une infirmière de Roswell, avait été en relation avec l'employé des pompes funèbres à Roswell en Juillet 1947. Il s'agirait de Adeline "Eileen" Fanton.
Adeline "Eileen" Fanton, infirmière militaire
Voici le compte-rendu de Glenn Dennis, basé sur le témoignage de l'infirmière :
" Les créatures étaient petites, plus petites qu'un adulte humain. les mains avaient quatre doigts, les deux doigts du milieu étaient bien plus longs que les autres.
L'anatomie des bras était également différente (de celle d'un humain). L'os de l'épaule au coude était plus court que l'os du coude au poignet.
Les têtes étaient plus larges que celle d'un humain. Les yeux étaient grands et présentaient une forme concave. Toutes les caractéristiques anatomiques (du visage), le nez, les oreilles étaient également légèrement concaves.
Les corps étaient très délicats. Les crânes et les os semblaient très fragiles. Les corps me rappelaient les images des momies que j'avais vues : graciles, grêles et fragiles.
Il n'y avaient pas de présence d'organes génitaux externes, peut-être due à des prédateurs (?) ".
" Les créatures étaient petites, plus petites qu'un adulte humain. les mains avaient quatre doigts, les deux doigts du milieu étaient bien plus longs que les autres.
L'anatomie des bras était également différente (de celle d'un humain). L'os de l'épaule au coude était plus court que l'os du coude au poignet.
Les têtes étaient plus larges que celle d'un humain. Les yeux étaient grands et présentaient une forme concave. Toutes les caractéristiques anatomiques (du visage), le nez, les oreilles étaient également légèrement concaves.
Les corps étaient très délicats. Les crânes et les os semblaient très fragiles. Les corps me rappelaient les images des momies que j'avais vues : graciles, grêles et fragiles.
Il n'y avaient pas de présence d'organes génitaux externes, peut-être due à des prédateurs (?) ".
D'après de nombreux témoignages de première main, il semble que les médecins et les infirmières ayant participé à la première autopsie aient été rapidement mutés dans d'autres sites militaires dispersés. Certains ont connu des morts accidentelles suspectes... comme à priori Miriam "Andrea" Bush, âgée de 27 ans, qui était la secrétaire de l’administrateur de l’hôpital, le Dr Warne, où furent réceptionnés les extra-terrestres. Selon son frère George et sa soeur Jean, elle était revenue un soir en état de choc. Elle avait fini par dire qu’il y avait à l’hôpital du personnel médical étrange qu’elle ne connaissait pas. Plus tard, Warne l’avait emmenée dans une pièce d’examen où elle avait vu :" plusieurs corps, petits comme des enfants. L’un d’eux se mouvait. Leur peau était grisâtre ou tirant vers le brun, et ils étaient couverts avec des sortes de draps blancs. Ils avaient une grande tête et de grands yeux ".
Miriam "Andrea" Bush et son frère George
Nous pouvons aussi parler de ce témoignage très étrange sur la présence d'épaves d'OVNI dans la base de Wright-Patterson, qui a été recueilli par l'ufologue Charles Wilhelm, également en contact avec Len Stringfield du MUFON. Ce témoignage provient d'une ancienne employée à la base, Mme Norma Gardner, qui a quitté son emploi en 1959 à cause d'une grave maladie. Le jeune Charles Wilhelm fit sa connaissance par un complet hasard, puisqu'il effectua des petits travaux pour Mme Gardner dans son logement où elle vivait seule, dans le quartier Price Hill de Cincinnati. Le hasard fit qu'ils échangèrent quelques propos à l'époque sur les OVNI, exprimant leur intérêt mutuel. Au cours d'une des visites de l'ufologue, alors que l'état de santé de la dame empirait, elle lui dit que, malgré les interdits de l'armée et n'ayant plus rien à craindre étant donné sa maladie, elle avait un emploi très étrange pour la base, en liaison avec les OVNI.
Dessin d'après les descriptions de Mme Gardner (1955)
Elle avait été affectée à un poste où l'essentiel de ses tâches était de cataloguer tout le matériel OVNI entrant dans la base. Elle avait obtenue une habililation très élevée de sécurité, et, au cours de cette affectation, devait enregistrer plus de mille articles distincts, comprenant des pièces de l'intérieur d'un OVNI récupéré et amené à la base nettement plus tôt. Tous ces articles, disait-elle, avaient été soigneusement photographiés et étiquettés. En 1955, elle avait visité un hangar réservé, et vu deux engins semblables à des saucisses, l'un apparemment intact et l'autre endommagé. Pendant ses enregistrements sur les lieux, elle put voir deux humanoïdes transportés par lit roulant d'une chambre à une autre. Non seulement elle avait vu personnellement les corps, mais elle avait eu entre les mains le rapport de leurs autopsies. Ces corps, conservés dans une solution chimique, devaient avoir entre 1,20 mètre et 1,50 mètre. Leurs caractéristiques physiques étaient humaines, mis à part le volume important des têtes par rapport aux torses et aux membres, et les yeux fortement bridés ou allongés. Mrs Gardner ne savait pas si les corps provenaient d'un accident récent ou avaient été amenés à la base longtemps après un accident antérieur. Elle a entendu parler de Roswell principalement à cette époque en ce qui concerne les OVNI... Mrs Gardner raconta son histoire à Wilhelm alors qu'elle se mourait d'un cancer. Elle était si convaincue de ne jamais se remettre qu'elle spéculait sur la possibilité de couper court aux règles de sécurité, déclarant sur un ton dramatique. " L'oncle Sam ne pourra rien me faire quand je serai dans ma tombe "...
Le nombre de témoins rapportant la présence d'êtres ou entités intelligents qui ne peuvent être considérés comme "natifs terriens" est très conséquent, on parle de plusieurs centaines de personnes maintenant. Le sergent Stone ci-dessous parle de 57 races différentes connues "de son temps", avec par exemple 3 types différents de "gris", de petite à grande taille, munis de trois à 6 doigts même. Selon d'autres chercheurs et recueils de témoignages, il en existerait même plus de 80 si on suit les propos de Paul Hellyer, ancien ministre canadien, dont des "gris" équipés de "yeux de mouches" (à facettes) et possédant des ailes dans le dos... Je ne vais pas recenser ici la totalité de ces cas bien sûr, mais nous allons encore parler des nombreuses interventions récentes d'un militaire à la retraite, tout en précisant que les controverses liées à l'existence d'une "divulgation" orchestrée pour tromper ou pas le public ne sont pas occultées ici, mais que le propos de cet article est avant tout d'informer le public, en considérant que c'est à lui de juger ce qu'il est prêt à accepter et à rejeter, en toute connaissances. Il n'existe pas UNE "théorie du complot", mais de multiples, et il faut bien réaliser que la plupart arrangent l'un ou l'autre "camp", sont créées tant par les autorités (pratiques courantes des services du renseignements, etc...), que par des médias aux ordres de multimillionnaires (forme de censures et d'auto-censures journalistiques), que par les chercheurs de scoops, "médias" alternatifs prêts à relayer le moindre scoop rapportant de l'argent, ainsi que probablement une "clique" de "spécialistes" auto-proclamés (en lien éventuels avec des services ou sectes/sociétés secrètes) qui arrivent à vivre publiquement et financièrement grâce à ces scoops (réels ou pas, déformés ou non...), sans oublier une autre "clique" de "sceptiques professionnels" qui s'auto-proclament également souvent d'une certaine philosophie "conservatrice", mais qui sont prêt aussi souvent à inventer et créer de toute pièce des "explications et excuses "rationnelles" pour justifier leur existence, y compris au risque de retarder l'évolution de l'Humanité... De toute façon, il ne faut jamais perdre de vue la simple Histoire de l'Humanité, que l'on voit bien parsemée de "complots" liés au pouvoir ou à la finance : il serait très anormal que notre époque en soit exclue (ce qu'affirment pourtant les médias en général !)...
Ensuite, c'est le Sergent Clifford Stone qui, mis en retraite de l'armée américaine, commence a enquêter de son côté puis à témoigner... Pendant 22 ans, il a fait partie d'un groupe d'élite extrêmement secret de l'armée américaine qui était envoyé en urgence sur les sites de crashes pour récupérer des vaisseaux aliens et leurs occupants. Depuis sa mise en retraite de l'Armée, il a consacré son temps à déposer des requêtes selon le FOIA (Freedom of Information Act) pour investiguer les archives gouvernementales. Il affirme que nous disposons d'informations selon lesquelles des formes de vie intelligente visitent notre planète, dans des vaisseaux qui sont capables de parcourir très rapidement des distances de plusieurs années-lumière, en s'affranchissant des limites physiques communément admises. De plus, il soutient que la récupération de ces vaisseaux E.T. et de divers artefacts, a permis au gouvernement américain de réaliser des avancées considérables dans le domaine scientifique, qui représentent un énorme potentiel pour l'amélioration de nos conditions de vie. De même que tant d'autres, il révèle que cette connaissance est profondément enfouie dans des programmes secrets qui échappent aux contrôles et garanties Constitutionnels, et qu'en dépit de la fin de la guerre froide, ceux qui maîtrisent ces 'projets confidentiels' (black projects) ont fait en sorte de confisquer ces découvertes majeures dans leurs propres intérêts et pour des raisons connues d'eux seuls.
Le Sergent Stone témoigne aujourd'hui afin d'encourager les citoyens américains et leurs représentants élus à lancer les investigations nécessaires, pour mettre fin à ces contournements de la Constitution, et parvenir à exposer cette organisation puissante et camouflée qui agit sous notre nez et dans nos cieux.
Clifford Stone est né à Portsmouth, Ohio. Il a des souvenirs très précoces de contacts avec des E.T.s, et ce lien perdure aujourd'hui. A l'âge de huit ans, un capitaine de l'Air Force s'était pris d'amitié pour lui, et cette relation s'est poursuivie jusqu'à son entrée dans la vie d'adulte. Pendant la guerre du Vietnam, il a ressenti comme une nécessité de s'enrôler dans l'Air Force, mais il en a été écarté à cause d'une maladie de peau qui lui a valu une classification 4F. C'est son ami, le capitaine, qui lui a conseillé d'intégrer l'Armée, et à la suite d'une visite médicale 'bienveillante', il fut admis à un emploi de sténographe, mais ce job ne fut jamais vraiment le sien. Quelques semaines plus tard, il s'est retrouvé embarqué dans un voiture de fonction sous le prétexte d'aller rendre visite à un ami qui occupait un poste subalterne au Pentagone. A leur arrivée, ils ont bénéficié des accréditations de cet ami pour s'introduire dans des sous-sols du Pentagone, puis ils sont montés dans un tram, et peu après, en arrivant dans une pièce, il a eu connaissance de faits qui défient l'imagination. Sa carrière n'a jamais été linéaire, et pour une jeune recrue, ce fut une plongée soudaine et inattendue dans les plus lourds secrets du pays, à savoir que les E.T.s sont une réalité, et que nous parvenons à récupérer beaucoup de vaisseaux intacts, de même que des centaines d'artefacts E.T.s dans le monde entier. Mieux, nous sommes en mesure de comprendre la plupart de leurs technologies et nous avons même rétro-conçu certains dispositifs E.T. Après 22 ans à cotoyer les engins E.T., et des E.T.s restés en vie, blessés, ou morts, le Sergent Stone est devenu un expert hautement qualifié dans les technologies E.T.s, les opérations, les organisations, et les procédures secrètes, et tout ce que le contact avec les E.T.s peut apporter à l'humanité.
