samedi 18 août 2018

La civilisation égyptienne plus ancienne que supposée ?

La civilisation égyptienne plus ancienne que supposée ?

Al ayn nawamis

(Nawamis Al Ayn) - Les Nawamis ont été utilisés comme des tombes à l'âge du bronze, mais ont-ils été des habitations préhistoriques à l'origine, en certains endroits ?

La vision que le commun des mortels a de l'ancienne Egypte est, à l'heure actuelle, toujours basée sur un savoir daté des années 1950-1960, bien que, pour les spécialistes et égyptologues, de nombreuses découvertes ont modifié depuis cette image. En fait, ces nouvelles découvertes, et ce n'est pas qu'en égyptologie que le problème existe, ont bien du mal a sortir du cadre des réunions et même rapports scientifiques des échanges entre spécialistes. Les médias s'en font parfois l'écho, mais seul un public averti s'y intéresse en général et pour le restant, c'est oublié le lendemain d'une éventuelle diffusion médiatique... les vieilles étiquettes dans les musées ont la vie dure et c'est principalement ce que le public curieux retient bien souvent, en l'absence de mise à jour !

Si on fait un résumé de ce qui est encore de nos jour trouvable sur internet, l'Histoire de l'Egypte ancienne est assez tronquée et les choses ne sont réellement développées que sur les dynasties pharaoniques les plus connues (et étudiées) et riches en histoire. Ce n'est pas très surprenant en soit car même en regardant l'Histoire de France par exemple, on peut s'apercevoir que l'Histoire des rois mérovingiens et tout de même beaucoup moins développée (et connue il est vrai) que celle des carolingiens. En ce qui concerne l'Egypte, on a souvent comme toute première référence le fait que (je cite) : " Des galets aménagés attestent d’une présence humaine remontant à cinq cent mille ans ". 500 000 ans, ça nous amène (à priori et jusqu'à nouvelle découverte) aux Homo Erectus ou aux premiers Homo Néandertaliens archaïques. Puis, on passe directement à 4000 ans avant JC (en général) ! : " Au IVe millénaire Avant JC, apparaît la première civilisation identifiable, la civilisation nilotique, sur les sites de Badari et el-Amrah. Les populations chassées du Sahara par l’assèchement du climat s’étaient établies dans la vallée où une vie sociale s’organisa dans les villages. Les cultures badarienne et amratienne correspondent à l’apparition de l’agriculture (culture de l’orge et du blé ), de l’écriture, du premier artisanat (couteaux de silex, vases), mais aussi de nouveaux rites funéraires : les morts, désormais, sont enterrés. En fait, les nouvelles découvertes font remonter à environ 7000 à même 9000 ans l'apparition de l'agriculture et de l'élevage selon les régions, et aussi l'artisanat et les rites funéraires : c'est le néolithique, qui a précédé l'âge de bronze...

Plus tard, un peuple chamito-sémitique, les Guerzéens, vint se mêler aux populations du Nil dans la région du Fayoum. La civilisation guerzéenne étendit son influence depuis la Nubie jusqu’au Delta. Elle se caractérise notamment par un art et une technique remarquables (peinture au trait blanc sur fond lisse rosé, outils et armes). Les cités qui se constituèrent dans la vallée se regroupèrent progressivement, durant la seconde moitié du IVe millénaire, en deux royaumes, celui de Bouto, en Basse-Égypte, et celui de Hiéraconpolis, en Haute-Égypte, formant une dynastie (deux en fait !) que les archéologues ont proposé de dénommer « zéro » "...

L’histoire, proprement dite, de l’Égypte pharaonique débute avec le roi Narmer (identifié à Ménès), originaire de Hiérakonpolis, qui unifie sous son sceptre la Haute et la Basse-Égypte et installe sa capitale à This, à proximité d’Abydos. Intercesseur entre les dieux et les hommes, il ceignit la couronne blanche de la Haute-Égypte (hedjet) et la couronne rouge de la Basse-Égypte (deshret), geste que renouvelèrent les pharaons égyptiens jusqu’à la conquête d’Alexandre le Grand. Avec ses descendants, il constitue ce qu’on appelle la première dynastie d’Égypte.

