Décembre 1973 : Atterrissage avec traces à Fabrègues
Il
s'agit toujours de la même période ou "vague" française dont j'ai
retrouvé des dizaines de coupures de presse étalées d'environ mi 1973 à
mi 1975. Mais on note aussi, d'après le nombre des témoignages, une
forte "vague" aussi sur plusieurs mois de 1972. D'après les études sur
ce sujet particulier des "vagues", il ne s'agit donc pas d'un phénomène
de "mode" ou d'influence, mais bien d'un phénomène de montée en
puissance et de disparition-diminution tout aussi subit. Certains ont
tenté d'y faire une relation avec les périodes de rapprochement de
certaines planètes de la Terre, comme Mars ou Vénus, bien sûr (car
aucune orbite des planètes du système solaire n'est parfaitement
circulaire, contrairement à ce que les dessins de vulgarisation
pourraient le faire croire), mais aucune corrélation planétaire n'a pu
être établie (cela aurait été trop "beau" !)... idem pour les cycles
solaires (estimés à 11 ou 12 ans suivant les scientifiques et la
réalité). Pour certains ufologues, il ne s'agit pas de vagues ou cycles,
mais de planifications non calendaires de missions d'explorations
systématiques de chaque recoin de la planète, et qu'il peut probablement
être vu à tout moment des ovnis quelque part dans le monde et qu'il y a
juste des endroits qui demandent plus d'engins de par leur histoire,
géologie, nature... Je ne peux m'empêcher de rebondir là-dessus en
imaginant des êtres provenant d'une réalité parallèle et pouvant
à la fois explorer l'Histoire Temporelle, l'Histoire tectonique et
géologique et naturelle (animalière, végétale et humaine) d'un même
lieu, sur des milliards d'années... - cela expliquerait beaucoup
de choses : le fait " qu'ils restent identiques, inchangés sur de très
longues périodes ", qu'ils n'ont aucun intérêt à "prendre "contact" avec
l'humanité, ou très peu, par périodes temporelles utiles, qu'ils
s’intéressent beaucoup plus à la Nature (et donc au nucléaire et
influences humaines), etc... et aussi, effectivement, certains pays et
endroits (une grande partie de la Terre tout de même vu ses plusieurs
"Pangées" et dérives de continents, mais aussi migrations animales et
humaines), doivent être longs à "recenser" et "historiser"... c'est une
hypothèse fantastique certes que celle d'un "recensement" historique
étalé sur des dizaines de milliers - ou millions - d'années, mais
provenant d'une ou plusieurs civilisations tout aussi "millénaires" en
ancienneté, rien ne devrait nous étonner : avec nos petites vies de
80-100 ans maximum, il est déjà pratiquement impossible d'arriver à
comprendre et raisonner sur notre propre époque et d’appréhender toutes
les réalités actuelles... Notre civilisation actuelle se base
essentiellement sur des postulats affirmant que les choses n'existent pas
tant qu'on n'a pu démontrer le contraire et le redémontrer
scientifiquement. Elle survit et avance de cette façon, tout en refusant
d'admettre l'existence de témoignages et de réalités "non palpables",
non matérialisables. Il est probable que d'autres civilisations plus
anciennes et évoluées aient été obligées (pour continuer à survivre y
compris en absence de matérialité) d'évoluer différemment (mais nous y
viendront aussi) et ont dû inverser certains postulats, du type " les choses existent
tant qu'on n'a pu démontrer le contraire et le redémontrer
scientifiquement" (la nuance ici est importante car elle détermine toute
l'approche scientifique de notre civilisation qui, on le voit bien,
piétine pendant de nombreuses années avant de pouvoir démontrer et
découvrir ses erreurs passées (qui sont systématiques, voir dans toutes
nos sciences pratiquement !)). On commence à le voir en ce 21ème siècle :
même nos plus grands cerveaux ne peuvent voir toutes les réalités de
leur propre époque, encore moins celles de leur passé et de leur
futur... Einstein avait en partie raison, et en partie tord comme on est
arrivé à le démontrer en astrophysique récemment et c'est le cas aussi
de tous nos scientifiques, de Darwin à Descartes... aucune théorie n'est
"complète" et figée, elles sont toutes à revoir et à affiner, voir à
annuler pour certaines...
Mais
revenons sur cette affaire avec traces et à cette période étonnante des
années 1970 où des phénomènes bien matériel ont été vus, photographiés,
filmés et ont même laissé certaines traces physique et magnétique sur
notre sol...
" La Soucoupe de la Chapelle " - Spécial Dernière du Samedi 16 au vendredi 22 février 1974 (en pleine vague d'atterrissages et de témoignages de gendarmes en France !)
" Nous avons vu une soucoupe volante la nuit du 6 décembre 1973, près de la chapelle de Fabrègues " affirment deux enfants. Et plusieurs adultes confirment leurs témoignages.
Poursuivant nos révélations sur les soucoupes volantes, nous ouvrons
aujourd'hui pour vous le dossier confidentiel de la soucoupe de "la
chapelle".
" Il nous a paru mériter votre attention, car il est jugé des plus sérieux par M. Claude Poher,
un homme dont la probité scientifique ne peut être mise en doute. Et
qui vient de donner la preuve de son indépendance d'esprit. Directeur du département " Fusées et Sondes " du Centre National d'Etudes de Toulouse, il fut le premier à mettre en doute l'authenticité de la soucoupe du "Concorde" et la suite devait lui donner raison.
La " Chose "
La soucoupe de la chapelle a été vue sur la RN
113, près de Fabrègues (Hérault) entre Montpellier et Sète, dans la
soirée et dans la nuit du 6 décembre 1973, par deux témoins : Fernand
Perez, 14 ans et Jean-Paul Dazevedo, 15 ans. Voici leur récit.