Stone souligne que cette pratique du secret est inconstitutionnelle et qu'elle échappe au contrôle de nos représentants élus qui sont tenus à l'écart. De fait, nous avons affaire à un gouvernement secret, installé au coeur de notre société, qui possède des avoirs, des ressources, et un savoir considérables. Ce gouvernement illégal opère hors de tout contrôle, et sans l'assentiment des corps Exécutif ou Législatif.
L'attitude courageuse de Mr. Stone, malgré la résistance des forces obscures, consiste à témoigner en réclamant principalement :
Le Sergent Stone témoigne aujourd'hui afin d'encourager les citoyens américains et leurs représentants élus à lancer les investigations nécessaires, pour mettre fin à ces contournements de la Constitution, et parvenir à exposer cette organisation puissante et camouflée qui agit sous notre nez et dans nos cieux.
Clifford Stone est né à Portsmouth, Ohio. Il a des souvenirs très précoces de contacts avec des E.T.s, et ce lien perdure aujourd'hui. A l'âge de huit ans, un capitaine de l'Air Force s'était pris d'amitié pour lui, et cette relation s'est poursuivie jusqu'à son entrée dans la vie d'adulte. Pendant la guerre du Vietnam, il a ressenti comme une nécessité de s'enrôler dans l'Air Force, mais il en a été écarté à cause d'une maladie de peau qui lui a valu une classification 4F. C'est son ami, le capitaine, qui lui a conseillé d'intégrer l'Armée, et à la suite d'une visite médicale 'bienveillante', il fut admis à un emploi de sténographe, mais ce job ne fut jamais vraiment le sien. Quelques semaines plus tard, il s'est retrouvé embarqué dans un voiture de fonction sous le prétexte d'aller rendre visite à un ami qui occupait un poste subalterne au Pentagone. A leur arrivée, ils ont bénéficié des accréditations de cet ami pour s'introduire dans des sous-sols du Pentagone, puis ils sont montés dans un tram, et peu après, en arrivant dans une pièce, il a eu connaissance de faits qui défient l'imagination. Sa carrière n'a jamais été linéaire, et pour une jeune recrue, ce fut une plongée soudaine et inattendue dans les plus lourds secrets du pays, à savoir que les E.T.s sont une réalité, et que nous parvenons à récupérer beaucoup de vaisseaux intacts, de même que des centaines d'artefacts E.T.s dans le monde entier. Mieux, nous sommes en mesure de comprendre la plupart de leurs technologies et nous avons même rétro-conçu certains dispositifs E.T. Après 22 ans à cotoyer les engins E.T., et des E.T.s restés en vie, blessés, ou morts, le Sergent Stone est devenu un expert hautement qualifié dans les technologies E.T.s, les opérations, les organisations, et les procédures secrètes, et tout ce que le contact avec les E.T.s peut apporter à l'humanité.
Stone souligne que cette pratique du secret est inconstitutionnelle et qu'elle échappe au contrôle de nos représentants élus qui sont tenus à l'écart. De fait, nous avons affaire à un gouvernement secret, installé au coeur de notre société, qui possède des avoirs, des ressources, et un savoir considérables. Ce gouvernement illégal opère hors de tout contrôle, et sans l'assentiment des corps Exécutif ou Législatif.
L'attitude courageuse de Mr. Stone, malgré la résistance des forces obscures, consiste à témoigner en réclamant principalement :
- que ceux qui sont au courant reconnaissent que les Ovni(s) qui ont été observés par des millions de personnes à travers le monde sont pour une part des engins aliens, et d'autre part des vaisseaux rétro-conçus d'origine terrestre,
- la diffusion d'une masse d'information et de matériels qui démontrent qu'une vie intelligente visite notre planète, en connivence avec plusieurs gouvernements successifs depuis des décennies,
- que soit publiée l'information qui permettra à notre gouvernement Constitutionnel de reprendre le contrôle de ces programmes strictement compartimentés, afin de rétablir la confiance dans notre système de gouvernement et les organisations militaires,
- enfin, qu'une pression soit exercée sur notre gouvernement afin qu'il soit amené à partager, avec ses citoyens et avec le monde, la vérité au sujet de l'existence des E.T.s et de leurs technologies.
- la diffusion d'une masse d'information et de matériels qui démontrent qu'une vie intelligente visite notre planète, en connivence avec plusieurs gouvernements successifs depuis des décennies,
- que soit publiée l'information qui permettra à notre gouvernement Constitutionnel de reprendre le contrôle de ces programmes strictement compartimentés, afin de rétablir la confiance dans notre système de gouvernement et les organisations militaires,
- enfin, qu'une pression soit exercée sur notre gouvernement afin qu'il soit amené à partager, avec ses citoyens et avec le monde, la vérité au sujet de l'existence des E.T.s et de leurs technologies.
En disposant de cette information, nous pourrons commencer à envisager quelle est notre place dans l'univers et le genre de relation qu'il serait possible d'entretenir avec une autre vie intelligente. Le Sergent Stone est la personne qui peut nous fournir la preuve extraordinaire que réclame cette extraordinaire assomption, et stimuler tous ceux qui sont en situation de réclamer la part d'héritage qui est due à l'humanité toute entière...
Un extrait du catalogue secret dont parle Clifford Stone (image dossiers Mufon - Hangar1)
Interview de Clifford Stone par Kerry Cassidy en juillet 2008 :
Kerry: Clifford Stone, je suis très heureuse de pouvoir vous interviewer aujourd'hui. Nous respectons beaucoup ce que vous avez fait et admirons le courage que vous montrez en venant parler ici. C'est passionnant de vous avoir dans la caméra.
Clifford: Merci Madame.
Kerry: Nous sommes ici dans un endroit étonnant, c'est le musée de Roswell. Pouvez-vous nous dire comment vous vous retrouvez à Roswell ?
Clifford: Et bien, c'est l'armée des Etats-Unis qui m'a envoyé ici. Je suis militaire à la retraite.
Kerry: OKay...
Clifford: Donc, en étant retraité de l'armée, vous êtes toujours susceptible d'être rappelé pour agir en tant que consultant. J'étais sergent de première classe lors de mon départ à la retraite.
Kerry: Votre titre était "employé"; j'ai compris que c'était une couverture n'est-ce pas?
Clifford: Nous avions une vie réelle dans l'armée, nous avions une mission. La seule fois où cet autre emploi devenait nécessaire était s'il y avait un incident UfO et que vous soyez dans les environs. Je peux vous dire qu'en 1965, au Vietnam, il y avait une base d'où l'on a essayé de tirer ouvertement sur un ovni. A la minute même où ils ont essayé, plus aucune de leurs armes ne fonctionnait. Il y eut une coupure de courant générale jusqu'à ce que l'ovni ait disparu. Je peux vous le dire, ayant servi au Vietnam pour quatre ans, oui quatre ans, les dossiers indiquent 37 mois, mais si vous ajoutez le temps TDY, ça fait quatre ans tout juste. TDY, c'est pour "service temporaire". N'avoir aucun pouvoir sur les événements est très effrayant et cette période a été très très tendue.
Kerry: En tant que communicant, c'est ainsi qu'on vous appelait dans votre vie militaire, à partir de quel âge avez-vous commencé à travailler dans cette branche, dirons-nous?
Clifford: Probablement 19, 20 ans.
Kerry: Ok
Clifford: Pour les gens qui font de l'interface, il n'y a pas d'école. Il y avait des choses qui se passaient dans votre vie... Quand je suis sorti de là, il y avait sept personnes qui étaient toujours dans l'armée qui faisaient de l'interface, seulement sept, et c'était dans l'armée entière, tous corps confondus. L'on m'a impliqué dans un incident, sans que l'on nous dise où c'était, mais je sais... que nous avons atterri à Ben Hua parce que, quand j'y repense, il y avait un panneau, c'est là que nous avons atterri.
Kerry: Ben Hua ?
Clifford: C'est au Vietnam.
Kerry: Oh !
Clifford: Je sais que c'était Ben Hua car c'était le même panneau quand j'y suis retourné. C'est un incident qui est survenu...
Kerry: C'était un crash ? Ou bien une visite ?
Clifford: On a vu les êtres.
Kerry: Ok...
Clifford: On y est allé pour essayer d'extraire un avion et nous l'avons extrait en le découpant en sept morceaux je crois.
Kerry: C'était à eux?
Clifford: Non, non c'était un B-52...
Kerry: Ah !, ok.
Clifford: ... qui ne s'est pas écrasé normalement.
Kerry: C'était une expérience de voyage dans le temps?
Clifford: Non, non. C'était un avion abattu. Tout le monde était mort... tout le monde était mort à bord du B-52.
Kerry: Abattu par les visiteurs?
Clifford: Ils étaient sur une mission de bombardement au dessus de... je n'ai aucun moyen de savoir, mais je suis sûr qu'ils étaient en mission de bombardement au Nord Vietnam. Les dégâts subis par l'avion étaient dus au feu anti-aérien contre le B-52. C'était ce type de dégâts et c'était utilisé pour les bombes conventionnelles. Quand j'ai dit que nous y sommes allés, nous y sommes allés en hélico. C'était comme si une main gigantesque avait attrapé l'avion en vol pour le poser sur le sol de la jungle; et c'était ça qui nous intéressait.
Kerry: Oh...
Clifford: On ne savait pas . On ne vous dit rien. À l'embarquement aux Etats-Unis, avant de partir, on nous a dit qu'on allait en Floride.
Kerry: [rires]
Clifford: Quand on a atterri à Oakland, on savait qu'on n'allait pas en Floride. On nous a donné un petit sac de plastique. Il fallait retirer "US Army" de nos affaires. Il a fallu ôter les plaques d'identification de "G.I's", chose qui ne se fait jamais. On les a retirées. Chaque objet qui pouvait vous identifier est allé dans ce sac plastique. Ils ont été gardés pour nous à Ben Hua jusqu'à notre retour. Après cet évènement, ils m'ont mis dans ce GP... je veux dire une tente, il y avait une chaise, une table et un lit, quelques stylos, mais j'ai pris un crayon. Je devais m'asseoir là et écrire mes pensées.
Kerry: Ok.
Clifford: C'est tout ce qu'il y avait dans la tente. J'y suis donc entré et je m'ennuyais. J'ai commencé à faire des jeux de tic-tac-toe. Je suis sorti pour fumer, en prenant le papier avec moi, j'en ai fait une boulette que j'ai mise dans ma poche. Quand ils ont trouvé ce morceau de papier - là, souvenez-vous, tout ce qu'il y avait dessus, c'était des jeux de tic-tac-toe - et bien, le type que j'appelais le Colonel, et qui était toujours là, est arrivé immédiatement, a balancé le cigare de ma bouche et a commencé à m'injurier abondamment: " Qu'est-ce que tu fais là, pourquoi tu as ça ? " " Tu pourrais te faire tuer à cause de ce papier dans ta poche."
Pourquoi ? Parce que ça faisait partie des détritus classifiés; on n'emportait pas de papier là dedans, on ne prenait rien à l'intérieur. Tout ce qu'il y avait à l'intérieur devait y rester. Donc, tout ce que j'écrivais était immédiatement mis dans un... un attaché-case et quittait l'endroit par transport spécial. Malgré que j'en aie été l'auteur, je n'ai jamais eu l'autorisation nécessaire pour lire ce que j'avais écrit.
Kerry: Hmm... Ca vous est arrivé d'écrire des choses quelquefois sans même le savoir ?