Les recherches archéologiques portant sur les nécropoles d’Abydos et de Saqqarah permettent de penser que les deux dynasties thinites jetèrent les bases de la monarchie de droit divin et de l’administration centrale. Les terres furent mises en valeur grâce au développement de l’irrigation. C'est l'époque thinite (3100 à 2700 Avant JC) : 1re et 2e dynasties pharaoniques officielles...

La période la plus connue et étudiée étant la suivante, je vais m'arrêter ici pour ce petit historique, en rappelant que j'ai déjà à plusieurs reprises relayé les récentes découvertes et avis de plusieurs scientifiques ou spécialistes sur les périodes ci-dessus, avec des précisions très intéressantes, ainsi que de nouveaux questionnements et énigmes, évidemment, car cela va de pair avec les avancées scientifiques. Voici quelques liens concernant ces précédents articles, avant la suite de très récentes découvertes, qui émanent d'un scientifiques officiel et reconnu, qui ont été largement commentées dans les médias égyptiens (sur toutes les télévisions et journaux), mais curieusement très peu en occident. Et pour cause : ces nouvelles découvertes et nouvelles redatations de précédentes découvertes... remettent en question les datations des scientifiques occidentaux et une partie de l'histoire égyptienne, écrite non pas par les premiers explorateurs, qui, comme l'égyptologue français Maspero, dès 1885, affirme que les premiers textes des anciens égyptiens " étaient déjà parfaitement composés avant la 1ère dynastie ", mais par des historiens et archéologues " de salons " (et souvent très inspirés par la Franc-Maçonnerie incontournable de l'époque), qui ne semble par correspondre à une réalité de terrain mais à une réalité imaginée souvent dans des salons enfumés par des gens surtout empressés de justifier leurs bourses d'études et subventions universitaires...




Ainsi, l’archéologue français Emile Amelineau, vers 1890 trouve des preuves de l’existence d’un peuple avancé avant la 1ère dynastie officielle.  Amelineau  a trouvé beaucoup d'artefacts à Abydos. Le nom de ce peuple noir était Anu/Aunu. Ils sont les fondateurs des villes d’Esna (Anutseni), d’Arment (Anu Menti), de Gebelein (Anu). Ils travaillaient le métal, faisaient de l’agriculture intensive et avaient du bétail… Et des experts comme Chandler par exemple, pensent qu’Osiris, Horus, Hermes etc, étaient des  Aunu. Et Anu était aussi le nom d’Osiris, et il était censé être le 4ème pharaon sur Terre, ensuite, nous savons aussi que les Grecs l’ont appelé: Onnuphris: «Le Bon». Au 20ème siècle, l'explorateur-archéologue britannique Flinders Petrie a trouvé à Abydos un document Anu fantastique: C’est une tuile de faïence où est dépeint un chef Aunu avec son nom et son adresse à Arment...

Les travaux de la comtesse ethnologue et archéologue Marcelle Weissen-Szumlanska et ses publications à la moitié du 20ème siècle sont à ce titre remarquables, notamment dans ses ouvrages " Origines Atlantiques des anciens égyptiens " (1965) ou encore " Les Hommes Rouges ". En effet, elle est la première a redécouvrir et suivre les anciennes routes partant de l'Océan atlantique, c'est à dire du Maroc et des îles Canaries jusqu'au Nil. Ses hypothèses sont bien sûr discutables, mais ses voyages et ses descriptions apportent du moulin à son travail... d'autant plus que nombre de ses découvertes, mentionnées dans ses livres, ont été attestées et même "redécouvertes" depuis, et même parfois attribuées à d'autres. Il faut dire que la scientifique femme a eu beaucoup de mal à se faire entendre, évidemment, dans un univers où l'archéologie et l'exploration était surtout du domaine masculin...