"
Il était 7 heures du soir. Nous montions à vélomoteur la route qui
conduit à la chapelle Saint-Baudile, dit Fernand. J'ai dit à Jean-Paul :
" Regarde comme la chapelle est éclairée ". On aurait dit qu'elle était
balayée par des projecteurs orange. Nous nous sommes approchés de la
chapelle à pied, et c'est alors que nous avons vu la " chose ". C'était
un engin de forme circulaire. Il était en métal brillant, comme de
l'aluminium. Il faisait bien douze mètres de large et trois mètres de
haut. Il était posé sur trois pieds ".
"
La soucoupe ne bougeait pas, dit Jean-Paul. Il y avait sur le dessus
une coupole qui ressemblait à une grosse bulle d'eau et qui était
éclairée. Sur les côtés, il y avait des lumières blanches et rouges qui
clignotaient chacune à leur tour, exactement comme les feux d'un avion.
La soucoupe faisait du bruit. Une espèce de ronronnement. Mais tout à
coup, nous avons vu une une porte coulisser. Une petite échelle pliante
est descendue. Nous avions tellement peur que nous nous sommes tout de
suite enfuis sur nos vélomoteurs. La soucoupe a décollé et nous a suivis
un moment ".
Lumineuse
Trois copains des deux garçons, alertés, disent eux aussi avoir vu " quelque chose ". Il s'agit de Thierry Castel, Jean Yunta et Jean Rodriguez,
tous âgés de 15 ans. " Près de la chapelle, on a vu une immense lumière
orange, dit Jean Rodriguez. Mais on était aveuglés et on n'a rien pu
voir de précis. Cette lumière était si étrange qu'on a eu peur. On est
redescendus tellement vite que Jean Yunta est tombé. Sur la route on a
rencontré Fernand et Jean-Paul qui nous attendaient. Je leur ai crié : "
Partez vite ! Ne restez pas là ! "
D'autres personnes, des adultes cette fois ont voulu en avoir le coeur net. Ils sont montés à la chapelle. Le premier, M. Antoine Bas, maçon, 64 ans, a pris sa voiture et a emmené ses deux fils, Michel (14 ans) et Antoine (28 ans), sa fille Anita (31 ans) et sa belle-fille Marie (27 ans). Tous jurent avoir " vu la soucoupe en vol ".
"
Nous l'avons vue dans le ciel avant d'arriver à la chapelle, dit M.
Bas. Elle était ronde et lumineuse. Nous avons tous eu l'impression
qu'elle cherchait à se poser une nouvelle fois là où les enfants
l'avaient vus. Mais après avoir marqué un temps d'arrêt, elle a disparu
de l'autre côté de la colline, vers la route de Sète ".
Un autre témoin, M. Jean Rodriguez,
agriculteur, 41 ans, le père du jeune Jean Rodriguez (ils portent le
même prénom), affirme avoir vu des traces de l'atterrissage de la
soucoupe. Il a emmené son fils et quatre de ses camarades
en voiture sur la colline. " Il y avait trois trous de 30 centimètres
de large, dit M. Rodriguez. Ils étaient séparés de 1,30 m environ. Il y
avait deux autres petits trous, comme ceux qu'auraient laissés les pieds
d'une échelle ".
Claude Poher,
l'ingénieur du C.N.E.S., accorde une grande importance à ce témoignage.
Il a décidé de faire une enquête complète sur l'événement de la nuit du
6 décembre. Un autre scientifique dit avoir relevé des traces de
l'atterrissage de la soucoupe : Claude Carriès,
technicien du laboratoire de l'Institut Scientifique et Technique des
Pêches Maritimes de Sète. " Le 24 décembre 1973, je suis allé à la
chapelle en compagnie de quelques-uns des témoins, dit-il. J'ai prélevé deux échantillons de terre.
L'un à l'endroit où la soucoupe aurait atterri, l'autre à vingt mètres
de là. Je les ai placés chacun dans un bocal. J'ai semé des lentilles
dans les deux bocaux. Huit jours plus tard, les lentilles ont germé dans le deuxième bocal. Mais pas dans le premier. Aujourd'hui les lentilles continuent à se développer dans le premier bocal (cité). Dans le deuxième, toujours rien ".
Un chercheur américain qui vit à Montpellier a lui aussi fait une constatation troublante. M. Richard Niemtzow,
délégué à Montpellier de l'Organisation pour la Recherche sur les
Phénomènes Aériens, qui a son siège à Tucson (Arizona), a déclaré : " Dans
la nuit du 6 au 7 décembre 1973, à 5 h 30 du matin, un de mes trois
détecteurs magnétiques a émis une sonnerie. C'était la première fois que
l'un d'eux se manifestait depuis que je les ai posés il y a trente mois ".
Les
seuls à rester sceptiques, ce sont les gendarmes de Gigeau. Ils sont
persuadés que la soucoupe volante est une invention des enfants et que
les autres témoins ont été victimes d'hallucinations collectives. " (YH :
ils auraient dû lire les rapports d'autres gendarmes et voir avec eux
s'ils étaient tous aussi victimes "d'hallucinations collectives "!)
Voici
le grand article de presse d'où sont extraits ces témoignages, notez
bien que toutes ces archives sont librement utilisables (notamment pour
la recherche et l'éducation) à la condition absolue que les sources et
références indiquées dessus, ainsi que mon nom, prénom et adresse de ces
sites internet (http://www.sciences-fictions-histoires.com/ et http://herboyves.blogspot.com/) soient mentionnés visiblement :
Yves Herbo Archives, Sciences, F, Histoires, 26-11-2014
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