Clifford: Sûrement; je peux vous dire que tout ce que je lis, je peux en avoir une compréhension plus complète que certaines des choses que je fais. Paul [l'ami qui l'a accompagné lors de notre rencontre] peut vous dire que je peux faire beaucoup de choses en matière de "téléchargement" mais, vous savez quoi ? je n'ai pas à lire chaque page... mais à la lire en diagonale ou à la scanner. Pendant que je scanne, ils peuvent percevoir tout ce qu'il y a dessus à travers moi. Ce ne sont pas des "nouvelles fraîches" pour eux, mais ils trouvent des choses intéressantes. Et ils trouvent des choses qui sont un puzzle pour eux parce que nous allons dans la bonne direction mais nous n'avons pas les points sur les " i" correctement.
Kerry: C'est fascinant, parce que nous n'avons pas l'habitude de penser, qu'en temps de guerre, au Vietnam, nous serions aussi occupés à entretenir des relations avec des cultures d'un autre monde.
Clifford: Vous savez pourquoi ? On leur a vraiment dit d'appeler ça des hélicoptères. Vous êtes dans une zone de guerre, alors ce que vous faites est d'y aller, de mettre un peu de rasoir d'Occam là dedans et vous abaissez au dénominateur le plus bas. Les ovnis ne peuvent pas exister. Je répète, ovnis: ça n'est pas la bonne dénomination. Les transports interplanétaires ne peuvent pas exister. Alors, il faut que ce soit quelque chose de très terrestre. La NSA a commencé et a appelé les ovnis "ovni" quand nous surveillions les communications avec l'Union Soviétique. Mais ils ont toujours appelé les ovnis " ovni" dans l'espoir qu'avec le début du Sunshine Act, qui allait devenir le Freedom of Information Act, ils ne seraient pas importunés par cette loi en disant, par exemple: "7 ovnis sont observés par untel à tel endroit". Mais, là où ils diraient 7 ovnis, entre parenthèses ils rajouteraient: probablement des ballons. Sans même dire que dans le document dont je parle, les sept ovnis voyageaient à la vitesse de 2700 km/heure. Les ballons ne font pas ça.
Kerry: Correct.
Clifford: Ca m'a toujours stupéfié, même quand j'étais gosse, j'étais étonné quand les gens disaient: "Je ne crois pas aux fantômes, cependant, telle chose est arrivée ..." et puis racontent une excellente histoire de fantômes. J'ai compris très tôt que, pour moi, nier la réalité des ovnis et autres phénomènes serait me nier moi même.
Kerry: Donc, en tant que communicant, vous...
Clifford: Vous ne dites pas toujours aux autres tout ce qui se passe. Souvenez-vous de ce que je vous ai dit, vous ressentez..
Kerry: Vous éprouvez ce qu'ils éprouvent tout comme ils éprouvent, ressentent et savent tout ce que vous éprouvez et pensez.
Clifford: Vous n'en parlez pas toujours parce qu'il y a ce que vous ressentez quand on vous dit qu'ils sont des invités.
Si nos supérieurs militaires nous disent: " Bien, Voici l'un de nos invités...", ils ne traitent pas cet être comme un invité et ce qui se passe c'est que vous éprouvez ce que cet être ressent...
Kerry: euh..
Clifford: Et... J'ai eu une situation où j'ai même aidé l'un d'entre eux à s'échapper. Et ça, alors c'était... [rires] ... je ne raconte pas tout ce qui a été dit...
Kerry: Je me demande... que s'est-il passé quand vous avez fait ça ? C'était... d'abord, quelle sorte d'entité était-ce ? Je comprends qu'ils étaient retenus prisonniers. Mais comment avez-vous pu...? En fait, Dan Burish raconte la même chose.
Clifford: Et bien je ne sais pas si c'était une Stargate ou quelque chose comme ça, mais à l'intérieur où nous avions cette entité, si nous devions... Il y a une bande qui raconte tout ça avec beaucoup de détails ... mais si nous avions essayé d'extraire cette entité de là où nous étions, alors il y aurait eu des gens tués et cette entité ne l'acceptait pas. Et vous pouviez ressentir ce qu'elle ressentait. C'est la meilleure façon de l'expliquer. J'essaie de dire ça sans entrer dans... certains détails. Mais j'ai convaincu celui que j'appelais le Colonel, c'est comment je l'appelais durant toute cette période. Nous y sommes allés... et j'ai dit, vous savez, il a besoin de me montrer quelque chose, mais tout le monde doit être sorti de là et c'est juste lui et moi. Et tout le monde est parti. Il y avait un Spec5 resté là pour m'aider. Et j'ai dit: " Nous devons couper cette barrière de protection là, ..." On peut avoir des ennuis pour ça " Et j'ai dit: " Oui, je sais, c'est pour ça que je te demande de laisser tomber tes outils par là." [riant] Il ne l'a pas fait, il a coupé les câbles pour moi. Et on a sorti l'entité dehors.
Clifford: Merci Madame.
Kerry: Nous sommes ici dans un endroit étonnant, c'est le musée de Roswell. Pouvez-vous nous dire comment vous vous retrouvez à Roswell ?
Clifford: Et bien, c'est l'armée des Etats-Unis qui m'a envoyé ici. Je suis militaire à la retraite.
Kerry: OKay...
Clifford: Donc, en étant retraité de l'armée, vous êtes toujours susceptible d'être rappelé pour agir en tant que consultant. J'étais sergent de première classe lors de mon départ à la retraite.
Kerry: Votre titre était "employé"; j'ai compris que c'était une couverture n'est-ce pas?
Clifford: Nous avions une vie réelle dans l'armée, nous avions une mission. La seule fois où cet autre emploi devenait nécessaire était s'il y avait un incident UfO et que vous soyez dans les environs. Je peux vous dire qu'en 1965, au Vietnam, il y avait une base d'où l'on a essayé de tirer ouvertement sur un ovni. A la minute même où ils ont essayé, plus aucune de leurs armes ne fonctionnait. Il y eut une coupure de courant générale jusqu'à ce que l'ovni ait disparu. Je peux vous le dire, ayant servi au Vietnam pour quatre ans, oui quatre ans, les dossiers indiquent 37 mois, mais si vous ajoutez le temps TDY, ça fait quatre ans tout juste. TDY, c'est pour "service temporaire". N'avoir aucun pouvoir sur les événements est très effrayant et cette période a été très très tendue.
Kerry: En tant que communicant, c'est ainsi qu'on vous appelait dans votre vie militaire, à partir de quel âge avez-vous commencé à travailler dans cette branche, dirons-nous?
Clifford: Probablement 19, 20 ans.
Kerry: Ok
Clifford: Pour les gens qui font de l'interface, il n'y a pas d'école. Il y avait des choses qui se passaient dans votre vie... Quand je suis sorti de là, il y avait sept personnes qui étaient toujours dans l'armée qui faisaient de l'interface, seulement sept, et c'était dans l'armée entière, tous corps confondus. L'on m'a impliqué dans un incident, sans que l'on nous dise où c'était, mais je sais... que nous avons atterri à Ben Hua parce que, quand j'y repense, il y avait un panneau, c'est là que nous avons atterri.
Kerry: Ben Hua ?
Clifford: C'est au Vietnam.
Kerry: Oh !
Clifford: Je sais que c'était Ben Hua car c'était le même panneau quand j'y suis retourné. C'est un incident qui est survenu...
Kerry: C'était un crash ? Ou bien une visite ?
Clifford: On a vu les êtres.
Kerry: Ok...
Clifford: On y est allé pour essayer d'extraire un avion et nous l'avons extrait en le découpant en sept morceaux je crois.
Kerry: C'était à eux?
Clifford: Non, non c'était un B-52...
Kerry: Ah !, ok.
Clifford: ... qui ne s'est pas écrasé normalement.
Kerry: C'était une expérience de voyage dans le temps?
Clifford: Non, non. C'était un avion abattu. Tout le monde était mort... tout le monde était mort à bord du B-52.
Kerry: Abattu par les visiteurs?
Clifford: Ils étaient sur une mission de bombardement au dessus de... je n'ai aucun moyen de savoir, mais je suis sûr qu'ils étaient en mission de bombardement au Nord Vietnam. Les dégâts subis par l'avion étaient dus au feu anti-aérien contre le B-52. C'était ce type de dégâts et c'était utilisé pour les bombes conventionnelles. Quand j'ai dit que nous y sommes allés, nous y sommes allés en hélico. C'était comme si une main gigantesque avait attrapé l'avion en vol pour le poser sur le sol de la jungle; et c'était ça qui nous intéressait.
Kerry: Oh...
Clifford: On ne savait pas . On ne vous dit rien. À l'embarquement aux Etats-Unis, avant de partir, on nous a dit qu'on allait en Floride.
Kerry: [rires]
Clifford: Quand on a atterri à Oakland, on savait qu'on n'allait pas en Floride. On nous a donné un petit sac de plastique. Il fallait retirer "US Army" de nos affaires. Il a fallu ôter les plaques d'identification de "G.I's", chose qui ne se fait jamais. On les a retirées. Chaque objet qui pouvait vous identifier est allé dans ce sac plastique. Ils ont été gardés pour nous à Ben Hua jusqu'à notre retour. Après cet évènement, ils m'ont mis dans ce GP... je veux dire une tente, il y avait une chaise, une table et un lit, quelques stylos, mais j'ai pris un crayon. Je devais m'asseoir là et écrire mes pensées.
Kerry: Ok.
Clifford: C'est tout ce qu'il y avait dans la tente. J'y suis donc entré et je m'ennuyais. J'ai commencé à faire des jeux de tic-tac-toe. Je suis sorti pour fumer, en prenant le papier avec moi, j'en ai fait une boulette que j'ai mise dans ma poche. Quand ils ont trouvé ce morceau de papier - là, souvenez-vous, tout ce qu'il y avait dessus, c'était des jeux de tic-tac-toe - et bien, le type que j'appelais le Colonel, et qui était toujours là, est arrivé immédiatement, a balancé le cigare de ma bouche et a commencé à m'injurier abondamment: " Qu'est-ce que tu fais là, pourquoi tu as ça ? " " Tu pourrais te faire tuer à cause de ce papier dans ta poche."
Pourquoi ? Parce que ça faisait partie des détritus classifiés; on n'emportait pas de papier là dedans, on ne prenait rien à l'intérieur. Tout ce qu'il y avait à l'intérieur devait y rester. Donc, tout ce que j'écrivais était immédiatement mis dans un... un attaché-case et quittait l'endroit par transport spécial. Malgré que j'en aie été l'auteur, je n'ai jamais eu l'autorisation nécessaire pour lire ce que j'avais écrit.
Kerry: Hmm... Ca vous est arrivé d'écrire des choses quelquefois sans même le savoir ?
Clifford: Sûrement; je peux vous dire que tout ce que je lis, je peux en avoir une compréhension plus complète que certaines des choses que je fais. Paul [l'ami qui l'a accompagné lors de notre rencontre] peut vous dire que je peux faire beaucoup de choses en matière de "téléchargement" mais, vous savez quoi ? je n'ai pas à lire chaque page... mais à la lire en diagonale ou à la scanner. Pendant que je scanne, ils peuvent percevoir tout ce qu'il y a dessus à travers moi. Ce ne sont pas des "nouvelles fraîches" pour eux, mais ils trouvent des choses intéressantes. Et ils trouvent des choses qui sont un puzzle pour eux parce que nous allons dans la bonne direction mais nous n'avons pas les points sur les " i" correctement.
Kerry: C'est fascinant, parce que nous n'avons pas l'habitude de penser, qu'en temps de guerre, au Vietnam, nous serions aussi occupés à entretenir des relations avec des cultures d'un autre monde.