A ce titre, elle mérite d'être citée, car elle a bien effectué ce long voyage à la fin des années 50, pour vérifier la valeur des textes antiques (par exemple les textes de Menethon et d'Homère) ainsi que les propos d’Hérodote. En fait, ses conclusions sont étonnantes car Marcelle Weissen-Szumlanska déduit que la civilisation du Nil remonte à environ 10 000 à 12 000 années. Explorant le Sud marocain, elle reconnut, du cap Draa jusqu'à Reggane, le tracé de la piste des grands nomades continuant la route impériale de la carte d'Hérodote. Cette route, qui va de Djerba, en Tunisie, au lac Tritonis, aurait été " celIe qu'empruntaient les Atlantes avant le déluge pour commercer avec l'Égypte "... Mais il y a aussi la préface du Dr M. Martiny (extraits) :

Extraitpreface1

Suite extraits ci-dessous :



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On découvre ainsi dans ces anciens textes des années 1950-1960, que des archéologues de cette époque (comme Henri Lhote et Marcelle Weissen-Szumlanska par exemple), soupçonnaient déjà fortement, suite à leurs propres découvertes et voyages sur places, une bien plus grande ancienneté de la civilisation égyptienne que les -3000 Avant JC comme la plupart des manuels le décrivent, mais aussi une probable origine ouest (et même Atlantique) de cette civilisation. On ne peut aussi s'empêcher ici de rappeler la très récente découverte des plus anciens ossements d'Homo Sapiens (ancêtres proches de l'Homme Moderne)... au Maroc, justement ! = http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/l-homme-moderne-apparition-entre-500-000-a-300-000-ans.html

Antoine Gigal a également effectué un petit historique en 2016 sur les soupçons déjà évidents de certains archéologues de terrain : https://gigalinsights.com/2016/11/16/datation-et-chronologie-de-lancienne-egypte-la-pagaille/?lang=fr

Comme je l'ai expliqué rapidement plus haut, c'est un égyptologue égyptien renommé qui a fait les premières annonces (21-02-2018) à la télévision égyptienne, mentionnant aussi que tout était à l'heure actuelle en train d'être redaté avec les nouvelles technologies (y compris des artefacts et ossements découverts aux 18ème et 19ème siècles par les européens) et que toutes ces nouvelles datations et techniques nouvelles (n'oublions pas que même le carbone 14 a été recalibré en 2004 et que plusieurs datations effectuées au 20ème siècle par ce moyen ne sont donc plus considérées comme assez fiables) semblent bien vieillir ces objets (tout comme les nouvelles datations ont bien augmenté l'ancienneté de plusieurs sites préhistoriques français et espagnols par exemple).

Ces nouvelles annonces n'ont pas été tellement relayées en Occident (peut-être à cause des nouvelles datations qui contredisent un peu trop celles des archéologues occidentaux !), sauf par quelques chercheurs et érudits, dont Antoine Gigal, qui est une chercheuse très introduit dans le milieu des archéologues égyptiens. Mme Antoine Gigal est trilingue franco-anglais-arabe (mais aussi 4 autres langues car elle est hyper diplômée en langues) et est une chercheuse assez spécialisée sur l’Égypte ancienne. Et c'est elle qui va nous permettre de suivre les derniers développements de ces nouvelles découvertes, recherches et datations égyptiennes, en collaboration avec le principal intervenant égyptien, l'archéologue Dr Khaled Saad...

Voici l'un des journaux en ligne qui date du début des annonces du Dr Khaled Saad, avec la vidéo encore en ligne (https://www.youtube.com/watch?v=Mksq09Z4BwE) :


Drsaad tvegypt1

Drsaad tvegypt2

En soit, la présence de "sites archéologiques" (c'est vague) remontant à entre 150.000 ans et 500.000 ans en Egypte n'est pas surprenant, car des sites archéologiques montrant la présence d'Homo Sapiens (archaïque ou non), d'Homo Erectus, ou des Néandertaliens et d'autres hominidés encore plus anciens ou "cousins" se trouvent un peu partout, tant en Afrique qu'au Moyen et Proche-Orient qu'en Europe et Asie... Ce qui est plus surprenant, c'est que le Dr Saad annonce aussi la découverte d'une ville âgée de 15.000 ans comportant des traces assez proches de ce qu'on pourrait appeler "les rites égyptiens" plus récents... ainsi que d'autres traces à rapprocher d'une civilisation très très ancienne... Les traductions d'Antoine Gigal nous en apprennent plus.