Clifford: Vous savez pourquoi ? On leur a vraiment dit d'appeler ça des hélicoptères. Vous êtes dans une zone de guerre, alors ce que vous faites est d'y aller, de mettre un peu de rasoir d'Occam là dedans et vous abaissez au dénominateur le plus bas. Les ovnis ne peuvent pas exister. Je répète, ovnis: ça n'est pas la bonne dénomination. Les transports interplanétaires ne peuvent pas exister. Alors, il faut que ce soit quelque chose de très terrestre. La NSA a commencé et a appelé les ovnis "ovni" quand nous surveillions les communications avec l'Union Soviétique. Mais ils ont toujours appelé les ovnis " ovni" dans l'espoir qu'avec le début du Sunshine Act, qui allait devenir le Freedom of Information Act, ils ne seraient pas importunés par cette loi en disant, par exemple: "7 ovnis sont observés par untel à tel endroit". Mais, là où ils diraient 7 ovnis, entre parenthèses ils rajouteraient: probablement des ballons. Sans même dire que dans le document dont je parle, les sept ovnis voyageaient à la vitesse de 2700 km/heure. Les ballons ne font pas ça.
Kerry: Correct.
Clifford: Ca m'a toujours stupéfié, même quand j'étais gosse, j'étais étonné quand les gens disaient: "Je ne crois pas aux fantômes, cependant, telle chose est arrivée ..." et puis racontent une excellente histoire de fantômes. J'ai compris très tôt que, pour moi, nier la réalité des ovnis et autres phénomènes serait me nier moi même.
Kerry: Donc, en tant que communicant, vous...
Clifford: Vous ne dites pas toujours aux autres tout ce qui se passe. Souvenez-vous de ce que je vous ai dit, vous ressentez..
Kerry: Vous éprouvez ce qu'ils éprouvent tout comme ils éprouvent, ressentent et savent tout ce que vous éprouvez et pensez.
Clifford: Vous n'en parlez pas toujours parce qu'il y a ce que vous ressentez quand on vous dit qu'ils sont des invités.
Si nos supérieurs militaires nous disent: " Bien, Voici l'un de nos invités...", ils ne traitent pas cet être comme un invité et ce qui se passe c'est que vous éprouvez ce que cet être ressent...
Kerry: euh..
Clifford: Et... J'ai eu une situation où j'ai même aidé l'un d'entre eux à s'échapper. Et ça, alors c'était... [rires] ... je ne raconte pas tout ce qui a été dit...
Kerry: Je me demande... que s'est-il passé quand vous avez fait ça ? C'était... d'abord, quelle sorte d'entité était-ce ? Je comprends qu'ils étaient retenus prisonniers. Mais comment avez-vous pu...? En fait, Dan Burish raconte la même chose.
Clifford: Et bien je ne sais pas si c'était une Stargate ou quelque chose comme ça, mais à l'intérieur où nous avions cette entité, si nous devions... Il y a une bande qui raconte tout ça avec beaucoup de détails ... mais si nous avions essayé d'extraire cette entité de là où nous étions, alors il y aurait eu des gens tués et cette entité ne l'acceptait pas. Et vous pouviez ressentir ce qu'elle ressentait. C'est la meilleure façon de l'expliquer. J'essaie de dire ça sans entrer dans... certains détails. Mais j'ai convaincu celui que j'appelais le Colonel, c'est comment je l'appelais durant toute cette période. Nous y sommes allés... et j'ai dit, vous savez, il a besoin de me montrer quelque chose, mais tout le monde doit être sorti de là et c'est juste lui et moi. Et tout le monde est parti. Il y avait un Spec5 resté là pour m'aider. Et j'ai dit: " Nous devons couper cette barrière de protection là, ..." On peut avoir des ennuis pour ça " Et j'ai dit: " Oui, je sais, c'est pour ça que je te demande de laisser tomber tes outils par là." [riant] Il ne l'a pas fait, il a coupé les câbles pour moi. Et on a sorti l'entité dehors.
Quand ils ont compris, l'entité était hors du périmètre. Mais ils l'ont poursuivie et étaient très énervés, étant sur le point de tirer dessus, mais l'entité était maintenant sous une lumière éblouissante qui descendait. Je n'ai pas vu le vaisseau, peut-être parce que je ne regardais pas. Mais, tout d'un coup, cette entité était là, puis ne l'était plus. Et alors, bien sûr, le type que j'appelais le Colonel m'a dit que je pourrais passer en cour martiale, puis il a ajouté: " on va passer l'éponge pour cette fois mais ne recommence pas."
Bien sûr, je rétorquais: " S'ils sont supposé être nos invités... pourquoi les traitons-nous avec cruauté, comme des prisonniers, en fait encore plus mal que des prisonniers ? " Je n'ai vu aucun des films sur les candidats mandchourians. Nous savions une chose, c'est que nous avions identifié 57 espèces différentes quand je suis sorti. Nous les appelions affectueusement Heinz57. J'ai compris que c'était une phrase de l'un de ces films.
Kerry: Euh.. euh
Clifford: Ben, j'adorerais dire qu'il n'y a que deux ou trois races... seulement quatre ou cinq ou même une seule. J'aimerai dire ça; mais, avec ce que je sais, si je change quoi que ce soit à ce que je sais, alors ce n'est pas la réalité, c'est juste aller dire ce que les gens veulent entendre.
Kerry: Euh... Bien. Pourquoi voudriez-vous dire qu'il n'y a qu'une ou deux races?
Clifford: Et bien, des personnes diraient " Nous trouverions votre histoire plus croyable si vous disiez... " et " cette entité n'est-elle pas un des gris parce que ce serait plus croyable ? " Que voulez-vous, une histoire croyable ou la vérité ? La vérité ne s'adapte pas à ce que vous croyez, mais c'est la vérité telle que je la connais. Et étant celle que je connais, c'est la seule que je puisse raconter.
Kerry: Avez-vous vu... Je présume que... qu'ils photographient ces êtres ? N'est-ce pas ?
Clifford: Il y a des photos.
Kerry: Ok. Et vous? Les avez-vous dessinés ? En avez-vous des dessins ?
Clifford: Oui, j'ai quelques dessins.
Kerry: Et avez-vous déjà donné...
Clifford: Jamais.
Kerry: Pouvez-vous..., avez-vous le droit de les donner ou de les montrer ?
Clifford: J'en ai donné certains, j'en ai gardé d'autres.
Kerry: Et êtes-vous au courant des bases souterraines ?
Clifford: Oui, et de la technologie qui va avec.
Kerry: Ok. Alors je présume que vous vous êtes trouvé dans une base souterraine ?
Clifford: Pas par choix.
Kerry: Pas par choix ? C'est crédible. Avez-vous déjà vu des reptiliens ? Vous savez ce qu'on appelle des reptiliens, dans les milieux ufo ?
Clifford: Certaines espèces pourraient être appelées reptiliennes, oui.
Kerry: Et pouvez-vous communiquer avec eux télépathiquement ?
Clifford: Ils communiquent avec vous. C'est difficile à expliquer, vous ne pouvez pas garder de secrets.
Kerry: Ah !
Clifford: Ce qu'il faut aussi savoir, je le rappelle, c'est que le programme est conçu de façon telle que vous apprenez uniquement ce que vous avez besoin de savoir. Souvent, vous en savez plus, mais vous ne savez pas tout.
Kerry: Oui, bien sûr.
Clifford: Je répète que si quelqu'un vous dit tout savoir, c'est un menteur, ce n'est pas vrai.
Kerry: Avez-vous des amis aliens spéciaux, avec vous depuis le début et toujours avec vous ? En communication...?
Clifford: J'en ai mentionné un.
Kerry: Ah oui ?
Clifford: J'en ai mentionné un.
Kerry: Un. Ok. C'est Korona ?
Clifford: Correct.
Kerry: Ok. Et Korona est de quelle planète... le savez-vous?
Clifford: Euh... euh. Je sais que c'est à 100 années lumière d'ici parce que j'utilise souvent ça comme exemple.
Kerry: Ok.
Clifford: En temps réel, à partir du départ, et il y a un petit truc sympa à ce sujet, du moment où ils quittent leur planète qui se trouve dans un système stellaire à 100 années lumière de Planète Terre, en temps réel de voyage, ça fait une heure et quarante minutes jusqu'à leur arrivée ici.
Kerry: C'est merveilleux. Quel sorte de vaisseau utilisent-ils ? Est-ce qu'ils se téléportent à travers l'espace ou est-ce qu'ils prennent un vaisseau ? Parce que pas tous...
Clifford: C'est un vaisseau. Ils voyagent réellement. Mais c'est à travers un... ce qu'on appelle " un trou de vers traversable "
Kerry: Ah.. Eh bien, êtes-vous jamais allé avec eux ?
Clifford: Non; pas que je sache. Je dis ça, mais je me souviens avoir vu des étoiles que je n'ai jamais vues, nulle part sur Terre. Mais, pas que je sache.
Kerry: Donc, vous n'avez pas de souvenir conscient de ce genre d'événement, c'est ce que vous voulez dire ? C'est peut-être arrivé.
Clifford: Il m'est arrivé des choses dans ma vie, réellement effrayantes. Je veux dire, vous ressentez la peur, vous éprouvez une véritable peur avant de voir l'entité.
Kerry: Donc, une personne comme vous, on penserait que vous êtes libre de toute peur puisque vous êtes conscient de votre interaction avec ces êtres, je suis étonnée de vous entendre dire que vous avez réellement peur. Avez-vous toujours peur aujourd'hui ou parlez-vous du passé ?
Clifford: Quand ces événements se produisent, oui, vous avez toujours la peur. Je veux dire, il y a de la peur, là. Et encore plus parce que vous ressentez la peur qu'ils éprouvent. Nous sommes une espèce très dangereuse.
Kerry: Oui.
Clifford: Alors, croyez moi, s'ils tombent entre nos mains, il y a cette peur.
Kerry: Okay. Donc, c'est la raison pour laquelle je présume qu'ils vous approchent en tant que communicant ou interface, comme vous dites, n'est-ce pas?
Clifford: Eh bien, ils sont concernés par notre bien-être. Beaucoup de gens ne croient pas cela. Nous nous sommes faits des choses horribles, ils le savent et nous... Ils essaient de comprendre certaines choses à notre sujet. Et je pense, qu'en même temps, ils échangent de l'information, disant: " Ecoutez, voilà ce que vous vous êtes faits à vous même." Je pense que c'est lié à certaines abductions qui ont eu lieu, je pense que c'est lié aux mutilations animales et je pense que c'est lié à la disparition de nombreuses personnes de la surface de la Terre.
Kerry: Ok. Il y a donc des gens qui disparaissent régulièrement ?
Clifford: Oh oui.
Kerry: Et ils vont vers d'autres planètes ? Ils vont sur des bases hors-Terre je suppose...?
Clifford: Je n'ai pas la réponse à cela.
Kerry: Okay.
Clifford: Si vous me demandez si j'aurais pu quitter la Terre, comme je dis, il y a un but, et je ne connais pas ce but.
Kerry: Est-ce que votre mission est de rendre les gens plus conscients, pas seulement des autres entités là-bas et des autres races etc... mais aussi peut-être pour préparer ou prévenir d'un événement ? Parce qu'on dirait que vous faites allusion à un événement dont vous-même ne connaissez rien .
Clifford: Éventuellement, le contact aura lieu. Le Département d'Astrobiologie de la NASA a tenu une conférence en 2000. Oublions le rapport Brookings. Il est très court. Ce rapport dit: " Nous ne savons pas ce que serait la réaction mondiale." Combien de gens en ont entendu parler et combien l'ont lu ? Quand nous disons que nous pouvons accepter la présence des visiteurs ici, nous parlons pour nous-même; et quand bien même nous l'acceptons, combien d'entre nous sont-t-ils vraiment prêts à une confrontation face à face ? Et je peux vous dire que c'est différent à chaque fois. Et à chaque fois, il y a cette petite appréhension dans votre tête: " Que va-t-il se passer cette fois ci ?" Et chaque fois, vous savez que ça pourrait tourner mal... à la perte de la vie. Non pas parce qu'ils sont dangereux, mais parce que nous sommes un danger pour nous-mêmes.
La situation est celle ci: Comment préparer la population mondiale pour ce contact ultime ? Qui ne sera pas ce que les radio-astronomes ont préconisé, style signal radio venant de l'espace profond jusqu'ici, mais ce sera plutôt un face à face qui se produira ici sur Terre.
Kerry: Bien, mais ça arrive chaque jour avec les militaires n'est-ce pas ?
Clifford: Oui. Encore plus que les gens ne le pensent; mais là aussi, la plupart des gens n'en parleront pas... La seule chose à laquelle vous aspirez en sortant de l'armée, ce que vous voulez le plus au monde... c'est d'être comme tout le monde.
Kerry: Pourquoi ? Pourquoi vouloir être comme tout le monde ?
Clifford: Pour moi, la chose la plus grande que vous puissiez être est d'être un serviteur. S'occuper des autres est ce qu'il y a de plus important. Le Soi, le Soi devrait être satisfait d'être capable d'aider les autres. C'est important. Mais trop souvent, les gens se mettent devant les autres; et là, nous voyons les problèmes que nous avons aujourd'hui dans le monde.
Kerry: Je reviens à ce que vous disiez sur le contact; dans un sens, vous êtes en première ligne. Une personne qui peut préparer le reste de l'humanité pour ce vrai contact parce que vous avez eu des contacts. Dans un sens, les aliens, ou les extraterrestres, ont communiqué, ont choisi les personnes sur la planète pour communiquer avec eux; vous êtes l'une de ces personnes n'est-ce pas ? Donc le contact est quelque chose qui s'est préparé peut-on dire ?
Clifford: Mondialement.
Kerry: Ok. Pensez-vous que... Beaucoup de gens disent que ça va arriver ... que les aliens vont atterrir sur la pelouse de la Maison Blanche, quelque chose comme ça...
Clifford: Non.
Kerry: Dans un certain sens, ça arrive tous les jours. Les militaires ont affaire avec... Ils ont capturé, comme vous dites, ils ont ces entités comme prisonniers. Nous avons aussi des traités avec certaines races n'est-ce pas ?
Clifford: Ok. J'ai entendu parler des traités, mais là aussi, je n'ai pas travaillé avec.
Kerry: Okay.
Clifford: Bien, je vous dis ceci: Je pense qu'en 2016, quelque chose de bénéfique aura eu lieu. Parce qu'en 2016, je crois que nous allons devoir annoncer au monde qu'il y a une sonde qui s'approche beaucoup de la Terre tous les 15-20 ans et nous l'appelons un astéroïde. Ce n'est pas un astéroïde. En réalité, c'est une sonde artificielle, autrement dit, quelqu'un l'a mise là. Nous avons été trouvés il y a longtemps. La technologie sera sûrement égale à... disons "Voyager". Ce sera une technologie ancienne et désuète pour leurs standards.
Kerry: Oh là.. Que dites-vous ? Cette sonde... savez-vous quelle race ?
Clifford: Je dis que nous l'avons trouvée. Notre paradigme dit qu'il ne peut y avoir de vaisseau artificiel d'aucune sorte, donc nous refusons d'accepter cela et nous l'appelons un astéroïde. Je parle de BG1991 [ndt: suite à cette interview, des discussions ont conclu que le nom était VG1991] En gros: 30 mètres de diamètre, surface extrêmement polie. Les astéroïdes n'ont pas de surface polie. Cette sonde a changé sa trajectoire afin d'éviter une collision avec un autre astéroïde, ça n'arrive habituellement pas, celle ci l'a fait...
Kerry: Alors où... De quelle race cela vient, de quelle planète ? Le savez-vous ?
Clifford: Je ne sais pas.
Kerry: Pensez-vous que les aliens vous ont donné une augmentation de niveau d'ADN ? Vous rendez-vous compte que vos capacités ont augmenté ?
Clifford: Oui, mais vous essayez de ne pas l'utiliser, sinon vous pouvez... Vous savez, les choses, avant qu'elles arrivent, la plupart du temps, vous ne pouvez rien faire pour les changer. Je savais que, sans savoir qui, mais je savais que l'un de mes enfants allait se faire tuer sur sa moto. C'est dur... Je veux dire, avant que mon fils soit tué, le mercredi d'avant, je savais qu'il garait sa moto derrière la voiture... Je savais que je pouvais faire une marche arrière et écraser la moto plusieurs fois. Mais je savais aussi que ma famille ne comprendrait pas que je fasse cela pour empêcher ce qui... disons, essayer d'empêcher ce que je savais arriver.
Kerry: Vous êtes donc un "precogn" ? C'est ainsi qu'on les appelle. Vous connaissiez le futur avant qu'il se produise. Vous ne pouviez pas le changer ou l'arrêter, mais il y a une raison aux événements. Je pense que vous êtes d'accord.
Clifford: Oh oui.
Kerry: Dans un sens, peut-être êtes-vous en paix parce qu'il n'y a pas que vous qui savez, mais les âmes savent aussi ce qui va arriver. Les âmes sont conscientes. En fait, nous savons tous que nous allons mourir, peut-être pas consciemment, mais nous le savons tous n'est-ce pas ? Donc ce n'est pas à vous de prévenir un événement ou pas, si c'est quelque chose dont nous avons accepté le scénario en tant qu'âme, n'est-ce pas ?
Clifford: Eh bien, comme je dis, avec eux, ils peuvent même communiquer avec l'au-delà. Mais même là, avec toute leur technologie avancée, il y a des questions interdites.
Kerry: Ok
Clifford: je viens d'essayer d'éviter quelque chose, là ! Disons qu'avec la mort de mon fils... ils m'ont aidé à lui rendre visite une fois.
Kerry: Bien.
Clifford: Comme j'ai dit, il y a des questions, si vous les posez... c'était... je savais que si j'allais en arrière de 15 minutes, je pouvais stopper l'accident. Tout ce que j'avais à faire, c'était de le retarder pendant ces 15 minutes, d'une minute ou deux... et j'aurais changé le résultat.
Kerry: Mais...
Clifford: Une fois de plus: Il y a cette réalité [bouge ses mains] et ici, vous créez ce parallèle. Pour une certaine raison, ce n'est pas conseillé, et ils le savent. En outre, il a été précisé que vous ne pouvez pas échapper à la réalité de votre continuum espace temps, parce que sa mort est ma réalité dans l'espace temps dans lequel je me trouve.
Je dois revenir au point duquel je pars dans mon espace temps. Je ne vais pas rester dans l'autre. Et beaucoup de gens resteraient bien dans l'autre. Et bien, non. Cela m'a été montré très clairement et je ne peux l'expliquer... Je ne peux pas avoir un débat scientifique, mais il y a une barrière naturelle.
Ce qui est pourquoi, dans le voyage spatio temporel, quand on le découvrira dans notre futur, nous n'en trouverons pas de preuves laissées quelque part le long du voyage... à cause de cette barrière naturelle. Nous pouvons les voir, les sentir, il se peut même que nous puissions interagir avec eux jusqu'à un certain point.
Mais rien associé au futur et lié au jour où nous découvrirons le voyage spatio temporel ne sera laissé dans une réalité alternée. L'on dit: Ok, le voyage spatio temporel n'existe toujours pas car nous en aurions les preuves. Et bien, il n'y aura aucune preuve de laissée et il y a une barrière naturelle là. La situation globale est que nous faisons partie de quelque chose de plus grand, plus vaste, et nous prenons part à une aventure. Nous sommes une partie de cette aventure.
Kerry: Oui.
Clifford: Et nous jouons tous certains rôles la dedans. Mais comme vous l'avez dit: " Ils sont nous..." et j'ajoute que Paul m'a entendu le dire, il souriait quand vous avez dit ça. La situation est la suivante: Nous cherchons les différences; dans les races, les 57, nous regardons les similitudes et nous commençons à réaliser combien nous en avons en commun, au final, nous arrivons à penser: " ils sont nous...", parce que tout, dans l'univers, est étroitement lié. Toutes les espèces sont connectées. Personne ne s'est jamais demandé pourquoi le dénominateur commun est humanoïde ?
On ne s'attendrait pas à trouver ça s'il n'y avait pas une sorte de prototype galactique. Vous devenez spirituellement éclairé en traversant cette vie, même ceux que l'on appelle les malades mentaux, de l'autre coté, ils ne sont pas malades.
Kerry: Nous pourrions peut-être en apprendre plus sur les types de visiteurs que vous avez rencontrés ? Les voyez-vous physiquement ? Ou bien êtes-vous dans un état de conscience modifié ? Ou alors pouvez-vous les voir dans votre esprit ? Avez-vous des communications télépathiques avec eux ?
Clifford: Ils sont aussi physiques que vous et moi.
Kerry: Ok.
Clifford: Oui. C'est télépathiquement et il y en a qui pouvaient parler comme vous et moi.
Kerry: Okay.
Clifford: Mais il y en a beaucoup qui... qui ne parlent pas, ils veulent tous communiquer avec vous. Mais il y a une chose qu'il faut savoir, que beaucoup de gens négligent, et c'est pourquoi c'est si difficile d'en parler. Vous ne faites pas que leur parler. Ils savent tout ce que vous savez et ils ressentent tout ce que vous ressentez, vous entrez et vous ressentez ce qu'ils ressentent. Et voyez, pour certains d'entre eux... nous n'étions pas vraiment des braves types, nous nous servons du terme visiteurs...
Kerry: Oui.
Clifford: Mais ils sont traités comme des prisonniers...
Kerry: Je comprends.
Clifford: ... et il n'y a pas de loi pour leur protection comme pour la protection des prisonniers.
Kerry: Hmm hm. Dan Burish en a parlé aussi.
Clifford: En 1960, et je peux vous fournir le document: Nous avons formulé et rédigé, la NASA l'a fait, un livre appelé: " Lois de l'Espace " [Outer space laws]. Ce n'est pas avant les années 70's que la question des droits légitimes d'un être conscient, non de notre monde, n'apparaisse réellement. et savez-vous ce que sont ces droits? Il n'y en a aucun.
Kerry: Toujours ainsi à ce jour, dites-vous.
Clifford: Pas plus de droits qu'un... Un animal de laboratoire aurait plus de droits que l'un de nos visiteurs. Cependant, ils sont de loin nos supérieurs en intellect et même en spiritualité. Ils permettraient qu'eux-mêmes soient tués - ils sont nombreux dans ce cas, de nombreuses espèces - plutôt qu'agir à notre propre détriment ou notre mort. Et, ... pardonnez-moi [Il pleure], mais... c'est ce que j'essaie d'éviter.
Kerry: Je comprends. Ok. Donc, dans un certain sens, ils se sacrifieraient parce qu'ils ont une compréhension très juste de ce que nous faisons réellement.
Clifford: Absolument.
Kerry: Vous devez être très finement accordé spirituellement, pour pouvoir communiquer avec différentes races venant d'autres planètes, de la façon dont vous le faites. Vous l'exprimez d'ailleurs très bien, c'est vraiment un don. Comme vous le dites, ce n'est pas quelque chose d'acquis, c'est quelque chose d'inné venu avec votre incarnation.