Ainsi, la chercheuse traduit les propos du Directeur du Département d'Archéologie Préhistorique au Ministère des Antiquités, qui a représenté l'Egypte dans plus de 9 congrès internationaux et dirige de nombreuses équipes sur beaucoup de sites en Egypte :

Une ville de civilisation datée de 15 000 ans dans le sud Sinaï à Eïn Hadar dans la zone des Nuwamis, et plusieurs sites avec "traces de civilisation" datant de 150 000 à 500 000 ans en Egypte....une remise en question de "datations officielles" (YH : souvent "occidentales") par l'archéologie officielle en Egypte ! "


Cette vidéo est la traduction et le résumé des révélations faites sur la TV publique égyptienne visible plus haut, par Antoine Gigal, qui est très souvent en egypte dans le cadre de ses activités.



Sud sinai ein hadar nuwamis

sud Sinaï à Eïn Hadar dans la zone des Nuwamis (Nuwamis ci-dessus)

  


Une courte vidéo nous montrant les Nuwamis du sinaï et la région...




En complément de la vidéo-traduction d'Antoine Gigal, voilà une partie de l'annonce du Dr Saad sous-titrée en français. 

Alors, il peut y avoir une certaine confusion dans l'annonce (qui est ici assez courte mais qui a été développée depuis (voir ci-dessous) car le Dr Saad parle de la découverte de 86 maisons et d'une nécropole, donc d'une ville âgée de 15.000 ans située dans la région et près des Nuwamis du Sinaï, puis aussi plus précisément de ces Nuwamis, qui sont datés dans son court exposé de 1500 ans avant les premières pyramides égyptiennes (vers -3000 ans AV JC). L'intéressant ici est que les méthodes de constructions de ces Nuwamis (qui ne sont pas considérés comme des habitations mais des tombes et qui sont toujours debout de nos jours) sont très proches de celles des pyramides, alors que nous sommes encore dans une période "archaïque" d'après la science des manuels. Le Dr Saad parle aussi de la plus "vieille horloge" préhistorique, sur un site âgé de 12.000 ans (d'après les nouvelles datations donc), à Nabta Playa, qui est aujourd'hui exposée au Musée d'Assouan. Il s'agit d'un des plus anciens cercles mégalithiques (bien plus ancien que celui de Stonehenge par exemple ou des restes du temple d'Avebury) au monde donc, qui a été reconstitué dans le jardin du musée :

Calendar aswan nabta

Le calendrier de Nabta découvert en 1992, reconstitué






Dans cette vidéo, Antoine Gigal nous en dit un peu plus sur le Dr Saad et ses recherches. On y apprend par exemple que ce dernier était à cette époque (mars 2018) dans une région proche du Soudan pour redater entre autres certains sites préhistoriques, dont des grottes datées de 60.000 ans, comportant de nombreux dessins et peintures murales... dont des premières représentations de dieux égyptiens pharaoniques, qui ne correspondent donc pas (à priori) à cette lointaine période... et pourtant... les datations des pigments devraient permettre d'en savoir plus... Elle nous présente aussi un magazine du National Geographic américain (janvier 2016) parlant des recherches du Docteur Saad sur des Nuwamis découverts vers Dahab (Sinaï) et donc le "Mont Sainte-Catherine". Des grands Nuwamis circulaires, qui ne sont pas des tombes car ils comportent tous des portes se fermant de l'intérieur et assez grands pour que des hommes s'y tiennent debout, ainsi que des techniques d'évacuation des eaux, mais aussi des dalles de marbres pivotantes, permettant un choix d'entrées du soleil à volonté... Nous voyons ensuite des photos du Dr Saad de ce site préhistorique qui a continué à être fouillé, et sur lequel il a été aussi découvert des tombes comportant plusieurs individus, et c'est maintenant 86 de ces maisons qui ont été déterrées, dont certaines font deux fois la taille d'un homme debout d'après les photos... cette petite ville préhistorique (datée donc de 15.000 ans d'après le Dr Saad, comme à Gobekli Tepe en Turquie, éventuellement ?), qui est toujours en fouilles, aurait pu contenir, pour l'instant, plus de 100 habitants... Les datations ont été faites grâce aux peintures, artefacts et squelettes trouvés. Il y en a probablement pour plusieurs années de travail et de fouilles sur ce site, mais une publication scientifique devrait avoir lieu sur ce site dans le courant 2018.