Clifford: J'aime à penser de moi même... que je suis ordinaire, si vous me comprenez.
Kerry: Ok. Je comprend ce que vous voulez dire. Extérieurement, vous apparaissez comme une personne normale et vous avez surement eu des professions très ordinaires en plus de ce que vous faisiez, n'est-ce pas? Mais vous êtes aussi "ultra-normal", vous utilisez certains des attributs de l'humanité qui sont les meilleurs et ne sont pas utilisés par l'homme ordinaire n'est-ce pas?
Clifford: Et bien, je l'espère... [rire]
Kerry: Okay. C'est une très belle chose. Et nous sommes très heureux de rencontrer personnellement quelqu'un qui agit de cette façon.
Clifford: Et bien, je pense que la seule chose... Voyons si je peux le dire bien et vite. Quand j'étais jeune, je jouais avec des enfants que les autres gens ne voyaient pas. Pour moi, c'était parfaitement normal. Et je savais sur les amis imaginaires et ces trucs là, mais c'était différent et c'était normal. Ils m'aidaient même avec mes devoirs... et c'était parfaitement normal. Personne ne pouvait voir ces gens. Et bien sûr, ça, je ne pouvais pas le comprendre. Bien sûr, ils me disaient: " Ils n'ont pas été choisis, et ils ne peuvent pas nous voir " parce que j'essayais de dire aux autres personnes qu'ils étaient là.
Je pensais que tout le monde avait ces mêmes expériences; j'étais enfant et ne réalisais pas que ça n'était pas le cas. Cela faisait partie de mon environnement, de ma réalité, ces choses m'arrivaient. Mais je pensais que tout un chacun avait ces expériences. Mais quand j'ai réalisé et que j'ai vu que les gens vous traitaient de fou et que vous étiez juste différent... ça aurait été vraiment facile d'être normal et de dire... héhéhé... c'est une blague, et de tout nier. Je ne peux pas expliquer pourquoi il m'était impossible de le nier, mais je ne le pouvais pas.
Kerry: Ok
Clifford: Et tout ce qui se passait... rien de vraiment ordinaire n'arrivait. Et jusqu'à... J'ai toujours fait attention aux animaux et, quand j'en trouvais un blessé, j'essayais toujours de le guérir. Enfant, je ne comprenais pas pourquoi, lorsque je me coupais, ma mère tenait toujours ma main sous l'eau pour nettoyer, et un jour, j'ai trouvé cet oisillon tombé du nid et je suis allé et ai mis ce petit... j'essaie de raconter ça sans... j'ai pris l'oisillon et l'ai tenu sous le robinet sans me rendre compte que j'allais le noyer en faisant cela. Je voulais l'aider. J'ai pleuré plus d'une semaine d'avoir tué cet oisillon.
Kerry: Euh...
Clifford: Tout de suite, depuis la première fois, ceux que j'appelais les enfants... J'ai vu à quoi ils ressemblaient réellement. Et cet être particulier que j'ai toujours connu comme "Korona"... il me disait: I'm Korona et c'est avec un "K". À l'époque, je ne savais même pas comment épeler Korona.
Kerry: Quel type d'espèce, quelle race ?
Clifford: Les gens aimeraient dire que c'est un gris. Mais non, il était vert, je veux dire un vert pastel. Tout de suite, il a voulu savoir pourquoi je ressentais ce que je ressentais. C'était inhabituel. Puis, immédiatement après, c'était pourquoi je ressentais ce que lui ressentait... parce qu'il était pour moi comme un moniteur.
Kerry: Il a donc naturellement des qualités et des capacités d'empathie, comme vous-même, semble-t-il. Ca fonctionnait dans les deux sens, comme la télépathie.
Clifford: J'irai un cran au dessus. Nous voyons nos visiteurs comme des personnages de dessin animé. Hors, ils ont des cultures, ils ont des sociétés, ils ont des familles, ils aiment, ils ont des répulsions, ils ont des désirs, ils sentent la douleur et ils éprouvent la peur.
Kerry: C'était donc votre première introduction dans ce monde, d'une façon bien personnelle?
Clifford: C'était le premier aperçu, un choc... que ces choses arrivent, mais non partagées par tous. Vous vous sentiez si seul. Je me souviens d'avoir craqué et pleuré, suppliant ma mère et mon père de m'emmener voir un médecin parce que je savais que le docteur pouvait faire disparaître les monstres.
Kerry: Je me demande si quelqu'un comme vous, l'un des sept capables de communiquer avec les aliens, n'a pas été emmené sur une base lunaire ou martienne. Que vous en ayez le souvenir ou pas, car je ne sais pas s'ils utilisent des techniques pour vous faire oublier certaines parties de l'expérience.
Clifford: Il y a des choses dont je n'ai aucune idée si elles sont arrivées sur Terre... et que je garde en mémoire de façon vivace. Par exemple, avez-vous déjà entendu parler d'une tasse à café qui est petite, vous mettez du café dedans et le pot à café, ce n'est pas une cafetière... de couleur dorée, les tasses étaient dorées, mais quand vous mettez le café dedans, vous pouvez le boire et la tasse se remplit de nouveau jusqu'en haut. Vous voyez ce que je raconte ? Vous comprenez pourquoi j'hésite à parler trop de ces choses là.
Kerry: Ok. C'est vraiment étonnant. Il faut admettre que, du point de vue des gens qui ne sont pas allé sur la Lune ou sur Mars... vous êtes là, à nous parler, et cependant, vous avez eu des expériences qui sont si loin de notre quotidien sur cette planète que vous devez... Je veux dire, il doit y avoir un moment ou vous aimeriez partager ces expériences.
Clifford: Oh oui ! Parfois je fais des erreurs en laissant les gens voir des choses qu'ils n'auraient pas dû voir parce que c'est une partie importante de ma vie et que je dois en faire quelque chose. Je ne saisis pas tout cela, je ne sais pas.
Kerry: Bien sûr, c'est étonnant, car vous avez travaillé dans ce monde là depuis les années 60's, vous parlez donc d'environ 40 ans, et vous vous demandez toujours ce que c'est. Pour vous, tout ceci est lié à votre destin et à ce que vous devrez faire plus tard, je crois. Est-ce que je vous comprends ?
Clifford: Il y a un événement qui surviendra et nous y serons mêlés, et je ne sais pas ce que c'est.
Kerry: Vous avez commencé dans les années 60's en tant qu'interface ?
Clifford: La fin des années 60's.
Kerry: Ok. Et je suppose jusqu'à aujourd'hui, car vous ne perdez pas la capacité, et puisque vous êtes 7, un de ces jours, ils vont frapper à votre porte.
Clifford: Et bien, ils vérifient de temps en temps.
Kerry: Bien. Il y a les visiteurs de différentes communautés. Ils savent sûrement comment vous trouver, où que vous soyez, à n'importe quel moment, et comme vous le dites, ils voient où vous en êtes, pour ainsi dire. Par exemple, ils pourraient nous voir en ce moment. Ils pourraient même vous avoir dit: " Allez-y parce que c'est bien." N'est-ce pas ? En fait, vous parlez de votre destin, qui n'a rien à voir avec l'argent... ce n'est pas réellement un travail au sens propre du mot, c'est une mission, mais c'est une mission terrestre - si vous voulez - que vous avez.
Clifford: Je vous suivrais bien là. Vous êtes poussé à faire quelque chose, vous n'avez pas à comprendre totalement, mais c'est quelque chose que vous devez faire et... l'autre aspect, l'effrayant. Vous savez que... vous ne savez ni pourquoi ni quoi, mais ce que vous faites arrive à son point culminant, c'est une course contre la montre .
Kerry: Réglée sur 2012 ? Est-ce ce que vous impliquez ?
Clifford: Je ne sais pas et beaucoup de gens disent: " Ahr... pour avoir travaillé avec tout ça, vous avez toutes les réponses." Vous n'avez pas toutes les réponses et celui qui dit les avoir n'est pas sincère avec vous. Vous ne savez pas ce que c'est ! Pourquoi voudrait-on aller de l'avant, intégrer ce milieu et être sujet au ridicule ?
Et puis, il y a les problèmes de famille. Ma famille ne comprend pas cela. Ils en ont pourtant pas mal vu pour savoir, ma femme plus que mes enfants. Ma fille au Vietnam, peut-être, comprendrait. Nous nous sommes battus pendant 30 ans pour ramener notre fille du Vietnam. De toute façon, quand elle est venue, bien sûr, elle avait sa propre famille avec elle, et quand nous avons parlé ovnis, ils étaient tous au courant et savaient mon implication dans certaines choses, et c'est le gouvernement vietnamien qui leur avait dit, ce qui m'a choqué. En ce moment, il y a un très grand intérêt populaire pour les ovnis au Vietnam.
Kerry: Oh... réellement ?
Clifford: Au Vietnam, la première chose qui me soit arrivée est qu'ils m'ont appelé par mon nom correctement. Les gens m'appellent habituellement Cliff or Stoney, mais... nous leur avons tiré dessus et j'étais le premier à tirer et c'était: " Clifford, que fais-tu là ? Tu n'es pas censé être ici." J'étais militaire et nous étions en mission... mais ce qui est étrange... qu'essayaient-ils de me dire ? Que je n'étais pas supposé être dans l'armée ? Mais, ici, sur Terre, les militaires, ce sont des hommes. Nos visiteurs, qu'avaient-ils planifié pour moi ?
Kerry: Vous pouvez répondre, là ?
Clifford: Je n'ai pas de réponses; j'ai plus de questions que vous n'en avez sur moi. 2 ou 3 fois, je suis sorti du milieu ovni. Vous voulez savoir ? Vous ne pouvez pas. Il y a des gens, et j'en suis un... ce n'est pas pour l'argent. Ah ! Je voudrais bien ! Je me bats tous les jours, il peut vous le dire, [fait allusion à Paul] chaque mois pour payer les factures; mais c'est autre chose. La chose la plus difficile à faire maintenant, est de faire que les gens pensent par eux-mêmes et lisent. S'ils pensent par eux-mêmes et s'ils lisent la documentation disponible - et là, je parle des propres preuves du gouvernement - s'ils lisent cela avec un esprit ouvert, ils diront: " Vous savez, il y a autre chose, il se passe quelque chose. "
Kerry: Correct.
Clifford: Les seules questions qui restent à poser sont:
Que se passe-t-il ?
Que sait notre gouvernement ?
Depuis quand savent-t-ils ce qu'ils savent ?
Kerry: Bien. Nous tenons à vous remercier pour votre courage, votre intégrité, votre développement spirituel et votre conscience qui vous rendent capable de communiquer avec ceux des autres mondes à un moment où peu sur la planète sont capables de le faire consciemment.
Clifford: Il y a eu des moments où nous étions à quelques minutes de tirs nucléaires à cause des observations d'ovnis. Grace à la hotline qui fut établie et présentée au peuple américain comme une garantie qu'il n'y ait pas de guerre nucléaire enclenchée par accident, à cause d'échos radar erronés... bien sûr, tout le monde a eu peur de ce genre de guerre. Les ovnis étaient une réalité. Les ovnis ont existé. Ils ont été déclarés sur les rapports. Ils ont été vus sur les radars. Vous aviez les deux: écho et visuel en même temps. Vous aviez des chasseurs qui essayaient de les intercepter, alors, pour se rassurer l'un l'autre que ce n'était pas nous... Et c'était évident que si l'un des deux avait eu cette technologie... il n'y avait rien que l'autre puisse faire. Nous avions des missiles qui deviendraient hors d'état, sans être détruits, mais incapables de tirer. Nous avions des avions de combat qui tiraient sur des ovnis et les armes US ne fonctionnaient pas.
Kerry: En fait, vous avez utilisé les bons penchants de l'humanité, qui ne sont pas habituellement pas utilisés par l'homme ordinaire, n'est-ce pas ?
Clifford: Et bien, je l'espère...[rire]
Bill Ryan et Kerry Cassidy interview de Clifford Stone - Roswell, Nouveau Mexique - Novembre 2006 - Filmé et dirigé par Kerry Cassidy et Bill Ryan.
Ce post est la transcription et la traduction de l'interview original filmé (voir ci-dessous vidéo); source : http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php?topic=1978.0
Ancien Sergent au sein de l'US Army, Clifford Stone a été Membre du Congrès Américain - Il témoigne en septembre 2000 :
Il relate une histoire stupéfiante au sujet de l'histoire des Ovnis et des extraterrestres remontant aux années 40 et probablement avant. Le Général Douglas MacArthur organisa un groupe appelé l'Interplanetary Phenomena Research Unit (Unité de Recherche sur le Phénomène Interplanétaire) en 1943 pour étudier ce sujet et qui continuerait aujourd'hui. Leur but est de récupérer des objets d'origine inconnue, particulièrement ceux ayant une origine non-terrestre. Ils obtiennent des informations de la part des Renseignements et les transmettent à ceux qui sont les "gardiens de ces informations". Stone parle d'une unité d'investigation d'élite, sensée travailler en coordination avec Blue-Book, ce qui semblerait n'avoir été qu'une couverture. Stone a vu des extraterrestres vivants et morts lors de son service officiel, car il faisait partie d'une équipe de l'Army qui récupérait des engins extraterrestres crashés. Il pense que les extraterrestres ne nous permettront pas d'explorer les profondeurs de l'espace avant d'avoir grandi spirituellement et qu'ils se feront bientôt connaître si nous ne reconnaissons pas nous-mêmes leur présence.
"Pendant notre discussion sur les Ovnis, la question de fond fût celle-ci : est-ce que chaque gouvernement peut garder le secret indépendamment du gouvernement des Etats-Unis ? La réponse fût sans équivoque : oui. Mais, l'une des grandes armes que la communauté du renseignement a à sa disposition, est une prédisposition du peuple et des politiques américains, ainsi que des démystificateurs, des personnes qui essayent de dévoiler des informations sur les Ovnis, à déclarer à tout bout de champs : "Oh ! Nous ne pouvons garder des secrets, nous ne pouvons garder des secrets."
Pourtant la vérité est que, oui, nous le pouvons...
Le NRO (National Reconnaissance Office) resta secret pendant bon nombre d'années. Même l'existence de la NSA resta secrète. Le développement des armes atomiques resta secret jusqu'à ce que la première explosion forçât le gouvernement à s'expliquer sur ce que c'était.
Et nous sommes conditionnés par nos propres paradigmes à ne pas accepter la possibilité ou la probabilité d'une civilisation hautement avancée qui viendrait nous rendre visite. Vous avez une somme d'évidences en la forme de témoignages hautement crédibles d'objets observés et d'entités à l'intérieur de ces objets, observées elles aussi. Cependant, nous recherchons une explication prosaïque et nous rejetons les pièces, même majeures, qui ne collent à pas notre paradigme.
Aussi est-ce un secret auto-gardé. Vous pouvez le cacher en pleine lumière. C'est un suicide politique de partir bannière au vent et heurter les agences de renseignement pour qu'elles dévoilent les informations. Aussi, une grande partie des membres du Congrès, et j'en connais certains avec qui j'ai travaillé dans ce sens, reculeront et essaieront de ne pas le faire. Je peux vous nommer trois membres du Congrès qui ont demandé franchement à avoir une enquête du Congrès sur les événements de Roswell...
Nous avons cherché à consulter la documentation existante dans les archives du Gouvernement. Nous avons cherché à les consulter avant qu'ils ne soient finalement détruits. Deux bons exemples sont ceux des fichiers Blue Fly et Moon Dust. J'ai eu des documents secrets connus de l'Air Force. Quand je suis devenu membre du Congrès pour avoir accès à plus de documents, ils les ont immédiatement détruits et je peux le prouver.
Quelque part, quelques personnes peuvent consulter et traiter ces informations considérées comme très sensibles pour la sécurité nationale des Etats-Unis. Ils ont besoin de davantage de protection pour être sûr que l'accès à certaines informations est limité à un petit nombre de personnes. Si petit que vous pouvez les mettre sur une feuille de papier, un bout de papier même en écrivant leur nom complet. Ainsi, vous avez un programme d'accès spécial. Les contrôles classiques qui sont censés être mis en oeuvre n'existent pas. Quand le Congrès fit son enquête sur la manière dont nous protégions les documents, et la manière de réaliser les programmes de protection, ils découvrirent qu'il y avait des programmes d'accès spéciaux à l'intérieur des programmes d'accès spéciaux, ce qui les rend presque impossible à contrôler par le Congrès... et par qui que ce soit d'ailleurs...
Quand on en vient aux Ovnis, les mêmes critères sont appliqués. Par conséquent, un petit noyau de personnes clefs, moins d'une centaine, non, moins d'une cinquantaine, contrôle ces informations, hors d'atteinte, ni même d'un regard du Congrès. Aussi, aurait-il besoin d'aller de l'avant, de poser les bonnes questions et d'organiser un audit sur le sujet."
Pourtant la vérité est que, oui, nous le pouvons...
Le NRO (National Reconnaissance Office) resta secret pendant bon nombre d'années. Même l'existence de la NSA resta secrète. Le développement des armes atomiques resta secret jusqu'à ce que la première explosion forçât le gouvernement à s'expliquer sur ce que c'était.
Et nous sommes conditionnés par nos propres paradigmes à ne pas accepter la possibilité ou la probabilité d'une civilisation hautement avancée qui viendrait nous rendre visite. Vous avez une somme d'évidences en la forme de témoignages hautement crédibles d'objets observés et d'entités à l'intérieur de ces objets, observées elles aussi. Cependant, nous recherchons une explication prosaïque et nous rejetons les pièces, même majeures, qui ne collent à pas notre paradigme.
Aussi est-ce un secret auto-gardé. Vous pouvez le cacher en pleine lumière. C'est un suicide politique de partir bannière au vent et heurter les agences de renseignement pour qu'elles dévoilent les informations. Aussi, une grande partie des membres du Congrès, et j'en connais certains avec qui j'ai travaillé dans ce sens, reculeront et essaieront de ne pas le faire. Je peux vous nommer trois membres du Congrès qui ont demandé franchement à avoir une enquête du Congrès sur les événements de Roswell...
Nous avons cherché à consulter la documentation existante dans les archives du Gouvernement. Nous avons cherché à les consulter avant qu'ils ne soient finalement détruits. Deux bons exemples sont ceux des fichiers Blue Fly et Moon Dust. J'ai eu des documents secrets connus de l'Air Force. Quand je suis devenu membre du Congrès pour avoir accès à plus de documents, ils les ont immédiatement détruits et je peux le prouver.
Quelque part, quelques personnes peuvent consulter et traiter ces informations considérées comme très sensibles pour la sécurité nationale des Etats-Unis. Ils ont besoin de davantage de protection pour être sûr que l'accès à certaines informations est limité à un petit nombre de personnes. Si petit que vous pouvez les mettre sur une feuille de papier, un bout de papier même en écrivant leur nom complet. Ainsi, vous avez un programme d'accès spécial. Les contrôles classiques qui sont censés être mis en oeuvre n'existent pas. Quand le Congrès fit son enquête sur la manière dont nous protégions les documents, et la manière de réaliser les programmes de protection, ils découvrirent qu'il y avait des programmes d'accès spéciaux à l'intérieur des programmes d'accès spéciaux, ce qui les rend presque impossible à contrôler par le Congrès... et par qui que ce soit d'ailleurs...
Quand on en vient aux Ovnis, les mêmes critères sont appliqués. Par conséquent, un petit noyau de personnes clefs, moins d'une centaine, non, moins d'une cinquantaine, contrôle ces informations, hors d'atteinte, ni même d'un regard du Congrès. Aussi, aurait-il besoin d'aller de l'avant, de poser les bonnes questions et d'organiser un audit sur le sujet."
Interview de Clifford Stone d'octobre 2016 : Le livre "Première aide pour les ET" :
Clifford Stone: il y avait plusieurs livres, mais ce livre, l'intention était, lorsque nous allions sur un site, qu'une personne avait le contrôle de ce livre. Et cette personne avait une formation médicale. Je ne peux pas dire un médecin ou quelque chose comme ça. Mais l'intention de cela était d'avoir ce livre afin que nous ayons une compréhension des premiers secours à donner à l'une des entités sur lesquelles nous pourrions agir. C'était l'objectif de cela.
Le dossier SUM01-1 fait parti des livres cités - Vous l'avez ici (hébergé sur votre site S,F,H) : Ebook us army ufo official manual 1 (5.57 Mo)
Je n'étais jamais censé voir ce livre, mais à cause d'autres personnes, des gens intuitifs - je le dirai parce qu'ils savaient qu'il y avait plus de raisons d'être là-bas que d'être membre de l'équipe. Et, vous savez, je ne suis pas sorti pour dire aux gens: " Oh, oui, je suis une interface (un contacté intuitif). J'ai eu des expériences depuis que j'étais enfant. C'est la raison pour laquelle je suis là. "...
Et moi, en fait, à l'époque, je ne savais vraiment pas quelle était la situation. Je savais que pour une étrange raison, j'ai été sélectionné, et j'étais impliqué.
Mais le gars dit: " Vous savez, nous ne pouvons pas aller de l'avant et traiter les blessures aux différentes entités là où nous nous trouvons. Nous devons savoir spécifiquement quelles types de procédures de premiers secours, jusqu'à ce que l'équipe médicale arrive ici. "
Et il y avait une équipe médicale. Je pense qu'ils l'ont appelé " équipe de triage ". Et l'équipe de triage, elle devait entrer. Ils avaient des médecins, mais ils avaient des experts qui savaient comment les traiter à un niveau beaucoup plus élevé. Mais dans l'interval, nous avons dû être en mesure de fournir des premiers secours. Donc, cette personne est allée de l'avant et m'a montré. Je veux dire, je vais sembler un peu fou ici, j'en suis sûr, mais certaines choses...
D'accord. Par exemple, pour un bandage, certaines de nos entités ne pouvaient pas utiliser un bandage. La petite chose simple de mettre un bandage sur ce qui pourrait être comme une coupure, mais qui pourrait les tuer. Vous utilisiez réellement quelque chose qui ressemblait à un plâtre de Paris pour le mettre dessus. Et, vous savez, vous avez eu un kit médical uniquement pour les extraterrestres.
Si vous aviez regardé cela et que ce livre était absent, vous penseriez simplement: " Qui a mis ces choses folles ensemble ? "
Mais vous aviez certains types de composés fabriqués, juste à partir d'une matière (poussière, dirt) spécifique. C'est la meilleure façon de le mettre. Alors, ce fut un premier secours pour eux. L'iode, par exemple, nous pourrions aller de l'avant et mettre de l'iode sur des choses que nous avons. Cela peut tuer certains d'entre eux.
Un extrait du catalogue secret dont parle Clifford Stone (image dossiers Mufon - Hangar1)
Le livre, ou le catalogue, où j'ai vu les 57 espèces différentes, a été ventilé par sections. Et cela se poursuivrait, il aurait une image de l'entité. Il aurait certaines statistiques de l'entité, et il donnerait une brève biographie de l'entité. Ensuite, il continue et énumère les différents types de blessures possibles qui pourraient survenir et les premiers soins pour cela.