Dans cette troisième vidéo du 18-05-2018, Antoine Gigal rencontre le Dr Saad et retrace le fascinant parcours du Directeur du Département Préhistoire au Ministère égyptien des Antiquités. On y apprend que, en plus des 306 sites préhistoriques déjà connus en Egypte, une centaine de nouveaux sites ont été découverts récemment, dont des systèmes hydrauliques très anciens, dans le Sinaï mais aussi ailleurs. Nous découvrons aussi que la thèse du Docteur égyptien s'est appuyée sur les nombreux pétroglyphes du pays, et nous avons droit à quelques photos étonnantes sur ce sujet. Il y a aussi des photos des nombreux artefacts découverts par le Dr Saad depuis ses premières recherches. Et si on suit les nombreuses interviews du Directeur chargé de la préhistoire égyptienne, celui-ci affirme que les habitants de l’Égypte de l'âge de pierre vénéraient déjà les mêmes dieux que ceux des dynasties pharaoniques des milliers d'années plus tard, et connaissaient déjà les mêmes pigments et données astronomiques...



Pour être complet et montrer d'autres résultats, voici une étude sur deux Nawamis du Sinaï (identifiés eux comme des tombes) faites en 2016 par une équipe européenne (grecque) utilisant des nouvelles méthodes de datation. La conclusion étant une date d'environ -3000 ans avant JC et conforme aux estimations de l'âge du bronze du Levant et du Sinaï, mais ces résultats sont assez incomplets quant au nombre de structures analysées, et des preuves de réutilisations plus récentes ont aussi été trouvées, pouvant fausser les résultats... :




Nous sommes donc tous dans l'attente de ces publications scientifiques officielles et de nouvelles de ces recherches de la datation de la civilisation égyptienne, alors que d'autres pays font déjà de même, avec l'Inde qui a déjà annoncé par exemple que la civilisation de l'Indus (Harapéenne) était bien plus ancienne que celle de Mésopotamie et de Sumer, ainsi que de nombreuses constructions gigantesques dans cette vallée entre le Pakistan et l'Inde... Nous espérons aussi des nouvelles informations du côté d'Antoine Gigal bien sûr, et comptons sur elle sur de bonnes traductions de l'égyptien. Je note aussi que ces découvertes faites au Sinaï ou même dans le sud de l'Egypte ne remettent de toute façon pas les découvertes faites sur la route préhistorique entre l'Atlantique et l'Egypte, émaillée de nombreux pétroglyphes et artefacts, ni les anciennes légendes qui font bel et bien remonter les origines des civilisations du nord de l'Afrique à la plus lointaine préhistoire...

Sources : Antoine Gigal voir aussi http://www.gigalresearch.com/index-fr.php



Dr. Khaled Saad, Directeur du Département d'Archéologie Préhistorique au Ministère des Antiquités égyptien

https://www.youtube.com/watch?v=gCCYcuO0BCA  2018 : interview du Dr Saad en 2018 en français. 1 . Il parle aussi de la vénération d'anciens dieux égyptiens par les hommes préhistoriques, bien avant Ra par exemple, mais faisant toujours partis du panthéon égyptien du temps des dynasties... Nile TV international

https://www.youtube.com/watch?v=6QL_BNMmyl0  2017 : interview du Dr Saad en 2017 en français. 2  Nile TV international

http://hebdo.ahram.org.eg/NewsContent/1067/32/97/9833/Pr%C3%A9histoire--Un-pass%C3%A9-commun.aspx (avec des commentaires du Dr Saad en 2015 sur la préhistoire)




Yves Herbo, Sciences-Faits-Histoireshttp://herboyves.blogspot.com/, 26-07-2018, 18-08-2018








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