Un extrait du catalogue secret dont parle Clifford Stone (image dossiers Mufon - Hangar1)
Maintenant, vous savez, j'ai pu l'examiner peut-être environ quatre fois. Beaucoup de gens pensent avoir reçu le livre; Je l'ai emmené à la maison et je l'ai lu et j'ai continué. Non, non, non, ça ne fonctionnait pas de cette façon.
Certains sont tellement humains que cela vous serait très difficile de dire qu'il y a une quelconque différence avec nous. Ils pourraient ne pas saisir une pointe de blague. Ils sont très - comment puis-je dire - très sérieux. Donc, vous savez, la légèreté, ils peuvent ne pas être en mesure de répondre immédiatement. C'est un processus éducatif pour eux. Ils doivent l'apprendre.
Un extrait du catalogue secret dont parle Clifford Stone (image dossiers Mufon - Hangar1)
Vous êtes dans une pièce sombre, et vous avez, par exemple, une feuille de papier rouge à terre. Vous ne pouvez pas dire que c'est rouge. Ils le ramassent et le touchent, et ils disent: "Oh, c'est rouge". Vous ne pouvez pas voir votre main devant votre visage, mais pourtant, ils peuvent aller de l'avant et ils peuvent distinguer les couleurs de cette façon.
Vous en avez certains comme ça, une fois de plus, humanoïdes, et vous devez être très prudent parce que lorsque vous allez vers eux, vous pensez très vite qu'ils sont humains. Mais leurs pupilles [Stone pense "iris"], comme nous avons le bleu, le vert, et toutes ces bonnes choses, le brun. Leurs pupilles sont noires. Par conséquent, ils vont aller au-delà et ils utiliseront des lentilles de contact pour couvrir cela. Mais s'ils oublient ces lentilles de contact, une personne qui les voit sera choquée parce que les yeux ressemblent à, vous savez... Aujourd'hui, ils vont simplement dire: « Oh, ce sont des lentilles de contact.» Et je ne sais pas combien d'enfants j'ai vu qui ont des lentilles de contact qui ressemblaient à des yeux de chat. Et, vous savez, l'entière situation serait ce qu'ils diraient aujourd'hui. Mais de retour dans la journée, il n'y aurait plus de lentilles de contact. Et de retour dans la journée, ils porteraient des lunettes noires.
Donc, lorsque vous voyez une image et qu'il fait noir, il n'y en a pas besoin dans le noir, de lunettes de soleil noires, vous pouvez vous demander: " Est-ce vraiment cette personne de cette planète ou est-ce qu'il cache quelque chose ? "
Je dirais que le plus monstrueux (freakie) était, et je sortirais ici, parce que je déteste faire ça, parce que " Oh, non, on en a déjà parlé ", c'est ce que vous appelleriez... Je ne sais pas, ayant un visage du type sauterelle. Et beaucoup de gens les appellent les " Mantes religieuses ".
Mais je n'en ai pas... Comment puis-je dire cela ? Je n'ai eu aucun problème réel avec eux, vous voyez ? Je m'entendais bien avec eux, mais le seul problème que j'avais eu - rappelez-vous, j'ai dit qu'ils avaient le visage comme une sauterelle. Ils ont mangé comme une sauterelle aussi.
Et je pense que parce que quand j'étais enfant, nous avons essayé d'aider des animaux et des sauterelles, et j'aimais les sauterelles quand j'étais enfant. Pas pour manger, mais je les ai simplement trouvés fascinants, vous savez ? Et je les regardais manger, et je pense que cela m'a préparé, en fait, pour quand je verrai ces créatures et leur façon de manger. Parce que j'ai eu beaucoup de gens qui ont dit - " C'est dégueulasse ! "
Et j'ai pu aller de l'avant et j'ai dit: " Vous savez quoi ? C'est naturel pour eux. La façon dont nous mangeons peut leur paraître dégoûtante. "
Et l'un d'entre eux a fait une blague à ce sujet - l'un des insectoïdes qui ressemble à la ... - a vraiment fait la blague en disant: " Eh bien, vous avez bien compris. Nous pensons que c'est dégoûtant la façon dont vous mangez. Ce n'est pas normal ".
Qu'est-ce qui est normal à propos de quoi que ce soit ici ?...
Au sujet de l'astéroïde 1991 VG : Cet objet spatial découvert le 06-11-1991 par James Scotti, un astronome américain, à l'Observatoire de Kitt Peak en Arizona, est extrêmement intrigant pour les scientifiques. Il est noté comme ayant des caractéristiques étranges, présentant une rotation et une vitesse anormales compte tenu de sa taille d'environ 10 à 12 mètres selon sa magnétitude absolue de 28,5. Mais il montre aussi des fluctuations de luminosité inhabituelles, ce qui pourrait fausser certaines données. Il s'est approché de la Terre à une distance d'environ 450.000 kilomètres au début décembre 1991. Ce n'est pas rare en soit qu'un astéroïde s'approche à de telles distances, mais ce qui devient étrange c'est que, avec sa taille et cette orbite héliocentrique très similaire à celle de la Terre, ce petit astre aurait dû être soit détruit depuis longtemps, soit mis sur une orbite éloignée après juste un passage. Or, l'astronome a constaté que ce n'était pas la première fois qu'il s'approchait de la planète. Selon les données collectées par Scotti, c'était au moins le deuxième passage, le précédent ayant eu lieu aux alentours de mars 1975, chose impossible. La longévité inhabituelle de 1991 VG, accompagnée de sa variation rapide de luminosité et de sa courte distance périgée, a donc poussé Scotti à s'interroger sur sa nature. D'origine humaine ou... extraterrestre ? Il a notamment émis l'hypothèse qu'il pouvait s'agir d'un objet conçu par quelqu'un ou... quelque chose. " Nous avons exploré toutes les possibilités pour qu'il soit d'origine humaine ", a déclaré Scotti à Motherboard. " Il y avait quelques corps potentiels de vaisseau ou de fusée qui auraient pu être 1991 VG mais nous avons exploré chaque cas et nous avons été capables de tous les éliminer ". Certains ont par exemple suggéré qu'il pouvait s'agir d'un résidu de la fusée d'Apollo 12 lancée en 1969 mais la théorie a été écartée. D'autres scientifiques ont envisagé des théories moins naturelles. C'est le cas de Duncan Steel, un astronome affilié à l'Université d'Adélaïde qui a publié en 1995 un article dans la revue The Observatory. Il y explique que ses caractéristiques suggèrent que 1991 VG est un corps artificiel plutôt qu'un astéroïde. Or, " aucune des quelques fusées construites par l'homme et laissées en orbite héliocentrique ont une orbite purement gravitationnelle retournant vers la Terre ". Par ailleurs, la distance observée suggèrerait plutôt une " rencontre contrôlée plutôt que hasardeuse ". " On pourrait donc affirmer que 1991 VG est un candidat pour une sonde extraterrestre observée dans le voisinage de notre planète ", conclut Duncan Steel. Depuis cette époque, la théorie de la sonde extraterrestre est restée, même si le scientifique lui-même n'était en réalité pas convaincu par elle et ne l'évoquait que pour la discréditer. Une troisième visite en 2017 " Je ne pense pas que 1991 VG soit d'origine extraterrestre ", a-t-il commenté pour Motherboard. " Mais je pense que nous devons prendre au sérieux la possibilité qu'il y ait des artéfacts extraterrestres dans le système solaire, bien que je doute grandement qu'il y en ait, si l'on se base sur ce que l'on sait jusqu'ici ". La nature de l'objet est donc encore au cœur d'un vif débat. Mais le mystère pourrait prendre fin en 2017 lorsque 1991 VG nous rendra une troisième visite. Les astronomes ont en effet calculé qu'il passera à nouveau à proximité de la Terre durant l'été 2017. La distance sera alors nettement supérieure à celle de 1991 et l'objet ne sera visible que depuis l'hémisphère sud.
Avec une orbite très similaire à celle de la Terre, ce petit objet aurait déjà du s'écraser sur la planète, être volatilisé dans son atmosphère, ou éjecté sur une orbite plus lointaine... ce qui n'est pas le cas, y compris lors des dernières mesures orbitales effectuées en hiver 2014...
Des vidéos en lien :
sources : http://ovnis-usa.com
http://transition888.heavenforum.org/t56-temoignage-du-sergent-clifford-stone
Document traduit en français, avec aussi l'histoire de Clifford Stone...
http://theudericus.pagesperso-orange.fr/Donnery/Theudericus_Exobiologie/Theudericus_Roswell_Temoins.htm
http://ufologie.patrickgross.org/rw/witnessesf.htm
http://ovnis-usa.com/sergent-clifford-stone/
http://scienceetovnis.eklablog.com/un-membre-du-congres-americain-clifford-stone-p63075
http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php?topic=1978.0
https://spherebeingalliance.com/blog/transcript-cosmic-disclosure-your-guide-to-ets-with-clifford-stone.html
Si vous tapez les mots Solar Warden sur Google recherche, vous découvrez un grand nombre d'images et d'articles liés à un programme spatial américain secret... il y a un bon nombre d'articles classés "conspirationnistes", mais certains engins existent bel et bien (ou ont existé) et ont été reconnus par les USA... il n'y a pas de fumée sans feu comme dit l'adage...
Les Reliques du Pérou découvertes par "Mario" et son équipe de huaqueros fin 2015, révélées au public par "Paùl/Kravix999" puis par Thierry Jamin et l'équipe de l'Institut Inkari Cuzco en 2016, puis examinées par plusieurs archéologues et médecins de diverses spécialités, s'inscrivent tout à fait dans le schéma (tout au moins physique, apparent) de la ou les "races des Gris". On note que ces entités biologiques extraterrestres (ou assimilées) sont parmi les plus citées et les plus anciennes en rapport avec les êtres humains de la Terre (il a déjà été fait mention sur ce site de statuettes très anciennes (néolithique et age du bronze, précolombiennes, etc...) qui leur ressemble de façon indéniable (civilisations de Vinça, Obeid, Aztèques, Maya, etc...). Trop de coïncidences tuent le hasard...
A noter que de nombreux chercheurs affirment que ces "gris" sont étroitement liés à des recherches et interventions d'ordre génétiques. Ces chercheurs se partagent entre la probabilité d'intentions négatives ou positives pour l'Humanité et d'autres races... Une grande partie affirme que ce sont des "Gris" qui ont en premier lieu passé des accords avec les nazis dans les années 1930-1940 avant de traiter avec les USA...
Les quelques images que nous avons des momies trouvées au Pérou récemment ne laissent aucun doute quant à leur appartenance à ces entités, qui sont très nombreuses et possèdent quelques différences physiques, comme déjà dit.
Un extrait du catalogue secret dont parle Clifford Stone (image dossiers Mufon - Hangar1)
Dernière vidéo Questions/réponses de Thierry Jamin sur les Reliques du Pérou
"Les prélèvements d’échantillons effectués le 31 mars 2017 sur une des 3 mains géantes possédées par l’Instituto Inkari Cusco. Ils ont été envoyés aux 3 laboratoires chargés d’effectuer les analyses ADN : 2 échantillons pour chaque laboratoire. Ces échantillons ont ensuite été envoyés. Un des 3 laboratoires nous a confirmé la bonne réception des échantillons le 13 avril 2017. Ils vont pouvoir commencer les analyses ADN."
Yves Herbo, Sciences et Fictions et Histoires, http://herboyves.blogspot.com/, https://www.youtube.com/c/YvesHerbo, 19-04-2017
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